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[RP] Maître d'Armes ! Oh mon Maître d'Armes

Tensa_de_falcone
Le Seigneur de Marey sur Tille, Tensa de Falcone, le beau, comme l'aime à l'appeler certaines dames, ou encore une fois le tombeur de ses dernières, sans qu'il le demande était là, devant son vélin. Le regard triste, la mine déconfite, sortant le mouchoir blanc aux initiales DMLA, ayant une belle trace de rouge à lèvre dessus. Il avait du mal à imaginer qu'elle pouvait être morte. Il se mit donc à écrire, il se jura que ce sera la dernière fois qu'il le ferrai. La petite Mathilde lui manquait inexorablement. Vraiment, c'était un vide, une amie aussi précieuse que Mathilde ... il était très triste. L'une des rares fois où il pleura la mort d'un être chère. Ses quelques larmes tombaient sur le vélin, puis il se mit à écrire.

Citation:
Ma belle Mathilde.

Je t'écris, espérant que le pigeon arrive à te trouver. Je ne puis imaginer que tu sois morte, non je ne puis. Je suis sur que tu es encore en vie. J'espère que tu trouvera donc ce vélin et que tu pourra me répondre. Je t'en conjure.

Pour ma part, il y a eu beaucoup de chose qui se sont passé, d'une je suis devenu noble, de deux, j'ai quitter mes terres en Bourgogne, un peu forcé, entre les incompétents qui dirigent le duché, qui m'insultent et me rabaissent alors que c'est en grande parties moi qui les ont mis sur le trônes. Et aussi le fait que je devais retrouver ma famille un jour. Me voilà maintenant dans l'Armagnac et le Comminges, dans la ville de Lectoure, où j'ai pu rejoindre toute ma famille.

J'espère donc que ce pigeon voguera vers la Savoie pouvant te trouver. Ton rire me manques, ta joie et ta bonne humeur aussi. A jamais tu restera une de mes meilleures amies. J'espère fortement que tu es encore là et que je te retrouverai.

Amicalement
Tensa de Falcone.


Une dernière larmes versée, le vélin plié, son sceau de noble appliqué. Voilà la missive prête. Il regarda son pigeon, lui attacha et le laissa partir loin. Espérant que ce dernier vogue par mont et pars vaux pour retrouver celle qu'il a perdu. Sinon, ce serai donc la dernière fois qu'il lancera une missive dans le vent. Jamais il n'eu de réponse, ce qui l'attrista profondément. Il espérait ... maintenant, il ne reste plus qu'à attendre. Mais que cette attente serai surement longue, très longue, cela fait plusieurs mois déjà qu'il n'a plus de nouvelles. Pourtant malgré cela Tensa ne désespère pas.

Un jour, je suis sur que je te retrouverai, que ce soit dans se monde ou dans l'autre. Reviens moi Mathilde. J'ai si hâte de te revoir.


Un de ses gens, tenant un panier de fruits et de légumes, arrivait et regarda son Seigneur parler dans le vide. Il se rapprochant, car étant un peu inquiet pour lui et lui demanda.

Z'allez bien Sieur Tensa ?

Reprenant ses esprits, Tensa regarda son homme de main et hocha la tête.

Oui, oui, merci, reprenons ce que nous devons faire.

L'homme acquiesca et repris ses activités, allant vers les cuisines pour préparer le repas, pendant que Tensa lui, rêvassait quelque peut avant de reprendre son travail lui aussi, aidant le petit village de Lectoure à se réveiller de sa torpeur. Il prit donc ses documents et alla ce mettre en taverne pour travailler et qui sait attirer du monde, comme les autres jours.
_________________
Primha
    A l'heure ou le soleil continuait sa course vers son point le plus haut, les rayons venaient caresser chastement le minois aux yeux clos allongé dans l'immensité de verdure. Le Printemps était sans conteste la saison chère au coeur de l'Argentée ; la vie reprenait son cours, les couleurs se faisaient douces avant de n'offrir ses délices. C'était tout cela, le Printemps ; la vie. Alors comme durant ses années entre les murs du couvent, Prim Adelys était venu se perdre dans la fraîcheur acquise de l'herbe, laissant le silence du monde l'envahir. La silhouette, dans son éternelle chemise rouge, poitrine enroulée dans un bandage - diminuant ainsi le déjà bien maigre encombrement, se détendait des voyages effectué. Car entre les longues journées de montées, et les brouhaha de la secouée de la carotte et de l'espagnole, la Valyria n'avait guère trouvé le repos. Et l'esprit non plus. Arnarion était souffrant, d'un mal qui resterait en lui jusqu'à ce que la fin ne se pointe à nouveau devant lui, sans qu'il ne puisse l'éviter. Mais à côté de tout cela, il y avait Merveylle ; Boisée de Paris, mondaine à ses heures et esprit délicat promettant de devenir une véritable personnalité. Elle était ce que Prim n'était pas, elle était ce qu'elle aurait du être. Elle était son contraire complémentaire, son amie, sa parcelle de tranquillité.

    Ouvrant les yeux, plissant le regard afin de ne pas être aveuglée par la lumière incandescente de l'astre, un soupire s'envola au grès du vent. Se redressant, l'Argentée vint de la dextre rassembler sa chevelure blanchâtre sur un côté, alors qu'à son côté un pigeon tournait en rond. Autour d'elle, étendue longue de prairie ; aucune maisonnée, aucun être pouvant prétendre attendre une missive. Surprise, elle se pencha sur le côté, venant attraper délicatement l'oiseau.

      La.. Doucement. Que transportes-tu, hum ?


    Délicatement, Primha vint détacher le vélin enroulé à la patte de l'oiseau, avant de ne le lâcher pour qu'il reprenne sa route - ou ne reste quelques mètres plus haut dans un arbre. Tournant le plis d'un sens et de l'autre, les sourcils se haussèrent marquant la surprise. Voilà un sceau qu'elle ne connaissait d'aucune façon.. A vrai dire, elle serait même incapable de reconnaître un sceau venant du Roy. Le brisant, elle ouvrit sans hâte le papier, remarquant d'un premier coup d'oeil la main d'un homme. Voilà qui était bien étonnant.. Portant ses prunes sur les premiers mots, elle secoua la tête en laissant tomber dextre et senestre sur ses genoux. Mathilde ? La lettre n'était en aucun cas pour elle ! Et si il s'agissait là d'une lettre d'amour enflammée ? Une déclaration à une dénommée Mathilde ? Embarrassée, Prim pinça les lèvres, les mains hésitantes à porter devant ses yeux la suite des mots.

      Bon.. La première ligne.. Et le nom. C'est tout ! Rien de plus..


    Accroupie, la jeune Valyria inspira doucement avant de ne reporter son attention à la lettre détenue. Rapidement, elle comprit. Entre ses mains dormaient la complainte d'un homme, incapable de sa faire à l'idée que «belle Mathilde» n'était plus de ce monde, attendant vainement de la relire un jour. Touchée par cette simple phrase, émue rien qu'a cela, la dragonne se redressa avec difficulté ; étourdie par la force de cette lettre. Incapable de ne s'en tenir à la première sentence, elle se laissa envahir par le tout. Au travers les mots, la détresse de l'homme vint blesser l'âme aimante de la jeune femme. Tensa de Falcone.. Elle ne pouvait le laisser sans réponse, elle ne pouvait laisser cette lettre perdue au hasard de la vie entre ses mains. D'un pas décidé, elle regagna la ville, et plus particulièrement ses appartements. Claquant la porte derrière elle, l'Argentée se laissa tomber sur le siège.

      Citation:
          A vous, Tensa de Falcone,

            Salutations,


          Il m'est compliqué de vous écrire. Car en effet, je ne suis guère votre Mathilde tant attendue, cette femme désirée et aimée à votre coeur. Votre lettre, votre complainte aura trouvée lecteur en ma personne, bien que je m'étais promise de ne point la lire dès lors que j'ai discerné le nom de la douce attendue. Laissez moi vous retourner vos écrits, afin que personne d'autre n'en vienne à les trouver. Vos pensées à son égard son douces et sincères si j'ose le croire. Et je vous demande d'excuser cette intrusion qui fut la mienne. Sachez seulement, que vos mots m'ont bousculés, ébranlés et même touchés ; car il est rare de trouver des âmes telles que la votre, j'ose le croire encore. Si je puis me permettre.. Laissez partir votre douce entre les bras du Créateur. Vous la y retrouverez, lorsque votre tour sera venu. Mais pour l'heure, vivez. Vivez de cette rancune auprès des Grands de Bourgogne, où d'ailleurs je vis. Vivez, Sire Tensa. Si l'indiscrétion me le permet, j'aurais aimée savoir.. Ce qui vous à forcer à quitter vos terres.

          Que le Très-Haut vous garde,

    _________________
    Tensa_de_falcone
    Plusieurs jours passèrent et Tensa faisait son petit trou dans la ville de Lectoure, charmante ville d'ailleurs, où la joie de vivre est présente. Peu de monde, certes, mais du monde qui est heureux et qui fait en sorte que tout aille pour le mieux. Malgré les mauvaises nouvelles qui tombent sur la petite ville, d'autres bonnes nouvelles sont bien là et se font sentir, tant pour la famille de Tensa que pour la ville. Quant à lui et bien son petit moment de tristesse passaient au fur et à mesure qu'il rencontrait les gens de la ville. Jusqu'au moment où un vélin lui fut apporté par un coursier. Bizarre, déjà des gens qui savaient où il était. Il donna quelques écus au jeunes homme avant de d'ouvrir la missive. Le moment de tranquillité n'était donc de courte duré. Un sceau inconnu. Une nouvelle aventure ? Peut être, de bonnes nouvelles.

    Merci petit, voilà ton dû.

    Le jeune coursier remercia le Seigneur et parti, Tensa lu donc la missive, cela lui était bien destiné. La missive parlait de Mathilde, il relu une deuxième fois, mais ce n'était pas celle qu'il attendait. Une mine déconfite est apparu sur son visage, il alla donc dans sa nouvelle demeure pour pouvoir la lire dans la plus grande tranquillité. Le pigeons n'a donc pas trouvé Mathilde mais une autre personnes, une demoiselle à première vu, au vu de l'écriture et de la signature. Elle avait l'air sincère dans ses paroles, mais Tensa n'eu pas la force de répondre tout de suite. Quelques larmes ont pu couler de ses yeux. Oui Tensa malgré l'homme d'armes, malgré l'homme, était sensible et perdre une personne qu'il aime tant, cela lui était difficile. Surtout qu'elle avait de beau jour devant elle.

    Plusieurs heures passèrent et Tensa repris la plume. Il fallait répondre à cette demoiselle, c'était la moindre des choses.


    Citation:
    De nous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur TIlle,
    A vous, Prim Adelys de Valyria



    Je vous remercie de m'avoir répondu, je pensais que la missive c'était perdu au delà de la terre, car pas de réponse. Votre missive m'a touché, même si, j'ai du mal à croire que mon amie soit réellement décéder.

    Vous vivez en Bourgogne ? Dans quel villes ? Je suis parti pour plusieurs raisons. Mon temps déjà fait la bas. Voir mes "amis" et collègue de politique me poignarder dans le dos. Me faire insulter par ses derniers. Et vous convenez bien que de dire ce qu'on pense surtout au "haute personnes de se monde", cela ne plaît pas, quand bien même nous avons raison et eux tord. Je suis donc parti pour une sorte d'exil de cette terre pourri par les dirigeant qui n'ont d'yeux que pour leur pouvoir et leur argent.

    Je n'en dirai pas plus, mon Suzerain m'ayant défendu de cité qui que ce soit. Et surtout de me faire petit, mais l'idée est là. Je suis donc parti dans ma famille, que j'ai retrouver il n'y a pas si longtemps. Pour enfin vivre, oui vivre ! Loin de tout ceci. Dans la petite ville de Lectoure qui à son charme d'ailleurs et une joie de vivre ... cela change.

    Et vous ? Malgré le fait que vous ayez été touché par ma missive, pourquoi m'avoir répondu ?

    Je vous souhaite une agréable journée.
    Que le Très-Haut vous garde.

    Tensa de Falcone
    Seigneur de Marey sur Tille


    Il demanda à un coursier d'envoyer cette missive, vers la Bourgogne et d'écumer les villes pour savoir où elle était. Il donna largement ce qu'il faut pour vivre, tant pour le voyage que pour après.
    _________________
    Primha
      Peu à peu, Prim avait trouvé en ces rencontres de nouvelles envies, de nouveaux hobbies. Et dernièrement, il lui était même venu à l'esprit de partir rejoindre le Béarn ; contrée lointaine de France, bercée de rumeur tant par la taille que par ses habitants, et pourtant, aimé des oreilles draconienne. Alors, c'est en rassemblant ses affaires, prête à prendre à nouveau la route après la mésaventure de Saint-Claude, que la tranquillité fut troublé par l'arrivée d'un coursier. Posant le manuscrit sur le bord du lit, l'Argentée plissa le front en voyant le cachet, alors que la dextre donnait quelques écus à l'homme. Tensa ? Que pouvait-il, lui, inconnu, venir dire à celle qui n'était en rien son amie Mathilde ? Intriguée, elle ferma la porte, sans se soucier de savoir si le coursier avait terminé, et ouvrit la lettre tout en allant s'asseoir sur la couche. Inspirant doucement, le regard de prune vint se poser sur les mots tracés, décrochant un délicat sourire aux lippes. Sans attendre, l'Argentée ouvrit la plus petite des malles, venant en sortir son nécessaire à écrire.

        Citation:
            A vous, Tensa de Falcone,

              Salutations,


            Je suis surprise. Oui, surprise de voir vos mots entre mes mains. Car au delà de mon indiscrétion précédente, j'aurais cru que de peine, ou même d'indifférence vous ne répondriez. A nouveau, je vous transmet ma gène, et ma peine, pour votre coeur saignant de cette amie. A mon tour, je vais me livrer à vous. Je vis en Bourgogne, afin, il aurait pu. Mais je m'en vais en Béarn, là où le sud et sa bonne humeur me font trembler le coeur de joie. Mais, en ce moment, je me trouve en effet, dans cette province que vous avez quitté, et bien trop.. vide à mon goût. A Chalon précisément. Je ne ce sais si cette ville fut l'élue de votre coeur où non, mais pour ma part.. Elle ne m'inspire que tristesse tant les rues sont calmes. Aussi, lorsque cette missive m'est parvenue la première fois, par erreur, j'y ai trouvé.. Un mouvement dans l’accalmie. Mais aussi le besoin de vous faire savoir que vous n'étiez pas seul au bout. La solitude à parfois du bon, mais il est temps je crois, que votre coeur cesse de battre, et d'espérer. Peut-être est-ce maladroit de ma part, et si vous m'en vouliez, je le comprendrais parfaitement.

            Que le Très-Haut vous garde,

      _________________
      Tensa_de_falcone
      Et voilà plusieurs jours qu'il avait envoyé la missive, il attendait un peu cette réponse, car elle posait des questions, elle voulait des réponse, elle en a. Maintenant il faut qu'elle réponde, et voila le petit coursier qui arrive avec la fameuse missive. L'écriture féminine lui fit comprendre que c'était bien la demoiselle qui lui répondait. Son écriture est assez belle. Il fallait le reconnaître, elle était surprise ? Pourquoi dont ? Elle posait des questions, elle aurai dont les réponse.

      Tensa avait entreprit d'aider une des personnes de Lectoure de l’entraîner, car il avait besoin de s'endurcir au cas où, pour savoir manier l'épée, ainsi que le bâton, car il a les deux. A vrai dire, il avait une bonne condition physique, mais il n'avait aucune technique, il fallait qu'il lui apprenne le B.A.BA pour qu'enfin il sache ce défendre réellement.


      Citation:
      De nous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur Tille,
      A vous, Prim Adelys de Valyria


      Bonjour à vous,
      Je ne comprend pas très bien votre surprise, vous posez des questions, je fais ce que je peux pour y répondre, malgré que nous sommes inconnus. Vous vivez en Bourgogne, un très beau pays, mais que Nevers, Cosne et Dijon sont "vivante".
      En ce qui concerne votre voyage, si vous passez par l'Armagnac, venez à Lectoure, pour venir me voir. J'aimerai voir la personne qui a reçu la missive qui était dédié à ma belle Mathilde. En espérant que je puisse vous voir un jour.

      En tout cas, en ce moment, je viens de devenir Maître d'Armes, un nouvel ami de Lectoure avait besoin de s'entraîner. Je prend une nouvelle dimension pour ma part. De plus j'aide la ville à devenir plus vivante. Ma taverne a été construite il y a peu et elle est déjà rempli, tous les jours. Ce qui est une bonne chose pour la ville.

      Je ne sais pas pourquoi je vous dis tous sa, mais j'avais envie.

      Que le Très-Haut vous garde,

      Tensa de Falcone

      _________________
      Primha
        Allongée au travers de la couche, la silhouette Argentée se laissait pendre par delà les bords. Tête en bas, ondulation blanche au sol, Primha regardait Marquis d'un air dépité. L'aventure avait été une promesse, et puis.. Le calme. Un retour aux sources plus que difficile pour la jeune femme qui ne demandait que faire buller sa vie.

          Bon beau Marquis, nous voilà bien las !

        Comme une complainte, le chiot soupira en venant s'affaler aux côtés du minois draconien. Amusée, Primha se retourna sur le ventre, venant de ses mains caresser le braque. Au moins avec une bête, elle ne manquait de rien ! Tant avec Sans-Ailes, que Marquis. Quoi qu'un rapace, ce n'était pas l'animal le plus expressif en sentiments !

          Bientôt, nous serrons au Béarn. Tout sera bien mieux. Quoi que Septimus me manquera. J'aimerais connaitre sa femme, Morgane. Ca m'a tout l'air d'être une jeune femme seine d'esprit, et entière. Tu ne trouves pas ?

        Un toquement vint troubler les confidences de la jeune Valyria, qui n'attendait en soit rien ni personne. Curieuse, elle vint ouvrir la porte ; trouvant encore le coursier du Seigneur Tensa. Tournant sur elle même, elle piocha dans une bourse ouverte sur la table, avant de donner quelques écus au jeune homme en échange de la missive.

          Citation:
              A vous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur Tille

                Salutations,


              En effet, je surprise. Car il n'est pas coutume de ma part de répondre à une missive venu d'ailleurs, ni même de m'aventurer dans le coeur des confidences. Malgré mes questions, cela aurait tout à fait été légitime de votre part de ne point y répondre, car je suis en aucun cas votre Mathilde. Voilà donc pourquoi je fus surprise, autant que je n'aurais été peinée de ne point avoir vos mots entre les mains. Il ne fut nullement question.. d'obligation, pour cela. Mais me voilà ravie d'échanger avec avec vous. Vous qui connaissez la Bourgogne qu'étrangement.. Je ne porte pas en mon coeur. Ce fut pourtant la province choisit par mon cousin, Septimus. Malheureusement, il ne réside ni à Nevers, ni Cosne, ou Dijon. Chalon demeure une ville pleine d’accalmie, et de silence. Quant à vous, vous avez choisit l'Armagnac. Je passerais par Lectoure, le Béarn y était tout proche. Je suis curieuse moi aussi, de mettre un visage sur un nom. Voilà peut-être mon plus gros vice ; la curiosité. Cette même qui me pousse à m'intéresser au fait que vous soyez Maître d'Armes. Je dois bien avouée que je ne suis guère dégourdie avec une Arme, il n'y a qu'a se rendre compte qu'a chaque déplacement l'on me désigne une escorte, tirée dans le lot Royal. Parlez moi donc, de cette nouvelle face de votre vie.

              Que le Très-Haut vous garde,

        _________________
        Tensa_de_falcone
        Lectoure, ce petit village qui n'arrêtait pas de bouger, entre les amis de Tensa qui s'arrêtaient le voir, ainsi que les nouveaux arrivant, Tensa n'avait vraiment pas le temps de s'ennuyer. Et comme il avait prit Elvandar comme élève pour l’entraîner à devenir un bon soldat, il c'était improviser Maître d'Armes, ses journées passaient relativement vite. Sa nouvelle vie était tant remplie. De plus les élections Comtal approchant, il était sur-excité. Oui il n'allait pas être au conseil, car trop loin dans la liste, mais il aidait sa sœur et il était content ainsi.

        Un moment de détente en taverne, avec ses amis et voila que son coursier était de retour. Avec une missive dans la main. Tensa lui permit d'aller ce reposer. Tout en prenant la missive pour la lire.


        Merci Henrick, tu peux aller te reposer, je demanderai à quelqu'un d'autre d'envoyer la missive au besoin. Et ta bière ici est gratuite pour toi, je te l'offre.


        M'rcy m'Sieur Tensa. A vot' Santé ! Fin, Santat comme vou'dites ici.

        Il commanda une bière et une fois enfilé, il parti dans sa chaumière. Pendant que Tensa lui, écrivait une missive en retour. Car oui, la fameuse Primha lui avait encore une fois répondu. C'était tant mieux, cela le confortait dans le fait que c'était peut être une bonne personne. Elle lui annonçait qu'elle passerai par Lectoure pour le voir. Un sourire ce dessinait sur ses lèvres. Il pourrai voir la personne qui avait reçu sa première missive au lieu de sa belle Mathilde. Curieuse, elle souhaite connaitre un peu mieux sa nouvelle vie.


        Citation:
        De nous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur Tille,
        A vous, Prim Adelys de Valyria


        Salutations,

        Je suis bien heureux d'avoir de nouveau de vos nouvelles, Henrick, mon coursier à été assez rapide, je ne sais pas ce que vous lui avez dit, mais en tout cas il s'est dépêché. Bref, oui, je serai fort heureux de pouvoir mettre moi aussi un visage sur la personne qui a reçu ma toute première missive au lieu de ma belle Mathilde.

        Je ne porte plus trop la Bourgogne en mon coeur non plus, mais je dois avoué que mes amis, parfois, me manque, ainsi que ma demeure la bas, je verrai pour y revenir un jour, peut être en voyage.

        En ce qui concerne Lectoure et ma nouvelle vie, et bien tout ce passe pour le mieux, ma taverne fonctionne rondement bien, j’entraîne aussi quelqu'un aux armes, d'ailleurs, si vous voulez, lors de votre passage à Lectoure, nous pourrons nous entraîner aussi. J'aide ma soeur, Séléna d'Alaric, à accéder au trône Comtal et je vois mes amis.

        Franchement je ne regrette absolument pas d'avoir "abandonné" ma Bourgogne, qui au final m'a ponctionné bien plus que de raison mon énergie, et d'être avec ceux que j'aime et qui, eux, me le rende bien.

        Au plaisir de vous voir donc, Prim,
        Que le Très-haut vous garde.

        Tensa de Falcone

        _________________
        Primha
          A la suite de missive envoyée à Lucie, Prim vint relire la réponse Tensa reçue quelques jours plus tôt. Il était temps de faire changer les choses ; il était temps que le dragon de Valyria déploie ses ailes, et y couvre le monde. Aussi, un dernier regard fut lancé dans le petit miroir, venant refléter le minois meurtri de bleu de l'Argentée. Ceci, était la dernière fois qu'un coup était porté sans retour. Que ce soit de la main d'un inconnu ou de la famille. Refoulant le miroir, Prim reprit la plume.

            Citation:
                A vous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur Tille
                  Salutations,


                Sire Tensa. Je prend la plume aujourd'hui, non pas pour répondre à vos précédents mots, et vous m'en voyez navré. Peut-être cela viendra à vous décevoir, peut-être pas. Mais à ce jour, vous êtes mon espoir, ma lumière dans l'obscurité. Dernièrement, un incident envers ma personne est survenu. Incapable de me défendre, me voilà le visage contusionné. Je ne souhaite d'aucune façon votre pitié. Je vous demande.. d'être mon Maître d'Armes, autant que vous l'êtes pour votre ami. Je vous en conjure.. Aidez moi.

                Que le Très-Haut vous garde,

        _________________
        Tensa_de_falcone
        En voyage dans l'Armagnac, il avait laisser un peu le petit village de Lectoure, pour voir à quoi ressemblait le Comté, et au final, à part Lectoure et Muret, le reste ne bouge pas beaucoup, même la capital est très triste. Vraiment très triste. Les élections Comtal passé, le stress redescendu, sa sœur sur le trône, de Comtesse, Tensa avait quelque peu oublié la jeune Prim, de nouvelles fonctions allaient l'attendre bientôt et surtout il attendait de pouvoir rentrer à Lectoure.

        Après ce petit voyage fait, il pu retrouver ses petites affaires, réapprovisionner sa taverne qui était bien vide, partir une semaine et voir toute sa taverne vidé, il se dit que la ville bouge de plus en plus, et cela le ravis fortement. Sur le comptoir, un courrier, un sceau qu'il commence à bien connaitre, c'est surement Audrina qui à du le réceptionner quand il était parti en voyage. Alala, cette tavernière, heureusement qu'il l'avait, car sinon la taverne ne serai pas la même chose sans elle. Elle donne ce petit côté amusant, vivant et surtout pétillant à la taverne du moins quand elle ne s'endormait pas au milieu des conversations.

        Souriant, il prit la missive et la lu. Le message était sensiblement différent que la dernière fois, au vu de la courte missive. La petite Prim a été frappé et surtout veut s'en sortir, cela est louable, elle lui demande d'être son Maître d'Armes ? Euh ... et bien oui, pourquoi pas. Après tout, il a déjà entraîné deux femmes et un homme, pourquoi ne pas accepter. Se mettant au comptoir, il se mit à écrire une missive.


        Citation:
        De nous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur Tille,
        A vous, Prim Adelys de Valyria


        Salutation,

        J'ai bien reçu votre missive, je m'excuse du temps d'attente pour ma réponse, mais je n'étais pas à Lectoure et ma tavernière à surement du recevoir la missive à ma place.

        En ce qui concerne les faits de votre attaque, j'en suis fortement désolé. Et je comprend aisément votre envie de vouloir vous entraîner. J'accepte votre requête, mais pour ceci, il faudrait que vous passiez sur Lectoure. Et que vous vous y arrêtiez un moment, je ne peux pas vous prodiguez des cours sur un ou deux jours. Cela prend du temps.

        En espérant que ma réponse vous convienne, au plaisir de vous voir donc.
        Que le Très-Haut vous garde.

        Tensa de Falcone.


        Prenant bien soin de la sceller avec son sceau seigneurial, il demanda à son coursier Henrick de l'envoyer vers la demoiselle. Chose qu'il accepta sans broncher.
        _________________
        Primha
          Les jours passaient et la douleur ne partait d'aucune façon. Alors, quand la missive de Tensa tomba entre les mains de la Valyria, elle hocha la tête, pleine d'espoir. Une chose était faite, il ne manquait plus que l'action. Alors, prenant son nécessaire à écrire, spécial voyage, elle posa lourdement une page vierge sur le bureau.

            Citation:
                A vous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur Tille

                  Salutations,


                Je vous remercie. Cette missive à nouveau sera bien courte, car je n'ai guère plus à dire, que des remerciement. Je suis déjà en route. Bientôt je vous enverrais une nouvelle missive, afin de vous tenir informer de mon avancée. Avez-vous dores et déjà une idée de ce que vous aller m'apprendre ? Je suis curieuse, je le reconnais. Mais je dois savoir.. A l'avance.

                Que le Très Haut vous garde,

        _________________
        Tensa_de_falcone
        Après la dernière missive reçu de la part de Prim, il attendait qu'elle arrive à Lectoure, cela mit un peu de temps, mais cela est arrivé, et cette rencontre fût bien timide, bien trop timide, mais cela était tout à fait normal. La rencontre se fit dans les bois, du moins dans un petit bosquet, prêt d'un petit ruisseau, avec un banc, que Tensa avait créer lui même, car c'était un endroit où il pouvait ce ressourcer. Bref, au clair de lune, il était là allant vers son endroit fétiche, pour pouvoir ce ressourcer après une dur journée. Une jeune demoiselle avait prit elle aussi ce petit chemin qui l'emmenait ici. Après quelques échanges fait, il comprit qu'elle était bien Prim.

        Quelques échanges fait, ils se retrouvèrent le lendemain, en taverne, pour discuter, passer un peu de bon temps. Malheureusement, elle ne pouvait pas resté à Lectoure car elle devait rejoindre Pau rapidement. Tensa allait donc devoir voir comment lui apprendre a distance pour l’entraîner. Il allait devoir lui envoyer des schéma ainsi que des lettres descriptives pour qu'elle puisse tout comprendre, ce travail allait être long et fastidieux, tant pour lui que pour elle, car du coup elle ne pourrai pas savoir si elle le fait vraiment bien.


        Citation:
        De nous, Tensa de Falcone, Seigneur de Marey sur Tille,
        A vous, Prim Adelys de Valyria


        Salutation,

        J'ai vraiment apprécier notre rencontre, vraiment, le courant passe très bien. Malgré votre timidité, mais cela est tout à fait normal. Vous êtes quelqu'un de bien, je le sens du moins.

        J'ai réfléchi à comment pouvoir vous entraîner à distance. Je vous préviens de suite que cela va être long et fastidieux. J'aimerai quand même que parfois, vous puissiez venir à Lectoure pour que je puisse voir vos progrès.

        Je vous explique comment nous allons procéder. Je ferrai donc des croquis des gestes à réaliser ainsi qu'un récapitulatif écrits pour comprendre et voir. Car les gens parfois on besoin de visualiser et de comprendre. En espérant que cela vous aille. J'attends d'ailleurs votre prochaine missive pour me dire si cela vous corresponds.

        Bien amicalement.
        Tensa de Falcone

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