Benduguesclin
Sises aux confins du Périgord, à la frontière avec la Guyenne, les Terres de Biron s'étendent sur plusieurs hectares.
Le Château de Biron, situé à LaCapelle Biron en est le Chef-lieu.
Ce Château, jadis fief du Baron Dazibao habrite depuis le mois d'avril 1457, le Vicomte BenDuguesclin, ancien régnant du Périgord-Angoumois.
Hors le chef-lieu Lacapelle, la ville principale est Montpazier, petite bourgade animée au sein de laquelle se déroule toutes les semaines un grand marché.
En ce jour ensoleillé du mois de juin, le Vicomte, parti quelque-jour suite à la levée de Ban du Comte Flex revient en son domaine.
"Messire BenDuguesclin, déjà de retour !"
-"Et oui, Alphonse, le sieur Sinik a été élu Comte et il a annulé la levée de ban de Flex..."
-Nous avons appris ça... Ici en vos terres, tout le monde se réjouit de cette nomination. Je dois vous avouer que les gardes ont un peu pioché dans les réserves du château pour fêter ça.
-"Je les ai trouvé un peu fatigué ausssi... J'avais peur qu'il se soit passé quelque-chose de facheux en mon absence. *sourit* Ils ont eu raison de fêter cette victoire. Sinik sera un grand Comte.
Pragmatique, efficace... il ne faut pas attendre de grandes envolées lyriques de lui mais il saura gérer admirablement bien le Comté, j'en suis certain.
-J'espère qu'il nous rendra visite... Vos gens en seraient heureux !!!
-Alphonse, voyons... Il a bien d'autres chats à fouetter et un temps désormais bien trop précieux pour que je lui demande pareille chose.
J'espère que le conseil restera soudé et qu'il pourra travailler dans de bonnes conditions. Il a en son sein beaucoup de personnes compétentes.
J'espère également que Flex, Von et Isabelle joueront le jeu, ça a l'air parti pour vu de l'extérieur.
-Nous avons appris aussi l'annoblissement de votre filleul...
Le Vicomte le coupa d'une voie irritée
-oui, j'aurai préféré l'annoblir moi même et dans d'autre condition mais bon... Il est grand, il sait ce qu'il fait...
Bon et sinon, d'autres nouvelles Alphonse ?
Le valet du Vicomte changea rapidement de sujet-Et bien une étrange oui, un habitant de vos terres en voyage dans le royaume dit avoir rencontré un dénommé Duguesclin. Surpris et intrigué, il lui a parlé de vous, de votre histoire, de votre accident, de votre amnésie, et du fait que vous n'avez plus de lien avec votre famille...
De retour de son périple, il a souhaité vous rencontrer. Voulez-vous que je le fasse mander ? Les yeux du Vicomte pétillait d'excitation et de curiosité. -C'est surement une coïncidence, mais effectivement, je tiens beaucoup à lui parler. Convoquez-le ! lundi prochain, je le recevrai.
BenDuguesclin déposa son attirail à la salle d'arme, celui-ci finalement n'avez pas servi.
Il repensa à la terre de Monpazier. Celle-ci avait besoin d'un seigneur brave, respectueux des habitants et fidèle à son vassal.
Il ne voulait pas que ce titre soit galvaudé... qu'il vienne en échange de sombres services à sa personne. Aussi, une idée germa peu à peu dans son esprit.
Pourquoi ne pas organiser des joutes verbales et en armes afin de désigner ce seigneur ?
Les candidats au titre passeraient des épreuves, ils seraient ensuite évalués par le Vicomte. Et au final, le plus "noble" d'entre-eux aux yeux de BenDuguesclin deviendrait seigneur de Monpazier.
De retour en son bureau, il prit une plume, de l'encre et commença à travailler son projet.
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Le Château de Biron, situé à LaCapelle Biron en est le Chef-lieu.
Ce Château, jadis fief du Baron Dazibao habrite depuis le mois d'avril 1457, le Vicomte BenDuguesclin, ancien régnant du Périgord-Angoumois.
Hors le chef-lieu Lacapelle, la ville principale est Montpazier, petite bourgade animée au sein de laquelle se déroule toutes les semaines un grand marché.
En ce jour ensoleillé du mois de juin, le Vicomte, parti quelque-jour suite à la levée de Ban du Comte Flex revient en son domaine.
"Messire BenDuguesclin, déjà de retour !"
-"Et oui, Alphonse, le sieur Sinik a été élu Comte et il a annulé la levée de ban de Flex..."
-Nous avons appris ça... Ici en vos terres, tout le monde se réjouit de cette nomination. Je dois vous avouer que les gardes ont un peu pioché dans les réserves du château pour fêter ça.
-"Je les ai trouvé un peu fatigué ausssi... J'avais peur qu'il se soit passé quelque-chose de facheux en mon absence. *sourit* Ils ont eu raison de fêter cette victoire. Sinik sera un grand Comte.
Pragmatique, efficace... il ne faut pas attendre de grandes envolées lyriques de lui mais il saura gérer admirablement bien le Comté, j'en suis certain.
-J'espère qu'il nous rendra visite... Vos gens en seraient heureux !!!
-Alphonse, voyons... Il a bien d'autres chats à fouetter et un temps désormais bien trop précieux pour que je lui demande pareille chose.
J'espère que le conseil restera soudé et qu'il pourra travailler dans de bonnes conditions. Il a en son sein beaucoup de personnes compétentes.
J'espère également que Flex, Von et Isabelle joueront le jeu, ça a l'air parti pour vu de l'extérieur.
-Nous avons appris aussi l'annoblissement de votre filleul...
Le Vicomte le coupa d'une voie irritée
-oui, j'aurai préféré l'annoblir moi même et dans d'autre condition mais bon... Il est grand, il sait ce qu'il fait...
Bon et sinon, d'autres nouvelles Alphonse ?
Le valet du Vicomte changea rapidement de sujet-Et bien une étrange oui, un habitant de vos terres en voyage dans le royaume dit avoir rencontré un dénommé Duguesclin. Surpris et intrigué, il lui a parlé de vous, de votre histoire, de votre accident, de votre amnésie, et du fait que vous n'avez plus de lien avec votre famille...
De retour de son périple, il a souhaité vous rencontrer. Voulez-vous que je le fasse mander ? Les yeux du Vicomte pétillait d'excitation et de curiosité. -C'est surement une coïncidence, mais effectivement, je tiens beaucoup à lui parler. Convoquez-le ! lundi prochain, je le recevrai.
BenDuguesclin déposa son attirail à la salle d'arme, celui-ci finalement n'avez pas servi.
Il repensa à la terre de Monpazier. Celle-ci avait besoin d'un seigneur brave, respectueux des habitants et fidèle à son vassal.
Il ne voulait pas que ce titre soit galvaudé... qu'il vienne en échange de sombres services à sa personne. Aussi, une idée germa peu à peu dans son esprit.
Pourquoi ne pas organiser des joutes verbales et en armes afin de désigner ce seigneur ?
Les candidats au titre passeraient des épreuves, ils seraient ensuite évalués par le Vicomte. Et au final, le plus "noble" d'entre-eux aux yeux de BenDuguesclin deviendrait seigneur de Monpazier.
De retour en son bureau, il prit une plume, de l'encre et commença à travailler son projet.
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