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[RP] Fashion Week - Jours 3

Zoyah
[Spectateur avec Tempérance et Madeleine]

Comme Madeleine, la vicomtesse s’était arrachée de son siège pour ployer en une profonde révérence dans un chuchotis de jupons soyeux dès l’arrivée de sa Majesté le Roy de France. Puis elle avait suivi en silence l’échange entre les l’altesse impériale et le Roy, le visage impavide et les mains sagement croisées sur son giron. Seuls, les yeux semblaient animés alors que leur regard allait de l’un à l’autre. Puis les sourcils se haussèrent lorsque la boule de poils royale se jeta sur les jambes de l’impérial. Elle connaissait bien ce type de chien car elle en avait offert un à une personne tenant des terres en Béarn. C’était les fameux chiens de Gaston Phébus, les gardiens des Pyrénées, tueurs de loup, dont les plus forts pouvaient abattre un ours s’ils savaient s’associer. Mais là, ce n’était qu’un chiot de quelques mois qui n'avait encore ses dents de lait. Pour peu que l’altesse fût chaussée d’épaisses bottes de cuir et l’animal risquait de se retrouver édenté jusqu’à la pousse des dents définitives. Quand la tempête cessa définitivement, elle tourna sa tête vers la princesse … « Je rêve, il vient de menacer le roy dans son palais… ». Dans d’autres régions, le scélérat serait reparti embroché sur une pique, avec une pomme dans la trogne et du persil dans le fion. Quoiqu’il en soit, il pouvait bien lui arriver n’importe quelles bricoles d’ici qu’il quitte la France. Un sourire aimable à Tempérance à qui elle avait été présentée... « Enchantée, Donà… »… et le défilé pu recommencer. C’est là qu’elle vit une des plus belles toilettes que ses yeux n’aient jamais caressé. Cape d’hermine… cette robe était réservée aux têtes royales. Elle se tourna vers Madeleine … « C’est là l’œuvre de la couturière dont vous me parliez… vous avez raison, elle est plus que talentueuse. Où exerce-t-elle son métier exactement ? ». Intéressée ? Si peu…
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Lucie
Le Fleurie défile et puis retrouve les coulisses tout doux, prenant le temps d’écarquiller les yeux bien comme il faut devant l’incroyable création portée par une beauté brune dont le nom ne lui est pas inconnu. Décidément, il semble que les Von Frayner ne savent pas ne pas être séduisant. Toutefois, Saint-Jean ne s’attarde pas à cette pensée, préférant vite retrouver Merveylle après s’être à nouveau changé, remettant sa splendide création à d’habiles petites mains qui se chargent de la ranger.

    - Voulez-vous rejoindre le public avec moi votre Altesse ? Mes amis y sont, ça sera sympathique.

Ouep. Parce que les copains de la Lu’ sont tous trop chouettes, qu’on se le dise.
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Constance..
Après l'intervention de son Père, l'Orsenac et le Malemort repartirent donc en direction des coulisses. La famille c'est sacré chez les Troy Orsenac. La blonde pensant que son fiancé partirait rejoindre le public, elle fut soulagée de le voir rester auprès d'elle. Elle lui déposa un baiser sur la commissure des lèvres auquel un murmure s'ajouta "Merci mon Amour". Alors, ils suivirent le défilé tous deux, échangeant sourire et regards équivoques ne laissant aucun doute sur les sentiments éprouvés pour l'autre.
Les tenues défilèrent, toutes étaient parfaitement superbes, sa préférence allant à quelques toilettes, mais ce qui est normal tout le monde a ses préférences. Mais les couturiers avaient tous répondu présents, du moins une grande majorité, et cela était des plus appréciables.
Puis l'Orsenac abandonna quelques instants son obsession afin d'aller aider son frère Hector. Le jeune Prince allait à son tour parcourir le tapis rouge, et Constance acquiesça aux paroles de son jeune frère. Une bise sur la joue de celui-ci avant qu'il ne parte.


Promis, je t'en dois une oui.

Retournant auprès de Foulques, elle put voir Hector faire tomber la cape en milieu de parcours, ce qui déclencha un léger rire chez le couple. Puis Jenifael lui fit signe de venir la remplacer, celle-ci avait besoin de faire une pause. Alors l'Orsenac abandonna là son promis et s'avança sur l'estrade après avoir pu échanger quelques mots avec sa GM de la Garde Robe Royale sur les tenues restant à passer. Un sourire à celle-ci puis elle annonça la prochaine tenue.


Mes Dames, Sires, voici maintenant une magnifique tenue réalisée par Tamarra, de la Boutique du Lys. La réalisation est portée par Lysianne, et se nomme "l'Italienne".

Elle laissa le temps au modèle d'arriver sur l'estrade avant de continuer.

C'est une robe d'inspiration italienne, faite de soie rose entièrement brodée de motifs d'or, au dessus d'une chemise de coton blanc. Les manches sont attachées au reste par un laçage de ruban rose également. Une ceinture d'or ainsi que des bracelet au bras accompagnent le tout, et un filet perlé attache la chevelure de ces dames.

HRP : Désolée pour le retard, journée très chargée hier.

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Tamarra
la rouquine était bien là, depuis le début des défilés, dans l'ombre des couturières et mannequins qui s’affairaient a préparer leurs modèles pour le mieux, absorbée par les retouches de dernières minutes, Tamarra ne s’était aperçue que bien tard de l’absence de son modèle, ou du moins qu'elle ne l'avait pas aperçu encore, il fallait bien l'avouer, voir quelqu'un dans toute cette agitassions était bien difficile.

coupant son fils après une dernières retouche, la couturière se leva enfin, prête a chercher Lysianne qui porterais "son italienne", la rouquine, a l'aube du défilé, s’était trouvée fascinée par les robes merveilleuses portée au delà des frontières françaises, comment ne pas tomber en amoure face a telle beauté, les couleurs l'avaient charmés, et semblaient rendre divine quiconque les portait.

-Lysia ! .... tu aurais vu Lysianne ? ... LYSIANNE !!

cherchant son modèle a tout va, Tamarra s’éparpilla comme une brebis égarée, les bras encombrés d'un petit tas de tissu Rose, elle devait bien être là, quelque part ... n'est ce pas ?
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Shame
Il commence à être bien, détendu, chose rare chez lui même si en apparence, il ne montre rien. Confronté à des fonctions guère de tout repos, aujourd'hui, il prend du temps à lui un peu, et découvre d'autres choses que le travail. La vie et les choses de la vie. Et c'est agréable d'être au milieu de ce défilé à contempler des merveilles et l'Art de la Couture. Un plissement d'yeux en amandes. Discret. Sans chercher à communiquer si ce n'est de par son regard plutôt attiré par les tenues. Il ne le fait que peu. Pour diverses raisons. Il est bien dans son silence, et être là par sa présence est le plus important. Il n'avait eu qu'un simple pli à faire. Il est vrai que son choix lui a plu, un coup de foudre. Il n'est pas à se battre pour obtenir ou posséder avidement ce qu'il désire ou lui fait envie. Non. Le Jeune Homme se satisfait dans la certitude que ce qu'il mérite sera à portée de main à un instant précis. Beaucoup pense que le Pouvoir est de prendre. Le soucis, c'est lorsqu'on a tout fait pour prendre, l'attrait et l'envie, se sont dissipés. Alors que sentir l'instant, savoir le prendre au vol, saisir sa chance n'altère rien et bien au contraire. C'est naturel et spontané.

Les yeux vont et viennent sous les passages. Son Enchère. C'est surtout comme un enfant qui veut savoir et comprendre, et faire comme les adultes. Oui, il a essayé tel un jeu de le faire. Mais au fond de lui, il espère que cela sera suffisant pour pouvoir emporter la somptueuse Robe Rouge Carmin à la Cape d'Hermine. Pour l'offrir. En fait, en douce, il a espoir de garder pour lui la Fameuse Cape. Un sourire élargit sur ses lèvres à l'idée de l'usurper, si les deux éléments peuvent être dissociés et séparés. Oui, c'est dans cet esprit là, qu'il part. Et bien sûr, dans l'idéal, le seul a avoir enchérit, persuadé pour se rassurer de la chose. A qui il l'offrirait ? La seule Femme de sa vie avec qui il a su garder un peu de connivence, mais pas trop, ce qu'il faut à peine, pour ne pas faire saigner son coeur de trop. De l'Amitié. Non. Juste quand ils en ont envie de discuter, se rencontrer, à l'occasion. Léger. Rare. Plein d'humour. De dérision. Jamais sérieux tous les deux. Le sérieux avait eu raison de leur couple à une époque. Et cela avait volé en éclat. Alors aujourd'hui, il est hors de question de revivre ce qui ne peut l'être. Chacun leur vie. Chacun leur route. Et entre certaines croisées de chemins, se donner des nouvelles. Nostalgiques. Surtout à en pleurer de rire à se remémorer. Car bon sang, qu'est-ce qu'ils ont pu s'amuser comme des fous à cette époque. Puis le Rouge, c'est sa couleur préférée. Lui petit Seigneur, lui petit Castillonais, qui n'est rien et n'a jamais été rien aux yeux de beaucoup, même pas de son village ni de son Comté.. Lui qui avait montré le chemin pour dire que tout est possible et réalisable. Lui qui... Un sourire s'élargit sur ses lèvres. Ca, c'est fait. Et qu'importe si aujourd'hui, il perdrait tout. Dans n'importe quel endroit du Royaume, il aurait été mille fois plus reconnu, ce n'est qu'au bout d'un an de mandats comtaux, consécutifs, qu'il avait été anoblit. Alors s'il doit apprendre en temps que Noble, il le fera encore tant que cela lui est permit. Car s'il y a bien une chose qu'il est certain, c'est de savoir ce que le mot travail veut dire. S'investir et ne rien lâcher. Et il compte aujourd'hui le faire ailleurs que dans la politique. Il connait, il sait comment ça marche, il prend un peu de temps pour lui et ce qu'il aime pour profiter de la vie, souffler un peu.Et compte bien le faire partager avec les personnes chères à son Coeur. Autant dire qu'elles sont très rares.

Serein. Il plonge dans la suite du défilé. Droit, assit, bottes croisées, mains nouées devant son torse. Plus fort que lui, être en faction, même assit, est une déformation professionnelle. Qui l'eût cru. Lui qui n'avait jamais aimé ce côté policier ni militaire. Il n'aime toujours pas. Mais il était parvenu à y avoir sa place d'une manière différente. Autre. Et fier autant qu'il puisse se statufier de sa carrure qui ne lui donne pas un autre aspect que d'avoir l'intelligence de s'adapter à sa façon. Ou Non. Tout dépend. Rien n'est acquit. Surtout pas pour autrui en face. Oui car même s'il fait tout son possible pour se débrouiller seul, il ne le peut tout le temps. Ignorer qu'il n'est pas seul dans ce Monde et mettre de côté tout ce qui ne lui plaît pas et ne garder que ce qu'il aime, restreint les possibilités.

Pourtant plus il avance et plus c'est vers ça qu'il tend. Son équilibre.

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Never Ask About The Past - Dont' Expect A Future
Prendre l'Air
Hersent
Elle s'était laissée recoiffée et pomponnée par Laure qu'elle quitta, tout sourire, pour rejoindre Wendy et Sofja.

Je m'amuse comme une folle chère Laure, je ne sais plus où donner des yeux et de la tête devant toutes ces tenues.

Un signe de la main puis la Baronne regagna sa place.

Le frère de Constance était des plus élégants dans la tenue qu'il présentait. Son Crapaud adorait le marron et détestait se rendre chez les couturiers.
Elle applaudit et attendit la tenue annoncée par Constance.

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Lysianne
Le rose était de mise pour ce défilé et la Violette de Toulouse était arrivée avec une création de Thomas. Sa première robe d'un grand couturier. celle qui lui rappelait de merveilleux souvenirs.


Euphorique à l'idée de porter encore une fois les belles tenues créées par la boutique des Lys Blancs lorsque dame Elizabelle avait proposé ce défilé, Lysi avait sauté de joie tout comme les autres égéries de la boutique sauf qu'elle n'avait pas mesuré l'ampleur de l’événement. Peu habituée à ce genre de manifestations, La Violette de Toulouse ne se sentait plus très à l'aise. Durant quelques minutes elle allait être le point de mire de l'assemblée...Elle déglutit...Lors des essayages et retouches, elle cogitait... J'y vais... J'y vais pas...J'y vais... J'y vais pas. Elle ne tenait pas en place et à plusieurs reprises sentit la petite aiguille la piquer et la couturière grommeler entre ses dents.

De se parler à elle même...

Tu as accepté un contrat, tu as dit oui à dame Elizabelle pour être présente à ce défilé, tu ne vas pas te débiner et renoncer maintenant? Tu a fait le voyage jusqu'ici, Laure Victoire t'as dit que tout se passerait bien... Lunny t'a fait défilé sous ses yeux experts de courtisanes et ne t'avait elle pas complimenter sur ta démarche et ton maintien? Certes en d'autres termes...Sourit en se remémorant ses paroles..." Ma Lysi, j'adore te regarder marcher, tes formes, ta croupe, tu as un déhanché vraiment trop sensuel à damner un saint". La Violette était devenue rouge comme un coquelicot. Son amie exagérait et voulait surtout la rassurer.

Après qu'elle fut apprêter, elle alla jeter un oeil au défilé, les personnes qui se présentaient avaient toutes le sourire, les vêtements étaient tous magnifiques. Elle applaudit la création de son amie Laure et sortit prendre l'air un instant. Au bout de très long moment, elle commença à s'assoupir sur le banc.


-Lysia ! .... tu aurais vu Lysianne ? ... LYSIANNE !!

La Violette de Toulouse sursaute,..Etait elle en train de rêver où était ce bien son prénom qu'elle entendait au loin? Lysi se releva d'un bon et couru à l'intérieur.

Je suis là dame Tamarra... je suis là... j'étais en train de prendre l'air, on étouffe ici...

D'arranger sa chevelure et passer sa main sur sa robe pour la lisser.

J'y vais.. j'y vais... se tourne vers Tamarra le regard inquiet. Je suis désolée d'être en retard...Je n'ai pas vu le temps passer.

De fermer les yeux, de prendre une forte inspiration, de sortir de l'ombre et de derrière le rideau et de s'avancer lentement.


Attention, ça défile !👗




Elle écoute les commentaires concernant la création qu'elle porte. Un sourire apparaît sur son visage.

Mes Dames, Sires, voici maintenant une magnifique tenue réalisée par Tamarra, de la Boutique du Lys. La réalisation est portée par Lysianne, et se nomme "l'Italienne".

Un étrange sentiment l'envahit à l'évocation du mot "l'italienne"

C'est une robe d'inspiration italienne, faite de soie rose entièrement brodée de motifs d'or, au dessus d'une chemise de coton blanc. Les manches sont attachées au reste par un laçage de ruban rose également. Une ceinture d'or ainsi que des bracelet au bras accompagnent le tout, et un filet perlé attache la chevelure de ces dames.

Elle pense à Gianni Raphael dans un premier temps, puis tous ces artistes peintres qui habillent eux les toiles, murs et plafond. Qu'il est magnifique de créer de ses doigts. Petit à petit elle prend de l'assurance, agrippe sa robe de chaque côtés et tournoie avec nonchalance sur elle même toujours le sourire aux lèvres, faisant admirer la création de dame Tamarra. Le tissu fluide et léger qui enveloppe ses courbes suit chacun de ses mouvements et s'envole autour d'elle. La Violette reprend sa marche sur l'estrade saluant au passage d'une inclinaison de la tête, les personnalités présentes. Un demi tour tout en grâce, elle rejoint les coulisses et respire enfin....A besoin tout à coup d'un remontant pour faire baisser la pression.
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Pour toi, vous...For You...
Constance..
Lysianne était passée et avait parcouru le tapis rouge dans une très belle tenue Italienne dans les tons roses. Vraiment très jolie. La fluidité de la robe donnait une envie de légèreté. Après un sourire à la modèle lors de son retour, l'Orsenac annonça la tenue suivante.

Mes Dames, Sires. Vous allez à présent pouvoir admirer une création dénommée "La Sobre Elégante" réalisée par Elisel d'Andéol, de l'atelier DECO.
Celle-ci est composée d'un surcot de soie bleu pastel, les manches fendues aux coudes dévoilant une cotte de brocard d'argent, aux manches resserrées par une rangée de boutons d'onyx. L'encolure et les manches de la surcote sont soulignées d'un large galon ivoire semé de perles de verre fumé, et ourlé de perles d'argent.
La ceinture, qui marque élégamment la taille, est faite du même galon semé de perles de verre. Un touret de la même soie, recouvert d'un voile d'argent, complète la tenue.


La jeune femme laissa la place ensuite au modèle, observant les personnes présentes lors de cet évènement.
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Xalta
Parmi les spectateurs

Elle admirait les tenues , les commentait aussi tout en écoutant les commentaires des uns et des autres.
Certaines tenues lui plaisaient plus que d'autres, pourtant elle n'avait encheri que aucune. Peut-être se déciderait-elle au bout d'un moment avant qu'il ne soit trop tard ?
On vint la prévenir qu'il était temps pour elle de se rendre dans les coulisses.
Un chuchotement au duc d'Ornon et de Bénauge.

Mon DDMC, je vous abandonne pour changer de tenue.
Pas de banderoles de prévue ?


Un sourire amusé aux souvenirs évoqués.

Dans les coulisses

Elle avait rejoint Elisel, elle défilerait pour la seconde fois pour elle. C'est un salut chaleureux qu'elle lui adresse avant de se prêter à l'habillage.
Elle remercie la couturière si douée d'avoir pensé aux gants.
Elle échange les siens qui étaient accordés à sa tenue pour en revêtir de plus beaux pour le défilé. Des gants qui trancheraient un peu avec la beauté et l'élégance de la robe mais dont elle ne pouvait se passer et ceux-ci trancheraient toujours moins avec la difformité de ses mains qui auraient certainement attiré l'attention au détriment de la tenue.

Elle admira la tenue.

Magnifique robe, Elisel.
Vraiment.
je suis admirative.


Défilé

Et voilà, c’était à elle, petite inspiration, petite prière adressée à Dieu pour éviter tout incident comme de se prendre les pieds dans un tapis ou que sais-je . Elle s'avance d'un pas assuré , passant devant les spectateurs dans un bruissement discret du tissu de qualité.




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