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[RP] Fashion Week - Jour 1

--Basu


[En salle...]

Basu le retour.

Sur ordre de la Vicomtesse d'Ecotay, il du retourner dans la salle pour chercher les vassaux. Belle affaire que voilà. Et si en plus il savait ce qu'il portait dans le pli, il en pâlirait d'envie tant la jeunesse portait facilement la faiblesse de l'argent. Mais à cet instant, il devait retrouver les Garlaban. Alvira les leur avait décrit, ainsi au mieux de ce qui avait pu être dit, il s'osa de-ci, de-là à observer la noblesse dans toute sa splendeur pour chercher une dame enceinte brune et un homme au trait fin mais affirmé avec une bouille adorable sans pour être toutefois dénuée de séduction. Charmant qu'elle avait rajouté avant qu'il ne s'éclipse. V'là la description !

Autant dire que le tout serait compliqué, donc le repère qu'il se mit en tête fut. Un bidon sur patte. Ah mais y en avait plusieurs. Et il s'approcha de la brune, s'adressant à l'homme.


Seigneur de Mauré ?
Il attendit son aval.
Bien le bonjour, Dames, et messire.
Veuillez excuser mon intervention, j'ai un pli pour vous de votre suzeraine.


Joignant le geste à la parole, il transmit le billet à l'homme devant lui. Puis il accompagna le couple après leur avoir proposé de s'asseoir. Il y avait des places, et vu l'état de la Dame, il fallait y faire attention. Cela aussi, c'était une demande de sa maitresse.

Si vous voulez, bien me suivre, la Vicomtesse m'a chargé de vous trouver des sièges.

Il patienta tout de même que le duo accepte, et se laisse guider. Tant qu'à fait, le minimum était d'être courtois, la bienséance et tout ça, sinon il risquait une soufflée tonitruante. Comme exigée, il leur trouvé des assises confortable donnant une belle vues sur le défilé, respectant les places réservés pour la Maison Royale.
Jenifael..luna
    Elle annonça la prochaine tenue.

    "- Messire, la prochaine est de nouveau faite pour vous ! "

    Elle sourit et continua.

    "- Il s'agit d'une superbe création de Constance d'Orsenac, celle-ci est porté par Son Altesse Royale, Foulques de Malemort ! "

    Voilà, maintenant l'eau est à la bouche, elle termine.

    "- Il s'agit d'un pourpoint sombre damasquiné aux manches brodées d'argent porté sur une chemise de lin. Des braies de velours gris foncé par dessus lesquels des bottes montantes de cuir foncé. "

    Elle s'écarta, Foulques pourrait ainsi tortiller du cul sur le tapis rouge, sous le regard de la blonde d'Orsenac.

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Domitil_de_hauterive
[Coté spectateur]

Dans les jardins du Louvre, Domi suit comme son ombre sa douce femme, là ou elle va, il suit...il suit car s'il est là c'est pour elle, pour lui faire plaisir, pour ne pas la quitter. En effet depuis ce fameux soir de Mars où il l'a vu la premiere fois avec ses amis tourangeaux, ils ne se sont guère quittés, et les rares fois c'est que Lily devait aller rendre service aux uns ou aux autres.

Bien sur au fil des jours,le jeune gascon a vu des choses très belles, d'autres qu'il ne porterait pour rien au monde. Il a laissé carte blanche à sa tendre mie car il sait qu'elle est raisonnable et non dépensière.

Mais bon... il se languit de son domaine et de la mer aussi... Fichtre qu'il serait mieux sur le pont du Libertad que dans ces jardins, si magnifiques soient-ils

Aussi quand son frere lui murmure à l'oreille


Citation:
Je vais prendre un verre, tu viens ?


Domi le regarde un grand sourire aux levres.


oui bien sur je viens avec toi

Ma douce caille, cela ne t'ennuie pas j'espère ???


Lily qui apprécie à sa juste valeur l'effort de son tendre époux sourit à son tour.

Bien sur que non, déja vous avez été fort patients tous les deux

je vais rester avec Anne mais vous seriez des amours de nous apporter un rafraichissement pour nous également à votre retour
et mon ange , n'aie crainte je ne vais pas dilapider notre fortune...


et de déposer un doux baiser fort discret sur ses lèvres douces

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Elysandre
[Dans la foule]

Non, tout c'est bien passé, tu sais j'ai un époux qui est au petit soin, je ne te parle pas comment il a aménagé la calèche pour venir jusqu'ici, des peaux de mouton, des coussins et je n'avais rien à dire, sinon, il me privait de ce beau voyage. 

A son sourire, la jeune Renarde en répondit de même.


Je n'ai jamais eu l'occasion de croiser ton époux mais j'ai entendu beaucoup de bien sur lui et par conséquent, le fait qu'il est prévu tout cela pour toi ne m'étonne pas le moins du monde.

Bien, nous allons essayer de trouver une place pour nous assoir, je commence à avoir les jambes un peu lourdes au milieu de cette foule, on se voit un peu plus tard?

La brune inclina la tête et répondit :

Je comprends oui. Tu n'as qu'à prendre la mienne surtout qu'il y a de la place pour vous deux. Je vais aller chercher plus loin cela ne me gène pas.

Mais à peine avait-elle eut le temps de répondre que la brune se levait déjà pour céder sa place et de répondre avant même que Margauth n'y renonce :

Je t'en prie cela me fait plaisir.

Nouveau sourire et voilà Elysandre qui s'éloigne doucement pour chercher une petite place parmi la foule. A elle seule il serait plus aisément facile de trouver de la place que si elle était venue accompagnée. Alors qu'elle cherchait du regard, elle vit non loin Dame Alvira qui avait eu la gentillesse et la générosité de lui offrir une belette pour la remercier des tenues qu'elle avait cousu pour leur mariage. Elle avança d'un pas puis se ravisa. Sans doute ne se souviendrait-elle point de la jeune couturière, et la brune préféra continuer son chemin entendant alors que la prochaine tenue serait une création de Maistre Constance avec qui elle avait l'habitude de travailler.
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Glorim
Bien qu'elle fut partie elle lui manquait terriblement c'est avec l'envie de lui faire la surprise que je me depeche de demander aussi une voiture pour la rejoindre avec notre fils Larry que j'avais pris soin de laisser a la nounou avec les bonnes instructions. La voiture fila jusqu’à destination. A peine j'arrive que je vois du monde.

Bien que je sois pas l'aise dans la foule je décide de prendre courage et de me plonger dans la foule pour retrouver mon ame soeur, après 10 minutes de recherche je la vois enfin je m'approche derrière elle et chuchote :


Et bien dame on admire le defilé ?


je sourit doucement
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Zoyah
[Toujours avec les spectateurs…]

Zoé avait ouvert des yeux ronds comme des soucoupes lorsque le modèle nommé Thomas défila. L’homme était fort beau, il fallait bien l’avouer. Un visage aux traits bien régulier, un corps bien fait que n’importe quel regard féminin aurait pu apprécier. Quant au costume, elle aurait été malhonnête de ne pas reconnaître la qualité du travail. Habituée à voir son entourage masculin bardé de cuir ou de métal, elle ne se sentit aucun enthousiasme pour la tenue présentée. De toute façon, des hommes qui lui étaient proches, ils auraient pratiquement tous préférés qu’elle leur offre une masse d’armes, un traité ancien, ou quelques objets précieux plutôt que des vêtements. A l’exception du Duc d’Ornon, qu’elle venait justement d’apercevoir. Zoyah leva la main qu’elle agita en direction de Kronembourg et Xalta.

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Wendoline



Si elle souhaitait admirer les tenues présentées lors de cette première journée il lui fallait écourter sa flânerie.
Aussi vite pensé, aussi vite fait et en arrivant vers l'espace dédié au défilé, elle constata que la plupart des chaises étaient occupées. Repartir ? Elle hésita un très court instant. Cette fashion week était un événement à ne manquer sous aucun prétexte. L'avantage à cette situation, elle avait une vue dégagée sur l'estrade et le show qui s'y déroulait en direct et elle pouvait même s'offrir le luxe d'une place ombragée près du chêne légèrement décalé sur la gauche.
Elle n'espérait qu'une seule chose ; ne pas avoir laisser passer de beaux modèles qui auraient pu lui convenir.


Edit pour compréhension sur le lieu
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Foulques_de_malemort
Attention, ça défile !👗


Les premiers regards sous la tente masculine à l’instant où il venait de quitter son obsession. Les premiers émois des « mannequins » autour de lui, mêlant leur stress à la volonté de mettre au mieux leurs tenues en valeurs. C’est un soupire de lassitude, presque blasé qui s’échappe de ses lèvres. Que faisait-il là, dans une telle marée humaine pour défiler aux yeux de tous. Lui, aurait dû se trouver de l’autre côté de ce chapiteau, installé pour simplement observer les tenues et déflorer sa bourse à la moindre tenue qui aurait attiré son regard ou titiller simplement son intérêt. Mais non ! Constance était parvenue par un subtil stratagème à lui faire accepter ce moment de déplaisir. Ce qu’elle ne pouvait se douter était cette promesse muette émise par Foulques se jurant de lui faire payer cette infamie d’une manière des plus délicieuses qui soit … après leurs mariages.

Le visage sans expression, la froideur de rigueur, et l’indifférence de la bienséance de son sang émiette les derniers viviers de sourire autour de lui. Agitation des dernières secondes alors que son tour approchait ne semblait en aucun point affubler le Malemort du moindre stress. C’est dans des mouvements simples et presque automatiques qu’il ôte les derniers vestiges des tissus passé il y a si peu de temps pour obtempérer à son page pour se vêtir de la bonne tenue. Alors que le page s’emmêlait les pinces sous le regard de plus en plus sombres du prince, celui-ci senti comme une sueur l’envahir, sueur de peur et de désespoir, le prince n’était pas mauvais bougre mais on ne pouvait jamais vraiment prévoir ses colères … et on n’en était pas loin.

Et ? Et bien c’est une main douce, fine et gracile qui effleura l’épaule de Foulques avant de venir s’approcher de lui pour murmurer dans un souffle suave la question « voulez-vous que je vous aide ? ». Constance venait de revenir sous la tente, et de son sourire enjôleur mêlé à son regard azur, la colère grondante du Malemort s’essouffla en une brise fine. Il faudrait qu’il parvienne à trouver parade à ce pouvoir qu’elle possédait sur lui ou il risquait de payer cher cette faiblesse. Tout cela pour finir par terminer l’habillage du sieur, resserrant la tenue dans des mouvements félins et provocateurs de Constance, avant de venir poser ses lèvres sur la commissure des siennes. La tenue lui allait à merveille, le voilà fin prêt, et les tentures du chapiteau s’ouvre sur le tapis rouge.

Le prince apparu sur l’estrade, maintien parfait d’une éducation stricte – du moins dans le maintien et la bienséance – le prince s’avance. Mouvement félin et gracile, l’homme s’avance dans cette assurance qui est sienne avant de se tenir quelques instants sur l’estrade dévoilant la tenue de Constance. Mouvement de la main, enroulage du bras dans un salut maîtrisé à la perfection avant de s’avancer sur le parcours qui se dessinait. Sourire charmeur, émeraudes provocants, les lippes se joue de leurs charmes dans un érotisme poussé. Rien de tel que pour amuser le prince sachant parfaitement que son simple titre, et ses murmures suaves avaient pu dévoiler bien des candeurs à la luxure d’un plaisir. Mais cela était évidemment pour la bonne grâce de la tenue, quel autre raison le pousserait il a un tel jeu ?



Les épaules redresser, le sourire sur la commissure des lèvres, charme d’un homme dévoilant cette assurance provocante et ce désir bestial mêlé dans une tenue mettant le corps en évidence. La boucle se dessine, avant de disparaitre dans son dos, les derniers pas, les derniers mouvements, parfois lorsqu’il croise le regard d’une damoiselle dont les joues rougisses, le prince laissera un petit clin d’œil achevée la prise. Mouvement parfait des fessiers musclés, dessin amusé dans cette provocation Foulquienne, prenant même un certain plaisir à ce jeu, n’avait-il pas promis de se venger de l’Orsenac.

La boucle se termine, le murmure s’amenuise, dernier mouvement enjôleur sur l’estrade, avant de disparaître derrière les tentures afin de laisser sa place au suivant. Premier défilé terminé.

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Eldrid
[ Jardins du Louvre]

    Le Pinson avait quitté l’Empire pour suivre une personne au swag incomparable. Il faut dire que chaque jour que fait le Seigneur, la môme remercie hautement et fortement d’avoir pu rencontrer la Duchesse d’Auxerre et que cette dernière l’ai accepté auprès d’elle. Sauf que voilà, l’Eldrid s’était, pendant un certain temps, comme recluse. Et là, la sortie pour le Louvres, c’était THE truc qui lui redonnait le sourire et l’envie de virevolter. Bien évidemment, elle ne cessait de penser à son époux. Mais les deux tourtereaux savaient que rien ne pouvait éloigner leurs cœurs qui battaient rien que pour celui de l’autre, ni même la distance. Enfin soit, Pinson était donc aux côtés de la charmante Isora et près de la Prinzessin, et malheureusement pour son entourage, sa voix –forte agréable bien sûr, ahem- n’avait cesser de piailler diverses choses qui devaient, à la longue, fatiguer les deux brunes. Et oui, Eldrid, après avoir grimacé devant certaines rues de Paris, avait fini par s’extasier devant tout et rien. « Haaaan, mais comme c’est trop chanmé l’architecture là ! »… « Isora, vous avez vu comme cette petite fleur est beeelle ! Elle irait tellement bien avec votre tenue ! » … « Oh regardez ! On dirait que cet homme est… Ah non, regardez pas. Regardez plutôt là-bas, mais c’est un cheval qui sourit ! Isora, vous avez vu ça ? Votre Altesse, pensez-vous que tous les chevaux sourient ? ».

    Certes, elle n’était sûrement pas loin de finir décapiter ou quelque chose du genre, mais il faut dire que le Pinson était beaucoup trop enthousiaste et certainement qu’Ingeburge et sa Dame d’Atours allaient presser le pas pour la semer et l’abandonner sur Paris. Enfin soit, pour l’heure, Eldrid s’extasie encore et encore devant les personnes fort bien vêtues mais qui n’égalaient en rien les tenues de la Danoise.

    Puis, Eldrid posa une énième question.


      _ Vous pensez que la semaine de la mode va durer genre toute la semaine ? Y compris le dimanche ?
      Non parce que moi, je pense que le dimanche, c’est The big day pour manger des fraises.

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- Dicte le Pinson -
JE SUIS PIRE QU'EBOLA.
Hersent
Après la belle tenue féminine, un deuxième tenue pour un Messire.
Quelle ligne épurée dont la simplicité magnifiait l'ensemble. Le mannequin de chair et d'os était charmant à regarder également, ce qui augmentait la valeur ajoutée de l'ouvrage.
Hersent envoya Lubin déposer un billet à l'attention de Dame Jenifael.

La Baronne applaudit le talent de la jeune Constance qui s'affirmait de plus en plus dans la maîtrise de son art.

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Valeryane

    « En dehors des coulisses, avant de reprendre les derniers préparatifs »

    Elle en aurait tant à dire et à raconter, tout comme lui il devait aussi avoir un long passé, la brune était très heureuse de revoir son frère et de renouer les liens du sang.

    Je suis enchantée votre seigneurie je suis ravie de faire votre connaissance et j’ai hâte de vous voir mon frère en compagnie de votre charmante seigneurie, dans mon atelier afin de vous constituer une garde-robe, ce sera avec grand plaisir.

    Ancien sourd ? Les mots raisonnèrent dans sa tête quelque chose qu’elle ne savait pas du tout finalement ils avaient vraiment beaucoup à se raconter.

    Oh ! que je serais heureuse de voir mes petits neveux qu’elle bonheur n’est-ce pas mon frère, avoir nos chères petites têtes blonde ou brune dans nos vies est merveilleux, notre nom prospère à n’en plus finir.

    La brune eut un doux regard plein de tendresse devant se frère a belle allure, faut dire qu’il était bien plus grand qu’elle et que les dames qui devaient être en sa compagnie devaient se sentir bien en sécurité. Elle ressentit une grande affection pour ce frère trop longtemps absent de sa vie et notre brune allait rattraper ce temps perdu comme elle fit avec sa sœur Alvira, toutes deux étaient devenue à la limite pot de colle.

    Et bien voici donc le rendez-vous dès que le défilé sera terminé je vous invite à venir visiter notre atelier, il y a aussi notre sœur Alvira qui dirige d’une main de fer les clients trop extravagants, je vous y attends donc le plus vite possible j’en suis déjà impatiente. Je vais vite rejoindre mes modèles ils doivent être impatient.

    De lui faire un grand sourire, elle aurait presque envie de lui donner un geste affectif en le serrant dans ses bras comme elle faisait avec Riri, de toute façon le protocole et elle ça faisait deux surtout question famille, là par contre elle ne savait pas si il était tatillon sur les protocoles s’agissant de la famille.

    Elle fit un signe de la main et se dirigea très vite dans les coulisses ou attendait ses belles dames, elle s’approcha d’Alvira pour terminer la préparation.

    «En coulisse»

    Désolé ma sœur, je devais rejoindre notre frère David et comme nous n’avons pas le droit de faire entrer la famille, je me suis vite empressé de le faire éloigner de ce lieu avant de m’attirer les foudres de nos belles organisatrice.

    La brune reprit en main les préparatifs et pensa à son travail, avait-elle fait le bon choix pour ce défilé ? Sa réputation était en jeu, mais le plus important était finalement les liens familiaux qui allaient se renforcer dans les jours prochains.


* édité pour modification des paragraphes
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Toto.dangely
Invitation acceptée !

Bien sur qu'ils ramèneraient des rafraichissements, mais la question serait.... quand ? Alors que les deux frères se retirent le plus discrètement possible, l'annonce d'une tenue pour homme est annoncée, et voila les deux frères qui se plantent dans l'allée, et regarde. Oh cela ne dura pas longtemps, en effet, ces derniers gênaient la vue de certaines personnes, et l'on pouvait entendre


Poussez vous ! ou alors Asseyez vous ! , et même encore: Vraiment certains sont sans gène !


Aussi, après un dernier coup d'œil, les frères disparaissaient , et partir à la recherche de la buvette perdue... pourquoi perdue ? Elle ne l'était pas encore, puisqu'ils n'avaient pas commencés les recherches.

Et tout en marchant

Je pense que nous avons déjà beaucoup fait plaisir à nos épouses en les accompagnant, tu ne crois pas

Et activant le pas, histoire de trouver rapidement à humidifier leurs gosiers, Domi acquiesça.
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Lucie
Tenues masculines sont présentées, assez belles pour séduire le regard mentholé de la vicomtesse quand bien-même celle-ci n'est pas concernée, n'ayant ni fiancé à gâter, ni tendance au travestissement.

    - Monseigneur, possédez-vous un document écrit signé de ma main et avec mon propre scel qui stipule que j'ai une dette envers vous à honorer ? Point que je m'en souvienne.
    Si vous consentez à dépenser une fortune comme vous dîtes, durant cette semaine de la Mode, alors je gage que vous trouverez aisément votre bonheur parmi les centaines de robes qui défileront et vous feront oublier cet incident bénin.

Tête légèrement inclinée vers son blanc voisin, Fleurie sourit à demi. Ah, affreux Duranxie ! Terrible Von Wittelsbach ! Insupportable Blancheur qui se plait à l'affronter sur tous les terrains, ne lui laissant jamais l'occasion de baisser les armes ! S'il n'existait pas déjà, il aurait fallu l'inventer.

    - Je n'ai point besoin de document dûment scellé quand vous avez déjà apposé votre signature à ma pauvre robe déchirée, Votre Grandeur, réplique-t-elle sur le même ton, fossette creusant irrémédiablement sa joue. Et m'offrir de nouveaux vêtements ne changera rien. Ce que je souhaite vraiment, c'est avoir la preuve que vous regrettez votre vilaine action.

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Margauth
[Toujours dans la foule]

Je n'ai jamais eu l'occasion de croiser ton époux mais j'ai entendu beaucoup de bien sur lui et par conséquent, le fait qu'il est prévu tout cela pour toi ne m'étonne pas le moins du monde.

Ha bon!!!! Tu ne le connais pas, je pensais que tu l'avais déjà rencontré, nous allons remédier à cela au plus vite, je l'ai laissé dans un coin quand je t'ai vu, je t'en pris, garde ta place, cela me sera plus facile de te retrouver pour te le présenter, nous nous retrouverons un peu plus tard.

Margauth rit doucement, il ne fallait pas se faire remarquer, Elysandre était déjà partie, Margauth, à son tour parti à la recherche de son cher époux, qu'elle retrouva dans un coin, il lui fit un sourire la voyant arriver.

Tu as vu ton amie de Saintes ma puce? Tu vas bien, pas trop fatiguée?

Oui mon cœur, je vais bien merci, les jambes un peu lourdes, mais ça va, pour te répondre, oui, j'ai vu mon amie, justement, elle souhaiterait te connaître, je lui ai dit que nous la retrouverions un peu plus tard.

À peine Margauth avait-elle terminé sa phrase, qu'un jeune homme les interpella

Seigneur de Mauré ?
Bien le bonjour, Dames, et messire.
Veuillez excuser mon intervention, j'ai un pli pour vous de votre suzeraine.


Alans prit le pli tout en saluant le jeune garçon et Margauth, lui répondit d'un signe de la tête accompagné d'un grand sourire.

Bien le bonjour.

Si vous voulez, bien me suivre, la Vicomtesse m'a chargé de vous trouver des sièges.

Je vous remercie, c'est très aimable à vous, je vois de suite les bonnes attentions de la Vicomtesse, elle se couperait en quatre pour les personnes qu'elles aiment, nous vous suivons.

Ils quittèrent le brouhaha de la foule et se retrouvèrent très confortablement installés, dans le calme, nous entendions que des chuchotements, avec une vue imprenable sur le défilé, Margauth s'installa tout en remerciant le jeune homme.
Le défilé continuait, un homme de belle allure présentait un très beau modèle, sobre, mais d'une très grande élégance, Margauth se pencha doucement vers son ange.


Mais comme ce modèle est beau, je te verrais bien dedans.
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Isora

[ Jardins du Louvre]



Le trajet fût plus que plaisant jusqu’aux jardins du Louvre, Isora parfois se mordillait l’intérieure de sa lèvre afin de résister à son envie de rire. De façon à ce que cela ne soit vu de personne soit la bouche fermée quoi ! Compliqué certes mais tout à fait réalisable, il suffisait de maitriser la chose en pratiquant de temps en temps. Ses yeux eux, pour ceux qui la connaissaient bien, pouvait peut être la trahir. Ils devaient laisser entrevoir l’amusement qui était sien. Qui la connaissait bien ici ? Personne pardi ! Enfin si ! La Duchesse d’Auxerre peut être aurait pu se douter de la chose or Isora faisait en sorte de la suivre légèrement en arrière et donc « papotible » ! Elle écoutait amusée les moindres paroles d’Eldrid, elle trouvait cette dernière terriblement joyeuse non pas bavarde non, gaie. Elle était un petit rayon de soleil venant leur apporter un petit baume de « joyeuseté ». Même si de réputation notre belette était un peu trop sérieuse, elle aimait rire, plaisanter et là elle s’amusait beaucoup tout en restant sagement muette.

Tout de même il faudrait trouver des sièges offrants une vue panoramique, excellente sur le défilé qui s’annonçait fabuleux et bigrement intéressant pour nos trois brunes. Enfin pour Isora, qui aimait tout ce qui concernait la vêture, ce sera l’extase ! En cela elle se doutait bien que son Altesse trouverait forcément trois excellentes places. De nouveau un regard amusé vers Eldrid. Le dimanche ! The big day pour manger des fraises ! Pourquoi attendre dimanche, il y aurait peut être en ces jardins un petit coin où ces petites merveilles poussaient.

Elle lui murmure
Pourquoi attendre dimanche Eldrid, il y en a peut être quelques unes qui poussent cachées en ces jardins !

Il suffirait de se lancer à leur recherche après, oui pas maintenant, mais après le défilé. Où allaient elles s’asseoir, peut être qu’Ingeburge avait des places V.I.P. ? Ce serait trop bien oui !




[Côté spectateurs - Assises face au défilé ! Enfin ! ]

Chic enfin elles s'installèrent et ce idéalement et les yeux d'isora se posèrent droit devant elle. Goutant des yeux une première robe, magnifique qui seyait fort bien au teint de celle qui avait la chance de la présenter. Elle la détaille sous tous les angles. Elle était admirative du travail, si elle pouvait avoir ce don elle même de la création.



Elle attendait curieuse la suite ... puis : "La prochaine tenue est pour nos compagnons, masculin"

... et c'est un homme qui vint forcément. Elle est un peu étonnée. Elle ne savait pas qu'il y aurait aussi des tenues masculines après tout pourquoi pas. Logique d'une certaine façon, bon ce serait juste pour le plaisir des yeux. Elle n'avait aucun homme à qui offrir la moindre tenue et surtout pas celle ci. Ces collants roses étaient ... intéressants ! Isora glisse un oeil discret vers Eldrid.



... et c'est reparti pour le show et de nouveau : "- Messire, la prochaine est de nouveau faite pour vous ! "

... un homme fait son apparition. Cette somptueuse tenue est bien plus à son goût, fort élégante. Isora sourit, tenue faite par Constance d'Orsenac, c'était donc bien la douce Constance à laquelle elle pensait. Amusant de penser que de nouveau leurs chemins se croiseront peut être ici. Sans doute que non elle devait avoir fort à faire. Nul doute qu'elle avait des doigts de fée, l'ensemble était fort seyant et l'homme le portait avec élégance !

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