Lennia_
Soudain, au beau milieu du soleil de Printemps, au beau milieu de la présentation ; l'orage gronde le silence, les éclaires fendent le ciel, les vents se lèvent et dévoilent au grand jour le dessous d'une image bien rangée. La colère de Samsa transperça la Corbac, alors incapable de décoller de sa place. Les mots fusent, agressifs, violents et terriblement justes. Pourtant, toute ces accusations ne semblaient pas avoir de place pour les explications. Contrairement aux actes du passé, Lennia mourrait d'envie de lui hurler qu'elle l'aimait. Oh oui, elle aimait Cendre, bien plus que n'importe qui. Cendre avait été son monde, son peintre, son poète ; il avait été et restait quoi qu'il advienne ; l'Amour de sa vie. Avec un grand A. Il avait donné un sens à la vie de suivante dont elle ne pouvait se défaire. Il avait, imaginé un monde façonné de leurs mains. Il avait fait battre de mils façon et mil musique son coeur. Il était.. Sa vie. Quand bien même, autrefois Grenat était une soeur, quand bien même, Ange, Samia, Maria, Sharlnak, Vince, ou Harleme. Quand bien même, cette famille de sang, Cendre avait été.. Son unique, et son Tout.
La main gantée siffle l'air ; et la peau de marbre encaisse le choc, sans un bruit. Et au même instant, toute la forteresse Castellane s'écroulait. Si, elle imaginait parfaitement le mal qu'il avait enduré. Elle imaginait plus que nécessaire, subissant depuis cinq ans ce choix. Car si le temps avait passé, Lennia était incapable d'imaginer sa vie ailleurs. Ses lèvres étaient les jumelles de l'Alençonnais. Son coeur avait perdu de cette mélodie enivrante qui la faisait vivre, saignant jours après jours. Quant à son regard.. Il avait perdu de son éclat, comme si.. Jamais plus la lumière du jour n'avait trouvé le chemin de l'étincelle.
Doucement, le minois se retourna, faisant face à la tornade Cerbère.
Ecoutez quoi ? Personne ne pouvait entendre ce qu'elle avait à dire. Personne, ne comprenait cet acte, personne.. ne le pardonnait. Et Elle, moins encore que tout les autres. Alors, quand la main vint à pousser le frêle corps de l'Ombre, elle ne lutta pas.
La poudre noir explose, et la colère ne saurait que redoubler de force à ces mots.
Elle me fait mal. Elle me donne envie de me jeter du haut d'une tour. Elle me fait atrocement mourir, jours après jours. Elle a ce même regard, cette même lueur. La vérité était sanglante, brûlante. Mais il ne fallait pas qu'elle ne perde pied. Pas maintenant. Pourtant, le regard se voila d'un fin rideau d'eau incontrôlable.
La voix dérailla, n'enlevant rien a cet air de marbre, que rien n'avait ébranler si ce n'est les larmes.
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La main gantée siffle l'air ; et la peau de marbre encaisse le choc, sans un bruit. Et au même instant, toute la forteresse Castellane s'écroulait. Si, elle imaginait parfaitement le mal qu'il avait enduré. Elle imaginait plus que nécessaire, subissant depuis cinq ans ce choix. Car si le temps avait passé, Lennia était incapable d'imaginer sa vie ailleurs. Ses lèvres étaient les jumelles de l'Alençonnais. Son coeur avait perdu de cette mélodie enivrante qui la faisait vivre, saignant jours après jours. Quant à son regard.. Il avait perdu de son éclat, comme si.. Jamais plus la lumière du jour n'avait trouvé le chemin de l'étincelle.
Doucement, le minois se retourna, faisant face à la tornade Cerbère.
- Samsa écoutes..
Ecoutez quoi ? Personne ne pouvait entendre ce qu'elle avait à dire. Personne, ne comprenait cet acte, personne.. ne le pardonnait. Et Elle, moins encore que tout les autres. Alors, quand la main vint à pousser le frêle corps de l'Ombre, elle ne lutta pas.
- Il.. Il a une fille.
La poudre noir explose, et la colère ne saurait que redoubler de force à ces mots.
- J'ai.. donné naissance à Aénor.. quelques mois après.. Il.. Cendre à une fille. Elle est son portrait craché, elle..
Elle me fait mal. Elle me donne envie de me jeter du haut d'une tour. Elle me fait atrocement mourir, jours après jours. Elle a ce même regard, cette même lueur. La vérité était sanglante, brûlante. Mais il ne fallait pas qu'elle ne perde pied. Pas maintenant. Pourtant, le regard se voila d'un fin rideau d'eau incontrôlable.
- Je l'aime Samsa.. Et crois moi je préférerais être morte plutôt que de continuer ainsi ! TU NE SAIS PAS SAMSA.
La voix dérailla, n'enlevant rien a cet air de marbre, que rien n'avait ébranler si ce n'est les larmes.
- Tu ne sais pas..
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