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[RP] Fashion Week - Jours 3

Lanfeust86
Le Roy allait donc s'en repartir quant il eut droit à une longue réponse du Prince Sparte.
A croire que décidément il y avait des choses qui n'étaient pas clair.


Messire de Sparte, depuis quand les décisions d'un Souverain, en son domaine, sont contestables et nécessitent une réponse ?

Nous ne vous avons pas demandé de vous expliquer, mais de partir.

Quant au fait que vous n'avez pas menacer notre fille, il nous semble que mettre un coup de poing et un coup pour chaque lettre de votre prédicat, cela soit bien des menaces de violenter une femme.

Que vous ayez aidé la France ne vous excuse de menacer un membre de notre famille, la France n'en est pas réduite à s'abaisser à accepter ce genre de comportement
Enfin pour ce qui est d'un duel, entre menacer notre famille et vouloir la rendre veuve avant mariage, cela commence à faire vraiment beaucoup...

Nous doutons qu'un Troy-Orsenac vous ait menacer de violence ou de mort pour l'honneur.

Maintenant partez Messire de Sparte.

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Lucie
Les feux de la Saint-Jean sérieusement étouffés par le consternant spectacle qui est donné et le départ prématuré de l’Effervescente que le devoir a appelé - c’est que la mode n’attend pas - elle envisage de quitter sa place pour s’en aller admirer le spectacle des belles robes depuis les coulisses où, mannequin d’un jour ou deux, elle a ses accès, quand une apparition soudaine se charge de l’éblouir. Qu’ils aillent tous se rhabiller, les Grands aux grosses voix. La vraie noblesse est là, ronde comme un soleil, mignonne comme une abeille s'ébattant à la surface d’un verre de grenadine.

En le palpitant de la Fleurie c’est à présent le quatorze juillet. Les premières fusées ont été lancées et elles explosent dans ciel d’été au son d’une glorieuse quoique légère Marche Turque. Couvrant de sa main amie celle de la sistah, elle laisse sourire croquignolet ronger sa petite face, y effaçant la moindre trace de dégoût, alors que ses billes mentholées dévorent le gracieux profil de Kierkegaard.

Se gardant de toute remarque sur l’Impérial, la vicomtesse se détache péniblement de la beauté Amie pour détailler une Susi magnifiée par la chatoyante création d’une fée tout à la fois admirée et chérie. Encore une fois, le talent de Valeryane a frappé et séduite par le choix des couleurs et des matières, par la finesse des motifs, Lucie sent son sourire s’étirer un peu plus.


    - M’est avis que je ne peux pas plus que vous me l’offrir ; pas que je manque de moyens, mais la concurrence va encore une fois être acharnée, souffle-t-elle, buste incliné vers la cristalline limougeaude, après avoir applaudit le modèle et la créatrices sudistes. Je ne sais pas exactement quand…

Barbazan s’interrompt et, sage petite chose, se lève pour s’incliner alors que Sa Majesté le Roy arrive, soutenu par la Garde. Après s’être redressée, elle observe avec intérêt l’échange entre France et Empire car, si elle aurait préféré causer chiffons avec sa copine, elle trouve tout de même fascinant de voir celui qui les dirige tous en plein exercice de son pouvoir.
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--Alexandre.de.sparte.
Ce n’était pas elle personnellement que je menaçais, Majesté. C’était à titre impersonnel. Vous avez toute mon assurance de ceci. Je le jure sur le Très-Haut et je suis prêt à passer devant la Sainte Inquisition et devant le jugement de Dieu si je mentais.

Il est dommage, Majesté que nous en soyons rendu là. J’espérais que vous m’écouterez, mais vous êtes, en effet, chez vous.

Je ne vais juste pas me rendre immédiatement en Empire, je dois rencontrer les dirigeants d’Anjou. J’espère que ça ne vous gêne pas.

Vous avez l’assurance qu’effectivement que le Royaume de Germanie, l’endroit le plus puissant du Saint Empire, et le Saint Empereur seront informés que vous m’avez manqué de respect dans votre demeure en ne respectant pas le principe fondamental de l’hospitalité. Surtout lorsque je fais preuve de politesse. Ma femme, la nièce de la Reine d’Angleterre, informera également le Royaume d’Angleterre.

Par contre, je suis prêt à recevoir vos excuses lorsque vos idées seront redevenues claires, Majesté. Je comprends votre énervement. Sinon mettez la croix sur la Garde Palatine qui est la seule à se mobiliser pour le Royaume de France en tant que troupe étrangère.

Pensez à l’avenir. Vos indépendantistes. Les brigands. Le Fatum. Les hérétiques. La France avant la famille.

Humblement, il s’incline et il part en direction de l’Anjou.
Volcan
Mon maître est sorti de son bureau ce qui m'a dérangé de ma sieste. Chouette on va s'amuser il va me lancer un bâton et je vais le lui ramener, je suis fort moi maintenant. Mais non on ne va pas jouer il se dirige vers un groupe et je le suis.
Assis sur mon arrière train je le regarde, il semble en colère contre quelqu'un mais qui ?
Je regarde les personnes qui sont là cherchant à savoir ce qui se passe. C'est la première fois que j'entends mon maître avoir une voix aussi cassante et emplie de courroux.

Ça y est je sais contre qui il en, lui là, celui qui a prononcé le nom de ma copine Melissandre. Mais pourquoi il menace, je le sens dans sa voix il sent la haine cet homme.

Mon maître est en danger et c'est à moi de le défendre, n'écoutant que mon courage alors que celui qui lui veut du mal se retourne pour partir je me jette sur lui et plante mes crocs dans son mollet arrachant tissus et peau ensemble.


GrrrrrrrrrrrrrrrrrrGrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !!!!
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Lanfeust86
Non mais vraiment ?
Il le menace réellement de vouloir aller voir les ennemis de la France ?

Le Roy arque un sourcil et préfère ne rien rajouter de plus, ce genre de petit amusement doit arriver son terme.
Il imagine alors l'Empereur et l'Angleterre déclaraient la guerre à la France pour l'honneur de Alexandre de Sparte...ben voyons il devrait s'acheter une marmotte et du chocolat.
D'ailleurs Fatum avait construit ses armées en Empire sans que quoique ce soit eut été fait pour détruire les armées naissantes.

Le laissant partir, Volcan semblait vouloir s'attaquer à lui et le Roy, d'un ton sévère, le rappela.


Volcan !

Le regardant revenir en baissant les oreilles, il se dit alors que le Sparte pourrait aller aussi se plaindre que le mini chien royal l'a mordu à l'Empereur et à la Reyne d'Angleterre, pour sur qu'ils auront du temps à accorder à ce genre d'âneries.
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Volcan
Beurk, il a mauvais goût en plus et alors que je suis quand même prêt à recommencer voilà que mon maître me rappelle.
Pas le choix je dois obéir ou subir ses foudres.
La queue entre les jambes, l'oreille basse se vient m'aplatir à ses pieds en gémissant non sans garder un oeil sur l'autre des fois qu'il déciderait de revenir. Pff on peut même pas faire son travail tranquille c'est vraiment trop injuste d'être un chien des fois

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Heloise
Ayant pris place quelques temps plus tôt dans la salle pour assister à la troisième journée de la Fashion week, Héloïse étai assise dans les rangs des spectateurs et admirait la nouvelle tenue présenté. Sublime on y reconnaissait les doigts agile de Maitres Valeryane pour sûr !

La jeune femme avait bien vu qu'il y avait eu une altercation avec un homme a priori d'Empire. La brune jeune femme ne connaissait pas cet homme, certes il avait des traits d'une famille qu'elle connaissait mais de là à le situer dans l'arbre généalogique c'était un autre problème.

Cependant voilà que le Roy arrive. La jeune femme ne réfléchit pas et sort du rang de chaise pour plonger en révérence dans la direction du Roy de Leur Roy. Puis elle écouta l'échange et fronça de plus en plus les sourcils. Ainsi donc il était le frère de Thomas encore un descendant d'Hadrien Marcus. La jeune femme leva les yeux au ciel lui au moins ne pouvait renier son géniteur pour sûr ! Le même caractère imbu de lui-même et inconséquent. Du grand Hadrien Marcus bien sûr du : je suis le meilleur baissé vous et baisez moi les pieds. Il s'était pour temps tromper d'endroit pour exiger cela. Depuis quand un noble étranger arrivait ainsi en terrain conquis ? Surtout quand on sait que ce même homme ne se gêne pas pour rappeler aux nobles français de passage en Empire qu'ils ne sont que des gens sans titre reconnu la bas. Encore deux poids deux mesures.

Il était réellement affligeant de voir que la bêtise et la stupidité étaient aussi facilement transmis de père en fils. Il manque d'éducation c'était certains. Et en plus il osait menacer le Roy ! C'est vrai qu'il n'avait fait que cela depuis son arrivé, menacer encore et encore incapable de faire autre chose, incapable de savoir faire mieux.

La jeune femme soupira dépité. Quelle image donnait-il de l'Empire ? Des rustres mal appris et imbu d'eux même. Pourtant l'Empire ne se bornent pas à ces êtres incivilisés mais ils pourrissent et gangrène l'Empire jusqu'en ses racines bien pour cela qu'elle avait quitté sa terre natale pour rejoindre sa terre de coeur, celle qu'elle aimait, chérissait et protégerait quitte à y laisser sa vie.

Elle ne put se retenir de rire sans un son en voyant le chien du Roy mordre le Sparte. Elle espérait que le blond spartien ne transmettrait pas la rage au pauvre chien.


A titre informatif pour vous joueurs : ma poupée ne peut plus émettre aucun son guttural. Donc elle rit bien la bouche ouverte comme n'importe qui mais à part un souffle sortant de sa bouche aucune corde vocale ne vibre et donc aucun son ne sort. Merci

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Recherche mariage arrangé. Intéressé ? MP !
Madeleine_df
Son état naturel, oui... Sans doute... C'était peut-être le plus triste dans l'histoire. Elle en avait presque sincèrement de la peine pour sa famille et ses sujets, puisqu'il avait l'air presque autant doté en fiefs que Lexhor, son parrain adoré, ce qui n'était pas peu dire. D'un autre côté, l'expression de Zoyah, « en plein brame » tendait à lui donner envie de pouffer de rire, c'était donc la lutte des sentiments contradictoires en elle, qui imaginait tout à fait un combat Sparte vs. Malemort à la sauce Bambi (pourtant l'autre n'avait pas l'air de vouloir lui voler sa go).

Enfin bref.

Après cela, elles passèrent aux révélations sur leurs identités respectives, et Madeleine ne put qu'opiner du chef pour confirmer qu'elle était bien la fille de son père, espérant en son for intérieur que la brune n'était pas de ceux qui avaient tant critiqué Nicolas qu'ils finissaient par juger sa descendance à travers ce prisme. Ils étaient rares, certes, mais la Firenze les redoutait d'autant qu'elle était pleine de doutes quant à ses propres capacités à se montrer bonne et vertueuse.

La conversation revint ensuite à Alexandre de Sparte, qui continuait à s'exciter les sens non loin d'elles (puisse le Très-Haut pardonner le péché de colère !), mais avant qu'elle ne puisse y répondre vint se caler à son côté droit sa bonne amie Tempérance, qu'elle accueillit avec un grand sourire et un baiser sur la joue. Comme elle s'enquérait de la situation, Zoyah lui expliqua en quelques mots. Et l'Altesse de rajouter :


- Malemort contre Sparte, en seconds Mirandole et Orsenac. C'est parti d'une histoire de gardes et maintenant ils s'insultent à tout va. J'ai bon espoir qu'ils finissent par s'étouffer dans leur excès de bile et qu'ainsi nous puissions suivre la suite du défilé dans le calme.

Ouh la vilaine Madeleine ! Comme c'était peu charitable de sa part. Péché ! Péché ! Elle le rajouterait sur sa liste et aurait bien le temps de le regretter plus tard, pour le moment l'agacement était trop prégnant en elle, et sans nul doute éclatait aussi en cela la frustration des dernières semaines passées à se taire au sein d'un conseil ducal où certains passaient plus de temps à s'agresser verbalement qu'à travailler au bien du Lyonnais-Dauphiné.

Consciente néanmoins qu'elle avait dépassé les (étroites) bornes en laissant transparaitre ses envies d'intervention divine, elle secoua un bref instant la tête, et reprit une posture un peu plus civilisée.


- Tempérance, je te présente dame Zoyah Aurel-Novotny, de Guyenne. Dame Zoyah, voici mon amie Tempérance d'Amilly.

Elle sourit. Jenifael venait d'annoncer une nouvelle tenue, aussi put-elle recentrer son attention sur la jeune femme qui défilait dans une jolie robe au tissu brillant de mille feux. Elle allait faire un commentaire, mais un bruit de métal caractéristique aux gens d'armes distrait à nouveau son attention de la scène.

- Ciel ! Le Roy !

Faisant son devoir de révérence, elle se leva du banc où pourtant ses fesses étaient confortablement loties pour se tourner vers le royal arrivant, et s'inclina bien bas entre les deux rangées, ce qui avait un potentiel casse-gueule assez proche de l'optimum. Heureusement, un signe de tête du monarque et elle en déduisit qu'elle pouvait se relever, pour autant elle ne se rassit pas avant d'être bien certaine que toute cette affaire serait réglée, attendant poing sur les hanches qu'enfin le calme revienne, attendrie seulement par la présence du royal chien qui prenait en chasse le gêneur ; on se serait cru dans une farce, et c'était bien ce que tout ceci était, finalement.

Edits : petits peaufinages de post !

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Merveylle_mirandole
A la demande de sa soeur, Merveylle s'éloigna de la zone de conflit. Prim partie, ce fut vers son égérie qu'elle se dirigea. Jenifael avait relancé le défilé tant bien que mal et une nouvelle tenue était présentée, très jolie soit dit en passant. Et puis cerise sur le gâteau, le Roy en personne arriva dans les jardins. Comme tous, elle fit une révérence et écouta le monarque parler. Visiblement c'était la fin, la fin du remue-ménage, l'impérial partait et un semblant de retour à la normal semblait revenir petit à petit.

Elle se pencha vers Lucie, qui n'avait pas dû remarquer qu'elle l'avait rejointe, tellement les regards étaient trop occupés à regarder ce qu'il se passait. Et se contenta de murmurer :


- Encore une tenue et c'est votre tour Vicomtesse, nous ne devrions pas trop tarder à aller vous préparer.

Et trouver refuge dans le chapiteau réservé aux mannequins. Car bien que ce soit fini, elle n'en restait pas moins choquée. Elle était la petite chose fragile que sa famille et ses amis n'avaient de cesse de vouloir protéger sans qu'elle ne demande quoi que ce soit. Petite perle de douceur parmi eux, papillon aux ailes délicates, elle chérissait ses proches autant qu'ils veillaient sur elle.
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Sofja
    Bien évidement la Jagellon ne pouvait louper aucune tirade de cette mascarade. Comment c'était triste de voir un homme se ridiculiser autant. Ma foi, c'était un Sparte, ça ne valait pas mieux que, que, que ? Ben en fait, elle ne sait pas. Mesme les animaux avaient plus de respect à ses yeux. L'honneur de son amie Melissandre était salie en public alors qu'elle n'était même pas présente. Comme c'était lâche, minable. Son sang brulait, ses yeux en étaient injectés mais elle ne se leva pas pour autant car elle serait capable de lui tordre la tête à cette merde d'impérialiste.
    Fort heureusement, le Roy arriva à son tour pour calmer les choses mais surtout pour sortir cet homme qui ne méritait de mettre les pieds sur les terres Françaises. Il ne faut pas pousser le bouchon Momo ! Après une révérence comme il se devait et que le Sparte fut enfin dehors, elle repporta ses yeux sur la nouvelle robe.

    OOOOOO MYYYYYYYY GODDDDDDDDD !!!

    Oui, elle va s'évanouir devant une telle splendeur. Il lui faut de l'alcool, du sucre pour tenir le coup. C'est pas popible une telle merveille. Aucun doute, les enchères vont s'envoler et ses rêves aussi.

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Valeryane
    "En dehors des coulisses"

    Un besoin de prendre l'air car elle était un peu fatigué, elle décida de sortir voir se qui se passait de l'autre côté celui ou tous regardaient les tenus passer. Oh! Rage oh! Despoir la brune compris qu'il y avait un problème en voyant au loin le roy et un autre homme qu'elle ne connaissait pas, d'aprés les gestes elle comprit qu'il y avait souci. Elle demanda discrètement à une personne qui était là surement depuis un bon moment, celui-ci lui expliqua du début à la fin l'histoire et Val eu mal au coeur de voir que même dans un défilé de mode on se prenait la tête, au conseil on se prenait la tête, à la maison royale surement aussi décidèment y avait-il un endroit ou on ne se prenait pa sla tête?

    Elle était dépité de voir son mannequin et sa tenue défilé à ce moment là, qui allait voir sa robe du coup si tous le monde s'interessaient à la dispute que cet homme de l'empire avait déclanché?

    Val secoua la tête tristement, elle était aussi triste des insultes que Melissandre et la jeune constace avait reçu, comment pouvait-on agir de la sorte devant des princesses de sang. Il n'y a plus trop de respect de nos jours, adieu la bonne conduite. La brune planqué derrière la personne qui lui avait chuchoté toute l'histoire retourna en coulisse en jettant une dernier oeil à Susi qui devait se sentir bien mal à l'aise du coup.

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Susi
Toujours sur l'estrade, elle finit de tourner mais fut stoppé dans son élan par les voix qui venaient toujours plus fortes de l'entée et elle vit les gens se mettre à faire des révérences.

Ce qui est bien d'être sur une estrade c'est qu'on voit tout ce qui se passe. Et d'un coup, Susi vit le Roy. Que faire ? Que Faire ? Les modèles qui défilent sont surement aussi soumis à la révérence quand le Roy passe ? Alors elle s'exécuta sans plus essayer de réfléchir. Elle fit révérence.

En se relevant elle vit le toutou blanc et son sourire remonta aussi sec. Le voir grandi et en pleine forme lui fit un grand plaisir. Elle dû se faire violence pour l'abandonner au Louvre.
Et tout en finissant son circuit sur l'estrade (Le Spectacle Doit Continuer) elle se demandait comment elle allait pouvoir aller lui coller une caresse.

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Alexandre.de.sparte
Le parangon de l'humanité était déjà parti. Il faut rappeler une chose, le Roi de France avait pris quoi, deux mois pour planifier une attaque de quoi, trois jours, pour se racler les dents dans une défaite militaire monumentale ?

Ensuite il s'était pissé dessus quand il a su que le Fatum arrivait en Bourgogne. Il avait pleurniché pour avoir des troupes étrangères. Dévouées et fortes, on avait envoyé un tantinet de garde palatin car on a surestimé la puissance militaire de la France et on avait perdu des gardes palatins.

Cette fois-ci, la France aura 0 mais 0 soldats de la plus puissante armée privée européenne. Disouly.

Les Angevins étaient glorieux et beaux. Ils étaient des anges.

Et il était loin au moment que le chien qui se prenait pour un loup avait débarqué. Tadam, le plus bel homme du monde avait quitté cet endroit saugrenu avec son roitelet qui était incapable de tenir ses indépendantistes contrairement à l'Empire.

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Wendoline


Elle n'avait pu faire autrement et assister comme tout le monde à l'esclandre. Il fallut l'intervention du Roy pour qu'enfin on puisse revenir à l'essentiel pour lequel tous étaient réunis ; la fashion week et les différents couturiers et ateliers mis à l'honneur. Mais comment pouvait-on se comporter de la sorte, elle était choquée des propos tenus par le cavalier de la Duchesse de Bourgogne. Et Volcan qui soudain croqua dans un jarret, ne pas rire, ne pas rire!!

Finalement le défilé repris et c'est une magnifique tenue réalisée par son amie Valeryane qui leur fut présentée par une jeune femme dont les formes épousaient parfaitement les lignes de la robe. Des couleurs harmonieuses qui se mariaient admirablement entre elles, une coupe élégante. Une robe qui pourrait rendre encore plus belle n'importe quelle autre femme.

Cette tenue lui plaisait vraiment, elle nota quelques petites précisions sur un bout de parchemin et s'accorda un moment de réflexion.

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Hersent
Le défilé fut interrompu avec une relative brutalité par une altercation des plus malvenues.
Certains invités réagirent, elle préféra s'abstenir car elle n'était pas ici en tant que GO mais simple amatrice de jolies tenues.
De plus, les négociations de paix étant toujours en cours, il aurait été mal séant qu'elle intervienne: droit de réserve d'un membre de la Curia. Cependant, elle ne put qu'approuver l'intervention de Xalta qui usait, à propos, de sa liberté de parole.

Un soupir de soulagement lui échappa quand le Roy descendit, entouré de sa garde royale, pour remettre de l'ordre dans la cacophonie ambiante.
Elle vit Volcan s'en mêler et se mordit les lèvres pour ne pas laisser échapper le rire naissant.

Enfin, elle aperçut le très jeune Caemgen, encore seul, déambulant dans le public, au risque de se faire bousculer ou pire se faire écraser, d'autant que l'altercation pouvait lui être préjudiciable. Pourtant, malgré son inquiétude, elle ne fit pas un geste... pour l'instant... car il était le neveu de la jeune Princesse de France, à l'origine du scandale présent. Après tout, elle se devait de surveiller un peu mieux ce jeune garçon. C'est le Chevalier du Guet qui serait content de sentir son pourpoint tiré en tous sens.

Elle avait donc raté l'occasion d'envoyer une proposition pour la tenue rouge et resta sans voix devant celle proposée par Dame Valeryane.
Elle chuchota à Wendy:


J'hésite à envoyer une proposition de prix. Je dois faire des économies. Je me donne un peu de temps pour réfléchir. Cette tenue est splendide et j'en suis subjuguée.

Son regard se reporta, néanmoins, vers le garçonnet: elle s'en voudrait s'il lui arrivait une mésaventure.
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