Aimeryc.
- « - Maître ou Monsieur suffira, Sofja. Inutile de me donner du Dieu. »
Souffle délicat en réponse au murmure de la blonde, Aimeryc laissa un sourire amusé étirer ses lèvres à sa réplique avant de concentrer les caresses de ses lèvres sur cette délicieuse partie de son corps. Aspirant, mordillant, faisant roulant de son autre main, il ne cessait de vouloir lui procurer diverses sensations toutes aussi délicieuse les unes que les autres. Le mordillement déclencha un petit soubresaut de la blonde mais elle sembla se contrôler et même venir à apprécier cela au vu des réactions de son corps. Il en prenait bonne note. Elle était sensible des seins donc Intéressant.
Cest perché derrière elle, la langue glissant contre ses chairs, contre chaque recoin de son antre humide quil perçu les mots de la blonde. Esquissant un sourire malicieux quelle ne pouvait certainement pas voir, il laissa sa langue remonter le long de sa fente pour venir donner plusieurs coups à ce petit bourgeon qui se cachait dans les replis de son antre. Titillant, il finit par aspirer pour mordiller et jouer de sa langue contre avant de doucement la délaisser. Non, il ne comptait pas la délaisser réellement. Il ne tarda pas à se déshabiller et en quelques secondes tous les vêtements senvolèrent pour rejoindre les lambeaux de la robe de celle qui lui offrait sa soumission. Cette soumission quil désirait tant. Si le normand avait épousé Elizabelle par amour, son cur navait malheureusement pas su choisir la bonne femme que son corps désirait. LAnge nétait en rien soumise. Tenter de le faire serait comme tenter de voler dans les airs. Impossible ! Et le corps du normand avait des pulsions Des désirs profonds Ce quil assouvirait en partie avec la blonde vicomtesse.
Dénudé, le membre fièrement dressé par lexcitation que lui procurait le corps de sa soumise, il sapprocha delle et avec douceur il se glissa entre ses fesses. Non il ne senfonça pas plus loin, il ne fit que se frotter en douceur contre ces dernières, contre létoile quelles cachaient. Délicieux. Il soupirait pour le faire comprendre et malgré ses envies, il continua à descendre pour venir se placer en position. Il nattendait que le départ en frottant lextrémité de son membre contre les lèvres humides.
- « - Tu vas survivre
Et même en redemander. »
Recevant le signal de départ, cest dans un mouvement rapide, brusque, que le bassin savança dans un seul et unique mouvement en faisant en sorte de la pénétrer de toute sa longueur. Celle-ci enfoncée, il ondula des reins et vint crocheter la taille de ses doigts pour bien la maintenir avant de commencer à aller et venir en douceur au début pour lentement et progressivement augmenter la cadence jusquà ce que le corps se mette à cogner contre les fesses rondes.
- « - Caresse-toi en même temps, soumise. »
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