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Château de Biron, en les terres du Vicomte BenDuguesclin

Don32
Bien... En route pour la seconde épreuve! Celle-ci s'annonçait plutôt moins rude que la première. Bien que... Imaginer un récit et le faire vivre ne soit pas aisé non plus. Quelque peu soulagé Don se relacha un peu sur son siège et prit unebonne rasade de vin. A peine eut-il reposé son verre qu'un échasson lui en renouvella le niveau... Décidément Ben savait recevoir!

Messire Vicomte, les modalités me sont claires.

L'atmosphère, bien que déjà détendue, laissait maintenant la place à un soulagement perceptible.
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Ludodebordeaux
la première épreuve était achevée ludo était déjà fort satisfait d'être encore présent pour la suite.

Gourmand de part nature il se resservi du chapon dont la farce étant un véritable délice


Les choses ne pourraient être plus claires messire Vicomte

C'était donc à lui que revenait le difficile honneur de débuter cette fois
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Ludodebordeaux
Ludo prit du fromage de Rocamadour et se servit du vin pour l'accompagner.




Il porta le verre à ses lèvres et s'éclaircit la voix. Puis interpella ses compagnons de tablée.




Dites moi chers amis avez vous entendu parler de ces cinq cavaliers qui auraient découvert le trésor des templiers. L'histoire me fut comté par un jeune enfant croisé en taverne qui prétend avoir assisté à la scène.




L'aube venait de poindre sur le château fort en ruine du pays Cathare .Bâtit à flanc de colline il dominait toute la vallée.

Un groupe de cinq cavaliers surgirent sur le chemin rocailleux au détour d'un virage , leurs chevaux au galop soulevant un nuage de poussière dans leur sillage.

Ils gravirent rapidement les derniers mètres menant à la cour du château envahit par de hautes herbes. Ils mirent pied à terre portant tout cinq une longue cape surmontée d'un capuchon , le vêtement de couleur marron sans signe distinctif couvrait leur visage ne permettant pas à l'enfant caché derrière les ronces ayant envahit l'ancien chemin de ronde de distinguer de qui il s'agissait.

Ils se dirigèrent sans hésiter une seconde vers l'ancien puits ce qui laissa supposait au gamin qu'ils connaissaient le lieux , l'un d'eux avait visiblement prit une corde et un seau afin de puiser de l'eau pour se désaltérer et un second partaga ce qui semblait être des galettes.

Depuis leur arrivée ils n'avait pas échangé un seul mots mais les gestes accomplis avec naturel et leur façon d'agir ne laissait aucun doute sur leur complicité.

Soudain alors qu'ils se restauraient un bruit sur leur gauche , en une fraction de seconde les lames jaillirent des fourreaux et ils se mirent en garde,l'enfant prend peur et se met à trembler.




Ludo marqua un temps d'arrêt but à nouveau du vin qui s'accordait si bien avec le fromage.




Puis se tourna vers Louanne : connais tu ce récit ?

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Benduguesclin
Le Vicomte n'interviendrait plus avant un bon moment.
Il écoutait avec intérêt le récit conté par les différents candidats.

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Don32
Don avait hâte que le récit continue. La pause de Ludo lui permettait cependant de pouvoir déguster le chapon sans faillir à la politesse. La trame étant posée, il voulait quand même savoir ce qu'il allait advenr du pusillanime et trop curieux sans doute gamin...
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Louanne1000
Louanne etait en train de déguster son châpon quand Ludo interrompit son discourt lui demandant si elle se souvenait de cette histoire

Elle pensa qu'effectivement cette histoire remontait à la nuit des temps les anciens lui avaient raconté au coin de l immense cheminée de leur demeure sur les terres Périgourdines quand elle etait encore qu'une enfant

Oui Ludo je me souvient de cette histoire ses cinqs chevaliers qui avaient par une nuit sans lune et sans vent aucun
Une nuit comme on en voit peu reussit à découvrir ce fameux trésor
Mais si mes souvenirs sont bons les loups étaient de la partie gardiens sans le vouloir du secret que détenait ce château


L'épée au point l'oeil au aguet ils scrutaient les alentours.Le gamin s était applatit du mieux qu'il put contre un muret retenant son souffle la peur au ventre les cavaliers étaient tellement grands ils faisaient figure de géants aux yeux du jeune garçon soudain le médaillon qui était à son cou retenu par un fin cordon de cuir se mit à glisser et vint se heurter au muret les cinqs hommes d un seul mouvement se ruèrent sur le pauvre malheureux qui n eu sut que faire se vit propulsé à coté du puis ou ils se restauraient
Le premier qui l'avait empoigné se découvrit légèrement pour lui faire voir son visage aux traits durs et burinés il scrutait le visage du drole qu il tenait à bout de bras quand il vit le médaillon représentant une croix
Soudain sa voix rocailleuse s'éleva grave et profonde mais teintée d'un certain respect
Dites moi jeune drolet d'ou tirez vous ce pendentif? qui vous l'a donné?et souffrez que je vous tienne ainsi mais je ne puis vous laisser vous enfuir nous ne vous feront aucuns mals

Il fit signe à un autre cavalier de s'approcher lui intima l'ordre en langue que le gamin ne comprit mais au vu des gestes qui suivirent lui firent comprendre qu il lui demandait de se découvrir aussi il vit avec stuppeur un jeune homme blond comme les anges de l'église de son village avec une couronne de boucles qui lui donnaient l air angélique mais son regard bleu comme un ciel orageux démentait cet air avec d'infinit douceur il ôta une lourde chaine de son cou avec pour pendentif une croix la même qu il avait
Il se détendit d un coup reconnaissant comme un signe des dieux la sainte croix que sa mère lui avait donné avant de mourir le laissant seul au monde son père étant partit pour d interminables croisades faisant partit des milites sancti Sepulcri
Il s'était enfuit du monastère ou on l avait placé pour se réfugier dans les bois

Messire cette croix me vient de ma défunte et tres sainte mère Dame Hildegonde et vous etes ici dans notre ancienne demeure tenez regardez par vous même

Il se dégagea doucement de la poigne qui s était relachée se dirigea vers un pont-levis qui n'avait pas vu de monde depuis des lustres
La voute d'acre se composait d un imposant donjon ils passèrent des grilles rouillées et se retrouvèrent cerné par nombres de batiments délabrés mais non moins imposant que le reste

Voila messires l ancienne demeure de mes parents et pour vous prouver mes dires regardez

Il s approcha d une porte en alcove il glissa sa croix qui vint s imbriquer dans une sculture celle ci s ouvrit dans un silence suréaliste livrant le passage d un escaliers qui s enfoncait dans les antrailles du château

Louanne s arréta de parler le temps de prendre un peu de bon vin pour accompagner son fromage regarda l assemblée elle se demanda si elle etait la seule à connaitre cette histoire sut était vraiment improbable au vu du parcourt de tous icelieu

Et vous messire Don vous a t on aussi comté cette étonnante histoire qui fait quand même partit de notre patrimoine historique?
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Don32
Cette histoire de croix donnant dans les entrailles d’un château ne lui était pas inconnue. Il en avait entendu une autre version. Don se redressa répondant :

J’ai en effet entendu une histoire qui y ressemblait. Le sujet de la croix qui ouvre un passage clos dans un mur me la rappelle maintenant.
Chez nous, il était conté l’histoire d’une jeune fille, pas d’un garçon… Sans doute pour ne pas me donner des idées allez savoir…

Or donc, cette toute jeune fille possédant une clef cruciforme guida les sombres chevaliers vers un escalier s’enfonçant dans le ventre de la terre. Les murs menaçant ruine et les marches recouvertes de mousse luisante d’humidité n’engageaient pas à emprunter ce chemin. Un peu apeurée, la fillette n’osa pas faire un pas plus avant.
Voyant qu’en effet la présence de la demoiselle était on ne peut plus légitime, les sombres chevaliers se détendirent mais plus que cette légitimité c’est ce passage découvert qui les rasséréna. L’un d’eux quitta un moment le groupe et alla vers son destrier pour en ramener des torches. Il en distribua une à chacun de ses compagnons. Ils allumèrent cet éclairage crépitant et d’un seul mouvement éclairèrent le passage. A cette subite lumière les ténèbres reculèrent soudain, le salpêtre donnait aux pierres des allures de mine des relents d’humidité stagnante remontèrent s’égayer dans un air enfin libre …
Sans se parler, ils entreprirent de s’enfoncer vers le bas de cet escalier qui semblait ne pas avoir de fin.
La fillette elle, quitta ce lieu qui lui était pénible à cause des souvenirs qu’ils lui remémoraient, époque révolue d’insouciance et de joie. Alors qu’elle rejoignait sa misérable masure un larme coulait sur sa joue…

La descente vers un supposé lieu où se tenait un trésor sans précédents entendait les armures, mailles et autres armes ferrailler. Plus encore à cause du sinistre écho que renvoyait l’antre de la terre. Plus ils descendaient, plus les chevaliers exhalaient une haleine nuageuse. Ils étaient à la fois fébriles et sur leurs gardes. Il serait trop facile que la seule garde de ce trésor soit un passage dérobé s’ouvrant avec une croix.
Leur Quête avait déjà vu d’autres périls, au cours desquels les avaient quittés d’autres compagnons. Ils s’attendaient donc, alors qu’ils étaient si proches du but, à ce que le danger soit encore plus fortement présent ici.
Les marches se succédaient, les torches fumaient, l’air se refroidissait. Plus ils descendaient, plus se faisait présent un bruit d’eau courante. Comme une cascade. Et bien entendu plus ce bruit était fort plus ils ralentissaient l’allure. Les yeux aux aguets et sur le qui-vive.
Avec la tension revenue, il leur semblait qu’un piège était là tapit et impitoyable. Un piège auquel il était peu facile d’échapper. Ils levaient leurs torches plus haut, scrutant chacune des marches avec attention avant de prendre appui dessus. La cascade grondant dans l’obscurité ajoutait à l’anxiété et la crainte. Néanmoins au bout de longues minutes ils arrivèrent au pied de cet escalier. Les embruns emperlaient leurs visages et s’agglutinaient sur leurs armures et vêtements tels un essaim autour de leur reine. Tant et si bi
en qu’une à une les troches s’éteignirent…

Don chercha chez ses voisins confirmation qu’il s’agissait de cette même histoire, il profita de cette pause pour boire un verre de Monbazillac…

Donc nos questeurs sont de plus en plus cernés par les ténèbres. L’air qui auparavant se faisait frais augmenta en température subitement. La retenue d’eau qui se voyait à la lueur des torches, rayonnait maintenant d’une lueur rougeâtre.
Celui qui jusqu’à présent semblait avoir la tête de leur troupe demanda :

« Qui pour aller vérifier d’où émane cette lueur infernale ? »
Après un silence tendu, le plus jeune d’entre eux se porta volontaire. Un autre l’aida à se défaire de ses armure et haubert, lui tendit un poignard, lui noua aussi autour de la taille une corde…
Et voilà notre héros qui s’enfonce dans l’eau, ses camarades peuvent suivre son cheminement grâce à l’aura sépulcral qui habite cet étang troglodyte.
Vous imaginez la tension qui habitait nos chevaliers…

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Don32
Ayant laissé à chacun le temps de s’imaginer la scène, Don reprit le récit…


Notre jeune nageur qui à force de brasse s’approchait de l’origine de la lueur, commençait à manquer d’air, il lutta contre une envie irrépressible de remonter à la surface, là où était l’air salvateur… Sa force morale le vit vaincre son envie.
Il se retrouva enfin au but de sa nage. Encore une brasse et le voilà qui se retrouve dans une minuscule caverne, une bulle de pierre au centre de laquelle était un gouffre. Le nageur prit pied sue cette surface, intrigué par ce gouffre d’où s’élevaient fumerolles et la lueur qui donnait ici encor plus une ambiance d'enfer. La chaleur et l'odeur de soufre n'y était pas pour rien...

Ayant pris quelque repos il remonta faire rapport à ses compagnons, ces derniers décidèrent qu’un seul resterait en arrière pour assurer leur sécurité. Le chevalier désigné vit s’enfoncer un à un ses comparses.
Il en attendit de longues heures le retour… Après une attente qui vraisemblablement ne verra jamais sa fin, il prit la résolution de remonter à la surface de la terre, là où se découvrait le passage masqué.
C’est un homme prématurément vieillit qui aboutit à l’air libre. Un homme brisé qui ne vécut guère plus de dix jours suite à ce périple. Souffrant à chaque respiration mille morts.

La jeune fille, elle, avait guetté ce retour. Voyant l’homme affaissé et inerte au pied du mur, elle s’en approcha. Il lui raconta ce qu’il avait vécu…
De ses camarades nulle trace, personne ne sait ce qui leur est vraiment arrivé.
La jeune fille devenue femme et épouse, eut des enfants. Ses descendants vivent paraît-il toujours dans le village non loin des ruines qui virent ce triste épisode de cette Quête. Mais quiconque connaît leur vraie identité gardera jalousement ce secret. Nul doute qu'eux-même tairont les lieux où se trouve ce passage. Qui sait du reste si chacun de nous n'en est pas passé tout près?
Il est de coutume de dire que cette Quête est sujette à la malédiction du Grand-Maître qui fut condamné au bûcher par le Pape Clément et le Roi Philippe…


Don se renfonça dans son fauteuil, l'ambiance maintenant laissait toute la place aux pensées de chacun, le mystère amenant l'imagination à tout envisager...
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Benduguesclin
Bien, bien...

Je suppose que je peux déclarer la fin de la deuxième épreuve.

Je vais me retirer quelques instants pour réfléchir à tout cela. Je vous donnerai ensuite le nom des deux finalistes et le contenu de la dernière épreuve.


A ces mots, le vicomte se leva et franchit un rideau rouge qui masquait une des issues secondaires de la salle des banquets.
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Don32
Le Vicomte à peine retiré, un groupe de musiciens entra discrètement et prit place là où auparavant jouait la harpiste.
D'une autre entrée, avançait une troupe de valets, chacun avec un plateau, chargé de diverses fraindises et autres boissons, qui fumantes, qui embuées...
Les convives se concertèrent du regard. Et puisqu'implicitement l'invitation à toujours profiter de la soirée était donnée, chacun se servit, profitant de la grande hospitalité de celui qui sera le Suzerain de l'un d'entre eux...
Pour sa part, Don se servit d'un gobelet de saugé, frais à souhaits, qu'il accompagna d'un délicat biscuit au miel de romarin...

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Benduguesclin
Le jeune secrétaire apparut au bout d'un moment annonçant le retour du Vicomte.

Celui-ci entra dans la salle. Tous les regards étaient désormais tournés vers l'hôte.


"Et bien, je ne regrette pas d'avoir 'monté" ce concours.
Cela m'a tout d'abord permis de mieux connaître deux d'entre vous que je ne connaissais que peu.
J'ai apprécié vos états de services et votre habileté verbale.


Je dois vous avouer que certains gens à mon service ont quelque-peu "enquêté" sur vous depuis votre inscription. J'espère que vous me pardonnerai cette intrusion dans votre vie privée.
Soit, trève de blabla... j'ai pris ma décision et n'aurai point besoin de vous rencontrer à chacun en tête à tête.
J'ai à l'esprit le nom de la personne qui aura la lourde mission de veiller à la protection des habitants de Montpazier."


Ménageant son effet, le Vicomte parcouru la salle du regard, essayant de scruter le visage des candidats.
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Don32
L'hôte et maître de Biron, ne fit pas longtemps attendre ses invités.
Il annonça sa prise de décision. Soudain la détente céda la place à une certaine tension.
Don était, comme certainement ses compagnons, en attente, le coeur s'accélérant, l'esprit mesurant la tâche et l'honneur qui seront liés à ce choix...

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Ludodebordeaux
Le vicomte avait rejoint rapidement ces invités.

Il leur annonça qu'il n'y aurait finalement pas de rencontre en tête à tête et qu'il avait choisit qui aurait l'honneur et le privilège de devenir son vassal.

Ludo était quelque peut tendu attendant que le nom soit prononcer mais quel que soit l'issu du repas il aurait passer une soirée des plus agréable au château de Biron.
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Louanne1000
Louanne vit le vicomte réaparaitre assé rapidement et demandait à etre excusé pour avoir enquéter sur eux elle sourit en pensant qu ils n'avaient rien à se faire pardonner il était plus que normal au vu de la charge qui incomberait à l heureux élu
Elle posa doucement son verre quelle avait prit pour accompagner son dessert s'essuya discretement les lèvres et attendit le choix elle ne doutait pas un instant que quel qu'il fut il sera le bon et pour une fois qu'il etait peu ortodoxe cela lui avait suffit pour y participer quelqu'en soit l'issue elle etait enchantée d avoir était conviée pour y participer et heureuse d avoir put pour une fois partager une belle soirée entre personnes raffinées et esprits fins
Elle se détendit imperceptiblement et attendit que leur hôte reprenne la parole
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Benduguesclin
Le Vicomte prit un air grave, se tournant d'abord en direction de son ami.

Sieur Don,
Pour tous les services rendus à notre comté, pour ta fidélité et pour la qualité de tes prestations lors de ces joutes, je souhaiterai, Don 32, que tu deviennes seigneur des terres de Monpazier !

Sieur Ludo,
Vous allez être heureux et triste à la fois ce soir !
Triste car vous êtes un peu jeune et tendre à mon sens pour rejoindre la noblesse du Périgord et vous ne gagnerez pas de titre ce soir.
Heureux, car votre compagne, va devenir seigneur de mes terres car elle le mérite également.

Dame Louanne,
Je ne vous connaissais point avant cette épreuve. Ce que vous avez été, ce que vous avez dit m'ont prouvé que vous méritez également de protéger mes gens.
Ainsi, je souhaiterai si vous en êtes d'accord vous attribuer la seigneurie de Montaut sise en mes terres. Elle est plus petite que celle de Monpazier, certes, mais elle a néamoins besoin d'un protecteur qui la régisse. De plus, celle-ci est attachée à la Vicomté de Biron depuis de nombreuses générations. Mes paysans n'ont guère l'habitude d'être commandés par femme, mais je sais que vous réussirez à les amadouer.

Je vous remercie à tous d'avoir ouvert votre âme.
J'ai scellé aujourd'hui même au Hérault ma demande. Si tout est en ordre, je vous convoquerai bientôt pour la cérémonie d'hommage.

En attendant, il est bien tard. L'aile des invités est libre si vous désirer rester coucher à Biron. Dans le cas contraire, je demanderai à mon secrétaire de veiller à ce que vos chevaux soient sellés.


Le Vicomte se rassie à la grande table, attendant la réaction de ses invités.
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