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[RP] Fashion Week - Jours 3

Lucie
Attention, ça défile !
👗


Aidée par la mignarde altesse qui, digne de ce prestigieux titre, fait encore et toujours montre d’une incomparable délicatesse, Fleurie noue ses lourdes boucles en une tresse piquetée de marguerites légères et revêt la robe qu’elle doit présenter en ce jour. Si elle aime la primesautière création aux jolis petits pompons dans laquelle elle a défilé la veille, elle est littéralement folle de celle dont elle se pare à présent. Toute de bleu et d’or, soyeuse et noble, évoquant la mer aux dernières heures du jour quand le soleil éclate en un milliard d’éclats dorés à sa surface infini. C’est, à n’en point douter, une merveille.

    - C'est à vous d'y aller. Amusez-vous bien.

Souriant à l’aimable encouragement de la couturière, Lucie presse amicalement sa main avant d’abandonner la pénombre protectrice du vélum pour apparaitre sur l’estrade ensoleillée tandis que la maîtresse de cérémonie fini de décrire la tenue portée. Tête haute, puisqu’il est trop tard pour être effrayée, la croquignolette vicomtesse se met en marche, suspendant à l’orbe tendre de ses bras toute la majesté des filles de Téthys, imprégnant ses mouvements de l’orgueilleuse grâce de Calypso.

L’heure des cris semble être définitivement passée et dans les glorieux jardins du Louvre règne à présent une paisible volupté. Glissant doucement sur le tapis, suivant le parcourt imposé, l’égérie se repait donc de l’immense beauté qui s’offre à elle ; ciel clair, buissons verdoyants, convives aux mines et aux mises pimpantes… Puis son regard mentholé rencontre visages pâles et mises obombrées, et sous les barreaux blancs de sa cage thoracique son palpitant s’ébat joyeusement tandis qu’un irrépressible sourire s’en vient fleurir son minois. Juste là, roides et magnifiques, se tiennent ses amis les tendrement aimés. Sans le savoir, âmes de cristal se sont trouvées.



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Hersent
Après avoir défilé joyeusement, suivie sans le savoir par un trublion facétieux qu'elle reconnut quand elle fit demi-tour au bout de l'estrade, Hersent rejoignit Laure Victoire dans les coulisses, radieuse de l'accueil fait à la tenue framboise, une gourmandise à porter.

Vous voyez, Laure, votre création a été ovationnée comme il se doit. Je suis certaine que les commandes afflueront rapidement.

Aidée par Laure, elle ôta, avec regret, la robe framboise pour revêtir sa tenue d'un atelier concurrent. Elle serra les mains de sa dame de compagnie pour l'encourager et la soutenir moralement en ce jour d'angoisse, avant de reprendre place parmi les invités.

Une nouvelle tenue était annoncée, Hersent eut le souffle coupé devant tant de joliesse. La jeune Merveylle avait un grand talent. Elle applaudit cette dernière ainsi que la Vicomtesse Lucie qui portait avantageusement la tenue.

Un sourire triste vers Wendy:


Cette tenue est vraiment splendide mais elle est au-dessus de mes moyens et de ma condition. Au moins aurai-je eu la joie d'admirer en avant-première cette création.

C'est qu'il fallait savoir raison garder et condition sociale à l'esprit conserver. Pour oublier le nuage sombre, elle se permit d'applaudir de nouveau.
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Jenifael..luna
    La jeune fille continua le défilé.

    "- Mes dames, la prochaine est sublime ! "

    Elle sourit. La prochaine été la talentueuse couturière de la mère de sa suzeraine.

    "- Il s'agit d'une création de la couturière Armelle Doyet, porté par Sa Grâce Cécilia von Frayner et nommer A l'étouffée. "

    Elle termina.

    "- Il s'agit d'une cotte de drap des Flandres rouge sang sur une jupe de soie damassée sur un vertugadin, manches à bouffes, tout brodé de perles et de cabochons, cape d'hermine. "

    Et elle laissa place.

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Cecilia
Attention, ça défile !👗


Lorsque sa couturière privée lui avait demandé si elle acceptait de défiler pour elle lors de la Fashion Week, la brune avait tout naturellement accepté. Comment en aurait-il pu être autrement d'ailleurs?

Pour l'occasion, elle avait demandé à son époux de l'accompagner. Cela lui permettrait de passer le temps en conversant avec lui mais également de profiter de sa présence. Présence qui lui manquait cruellement ces derniers temps, cela se voyait sur les traits de la jeune femme.

A l'appel de son nom par Jeni, l'hirondelle avança donc sur la scène -tête haute et marche délicate- reconnaissant quelque personne sur son passage à qui elle faisait un léger signe de tête, puis elle fit une légère révérence non loin du bout de l'estrade afin de montrer le tombé du tissu avant de faire demi-tour, tout en évitant de se prendre les pieds dans la cape herminé parce que ça aurait fait tâche de se vautrer devant tout le monde.

A cela l'on pouvait ajouter que Lorenz s'en serait donné à cœur joie pendant un bon moment à ce propos rien que pour le plaisir de taquiner sa femme.



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Sofja
    La Jagellon resta bouche bée devant la nouvelle robe. C'était une tenue digne d'une reyne, d'une princesse. Elle devait couter affreusement chère mais nul doute que cette dernière trouverait acheteur. Certains possédaient la folie des grandeurs. Elle applaudit le travail de la couturière.

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Shame
Admiration et contemplation des salles en coulisse. Il finit par quitter l'intérieur pour rejoindre la Cour et les Jardins extérieurs. Ses iris traversées par la lumière mettent du temps à s'habituer, il en profite pour prendre place, les yeux plissés en amande, un simple sourire peint sur ses lèvres. Les robes sont sublimes, chacune avec leurs modèles qui les mettent en valeur, leurs matières et leurs mélanges de style. Cet univers l'apaise. Alors que ses yeux suivent les défilés. Et pourquoi ne pas tenter sa chance. Dans ce milieu. Il est certain qu'il pourrait faire l'affaire.

Et sans savoir pourquoi, le Rouge Sanguin de la robe le fascine. La Blancheur de la Cape d'Hermine épaisse et soyeuse. C'est le passage actuel qui attire son attention. Et envoie d'un pli privé. Il est temps d'entrer dans le Jeu.

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Never Ask About The Past - Dont' Expect A Future
Prendre l'Air
Hersent
Et une merveille de plus à contempler sans oser rêver de l'acquérir. Le travail de la couturière était tout simplement splendide.
Elle applaudit, heureuse de voir de belles choses.

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Laurevictoire
La jeune femme sourit à sa "Baronne". Hersent était toujours là pour l'encourager et la soutenir! Elle serra délicatement les mains de celle qui l'avait accueillit au sein de sa mesnie.

Merci, je suis heureuse si cette tenue fut appréciée. Il y a de si grand talent dans ce royaume. J'aspire un jour à être aussi talentueuse qu'elles.

Laure-Victoire se dépêcha à aider Hersent à se dévêtir pour revêtir la robe qu'elle portait à son arrivée. Une fois le dernier lacet attaché, Laure-Victoire se permis de réajuster la coiffure.

Attendez un instant, certaines mèches sont rebelles ici et là, il n'est pas question que vous vous présentiez comme si vous aviez galopé toute la journée! Que penseraient vos amies!


Un sourire taquin se dessina sur les lèvres de la jeune dame de compagnie. Elle lui fit un clin d'oeil et l'invita par la suite à rejoindre le parterre.


Il ne faut pas manquer les prochains chefs d'oeuvre! Amusez vous bien!

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Demoiselle de compagnie de la baronne Hersent D'Ar Sparfel et Hôtesse et couturière à la Boutique du Lys
Felip.
[Attention ! Quand Lucie défile devant les yeux du Comte !]

"Chère Lucie, Je viens juste de te voir dans un défilé aux Jardins du Louvre,
Magnifique... Comme à ton habitude. Et si par hasard tu m'entends, juste maintenant, Je veux simplement que tu saches que j'adore ton petit museau de belette.
Ainsi que tes grands yeux si menthe à l'eau, ô ma Prunelle, Pimprenelle, dans
lesquels je me noie sans fin comme dans un baquet d'herbes moulues.
Je t'imagine fille de prince Russe en exile, détentrice des clefs du mystère au chocolat, sillonnant notre morne pays à bord d'un carrosse dernier cri.
Je veux juste te dire que durant toutes ces longues minutes de perdition j'ai souvent pensé à toi.
A toi Lucie, petite chose tellement fragile et forte à la fois. Aérienne et cérébrale. Si parfaite. Telle un rêve éveillé.

Lucie, Lucie, Lucie !
Lucie, Lucie, Lucie !

Lucie, Je tiens à te féliciter pour ce magnifique duo avec son Altesse Royale Merveylle. Tu y es irréprochable comme à ton habitude. Je pense que tu dégages quelque chose de
très particulier et si juste maintenant tu entends ma voix à travers le souffle du vent, nos regards croisés ou même notre "connexion",
Je veux juste que tu saches que j'aimerais énormément passer du temps avec toi.
Tu sais j'ai beaucoup réfléchi et je pense que nos univers pourraient s'entre-mêler.
Moi aussi je suis à fond dans la mode, j'aime admirer les belles tenues et robes et j'aime cette gracieuse démarche que tu nous délivres de si belles façon. Lucie... Lucie...

Lucie, Je ne voudrais pas paraître trop cavalier, mais j'aimerais tout de même te laisser mon adresse :
- Sa Grandeur Felip Arthur Von Wittelsbach de la Duranxie, Coms d'Armanhac e Comenge, Castel des Von Wittelsbach, Cité d'Aush sise en Comtat d'Armanhac e Comenge.
Tu n'es pas obligée de m'écrire ou me rendre visite tout de suite tu sais,
Je suis quelqu'un de patient, prend ton temps Lucie..

Lucie, Lucie, Lucie !
Lucie, Lucie, Lucie !".

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Susi
Après son passage sur les planches, un drame était en train de se dérouler dans les coulisses
Je vais vous retirer la robe Vicomtesse .... Et Susi les bras croisés, le museau légèrement relevé qui se balade de droit à gauche, en lui interdisant de la toucher. Et Barbara, la servante, qui lui tourne autour un peu désespérée.

Non, non, non, non
Combien de fois faut-il, Vous le dire avec style
Je ne veux pas sortir du salon !

Non, non, non, non
Je ne veux pas prendre l'air
Non, non, non, non
Je ne veux pas boire un verre
Non, non, non, non
Je ne veux pas l'oublier
Non, non, non, non
Je ne veux pas m'en passer

Je veux juste
La garder sur moi, y'a pas de mal à ça
Trainer, manger que dalle
Écoutez Barbara.... peut-être qu'elle sera à moi...


Non, je ne veux pas faire un tour, a quoi ça sert de faire un tour ?
Non, je ne veux pas me défaire... de ces si belles affaires
Qui commence à me plaire
Je ne veux pas quitter ce salon

Non, non, non, non
Je ne veux pas prendre l'air
Non, non, non, non
Je ne veux pas boire un verre
Non, non, non, non

Je ne veux pas l'oublier
Non, non, non, non
Je ne veux pas m'en passer

Je veux juste
La garder sur moi, y'a pas de mal à ça
Trainer, manger que dalle
Écoutez Barbara.... peut-être qu'elle sera à moi...

Non, ne me faites pas ces yeux
A quoi ça sert de me faire les gros yeux ?
Non, je ne veux pas me changer
Non plus me démaquiller
Laissez-moi m'ennuyer
Arrêtez avec vos questions !

Non, non, non, non
Je ne veux pas prendre l'air
Non, non, non, non
Je ne veux pas boire un verre
Non, non, non, non
Je ne veux pas que vous m'touchiez
Non, non, non, non
Je ne veux pas m'en passer

Je veux juste
La garder sur moi, y'a pas de mal à ça
Trainer, manger que dalle
Écoutez Barbara.... peut-être qu'elle sera à moi...

[9) Intégrer entièrement ou partiellement une chanson de votre choix dans un post RP]
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Eldearde
Kierkegaard fut arrachée à la sorte de transe hypnotique dans laquelle les balancements de l'escarcelle framboise l'avaient momentanément plongée par le froufroutement d'une pèlerine flattant la pelouse impeccable et le bruit reconnaissable d'un séant copinant avec le fondement d'un siège. Une brève oeillade vers l'impudent voleur de chaise attisa sa curiosité jusqu'alors mise à mal par le grand bal des vanités : s'il n'avait de l'ours que le poil de sa cape fourrée, le jeune homme assis à ses côtés n'en possédait pas moins la noble figure de l'animal puissant et hardi. A l'aune de cette trombine d'albâtre qu'un œil fuligineux ne parvenait à vivifier, une statue de marbre aurait pu paraître enjouée, bien que l'élégance des traits figés et l'orgueil du large front n'auraient su être imités par quelconque sculpteur de renom. Un temps, les deux faciès aussi cireux qu'impassibles se complurent dans un silence circonspect, happés par l'églantine des jupons, avant que, d'une voix d'outre-tombe, frileux blondin ne se risque à une activité pour laquelle ils se révéleraient aussi peu doués l'un que l'autre : faire la conversation.

Et merde, le moment qu'elle craignait, celui où l'on s'enquerrait de son avis de néophyte blasée, était déjà arrivé. Qu'en pensait-elle, de cet ensemble de tissure rosée qu'elle ne pourrait ni acheter ni enfiler ? A vrai dire rien du tout, amplement satisfaite des toilettes sombres à cols hauts qui composaient sa garde-robe, l'esprit intégralement tourné vers le tendron top modèle qui, seul, avait motivé ce voyage improvisé. Mais question avait été poliment posée, appelant réponse toute aussi courtoise et, si possible, point trop bouchée : nombreux étaient les mâles à considérer qu'une femme digne de ce nom devait pouvoir causer rejetons mais aussi chiffons.

Et bien, m'est d'avis que cette chaisne nivéenne est agréablement brodée..et que la coupe, si elle n'est guère..euh...traditionnelle, fait montre de beaucoup...d'esthétisme, tout comme ce ceste qui sangle des hanches...ma foy fort jolies, baragouina-t-elle piteusement, s'essayant à la stratégie des termes couturiers et tout à fait cabalistiques placés ça et là dans une phrase qui, à mesure qu'elle s'étirait, se vidait peu à peu de son intelligibilité. Un instant, brunette détailla le profil austère du nobliau aux tifs filasses puis, fatiguée de faire le jeu de la fatuité et des faux-semblants, elle joignit à son premier murmure le sourire amusé d'un second : En vérité, je ne goûte que peu au plaisir des jolies parures et autres vestures dorées. La mode m'indiffère...a contrario de certaines des belles personnes qui aujourd'hui la portent aux nues. L'une de ces sublimes égéries est la seule raison de ma présence icelieu : elle devrait d'ailleurs succéder au présent modèle. Lucie de Saint-Jean...peut-être ce nom vous est-il...

Les derniers mots de Kierkegaard vinrent mourir sur le charnue de sa lippe : ladite Saint-Jean venait de se couler entre les riches tentures qui séparaient les coulisses du podium scintillant où convergeaient tous les regards. Elle parut en Reyne des flots, fagotée du cérulé d'une mer calme et de l'or d'une plage immaculée, l'épaule garnie d'une tresse lâche et fleurie. Nul doute qu'Amphitrite, épouse de Poséidon, devait présentement jalouser ce petit bout de femme qui, vêtue des teintes de son élément, défilait avec toute la grâce naturelle des déesses qui s'ignorent. Lorsque les menthe-à-l'eau se posèrent brièvement sur elle, silhouette déformée créchant au deuxième rang, Eldearde fascinée étala un sourire conquis à sa mine blême : par quel miracle cette bleuet éclatante l'honorait-elle de son amitié, elle, la mauvaise herbe aux racines pourries ?
Mais, déjà, l'Amie échappait à son regard aimant pour laisser place à une nouvelle parèdre drapée de velours, sans que l'haridelle ne perçoive de ses atours autre chose qu'un vague scintillement.

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Dedain
    …Connu ?

    Au moment même où la solaire Amie fait son entrée, les prunelles communes de l’assistance s’efforcent à en chasser les rayons voyeurs, luttant contre cette force naturelle et éblouissante, pour enfin réussir à se poser difficilement sur la parure océan happant de ses profondeurs vespérales et de ses embruns laminés un peu de cette ardeur florale tant aimée.

    Dédain, au même titre que sa voisine, en oublie un instant les balbutiements stylistiques et tout à fait néophytes de sa compagne engrossée – il n’est pas dit qu’il aurait fait mieux – , pour porter son attention sur Saint-Jean, au cœur des palpitants de bien des gens, rythmant les staccatos délicats des tambourins intérieurs, réussissant presque à dégeler l’organe crispé par le froid du Deswaard.
    C’est un exploit.
    Par suite, la transe du monde s’arrête un moment, et l’astre, sans un bruit, retourne sommeiller à l’abri des tentures royales, telles les soieries fines qu’on viendrait savamment remonter sur les bras offerts du tendre Morphée.
    C’est mieux comme cela. C’est déjà trop d’émoi pour un si funeste événement.

    Adoncques, les obsidiennes vidées de substance s’épuisent vite dans la soudaine absence comblée par une nouvelle égérie impériale aux fourrures d’hermines sacrifiées pour l’apanage des plus grands. Sans aspérité, celui qui se fait le support d’un ours mort resserre tout au plus les pans volumineux et matelassés de cette lourde étoffe sur sa si maigre musculature, avant de se rappeler à la présence de la Kierkegaard concurrentielle.

    Barbazan. Je vois qu’elle se trouve à l’initiative de la présence de nombreux soutiens, ce jour, quoique je puis douter fortement qu’il lui soit indispensable, en vérité, de nécessiter beaucoup d’effort pour l’épauler. Elle vous affirmera volontiers le contraire.

    C’est dire que la printanière douceur possède une puissance innée qui n’appelle aucunement à ce qu’on vienne éclaircir les dédales d’un chemin tracé déjà pour elle et par elle vers la mélopée de l’éther et la droite assise du Sacro-saint.
    Il obtempère finalement, le Comte, en inclinant légèrement le minois d’albâtre vers l’Eldearde, qu’il identifie désormais comme l’une des rencontres importantes du récent abandon de l’exquis crocus. Ainsi, dans l’amas des poursuivants, dans les méandres des féaux alliés, rares sont les personnes à l’arrondi vaginal si parfait.


    Il convient pour moi de vous avouer ne pas être non plus enclin aux lubies artistiques qui sont couronnées présentement. Mes goûts vont à la sobriété et, parmi elle, je supporte seulement le noir.


    Hashtag jeteracontemalife
    En même temps, il ne fallait pas être devin pour deviner la propension à l’austérité de l’Insondable, enclavé de nuit, au marbre nacré de glace, aux filaments d’or strictement disciplinés d’un catogan bas sur la nuque.


    Elle porte rarement quelqu'un en si haute estime, vous savez.

    Et justement, de ce que je sais, vous rivalisez de compétences, ce qui vous amène à côtoyer les affres de ses pensées les plus pures.
    Oui, il aurait pu poursuivre ainsi, mais le Noldor préfère mieux les beautés froides du silence et des non-dits.

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Jenifael..luna
    La jeune fille annonça le prochain couple.

    "- Mes sieurs, la prochaine est donc pour vous, ils s'agit d'une création de Constance d'Orsenac, maîtresse couturière aux doigts d'Or. "

    Elle continua.

    "- Elle est portée par Son Altesse royale Hector de Troy, fils de Sa Majesté Lanfeust de Troy, il porte un pourpoint marron, brodé de rayures, porté sur une chemise blanche, accompagné de braie marron et de bottes montantes noir. "

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Hector_de_troy
Attention, ça défile !👗


Sacrebleu, mais qu'est ce qu'il faisait là ? Encore un coup de sa soeur qui lui avait fait les yeux plaintifs pour qu'il dise oui forcément... Hector était bien trop naïf avec les femmes, tant de sa famille que toutes les autres en fait, il le savait, il s'en rendait compte toujours trop tard mais bon c'était comme ça, il était jeune après tout. Le voilà donc à devoir défiler devant des dames et des hommes dans une tenue confectionnée par sa soeur. Mais comment défiler, quelle expression arborer ? Il était juste entrain de légèrement paniquer car il avait toujours cette fâcheuse habitude de se poser trop de question pour ne pas décevoir et ne pas faire honte.

Sa soeur l'aida à se préparer, à bien ajuster la tenue, puis à nouer la cape au niveau du torse.


Tu m'en dois une Constance.

Après que la dénommée Cecilia fit son entrée avec une robe à couper le souffle, ce fut donc lui qui fut appelé. Bon et bien c'est parti ! Le jeune prince prend une grand inspiration et sort de dessous le chapiteau pour monter sur l'estrade. Là il patiente quelques instants, non sans se sentir vraiment bête devant tout le gratin.



Il descend ensuite de l'estrade par le tapis rouge, en suit le chemin, s'arrête quelques instants pour dénouer la cape et la laisser tomber, ouais tout un art Messieurs Dames ! Il repart ensuite en finissant la boucle du tapis, remonte sur l'estrade et repart non sans un grand soulagement.



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Pattricia
Post supprimé pour être mis jour 2

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Égérie de la Boutique du Lys
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