--------FW / Louvre - Dans les appartements de Cerise avec Fred.
-------------Acte I - Scène 2
Alors qu'il avait voulu avoir le contrôle sur son futur amant & qu'elle refusa en luy clouant le clapet avec son index, elle se retrouva tout contre luy prisonnière de ses bras & ses lèvres. Il ne perdait pas de temps, ils étaient encore en pleine discussion pour se réconcilier mais luy... intenable.. Et comme Griotte avait toujours autant de mal à le repousser pour ses choses-là, elle céda malgré elle en passant ses bras autour de luy pour savourer cet échange qu'elle crut à jamais perdu, terminant ce baiser brulant en maintenant sa lèvre inférieure entre les siennes avant de la libérer & relever doucement ses prunelles vers luy. Il avait lui laissé ses bras venir l'enlacer durant cet échange pour la serrer d'avantage contre lui afin que son corps puisse venir épouser avec toujours autant de perfection cela de "Sa Sucrerie". C'était là nullement un geste calculé comme beaucoup pourrait le penser, c'était juste une geste qui était devenu un habitude entre eux, toujours avoir une réelle proximité entre leurs corps, entre leurs chairs. Ses mains glissent dans son dos passant de sa nuque jusqu'à venir au niveau de ses reins, geste lent tout en appuyant ses mains sur elle... à la fin il recule également son visage se mordant un peu la lèvre intérieur.
- Arf ! Vous m'énervez à faire cela. Vous savez en plus que je n'arrive guère à vous résister quand vous agissez de la sorte.. Et je vous signale que vous n'avez plus le droit à cela. Elle luy grogna dessus avant de glisser sa main dans la sienne pour le ramener vers la petite table près de la banquette. Elle demanda à ses domestiques qu'on luy apporte le nécessaire pour s'occuper de cette blessure qui semblait sinfecter. Elle se glissa à ses côtés sur ses genoux avant de prendre le linge légèrement chaud pour le soigner. Il se laissa évidement faire sans détourner son regard du sien, toujours bien attentif des gestes qu'elle lui faisait et écoutant ses mots. D'une voix toujours calme il lui répond - Comment pourrais-je me comporter autrement? Comment pourrais-je ne pas agir ainsi quand je vous dis que mon cur n'a pas trouver d'autre reyne... Non je n'ai pas perdu mes sentiments sachez le... et cela même après avoir pas su résister au Malin
Il glisse sa main dans la sienne tout en l'écoutant toujours. Elle laissa sa main se joindre à la sienne. - Vous avez vu où vostre coucherie nous a conduit ? Vous auriez pu mourir... j'aurais pu vous tuer... Même si elle l'engueulait un peu, elle s'en voulait, la lèvre légèrement mordillée, elle continua de nettoyer la petite plaie. Mais c'est vostre faute aussi, vous m'offrez ce qu'il faut pour vous ôter la vie, cétait si tentant... Vous souffrez ? Il ne bronche pas même un petit peu lorsqu'elle lui nettoie la plaie, il baisse le regard sur les mains de la brunette qui prend finalement soin de lui, il vient les saisir avec les siennes. Comment pourrais-je souffrir? Ce n'est rien... rien comparé à la douleur que j'ai plus haut à l'intérieur... Et puis il relève son regard dans le sien. Je vous l'ai dis, je préfère être mort que continuer ma vie sans vous à mon bras. Je ne vous aurez en rien voulu si vous aviez mit fin à mes jours.. d'ailleurs vous le pouvez toujours vous savez, surtout si nos chemins se séparent ! Cerise en arriva à lâcher le linge quand il saisit ses deux mains, portant un regard attendrissant vers celuy qu'elle aimait. Je sais bien vous me l'avez déjà dit hier... et ce matin... mais j'ai si peur que vous cédiez de nouveau, que vous n'arrivez à résister à la tentation..
Il laisse sa main resserrer un peu celle de Cerise, le regard restant lumineux car cette flemme dans son cur brulait toujours d'un feu ardant pour celle qui était juste là sous ses yeux. Comment pouvait elle luy refuser son "pardon" ? Il savait l'atteindre en pleins coeur, ce dernier s'emballait au moindre contact avec sa peau, tout son être luy hurlait de consentir à son souhait..
- Je suis près à faire toute les concessions pour que vous me pardonniez... pour que l'on puisse reprendre notre route ensemble sur de bonne base. Ah oui ! C'est vrai que vous allez devoir en faire des concessions, respecter vos paroles au risque de me voir tourner les talons définitivement. De plus, vous m'avez soufflé vouloir annuler vostre choix de la prendre vassale pour me prouver encore plus vostre amour.. puis il fronce un peu les soucils... D'ailleurs je crois que nous aurons tout deux des concessions à faire pour cela ! Puis elle réfléchit un instant ne sachant à quoi il faisait allusion, elle plongea son retard dans le sien... dubitative. Quoi ?! Mais moi je n'ai pas fauté. N'inversez pas les rôles.
Il la regarde toujours avec plus d'insistance. Son regard se fit plus insistant, mais pourquoi il luy disait qu'elle allait devoir faire des concessions ?
- Comme par exemple écrire maintenant la lettre que je vais envoyer la hérauderie pour renonce de prendre la Blonde en vassale? Oui faites ! Autant en finir de suite avec cela, une étape supplémentaire pour oublier cette douloureuse histoire. Même si je ne vous ai rien demandé je trouve ce geste... admirable, une belle preuve d'amour pour consolider de nouveau nostre couple.. et vous accordez mon... puis aux mots de Cerise il ressert encore un peu sa main sur la sienne, peut être donnant une petite douleur dans le geste. C'est qu'il commençait à luy faire mal avec cette pression qui se fit de plus en plus appuyée sur ses mains. S'en rendait il compte, elle essaya de s'en libérer.. Vous n'avez pas fauté? Vous croyez que je n'ai pas vu qui était votre cavalier hier? Vous laissez ce Chien qui m'insulte dans mon dos et je suis certain en votre présence ! Et vous vous afficher avec un ennemi à ma personne? Et vous osez me dire que vous n'avez rien fait? Vous savez que je vois cela comme une trahison? D'une autre sorte certes mais une trahison tout de même. Elle se pinça délicatement ses lèvres avant de déglutir. Oupss ! Elle sentit à ses mots qu'il était blessé, son regard se fit fuyant. Elle ne savait pas "son promis" serait à ce défilé, encore moins accompagné d'une trainée. Il était clair que venir avec ce cavalier, il l'aurait mal pris.. Oui bin ! C'est vostre faute vous voulez jamais sortir à Paris.. Et delà à dire une trahison vous y allez un peu fort. Elle se permit de replanter ses azurs dans les siens, pour luy tenir tête. Elle avait eu des mot là qui lui fit faire presque un bon dans son esprit. Pardon? Ma Faute? Pas une Trahison? Elle hocha son ti minois pour affirmer ses dires sauf pour sa pseudo trahison.. Si je n'étais pas venu à Paris de un, vous ne m'auriez pas prévenu que vous sortiez avec ce porc ! Donc vous auriez fait cela dans mon dos tout en sachant qu'il est mon ennemi... Si cela ce n'est pas une Trahison c'est quoi? Et si moi je sortais avec un cavalière comme... réfléchie... Comme par exemple votre pire ennemie féminin? Ah non ! Vous n'oseriez pas, vous n'auriez pas fait cela.. Et pourquoi? Vous l'avez bien fait en vous affichant avec l'autre truc.
Cerise souffle exaspérée en roulant ses yeux au ciel... sourit nerveusement, vous croyez que le fait de vous promener avec cette crapule se soit pardonné car je me suis affiché avec l'autre blonde? J'ai fauté oui mais vous m'avez trahi également en vous affichant avec cette chose et cela dans l'optique de vous en cacher et sans m'en parler ce qui rend la trahison à mon encontre bien plus importante ! Cette crapule porte un nom, celui de Altaiir. C'est bon ? Vous avez fini vostre crise de jalousie. N'allez pas comparer vostre coucherie à un cavalier d'un jour. Secoue la tête. une trahison reste une trahison quelque soit son importance !
Il ne détourne pas son regard et poursuis Elle se lève énervée, tirant un grand coup ses bras en arrière pour récupérer ses mains, elle se tient bien droite à ses côtés, croisant ses bras devant elle bien furax. Du grand délire !! Donc oui je me ferais pardonner mais je compte bien que votre acte soit lui aussi pardonné de votre part, une façon de faire qu'un homme peut donner à sa promise, à son épouse ! Non mais il rêvait le brun. Je n'ai rien ... absolument rien à me faire pardonner. Elle essaya de comprendre ses allusions même si.. au fond d'elle elle crut en saisir la teneur.. elle arqua un sourcil pour poursuivre, s'amusant de ce retournement de situation. Pardon ? Mais vous n'avez plus de promise pas plus une épouse, l'auriez vous oublié ? Elle le provoqua un peu. Je pense que vous perdez la tête, je vous demanderais donc de quitter sur le champs mes appartements et d'en revenir quand vous aurez retrouvé vos esprits. A cela elle accompagna ses mots par un signe de bras pointant du doigt la porte, sachant bien qu'il en ferait rien, mais peut être qu'il oublierait le coup du cavalier ou qu'elle devait se faire pardonner.. Lui la lâche pour dans un premier temps attraper du papier afin d'écrire une lettre et apposer son sceau sur cette dernière. Il laisse la lettre bien en évidence pour que Cerise puisse la lire puis une fois terminé se tourne vers elle. Non mais il comprenait rien à rien, le voilà qui prend le temps d'écrire je ne sais quoi, luy déclarerait il sa flamme ? Curieuse elle savança pour zieuter par dessus son épaule. Pfff pas de mots d'amour.. mais un acte tout aussi beau, il appliquait donc ses dires, ses promesses formulées. Elle s'en retourna un peu plus loin, le sourire aux lèvres, une immense joie la gagna, ainsy donc il l'aimait réellement, tout était sincère.
De nous, Fred de Castelviray, Duc de Chateauneuf-en-Thymerais, Vicomte de Rémalard, Baron d'Authon du Perche , Seigneur d'Andrest
A vous, Tsampa d'Eusebius, Dauphin de France, Duchesse de Montgommery, Baronne d'Escouché et dame de Gaudigny dict "Alençon"
Salutations et prospérité,Je vous pris d'excuser notre retard pour la réponse. Nous avons du mener une réflexion avant de poursuivre cette demande.
Des évènements s'étaient déroulé entre temps nous amène à renoncer à cet anoblissement qui concerne la Marquise Gabrielle Kerangal.
Veuillez m'en excusez.
Vous aurez également d'ici peu une lettre pour rompre mes liens avec d'autres de mes vassaux qui ne me donne plus de signe de vie.
Que le Très Haut vous garde.Daté à Argentan, le 2 du mois de Mai de l'an de Grâce 1464
Qu'il en soit ainsi, heureusement.
- A preuve du contraire je suis toujours votre futur époux et je comptes bien le rester, mais je vais devoir corriger vos actes de trahison envers ma personne cela va de soit Que je vous y prenne à vouloir me corriger. Tututu !! A ses mots il ferme la porte à clé et cette dernière et tout en allant vers Cerise il enlève sa Ceinture pour la prendre en main. En le voyant faire, misère... il semblait bien décidé à lui faire payer sa venue au bras d'Altaiir. Mais elle n'allait pas se laisser faire sans broncher, ça ne serait pas elle. Elle essaya de fuir et grimpa vite debout sur le lit.- Mais n'ayez crainte je ne serais pas une brute, il faut parfois jouer de façon évidente le rôle de futur époux ! Sauf que vous avez perdu ce privilège en fautant. Mine de rien, elle le cherchait mais elle n'en menait pas large... Fuyons !!! Oui mais par où..* RP écrit à 4 mains avec JD Fred_________________