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[RP] Fashion Week - Jours 3

Susi
Toujours aux cotés de Lucie, Susi était en train de lui répondre.

Je pense que vos gouts sont assurément plus heureux que les miens quand on parle de la beauté féminine. Moi, je ne me lasse pas de porter une tenue si je la trouve belle. Vous pourriez même me donner des conseils... et...

Mais doucement sa tête pivotait pour regarder d'où venait le tapage qu'elle entendait.
Les mots commençaient à monter et personne ne pouvait plus ignorer ce qu'il se passait.
Les femmes se passaient le mot, Alexandre de Sarte voulait entrer avec son armée.
A l'écoute elle ne put que soupirer.
Et de regarder Lucie et de lui murmurer :
C'te honte venir ici pour faire un foin. Certains pensent que tous leurs est permis. Voyez c'est cette partie là de la noblesse que je me suis toujours interdite de connaître, celle qui pensent que leur personne est plus importante que tout le reste.
Puis entre nous, ça sait pas se tenir un Sparte, ça vous embrasse et après ça demande à un garde de vous en coller une, trop peu couillu pour répondre de lui même à celle que vous lui avez balancé pour l'outrage. Quand je suis allée à Dole, j'ai pu le constater.


Et comme il en faut peu pour que Susi arrête de chuchoter excédée.

Mais qu'il rentre chez lui si on ne lui a pas appris que quand on est invité, on doit se plier aux règles et coutumes du lieu. On est venu à un défilé de robe pas à celui de son nombril.

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Foulques_de_malemort
Même si l’apparence sonnait l’indifférence, l’intérieur du prince bouillait d’une colère glaciale. Malgré la distance qui l’en séparait, l’envie de venir confronter cette homme ne faisait qu’accroitre le battement sourd de son cœur. Comment ne pas sentir ce battement violent étreindre la morsure de ses doigts sur la paume de sa propre main. Pour seul réponse, le germain se sent obligé d’insultée sa sœur, insultée une altesse royale, insultée la première dame de la cour, insultée grande feudataire … et surtout se sentir obligé d’insulter une personne qui n’était même pas présente, et une femme de surcroit. Mais l’homme resta de marbre, indifférent portant en premier lieu son regard sur Jenifael. Le sentiment de rage se mêlait à présent à celui d’une part de honte d’avoir entaché cette journée connaissant par l’entremise de sa bien-aimée le travail que celui-ci avait engendré pour les couturier, les mannequins autant que toutes les personnes faisant partie de cette fashion week.

Lorsque celle-ci remit les choses à leur place, invectivant les présents et notamment les altesses royales, le prince leva une main en sa direction, une manière polie de s’excuser espérant que le faux pas sera pardonné. Après tout, il n’avait pas eu l’intention d’intervenir, ni de laisser sa langue prendre le pas sur le bon protocole, même si la présence de cette homme mettait les nerfs à rude épreuve. Celui-ci en tant qu’invité avait le droit de se rendre sur les terres royales, du moins jusqu’à ce qu’il dépasse ses droits autant que les prérogatives, allant jusqu’à menacer sa promise. Bien évidemment, le prince était de parti pris dans cette rencontre, comment ne pas se souvenir de tous les délires et insultes ayant fuser de cette famille à l’encontre de sa sœur, allant jusqu’à annoncer dans leur délire des aberrations de cocufiage, les insultes à foison, et tout ce que cela pu engendrer.

Mais le prince resta de marbre encore et toujours, malgré les insultes à l’encontre de sa sœur, ce foutu parti pris l’opposant à intervenir davantage. Poussant le prince à l’indifférence et l’ignorance en voyant celui-ci s’humilier aussi naturellement que son père, devant le regard de la cour de France.

Mais tout cela se dissipa en une fraction de seconde lorsqu’une femme se présenta à son tour, osant lever la voix autant qu’il aurait voulu. Xalta venait de lever la voix, la voix française comme le prince l’aurait souhaité … toujours ce foutu parti pris ! Mais le plaisir des mots, des phrases et de la remise en place était d’une saveur particulière pour l’altesse royale calmant rapidement la colère onirique de ses poings et laissant même un murmure s’échapper de ses lèvres, un « amen ».

Puis se tournant vers sa bien-aimée, un murmure s’échappe de ses lèvres pour venir murmurer à l’oreille de la blonde.

Laissez donc courir, pour seul réponse, il se sent obligé d’insulté avec vigueur une personne qui n’est même pas présente, s’humiliant de la même et montrant le courage des spartes bien loin de l’origine même de ce nom. Profitons simplement de la suite de la journée pour vous trouver une magnifique robe.

Un baisé vient se poser sur la joue de sa mie, profitant étrangement de ce calme qui se propage à travers la chair de Foulques. Non seulement la présence de sa bien aimé tout contre lui, mais avoir pu se rendre compte que sa réaction même si elle était née d’une ancienne histoire n’avait pas été qu’abusive.

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Poucelyna
C'est avec un plaisir non dissimulé que Poucelyna vit arriver Fred de Castelviray et qu'elle le vit se rapprocher de Cerise, les deux formant selon toute vraisemblance à nouveau un couple.
La joie de savoir qu'ils avaient pu surmonter leurs différents fut de courte durée, vu le comportement des certains représentants de la Maison Royale.


Bonjour votre Grâce Fred, le plaisir est partagé. Il est triste de voir la décadence dont font preuve les proches de Sa Majesté. Il y a assurément non seulement eu des débordements avec la garde, qui n'est en aucun cas la garde royale, mais également avec les jumeaux Malemort. Qu'il est triste de voir la France dans cet état.

La suite à laquelle elle assista commença à la mettre petit à petit dans une colère noire. Une colère dont elle n'aurait jamais pu imaginer ressentir un jour à l'égard de certains de ses congénères. Après qu'elle-même et son cavalier se soient vu poursuivre jusqu'à leurs places, les empêchant de suivre le défilé, elle laissa Alexandre s'exprimer sans broncher. Il utilisait certes des mots crus mais ne faisait que dire la vérité, et s'il était en mesure d'aller beaucoup plus loin et de menacer la France de réprésailles, il ne le fit point, chose dont elle lui fut gré. Ils étaient venus porter un message de paix.

La Mirandole posa un regard froid et tranchant sur Constance d'Orsenac. 


Madame, mon cavalier a été insulté à plusieurs reprises, vous nous avez suivis, sous de fallacieuses raisons. Comme vous pouvez le constater, il n'y a pas un seul garde impérial dans les jardins du Louvre.
S'il vous plaît de souffler sur les braises ou de déclencher des hostilités, chose que vous avez fait à plusieurs reprises alors que Son Altesse Impériale et moi-même étions tranquillement assis et assistions au défilé, sachez que je ne tolérerai pas un instant de plus ce genre de comportement vis à vis de celui qui est mon invité.
Et encore moins de votre étalon, sorti de nulle part, qui vient défendre l'honneur de son alter égo et essaie de monter les marches d'un pouvoir que seule votre famille êtes encline à lui offrir. D'ailleurs, où se trouve t'elle? tapie derrière un buisson, en attente d'être le centre de l'attention?

C'est moi à présent qui exige que cet abruti nommé Foulque qui se dit second prince de France, comme s'il y avait une quelconque gloire à tirer d'être enfant d'une reine élue, qui n'a aucun haut fait à son actif & qui ne m'est en rien supérieur ni en rang ni en titre, fasse au plus tôt de plates excuses à mon compagnon et à moi-même.

Sans quoi non seulement je considérerais que l'offense est dirigée contre ma personne & ma famille , et je traquerai les jumeaux Malemort jusqu'à leur dernier souffle, eux qui sont la honte de leur propre famille, en outre je ne ferai absolument rien pour empêcher le Duc immédiat de Liège de réclamer réparation, comme vous l'a signifié un peu plus tôt le duc Drahomir.

Vous ne récoltez que ce que vous avez, avec la plus grande des bétises & un sacré toupet, semé. A présent, il est temps d'assumer.

Vous avez usé ma patience.

Il va de soi que Sa Majesté sera informée dans les plus brefs délais de ce qui vient de se produire. Car si la France doit subir les conséquences des actions de la Maison Royale, il doit savoir exactement et avec précision ce qui s'est réellement passé.

Ces débordements ridicules sont loin de faire honneur à la France, qui a besoin de retrouver la paix avec ses voisins.

Je vous laisse à présent réfléchir et mesurer les conséquences de vos paroles. Mais en plus de son Altesse Impériale, c'est à moi que vous aurez affaire si vous ne mettez pas de l'ordre rapidement & ne muselez pas vos sbires.


Une fois sa tirade terminée, elle se tourna vers sa soeur Merveylle, qu'elle étreint chaleureusement.

Je suis ravie de te revoir! Tu es magnifique! Elle la regarda en souriant, plus bas elle rajouta. Reste à l'écart, ma soeur, je ne voudrai pas qu'ils s'en prennent à toi.

Elle écouta Xalta poliment, inclinant sa tête dans sa direction pour la saluer, et lui répondit simplement.

Je crains que vous n'ayez pas tout suivi, Votre Seigneurie, ou alors vous avez été bien mal informée.
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Alexandre.de.sparte
Naturellement, il intervient avant que tout le monde puisse s'en aller.


Sérieusement, Votre Altesse Royale, il m'amuse vraiment du comportement de vos sorciers français. Ils se prennent pour des hommes guerriers, quand ils ont jamais navigués sur les mers sur un navire tel que l'Hyperion ou le Dinant ou encore participer à des interventions militaires.

Je suis sur qu'ils ne savent même pas qu'en tenant une épée, il faut toujours mettre un doigt en supination sur la lame au risque de perdre son épée immédiatement dès le premier croisement de fer.

Que diriez-vous que je provoquerais ce gland en duel à mort ?* Appréciez-vous ? Je suis certain qu'il fait le grand et puissant guerrier, quand il est qu'un gros étron.

J'aimerais bien que Taillefer vienne tailler ses tendons de chacun de ses membres, en quelques passes d'épée, car il est un trouffion qui se prend pour un bretteur, quand il est qu'un looser.

Que l'étron retourne dans la latrine. Je te provoque en duel à mort.


Il sourit doucement à la princesse qui tente de le défendre de toutes les façons possibles et imaginables. Quand il est un invité de la princesse qui doit être la plus puissante Princesse de France. C'était surement à cause de son ADN intimement lié à celui de la Reine Angélique.

Ensuite, dans son esprit germe l'idée qu'on pourrait lui demander de s'excuser. Alors, il décide de faire son monologue seul.


OMAGAD. IMAGINE, si on me demanderait de m'excuser.

Ce serait un PWET PWET NAWAK surtout quand je dis la vérité !

Je vais m'excuser pour une femme de peu de vertu qui est une femme à soldat. Non, mais n'importe quoi.

Ce n'est pas de ma faute si Mélissandre est une tarée qui a un sérieux problème d'attention et psychosocial. Je vais pas commencer à m'excuser quand je dis la vérité. Et je dis toujours la vérité, moi.

PAR CONTRE, vu que vous êtes vraiment totalement brain washé par Mélissandre la Princesse-Gueuse-Catin, je fais un marché avec vous. Je sais que vous allez le refuser, parce que vous savez que vous allez perdre.

La réputation provient d'un tissus social des impressions, perceptions, croyances et faits qu'une personne envoie à la société.

Donc je suis prêt à m'excuser, si vous acceptez que nous montions un référendum pour la population de France et du Cercle francophone du Saint Empire pour savoir si la réputation de Mélissandre est celle d'un catin.

Après tout, je ne l'ai pas condamné. Je dis carrément que c'est une catin car telle est sa réputation.

Sauf que vous êtes ses amis, mais vous savez la vérité donc vous refuserez tout référendum qui ferait que dévoiler la vérité par un fait statistique calculé et ainsi donc mathématique et savant.

Sinon, fermez votre gueule si vous êtes incapable d'accepter un challenge.


Il pousse de rire, car il savait que c'était une bande de débiles sans couilles qui n'oseraient jamais scalper Mélissandre. Elle allait perdre ce référendum, car tout le monde sait qu'elle est un être brisé, totalement folle, en manque d'attention et carrément dégénérée.


Bref. De toute façon, je souhaite porter plainte contre vous, pour avoir menacé la sécurité du Royaume de France et du Saint Empire romain Germanique en ne respectant pas les règles de cordialité élémentaire, au respect de la noblesse et des institutions du Saint Empire, en insultant deux membres impériaux et royaux de sang qui sont les héritiers des souverains ayant entrainés la Grande guerre et qui font office de Messagers de la paix.

J'espère que votre tête et vos titres vont tomber.



( * Hrp : Duel à mort par RP purement littéraire avec arbitre co-nommés. Deux actions, soit une défense et une attaque, deux attaques ou défense. Le perso éradique son perso avec une déclaration contractuelle de joueurs et envoyés aux admins. )
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Primha
    Troisème jours, troisième torture ! Et pourtant, Primha avait prit son courage à deux mains pour venir à nouveau dans les Jardins du Louvre, Oeuvre prodigieuse des mains de l'Homme et de la nature ; espace de génie et de détente - a la base. Alors, bien après que Merveylle ai quittée l'auberge pour se rendre au défilé, l'Argentée fit de même. Sur le chemin, elle songea alors à la prochaine commande qu'elle irait faire ; dans ses moyens et ceux de sa famille, dans le respect de sa personne et surtout ; avec Merveylle à son côté. Car malgré les six ans de différence, les deux jeunes femmes se complétaient et pour le plus grand bonheur de la Valyria, elle y avait trouvée une amie. Il n'était pas nécessaire qu'elles ne parlent toute la journée ; parfois, une promenade au bord de la Seine, une pause dans un jardin où même une chope de lait à la rose suffisant dans un plus grand silence pour que le moment soit agréable. La simplicité était aux yeux de la jeune femme devenue une spécificité bien rare.. Aussi, alors qu'elle était arrivée au défilé avant que la première tenue de soit en vue, elle était restée à l'écart, les bras croisés sur sa maigre poitrine - toujours maintenue dans un bandage. Dans son coin de jardin, elle posa son regard sur les quelques visages qui lui étaient presque familier au jour le jour. D'abord, elle reconnu la jeune femme qui avait défilé le jour précédant dans une création de Merveylle ; Lucie si sa mémoire ne lui faisait défaut. Bien qu'elle ne la connaissait ni du Créateur et des Astres, elle trouvait en elle cette même part de simplicité qui brillait chez la Boisée. Sur elle, la douceur semblait s'être posée sans aucune retenue, guidant même chaque mouvement de cheveux dans une délicatesse sans nom. Elle était, le tout contraire de l'Argentée, et pourtant presque son pareil. Les fleurs trônant tel une évidence dans la chevelure châtaigne n'étaient finalement qu'un bien petit détails tant la simplicité de vie - presque aussi forte que la rage et l'envie - rayonnait autour d'elle.

    Sortant de sa contemplation fleurie causée par le brouhaha, le regard de Prune se posa sur la jeune femme qui dirigeait depuis le début de l’événement. Rebelle Nocturne défilait ; étirant un fin sourire sur les lippes carmines de la jeune femme. Elle, totalement ignorante des aléas de la mode trouvait pourtant en cette tenue un charme certain, évidant. Et pourtant si elle en jugeait les dires sur cette toilette, bien loin de ses moyens. Mais qu'importe, grâce à cette invitation au rendez-vous de la mode, Prim Adelys avait enfin apprit quelque chose, et ce ne s'en terminerait pas la. La Castillane disparut, emportant sur elle la robe au loin des regards et du nouveau brouhaha. Les bras toujours croisés sur sa maigre poitrine, la jeune femme cherche du regard au beau milieu de cette assemblée dissipée le minois de Merveylle. Inspirant doucement, elle trouva différentes têtes, différentes expressions.. Jusqu'à ce que les mots ne viennent siffler dans les oreilles de la Valyria. Intriguée, un sourcil se arqua alors que les bras retombaient le long de son corps.

      Il est l'heure de rentrer je crois..


    A elle même, Primha opina pour cette option. Loin d'être friande des mondanités à la base, cette fois ci, ce fut de trop. Le mal aise était grand, et incompréhensible à son esprit. Ce soir, elle irait retrouver son amie ; ce soir, le calme serait de retour. Espérons le. Toute fois, elle retint de cette maigre journée la magnifique toilette qui avait été portée avec soin par une blonde Castillane. Au moins un point positif.

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Gauttier
    Le défilé était franchement une réussite jusqu'à un nuage noir d'égocentrisme vienne gâcher la journée. Les tenues étaient sublimes et témoignaient d'un savoir-faire exceptionnel et varié que pouvaient proposer les Maistre couturiers Françoy. Un tenu style italien fut proposée, ouvrage de Maistre Voillot, l'épouse qui n'avait rien à envier à son mari Jacques, lui aussi couturier. Gauttier se retira dans les coulisses pour assister, Valeryane dans les préparatifs pour le défilé. Tout semblait près il ne manquait plus qu'elle modèle: Susi. Lorsqu'il regagnant les jardins, il eut droit à un spectacle affligeant. Il soupira, lui qui essayait de donner une bonne image de la noblesse et de Paris, c'était râpé avec ces nobles qui se conduisaient comme des sagouins. Ne y a pas à tortiller, rien de mieux que le Béarn. Laissant les gens nobles se lancer dans un combat de coqs n'ayant aucun sens, il partit en quête de son épouse parce qu'elle allait devoir mettre le feu.

    -"Viens ma Merveilleuse, ne prête point attention à ce triste spectacle. La noblesse se conduit comme une bande de chiens enragés, quelle tristesse pour une fois que nous mêlons à des festivités parisiennes. J'ai honte."

    Il posa sa main dans son dos.

    -"Tu es modèles de Maistre Valeryane et je pense que tu seras bientôt invitée à défiler".

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Jenifael..luna
    La voix Castelnaudienne claqua, depuis l'estrade.

    "- La prochaine tenue est crée par une fée et elle est pour vous mes dames ! "

    Elle sourit, tentant d'ignorer ce qu'il se déroulait après les assises.

    "- Elle est porté par Susi d'Arezac-Niraco, Vicomtesse de Domezain, la tenue à été crée par la Maîtresse couturière et fournisseur royale, Valeryane Llobregat de la Duranxie Von Wittelsbach, il s'agit d'une ensemble composé d'une côte turquoise et orange, aux colles brodées d'or et de gemme bleue.Surmontée d'une surcote, sans manche, ouverte également de soie bleu et blanche aux broderies d'or.Le centre du plastron est tissé de fils d'or. Une ceinture marque la taille, une coiffe accordée décore avec élégance les cheveux et le cou est orné d'une parure, mélangeant perles et or et deux émeraude sertis. "

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Susi
Attention, ça défile !👗


Elle avait suivi à grande vitesse son époux. Défiler pour Valreryane c'était défiler pour le maître des maîtres. Elle se laissa préparer sans pour une fois plisser du nez ou ronchonner, jouer à la poupée aujourd'hui l'amusait et elle avait le sourire de l'enfante au pays des merveilles.
Enfant aucune tenue n'aurait pu lui faire cette effet là, un cheval, une épée certainement plus. Mais la chieuse gamine de duc était aujourd'hui une femme et elle savourait avec plaisir la soie glisser sur elle et les mains finir de la coiffer.
Elle était fin prête au moment ou Jenifael présentait la robe de Valeryane Llobregat de la Duranxie Von Wittelsbach, sa belle mère qu'elle admirait autant que son époux pouvait le faire.

Avant de faire le pas sur l'estrade elle murmura à Valeryane :
C'est un grand honneur de porter cette robe, elle est magnifiquement parfaite. Merci.

Oui, merci parce que même si elle avait souvent le juron en bouche on lui avait appris à toujours remercier pour ce qui nous met en joie.

Et c'était parti, Attention, ça défile !

Elle prit une inspiration, haussa le sourire et se fit les yeux d'une princesse des mille et une nuits. La fierté la faisait se tenir bien droite et la soie lui donnait l'impression qu'elle flottait dans les airs.
Elle marchait d'un pas lent et naturel, sans aucune appréhension.
Au bout de l'estrade Susi prit la pause un instant pour que tous puissent admirer la finesse du travail qui avait été fait. Elle scuta l'assemblée de ses yeux bleus dont la couleur était amplifiée par la coiffe assortie à la robe.
Elle pouvait sentir les fils d'or sous ses doigts quand elle portait sa main à sa hanche. C'était un moment enivrant.
Afin que chacun puisse ressentir la légèreté de la soie, La Niraco tourna lentement sur elle-même.
La robe virevoltait comme si une douce brise venait emporter une plume. Gauttier souvent lui parlait de la soie, de son plaisir à la travailler, de cette matière vivante à la chaleur naturelle, à la douceur incommensurable, matière qui semblait à tout instant vivante.
Susi réalisa alors la véracité des dires de son époux. La soie était comme une seconde peau.
Cette robe était un peur bonheur.
Elle ne s'était jamais sentie aussi femme, aussi belle qu'a ce moment présent, sur ce podium.


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Cira
L'agitation se faisait mais Cira n'écoutait pas. Elle connaissait les Sparte, avait grandit parmi certains, s'était même éprise de l'un d'eux enfant et avait même terminé adoptée par une des filles légitimées d'Hadrien. Autant dire que le nom n'était pas inconnu pour la jeune fille.

Assise parmi la délégation du Sud comme bonne Nordiste qu'elle est, elle observe le défilé son attention à demi portée sur les tenues présentées. Et puis Susi apparait et la flamande se redresse, dessinant un léger sourire sur ses lèvres. Elle ne connait pas très bien la Vicomtesse mais elle l'aime bien et tout comme pour Barbazan elle la suit du regard, souhaitant qu'elle ne tombe pas, qu'elle puisse défiler de la meilleure des manières et c'est avec un nouveau sourire qu'elle la regarde disparaître avant de noter une enchère. C'est bientôt son anniversaire, autant se faire plaisir.

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Zoyah
[Sur un banc à trois]

Il est une poule sur un mur quelque part qui picote du pain dur. Il est aussi deux femmes sur un banc, ici même, qui devisent simplement.
Le maître de cérémonie venait de parler et de demander aux esprits de cesser de s'échauffer. Cela semblait fort mal engagé aux yeux de la Valençay qui n’entrevoyait aucune issue de sortie qui préserve la dignité d’un parti comme de l’autre. Visiblement, chaque clan semblait bien décidé à étriper l'autre au milieu des taffetas, satins et autres brocarts. Quand Madeleine chuchota quelques mots qui touchèrent son oreille, la vicomtesse sembla réfléchir longuement avant de lui répondre, toujours à voix basse pour ne pas ajouter à la cacophonie ambiante.

« Ma foi, c’est pire que ça, je crois qu’il est à son état naturel… et visiblement en plein brame.» le regardant éructer dans un langage qui lui semblait fort étrange. L'accent certainement. A dire vrai, la petite vicomtesse trouvait le bonhomme complètement perché. Pourtant en Guyenne, elle en croisait des siphonnés de la pastèque, mais là c’était du haut niveau… et sans échauffement en plus !
Lorsque Madeleine lui déclina son identité, Zoyah arracha ses yeux de l'endroit du drame pour les poser sur la jeune fille avec deux points d'interrogation en guise de prunelles
. « Vous êtes la fille de feue sa majesté Nicolas 1er ? »… demanda-t-elle un brin étonnée de la vertueuse simplicité qui se dégageait de la princesse. Puis la conversation reprit de plus belle autour du phénomène impérial. Sourire en biais et sourcil qui se hausse.
« Si c'est un fléau, je le soupçonne d'être redoutablement efficace. »

Xalta, Pair de France versus Alexandre, Impair – ial. La duchesse orléanaise prit à parti les différents protagonistes et la vicomtesse se mit à craindre pour elle. Le fou furieux serait bien capable de lui assener un magistral coup de boule. Puis sa seigneurie s'adressa ensuite à l'ensemble des spectateurs. Zoyah resta interdite ne comprenant pas vraiment ce qu’on attendait d’eux. Est-ce que la noblesse de France devait se lever de son banc comme un seul homme, coller quelques coup de tatanes bien placés à l'altesse vociférant et finalement lui hurler dessus « T’es qu’un gros méchant d’abord !!! Va-t’en ! Vilain clown ! » Si l’idée de voir disparaître le grossier personnage hautement titré sous une montagne de chausses malodorantes avait un petit quelque chose de plaisant, elle doutait fortement que cela soit suffisant.

Tempérance qu'elle ne connaissait pas, les rejoint pour s'installer à côté. Zoyah allait lui répondre que « non, vous avez tout loupé » quand le conflit sembla s'amplifier au grand dam de l’organisatrice.
« Vous arrivez juste à point »… répondit-elle d’une voix navrée et non sans ironie. « J’ignore qui a commencé et le motif initial de la dispute, mais là, c’est partie totalement en quenouille. » Elle ne relata pas la flopée d’insultes à l’encontre de Mélissandre puisque de toute façon, le prince impérial venait d’en rajouter une couche. Et pas une mince. Non content d’évoquer la réputation de la princesse, il provoquait le frère Malemort en duel à mort et proférait des menaces. Cela lui glaça le sang. Comment de ce qu’elle pensait être une vétille pouvait se terminer de façon aussi misérable. Certains il y aurait vu beaucoup de courage, voire d’honneur, mais pour elle le constat était plus que consternant. Une princesse et son invité qui s’indignaient de l’accueil, une autre princesse trainée dans la boue et un prince provoqué en duel.
« Ils feraient mieux de baisser leur braies pour qu’on leur mesure l’entrecuisse afin de désigner le vainqueur. Cela aura au moins le mérite d’être distrayant faute d’être instructif et comme on vient à l’instant d’atteindre les abysses du grotesques »marmonna-t-elle visiblement affligée de la tournure qu’avait pris choses. Puis la voix de Jenifael se fit entendre, un peu comme un rappel à l’ordre. C’est alors qu’une nouvelle robe leur fut présentée. Peut-être que le défilé reprendrait normalement …. Elle se détourna finalement du lieu du conflit pour tâcher de détailler la toilette présentée.

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Eldearde
Parce que Lucie de Saint-Jean, sa BFF de la laïfe, avait décidé de prêter sa sublime silhouette aux mirandoliennes toilettes dont la beauté crevait les yeux et l'escarcelle d'un même éclat de tissu doré, Kierkegaard avait radiné son énorme bide et sa frimousse pâlote de Limousine jusqu'au lieu des festivités. A savoir les jardins du Louvre, l'ouvrage grandiose que tout le savoir-faire jardinier avait longuement façonné, le chef-d'oeuvre verdoyant où se rencontraient formes épurées et fouillis colorés, le bijou de l’alliance fructueuse entre la nature et l'homme, le..."MAAAIIS. OMAGAD. PWET PWET NAWAK"...morceau de Paradis présentement envahi par quelques créatures ubuesques qui, non contentes de tenir du perroquet le langage insensé et tapageur, en avaient également la cervelle de piaf.

L'haridelle, engoncée dans une surcote de satin sombre et désespérément commune, évita soigneusement le troupeau criard des blasonnés, de peur que la connerie ne soit contagieuse, pour traîner sa carcasse de provinciale à travers la foule des invités tous plus clinquants les uns que les autres, rivalisant de faste et de paillettes à en faire saigner les mirettes. Et tandis qu'en guise d'ambiance sonore les convives se payaient les chicaneries des "Grands" de ce -pauvre- monde, Eldearde dénichait enfin le sémillant Crocus parmi les quelconques pâquerettes, posant une paluche amicale sur sa frêle épaule de nymphe.

De prime abord il semblait poilant, le cuistre aéré du cortex qui s'excite tout seul, la couronne impériale de travers...mais là c'est juste une source d'inspiration pour les médecins avorteurs, de gouailler en laissant choir toute la masse des huit mois de gestation sur la chaise adjacente à celle de sa compagne fleurie. Mais déjà un froufrou d'or, et de bleu, et d'ambre, et d'azur, fit captive son attention, à l'instar du papillon de nuit tournant toute sa conscience vers l'éclat funeste d'une lampe. Le buste déformé fut délicatement penché vers la voisine-copine exhalant quelques douces essences de fleurs pour un chuchotis se voulant respectueux du défilé en cours : J'adore me faire mal en bavant sur ce que je ne peux acheter. Quand est-ce que vient votre tour ?
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Kronembourg
Il n'était pas venu ici en tant que Chevalier du guet de Paris, et pour cause ni la Garde Royale ni la première police de France n'avaient été avisées assez tôt pour assurer la surveillance de ces festivités. Mais finalement, lorsque les évènements tendaient à devenir du grand n'importe quoi, Duranxie était toujours dans les bons coups. C'est donc en tant que Duc & invité qu'il participait à cette fameuse « Semaine de la mode » , accompagné de Xalta, bien décidé à partager du bon temps. Il avait assisté un peu comme tout le monde à l'altercation entre les gardes à l'entrée & la garde palatine, aux menaces à peine voilées de l'homme impérial qui prétendait apporter un message de paix, message ô combien indéchiffrable pour qui pouvait être le témoin consterné de ses invectives. Lorsque l'on débarque au Louvre entouré de deux douzaines de gorilles armés jusqu'aux dents, il est manifeste que le message reçu par la France n'est pas celui de la paix mais de la provocation. Et malheureusement, ou heureusement selon les cas, beaucoup y avaient réagi. Lui, le Duc, y était resté indifférent. Simplement parce que la nécessité absolue d'étalage de puissance ou de nom chez les uns ou les autres, il n'en avait rien à foutre. Chacun son plaisir, après tout.
Oui, mais voilà. Xalta s'en était mêlée, déclarant tout haut ce que beaucoup pensaient tout bas. Il avait bien été obligé de suivre, ne serait-ce qu'en râlant pour la forme, au cas où la pair de France ramasserait un mauvais coup. Mais ce qui était peut-être le pire, pour lui l'ancien sourd, c'était que l'impérial semblait inarrêtable dans son gloubiboulga d'insultes. De guerre lasse, il se pencha vers l'Orléano-Bordelaise.


Bien. Je ne pense pas que quoi que ce soit dans ce conflit puisse se résoudre ici.
A présent que vous avez bien gâché la fête, il ne nous reste plus qu'à regarder les robes. Elles risquent de nous paraître bien fades, après pareil esclandre.


Assurément, aucune sortie digne ne serait trouvée pour qui que ce soit ce jour.
Autant y couper court.

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Caemgen
Le gerbillon hyperactif ne savait où donner de la tête. Plein de madames, plein de monsieurs, des zoulies robes partout - ooooh qu'elle était cro belle Nounou Hersent ! - des zens qu'il connait, des zens qu'il connait pas, de l'agitation tout partout.
Il manquait de se faire écraser toutes les deux secondes parmi tous ces adultes indifférents mais tant pis, il s'amusait trop.
Seulement c'était pas toujours facile de voir le défilé quand on fait 1,08 mètre et que la chaleur avait fait préférer une simple chemise blanche légère aux habits d'apparats.
Les grands ça donnaient tellement d'importance à l'apparence que ça n'hésitait pas à lui rentrer dedans tout "petit-fils de" qu'il était.

Un monsieur lui fila même sa coupe en lui ordonnant de l'en débarrasser comme s'il était le petit valet de service...
Le petit y trempa les lèvres et la laissa tomber par terre avec une grimace de dégout.


Pouah pas bon berk !

Voulant absolument voir les jolies robes il tira sur les vêtements de "nounou Krok" pour qu'il le prenne dans ses bras

A bras, à bras ! vois rien !
Lanfeust86
Le Roy de France faisait la sieste dans son bureau, caché de tout le monde, il prenait un peu de repos entre deux réformes à finir.
Sauf que voilà, le Roy de France fut réveillé par des bruits venant des jardins du Louvre, qu'il pouvait contempler habituellement depuis al fenêtre de son bureau.
Ouvrant un oeil, il grommela légèrement avant de le refermer.
Sauf que les bruits continuèrent, il crut déceler des insultes et ouvrit les yeux.


M'enfin ! Impossible de se reposer tranquillement dans son propre palais !


Regardant alors dehors, il constata un important regroupement à l'extérieur des jardins, et un regroupement à l'intérieur qui semblait s'agiter verbalement plutôt fortement.

Jeannot !

Son domestique personnel qui l'avait suivit depuis Souvigny entra.

C'est quoi ce bazar dehors ?

Jeannot comprit rapidement qu'il devait aller se renseigner et le Roy patienta tout en essayant de comprendre ce qui pouvait se dire à l'extérieur.
Il reconnut notamment sa fille et Poucelyna et se gratta légèrement la barbe quand Jeannot revint avec un jeune page qui se trouvait dans les jardins.
Le jeune garçon lui détailla alors la scène et le Roy roula des yeux quand il entendit le nom des Sparte, ce n'était pas la première fois qu'il y avait un soucis de garde palatine.
Il comprit quelque peu l'excès de zèle, toutefois le sang ne fit qu'un tour quand on lui détailla les menaces proféraient contre sa belle fille, les insultes contre Mélissandre alors qu'elle n'était même pas là.
Trop c'est trop, le Roy sort en trombe de son bureau et fait signe à la garde royale de l'accompagner pour se diriger vers les jardins, puis directement vers le groupe.
Il fit signe à Jenifael de stopper pour le moment d'un signe de la main et fit des brefs signes de tête aux personnes qui s'inclinaient à son passage.
Se plaçant alors devant le Sparte.

Messire de Sparte, nous ne vous connaissons pas mais nous devons dire que la première impression est loupée.
Vous êtes ici au Louvre, Palais Royal de France, nous ne sommes pas en terrain conquis impérial.

Que vous vous jugiez outré par le manque de respect et l'excès de zèle d'un garde, soit, nous aviserons les responsables de la Maison Royale à ce sujet afin que cela ne se reproduise plus.

Par contre...Que vous osiez menacez un membre de ma famille, la fille de la Reyne de France, dans notre Palais, car elle ne vous a pas appelé par votre bon prédicat, cela est profondément inacceptable. Pour qui vous prenez vous ?
La France est l'Empire s'engagent dans la paix et vous menacez la fille de la Reyne de la rosser ? Vous insultez une Princesse de France, responsable de la cour de la Reyne alors qu'elle n'est même pas présente ?
Est ce donc cela les Sparte ? Des lâches qui frappent et insultent les femmes ?

La France n'est pas le paillasson de l'Empire, Messire de Sparte, la France ne vous doit absolument rien, la France ne s'incline pas devant votre maison.
Autant nous avons pu apprécier l'aide apportée par le régnant de Franche Comté, membre de votre famille, autant il faut croire que certains membres ne connaissent pas le respect et ne sont guère fréquentables.

Aussi, à moins que vous comptiez nous menacer, nous, le Roy de France, de nous rosser, nous vous sommons de quitter les lieux immédiatement et de plus jamais remettre les pieds au Louvre.
L'Empereur sera également informé qu'un Prince impérial s'est permis de menacer physiquement un membre de la famille royale de France.

Sur ce Messire de Sparte dehors !


Le Roy était encadré de la garde qui avait investit tous les jardins du Louvre pour assurer la sécurité de tous, au cas où le Sparte serait tenter de faire intervenir la sienne.
Il se tourna ensuite vers Constance et Foulques pour leur intimer de s'éloigner d'un geste et enfin vers Poucelyna.


Princesse Poucelyna, vous nous voyez fort désolé de devoir vous retirer votre accompagnant, car nous avons grand respect pour vous, mais il y a des choses que nous ne pouvons pas accepter, notre famille nous est sacrée.
S'il n'avait été prince impérial, il y aurait déjà sa tête empalée sur une pique devant les grilles des jardins.
Bien entendu vous pouvez rester si le coeur vous en dit, votre présence est toujours un honneur pour la Cour de France.


Oui on ne rigole pas avec la famille.
Il comprendrait aisément qu'elle ne veuille rester mais bon il préférait préciser.

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--Alexandre.de.sparte.
Quelle surprise de voir le Roy de France venir directement à sa rencontre pour cet évènement. Le Duc immédiat de Liège et Duc immédiat de Breslau avait l’insigne honneur de voir le Roi de France venir à lui. Ainsi.

Un sourire illumine ses traits. Respectueusement, il vient s’incliner devant lui. Car il n’était peut-être pas son suzerain, mais il était le Roi de France.

Faire quitter une personne n’est pas instantané, donc il a tout loisir de répondre au Roy de France bien avant que la Garde puisse l’escorter quitte à faire quelques pas.


Votre Majesté, j’ai compris ce que vous m’avez dit. La rapidité avec laquelle vous l’avait dit démontre que vous n’avez qu’un aspect de la vérité mais que vous ne l’avez pas complètement, donc avant que je sois expulsé, je vous dis ceci.

Si vous êtes un souverain juste, vous m’écouterez jusqu’à la fin, puis vous prendrez une décision éclairée.

Je n’ai jamais menacé de frapper personnellement votre belle-fille. Au contraire, j’ai indiqué que je défendrais mon honneur. Nul ne peut contester que je n’aie jamais levé une main contre une femme et je ne le ferais pas, Votre Majesté. Par contre, il est fort normal que je sois de mauvaise humeur. Vous ne pouvez pas me reprocher en tant que souverain et suzerain qu’un noble défende son rang. Ce serait contraire à la féodalité.

J’ai insulté la Princesse Mélissandre de Malemort, car cet homme a mentionné son nom de nombreuses fois. Cette femme ne jouit pas d’une grande réputation. Cet homme a également insulté l’honneur de mon demi-frère qui lui était fiancé. Vous êtes surement d’accord qu’un homme doit protéger sa famille comme vous protégez vous-même votre famille. Vous ne pouvez pas me le reprocher.

Si vous êtes en désaccord avec la réputation de Mélissandre, par le même principe que vous avez été élu, permettez un vote du Royaume de France ou un procès pour savoir s’il s’agit d’une prostituée ou non.

Ensuite, vous pourrez comprendre mon point de vue.

J’ai été insulté car j’ai été escorté par des membres de la Garde Palatine. Cette Garde Palatine a combattu avec vous pour protéger la Bourgogne contre le Fatum et certains de ses membres sont tombés sur les murs de Dijon. Est-ce ainsi que le Royaume de France traite ses défenseurs ? Je suis le Capitaine-général de la Garde Palatine.

Je suis venu en paix. Je suis venu avec un geste de paix avec Poucelyna. J’ai été insulté. Je me suis peut-être mal comporté, mais je me suis comporté avec l’honneur, Votre Majesté et ça, vous ne pouvez pas le reprocher.

Je vous demande la permission de rester au Louvre pour accompagner Son Altesse Royale Poucelyna et je vous promets de rester calme vu que mon honneur sera respecté dans le Royaume de France.

Ma Garde Palatine aide la France.

Je suis même prêt à retirer mon offre de duel à mort contre le Prince de France pour démontrer mes bonnes intentions.
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