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[RP] Fashion Week - Jour 2

Wendoline


Délicatement pour ne pas froisser sa robe, elle s'installe près de son amie tandis que celle-ci la complimente sur sa tenue. Tandis qu'elle lisse du bout des doigts les plis de l'étoffe, elle répond avec espièglerie.

C'est une tenue confectionnée là où travaille ta jeune dame de compagnie. L'endroit est absolument merveilleux ; l'atelier est situé près du Mont St Michel. C'est Thomas le jeune couturier qui a choisi de marier ces tons chatoyants que j'aime beaucoup.

Et tandis que son regard glisse vers son amie

Je ne connais pas cette tenue, tu l'inaugures aussi ?
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Sofja
[Dans les jardins du Louvre]



    Second jour des festivités, vêtue d'une nouvelle robe toute aussi sublime que la veille, Sofja entra dans les jardins du Louvre. Elle salua les Dames de la Reyne à tour de rôle.

      Altesse Melissandre, Dame Hersent, Dame Wendoline. J'espère que vous allez bien ?
      Une bien belle journée pour acquérir des robes.


    Son visage était rayonnant comme à chaque fois qu'elle pouvait admirer le talent des couturiers. Elle s'installa toujours dans les premiers rangs pour ne pas louper une miette.

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Melissandre_malemort
Mélissandre leva le nez. Sofja était déjà, à la base, une femme sublime. Mais là...

- Mon dieu, votre robe! Quelle merveille ! Vous êtes magnifique.
Lucie
Attention, ça défile !
👗



      [Dans les coulisses]

A l’abri des paravents et aidée de Merveylle, Fleurie se change et se coiffe, suivant à la lettre les indications qui lui sont données. Et vas-y qu’on ferme ça par-là, qu’on ajuste ceci, qu’on brosse, qu’on lisse et surtout qu’on s’émerveille car - et ça ne surprendra personne - la douce altesse a fait un travail incroyable.
La robe, céruléenne splendeur, tombe parfaitement sur Saint-Jean et lui fait l’effet d’une légère cascade de soie dans laquelle elle évolue avec autant de facilité qu’un canard cygne (le prestige, marde !) glissant sur l’onde calme d’un beau lac. En vérité, elle aime tant la tenue et elle a tellement envie d’honorer sa créatrice qu’elle en oublie sa dévorante nervosité pour ne plus se concentrer que sur son objectif : être un modèle si parfait que toutes les femmes de l’assemblée rêveront de porter ce miracle de tissus et enchériront des sommes folles pour l’obtenir.


    - Parfait ! Il me reste plus qu'à aller m’installer. Bon défilé ! Et merci d'avoir accepté de m'aider. C'est vraiment très gentil de votre part. Je n'oublierai pas ce que vous faites pour moi.
    - Tout le plaisir est pour moi, voyons ; cette robe est incroyable Merveylle ! Et je vous promets de ne pas me casser la figure, répond Lucie, laissant échapper un petit rire alors qu’au-dehors, Jenifael l’annonce. Bien. C’est à moi semble-t-il. En route !


Épaules droites et menton haut, souriante Barbazan apparaît. Demeurant immobile une seconde, le temps de se faire à l’éblouissante luminosité de ce jour, elle cherche Dédain du regard et trouve, à sa place, un Felip visiblement très attentif. Celui-là ne manquera pas de la charrier lorsqu’il en aura l’occasion, c’est certain, mais prise au jeu du défilé, Lucie ne s’en soucie guère et, se parant d’une tranquille assurance, elle avance, roulant des hanches juste ce qu’il faut pour que, sans avoir l’air d’un paon en pleine parade amoureuse, on puisse s’extasier de la façon dont la robe tombe, parfaite qu’importe les mouvements de celle qui la porte.


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Sofja
      Je vous remercie mais tout est dans la robe, je vous assure.


    Oui elle n'aimait pas trop se mettre à l'avant, elle était plutôt une personne discrète. Par contre, elle adoraiiiiiiiit porter de sublime toilette, sans aucune gêne.

      Ooo voici la première tenue qui arrive... Ouaaaaa ce bleu, il est flamboyant.
      La Princesse Merveylle a beaucoup de talent.


    Mais elle était trop vieille pour porter une tenue qui transpirait la jeunesse, l’innocence. Elle serait beaucoup mieux sur une demoiselle.

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Hersent
Oh, tu es déjà allée à la Boutique du Lys? Quand je pense que moi, non, alors que Laure Victoire y travaille! Toujours est-il que Thomas, le couturier qui a créé ta tenue, est un artiste hors pair.

Elle sourit:

Je porte une création de Maistre Jenah, je devais l'arborer lors du Couronnement du Roy, or il n'a pas eu lieu. Aussi, profitai-je de cette semaine très chic pour revêtir cette merveille. Maistre Jenah se fait rare en raison du conflit avec l'Empire. Même s'il y a trêve, ce n'est pas revenu à la normale.

La Vicomtesse Sofja vint se joindre à elles ce qui fit plaisir à Hersent.

Le bonjour Vicomtesse, je vais bien, je suis confortablement installée et ce que j'ai pu voir hier m'a enchantée. Je pense que cela ira crescendo.
Quant à acquérir des robes, je devrai être pondérée car les folies risquent d'être outrancières.

Elle admira la tenue qu'elle portait:

Diantre, quelle splendeur que votre tenue! Vous féliciterez votre couturière: une vraie merveille.

En parlant de merveille, une autre Merveylle était à l'honneur:

Je ne peux que vous plussoyer, cette tenue est magnifique, le bleu est doux et lumineux, la coupe légère et fluide. Quant à l'égérie qui se prête à l'exercice de présentation, elle est tout simplement délicieuse.

Et de regretter de ne plus être jouvencelle .
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Merveylle_mirandole
Tandis que son égérie prenait place sur la piste et attirait tous les regards curieux, la boisée en profita pour quitter discrètement le chapiteau réservé aux mannequins et se fondit dans la foule jusqu'à rejoindre les Dames du Lys. Elles avaient l'air d'avoir toutes changé de tenue par rapport à la veille et elle sourit amusée. Il n'y aurait pas de mode sans passionnés pour toutes ces fanfreluches.

- Bonjour ! Mes Dames vous êtes toutes magnifiques !

Quant à elle, elle n'avait pas changé de robe du jour au lendemain. Elle avait eu un coup de coeur pour sa propre tenue et elle la porterait durant toute la durée de l'événement parce que tel était son bon plaisir. Ses prunelles se posèrent sur une silhouette masculine, sise au premier rang. Sourire en coin sur les lèvres, elle se dit qu'il faudrait qu'elle aille le saluer. Plus tard, quand elle le déciderait.
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Primha
      Côté spécatateur, la jeune femme était perdue. Moins qu'au premier jour, certes. Mais elle était littéralement perdue. Aujourd'hui, Merveylle n'était pas avec elle dès l'arrivée, et pour cause ; sa création défilait. Arrivée pile à temps, se faisant discrète comme à son habitude, l'Argentée vint se placé à égale de la veille. Regardant de part et d'autres, le monde l'entourant avait de nouveau - sans grande surprise - revêtit de magnifiques toilettes ; la ou elle n'avait finalement que trouvé une robe bleu, sans attaches, sans complexes. Mais qu'importe, elle était ici pour la Boisée ! Aussi, quand elle la remarqua enfin, elle s’apaisa. Le mannequin défilait, portant à merveille la robe de la créatrice ; d'un bleu qu'elle aimait, d'une élégance qui lui était tant chérie. Merveylle avait tout simplement des doigts d'or.

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Zoyah
[Parmi les spectateurs… toujours]

Deuxième journée destinée à un prendre pleins les mirettes. A l’occasion, la Valençay avait souhaité rendre hommage à une couturière partie trop top. C’était celle qui lui avait cousu sa toute première robe de « dame » et qui avait formé bon nombre de petits doigts au maniement de l’aiguille. Zoé avait donc enfilé un modèle de Kalopsite qu’on ne pouvait désormais plus se procurer mais qu’elle appréciait toujours autant.

Elle salua d’un sobre signe de tête les spectateurs ..
"Lou bonjorn"... et se glissa sur un siège, ni trop devant, ni trop derrière. Pas loin de la jeune femme qui la précédait. Et surtout, juste à temps pour voir le premier modèle de la journée défiler dans un joli bleu. Le bleu était sa couleur bien que la seule touche sur elle, soit celle de ses longs yeux céruléen. Une teinte froide aux dires de certains pourtant certaines nuances étaient tellement douces qu’elles parvenaient à réchauffer les cœurs. Un peu comme celui de la robe présentée… « Qu’elle couleur merveilleuse »... susurra-t-elle pour elle-même. La coupe était simple ce qui permettait de porter cette tenue à différentes occasions, les broderies fines et non outrancières. La vicomtesse hésita à enchérir mais elle se raisonna et préféra attendre la suite.
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Lily.es_de_hauterive
Devant Lily et Anne, les dames passent pour s'installer sur des sièges réservés aux meilleurs endroits, privilège dû à leur haut lignage. Les deux jeunes femmes admirent les tenues toutes plus élégantes les unes que les autres.

Dans un murmure, Lily montre discretement les vestures qui la font frémir


regarde Anne cette douceur et cette légereté dans des tons pourtant vifs, ce orange et ce vert se marient si bien, vraiment l'artiste qui a conçu cette oeuvre me semble fort doué, et la jeune femme la porte à ravir

puis juste quelques instants

oh cette dame avec la robe mauve.... waouhhhhhhhhhhhh
bien sur ce n'est pas de mon niveau social, je la trouve divine à la fois riche mais pas trop surchargée de pierreries, et puis j'adore le mauve, quelle grace


Puis elle se tait car une jeune damoiselle se présente sur le parcours. Une tenue très fraiche, simple dans le style mais faite dans un tissu chatoyant et avec de magnifiques broderies.

Une fois la jeune femme passée devant elle, Lily se tourne à nouveau vers sa compagne et avec un petite sourire malicieux lui donne son commentaire toujours à voix basse


Quel bleu lumineux, il sied si bien à cette jeune damoiselle...et tu as vu les petits pompons c'est amusant, et bien trouvés.

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Martin.cv
Le premier jour fut remplit de merveille. De beaux tissus, de jolies femmes, ben oui, je suis un homme alors j'observe les femmes. Oh pas d'un regard pervers, un regard admirateur et remplit de respect pour toutes les perles que je croise. Je ne suis pas un grand tombeur, je ne me permettrai pas de jouer avec l'une d'entre elles. Alors je regarde et j'apprécie ce que je vois. Je suis un gentleman voyons !

Bref, le premier jour fut très agréable, Kenny était enthousiaste sur chaque robe. Elle m'amusait beaucoup et je prenais plaisir a voir le défilé.

Le second jour, Felip était partit rapidement pour trouver une place d'enfer, je n'ai pas eu le temps de dire ouf que je me retrouvais seul. Oh ne me demandait pas où est Kenny, je n'en ai aucune idée... Toujours dans ma tenue bleue faites par ma tante Valeryane, je me dirige vers la scène.




C'est alors que sur le chemin j'apperçu Cira. Une demoiselle que j'avais eu le plaisir de voir a Auch une fois. Quand ? Je ne sais plus vraiment, j'avais repris Felip ce jour là.
Jalousie ? Que dalle, juste un autre combat de coq idiot.
Hésitant quelque peu a m'approcher d'elle, je finis par m'approcher pour complimenter sa toilette maladroitement.


    Demoiselle Cira, je suis heureux de vous revoir ! Vous êtes resplendissante dans cette tenue.


Ne sachant pas trop quoi ajouter, je reste planter là comme un benêt. Heureusement que Felip est déjà partit, il me verrait je pouvais parier que j'en entendrai parler pendants des siècles, Martichou le timide. Une envie de secouer la tête pour chasser ses pensées me prend mais je me rappelle juste a temps que je suis avec une demoiselle et que si je fais ça, j'aurai l'air fin... Alors que faire que dire ? Rajouter donc bêtement.

    Vous allez voir le défilé ?

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Cira
Jour 2. Remise de sa désagréable rencontre de la veille, la jeune fille avait laissé cette fois sa robe noire pour opter cette fois pour une robe à la teinte bleu nuit qui à défaut d'être joyeuse relevait quand même l'azur de ses yeux.
Elle marchait au côté du Deswaard quand elle croisa la route d'un jeune homme rencontré pendant son séjour à Auch. Celui là elle ne l'avait pas oublié et gardait encore en travers les mots prononcés. Martin manquait de tact d'après Felip, soit, mais quoi qu'il en soit Cira avait prit pour elle la phrase peu charmante qu'il avait dite, la faisant à moitié passer pour une fille facile.
Une inclinaison de la tête répondit tout de même au jeune homme qui la salua.


Heureux, vraiment ? Allez vous me sortir une nouvelle remarque assassine comme la dernière fois ou votre joie de me revoir prendra le dessus ?

Tiens prends toi ça dans les dents. Incisive la Tressin ? Juste un peu. Le côté timide de Martin calma les ardeurs dragonnes de la jeune fille qui ravala les flammes pour offrir un sourire au jeune homme avant de se tourner vers le sombre Comte.

Martin vous connaissez peut être Sa Grandeur Dedain Deswaard de Noldor ? Si ce n'est pas le cas et bien, je vous laisse faire les présentations je ne connais pas vos titres veuillez m'en excuser.

Et un nouveau sourire qui se veut plus franc tout en s'excusant de pas connaître tout le pedigree.

Et oui, nous nous rendons au défilé, comme tout le monde ici présent je présume.

Tout doux Cira, tu vas le faire fuir en courant....

Souhaitez vous vous joindre à nous ? Nous allons admirer et encourager une des égéries.

Et sans vraiment attendre de savoir s'ils suivaient l'un comme l'autre, elle reprit sa marche ne voulant pas rater le début et prit place sous le chapiteau au moment où tout commençait. Souriant à ses deux cavaliers du jour, elle fixa son regard sur l'estrade.
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Wendoline


Alors que les deux amies échangent les compliments sur leurs tenues respectives, s'approche Sofja dans une tenue absolument époustouflante !

Vicomtesse vous êtes resplendissante, ce mauve donne à votre teint une couleur lumineuse.

Elle appréciait Sofja, elle avait quitté la Bourgogne sans pouvoir vraiment faire sa connaissance comme elles l'avaient plus ou moins envisagé et se retrouver à la Cour du Lys avait été une belle surprise.

Vous avez déjà fait des achats Mesdames ? Hier j'ai préféré me ressourcer en me promenant dans les allées du jardin il a fait tellement beau.
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Hersent
La jeune Princesse Merveylle vint les rejoindre, elle devait être un peu angoissée car elle présentait deux tenues.

Je vous remercie Vostre Altesse pour vos compliments. Je suis habillée par Maistre Jenah, et cette création est des plus confortables.
Je me dois de vous complimenter pour la tenue que vous venez de présenter: Monseigneur Lucie était magnifique. Et ce bleu... épatant!

Vous êtes ravissante également, votre tenue est d'une élégance rare.


Puis à Wendoline:

Non, je n'ai encore fait aucune folie. Etonnant n'est-ce pas?
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Dedain
    Il mène de loin, ce jour, la danse des tambours battant les rythmes des modes variées et avariées, lui qui immuablement n’arbore que l’obombre et s’approprie la sobre douceur de la nuit. Il laisse donc le soin à la Dame de Tressin de le mener plus avant en un duo morose et triste qu’il ne rehausse pas du tout de sa joie de vivre bien connue. Dieu que le Béarn si éclatant d’ardeurs n’a jamais été aussi mal représenté, présentement dirigé par l’aigreur et la glace sobre des hautes Flandres. Mais un peu d’éther givré n’a jamais fait de mal à personne. C’est même vivifiant, par certains côtés.

    Aussi, ailleurs, le kaléidoscope de ses pensées s’en allant bien plus loin encore que les coulisses où se glisse fleure pastelle dans soieries délicates, le Noldor laisse au Dragon attitré - celui du septentrion - le soin de faire barrage de sa langue reptilienne pour recadrer les jeunots aventureux. Ah ! Mais n’est-ce point là le comparse de l’Armagnac ? Mais si ! Il accompagne l’homologue comtal. Et puis, à dire le vrai, il n’est pas plus vieux que le Deswaard, le bougre. A tout le moins apprêté plus richement. Le régnant béarnais n’en plisse pas même le nez, laissant son minois d’airain n’afficher qu’un grand rien là où la flamande rétablit quelques anciennes velléités. Tout au plus incline-t-il le menton pour répondre à la présentation, tout en ponctuant le tout d’un «
    Bonjour, vous me voyez ravi de faire votre connaissance, Messire » déclamé d’une voix aussi morte que celle d’un poisson échoué et asséché sous le soleil de mai.

    Le Comte laisse finalement un peu d’avance à la Leffe qu’il rejoint pesamment, au moment même où Saint-Jean entame son parcours du combattant. Tout au plus, dans la caboche deswaardienne résonneront quelques psaumes divins « ne tombe pas, ne tombe pas, ne tombe pas… ».

    Par bleu ! La Fleurie, loin de tomber, s’escrime même plutôt à bien transcender la foule et à s’élever haut. Au Dédain, donc d’afficher un bref sourire satisfait. C’est qu’il aurait été bien en peine de réconforter, sur le trajet du retour, un crocus fané et en larme de s’être ridiculisé. Il fera plus aisément face aux émois de l’Amie, fière et ravie, qui refera de ses discours avisés chaque petit pas de son défilé.

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