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[RP] Le bal du Lys et du Paon

Gwendolyna.
Le Roi était passé et Gwendolyna s'était redressée et avait posé son regard curieux sur toutes les belles nobles de France. La jeune fille était émerveillée. Le décor somptueux au delà de tout ce qu'elle avait pu imaginé et surtout les toilettes et les coiffure des nobles, hommes comme femmes qui gravitaient dans la salle de bal. Gwendolyna remerciait encore en son for intérieur son cousin Altaiir qui lui avait gentiment octroyé un budget illimité pour sa toilette.

La jeune fille le suivait dans la foule, elle se faisait discrète, ne regardant pas les gens dans les yeux effrontément mais ne fuyant pas non plus. Son cousin fut apostrophé par un jeune homme et ils s'arrêtèrent. Restant en retrait, elle écouta leur conversation. Puis l'homme se présenta.
Le jeune homme était juge de Champagne. Il lui sourit alors elle lui rendit un gracieux sourire mais ne se présenta pas laissant le soin au chef de famille de le faire.

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Elsa.d.asceline
    Elle s'était avancer un peu plus dans la salle en compagnie de son amie. Comme tout le monde, elle s’inclina d'une majestueuse révérence a l'arrivée du roi. Elle sourit en remarquant les sourires et regards éblouis des plus jeunes présents qui n'avaient sans doute encore jamais eu la chance d'approcher le monarque de France de si près. Pour elle qui l'avait croiser a de nombreuses occasions au cours de ces derniers mois ce n'était plus pareil.

    Du haut de ses quinze ans, elle aurait pût être présenter comme débutante ce jour, oui, cela aurait put en être le cas si elle avait obéit a sa marraine et préférer épouser un bon parti mais voilà déjà quelques mois que la jeune duchesse qu'elle était avait fait son choix et avait simplement épouser celui qui avait sut prendre son cœur, au grand damne de Maltea qui lui faisait payer dés que l'occasion se présentait.

    Son regard avait survoler la salle a la recherche de visages familiers , elle repéra sans mal le petit attroupement champenois qui prenait forme un peu plus loin, retenant un léger soupire, non pas que leur présence la dérange mais il était a peu près certain que la voir seule ici ferait encore jaser inutilement.

    Elle avait entraîner Helena dans son sillage vers leur direction pour aller saluer tout ce petit monde , commençant bien entendu par le bellâtre italien qu'elle avait déjà croiser au castel de Reims quelques heures plus tôt.


    Votre grâce, je vois que le pourpoint te sied a merveille

    petit sourire moqueur avant de saluer d'un signe de tête ceux qu'elle ne connaissait pas , puis s'attardant sur Gwendolyna

    Ravie de vous voir ici Gwendolyna, la soirée est-elle a la hauteur de vos attentes?

    puis d'avoir un air enjouée devant le crapaud ducal qui jouait déjà de son regard charmeur sur la jeune femme

    Wahou Arthur, j'ai bien faillit ne pas te reconnaître! Tu es tout beau ce soir!

    Puis, elle regarda a nouveau Altaiir attendant qu'il présente le reste du groupe

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Gwendolyna.
La duchesse Elsa arriva, éblouissante. Gwendolyna l'admirait pour sa beauté et surtout pour sa simplicité et sa gentillesse. Elles devaient avoir le même âge ou presque et la duchesse avait déjà tant fait. Gwendolyna se sentait toute petite.

Comme son cousin ne disait rien, elle répondit alors.


- Bonjour Votre Grâce. Tout est fabuleux ici.

Elle se permit alors de s'adresser au juge.

- Je me nomme Gwendolyna Solange di Scipio Auditore. Je suis ravie de vous connaître.
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Gabrielle_
Elle était bien belle l'excuse que la blonde n'avait eu de cesse et de répéter depuis plusieurs jours : "je ne peux pas venir, c'est un bal français et je suis impériale". La vérité, mise à part que son excuse n'est pas totalement fausse, c'est qu'elle ne savait pas danser, niet, que dalle. La bretonne était issue d’une famille non noble, elle avait l'habitude des danses de village, monter sur une table, crier une bière en main c'était son bal à elle !
Alors quand elle rencontra un soir Sepa elle avait sorti la même excuse qu'a un peu tout le monde, il avait fait la moue, sans rien dire et pour la bretonne, l'affaire était réglée.
Les jours passèrent, et il y eu un grand malheur qui s’abattu sur elle, ce malheur portait un nom : Alexis.
Alexis de sparte, l'homme qui tombe fou amoureux tous les quatre jours, comme d'autres surement avant elle, elle était tombée sous le charme de ses mots, de ses gestes et de la façon dont il posait la main sur elle, durant plusieurs jours il lui avait dit être la femme de sa vie, revivre à ses côtés, vouloir enfant et mariage avec elle et qu'avec elle puis… le mensonge. Comme beaucoup la princesse Melissandre avait mauvaise réputation, la briseuse de cœur, menteuse ayant abusé du pauvre prince impérial mais après la soirée qu'elle venait de vivre elle se demandait si ce n'était pas elle la victime. Car en effet Alexis avait certes les mots mais Gabrielle est une bretonne et les bretons accordent difficilement leur confiance, quand elle mit la main sur son mensonge et dévoila la vérité le prince impérial fit tout pour retourner la situation et finalement c'est elle qui passa pour la vilaine de l'histoire. Mais soit, qu'il sauve sa réputation, qu'il passe à la suivante, c'était sans importance, ce qu'on pouvait dire d'elle était sans importance, elle était bien trop brisée pour écouter, bien trop abusée pour voir les chuchotements à son sujet, son âme était vide, son corps était comme mort.

Cela dura deux jours, deux jours sans manger, sans boire, dormant avec de multiples cauchemars, qui empêchaient la plupart des domestiques de dormir, réveillés par les hurlements et puis, la missive. Cette missive c’est Sophie, la dame de chambre, qui l'ouvrit, il s'agissait d'une invitation pour le bal, sauf que là il n’y avait plus aucun motif de refuser mise à part que Gabrielle ressemblait à un cloporte, bien entendu.
La domestique jugeant que l'idée était bonne en l'absence de parole ou de réactivité de sa maîtresse fit préparer la voiture et sa suite et partit pour la France où ils s’installèrent quelques jours dans un manoir près d'un lac, au calme.


Citation:
De Nous,Sepa Von Stavanger,Vicomte de Gérardmer, Baron de Beaurain,Seigneur de Haut Pont
A Vous, Gabrielle Kerangal,Marquise de Namur

Ma chère et tendre Magnificence

Nous prenons la plume en ce jour pour vous inviter au bal du Lys et du Paon,nous voulons vous voir en ces lieux et que vous soyez ma cavalière.Suite à votre refus pour motif vous étiez Impériale,nous avons eu un entretien avec Sa Majesté Royale Lanfeust et celui ci a donné son accord pour votre présence. Vous ne serez donc pas refusé à l'arrivée dans la salle. Nous avons tout prévu pour que vous n'ayez aucun problème.

Nous n'avons pas pu résister plus d'une semaine avant de vous écrire et vous espérons au plus vite à nos côtés. Vous nous manquez énormément et j'espère que vous pourrez rester quelques jours après le bal.
Au vue de la lettre qui risque de vous arriver tardivement, je doute que vous puissiez venir avant,ce qui me peine à cette heure.

A cela,nous accompagnons à cette missive une boite où un présent vous attends pour les manières peu cavalière que j'ai eu à votre encontre. Nous souhaitons vous voir porter ce présent qui ne fera qu'égayer la beauté de votre cou.

Nous attendons une réponse positive à cela et vous attendons impatiemment sur le sol français.

Que le Très Haut vous protège

Fait à Beaurain
Votre dévoué Sepa Von Stavanger



Le Capitaine de la Garde Royale avait bien entendu apprit l'arrivé de la marquise en France, il tenta plusieurs fois de la visiter en vain, Sophie lui donnant la même excuse "Sa magnificence n'est pas visible, mais je vais faire en sorte qu'elle le soit pour le bal" . Oh oui il avait râlé le français, oh oui il voulait la tuer, mais il n'en fit rien et continua de tenter jusqu'au jour J.

Personne n'avait su ce qu'elle avait donné à sa maîtresse, de l’alcool, de la drogue ou pire peut être mais l'effet était là, Gabrielle était sur pied malgré son teint encore un peu pale et le fait qu'elle ait perdu un peu de poids suite à ses quelques jours sans manger. La bretonne étant dans le carrosse, Sophie descendit en premier, la coiffe en main et s'inclina devant Sepa lui disant :


Vous voyez elle est là, comme promis !
Très bien je vois que vous tenez vos promesses.
Comme toujours, Monseigneur.

La marquise descendit quelques secondes plus tard, elle portait autour de son cou, sans vraiment se rendre compte, le présent que lui avait envoyé le capitaine de la garde, avec toutes ses émotions, elle n'avait même pas lu personnellement la lettre que lui avait envoyé l'homme, peut-être le ferait-elle plus tard et trouvera une chose plaisante pour se faire pardonner. Sophie lui mit la coiffe qui allait avec sa sublime robe faite par sa GM d'empire. Il fallait bien avouer que l'atelier de sa GM, l'atelier du Lys était l'un des ateliers les plus vogues en ce moment, la preuve, il servait même le roi de France! Rien que l'idée de savoir que c'est l'empire qui habille la France rendait la ministre assez fière de son personnel.

Bienvenu en ces lieux, nous sommes heureux de vous voir en cette occasion, nous constatons que vous portez notre présent et nous en sommes ravi, sachez-le.
Merci Monseigneur, nous pouvons y aller.

Le vicomte lui tendit le bras et la marquise posa sa main sur celui-ci. Bientôt ils seraient annoncés par l'huissier et peu de temps après les festivités pourraient commencer.

Rosalinde
Comme tout le monde, Rosa s'inclina lorsque Lanfeust fit son entrée. Et après que tous se soient relevés, que le souverain ait prononcé quelques mots d'introduction et avoir soupiré suite au nouveau murmure de Mélissandre, la Wolback se dit qu'il était peut-être enfin l'heure de décoincer tout ce petit monde encore engoncé dans leurs conversations, présentations, hésitations.

Elle tapa donc trois coups dans ses mains. Comme surgis de nulle part, une armée de petits pages, laquais ou filles de cuisine tous vêtus pour l'occasion de longues robes blanches assorties se mirent en branle. Les uns poussaient, les autres attrapaient les mains des dames, tout pour au final pousser un maximum de récalcitrants vers la piste de danse, séparer les couples, éloigner pupilles des chaperons.

Les musiciens entamaient une nouvelle carole. Une chanteuse vint se placer au centre de la ronde qui venait de se former, et les musiciens commencèrent à égrener les premières mesures d'un morceau ressemblant un peu à cela.

A tous maintenant de se placer, et de commencer à danser.

Rosa, quant à elle, magouillait quelques vilaines choses pour un peu plus tard.






Les inscriptions pour l'animation sont clooooses !
Merci à tous ceux qui participent ! Normalement vous avez tous du recevoir un MP avec le nom des deux voisins de ronde de votre personnage. J'espère n'avoir oublié personne... Ou ne pas m'être trompée !

Ceux qui n'ont pas répondu, ou qui ont répondu par la négative, je vous invite à jouer la dissidence sur le côté pour ne pas perturber toute mon organisation !

Je laisse au moins 3-4 jours pour que tout le monde ait le temps de se placer dans le cercle et fasse remuer un peu le popotin de son personnage. Et puis, selon, Rosa lancera les hostilités !

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Le retour de la vengeance II : http://rrinabox.tumblr.com/
Merveylle_mirandole
Son suzerain l'invitait à danser et la Mirandole sourit. Oui elle lui avait promis une danse. Mais visiblement l'heure n'était pas aux danses en duo. Les musiciens jouaient des Carole en boucle et elle avait envie de participer à la suivante.

- Oui bonne idée allons danser. Mais je ne suis pas sure que l'on arrive à être côte à côte pour cette danse.

Elle souriait quand même. Danser, bouger au son de la musique avait un pouvoir étrange sur la petite étoile, elle devenait brillante, lumineuse, radieuse. Plus rien ne compterait que la musique , les pas et le plaisir d'être entourés de personnes avec la même envie d'amusement qu'elle.

- J'y vais ! Rattrape moi si tu peux !

Une petite boutade à l'encontre de son cousin, lancée avant de se fendre vers la foule et de se placer pour la danse à venir. La musique s'était arrêtée et les musiciens se préparaient à jouer la suivante. Il y avait du mouvement autour d'elle, mais elle n'avait pas encore de voisin, en bonne première arrivée qu'elle était. Qui donc danserait à ses côtés ? Deux dames ? Deux hommes ? Ou un duo mixte ? A suivre...
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Melissandre_malemort
Arrachée à Vera par une longue silhouette blanche, Mélissandre se laissa guider vers la piste de danse, amusée. Elle lissa les plies de ses jupes, fit un clin d'oeil à Merveylle et se plaça un peu au hasard, saisissant la main de Jason sans trop lui laisser le choix, puis celle de Gwendolyna, illustre inconnue qui due sans doute être surprise que la seconde princesse de France l'attrape par le poignet.

La danse à venir étant dynamique, joyeuse. Son sourire qu'elle adressa à ses voisins n'en fut que plus sincère et se devinait sous le vernis la toute jeune fille qu'elle était encore et qui adorait danser dans ses appartements, lorsque les volets clos lui offraient un semblant d'intimité...

... Dans la mesure bien sur ou la présence d'une demi douzaine de dames de compagnie permettait de se sentir seul !

Un pied, puis l'autre... Ses jupes gonflèrent quand elle pivota un peu, ses joues rosirent. Non, vraiment, il n'y avait pas plus grand bonheur sur terre que de laisser son corps suivre le rythme hypnotisant d'une Carole.
Melzin
Ambiance festive. Jolies robes, cotillons et verres de cristal fin.
Mel reprend à la volée une coupe de ce vin de champagne qu'un valet empressé en livrée noire présente à qui en veut.
Sourires à droite, sourires à gauche.
Personne de connu. Enfin, de vraiment connu.

La musique change. L'air devient entraînant, une ronde se forme. C'est la carole.

Un peu grisé par le vin à bulles, un peu sec. Je m'approche et prend place dans la danse.
Une jeune fille à ma gauche. Gwendolyna d’après l'huissier.
Sourire mi complice mi taquin, je saisis une main fine gantée de blanc, me place pour les premiers pas et lui murmure


Enchanté, Melzin
Xalta
A peine le temps de franchir le seuil du salon que le compliment à la mode DSK tombe. Elle lève les yeux au ciel, pas vraiment surprise par les mots qui tombent tels un couperet. La surprise aurait été de l'entendre formuler un vrai compliment gentil sur sa tenue qu'elle avait eu tant de mal à choisir. Mais elle ne lui ferait pas le plaisir d'un soupir agacé, c'est avec un léger sourire en coin qu'elle s'avance vers lui. Au passage, elle aperçoit Euphémie cachée derrière une brassée de fleurs dont elle ne sait que faire pour l'instant, assez surprise par le geste du duc. Ce n'est pas qu'elle ne l'aime pas, mais elle se méfie comme elle se méfie de tout homme qui approche la vicomtesse de Montcuq. Nom dont elle n'était toujours pas revenue. Elle allait d'ailleurs répliquer quelque chose de cinglant au duc en l'entendant critiquer la tenue de sa protégée mais le sourire et le regard emplis de malice la firent taire et elle opta pour un retrait discret dans ses propres appartements.

Exaltation au plus près de kronembourg lui adresse un sourire charmeur avant de se mettre à faire le tour de son cavalier tout en émettant des brefs : « hmm.. oui … hmmm » avant de se planter devant lui.

Non, non rassurez vous je n'exigerai rien en ces lieux de vous. Mais il n'est pas dit que je ne vous réclame pas quelque chose, tout à l'heure quand nous serons au bal.

Sinon votre tenue , elle est correcte. Heureusement que vous avez de beaux uniformes à la Prévôté de Paris, cela vous donne du style. Vous n'aurez pas l'air trop dégingandé. Enfin bon comme disait mon Grand-père : « faute de grives on mange des merles. »


Le tout est accompagné d'un long soupir qui se veut expressif mais ses yeux clairs trahissent sûrement_ pour qui la connaît un tant soit peu _ ce qu'elle ressent vraiment pour le Géant. Elle le trouve superbe et bien plus encore mais jamais elle ne l'avouerait.

Quelques instants plus tard.

Ils retrouvent Titouan au Louvre, elle lui sourit et quitte un instant le bras de son cavalier pour une accolade toute maternelle et affectueuse à son aîné.

Tu es très beau Titouan dans cet uniforme.
Je pense que tu connais David Stanislas Kronembourg, il a accepté aimablement d'être mon cavalier.


D'ailleurs, elle avait lancé l'invitation en craignant un refus de sa part, mais il avait accepté , la surprenant, pour son plus grand plaisir.

Belisaire n'est pas encore arrivé a priori, il nous rejoindra à l'interieur.

Puis elle s'approche de l'huissier qu'elle salue poliment. Puis elle se présente ainsi que ceux qui l'accompagnent.

Exaltation Lablanche d'Abancourt, Duchesse de Châteauneuf sur Loire, Vicomtesse de Montcuq, dame de Rochecorail et Pair de France.

David Stanislas Kronembourg, duc d'Ornon et de Bénauges, Baron de Fumel, seigneur de Castelmoron sur Lot.

Mon fils Titouan Lablanche d'Abancourt.

Mon second fils arrivera sûrement plus tard, il s'agit de Belisaire.

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Gwendolyna.
Les réponses ne vinrent pas. En lieu et place, l'annonce d'une danse. Gwendolyna adorait danser : Dans sa province, elle participait à tous les bals. Aucun n'approchait d'un pouce le bal du Louvre.

La danse, comme elle aimerait danser. Mais voilà qu'une délicate main l'avait saisie et l'entrainait, elle souriait, heureuse. Une autre main, celle d'un homme cette fois, prit sa main gantée.
Gwendolyna était dans la ronde. Elle sautillait, suivait la jeune fille qui l'avait saisie. Elle ne savait pas encore qu'elle tenait la plus grande princesse de France, pourtant elle connaissait son nom. Elle connaissait le nom pas le visage et là, elle ne savait pas le nom de sa voisine. Son voisin lui, c'est présenté : Melzin.

- Gwendolyna !

La jeune fille n'était pas sur qu'il ait entendu. Qu'importe, elle dansait et caracolait, tourne au rythme et reprend les mains de ses voisins.
Elle était grisée par la musique.

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Huissierroyal
Et Tom.

- Dame Gabrielle Kerangal.

BOUM !

- Sa Seigneurie Exaltation Lablanche d'Abancourt, Duchesse de Châteauneuf sur loire, vicomtesse de Montcuq, Dame de Rochecorail et Pair de France.

BOUM !

- Sa Grâce David Stabislas Kronembourg, Duc d'Ornon et de Bénauges, Baron de Fumel, Seigneur de Castelmoron sur Lot.

BOUM.

- Accompagnés par Sieur Touan Lablanche d'Ambancourt.
Albin.
Bonne nouvelle Mery avait acceptée et cela réjouissait Albin que l'idée plaise à sa vassale.
La joie, l'innocente et l'insouciance faisait plaisir à voir.

Mais au vu de ce qui se présentait en effet ce n'était pas sur du tout que les deux cousins se retrouvent côté à côté.

La dernière phrase prononcée par Merveylle était ce une provocation? Comment ça il ne pourrait pas la rattraper?
Un sourire se dessina sur le visage du Albin qui suivi Merveylle dans la foule, du moins il tentait jusqu'à la perdre légèrement de vue au milieu de tout ce monde.

L'Ar Sparfel aurait bien hurler un "Mery où es tu?" surtout qu'il ne la voyait plus mais non pas se faire plus remarquer que cela surtout il ne fallait pas.

L'envie de s'amuser et de danser un peu finissait par gagner Albin qui abandonna l'idée de recherche, il retrouvera bien Merveylle plus tard, alors il prit place au hasard pour participer à la Carole et remarqua qu'il se trouvait juste à côté de Lucie et de Vera.
Albin salua la limousine qu'il connaissait bien puisqu'ils ont été régnant de province en même temps et surtout Albin avait vécu à Limoges comme Comborn.


Oh non pas vous Von Bretzel.

Albin adressa un sourire à Vera devant cette taquinerie imaginant déjà la réaction de celle ci.
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Elsa.d.asceline

    Une silhouette blanche l’entraînait déjà ayant saisit sa main en direction de la piste de danse.
    Un sourire naquit sur les traits de la jeune femme tandis qu'elle avait prit place dans la ronde qui se formait, saluant ses deux voisins.
    Sa voisine même si elle ne la connaissait pas personnellement ne lui était pas inconnue pour l'avoir déjà croiser a de nombreuses reprises alors qu'elle n'avait jamais vu son voisin de gauche.

    Elle se laissa très vite emportée par la musique , conquise alors qu'elle n'avait plus danser depuis des mois.lançant de temps a autre un regard amusé en directions de ses amies qui avaient également l'air de beaucoup s'amusées ce soir.

    Il était plaisant d'être seulement parfois, la jeune femme de quinze printemps qu'elle était ...

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Jason_ludgaresvissac
Voilà que le ton était donné et que les réjouissances commençaient. Il se retrouva attrapé par Melissandre à qui il sourit tandis que Wendy prenait aussi sa main . Il en avait de la chance, il connaissait ses deux voisines. Il allait être agréable de danser en leur compagnie. Pourtant il jeta un oeil vers Louane, c'est qu'ils étaient arrivés ensembles et voilà qu'il la laissait en plan. Qui allait donc se trouver près d'elle pour l'inviter.

Il commença à lever les talons en cadences et à bouger souriant de voir Meli prendre plaisir à l'exercice.


Altesse je vois que vous avez le rythme de la musique
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Arthur_ar_sparfel
Il n'eut pas le temps de plastronner devant la duchesse Elsa qui le trouvait très bôôôô, coâââ^, habillé comme un parfait homme du monde, qu'une danse, une Carole, corolle aurait été mieux, plus dans lé délire nénuphar qu'il vivait depuis quelques années, éloigna cette dernière sans compter la jeune femme qui accompagnait le duduc.
Ils se retrouvèrent un peu comme des coââââ... des c*ns sans cavalière.
Arthur devina son demi-frère et sa demi-soeur, quant à sa mère, elle avait disparu de son champ de vision.

Restait plus qu'à faire un sort au buffet.

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