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[RP] Fashion Week - Jour 1

Jenifael..luna
    Elle s'éclaircit la voix.

    "- La prochaine s'appelle Classissime, elle est porté par Tempérance d'Amilly et elle mêle beauté et classique ! "

    Elle recula d'un pas.

    "- Il s'agit d'une chainse blanche et d'une cotte rouge, fermé grâce à des cabochons dorée. Le tout est accompagné d'une ceinture en tissu noir, noué grâce à un anneau. "

    Elle laissa donc place.

    La tenue arriveeeee !

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Jenifael..luna
    Attention, ça défile !👗


    Et la tenue fût présenté par la chasseresse du Dauphiné !


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Xalta
Son sourire s’étire, amusée par la situation. Elle garde le silence un moment laissant le frère et la sœur se retrouver.

Je suis ravie de faire votre connaissance.
Et il exagère en disant que je m’étoufferai, je me contenterai de m’évanouir face à l’horreur de la situation : fiancée à lui.
Je vous connaissais de nom et j’ai eu par le passé le plaisir d’admirer quelques-unes de vos œuvres.
Nous viendrons avec plaisir comme il le dit si bien.
Nous nous croiserons certainement dans les coulisses, je dois m’y rendre tout à l’heure pour défiler avec une tenue d’Elisel, de DECO.


Elle adresse un sourire chaleureux à la sœur de celui qui la tient toujours par la main, ils prennent congé. Puis elle se tourne vers Ornon.

J’aurai certainement l’occasion d’admirer de jeunes hommes bien faits, cela me changera de la vision que vous m’offrez au quotidien.

Un sourire facétieux éclaire ses traits.

Oh regardez, d'ailleurs, Zoyah nous fait signe ! Je vous suis. Guidez-moi dans cette foule colorée.


Elle prend sur elle la vicomtesse de Montcuq: non mais s'effacer pour le laisser prendre les choses en main, cela lui demande des efforts considérables. Mais après le " fiasco" du mariage, il fallait bien qu'elle trouve un moyen de se faire pardonner. Donc elle se fait violence, tente de maîtriser ses instincts de directrice. Oh une occasion de déplacer son attention sur autre chose, elle s'exclame:

Des … collants roses !


Elle pile, baisse les yeux sur les longues jambes de son guide, s’arrête un instant juste au-dessus de la ceinture puis relève le visage vers lui, les yeux pétillants de malice.

Cela vous siérait à merveille. Vous avez des longues jambes musclées.


Ils rejoignent Zoyah qui semble en grande discussion aussi.

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Kronembourg
Évidemment, le Duc Guyennois tiqua.
Non mais franchement.

« Guidez-moi dans cette foule colorée »


Un regard dépité coula vers la Pair de France. De deux choses l'une. Non, trois même :

- Soit elle était subitement devenue aveugle, au point de ne plus savoir avancer toute seule ( possible, mais peu probable )
- Soit elle se foutait allégrement de sa gueule ( assurément possible )
- Soit elle fournissait un effort surhumain pour lui donner l'impression qu'il servait à quelque chose, dans le genre " Oh quel homme, mon héros, vous savez me diriger à travers une foule colorée comme personne ! " ( mouais, possible )
Il opta raisonnablement pour un mélange de la seconde et de la troisième option, avec le doute tout de même de la trouver à la fois exaspérante et adorable. Ce qui était d'ailleurs probablement ni plus ni moins que ce qu'elle était.
Mais déjà l'Orléano-Bordelaise détournait son attention sur autre chose, un compliment certainement pour faire passer la pilule, tandis qu'un nouveau modèle faisait son entrée sur scène.


J'ai un doute. Dois-je vous trouver touchante ou provocante ?

Ils prirent ainsi place aux côtés de la Vicomtesse de Caussade.

Bonjorn Zoyah. J'espère que nous n'avons pas tout manqué. C'est qu'en fait, Exaltation nous avait mal dirigés.

Mauvaise foi Duranxienne ?
Moui, possible.

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Jenifael..luna
    [Je suis désolé du retard de l'annonce. JD Jenifael..luna]


    "- La suivante est du département des Enluminures, Confection et Orniflamme, que nous connaissons, sous les initiales de DECO ! Il s'agit d'une création de Narcysse Lablanche d'Abancourt. Elle s'appelle Timide violette en robe de soie et il s'agit d'une cotte confectionnée en deux matières : manches tuyau en satin à double-tour mauve, terminées en pointe à revers sur les mains, corps et manches ballons en satin renforcé violet, surpiqûres en rubans d'or. Surcote lacée dans le dos, en damas lie de vin, la silhouette soulignée sur les deux flancs par des galons de soie ton sur ton. & Coiffe en damas lie-de-vin & voile de soie. "

    Elle laissa place à la vicomtesse, pour le défiler.

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Sofja
Attention, ça défile !👗


    La Jagellon avait été recruté au dernier moment par la grande artiste qu'était Narcysse. En allant chez DECO, elle avait déjà lorgné sur les tenues et c'était promis de lui en commander une prochainement. Oui, oui, Sofja savait se montrer raisonnable. Enfin, elle n'aimait surtout pas avoir de dettes. Donc quant cette jeune Lablanche d'Abancourt lui demanda de défiler pour elle, elle sauta de joie. En plus de porter une sublime création, la couleur était tout autant à la hauteur de ses goûts. Alors, elle donna l'intégralité de son "talent" sur le podium.

    Elle avança lentement, très lentement, faisant voler les tissus. Une petite pause, un sourire afin d'amadouer les spectateurs. Une petite pirouette tout en laissant la robe remplir l'espace. Et elle regagna le fond du podium, tout doucement.



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Ingeburge
On n’avait pas idée d’organiser à l’extérieur un divertissement dont la nature même permettait tout à fait raisonnablement de le faire se tenir à l’intérieur. Voilà ce que remâchait in petto la princesse de Dourdan installée parmi le public qui avait pris place dans les jardins du Louvre. À l’extérieur donc. Dehors. Sans aucun toit au-dessus de la tête. Même pas un dais. Même pas le branchage clairsemé d'un p'tit arbre tout rabougri. Rien. Nada. Que tchi. Walou. Que dalle. Résultat? Elle allait cramer au soleil, qu'il fût éclatant ou non et elle serait bonne pour passer la soirée le visage – cramé – plongé dans une cuvette d'eau froide dans laquelle l'on aurait jeté de l'avoine et rester la peau cramée – cra-mée – des jours durant. Voilà qui ne lui donnait aucune envie de revenir le lendemain même si elle savait déjà qu'elle serait présente. Car quand on est invité, on honore l'invitation. Parce que c'était du même intéressant toute cette parade de toilettes – même si aucune ne la tenterait pour cause de goûts bien arrêtés – cela faisait du bien aux yeux quand il y avait tant de choses laides par le monde. Et enfin, parce qu'Isora et Eldrid avaient l'air de s'amuser follement et que certainement, elles voudraient encore en être le lendemain, le surlendemain et le jour d'encore après, pour le résultat des enchères. D'ailleurs, la veille, Ingeburge avait fait serrer des écus dans un petit coffret ferré pour que ses compagnes puissent enchérir si elles le souhaitaient.

Isora et Eldrid, donc, s'amusaient follement. Ou à tout le moins, le plaisir qu'elles prenaient au défilé était visible et l'était d'ailleurs tant que comparé au minois de la princesse de Dourdan qui restait invariablement impavide, malgré son caractère sous peu cramé, elles paraissaient particulièrement gaies. Cela avait commencé dès leur progression imprévue – car Ingeburge possédait l'hôtel de Bourbon qui était quasi collé au Louvre – dans les rues de Paris et cela continuait toujours entre deux observations attentives des tenues soumises à leur admiration. Ingeburge avait fait du Ingeburge, en ne répondant pas grand chose et en étant un peu ailleurs. Elle avait néanmoins capté cette histoire de fraises et de dimanche, et avait fini par répondre uniment qu'il y aurait trois jours de défilé et que l'on était déjà dimanche. Agacée, la Danoise? Non. Juste emplie de la certitude de finir la peau cramée. Et la tête pleine d'une idée qui plus tard, à la faveur du retour d'un des hommes les escortant, se concrétisa sous forme d'un panier d'osier. Et dedans? Des fraises, fraîchement cueillies du Petit-Bourbon voisin, de quoi profiter encore plus le spectacle. En prime, l'homme était revenu avec une copie, en plus petite taille, de l'ombrelle que l'on utilisait pour les doges de Venise et pour faire bonne mesure, un voile blanc qui vint remplacer celui, sombre, qu'Ingeburge avait sur la tête.

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Jenifael..luna
    La jeune fille annonça la suivante, bien qu'un changement de programme est eu lieu.

    "- La prochaine est simplement superbe ! "

    Elle sourit.

    "- La tenue est cousu par Constance d'Orsenac, maîtresse couturière aux Doigts d'Or et elle présente une tenue nommé Vaporeuse. Il s'agit d'une robe composée d'une cotte rouge, et d'un corsage en brocardé d'or sur fond rouge. Les manches sont en mollequin d'un ton plus foncé que le reste. "

    Elle fit place.

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Lilly_de_troy
Attention, ça défile !👗



    Voilà, elle était là sur son estrade, coiffée, habillée, pouponnée comme elle devait l'être pour faire honneur à sa soeur. Arrivée sur place depuis un jour ou deux, elle savait plus trop comment réagir. Elle prit sa respiration. Essaya de garde son calme car sous ses airs de fanfaronne, la jeune de Troy était en fait timide et pas trop à l'aise avec le grand public. Marg lui avait tout préparé. Elle n'avait plus qu'à se lancer suite à l'annonce faite par Jenni. Son tour... Oui oui c'est son tour et elle doit faire honneur à la magnifique tenue qu'elle porte. Pas à dire, sa soeur avaient des doigts de fée pour réaliser de si beaux ouvrages. Et elle n'était pas la seule. Toutes les robes qu'elle avait pu voir étaient aussi remarquable.

    Elle plaqua un sourire sur son visage et se lança. Elle ne pouvait pas faire marche arrière. Allez zou, de Troy, un coup de pied au séant et on avance. Elle passa la toile qui masquait les coulisses et fit un pas, puis un autre et défila pour les nobles présents. Tête droite et sourire aux lèvres. Un, deux, gauche, droite, mouvement du bassin en faisant ces pas. Balançant son bras droit en même pas que son pied gauche touche le sol et inversement. Elle se devait de faire une réussite de ce passage rapide et fugace à cet endroit.
    Elle écouta seulement le bruit de ces pas sur le parquet et celui du voilage lorsqu'elle se déplaçait. Elle arriva au bout de l'estrade. Un demi-tour? Oui mais évite de te faire une auto croche pas. Cela ferait réellement désordre. Surtout si tu te retrouves sur les genoux du noble le plus près du podium ... enfin si y a moyen ensuite. Rooh ne te déconcentre pas, voyons.
    Elle exécuta la manoeuvre sans difficulté. Une pose un peu "stylée", un sourire a l'assistance et elle repartit en direction de Jenni au bout de l'estrade.

    Elle fit un dernier volte-face pour le public, un sourire étincelant et disparu.




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Constance..
Toujours derrière l'estrade à orienter les couturiers et mannequins, l'Orsenac assiste au défilé, ayant le privilège de voir les tenues en premier puisqu'elle accueille chacun sous le chapiteau.
Elle voit ainsi Tempérance d'Amilly portant la superbe et simplissime tenue Classissime, créée par Elene sa collègue des DO. Puis c'est le tour de Sofja, Dame de la cour de la Reyne, qui cette fois porte une superbe création de Narcysse Lablanche d'Abancourt, de l'atelier DECO. Alors elle s'absente pour aller aider sa sœur et l'encourager. Elle la suivit du regard pendant qu'elle défilait dans la robe qu'elle même avait réalisée alors elle laissa alors un sourire de satisfaction apparaître sur ses lippes.

Puis l'Orsenac remplaça Jeni pour annoncer la tenue suivante. La GM de la Garde Robe devant faire une petite pause. Elle arriva donc sur l'estrade et annonça d'une voix claire.


La prochaine tenue dénommée Prunier est réalisée par le couturier Thomas, de l'Atelier du Lys. Elle est portée par Eunice.

Elle ajouta ensuite.

Elle est composée d'une robe à tassel en soie vénissienne vieux rose brodée d'or, sur une chainse de brocard couleur pèche. Une coiffe avec un voile complète le tout.

La blonde laissa ensuite la place afin que la tenue puisse être admirée par tous.
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Lucie

Après les deux tenues pour hommes, on retrouve des robes. Hell yeah ! Sauf que non en fait... Oh, pas que ça ne soit pas beau. Comment les tenues présentées ici pourraient-elles être laides quand se sont les plus grands couturiers de France qui présentent leurs œuvres. Non, vraiment, c'est top. Sauf que ce n'est pas au goût de la Fleurie qui se contente donc d'admirer les gracieux modèles sans envisager d'acheter quoique ce soit.

Valeryane ? Trop pour femme enceinte.
Elène ? Trop rouge.
Narcysse ? Trop de violet et de rose mélangés.
Constance ? Trop rouge bis.

Et puis on annonce une nouvelle tenue qui l’interpelle. Soie vénitienne vieux rose brodée d'or... Voilà qui est plus que prometteur. Et pas qu'un peu.

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Eunice



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Attention, ça défile !👗



    « Ces robes folles sont l'emblème
    De ton esprit bariolé ;
    Folle dont je suis affolée,
    Je te hais autant que je t'aime »


    Charles Baudelaire – A celle qui est trop gaie.

    Au creux de la petite tente, la jeune femme prend place sur une chaise initialement prévue pour recevoir les parures de tissus précieux. L’œillade claire couve d'un regard protecteur l'agitation équivoque des couturiers et des mannequins d'un jour, bienheureuse, elle s'autorise même à étirer ses lèvres charnues en un sourire. La vêture, déjà présentée, est disposée sur un portant de bois, attendant qu'un acheteur ait eu un coup de cœur pour ses couleurs et ses tissus si richement décorés. L'agitation ambiante tend à pervertir le calme relatif auquel elle aspire habituellement, affolant ainsi la poitrine engoncée dans son surcot à la couleur limpide et rassurante des côtes normandes. Alors que, dans l'espoir d'extérioriser les sentiments échaudant sa silhouette, les doigts fins s'acharnent à froisser le tissus recouvrant ses cuisses arrondies, la musculature bien connue et trop souvent aperçue pour ses chastes pensées de Thomas apparu sous ses yeux étonnés. D'un geste affolé, il agrippe l'une de ses paumes, déposant sans plus de formalité un billet. Le nez, garni d'éphélides, s'y plongea sans se faire prier. A défaut d'être doux, le pli laissa tout de même sur le minois les relents d'un air ébahis. Les méninges s'agitent, cherchant une réponse à offrir au jeune homme, alors même qu'elle se sait incapable d'accéder à sa demande. Cependant et tandis qu'elle se redresse, elle croise les mirettes posé sur sa silhouette. Enhardie par son regard doux et appuyé, la jeune couturière hoche finalement. L'ironie étant partisane du juste retour des choses, la voilà désormais obligée de se faire objet de toutes les mires dans une toilette qu'elle sait élégante et de qualité.

    Dans un regard destiné à la chevelure brune, elle glisse sa silhouette derrière un paravent. Délaissant son bliaut rapidement, elle dévoile sa chaisne laiteuse, laissant apercevoir des courbes qui se veulent agréables à l’œil. Elle réapparaît finalement, engoncée dans une cotte à la couleur estivale, ne manque plus que la surcote bordée et brodée d'or. Aidée par le jeune homme qui réajuste sans cesse sa mise, elle coiffe, pour finir, ses cheveux de cuivre d'un hénin vertigineux. Sous le regard d'ambre scrutant chaque détail, ses joues arborent le hâle rosé si caractéristique en sa présence.


    Son nom est finalement prononcé et Eunice s'élance vitement, avant que l'ardeur qui l'anime ne cède sa place à la timidité envahissante. Un sourire agite ses lèvres alors que pourtant elle peine à oublier la présence de l'angiome violacé qui courre sur sa joue droite. Par son passage, elle s'emploie à présenter la tenue sous toutes ses facettes, restant suffisamment longtemps sur le chemin tracé pour que tout le monde puisse s'imprégner de la beauté de la vêture.

Sofja
    Les tenues se succédaient et le plaisir se lisait toujours sur le visage de la Vicomtesse. Il n'y avait pas à dire, ses couturiers étaient plus que talentueux. Ne pouvant pas tous s'offrir, il faudrait faire un choix.
    Dur, dur.

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Margauth
Nous étions toujours très bien installés à regarder le défilé, il y en avait pour tous les gouts, mais malheureusement vu l'embonpoint de Margauth, ces merveilles n'étaient pas pour elle pour le moment et le contenu de leur coffre avait un tant soit peu diminué, le nouveau bateau qu'il avait fait construire, les frais d'entretien de l'Etche, ce domaine était magnifique, mais il en coutait afin de le garder en bon état, les études, tout cela avait des couts qu'il fallait assumer. Le plus important était d'assister à ce défilé et d'en prendre plein les yeux.
Alvira fit son passage avec une première robe de toute beauté, dans des tons très chauds, un très joli empiècement au niveau de la poitrine. De suite, Margauth eut un grand coup de coeur pour cette magnifique robe, se demandant combien pouvait couter une telle merveille.
Alans lisait le billet qu'il avait à la main.


Mais qu'est-ce donc que ce billet, mon cœur?

Délicatement, Margauth prit le billet et lut le contenu. Un énorme sourire éclaira son visage.

Waouh !!!!! Un cadeau de 1500 écus de notre suzeraine !!!!! Afin de nous permettre de participer aux enchères !!!!! Mais quelle générosité !!!!!

Il allait falloir faire le bon choix......
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Constance..
La tenue réalisée par Thomas était vraiment très belle, l'Orsenac se voyait bien dans une telle tenue. Puis vint le tour du modèle suivant. La jeune fiancée reprit alors la parole afin de l'annoncer.

Sires, voici maintenant une tenue faite pour vous. Elle est réalisée par Laure-Victoire de la Boutique du Lys et porte le nom "Courtois". Cet ensemble est porté par Hersende, et se compose d'une chemise en chainsil sur laquelle est posé un pourpoint de soie. Les pantalons bouffants, également en soie, se révèlent de deux couleurs. Sur les épaules est posée une chasuble également de soie. Le tout est rehaussé de bottes de cuirs et d'un chapeau à plume.

Un sourire à l'homme qui devait alors monter sur l'estrade et parcourir le tapis rouge.

Sire Hersende, c'est à vous.

Mes Dames, Messires, n'oubliez pas vos enchères pour toutes les tenues qui s'offrent à vos yeux.

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