Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, ..., 7, 8, 9   >   >>

[RP] Fashion Week - Jours 3

Sobre garde, incarné par Jenifael..luna
    Il répondit, toujours nullement impressionné - allez servir le pas beau du Dauphiné, l'impitoyable et méchant Thibérian, ça forge le caractère, surtout avec sa nymphomane de femme ! -

    "- Ma Dame est Jenifaël Luna de Castelnau-Montmiral, Dame de parage de la reine, grand-maître de la garde-robe royale, dame de Lazer et la Buisse et membre d'une des maisons royale. Elle organise l’événement et m'a demandée de veiller à ce que la noblesse ou les bourgeois ne fassent pas de vague. Ce que vous faite messire. "


    Pour la suite, le défis se lis dans les yeux noir de l'homme, qui est toujours parfaitement calme. Supporter l''emmerdeuse de Castelnau était un exercice parfait pour le rester !
Drahomir
-Les vagues commenceront seulement au moment ou je déciderai de t'étriper, mon brave. Ce ne sera pas pour aujourd'hui, nous sommes au Louvre et je suis bien éduqué.

Il esquisse un rictus sardonique. Il écoute la description des titres et statuts de celle que l'impétrant sert. En prend bonne note. Si il la croise, il lui bottera le cul. Si il est bien fait, ca en sera d'autant plus agréable. Pour l'heure, il attends donc la réaction de l'officier de la maison royale.
Faire des vagues, c'était sa spécialité. Des fois, ca se transformait même en tsunami.

_________________
Constance..
La blonde regarde le fameux Duc et arque un sourcil en voyant son arme avec des yeux effarés, quand le garde à ses côtés prit la parole. Puis elle regarda le Duc Drahomir.

Hum... Je suis Constance d'Orsenac. Vous êtes qui s'il vous plait pour ordonner cela si je puis me permettre ? Et pour garder votre épée dans l'enceinte du Louvre ??
Les gardes ne peuvent entrer, c'est ainsi. Et j'approuve les paroles de ce garde.


Elle gardait son sourire, même si la situation l'exaspérer au plus haut point.

L'Empire et la France sont en temps de neutralité. Ce Messire peut bien évidemment entrer dans les jardins et assister au défilé. Messire, je vous prie de comprendre cela, mais vos gardes ne peuvent point entrer dans l'enceinte des Jardins du Louvre, il en va de la sécurité de mes parents, le Roy et la Reyne, et je serai intransigeante là dessus.

Maintenant, soit la personne à laquelle appartiennent ces gardes leur offre de quoi se sustenter dans une bonne auberge avoisinant le Louvre, soit ils attendent ici.


Son regard se porta alors sur la jeune blonde avec un sourire essayant de l'amener à agréer dans son sens. Puis se tournant vers Drahomir avec un froncement de sourcil.

Je vous demande dorénavant de ne plus vous permettre de prendre de telles initiatives. Vous n'en avez aucun droit ici. Maintenant je vous invite tous trois à aller apprécier le défilé qui se trouve dans les jardins.... En souhaitant que celui-ci soit à votre gout. Vous Messire après avoir remis votre épée aux Gardes ici présents.


La blonde les invita ensuite à prendre la direction des Jardins pour le défilé.
_________________
Drahomir
'-Ma douce amie, avant de vous permettre de me dire comment me comporter dans les jardins du Louvre, apprenez à le faire avec la noblesse et avec qui vous est supérieur en titre...

Et en prestance. Mais il le garde pour lui et se mord la langue pour ne pas l'ajouter.

-Je savais le prestige de la maison royale sur le déclin, pas au point d'en oublier comment s'adresser à la noblesse et affiliés. De surcroit, j'ai vu le Louvre bien plus accueillant envers les étrangers. Estimez vous heureuse que suite à cet incident diplomatique, l'empire ne décide pas de nouveau déclarer la guerre à la France.

Ce que lui ferait surement. Le respect ne mange pas de pain.

-Vous n'avez rien à me demander, je suis homme qui aime à prendre des initiatives. Ca me différencie de nombreux autres. Mais peu importe, la dysenterie verbale de votre garde et votre ignorance de l'étiquette m'ont coupé l'envie de venir dépenser ne serait-ce qu'un denier icelieu. Je vais donc me retirer.

A l'intention de Poucelyna et de son accompagnateur.

-Votre Altesse. Je suis navré, mon honneur m'interdit de me mêler à ce simulacre de festivité. Puissiez vous trouver robe à la hauteur de votre beauté, après l'affront ainsi perpétré.

Il incline du chef. Et se détourne déjà. La silhouette massive s'arrête alors qu'il a déjà parcouru quelques mètres. Il se retourne et à l'intention de la blonde et du roquet:

-Ah, au fait, je suis Drahomir Sergueï Vadikra, Duc de Tancarville. Je gage que nous nous reverrons très rapidement.
_________________
Jenifael..luna
    L'homme avait fait signe à sa maîtresse, en râlant bien sûr, la jeune femme quitta donc la scène discrètement, juste avant le passage suivant. Cinq pieds haut, bien faite, brune, habillée de vert, elle s'approche.

    "- Messire. "

    Elle inclina à peine la tête en direction du duc. La tête fût néanmoins bien plus inclinée face à la princesse, la jeune fille n'ayant un respect réelle que pour le droit du sang. Elle garda un instant l’œil d'olivine posé sur le prince, ne sachant de qui il s'agit, le brun garde se pencha vers elle, pour l'informer. Elle inclina donc la tête simplement - moins que pour la française - envers celui-ci, tentant de garder un certain respect pour les impériaux, bien que la jeune femme n'aimait pas ceux-ci. La France tentait de signer la paix et elle c'était promis d'être neutre lorsqu'elle été en fonction. Elle était arrivée, lorsque Constance parla et sourit.

    "- Et bien je vois que mon amie et collaboratrice à veillée à ce que les choses soit faite correctement. "

    Elle inclina la tête envers Constance, son envie était celle de lui sauter au cou et de lui coller de grosses bises sur les joues. Le merci envers son garde? Peuuh ! Il été payé ! C'était suffisant !

    "- Votre Altesse royale, la prochaine tenue sera portée par une infante de Castille, voulez-vous que je vous guide à l'une des meilleures places, avant de retourner sur scène? "

    Hop ! Ça, c'est du Jeni. On change de conversation, pour parler de froufrous, elle n'est pas devenue grand-maître de la garde-robe, sans en parler après tout ! Et voilà le duc qui partais, elle haussa les épaules la jeune fille. Bof, elle s'en fichait, tant qu'il y avait des froufrous !

_________________
Poucelyna
Un peu éberluée, la jeune altesse assista à la suite de la scène, ses doigts ne lachant pas ceux d'Alexandre. Sa mère se retournerait sans doute une nouvelle fois dans sa tombe. Pauvre mamoune.

Alors qu'elle s'apprêtait à répondre à la princesse Constance, c'est Drahomir qui arriva et s'adressa au garde.


Vous êtes toujours aussi viril, votre grâce. Et toujours un plaisir de vous voir, surtout dans des situations difficiles.

A croire qu'il avait un sixième le Vadkirat, tel un preux chevalier.

Inclinant sa tête en direction de Constance, elle lui répondit.


Enchantée de vous rencontrer votre Altesse Royale. Je crains qu'il ne s'agisse là d'un malentendu de la part de gardes bien trop zélés. Son Altesse Impériale Alexandre de Sparte et moi-même sommes outrés de leur comportement et ne sommes plus sûrs de vouloir assister au dernier jour de défilé. Je pensais naïvement que la Maison Royale nous ferait un meilleur accueil et saurait se comporter dignement. Moi qui vantais à Alexandre la qualité de la Maison Royale et le raffinement du savoir-vivre français. Et on se fait refouler par des moins que rien.

Entrelaçant ses doigts avec ceux d'Alexandre, elle poussa un petit soupir et se tourna vers lui.

Je crains que notre marché ne soit devenu caduc, nous n'avons d'autre choix que repartir.

A Jennifael Luna, elle répondit d'un air attristé.

J'imagine que la tenue portée par l'infante de Castille doit être superbe, et je serai bien tentée de répondre positivement, mais il revient à mon cavalier de décider à présent si nous entrons ou si nous partons à la suite du duc Drahomir.

Elle était partagée entre sa fierté qui l'incitait à tourner les talons ou le plaisir d'assister au dernier jour du défilé. Un soupir désespéré s'échappa de ses lèvres.
_________________
Constance..
La blonde retint un soupir qui resta coincé dans sa gorge. Elle scrutait le visage du Duc de ses azurs d'un air songeur après l'avoir salué comme il se doit également. Il parlait de noblesse et de respect, et lui même ne se fend pas dans une révérence face à une Altesse Royale même si la jeune Poucelyna est encore jeune, elle est Princesse.

Sachez Votre Grace, que je ne vous connaissais point, et cela n'est point écrit sur votre front que vous êtes Duc. Je n'avais pas moyen de deviner seule, dorénavant je le sais en effet... Mais cela ne change rien au fait que les ordres aux gardes ne peuvent pas être donnés par votre personne.
Il n'est pas question de guerre, ni d'incident diplomatique, son Altesse et ce Messire sont les bienvenus comme je l'ai déjà dit, je suis certaine qu'ils comprennent que les gardes fassent certainement plus de zèle lors d'un évènement aussi important afin de protéger la famille royale dont je fais partie, et les autres nobles invités.


Un sourire chaleureux en direction des deux jeunes gens. Si au moins sa royale mère n'était pas alitée en ce moment même... Elle aurait pû la faire appeler afin qu'elle règle cela. Une lueur de tristesse passa dans l'azur de l'Orsenac avant de poursuivre sur un ton emprunt de douceur en priant silencieusement pour que sa Griotte passe dans le coin. Mais c'est Jenifael qui arriva.

Votre Grace, je vous prie de venir assister au défilé, vous y verrez des tenues pour femmes bien évidemment, mais également pour hommes. De vraies splendeurs réalisées par des couturières et des couturiers de grande renommée.
Votre Altesse, vous et votre invité, je vous prie également de ne pas prendre ombrage du zèle fait par ce garde, j'en parlerai à ma Gri... hum... à la Grand Prévôt. Qu'en dites vous ?


A ce moment là, une silhouette amie fit son apparition dans son champs de vision. Et c'est un sourire chaleureux et amical qui prit naissance sur les carmines de la jeune fiancée.
_________________
Cerise
La semaine de la mode suivait son cours, la première journée fut... comment dire une horreur, quand elle repensa à la scène qui s'était jouée devant elle.. voir son promis s’afficher avec sa... quand elle repense à son emportement qui fut tout naturel, mais en pleine société, elle était... confuse de s'être montrée en spectacle. Il luy fallait oublier... tout même luy... même si son coeur ne le souhaitait pas, ses sentiments envers luy restaient inchangés.. Mais ça elle se le gardait pour elle. Une chance que la fin de journée avait été plus agréable auprès de son cavalier du moment & la jeune Princesse Mirandole-Montestier, c'est qu'en plus elle était douée pour se faire offrir de belle étoffe, Elle l'avait pu la voir à l’œuvre, le coffre du Breton n'avait pas fait long feu.. Comment avait elle fait ? Quel talent ! Sa jeunesse surement.. A moins qu'elle cachait une arme secrète. Il faudrait que la Griotte soit plus vigilante les jours prochains pour percer ce mystère.

Le second jour, que dire sur celuy-ci.
Elle aspirait à une journée plus au calme, elle irait même sans cavalier, se rappelant de sa discussion au Louvre avec la princesse Poucelyna en quittant le conseil des Grands Feudataires : "Un cavalier par jour". Ce qu'on avait pu sourire à cette idée, elle n'avait pas froid aux yeux la princesse, la brune savait que cette idée n'aurait pas plu à son promis, maintenant vu le bordel d'hier, sa réponse aurait été tout autre. C'est pas grave, avec ou sans cavalier, la brune ne se défila pas, elle avait promis à la princesse qu'elles iraient toutes les deux à la semaine de la mode. De plus, elle devait cerner le talent de la jeune princesse - oui car la brune déteste ne pas savoir - et il en fut tout autre pour son plus grand malheur... ou bonheur. Si elle s'attendait à cela, si la veille on luy avait conté cette journée, elle aurait tout nié en bloc, prenant son interlocuteur pour un taré. Elle avait encore du mal à croire à cette journée écoulée...

Troisième jour.. et on recommence..
La Lanquais ne souhaitait pas y aller, mais le rendez vous avait été donné comme les jours précédents pour rejoindre la princesse aux abords des jardins afin de s'y engouffrer ensemble avec leur cavalier.. Le hic la Cerise n'avait plus de cavalier, elle s'y rendrait seule. Alors qu'elle arriva non loin des jardins, son regard se posa avant tout sur la Garde Impériale, c'est qu'elle était imposante, la personne avait fait les choses en grand, mais bon venir de l'Empire en Royaume de France il fallait bien se protéger.. Elle ne tarda pas à reconnaitre les armoiries des Sparte, c'est qu'elle en avait gardé bonne mémoire en Champagne. De suite, elle fit le lien avec la jeune princesse Poucelyna, du moins elle le supposait pour avoir longuement parlé avec son amie, échangeant des confidences mutuelles. Ainsy, il avait accepté, en voilà une bonne nouvelle !

Elle fut vite sortie de ses pensées par le bordel qui se tramait à l'entrée des jardins. Merde ! On en s'en était pris au Roy, la famille Royale & le Grand Prévôt de France avait failli à son devoir ? Elle pressa le pas pour se rendre à leur hauteur. Première réaction regarder le sol, et rien.. autour d'eux et rien.. bah !! S'passe quoi?!? Pas de Roy ou la famille royale en mauvaise posture. Il luy fallait donc comprendre le problème, elle mit que quelques instant pour l'analyser en passant son regard sur toutes les personnes présentes : la jeune princesse avec surement le cavalier Impérial, l'Ogre, la blondie Constance, Jenifael & des gardes. Bon ça tombait bien, la sécurité intérieure c'était son boulot, que cela soit le Domaine Royal, l'Ile de France, la Capitale & le Louvre.


- Bonjour ! Sa Seigneurie Cerise de Bonnemaison, Grand Prévôt de France.

Elle les salua en inclinant ses prunelles, avant de les écouter pour mieux répondre, bien qu'elle avait du louper la moitié du conflit. Les échanges montèrent d'un cran, elle crut rêver là. Que de tension pour si peu de chose.. Une chance que ses Officiers ou ses Gardes Royaux ne parlaient pas ainsy, ils auraient pris la porte illico-presto. Elle n'avait pas eu le temps de parler à l'Ogre qu'il partit.

- Nul envie de rajouter le feu, mais c'est quoi le problème ?
Est ce la présence de son Altesse Impériale enfin son escorte ? Car si vous le regardez bien il est seul auprès de la Princesse Poucelyna & nous, à part cet homme qui semble être son escuyer si je ne me trompe pas. Je doute que, si vous me le permettez vostre Altesse Impériale, que vous n'êtes pas stupide au point de vouloir créer un conflit en ce jour. Il est vrai que vous voyagez en grande pompe mais vous êtes une personne de Haut Rang & qui doit aimer étaler sa puissance.
Sourit amusée, mais c'est vrai les hommes ça aimait montrer qui avait la plus grosse... escorte.. Plus sérieusement, cela ne me choque pas, rien de plus normal pour traverser une partie du Royaume de France il est tout à fait normal qu'il se protège, comme toute noblesse Royale le fait & qu'on peut voir défiler dans la cour du Louvre depuis trois jours.

Puis à tous.

- J'ai beau regarder autour de moy je ne vois aucun garde Impérial, son escorte est venue le déposer mais c'est bien seul qu'il se présente à vous afin de respecter le protocole Royal, ce qui je pense a du luy couter, mais il souhaite juste assister à ce troisième jour de la semaine de la mode comme chaque invités conviés, n'est ce pas vostre Altesse ? Nous sommes en période de neutralité et non de conflit. De plus, si j'avais eu le moindre doute sur les intentions de son Altesse Impériale, j'aurais prévenu son Altesse Royale Poucelyna du possible danger.. Puisque la sécurité intérieure c'est du ressort de mon Office, nous veillons sur le Domaine Royal, l'Ile de France, sa Capitale & le Louvre.

La Grand Prévôt se tut, elle n'avait rien à rajouter juste qu'elle aimerait bien entrer avec son amie accompagnée de son cavalier à ce troisième jour, c'est que le défilé avait surement du commencer & qu'elle loupait peut être une belle acquisition. Elle termina quand même sur un point à ne pas oublier.

- Pour répondre aux derniers mots de ma blo.. dame Constance, je ne sais pas qui a engagé ce garde mais il est sur que si mes Gardes Royaux ou mes Officiers veillant sur Paris, avaient eu un tel comportement, il n'aurait pas fait long feu à la Grande Prévôté de France, sanction voir renvoi. Où a-t-on vu qu'on agissait ainsy ? Même s'il a voulu faire son travail, il manque à certains de ses devoirs. Il oublie qu'au Louvre, il représente le Roy & la couronne de France. C'est comme l'arme de sa Grasce, cela n'aurait pas du avoir lieu, même si je comprends qu'il a voulu sauver l'honneur de la jeune princesse, la violence n'engendre rien.

Ce que je propose pour oublier cet incident, c'est que le Garde présente des excuses à son Altesse Royale Poucelyna, que son Altesse Impériale ordonne bien que sa garde reste là où elle se trouve à l'entrée du Palais. Ainsy nous pourrons aller profiter pleinement des festivités organisées par dames Jenifael & Constance.


Elle espérait que ca calmerait tout le monde.

Ensuite il est hors de question que vous partez de ses réjouissances vostre Altesse Royale Poucelyna. Je compte sur vous et vostre cavalier pour vous joindre à moy. Et plus bas à la princesse.. vous oubliez qu'on doit le dépouiller.. Vous pensez que son coffre sera plus rempli que celuy du breton ? Sourit un peu avant de regarder les organisatrices. Dois-je vous faire livrer un laisser-passer pour son Altesse Impériale afin qu'il puisse assister au défilé ? Je ne voudrais pas que cela déclenche d'incident diplomatique, Sa Majesté a bien autre chose à faire que gérer un autre conflit.

Elle se doutait bien qu'on en arriverait pas à ses extrêmes, elle zieuta les deux organisatrices avant d'ouvrir l'un de ses bras dans la direction des jardins, invitant la princesse à s'y rendre.
_________________
Alexandre.de.sparte
D'abord, d'abord, cessez immédiatement de m'appeler messire. Je n'aime pas ça. Je ne suis pas un chevalier. À la limite, vous diriez '' Monseigneur '', je pourrais l'accepter sans m'asticoter. Je commande à des chevaliers.

Dans un soucis de courtoisie aristocratique, j'exige, sinon je vais vous mettre mon poing dans la figure, et un coup pour chaque lettre manquée de mon prédicat, d'être appelé Votre Altesse Impériale. C'est la MOINDRE des choses vis-à-vis de mon rang.

Si vous ignorez mes armoiries, il est grand temps que vous ayez une éducation nobiliaire des grandes maisons d'Europe qui ont régnées, nom d'un chien.

Vous pouvez m'appeler également Votre Altesse Sérénissime, je m'en bat les couilles. C'est le prédicat associé à mes titres immédiats.

Sinon, vous pouvez m'appeler Majesté, mon père, le parfait Hadrien I m'appelait ainsi, ce qui figure dans mes droits féodaux contractuels, mais je n'y tiens pas ça. Je l'utilise que pour étaler mon prestige et parce que comme tout le monde sait, j'ai la plus grosse, héhéhéhé.


Il respire à nouveau en souriant de toutes ses dents blanches et bien taillées, car il y a une hygiène IMPECCABLE même si c'est pas médiéval. Il ne pue pas. Il a pas de carries. C'est un Sparte. Un parangon de l'espèce humaine. Vous connaissez pas le mot ? Go google.

Ses deux prunelles émeraudes et dorées essaient de suivre toutes les interventions ici et là. Sans arrêt. Ca lui donne la nausée. Il a quelques idées de folies comme vomir sur Constance pour rigoler, mais il se disait que PouPou n'apprécierait pas. Elle pourrait même le mordre. Alors, il pense vraiment à prendre le casque du garde de Castelmaure, de vomir dedans et de lui remettre sur la tête, mais il le fait pas. Car le temps qu'il pense à tout ça, il n'avait plus la nausée.

Il était encore un peu vert, quand il lève les mains dans les airs, ce qui lui donne une allure bizzaroide et marsienne pendant qu'il dit simplement : Je viens en paix.

Une nouvelle fois, mon rang m'oblige à me protéger. Parce que si je mourrais, je refuse qu'un de mes frères ou de mes sœurs héritent de mes fiefs. Il ne s'agit pas d'une grande armée. Ce sont même pas des nobles. Malgré le fait, que j'aurais pû trimballer que seize chevaliers avec moi plutôt que des roturiers, mais je voulais pas jeter trop d'ombrage, donc vingt-quatre licteurs, je trouvais ça sympathiques.

J'adore étaler ma puissance, bien entendu. Est-ce que je vous ai déjà dis que je dispose d'une flotte de deux caraques de guerre ?! Oui, oui. Elle n'est pas immédiatement opérationnelle, mais si je décide d'aller foutre des coups de coude en mer, je peux. Héhé. Qu'est-ce que j'aime me vanter !


[i]Il souriait doucement en battant des sourcils.


Sauf que la Garde Palatine est actuellement en paix en France. Elle est là car je suis là avec Princesse PouPou. Quel plus beau symbole de paix pour le Royaume de France, que le fils héritier et la fille héritière des deux souverains de la Grande Guerre traîne ensemble ? Si j'étais Ministre français de la Propagande, je nous inviterais tous les deux avec le Roy de France, vu que son programme reposait en partie sur les discussions de paix. Aussi, je donnerais un marquisat français pour obtenir les services de la Garde Palatine, car, elle rox trop.

MAAIIIS, je ne suis pas un ministre français de la propagande. Donc, je peux pas m'auto-engager pour aider la France !


Un nouveau sourire de ses dents blanches et bien tailles orne son magnifique visage d'être le plus beau sur Terre.


Bref, je viens ici gentillement. Calmement. Bien entendu, ma Garde ne va pas entrer dans le Louvre. Je comprend, moi également, je ferais que votre Roy poirotte devant le Chateau de Liège avec sa garde.

Sauf que j'ai un grand souvenir que la France a déjà été amie avec la Dynastie de Sparte. Lorsque mon père quitta le Grand Duché de Bretagne pour devenir Roi de Lotharingie, Vonafred ordonna une escorte de Chevaliers de France pour l'escorter sur le territoire français pour assurer la protection de cet impérial haut né.

De plus, je suis à demi-français. Je suis également chez moi, ici.


Bien avant que son monologue soit parti, les licteurs s'étaient déjà majestueusement éclipsés sans que nul ne puisse les voir. Si ils sont vus, ils ont attendus que le dude regarde ailleur pour se tirer à l'anglaise.

Donc, nous restons, Altesse Royale.
_________________
Jenifael..luna
    La jeune fille retourna sur l'estrade et annonça, après avoir indiqué la meilleur place à la princesse Poucelyna, enfin, l'unes des meilleures places.

    "- Mes dames, mes sieurs. La prochaine est une tenue portée par l'infante Castillanaise, Ivanne de Josselinière. La Castillanne portera une tenue à l'italienne, mais réalisé avec le goût et le soin d'un talent bien français. "

    Elle continua.

    "- Maître Elène Célèste Voillot, couturière des Doigts d'Or, présente la tenue nommée Rebelle Nocturne, il s'agit d'une robe à d'inspiration italienne. Elle est composé d'une chemise et d'une cotte rouge, brodé d'or et d'une cotte fendue en draps de flandre rouge, agrémenté d'une ceinture d'or damasquiné et de broderie d'or sur la poitrine. La cotte possède également des finitions or. "

    Elle laissa la place à la belle Josselinière, future co-suzeraine pour défilé.

    [Attention, ça défile !👗]

    La Castillanaise défila, souriante, tête haute, tenant un peu la tenue et montrant donc le tomber parfait.


_________________
Zoyah
[Parmi les spectateurs]

Bien que personne ne lui ait imposé une place, la vicomtesse de Caussade, d’instinct et aussi un peu par jugeote, avait dédaigné les sièges des premières rangées. Il lui semblait plus logique de les abandonner à la Haute et Très Haute noblesse. Parce que le monde dans lequel ils vivaient était ainsi hiérarchisé. C’était comme ça et pas autrement. Il fallait avouer aussi que du peu qu’elle voyait de cette noblesse-là se traduisait le plus souvent par une absence d’humilité pour ne pas dire de dignité, considérant que tout leur était dû, ce qui lui inspirait le plus souvent une extrême prudence. Et comme elle tenait à la sienne de dignité, elle n’imaginait pas une seconde offrir son si gracieux séant aux bottes des très grands. La jeune dame s’imposait donc une certaine distance à l’exception de ses proches. Assise sur une des rangées du milieu, à un endroit discret mais qui lui permettait d’admirer les tenues sans pour autant les avoir sous le nez, Zoyah ignora l’agitation qui se tenait à l’entrée des jardins, même quand le maître de cérémonie quitta le défilé pour s’y précipiter. Elle l’ignora car d’une part, ça ne la concernait pas et que d’autre part, une splendide tenue s’apprêtait à être présentée. Effectivement, les yeux de la vicomtesse brillèrent alors de convoitise lorsque le mannequin défila. Elle avait envie de faire une enchère et mentalement, elle tenta d’évaluer la valeur de la tenue. Il y avait deux cottes en drap des Flandres pourpre, une ceinture damasquiné et du fil d’or pour les broderies ce qui montait le prix. Elle hésitait à gonfler la valeur mais quelque part l’idée de payer trop chère pour cette jolie toilette la navrait un peu, surtout qu’elle avait fait beaucoup de frais pour son hôtel particulier et que son budget était loin d’être illimité. Plus tard, un pli parviendra certainement à l’organisatrice.
_________________
Madeleine_df
Encore une fois, en retard. Le pis était qu'il fallait contourner la petite troupe qui s'amoncelait et vociférait à qui mieux mieux, certains sous couvert d'un langage châtiés, d'autres ne prenaient même pas cette peine. Elle y vit même une épée tirée et s'éloigna encore davantage, adressant tout de même un petit signe de main à Jenifaël, qu'elle aurait bientôt grand bonheur à retrouver au sein du conseil ducal Lyonnais-Dauphinois, selon toute probabilité.

Se frayant un chemin parmi les spectateurs, et surtout les spectatrices, elle élit pour s'y asseoir l'un des bancs du milieu, à côté d'une jeune femme brune qu'elle ne connaissait guère, sinon pour l'avoir aperçue les jours précédents, mais qui se trouvait être Zoyah. Asticotant les lanières de son aumônières entre ses doigts, elle tendait le cou pour mieux apercevoir le modèle. C'était une nouvelle fois l’œuvre de maîtresse Voillot, qui était parmi ses couturières favorites, et même si elle ne se voyait pas porter ce modèle-ci (la couleur jurerait sans doute un peu avec ses cheveux), elle n'en appréciait pas moins la qualité et l'élégance.

Et du coup, elle glissa à sa voisine, dans un sourire :


- C'est vraiment un superbe ouvrage.
_________________
Zoyah
La vicomtesse avait fixé une somme dans sa tête, celle qu’elle consacrerait à la tenue avec la certitude qu’elle serait probablement insuffisante. Elle avait ouïe dire que certaines personnes pouvaient mettre des sommes folles dans des toilettes raffinées, mais son goût des belles étoffes n’était pas assez prononcé pour s’adonner à de telles dépenses. Aussi, elle savait qu’elle risquait de ne remporter aucune tenue mais cela ne la navrait pas tellement. C’était tout simplement le jeu des enchères. Son regard détaillait encore les broderies du bustier quand une silhouette prit place à ses côtés et lui fit part de son engouement pour la robe pourpre. Zoé tourna son minois et considéra quelques secondes sa jeune voisine n’ayant pas conscience qu’elle avait en face d’elle la fille de feu sa majesté Nicolas 1er. Un sourire fin orna son visage diaphane en réponse à celui de Madeleine « La robe est raffinée mais sans excès… c’est ce que j’apprécie le plus. Je n’aime pas quand les toilettes sont surchargées de broderies, de perles, de passements, de rubans… cela empêche d’apprécier la qualité d’une belle étoffe. »…confia-t-elle à sa voisine.

« Je ne connaissais pas cette couturière, mais j’ai déjà pu apprécier les talent de maitre Jacques Voillot. J’imagine qu’ils sont de la même famille. »… rajouta-t-elle. Cela faisait tellement longtemps qu’elle ne s’était pas rendu dans un atelier de renom qu’elle était devenue complètement has been en matière de mode. Aussi, cette FW lui permettait de rattraper un peu son retard.
_________________
Poucelyna
Un petit soupir discret s'échappa des lèvres de la jeune princesse tandis qu'Alexandre prenait la parole. Elle se retint à grand-peine de se masser les tempes, de lever les yeux au ciel, voir même de lui asséner un coup avec son escarcelle sur la tête pour lui faire ravaler son arrogance, surtout lorsqu'il parla d'elle. Même si le sang des Montestier et de la Mirifique coulait dans ses veines, Poucelyna avait acquis une certaine éducation. Puis il fallait dire que dans certaines paroles du prince impérial il y avait du vrai sous son arrogance exaspérante. Elle-même le trouvait beau, trouvait son sourire éclatant et pouvait juger de par sa promiscuité qu'il était bien odorant. Son idée concernant les négociations de paix était en outre des plus sensées. Un contrat de paix avait d'ailleurs été à deux doigts d'être signé par leurs parents, preuve finalement qu'ils savaient aussi bien s'accorder dans la Grande Guerre que dans la Paix.

Il a tout à fait raison.

Si SM Lanfeust et Pusu pouvaient les écouter!
Pour une fois docile et obéissante, elle hocha la tête aux paroles d'Alexandre quand il décida qu'ils restaient afin de participer au défilé.

Elle accueillit Cerise avec un grand sourire et procéda aux présentations.

Inclinant sa tête en direction de la princesse Constance et de l’organisatrice, Poucelyna tira Alexandre par la main afin qu'ils aillent s'installer devant l'estrade et sourit à Cerise, l'invitant à se joindre à eux.

L'excitation la reprenait et elle admira la tenue portée par la jeune infante qui défilait. Elle se pencha vers l'oreille de son cavalier.


Cette tenue est superbe. Je tiens par contre à vous avertir, Alexandre. Vous m'affublez encore une fois du sobriquet que vous avez eu l'outrecuidance d'user un peu plus tôt, je vous tords le nez si fort que vous n'apprécierez pas une seule seconde de l'instant où je remplirai ma partie du marché. J'ai dit.

Un petit sourire sur les lèvres, elle reprit la parole.

De Josselinière...ce nom me parle...serait-elle de la même famille que sa magnificence Aimbaud?
_________________
Constance..
L'Orsenac écouta son altesse Poucelyna pensant un "Oups" au fait que c'est un prince impérial. Et avant qu'elle ne puisse répondre quoique ce soit respectant afin de respecter le rang de celui-ci, bien que son titre ne valait rien en France au point de vue héraldique, l'homme se disant prince impérial prit la parole et montra toute l'intelligence dont il faisait preuve.
Seul un inconscient pouvait se permettre de proférer des menaces à des personnes dont la fille de la Reyne et belle fille du Roy faisait partie et qui plus est au Louvre !
Elle arqua un sourcil tout en restant d'un calme olympien et précisa à la Princesse Poucelyna rapidement.


Je ne suis pas Altesse Royale en tant que belle fille du Roy Votre Altesse. Je ne porte pas ce prédicat même en étant la fille de la Reyne, et je ne saurai me targuer de le porter alors que ce n'est pas le cas.

Se tournant ensuite vers Alexandre, elle continua gardant son calme mais restant ferme dans ses paroles.

Vous proférez des menaces contre la fille de la Reyne ? Ici, au Louvre ? Cerise, tu es témoin, Votre Altesse également.

Vous parlez d'étiquette, de respect aristocratique ? Mais vous ne savez même pas que Messire est le nom donné aux personnes nobles dont on ignore le titre et l'identité en France ? Voyez je vous respecte moi, ce que vous, vous ne faites pas en revanche. Et quand je suis arrivée, personne ne vous a présenté à moi. Il me semblait bien que votre bannière ne m'était pas inconnue, mais quand à savoir à qui elle appartient exactement je n'en savais rien. Et ce n'est pas inscrit sur votre front non plus, tout comme pour le Duc tout à l'heure. Je ne suis pas encore devin.

Je respecte le protocole, et je ne reconnais que les titres reconnus par la hérauderie française, même si je peux faire quelques entorses envers certaines personnes pour ne pas les froisser, ce que j'aurai pu faire avec vous si vous n'aviez pas proféré de menaces. C'est mon droit, nous sommes sur les Terres Françaises. Donc pour moi ici vous concernant ce sera Monseigneur si cela m’agrée et uniquement cela.

Proférez encore des menaces contre moi, et vous quitterez ces lieux. Vous n'êtes pas l'invité du Roy ou de la Reyne ici, ni même de la famille Royale. Vous avez été invité par son Altesse Royale Poucelyna de la Mirandole ici présente pour l'accompagner. Ne l'oubliez pas, vous n'êtes pas en territoire conquis ici.

Sur ces derniers mots, elle tourna les talons après une dernière révérence dans un froissement de tissus à la Princesse Poucelyna, avec l'intention de prendre la direction du défilé en lissant les plis de sa robe.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, ..., 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)