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[RP] Le bal du Lys et du Paon

Madeleine_df
- Vous êtes belle comme un cœur, Votre Altesse !

Moment de gêne. Les parents... Pourquoi avait-il fallu que Dieu invente les parents ? Belle comme un cœur, et puis quoi encore ?

- Maman s'il vous plait...

Me fous pas la honte devant mes potos wesh ! En plus, Rosa qui disait que ses chaperons finiraient par compter les moches, comment devait-elle le prendre, hein ? Sa propre mère la pensait donc incapable d'accrocher le regard d'un potentiel bon parti ? Elle en piqua un fard, comme à son habitude, sans savoir vraiment si c'était le compliment ou cette histoire de mouches qui provoquait son rougissement.

Heureusement, le Grand Maître des Cérémonies de France avait d'autres chats à fouetter, et lança une nouvelle danse. Chose curieuse, Madeleine ne se fit pas prier pour prendre la tangente, et il suffit qu'une petite fille lui prenne la main pour qu'elle se laisse emporter sans broncher. Tout — et même danser — plutôt que de continuer à subir la présence de sa mère, qu'elle adorait, mais qui s'y connaissait si bien en matière d'humiliations publiques involontaires. Et volontaires. Basiquement, ce n'était pas pour rien qu'à la maison royale on l'appelait Le Tyran.

Elle se retrouva donc dans la ronde à côté de deux singuliers personnages : Une brune au doux visage, et au ventre bien proéminent, Alvira, et un grand barbu, Kronembourg. Tous deux se présentèrent à elle, elle leur sourit, et après une révérence en rythme, leur annonça :


- Madeleine de Firenze !

Fille de, patati patata. Pas de quoi en faire tout un plat, surtout. Quelques petits sauts et mouvements anarchiques (mais gracieux, tout un concept) des bras plus tard, elle jugea bon d'ajouter :

- C'est mon premier bal, alors je m'excuse d'avance si j'ai l'air un peu ridicule.

Cela dit, plus ça allait et plus elle se disait qu'elle s'en foutait. Avoir secrètement tapé dans la fiole de poire de Parrain avant de partir devait commencer à porter ses fruits. Comme sa mère avait dit, elle ne rencontrerait sans doute personne, alors tant qu'à faire, autant s'amuser. YOLO.
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Merveylle_mirandole
La princesse était entre un homme et une femme. Lucie, elle connaissait un peu, surtout parce qu'elle devait lui confectionner sa précieuse robe de mariée. Du coup elle avait eu ses mensurations, normal quoi... La couture ça créé des liens, ou au moins ça permet de rencontrer un peu de monde. L'homme par contre un parfait inconnu, jusqu'à ce qu'il se présente. Elle hocha légèrement la tête recevant l'information et sourit amicalement.

-Merveylle de la Mirandole, enchantée.

Entre deux pas de danse elle regarda un peu autour d'elle, son suzerain n'était pas bien loin finalement, il y avait juste Lucie entre eux. Elle lui lança un sourire et continua de s'amuser, bougeant en rythme avec la musique.
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Melissandre_malemort
Mélissandre rouvrit les yeux, tirés de ses rêveries par la voix de Jason. Elle planta ses prunelles noirs dans l'azur de son ami, puis pivota le menton pour faire face à une jeune fille sans doute à peine plus agée qu'elle. Dans une ronde telle que celle ci, il n'y avait ni rang ni protocole. Raffermissant sa prise, elle entraîna ses cavaliers sur un tempo légèrement plus dynamique, suivant le rythme de son cœur qui bondissait dans sa poitrine.

- Enchantée Damoiselle.

Elle inclina légèrement le visage vers sa voisine, puis à l'intention de Jason, joueuse.

- Mélissandre d'Armantia Malemort, charmée de vous rencontrer.
Kronembourg
La ronde commençait à se former, s'élargissant au fur et à mesure que les participants s'y joignaient.
Paradoxalement, il lui semblait vivre en ce moment même l'un de ses plus grands moments de solitude. Bon sang. Danser une carole. Jamais il n'aurait cru pouvoir se fourrer dans un tel pétrin. Jusqu'à ce que la partenaire située à sa gauche se présente.


Enchanté votre Altesse, même si votre présentation est inutile.

Et c'est parti pour agiter les bras en rythme, dans une espèce d'impression de se situer sur un bateau ivre. Il poursuivit.

En effet, entre le moment où j'ai su que vous seriez ma partenaire et le moment où j'ai rejoint la ronde, l'on a eu le temps de m'indiquer votre rang, votre appartenance familiale, votre âge, votre taille, votre poids - au gramme près - votre signe astrologique et son ascendant, les prénoms de vos doudous d'enfance, la forme des chapeaux qui vous iraient le mieux pour sortir à la messe, et le visage supposé de vos futurs enfants.

Il exagérait certes un peu, mais l'idée était là.

Ne craignez pas le ridicule, nous serons au moins deux. Conclut-il, rassurant.

Autant que possible

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Jason_ludgaresvissac
La ronde se formait dans une joyeuse ambiance et chacun faisait connaissance avec sa voisine ou son voisin. Il sourit satisfait de voir que Louanne n'avait qu'un cavalier. Jaloux lui , que nenni, mais bon on ne savait jamais hein. Melissandre sembla mener la danse ce qui lui allait et il répondit à son inclinaison du minois par un sourire taquin avant lui aussi d’entraîner Wendy à leur suite.

Heureux de te revoir Wendy
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Vera.
    Incroyable. Je tenais à faire une entrée toute discrète. Perdue. J'étais grillée et pas par n'importe qui, la Prinzessin Malemort co-organisatrice de la grande sauterie. Je savais bien que la jeune Mélissandre avait ce don d'animatrice, déjà à Limoges jadis , elle avait réussi à faire sortir quelques ermites , les invitant à tester leur habilité en archerie. Je lui souris bien heureuse de voir un visage familier, peut-être bien qu'elle me donnera un coup de main sur le terrain de chasse.

    L'huissier royal ne tarda pas à annoncer mon entrée , piqure de souvenir du Louvre. Louvre qui ne change pas d'un poil.


    - Je tenais à vous surprendre, Princesse. Puis-je compter sur vous pour pointer du doigt les gens à marier. Je suis en chasse, le Limousin et la Marche doit avoir ses petites alliances hu hu.


    Mélissandre était fort sollicitée et visiblement elle était loin d'être la seule. La Maître des cérémonies rassemble le monde. Il semblerait que l'heure est au "sport", tout en musique et hop le pas qui se dirige tranquillement vers l'Ar Sparfel.

    Le regard plein de malice, monsieur était d'humeur taquine. Je l'étais aussi.


    -Oh non pas vous Von Bretzel.


    -han ça fait pas plaisir bouhou. On va danser ! Y'en a besoin.
    ça va j'ai pas 2 poulaines gauches. C'est l'heure de faire tinter mes grelots hé.


    Je ne sais sais pas comment ça se danse la Carole ou la Farandole , mais je vais la danser en suivant ma victime : Albin.
    .

    - à vous entendre c'est une tare d'être à mes côtés* bouhou* .Je jure que je boirais avec modération! Hého je sais bien que monsieur préfère les parisiennes mais quand même hein...


    De laisser cette remarque en suspens, par ce que là il fallait choisir entre danser avec agilité , grâce tout ça, ou discutailler avec Albin , en prenant le risque de nous faire vautrer.

    Même pas peur du ridicule, c'est l'avantage quand on est une Von Bretzel, tant qu'on s'amuse.

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Jenifael..luna
    La danse fût lancer, elle abandonna Asdrubal et s'approcha du cercle, elle se retrouva à côté de Kronembourg et de Vanguhsen qu'elle salua.

    "- Enchanté Messires, je suis Jenifaël Luna de Castelnau-Montmiral, ravie. "


    Ou peut-être pas ... elle faisait pas plus de cinq pieds de haut et cela serait surement complexe pour les deux hommes de danser correctement avec une si grande différence de taille. Elle espérer aussi qu'ils soit assez bon danseurs, pour ne pas qu'ils se retrouvent tous par terre.

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Xalta
Elle commettait impair sur impair depuis qu'ils étaient arrivés au bal.Et le pire c'est qu'elle ne le faisait pas volontairement. Non parce qu'elle l'aurait fait consciemment , elle en aurait rajouté, histoire de bien agacer le Géant comme elle avait l'habitude de le faire et il aurait surenchéri. Un jeu qu'ils entretenaient depuis un moment maintenant à tel point que certains se demandaient si toutes les ignominies qu'ils se balançaient étaient sincères ou non.

Elle pourrait toujours alléguer que tout ceci n’était que basse vengeance pour toutes les commentaires désagréables sur sa tenue. Une envolée de petits lutins et son cavalier lui fut ôté: oups, elle avait oublié. Elle lui décoche un large sourire moqueur: le voici entraîné , lui le grand escogriffe dans une danse endiablée. Pour sûr, elle n'allait pas manquer de commenter chacun de ses pas. Mais avant qu'elle puisse ouvrir la bouche, il lui envoie une dernière vacherie avant un chuchotement.

Vous avez raison, je ne vais pas aller me confondre avec les rideaux alors qu'il y a tant de rencontres à faire, vous avez vu qu'il y avait des hommes célibataires et pas mal faits de leur personne. Après tout, selon vous, je suis un parti intéressant, il est peut-être temps que je teste.


Et de lui décrocher en même temps un sourire enjôleur.

Bien au contraire, je vais vous observer à loisir et me gausser au besoin, en prenant n'importe qui à témoin.

Elle le regarde s'éloigner, il se retrouve entre deux jeunes filles, pas de quoi l’inquiéter même s'il a l'air de se montrer charmant à ses voisines. Elle ne le quitterait pas des yeux pour autant: attentive à sa façon de danser, il paraît que c'est très révélateur du tempérament. Dans la carole, beaucoup de personne qu'elle connaît et même quelques amis qu'il faudrait qu'elle aille saluer sitôt la danse terminée.

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Altaiir
Et voilà, le petit groupe familial, guère habitué pour la plupart des membres, se firent une petite place parmi les nombreux conviés aux festivités orchestrées par la maison royale. Et bien évidemment, le Ligurien ne passa guère inaperçu avec sa petite escorte, dont certains n'avaient pas loupé la beauté de ces dames...

Aussi lorsque maître Crapaud l'interpella, il ne fut pas surpris, étirant un sourire amusé face au Jugelot de Champagne.


Salutations Arthur, oui en effet il y a beaucoup de joyaux issus de notre beau royaume, ne suez pas trop ça ternirait votre approche en sentant le bouc hé hé.

Et après avoir laissé se présenter le petit d'Ar Sparfel, l'Auditore compléta derrière.

Il est le Fils de la Baronne d'Hersent d'Ar Sparfel, noble de mérite en Champagne.

Permettez moi donc cher ami de vous présenter d'abord les dames, Nine qui est ma soeur et... heu... Bon elle a du trouver une connaissance ! Elle était là avec nous et puis... bref, je passe à Gwendolina Solange, ma charmante cousine donc. Louisa vous avez du la croiser en Champagne, mais elle semble ne pas se sentir bien.

Et voici Tibotz donc mon cousin, qui est venu avec son frère et sa soeur.

Bien donc, si vous désirez inviter ma belle cousine, il va falloir l'inviter mon brave !


Ben oui, il n'allait pas faire le chaperon du crapaud non mais oh ! Aller Arthur, montre que tu es un gentilhomme hé hé. Il n'empêche que la disparition de certains l'inquiétaient un peu, surtout sa soeur qu'il venait de retrouver. Mais bien vite ses pensées sont chassées par l'apparition cette fois de la charmante Elsa, le sobriquet attitré lui venant aux lèvres brunes, il dut se faire force pour ne pas le dire, étirant un fin sourire en échange.

Pé... Votre Grasce, quelle bonne surprise, vous êtes également très élégante ainsi vêtue, je gage que vous allez attirer l'attention.

Bien laisse moi te présenter donc Gwendolina, que tu as déjà rencontrer me semble, et Tibotz, cousin et cousine mais pas du même côté. Gwendolina Tibotz, sa Grasce Elsa d'Asceline, une bonne amie de Champagne.

Alors où se cache ton Arthur ? Je parle bien de ton époux hé hé.


Les tranquilles échanges furent vite mis en branle par l'arrivée d'une véritable armée de serviteurs, poussant tellement les gens que tout un chacun se retrouva séparé de son petit clan, embarquant le Duc de Champagne dans la mêlée... Lui qui essayait d'y échapper, le voilà bien. Ainsi, dans la ronde formée, il se retrouva donc entre Alvira, une dame qu'il a pu rencontrer aux occasions de joutes, lui adressant un sourire aimable, ainsi qu'à son autre voisine, Helena Elizabeth. Commençant à faire quelques pas en s'avançant et reculant, se mettant dans l'ambiance, l'Auditore tenta d'engager les conversations.

Mes Dames, c'est un plaisir, Altaiir Auditore da Firenze.

Je viens de Champagne, et vous ?


Un petit coup d'oeil sur les autres histoire de voir où se sont retrouvés les autres, son regard croisa celui de "son" Altesse, petit jeu de mot improvisé lors de leurs derniers échanges, lui adressant un sourire malicieux à cette idée, chose qu'elle comprendra probablement.

Bon, maintenant qu'il était piégé, c'était pas le tout, mais il allait falloir faire danser ces dames, qui a dit que le Ligurien était mauvais ?

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Madeleine_df
Sa présentation, inutile ? Diable. C'était un peu incongru, mais il la fit rire, d'autant qu'elle-même ne connaissait pas son propre poids, et encore moins le visage de ses futurs enfants. Déjà parce que pour ça il faudrait qu'elle en ait, on en revient à ce qu'on disait précédemment. C'est donc après avoir pouffé derrière sa main qu'elle lui glissa en retour :

- C'est amusant, à moi on a plutôt précisé le nombre de vos bonniches, combien de chevaux broutent dans vos écuries, votre situation matrimoniale bien sûr, les couleurs de votre blason, la fréquence de vos prières (trop peu souvent !), le fait que vous ronfliez et la taille de votre front.

Si elle n'avait pas été aussi ingénue, sans doute aurait-elle parlé de la taille de ses pieds, plutôt que de son front, mais on le sait Madeleine est un peu nunuche sur les bords. Une nunuche qui n'avait compris qu'une semaine auparavant la métaphore des abeilles qui vont butiner les petites fleurs d'amour. Qu'à cela ne tienne. Un lent tour sur elle-même plus tard, elle poursuivit :

- Mais nous serons ridicules avec tant d'aplomb que les autres croiront que nous sommes des modèles à suivre.

On remercie Jane Austen pour cette citation à la louche, et on laisse la princesse s'esclaffer une nouvelle fois, entre deux mouvements de bras et petits sauts d'un pied sur l'autre.
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Laurevictoire
Rouge.. et voilà.. elle redevenait rouge!

C,est que les compliments de Léanore lui faisait plaisir. Laure-Victoire aimait passer ses soirées tranquille devant le feu qui brulait dans l'âtre à broder pendant qu'elle échangeait avec la Baronne Hersent. Broderies qui devenait au fil des jours des tenues que les plus grands, grâce au fait qu'elle était à la Boutique du Lys, portaient. Toujours le rouge aux joues, la jeune femme se pencha vers la femme et lui murmura.


Ce sera un réel plaisir pour moi de vous confectionner une nouvelle tenue ainsi qu'à votre fille. Vous êtes toujours les bienvenues à la Boutique.


De plus en plus de grands noms se présentaient au Bal et les conversations filaient rapidement. Laure-Victoire éclata de rire lorsque le crapaud de sa mère se défila quant à la question du mariage. Il était vrai qu'Arthur n'était pas bien vieux. Pas plus qu'elle en fait puisqu'ils avaient le même âge. Mais Cela la fit rire et c'est enjouée qu'elle se laissa mener vers le centre de la piste de danse où elle se mit à danser avec le jumeau de sa baronne. N'était elle pas sa cavalière?


Il est vrai que l'amour est un sentiment qui ne peut être commandé. Amusons nous au lieu de nous marier!

Car elle s'amusait grandement... glissant sur le plancher un pied levée à droite, un pied levée à gauche... on tourne sur soi-même et on fait une révérence devant Yvain. Elle avait eu la chance, pendant son enfance en tant que poupée vivante d'une fillette de nobliau, d'apprendre à danser. C'est donc avec aisance qu'elle bougeait sur le plancher de danse. Un grand sourire sur ses lèvres... elle riait.. heureuse.


Messire Yvain... vous êtes un excellent danseur! Où avez vous appris à bouger ainsi? Je suis très heureuse d'être votre cavalière.


C'est au même moment qu'elle vit Hersent se lever pour danser la carole qui s'y préparait. La rouquine était heureuse de la voir prendre plaisir. Elle se pencha vers Yvain.

Cela fait du bien de voir votre soeur s'amuser.

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Demoiselle de compagnie de la baronne Hersent D'Ar Sparfel et Hôtesse et couturière à la Boutique du Lys
Lucie

Lucie n’était là que pour Maximilien. Vraiment. De fait, on comprendra bien qu’une exclamation mécontente passa ses lèvres quand une foule de sales mioches déguisés en fantômes débarqua et qu’un affreux petit farfadet se mit à la tirer par la manche, l’arrachant aux bras de son fiancé pour la placer entre délicate altesse aux doigts d’or et type vaguement rencontré en Maine. Elle n’aimait même pas danser, bon sang de bonsoir ! Jetant un regard à la ronde, la Fleur retint une bordée de jurons en constatant que tout le monde semblait se réjouir de cette mascarade imposée. Si elle l’avait pu elle aurait levé un petit poing vengeur et appelé à la révolution, mais elle était clairement la seule à tirer une tronche de six pieds de long et elle se résolue donc - avec toute la mauvaise volonté du monde - à s’abandonner à la carole, calquant ses pas sur la musique pour évoluer avec la grâce rigide d’une reine de glace. De toute façon, elle n’avait pas tellement le choix.


    - Le bonsoir Votre Altesse, Sieur, fit-elle du bout des lèvres, avant d’ajouter, non sans ironie : Quelle charmante idée que celle-ci !

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Jonhatan27
Presentation de la deuxième voisine.

Citation:
Merveylle de la Mirandole, enchantée


Oups une des princesses de france.
Lui qui ne connait pas les protocole en cette cour, le voila des plus embarasser.


Enchanté

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Rosalinde
Venait la première étape de la torture. On vint apporter un panier à Rosalinde. Un panier d'osier doublé de soie azur, qui contenait en son sein l'objet de ses facéties. Avec sa tête de conspiratrice, elle commença elle-même à tourner autour de la ronde. Du coin de l'oeil, elle surveillait sa fille qui avait l'air de bien s'amuser avec son voisin, mais avant tout elle cherchait une potentielle victime. Qu'elle trouva, un peu au hasard, en la personne de Merveylle.

S'approchant de cette dernière, elle sortit de son panier à malice une couronne de lys qu'elle lui mit entre les mains. Ce qui ne pouvait signifier qu'une chose : La princesse était appelée à se lancer au milieu de la ronde.

En effet, cela était une amusante variation de la carole que la jeune femme ne devait sans doute pas manquer de connaître : le chapelet (petit chapeau de fleurs) est donné à une fille qui minaude au centre de la ronde avant de l'offrir à un garçon.


- En avant Votre Altesse !
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Le retour de la vengeance II : http://rrinabox.tumblr.com/
Erwelyn
Patati et patata, et blablabli et blablabla, Lynette était partie dans des discussions à droite et à gauche depuis son arrivée. Le Roi s'était pointé, ils s'étaient tous étalés en de grandes révérences, Madeleine avait rougi comme une tomate entre temps, son mari n'était pas trop loin d'elle, sûrement à reluquer les donzelles dans la pièces, et maintenant, l'Amahir cherchait à se faufiler près de l'endroit le plus intéressant de la salle, à savoir là où on filait à boire. Elle y était presque lorsqu'un signal fut donné et qu'en moins de temps qu'il n'en faut pour dire tarte à la myrtille, la princesse s'était retrouvée les deux mains prises. Ses prunelles allèrent de gauche à droite histoire de voir qui était à ses côtés et ne reconnut personne. M'enfin pas grave, Lynette n'était pas du genre timide et plutôt cap de se marrer avec les premières personnes qui passaient. Et la première, ce fut Vera, donc.

J'me demande si on peut réussir à boire en même temps qu'on danse ?
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