Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

[RP] Fashion Week - Jour 2

Felip.
[Avec la Brochette des jeun's Sud RPZ !]

Quelle semaine agréable ! Festivités, joie, œuvres d'art, richesse et élégance. Le cocktail parfait qui représente le "monde" dans lequel est né et vît Felip qui se sent comme un poisson dans l'eau.
Il en profite grandement pour souffler, s'évader et oublier les tracas quotidiens que lui procurent sa lourde responsabilité de Régnant.
Mais du haut de ses quatorze ans, il a les épaules déjà bien bâties et solides. Son second mandat arrive bientôt à sa fin et il pourra en sortir que plus fier d'avoir réussi ses objectifs à la fois professionnels et personnels.

Alors qu'il continue d'admirer le défilé et ses acteurs, Lucie réapparaît vêtue d'une une robe plus "simple" mais la Vicomtesse arrive à sublimer la simplicité de manière si naturelle..
Le regard du Comte s'illumine. Toutefois, au lieu de la rassurer et de lui dire des gentillesses, Felip reste fidèle à lui même et ses "vacheries" :


L'on dit que le Ridicule ne tue poinct. Voyez Monseigneur, vous en êtes la preuve vivante.

PAF ! Après l'intervention de son homologue Béarnais, Felip en rajoute une couche. Il faut dire que Lucie a tendu la perche..
Comme si elle ne connaissait pas encore l'attitude et l'humour bien à eux des deux Comtes qu'elle fréquente !

_________________
Anne_lise.dangely
Un chuchotement, Anne se penche elle aussi vers Lily sans quitter le défilé des yeux.

Citation:
Fichtre, mais c'est pas possible, faut absolument qu'ils se montrent partout.
Mais par Dieu.... les vestures sont magnifiques et faut avouer qu'ils ont belles allures nos rosées. tu connais ce créateur ??? pour le coup je me laisserais bien tenter


Anne sourit,

Je crois me souvenir du nom "Maître tailleur, Jacques Elian" mais non, je ne le connais pas, ni lui ni son travail. Le seul couturier que je connaisse et qui se prénommait Jacques, c'est Jacques Voillot.
Tu sais, j'aime à porter mes tenues plusieurs fois tant je les aime. Et puis c'est aussi par respect pour le travail fourni par les couturiers que de les porter souvent. Alors non, je ne cours pas tous les ateliers pour le plaisir de remplir ma garde robe et de ce fait je ne connais pas tous les couturiers en vogue.


Puis la jeune femme détailla les créations et se demanda si celle-ci conviendrait à son mari. Puis suite à l'ironie de Lily elle ne put s'empêcher de se pencher vers elle et de plaisanter à son tour.

En tout cas, il a du prestige notre ancien Duc, bien plus qu'il n'en a laissé à la Gascogne après son règne.

Anne la regarda et elles se mirent à rire.
_________________
Cira
[ Côté brochette Sudiste ]

Installée entre le Castel Vilar et Deswaard, Cira garda ses yeux fixés sur la Fleurie jusqu'à ce qu'elle disparaisse au delà de l'estrade. Elle n'avait pas marché sur sa robe ni n'était tombée, tant mieux, le chemin de retour en serait que plus agréable pour l'égérie comme pour ses deux accompagnateurs. Déjà que l'ambiance avait été digne d'un enterrement à l'aller, il ne manquait plus que le retour soit pire encore.

Un léger sourire accueillie Barbazan et elle hocha la tête comme pour la rassurer.


Vous étiez très bien rassurez vous, n'écoutez pas ces mauvaises langues.

Son sourire se dessina en coin alors qu'elle désignait Dedain et Felip puis elle retourna son attention sur le défilé qui continuait.
_________________
Kenny.castel.vilar
[Avec le groupe sudiste avant de ... disparaître?]

Kenny observait, écoutait et était assez distraite en laissant vagabonder son regard dans la foule pour observer les belles toilettes que certaines personnes portaient ce jours. Autant les tenues défilant sur le parcours étaient magnifique, autant la mode était au rendez-vous même au sein des invités, au ravissement de la blondine qui ne savait plus où en donner de la tête.

Puis lorsque l'organisatrice annonça le défilé suivant, c'est avec étonnement que la blondine redressa la tête, tirant sur son cou pour ainsi voir le couple présentant les toilettes annoncés. Ses azurs s'écarquillèrent de surprise à la vue de sa mère et de son beau-père, mais une bonne surprise ceci dis alors qu'elle se demandait dans l'une de ses pensés fugace pourquoi Alvira et les autres membres de la famille étaient là et pas eux.

Un grand sourire s'afficha lorsqu'ils arrivèrent à leur niveau, surtout quand Christabella les reconnu à son passage. Qu'est-ce qu'elle lui manquait sa douce mamà et ils étaient tellement beaux dans leurs atours, Kenny ne put s'empêcher de leur faire un grand coucou enthousiaste de la main. Mais l'heure n'était pas venu de les déconcentrer et la jeune blondine avait une irrésistible envie de rejoindre la Bella et son prince charmant.

Un regard rapide sur ses compagnons qui ne prétèrent pas une réelle intention sur elle, et hop, elle s'éclipsa sans dire mot pour longer le rang en s'accroupissant légèrement, en tenant les pans de sa robe pour ne pas se prendre les pieds dedans, et rapidement pour ainsi rejoindre la sortie des coulisses.
Pour sûr que sa mère avait bien put voir son manège du haut de l'estrade et elle espérait que le couple la rejoigne rapidement s'il le pouvait. En tous cas c'est avec une impatience palpable qu'elle attendit le couple star du moment.
C'est qu'elle avait besoin de câlin maternelle la jouvencelle, surtout que sa Blondeur lui manquait terriblement.

_________________
Jacques_elian
L'homme n'était pas très prolixe ; ou plutôt, il l'était dans ses ateliers, pour produire des vêtements du quotidien pour les villageois, quelques notables, cisterciens, courtisane florentine. Mais des vêtements à exhiber dans le Monde, en cour, par des têtes couronnées, il en avait produit peu. Il répondait toujours présent quand la Couronne le sollicitait, quelle que fût le cahier des charges : produire un patron de cottes hardies pour les régentes du Domaine Royal (il avait cru apercevoir le fruit de ce travail sur la Comtesse du Maine, d'ailleurs) ; habiller le Grand Ambassadeur Royal de France ; vêtir Sa consort Majesté Crezus pour le Couronnement ; ce genre de menus ouvrages. Cela servait la renommée de ses ateliers, mais point trop n'en fallait. Il restait homme à vêtir le peuple ; il ne chassait pas sa clientèle, il fallait savoir le trouver, venir le chercher. Sauf quand, soudainement, il réalisait qu'il n'avait ni mécène ni belle tête noble pour exposer son travail lors d'un événement si particulier que celui de la semaine de la mode. Mais il ne manquait pas de ressource.

Tout avait fonctionné comme une mécanique bien huilée.
Jacques Elian avait passé une annonce pour trouver des mannequins, et il en avait trouvé.
Il avait conçu les modèles à sa guise, et les avait fait assembler dans ses ateliers d'Yssingeaux et de Troyes, et tout s'était déroulé à merveille.
Accompagné de son neveu Martin, il avait rejoint ses mannequins à Paris, et dans une discrétion et une déférence très professionnelles, ils avaient procédé aux essayages. Le maître tailleur avait lui-même ajusté les ourlets et les pinces.
Il était là, encore, au moment de se vêtir pour défiler ; veiller au grain, veiller à ce que tout se passât bien.

Quand il les avait vu partir dans la travée réservée aux créations, ce n'était pas encore de la fierté dans sa poitrine, non : il était tendu, scrutait, avide, les visages qui regardaient son ouvrage. Y verrait-il de la satisfaction ?
Cerise
--------FW / Louvre - Dans les appartements de Cerise.
-------------Acte I - Scène 1


La première journée de la mode se termina plus calmement qu'elle n'avait débuté. C'est pourtant seule que la brune s'en retourna à ses appartements au Louvre, il était hors de question que Fred se joint à elle, pas avec sa trahison. Une fois dans son lit, avec ce recul nécessaire pour faire le point sur cet échange avec luy. Tout y passa.. ses gestes, ses mots, même quand elle se laissa tenter pour luy ôter la vie avant qu'elle s'en ravisse à la vue du sang. Cela n'aurait été la première fois qu'elle aurait tué un homme mais là c'était l'être qu'elle aimait malgré sa tromperie, car il était impossible de faire disparaitre des sentiments en un claquement de doigt, même si sa plaie était grande ouverte. Pourtant certains de ses mots tournaient en boucle dans sa tête.. Etait-il sincère ? Le sommeil la gagna malgré sa peine & ses remords.. La nuit ne fut guère reposante, Griotte la passa à tourner & virer dans son lit. Au petit matin, lorsqu'un rayon du jour vint chatouiller le bout de sa frimousse, elle ouvrit difficilement ses prunelles vers le plafond, avait elle fait un mauvais rêve ? Quand elle passa délicatement ses deux mains sur son visage, tout se remit en place, elle n'avait pas rêvé, c'était bien la réalité. Réalité qui se confirma bien vite, lorsqu’elle se redressa dans son lit, elle le trouva face à elle dans un des fauteuils de la chambre. C'est vrai que la veille il luy avait soufflé "qu'ils devaient se parler... encore... que leur chemin n'était pas prêt de se séparer.." Mince ! Elle avait oublié la veille d'informer ses domestiques de ne pas luy ouvrir. Elle baissa un instant son regard en remontant le drap devant elle pour couvrir son corps dénudé, avant de reporter son regard sur le Castelviray les joues rosies. - Bonjour ! dit-elle sobrement. Je.. je ne pensais pas vous voir de si bonne heure. Vous auriez du demander à ce qu'on me réveille au lieu de vous introduire dans mes appartements sans y être invité..

Lui, il était bien là, cela depuis quelques minutes, peut être même une petite heure, il la regardait dormir peut être même un peu ronfler, enfin non on dit que les Dames ne ronfle pas cependant elles peuvent baver durant leur sommeil, si si. Il n'avait pas bougé d'un pouce attendant son réveil. Il avait pu apercevoir la percé du jour au niveau de la fenêtre, un rayon de lumière qui prenait doucement le chemin du grand lit pour arriver petit à petit sur ce visage blanc qui devenait lumineux, il brillait par endroit tel un joyaux. Il ne put s'empêcher d'avoir un léger sourire à ses lèvres. Et oui des expressions qu'il n'avait finalement que lorsqu'ils étaient tous les deux. Puis aux paroles prononcées il répondit. - Bonjour votre Grandeur ! Dit-il avec un peu plus de chaleur. Point invité dites-vous? Mais vous m'avez bien invité à agir à ma guise hier afin de venir vous voir, l'avez vous donc déjà oublié? Non mais... je ne pensais pas vous trouver à mon réveil.

Il reste là sans bouger, les gens de maison avaient fait amener le petit déjeuné à la demande du Duc. Il désigna la table de la main, oui elle était en petite tenue mais il l'était également, il ne s'était pas changé avant de venir ici. Il se lève et prend place à la petite tablée. - Je suis donc ici afin que nous parlions tous les deux, je vous en prie rejoignez moi.Assied bien droit dans son fauteuil, chacune des mains posées sur le bord de table, il attend patiemment, du moins pour le moment. Elle se leva pour le rejoindre, prenant soin de glisser une étoffe sur elle, elle resta étonnée par la douceur de ses mots, qu'allait il encore luy sortir pour l'amadouer ? Elle prit place non à côté de luy mais bien en face, tout en posant son regard sur luy. Il la suit du regard sans s'en détourner un seul moment, il l'observe de la tête au pied, scrutant le moindre détail entre l'état de ses petits pieds, passant pour le long de ses jambes, puis ses bras jusqu'au bout de ses doigts pour ensuite remonter doucement vers ses formes puis jusqu'à son menton, ses joues, ses lèvres, son nez pour finir sa course dans ses yeux. Il l'écoute avec attention. - Vous voulez parler de quoi ? Tout fut dit hier, vous m'avez trompé en brisant tout le lien entre nous. Ce n'est pas parce que je n'ai pas réussi à vous planter cette lame hier que je désire vous avoir encore à mes côtés. Vous avez trahie ma confiance, vostre promesse de n'aimer que moy. Malheureusement, l'Homme est pêcheur et j'avoue mon pêché dans me cacher. Il est vrai que j'ai succombé au malin, à la luxure et à la tentation. J'ai rompu notre promesse et je me suis également parjuré moi même en brisant l'une des valeurs à laquelle je portais le plus d'intérêt... Cependant je ne souhaite pas en rester là, je veux pouvoir expier mes fautes, je souhaite de tout cœur obtenir votre Pardon sous le regard du Très Haut !

Au fond elle, elle avait de multiples questions qui ne trouvèrent de réponses depuis hier, elle essaya de comprendre le pourquoi du comment mais rien à faire. Voulait elle vraiment savoir ? N'allait elle pas souffrir davantage ? Oui elle avait des questions et des plus légitimes. - Dites moy, pourquoi vous avez fait cela ? Était ce la première fois ? Où cela dure depuis des jours, des semaines, des mois. Pourquoi avoir emmené cette trainée sous mes yeux ? Vous n'avez même pas eu la décence de vous cacher. Il porte ses mains devant lui en les joignant. C'était là bien la première fois qu'il me vient de fauter... Cela a duré tout juste trois ou quatre jours... J'avoue que je ne pensais nullement que vous viendrez ici encore mois avec le Cavalier que vous aviez... Mais une chose est certaine c'est que je ne comptais nullement vous le cacher, il était clair dans mon esprit qu'en rentrant vous retrouver j'allais tout vous avouer, absolument tout, car nous nous disons tous.

Il se stoppa un instant attendant sa réaction et peut être d'autre question. Elle avait du mal à y croire, elle serra discrètement ses poings au poinct que ses ongles s'enfoncèrent dans sa chair.. - Autant de jours.. Autant de jours à me salir et vous voulez mon "pardon" ? Vous me l'accorderiez vous si je vous débinais le même dialogue ? Vous pensez quoi ? Que ma réaction aurait été autrement en l'apprenant de vostre bouche après ce défilé ?

Elle se leva énervée, tournant le dos à Fred pour aller devant l'une des fenêtres de ses appartements. Il l’écœurait au point de sentir ses larmes monter qu'elle put contenir de justesse.. Lui n'avait pas bougé, il restait assied encore un moment avant de se lever également et de venir dans son dos pas encore trop près. Elle savait qu'il était non loin d'elle, par ses frissons qui la parcourraient, comme à chaque fois qu'ils étaient aussi proches l'un de l'autre, et pourtant là, en ce jour, elle n'aurait du rien ressentir..

- Je pense que si la situation avait été inversée j'aurai crié, j'aurai boudé, j'aurai certainement ôté la vie de celui qui aurait été votre amant mais si vous m'aviez présenté des excuses sincères en expliquant que vous avez succombé devant le malin, par amour j'aurai pardonné. Elle crut rêver laissant ses yeux rouler au ciel. J'aurai exigé certaines choses, comme le port d'une ceinture de chasteté en mon absence.. Oh mais cela j'y compte bien, exiger des choses de vous à conditions que j'arrive à oublier, à pardonner. Mais je vous aurais pardonné car lorsqu'on succombe au malin ce n'est d'aucune façon du fait que l'on s'aime moins mais que la tentation de la chair a été trop forte et nous ne sommes que des Hommes, que des bêtes certes avec de l'éducation mais lorsqu'on regarde certaines personnes comme d'ailleurs votre Cavalier d'hier... nous restons des animaux. Il aurait dit une mouche à merde pour son exemple mais ce n'était pas le moment de sortir de telle affirmation. La brune profita de sa pause pour répondre. Donc, imaginons que demain je succombe à la tentation c'est normal pour vous ? Vous vous rendez compte de vos mots ? Des efforts que j'ai du faire pour repousser les avances qu'on m'a fait... par amour pour vous... Puis il poursuit. Alors oui mes excuses sont sincères, elles ne sont pas juste pensées et dites pour faire plaisir, elles sont véritable, aussi véritable que le battement de mon cœur, un cœur toujours aussi épris par vous, un cœur donc vous êtes la seule maîtresse des lieux. Il s'approche alors doucement encore pour qu'à cette instant son souffle puisse être ressenti par la Bonnemaison, que doucement elle sent la chaleur de sa présence gagner son dos. Elle se décala légèrement, ne souhaitant plus de contact avec luy et s'il prenait le risque d'avancer plus cela pourrait mal finir pour luy. Et si... vos sentiments à mon égard n'étaient plus présent peut être que... Elle ne put que souffler à demi mots.. Bien sur que si mes sentiments envers vous sont encore présents mais... Il retire à cet instant sa chemise pour dévoiler son torse et laisser sa propre main effleurer cette blessure qu'il n'avait pas encore traité... Peut être que vous auriez réussi à faire de cette blessure, une blessure mortelle, regardez là donc, touchez là. Il lui vient lui attraper le poignet avec la seconde main afin de conduire cette dernière sur la blessure et qu'elle puisse la voir sans aucun tissu devant. Une blessure qui s'était certainement infestée. Elle se laissa conduire, effleurant du bout de ses doigts cette blessure qu'elle luy avait infligé. Remplie de remords par ce geste qui aurait pu luy couter la vie. Je ne souhaitais pas cela, pas une blessure physique, juste que vous ressentiez la même souffrance que moy même.

Il la regarde encore droit dans les yeux Elle n'arriva pas à tenir à son regard, il plongea de nouveau vers cette blessure. Alors exigez de moi une souffrance que je puisse obtenir votre pardon, que je puisse espérer que nos sentiments qui sont bels et bien encore réels l'un envers l'autre puissent continuer à fleurir notre vie, notre existence et je serais moi même près à faire des concessions ! Concessions ! voilà un mot qui la fit réagir. Pour prouver que mon cœur est toujours votre, pour vous prouvez que je parle ici avec mon cœur et non par avis, non par besoin et que tout cela n'est nullement un mensonge, pourquoi d'ailleurs devrais-je mentir en ce moment même? Il n'y a aucune raison qui m'obligerait à cela... même malgré le fait que vous êtes venu ici avec l'un de mes ennemis en tant que Cavalier et cela sans même savoir que je serais là ! Elle fit comme si elle n'avait rien entendu pour son cavalier du jour.. - Vous seriez prêt à faire tout ce dont je désire de vous ? Ne plus la revoir ? La sortir de vostre vie, de nostre vie ? De ne plus jamais fauter au risque de me perdre définitivement ? Et si je désire me venger de vous, prendre un amant trois quatre jours, histoire que nous soyons sur le même pied d’égalité vous n'y voyez aucun inconvénient.

Il acquisse de la tête mais ajoute. Je ne chercherais plus à la revoir cependant je tiens tout de même à souligner qu'elle sera l'épouse de Sepa, nous serons donc forcément amenés à la croiser surtout que en tant que vassal de notre amie Tatie Deedo elle peut être amenée à œuvrer en politique donc je la croiserai dans le cadre professionnel cependant plus aucune dérive, le contact restera professionnel en tout temps.. Elle tiqua un peu à ses derniers mots, en fait jamais elle ne sortira de leur vie... Cadre professionnel ou pas vous la verrez... encore... seul à seul.. comment puis je être certaine que vous ne fauterez plus dès que j'aurais le dos tourné, sans que cette fois plus personne ne vous surprenne ? Il sourit un peu et répond : Car je porterais pour commencer cette ceinture de chasteté que vous seule détiendrez la clé. Qu'en pensez vous? Car vous pensez que sans cette dernière.. vous n'arriverez pas à vous retenir pour luy sauter de nouveau dessus ?

Son visage s'assombrit de nouveau. Elle ne pouvait pas pardonner à cette femme, c'était au dessus de ses moyens. Luy prendre son promis alors qu'elle même allait épouser Sepa.. Elle ne savait plus quoi faire, ni dire, tout remonta de nouveau.. Ses deux mains vinrent s'abattre sur le torse dénudé de Fred en le poussant en arrière et laissant cette fois ses sanglots éclater. - Je vous déteste Fred. Comment avez vous pu me faire cela ? Immiscer cette femme entre nous, dans nostre vie. Vous vous rendez compte de ce que vous me demandez ? Je vais devoir me la coltiner, la croiser, je.. n'arrêterais pas de l'imaginer dans ses bras. La brune trembla par cette douleur qui l'assaillit de tout son être, le bout de ses doigts dessina le contour de ses joues pour effacer les traces des larmes qui perlaient sur ce dernier. Promettez moy !! Promettez moy de limiter vos contacts avec elle que dans le cadre du travail, sans jamais vous livrer à un tête à tête avec elle, jamais... Et que si cette dernière osait elle un seul jour vous écrire que vous me partageriez la moindre de ses lettres ? Sans douter un instant de ses mots : Oui je vous le promets !

Elle était si proche de luy, dans un état de tristesse, de douleur comme jamais elle n'avait pu ressentir de sa vie... Sauf peut être quand son défunt époux s'en était allé rejoindre le Très Haut. Ce qu'elle donnerait cher pour qu'il la prenne dans ses bras un instant, pour la consoler, luy accordant tout ce qu'elle luy quémandait. - Montrez moy que vous m'aimez... Rajouta-t-elle pour appuyer ses demandes. Et que je concède également que d'ici quelques minutes je prendrais ma plume afin de renoncer à la prendre pour Vassale.! Elle ouvrit en grand ses yeux, restant un instant silencieuse. Avait elle bien compris ? Vous.. Vous feriez ça par amour pour moy.

Oui ! Puis marque une pause avant de reprendre. Pour ce qui est de prendre un amant j'accepterai mais... mon dieu ne prenez pas de la vermine comme ce que vous avez amené à votre bras hier... N'allez pas non plus souiller votre corps avec les cafards de la pire espère... Elle posa son index sur ses lèvres. Alors ça, si cela devait arriver, ça ne vous regardera pas celuy que j'aurais choisi pour assouvir ma vengeance. Luy avait il demandé son avis pour la blondasse ? Non.. donc.. Il secoua la tête car il avait dit ce qu'il arrivera à tout amant de Sa Promise, il sera saigné comme un vulgaire porc sans valeur. Puis pour démontrer que si, cela le regardait, il la prit dans ses bras pour lui voler un baiser... mais pas un baiser sage... non ! Elle était trop proche de lui depuis trop longtemps qu'il avait lui même faim ! Cerise n'eut le temps de comprendre ni de réagir qu'il luy prit en otage ses lèvres, baiser qu'elle savoura bien malgré elle.


RP écrit à 4 mains avec JD Fred

_________________
Jenifael..luna
    Elle sourit et annonça.

    "- La prochaine est divine ! "

    Une tenue, qu'elle porterais volontiers, malgré son rang modeste, elle se mordilla la lèvre, surement qu'une fois mariée, elle pourrait la porter.

    "- La tenue suivante porte le nom de Nuit royale. Elle à été cousu par Constance d'Orsenac et elle est portée par son Altesse royale Mélissandre de Malemort. "

    Elle continua.

    "- Il s'agit d'une magnifique tenue à l'italienne bleu roi, toute brodé d'or, elle possède des manches ballons crevé et portée sur une chemise blanche. "

    Elle laissa place à Mélissandre.

_________________
Melissandre_malemort
Attention, ça défile !👗


Mélissandre n'était pas particulièrement nerveuse. La création issue des doigts de fée de Constance était une véritable splendeur, si bien qu'elle en regrettait presque de ne pas être dans le publique pour pouvoir enchérir.

Après un instant en bout de podium, la jeune fille fit demi tour et retourna vers les coulisses. Défiler, c'était finalement le quotidien d'une femme de son rang. Parfois on était applaudie. Souvent non. Enviable, son rang? Il fallait être bien naive pour croire qu'elle aimait cela. Que quiconque aimait cela.

Mais la robe était belle... Vraiment belle.


Zoyah
[Parmi les spectateurs]

Encore une robe tout à fait dans ses goûts et dans ses teintes en plus. Bleu et or. Et un joli bleu foncé en prime. Seul hic, Jennifael n’avait mentionné pas les étoffes. De là où elle était assise, la vicomtesse avait l’impression que c’était de la soie ce qui en rehaussait la valeur. Toutefois, il fallait bien avouer qu’elle était une véritable quiche. Elle tentera tout de même une enchère en espérant qu’elle réussirait à repartir avec une robe à l’issu de la FW.
_________________
Lucie
      [On dirait le Sud, le temps dure longtemps... Ou pas.]


    - Vous avez marché. Par chance, vous savez encore le faire bien.
    - L'on dit que le Ridicule ne tue poinct. Voyez Monseigneur, vous en êtes la preuve vivante.
    - Vous étiez très bien rassurez-vous, n'écoutez pas ces mauvaises langues.

Oh, les faux frères ! Les vils ! Bras croisés, la Fleurie tente de garder une moue vexée à sa petite bouche pâle mais celle-ci ne se laisse point dompter. Ainsi, là où Saint-Jean se voudrait grave et furieuse pour que les deux zigotos s’excusent d’ainsi oser se foutre de sa jolie tronche, un irrépressible sourire s’en vient colorer son minois. Qu’ils rient d’elle, surtout. Qu’ils ne s’arrêtent pas car ces douces démonstrations d’amitié sont autant de perles qu’elle collecte avec un bonheur léger.

    - Notons, demoiselle Cira, qu’il ne faut pas laisser ces messieurs devenir trop amis. Ça serait un coup à ce que je passe la moitié de mes journées vexée comme un pou, réplique-t-elle d’un ton léger avant de revenir au défilé.

Là elle perd subitement son sourire. Il est aisé d’être heureuse tant qu’elle ne songe pas à l’échec de ses fiançailles, tant que celle qui incarnera sûrement pour toujours ses peines ne se trouve pas sous son nez. C’est beaucoup moins facile lorsque cette dernière glisse lentement sous son regard chlorophyllé. Elle ne s’abandonnera pas aux bras du tentant Léviathan, cependant. Elle connait la haine, elle a goûté à la tristesse. Elle n’en veut plus. Et c’est d’un ton infiniment doux qu’elle commente la tenue.

    - Ces manches et ces broderies sont ravissantes. C’est du très bel ouvrage.

_________________

Heloise
La jeune femme s'était tranquillement préparé pour la seconde journée de fashion week. En plus aujourd'hui Mélissandre défilait.

Comme la veille, elle prit tranquillement place dans les rangs des spectateurs admirant les belles tenues. Non elle ne pensait pas renchérir à moins d'avoir un coup de coeur, elle n'était pas du tout assez fourni en écu pour se permettre une telle folie.

Cependant il était évident que toutes ces tenues étaient sublimes et faites par des doigts rompu à cette tâche délicate.

_________________

Recherche mariage arrangé. Intéressé ? MP !
Primha
    Quand Merveylle vint la rejoindre, Primha lui adressa un sourire, non sans remarquer le soupire qui s'était échapper des lippes de la Boisée. Lors de leur rencontre, elle avait déjà évoquée cette semaine, chargée et fatigante, alors, dans une inspiration, l'Argentée hocha la tête.

      Les tenues sont merveilleuses. Je ne vous remercierais jamais assez de m'avoir emmener ici ! Je ne suis pas très.. a mon aise, mais j'aime assez ! En retour, je vous emmènerais dans mon monde.. Vous avez besoin de laisser échapper bien des soupires !


    Dans une nouveau sourire, elle vint tapoter la main de son amie. Il était hors de question qu'elle ne perde son éclat ! Le regard se porta sur la toilette bleuté, merveille à son tour elle aussi. Soupirant à son tour, Prim pencha la tête sur le côté.


    Si un jour j'obtiens une robe pareille, je la met sous clé je crois ! Mais comme ce n'est pas prêt d'arriver.. C'est mon rêve que je vais y mettre !

_________________
Jenifael..luna
    Elle continua.

    "- Mes dames, la suivante est un classique, un intemporelle de nos gardes-robes. "

    Elle sourit, la tenue était magnifique, sa préférée de la créatrice Valeryanne.

    "- Elle à été crée par Valeryane Llobregat de la Duranxie Von Wittelsbach, couturière des fées tisserande, fournisseur royal, la tenue est porté par Elenwë de Walburghe, Duchesse d'Evreux et il s'agit d'un robe à Tassel rose galonnée d'or et ornée d'un tassel rose brodé d'or. Elle est portée sur une cotte dorée agrémentée de broderies rosées. Elle est doublée de fourrure de lapin, visible sur le revers. Un bandier aux motifs rouge sang, beige, vert et agrémenté de gemmes coloré rouge, ceintre la taille. "


    Elle laissa place à la tenue.

_________________
Elenwe
Elen n'aimait pas du tout la foule et en général faisait tout pour éviter les réunions de plus de dix personnes. Mais suite à un concours de circonstances, elle avait dit oui à Gauttier lorsqu'il lui avait proposé de défiler en portant une des magnifiques robes confectionnées par Valeryane.

Franchement, comment refuser ? La Duchesse trouvait que la couturière des Fées avait justement des doigts de fées et c'était presque un honneur d'avoir été choisie pour la représenter.

Un brin nerveuse, elle attendait son tour dans les coulisses et lorsqu'elle entendit son nom, son cœur manqua s’arrêter. Prenant une profonde inspiration, elle s'avança.

Elle était la plus belle, ça la Brune n'en doutait pas, mais voir toutes ses têtes tournées vers elle était sacrément impressionnant.



_________________
Sofja
    La Jagellon était toujours à sa place sirotant la douce boisson sucrée dans son hanap. Une nouvelle création arriva et pas n'importe laquelle puisqu'il s'agissait d'une tenue de son amie Constance. Plus les mois passaient plus son talent augmentait. Elle était ravie pour elle d'une telle progression, comme quoi la persévérance paye toujours. Melissandre porterait cette robe, forcément de quoi la sublimer. Et c'est sans aucune doute car elle arriva sur le podium. Sofja applaudit le prestation de la Princesse mais surtout le travail de l'artiste. Elle marqua une note sur son parchemin qu'elle retentit à son valet. Elle ferait le point à la fin de la journée pour faire ses enchères finales.

    Place à une nouvelle robe, cette fois ci de Valeryane. Chaque fois qu'elle entendit son nom, elle ne pouvait penser qu'à son ex fiancé qui était un membre de sa famille. Bref, elle se concentra sur la robe qui était tout également sublime avec des couleurs chatoyantes comme elle les aimait. Dur dur ses enchères, elle aimait tout mais son budget était limité. Mesme si elle vivait aux frais du couple royal depuis qu'elle était dame de haut parage, et qu'elle faisait de sacrées économies, elle restait une dépensière raisonnée.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)