Albin.
Il en avait entendu parler, certes très vaguement, et voila que le Albin avait fait route jusqu'au Val Soleil.
Rien qu'au nom, Albin s'était fait une idée de l'endroit avec soleil, fleur, bois, ruisseau voir une petite cascade au milieu des bois. Oui le Albin parfois va très loin dans son imagination un peu trop idéale. L'idéal parlons en justement car c'est bien la raison de sa venue, son monde étant loin de l'être alors imaginer, rêver et croire en des choses il s'était rabattu sur ça.
Que serait la vie sans imagination?
Faut dire que rien que le nom laissait présager de belles choses surtout que l'Ar Sparfel savait qu'il y retrouver sa cousine et vassale tout en changeant un peu d'air dont il avait grand besoin.
Venu seul, sans hommes, sans gardes, juste lui et son cheval Albin avait fait une route sans embûche pour le moment. L'on dit bien pour le moment car là il est soumis à un gros problème d'orientation qui est de trouver son chemin.
En effet, l'Ar Sparfel était perdu dans les bois, pas de chemin, pas de sentier sur des routes qui lui sont inconnus et ça il pesta un peu.
Mery, qu'est ce que tu as été trouver un endroit pareil avec tes amies, c'est perdu de chez perdu pire que Le Perche.
Toutefois, Albin continuait son chemin. Son visage était rempli de poussières de terres collés par la pluie qu'il avait essuyer avant, dissimulé sous un capuchon rendu sale lui aussi par la poussière, le cheval était de même, rien ne paraissait qu'il s'agissait de lui mais plutôt d'un simple voyageur perdu.
Le jeune Vicomte était tout autant fatigué par le voyage, s'étant nourrit de potages, pas toujours très bons, préparés par des paysans à différents endroits où il avait fait étape et dormant sur des lits de pailles.
Fatigué, assoiffé, Albin entendu le ruissellement de l'eau pas trop loin et s'y dirigea avec hâte.
De l'eau!! J'ai soif!!!
Tant pis si c'était de l'eau, Albin prenait le risque de tomber malade mais il ne pouvait plus tenir et guider par son ouï il arriva vers un cour d'eau.
Albin descendit de cheval, attacha celui ci à l'arbre le plus proche et se précipita vers le cour d'eau.
Eau! Eau ! Eau j'en peux plus.
Albin se pencha et mis ses mains dans l'eau puis bu quelques gorgées qui lui faisaient vraiment le plus grand bien.
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Rien qu'au nom, Albin s'était fait une idée de l'endroit avec soleil, fleur, bois, ruisseau voir une petite cascade au milieu des bois. Oui le Albin parfois va très loin dans son imagination un peu trop idéale. L'idéal parlons en justement car c'est bien la raison de sa venue, son monde étant loin de l'être alors imaginer, rêver et croire en des choses il s'était rabattu sur ça.
Que serait la vie sans imagination?
Faut dire que rien que le nom laissait présager de belles choses surtout que l'Ar Sparfel savait qu'il y retrouver sa cousine et vassale tout en changeant un peu d'air dont il avait grand besoin.
Venu seul, sans hommes, sans gardes, juste lui et son cheval Albin avait fait une route sans embûche pour le moment. L'on dit bien pour le moment car là il est soumis à un gros problème d'orientation qui est de trouver son chemin.
En effet, l'Ar Sparfel était perdu dans les bois, pas de chemin, pas de sentier sur des routes qui lui sont inconnus et ça il pesta un peu.
Mery, qu'est ce que tu as été trouver un endroit pareil avec tes amies, c'est perdu de chez perdu pire que Le Perche.
Toutefois, Albin continuait son chemin. Son visage était rempli de poussières de terres collés par la pluie qu'il avait essuyer avant, dissimulé sous un capuchon rendu sale lui aussi par la poussière, le cheval était de même, rien ne paraissait qu'il s'agissait de lui mais plutôt d'un simple voyageur perdu.
Le jeune Vicomte était tout autant fatigué par le voyage, s'étant nourrit de potages, pas toujours très bons, préparés par des paysans à différents endroits où il avait fait étape et dormant sur des lits de pailles.
Fatigué, assoiffé, Albin entendu le ruissellement de l'eau pas trop loin et s'y dirigea avec hâte.
De l'eau!! J'ai soif!!!
Tant pis si c'était de l'eau, Albin prenait le risque de tomber malade mais il ne pouvait plus tenir et guider par son ouï il arriva vers un cour d'eau.
Albin descendit de cheval, attacha celui ci à l'arbre le plus proche et se précipita vers le cour d'eau.
Eau! Eau ! Eau j'en peux plus.
Albin se pencha et mis ses mains dans l'eau puis bu quelques gorgées qui lui faisaient vraiment le plus grand bien.
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