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[RP] Fashion Week - Jour 2

Jenifael..luna
    Elle sourit. La prochaine été porté par la ducale tantine.

    "- La suivante s'appelle Précieuse Nocturne. "

    Elle continua.

    "- Elle à été cousu par maître Elène Célèste Voillot, maîtresse couturière aux Doigts d'Or, elle à crée une cotte noir, brocardé d'or, avec une ceinture d'or, sertie de gemmes blanches, agrémenté d'un col très large entièrement noir. "

    Elle termina.

    "- La tenue est porté par Axel d'Irissarri-Baccard, Duchesse du Val d'Oze."

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Jenifael..luna
    Le défiler c'est ici !


    Et Axel, défila.


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Fred
--------FW / Louvre - Dans les appartements de Cerise avec Fred.
-------------Acte I - Scène 3 & Fin.

Cerise ne savait pas comment luy échapper, elle ne voyait aucune issue possible avec cette porte fermée, luy si près. La seule solution possible était de l'amadouer pour luy faire tourner la tête. Elle le fixa, piétinant debout sur le lit.

Vous comptez faire quoi avec vostre ceinturon ? N'allez pas vous blesser, vous êtes si peu habile.

Bien sur, il n'en était rien, un soldat si expérimenté, mais elle aimait le provoquer.. toujours... c'était leur petit jeu à eux qui les amusaient depuis tous ses mois ensemble. Elle se tenait prête à bondir.. pour cela elle prit dans ses mains l'étoffe au niveau de ses cuisses, soulevant un peu pour dégager ses chevilles, histoire de luy filer entre les doigts. Mais que comptait il faire avec ça en main ? Pensait-il pouvoir la battre ? Il n'oserait pas quand même... Aux mots prononcés par Cerise, il eut un petit rire contrôlé et il se mordit la lèvre pour ne pas déraper d'avantage

Je ne saurai dire... peut être que j'ai une grande envie de vous corriger avec une petite fessée !

Il laisse sa seconde main glisser le long de la ceinture en cuir tout en gardant son regard sur elle, se déplaçant pas à pas pour s'approcher d'elle tout en gardant un petit sourire au coin des lèvres. Elle roula ses prunelles aux yeux, comme si elle allait se laisser faire. Elle s'approcha de luy même si cela fut dangereux, il fallait bien tenter de l'amadouer puisque aucune sortie de cette chambre n'était possible. Elle se laissa tomber sur ses genoux tout en passant ses bras autour de son cou, avant qu'une main glisse doucement pour venir luy caresser sa joue. Lui laisse ses bras passer autour de sa taille sans lâcher ce qu'il tenait entre les mains, il ressert leur étreinte.

Vous ne trouvez pas qu'il serait bien plus agréable de se faire pardonner mutuellement mais d'une manière plus agréable...

Ah vous avez une idée particulière? Cela pourrait être intéressant effectivement, dites moi tout.

Il l'observe attentivement dans les yeux laissant l'une de ses mains lui caresser doucement le dos du bout des doigts. Il prenait le temps de regarder chacun de ses gestes, expression du visage cherchant à comprendre et savoir ce qu'elle avait en tête exactement. Malgré les frissons provoqués par ses caresses, elle essaya de se libérer sentant bien la pression de ses bras autour d'elle.

Mais ça suffit !! Vous me faîtes mal ! Lâchez moy de suite sinon je me mets à hurler. Elle grogna un peu, bien énervée essayant toujours de faire glisser ses bras autour le long de ses hanches. Vous ne voyez rien ? Regardez sous moy et devant vous.. nous pourrions y faire tellement de bêtises, bien plus appréciable que ce que vous semblez avoir en tête. Elle n'aimait pas le voir tenir son ceinturon, elle approcha ses lèvres pour effleurer les siennes sans pour autant les sceller, laissant juste un ti souffle chaud venir le tenter. Il sourit vu le jeu qu'elle lui fait mais tente de résister au maximum.

Laissez vous aller.. Cela serait si... agréable de pouvoir... vous sentir si proche de moy à nouveau, histoire de vous accorder pleinement mon pardon.. A moins que vous préférez la compagnie de vostre blondasse..

Elle s'en mordilla la lèvre, pensant de suite qu'elle aurait du contenir ses derniers mots, à coup sur il allait repenser à son cavalier du jour et luy faire payer son insolence... voir trahison.. Tout en remontant ses pupilles vers luy, sa main caressa de nouveau sa joue.. Il ressert encore un peu l'étreinte qu'il y a entre eux pour coller d'avantage leurs deux corps

A c'est ainsi que vous vous êtes prise aussi pour invité ce chien de cavalier pour les festivités? C'est cela? Et ma blondasse, ce n'est pas ma blondasse, je n'ai plus rien à faire de celle là... honnêtement... je préfère encore mourir ! mais ne pensez pas que j'oublie ce chien ! qui était à votre bras ! Ah non non non !

Sourit à ses mots sur la blonde, il fallait maintenant le calmer. Oui mais c'est un ami, et vous savez vous n'aimez pas ce genre de rassemblement à Paris, sinon vous m'auriez emmener danser au bal. Et c'est vostre faute, vous le refusez à moy et pas à cette trainée. Et arrêtez de serrer encore plus, vous allez me couper le souffle. Lâchez moy sur le champs!! A ses mots, elle se tortilla pour luy filer entre ses bras mais rien à faire il la maintenait trop fermement. Oui il n'avait nullement l'intention de la lâcher d'ailleurs les mots qu'elle venait de prononcer le fit bouillir de l'intérieur.

Un Ami? Ah oui j'avais oublié que vous comptez rester ami avec les ennemis de votre futur époux. Voilà qui est des plus étrange vous ne trouvez pas? Il la garde bien tout contre lui. Vous lâchez? Nullement je ne fais que resserrer notre étreinte, cela pose-t-il un problème?

Fait non de sa tête avec sa moue boudeuse.

Mais non il n'y a rien d'étrange je ne vais pas luy sauter dessus et inversement. Après tout, il n'avait qu'à luy imposer des limites si cela le mettait si en rogne. Oui ! Vous me faites mal, j'aimerais aller me préparer pour que nous allions au défilé, si vous voulez m'accompagner. Vu que vous semblez guère réceptif à ma demande pour vous détendre avec moy. Vrai qu'elle aimerait mieux sentir la douceur de ses mains, ses lèvres que cette boucle de ceinturon qui entre dans sa peau. Il se retient de rire en la voyant mais se retient avec brio

Vous vous affichez tout même avec l'un de mes ennemis à votre bras ! C'est bien une trahison ! Surement pas ! Vous mélangez tout.

Puis la regarde avec attention suite à sa demande pour se rendre au défilé.

Mais je croyais qu'on allait se pardonner l'un l'autre ici sur ce lit? Vous ne le voulez donc plus?

Pose ses prunelles sur luy. si je ne veux plus ? Ouvre un peu plus ses yeux.. Non mais vous vous fichez de moy là ?

évite de sourire toujours en se contrôlant au maximum.

Et bien oui, vous semblez si pressé d'aller au défilé... je me pose donc la question légitimement !

Elle avait envie de le secouer là, à coup sur il jouait avec ses nerfs.

Non mais depuis que vous avez dit oui à toutes mes exigences, que vous m'avez fait cette belle preuve d'amour pour ne pas la prendre vassale, je n'ai que cette envie... m'unir à vous, vous sauter dessus.. consolider nostre réconciliation.. Mais vous êtes plus obnubilé par mon cavalier du jour.. Mais il faut oublier non ? Vous rester en colère mais il ne fallait pas que vous fautiez..

Se tait car luy aurait bien soufflé "on récolte ce que l'on sème", elle se pinça les lèvres un peu énervée par sa crise de jalousie. A un petit rire nerveux avant de se reprendre.

Evidemment ! C'est vrai que si je n'étais pas venu à ce défilé vous y seriez allé tout de même et je n'aurai pas été mit au courant que vous y êtes allé avec ce Chien. Ce n'est pas juste un cavalier ! c'est un chamoniard qui base sur moi dès que j'ai le dos tourné. Et cela m'apprendra? De voir ma fiancé avec mes ennemies et les traiter comme des amis? Bientôt je vais les retrouver autour de notre table chez nous si je vous laisse continuer ainsi. sourit mais oui oublions la soulève pour la porter sur son épaule car elle est légère et l'amène sur le lit et la sur le ventre sur ses genoux. Surprise ! Elle l'était. Elle pensait avoir un peu coup de gueulante ou un bon retour pour son insolence, elle l'aurait bien mérité pour luy causer de la sorte surtout d'un de ses ennemis.Hannn ! La voilà portée comme un vulgaire en sac de farine, très élégant m'sieur le Duc, elle en avait le souffle coupé. Sa main libre vient en premier lieu lui faire des caresses sur le dos puis jusqu'à sa croupe, laisse sa main descendre le long de sa croupe pour aller sur le jambe afin que la main passe sous les tissus, à même la peau et remonter jusqu'à ses petites fesses. Il remonte le tissu de telle, qu'il voit ainsi la blancheur de la peau des fesses. J'avoue que cela donne faim de voir ça !Très Faim même ! Mais Lâchez moy bondiou !! Elle se débat pour luy échapper.. même s'il la fit frissonner par ses mains effleurant son corps. Avec son autre bras la maintient à sa place, il avait là assez de force pour la tenir Tutututu, en ne s'enfuit pas, interdit. Je vais prendre mon repas il ne faut pas fuir ! Dans cette position, impossible de luy filer entre les doigts, malgré maintes essais, tous finirent en échec, il était bien trop fort pour elle. Lâchez moy Castelviray.. De suite.. Se débat de toutes ses forces, il rêvait là.. elle essaya de le gifler, le griffer mais rien à faire, il avait plus de force qu'elle. Seul moyen qu'elle trouva fut de le mordre à même sa cuisse. C'est fini oui !

Elle se recouvrit sans y arriver. La regarde et maintient le tissu levé Je n'ai donc pas le droit de vous manger? Ici maintenant? Vu que je ne peux calmer ma colère je vais devoir faire ce qui est à faire donc? puis avec l'autre main il prend la ceinture et la fait claquer un peu sur ses fesses sans mettre trop de force au début. Tout cela continuait dans un espèce de petit jeu entre lui et elle dans une discussion qui avait toujours la même teneur. Le Castelviray avait donné une fessée à sa Fiancé pour lui faire comprendre qu'elle avait fait une faute. Elle n'avait pas fait de faute, elle le niait malgré qu'il luy infligeait ses ti coups de ceinturon, par moment ses mains protégeaient sa peau meurtrie par le cuir qui s’abattaient sur elle, elle luy répondit avec insolence, non mais. Elle continua toujours à se débattre pour trouver une solution et se faufiler loin de luy, malheureusement sans réussite. Mais il n'avait pas cherché à lui faire de mal, d'ailleurs ce moment avait légèrement débordé... tout cela avait fini dans une visite sur les draps. Elle n'avait eu le temps de comprendre qu'elle se retrouva plaquée sur le lit, encore prisonnière de son promis, ce jour il prenait un malin plaisir de la priver de tout mouvement. Elle ne put que fermer ses yeux pour ressentir toutes ses sensations qui s'emparaient d'elle, ses mains caressant son corps, ses lèvres effleurant sa peau brulante, tout son être le réclamait tout comme il avait une folle envie d'unir leurs deux corps, mais il avait décidé de s'amuser de la faire languir, le supplier.. jusqu'à ce qu'il décide qu'il était temps de s'unir, de partager ce moment torride, laissant leur corps s'enflammer.

Un autre moment inoubliable pour le couple Bonnemaison-Castelviray. Une journée qu'ils passeront au lit ensemble après s'être donné l'un à l'autre sans retenue, une telle passion qui prouvait que les deux s'aimaient toujours comme jamais. Un moment qui donnait le départ d'un renouveau, un second départ mais le dernier possible c'était une certitude. Ils avaient su faire face à cette épreuve ensemble.


C'est avec Cerise dans ses bras, recouvert par les draps qu'il lui souffle à l'oreille Je vous aime tant Ma Sucrerie ! Elle restait toute blottie contre luy, ses mains vagabondaient sur sa peau, le caressant du bout de ses doigts, avant de luy souffler. Je vous aime aussi mon Promis. Mais la brune ne voulait pas en rester là, elle se faufila sur luy pour bien être face plongeant son regard dans le sien et dans un sérieux le plus total. Vous ne recommencerez pas ? Plus jamais ? Vous promettez ? Elle attendait sa réponse avec appréhension, se rendait il compte qu'il avait failli la perdre.. mais réellement.. et puis elle voulait clore ce chapitre... et sans réfléchir il répondit d'un ton certain Oui, clairement oui je vous le promets ! Aucune chance ! que je recommence... enfin vous faire l'amour ça j'y compte bien cependant ! et qu'avec vous ! Elle rougit à ses mots, voilà qu'il luy donna encore faim. Puis rajoute. J'aurai moi aussi une demande à vous faire. Celui de ne plus voir Altaiir uniquement dans des rapports professionnel s'il venait à entrer dans votre office. Cela est-il possible? il la regarde avec profondeur. Alors qu'elle voulait poursuivre dans sa lancée ses confidences et sa décision, il luy coupa son élan. Elle hocha son ti minois, en venant taquiner le bout e son nez. Et dans un murmure.. Je ne sais pas si vous méritez que je vous accorde cela. Oui il fallait bien qu'elle l’embête un peu. Oui mon bien aimé, cela est possible, je ne vous savais pas autant jaloux. Et là, elle put enchainer.. Car vous savez... luy sourit amusée Je voulais vous avouer.... que... que... je vous pardonne... oui oui... je vous pardonne... pour vostre amour pour moy, pour notre couple... l'embrasse tendrement avant de venir luy souffler au creux de son oreille, espérant qu'il apprécierait ses mots.. Vu vos mots, vos gestes par amour, toussa... je... respire un ti peu avant de poursuivre il n'y aura pas de vengeance de ma part... pas d'amants... je ne peux pas, je tiens trop à vous, je vous aime trop.. elle n'osa plus le regarder de peur de sa réaction. il l'écoute touché par ses mots il vient glisser ses deux mains sur chacune de ses joue, il relève un peu son buste pour venir lui voler ses lèvres et l'embrasser tendrement en profondément dans un baiser embrasé. Je vous aime aussi d'un amour fou ! Tellement elle eut peur de le perdre, sortir ses paroles ne furent pas facile.. sa blessure s'estompera au fil des jours par son amour & cette merveilleuse journée remplie d’émotions. En l'embrassant deux petites larmes perlaient sur son visage.. Heureuse !! Pour elle, pur luy, pour eux.. elle resta ainsy près de luy.. profitant de sa journée dans ses bras, assouvissant leur gourmandise insatiable.

RP écrit à 4 Mains avec Jd Cerise.

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Pattricia
Coulisses !




Depuis son arrivée, elle a du mal avec le capharnaüm organisé qui l'entoure. Les gens sont tellement affairés que personne ne répond à sa question. Prenant le taureau par les cornes, elle soulève les pans de sa robe de deuil et avance à grands pas sous le chapiteau. Elle aperçoit Val qu'elle évite, non pas par animosité, surement pas, mais parce qu'elle ne se sent pas assez de force pour lui parler, craignant de s'effondrer de douleur en présence de la volcan.

Elle continue donc tout droit, les jades fixés vers un point invisible loin devant jusqu'à ce qu'elle aperçoive enfin une affiche indiquant la zone réservée au Mont Saint-Michel.

Tout le petit monde de la Boutique du Lys est là, s'agitant comme des marins au milieu d'une tempête et elle en reste plantée comme un piquet, interloquée par le choc produit par cette effervescence en opposition à son froid intérieur.

Toussotant pour trouver un peu de voix, elle finit par se signaler.


Bonjour...





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Égérie de la Boutique du Lys
Lucie
Les robes se suivent et ne se ressemblent pas et c’est ainsi qu’après un océan de bleu, on passe à une merveille pourpre que Lucie, si elle se sent tout à fait incapable de la porter, admire sagement. Puis la renarde, charmante hôtesse des Doigts d’Or dont elle apprécie sincèrement le travail, qui s’avance sur le podium. Lâchant un soupire émerveillé, la Fleur admire la finesse de son ouvrage avant que les choses ne s’enchainent. Du rose et des roses pour la création suivante. Voilà qui lui plait sans aucun doute, d’autant que la coupe est charmante. La seule chose qui la chafouine est la coiffe ; c’est qu’elle profite encore très largement de sa jeunesse pour se balader en cheveux.

    - Dieu que toutes ces robes sont bel… Commence-t-elle à l’attention de ses camarades avant de se taire, stupéfaite par le nouveau passage.

La robe est de sable et d’or. Sobre. Délicate. En un mot ? Incroyable… Et c’est avec la bouche entrouverte que la Saint-Jean la regarde passer. Elène vient de réaliser un miracle. Elle a donné envie à la Fleurie de porter du noir.
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Constance..
L'Orsenac en ce deuxième jour avait revêtu une tenue de Maistre Valeryane avant de se diriger vers les jardins, toujours en compagnie de son fiancé princier, il avait défilé la veille dans la tenue qu'elle avait créée. Et il avait tout simplement été parfait. Les préparatifs de leur union avançaient petit à petit, sans anicroches. Elle devait aussi faire sa confession dans les prochains jours, rendez vous avait été pris avec l'Aumônier qui la confesserait et qui officierait également à leur union devant le Très Haut et les hommes. La blonde arpentait la vie sur un petit nuage, mais courant dans tous les sens. Ils saluèrent Jenifael respectueusement et la blonde en profita même pour lui déposer une rapide bise sur la joue puisque personne n'était encore arrivé.
L'attente ne fut pas longue car déjà les couturiers et leurs modèles arrivaient et la jeune femme les orientait vers les chapiteaux correspondants et les paravents élevés pour leur laisser l'intimité nécessaire à se changer.
Foulques étant parti rejoindre le public, elle assista au défilé depuis les coulisses derrière l'estrade. Elle put ainsi voir la création de Merveylle de la Mirandole, Princesse et collègue des Doigts d'Or, celle de Jacques Elian, maistre couturier royal. Puis le tour de Melissandre arriva, elle rejoignit donc sa future belle sœur qui tenait déjà une place énorme en son cœur, afin de l'aider à se changer avant de la libérer dans un encouragement afin qu'elle aille montrer sa création aux spectateurs.

Vint ensuite le passage de la création de Valeryane, de l'Atelier des Fées Tisserandes, puis ce fut le tour d'Elysandre de l'Atelier des Doigts d'Or, encore une de ses collègues, de montrer sa tenue au regard des potentiels acquéreurs, tout comme ensuite Laure Victoire de la Boutique du Lys, puis Elène Céleste Voillot des Doigts d'Or également. Chaque couturier avait sa patte, sa petite touche, sa façon de créer les tenues et toutes étaient magnifiques.

Puis une femme arriva, qu'elle avait déjà croisée lors de quelques occasions. Elle la salua respectueusement, et l'invita à aller rejoindre un espace libre entouré de hauts paravents afin qu'elle puisse se changer en toute tranquillité avec l'aide des petites mains présentes et mises à disposition pour les couturiers et les mannequins.


Bonjour à vous, soyez la bienvenue. Je vous en prie, vous pouvez vous changer ici. Ce sera ensuite à vous de passer.

Une fois que celle-ci fut prête, l'Orsenac remplaça Jeni pour annoncer la tenue suivante. La GM de la Garde Robe devant faire une petite pause. Elle arriva donc sur l'estrade et annonça d'une voix claire.

La prochaine tenue dénommée Cerisier est réalisée par le couturier Thomas, de l'Atelier du Lys. Elle est portée par la Baronne Pattricia La Caneda Dehuit Malemort.

Elle ajouta ensuite.

Elle est composée d'une chaisne de soie bordée d'un liseret d'or surmontée d'une cotte de brocard en soie rose et or avec traîne et d'une surcotte aux manches longues fendues bordée d'un liseret d'or. La taille est réhaussée d'une ceinture en filigrane d'or. Un pendentif est offert avec la tenue.

La blonde laissa ensuite la place à Patricia pour son passage.
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Pattricia
Attention, ça défile !👗



Elle s'attendait à ce que la ruche du Lys la guide mais tout le monde semblait planer à quinze mille et c'est une gracieuse jeune femme qui l'accueille et la dirige vers un endroit à l'abri de la tempête.

Je suis Pattricia La Canéda Dehuit de Malemort, nous sommes de futures cousines je crois...
A mon tour ? Déjà ? Heu...


Trop tard pour s'enfuir, retourner s'enfermer dans son manoir du Languedoc, trop tard pour passer son tour, elle s'était engagée et elle tenait toujours ses engagements. Elizabelle l'avait choisie, parmi d'autres, comme égérie de la Boutique du Lys, elle l'avait laissée entrer dans le cercle fermé de sa clientèle et elle en avait été touchée. Triste que cette femme ne puisse plus coudre, elle était heureuse de porter une robe du jeune Thomas si silencieux.

Tout ce que ce jeune homme ne pouvait dire par la parole ressortait par ses dons artistiques. Peu importe que Eli ait choisi le rose comme thème du défilé, elle porterait cette toilette avec dignité à défaut de la liesse qu'elle y aurait mis d'ordinaire. Elle n'avait pas peur de défiler devant les autres, surtout qu'elle en connaissait du monde parmi les personnes présentes, après tout ne connaissait-elle pas déjà tous les petits secrets du Louvre ? Les portes cachées, les couloirs invisibles aux yeux des courtisans, des culs de basses-fosses aux dessous des toits, elle en connaissait les moindre centimètres, "mais c'est loin tout ça désormais..."

Pendant que les caméristes s'affairent, elle repousse d'un geste la chemise que l'on veut lui glisser en premier. Elle avait toujours porté ses tenues à même la peau, aimant sentir les tissus de qualité la caresser. Un miroir de Venise était posé de l'autre côté du paravent et elle s'y mira d'un œil critique.


- Il vous faut me farder j'ai trop l'air de ce que je suis.
- Que veut dire Madame la Baronne ? De quoi avez-vous l'air ?
- Morte...
- ...
- Faites au mieux, je ne peux décevoir ceux qui m'ont fait confiance
- Bien Madame la Baronne


Peu savait à quel point elle était douée pour mettre un masque, vraiment très peu, et encore moins savait le reconnaitre. C'est donc une femme de 34 ans, la peau tannée par le grand air, les jades brillants et les lèvres rosées étirées dans un sourire plein de confiance que la rousse fait son entrée -ou plutôt sa sortie- sur les planches avançant sûre de sa beauté de femme déjà mûre pour l'époque et de l'éclat de la magnifique tenue qu'elle porte.



Elle avance avec la grâce de l'enfant perdue qui chassait pieds et mains nus il y a un peu plus de deux décennies, se permettant même quelques virevoltes pour que l'on puisse apprécier la légèreté du brocard de soie dans les airs. Elle qui déteste les chapeaux affiche un port de tête de reyne comme si porter l'oeuvre d'art de Maitre Thomas était l'honneur suprême.
Le masque joue son rôle et une fois la représentation terminée, la vindicative disparait sous le chapiteau pour reprendre son vrai visage et remettre sa robe noire.

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Égérie de la Boutique du Lys
Hersent
La Boutique du Lys l'étonnait chaque jour avec la présentation de ses modèles. Cette fois, c'était un ancien Capitaine de la GR, la Baronne Pattricia qu'elle s'entêtait à appeler Capitaine. Ahhh, les souvenirs partagés entre le Guet Royal et la GR lors des couronnements royaux, la belle époque.

A Wendy, elle glissa:


Ce Thomas a un coup de ciseaux des plus talentueux. Je vais craquer, je le sens!

Comme si elle n'avait plus rien à se mettre sur le dos, la Baronne...qui n'aimait que le vert.
Un billet que Lubin apporterait à Constance, fut vite écrit.

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Constance..
La blonde Orsenac acquiesça aux paroles de Patricia avec un grand sourire chaleureux.

En effet oui, il me semble bien que nous le seront prochainement.

Alors la rousse future cousine termina de se prépara et arpenta le tapis dans la magnifique tenue créée par le couturier Thomas. Y'a pas à dire, les hommes également étaient talentueux dans l'art d'assembler les tissus.

La jeune femme consulta ensuite son parchemin afin de vérifier le prochain passage. Le dernier de ce jour.


Mes Dames, Messires. Voici maintenant l'avant-dernière tenue de cette deuxième journée.
Tenue intitulé "le Printemps à pas de velours". Elle est réalisée par Narcysse Lablanche d'Abancourt.


Elle prit ensuite sa respiration avant d'entamer la description des plus précises, ce qui était vraiment agréable.

C'est une cotte confectionnée en velours de soie vert véronèse au décolleté galonné d'un brocard doré ton sur ton en satin et lacé d'une cordelette verte laissant apparaître une chainse de soie blanche. La taille est cintrée par une ceinture du même brocard.
Une cape en demi-tour faite de satin rouge, maintenue sur le devant par des fermoirs de cuir habillés d'un brocard doré accompagne la cotte.
Les chausses sont faites de cuir fin d'un brun mordoré.
Une coiffe en résille perlée, cerclée par un bandeau de satin rouge perlé aussi, le haut de la tête est habillé par un brocard doré bordé des mêmes perles, accompagne le tout.

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Kenny.castel.vilar
Alors que la blondine attendait sagement que sa mère sorte des coulisses pour venir la voir à la sortie, ses azurs observèrent les tenues qui défilèrent entre temps.
Il y avait des choses qu'elle aimait comme d'autres qu'elle aimait moins, dont certaines couleurs utilisés, mais après chacun ses goûts bien sûr.

Et puis, légèrement pensive, quelqu'un entra dans les coulisses, laissant un instant la possibilité de voir ce qui se tramait derrière, en espérant voir Bella et Wallerand surtout, et ainsi constater où ils en étaient.
Allaient-ils rester dans les coulisses ou en sortirent? Bonne question. C'est alors qu'une tête brune lui fut familière... un instant elle s'approcha un peu plus et passa sa tête entre le rideau alors que ses yeux s'écarquillèrent de surprise.
Une bonne surprise même puisqu'elle reconnut une couturière de l'atelier dont elle était mécène avec sa mère.


Ouhou! Donà Narcysse! l'interpela-t-elle enjouée. Mais bon, pour la discrétion, on repassera!

Grand sourire aux lèvres, la blondine lui fit un grand signe de la main pour que cette dernière l'aperçoive de là où elle se trouvait, et fut rassurer que cette dernière vienne à elle.
Oui, elle aurait très bien put faire comme si elle ne l'a connaissait pas aussi et l'ignorer, mais elle n'était pas comme ça la jeune couz'turière et Kenny le savait.


Lo bonjorn, comment allez-vos? Vos présentez vos belles tenues?

Puis le sujet qu'elle avait échangé par missive lui revint en tête, c'est qu'elle avait besoin de quelqu'un pour porter ses atours et montrer au monde ses créations incroyables.
Hésitante, la blondine lui demanda alors si s'était toujours d'actualité et si bien sur, elle l'acceptait. En tous cas la jouvencelle était partante!

Et du coup, hop!


Attention, ça défile !👗



La jeune Castel Vilar se retrouva à défiler sur le tapis rouge, après avoir été habillé et coiffé par la jeune Narcysse. La blondine était impressionnée de voir tous les regards tournés sur elle et rosit légèrement des pommettes.
Mais d'un pas assurer et faisant virevolter la cape pour que les nobles gens puissent admirer toute la beauté de cette tenue qu'elle était honoré de porté pour ce jour.

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