Donatien_alphonse
Ainsi donc aurait-elle décidé de répondre à la haine, par la haine et ce, en crachant au visage du Roi fou, avait-elle donc perdu toute raison de vivre, en ce jour et en cette même ruelle, une simple rencontre avec les tourments et déjà, elle se soumet au moyen de ce dernier fait et ce cracha ensanglanté qui revient tout juste à la trogne du balafré qui ne cligne pas pour autant.
Pour tout avouer, ce dernier geste, il l'apprécie plus que tout et, il s'en délecte, la jeunette se découvre, elle livre un profil jusqu'à présent fortement dissimulé et ainsi, elle n'a de cesse de s'enfoncer au sein de ce piège qui n'en fera qu'une seule bouchée. Donatien Alphonse François de Sade, jamais vous ne devez montrer la véritable nature de vos sentiments car il se pourrait.. que lui seul ne s'en délecte sans aucune retenue.
Prim, il ne retiendra que cette maigre information concernant son identité et pourtant, il ne perd pas une bouchée de ce qui suit. Toute cette royauté qui s'en suit, ces princes et ces draps propres, il pourrait plonger présente son nez entre les fesses de la jeunette dans le seul but de vérifier ses dires. Là est la seule et unique façon de juger un cul propre qui pour l'heure, se dit être un cul serré à la fois mais, tout peut s'arranger et en toute occasion.. surtout lorsque le balafré se trouve être votre tortionnaire.
La provocation est prononcée, non pas qu'un peu, du bout de ses doigts et au moyen de ces mots, elle semble arriver à titiller, l'agacement du Rey des thunes. Elle semble forte et son caractère jusqu'à présent si bien dissimulé pourrait lui plaire.. mais que ferait-il d'une jeunette, cousine de la Rey.. cousine de la Reyne, est-ce donc ce qu'elle a dit un peu plus tôt.
Lentement, un léger sourire s'étire au coin de ses lèvres qui finissent par s'entrouvrir très légèrement, laissant s'échapper sa langue qui vint chopper le cracha ensanglanté pour ramener ce dernier en la parfaite obscurité de son gosier. Les lèvres suite à cela sont humidifiées et recouvertes de ce sang qui n'est pas le sien. Il est parfait !
Poing toujours armé, menaçant cette petite chose et pourtant, aucune pitié ne vint le prendre. Pitié, connaissait-il seulement le véritable sens de ce mot ?
« Tu transmettras mes amitiés à ta Reyne ! »
Et de nouveau, la chair rencontre la chair, les phalanges s'écrasent contre cet infime visage qui pourrait alors être celui de sa propre fille, Opale.. jamais pourtant il ne lèvera la main sur cette dernière.
Cette fois-ci, la jeunette est relâchée, si bon lui semble de se retrouver tête la première dans les flaques avoisinantes et ce, au milieu de ces quelques pavés alors, que cette cul serré comme elle le dit montre alors une toute autre image de ces quartiers réputés de la ville de Paris.
« Tu n'sais pas d'quoi tu parles, où est ton tout puissant à cet instant précis, où est-il Prim ? »
Puis de repartir dans l'un de ses monologues qui ne tient qu'à lui.
« Il n'est pas là, car il n'existe pas, à qui crois-tu vouer toutes ces prières qui n'atteignent personne d'autre que ces foutus nuages au d'ssus d'nos gueules ?! »
Dans le bas de son dos, une dague rouillée est extirpée et déjà, il commençait à passer de part et d'autre, juste sous le nez de la jeunette à laquelle il adressa quelques regards de temps à autre.
« Vous qui vivez dans vos tours d'ivoires, pensez-vous seul'ment être libres ? Ta Reyne est-elle seul'ment une Reyne ou un simple pion ici pour boucher un trou, jusqu'à ce qu'elle crève et qu'une autre ne prenne sa place ?! Toi PRIM ! »
Enfin il s'arrête, désignant la jeunette du bout de la dague sur laquelle aucun reflet dû aux faibles lueurs ne saurait venir se perdre sur sa lame.
« A qui crois-tu que je parle ? Crois-tu que nous sommes seuls ici bas ? Tu ne vois rien de tes yeux d'enfant mais.. laisse-moi te montrer, laisse-moi te donner la vue que tu espères tant ! »
Il n'est alors plus question de tortionnaire, ni même de bourreau non, le balafré n'est alors plus qu'un simple libérateur, tout disposé à ouvrir la jeunette, sur un monde qu'elle ne saurait connaître de par son ignorance déconcertante.
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Pour tout avouer, ce dernier geste, il l'apprécie plus que tout et, il s'en délecte, la jeunette se découvre, elle livre un profil jusqu'à présent fortement dissimulé et ainsi, elle n'a de cesse de s'enfoncer au sein de ce piège qui n'en fera qu'une seule bouchée. Donatien Alphonse François de Sade, jamais vous ne devez montrer la véritable nature de vos sentiments car il se pourrait.. que lui seul ne s'en délecte sans aucune retenue.
Prim, il ne retiendra que cette maigre information concernant son identité et pourtant, il ne perd pas une bouchée de ce qui suit. Toute cette royauté qui s'en suit, ces princes et ces draps propres, il pourrait plonger présente son nez entre les fesses de la jeunette dans le seul but de vérifier ses dires. Là est la seule et unique façon de juger un cul propre qui pour l'heure, se dit être un cul serré à la fois mais, tout peut s'arranger et en toute occasion.. surtout lorsque le balafré se trouve être votre tortionnaire.
La provocation est prononcée, non pas qu'un peu, du bout de ses doigts et au moyen de ces mots, elle semble arriver à titiller, l'agacement du Rey des thunes. Elle semble forte et son caractère jusqu'à présent si bien dissimulé pourrait lui plaire.. mais que ferait-il d'une jeunette, cousine de la Rey.. cousine de la Reyne, est-ce donc ce qu'elle a dit un peu plus tôt.
Lentement, un léger sourire s'étire au coin de ses lèvres qui finissent par s'entrouvrir très légèrement, laissant s'échapper sa langue qui vint chopper le cracha ensanglanté pour ramener ce dernier en la parfaite obscurité de son gosier. Les lèvres suite à cela sont humidifiées et recouvertes de ce sang qui n'est pas le sien. Il est parfait !
Poing toujours armé, menaçant cette petite chose et pourtant, aucune pitié ne vint le prendre. Pitié, connaissait-il seulement le véritable sens de ce mot ?
« Tu transmettras mes amitiés à ta Reyne ! »
Et de nouveau, la chair rencontre la chair, les phalanges s'écrasent contre cet infime visage qui pourrait alors être celui de sa propre fille, Opale.. jamais pourtant il ne lèvera la main sur cette dernière.
Cette fois-ci, la jeunette est relâchée, si bon lui semble de se retrouver tête la première dans les flaques avoisinantes et ce, au milieu de ces quelques pavés alors, que cette cul serré comme elle le dit montre alors une toute autre image de ces quartiers réputés de la ville de Paris.
« Tu n'sais pas d'quoi tu parles, où est ton tout puissant à cet instant précis, où est-il Prim ? »
Puis de repartir dans l'un de ses monologues qui ne tient qu'à lui.
« Il n'est pas là, car il n'existe pas, à qui crois-tu vouer toutes ces prières qui n'atteignent personne d'autre que ces foutus nuages au d'ssus d'nos gueules ?! »
Dans le bas de son dos, une dague rouillée est extirpée et déjà, il commençait à passer de part et d'autre, juste sous le nez de la jeunette à laquelle il adressa quelques regards de temps à autre.
« Vous qui vivez dans vos tours d'ivoires, pensez-vous seul'ment être libres ? Ta Reyne est-elle seul'ment une Reyne ou un simple pion ici pour boucher un trou, jusqu'à ce qu'elle crève et qu'une autre ne prenne sa place ?! Toi PRIM ! »
Enfin il s'arrête, désignant la jeunette du bout de la dague sur laquelle aucun reflet dû aux faibles lueurs ne saurait venir se perdre sur sa lame.
« A qui crois-tu que je parle ? Crois-tu que nous sommes seuls ici bas ? Tu ne vois rien de tes yeux d'enfant mais.. laisse-moi te montrer, laisse-moi te donner la vue que tu espères tant ! »
Il n'est alors plus question de tortionnaire, ni même de bourreau non, le balafré n'est alors plus qu'un simple libérateur, tout disposé à ouvrir la jeunette, sur un monde qu'elle ne saurait connaître de par son ignorance déconcertante.
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