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[RP] Colocation.

Asdrubal1
[ES]

El de la Barca sonrió complacido, la nube negra que oscurecía su pensamiento desde que ellos habían llegado desapareció, él ni siquiera se fijó en como Jenifael puso una mano sobre su vientre. En cambio, Asdrubal se puso en pie y, saliendo un momento, gritó.-Subid la cena y todo lo que dije que preparaseis, sin tardanza.-Asdrubal no solía hablar a gritos por su casa, en realidad, él no estaba habituado a gritar, él era por el contrario alguien bastante tranquilo que solía hablar en una voz calmada. Aunque claro, murmuró sonriendo, siempre hay una excepción.

Asdrubal entró de nuevo y dijo.-Si la servidumbre no se ha vuelto sorda de repente, la comida no debería tardar demasiado.-Él iba a añadir algo sobre el funesto futuro que aguardaría a quien se retratase cuando entraron los criados con diversos platos, zumo y vino.-Hay costilla de ternera y carne de codorniz, la primera es un plato típico de este señorío, de postre hay mazapán, un dulce especial hecho de almendra.-Aquella era una cena pesada, pero el de Olite, tras un día entero de viaje, también necesitaba reponer fuerzas.

Asdrubal tomó la copa y bebió del vino, mientras miraba a su esposa, a la que no había dado nada de beber, él se había dado cuenta de cuándo y para qué bebía vino, por lo que él permaneció curioso para ver qué decidía ella beber.-Yo nunca os he preguntado qué os gusta comer... Yo estoy acostumbrado a comer carne, dado que el pescado se estropea antes de llegar al centro de la Península y la verdura... Bueno, nada que salga de la tierra puede ser bueno, lo pondrá en algún versículo del Libro de las Virtudes.-Aquello último era una broma, el de la Barca solía decir que algo que no le gustara probablemente estuviera prohibido en las escrituras religiosas.

[FR]

Celui de la Barca a souri avec plaisir, le nuage noir qui ternissait sa pensée depuis qu'ils étaient arrivés a disparu, il ni même s'est fixés dans comme Jenifael a mis une main sur son ventre. Par contre, Asdrubal a été mis en pied et, sortant un moment, a crié. - Vous! Apportez le dîner et tout ce qui j'ai dit que vous prépariez, sans retard. - Asdrubal ne parlait pas généralement à des cris par sa maison, en réalité, il n'était pas habitué à crier, il était au contraire quelqu'un assez tranquille qui parlait généralement dans une voix calmée. Bien que, il ait clairement murmuré en souriant, il y a toujours une exception.

Asdrubal est entré de nouveau et a dit. - Si la servitude ne s'est pas retournée sourd sursaut, le repas ne devrait pas trop tarder. -Il allait ajouter quelque chose sur le futur funeste qui attendrait celui qui arriverait tard quand sont entrés les servants avec diverses plats, jus et vin. - Il y a côtelette de veau et viande de caille, la première est une plat typique de cette fief, de dessert il y a du massepain, une sucrerie spéciale faite d'amande. - Celle-là était un dîner lourd, mais celui d'Olite, après un jour complet de voyage,avait besoin aussi de remettre des forces.

Asdrubal a pris la coupe et a bu du vin, tandis qu'il surveillait à son epouse, à auquelle il n'avait donné rien de boire, il s'était rendu compte de quand et pour qu'elle boive du vin, ce pourquoi il est resté curieux pour voir ce qu'elle décidait de boire. - Je ne à vous ai jamais demandées ce que vous aimez manger… Je suis habituée à manger de la viande, puisque le poisson est abîmé avant d'arriver au centre de la Péninsule et le légume… Bon, rien qui sort de la terre peut être bon, il le mettra dans un certain verset du Livre des Vertus. - Cela dernier était une plaisanterie, celui de la Barca disait généralement que quelque chose qui il n'aimait pas probablement soit interdit dans les écrituresreligieuses.
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Jenifael..luna
    [FR]

    Elle écouta attentivement, amusée, néanmoins par la dernière remarque et se servit un peu de vin.

    "- Le vin est fait de raisins, qui poussent dans des vignobles en terre Asdrubal ... Alors le vin n'est pas bon. "

    Puis, se servant quelques légumes, elle ajouta.

    "- Ce que vous n'aimez pas, n'est pas forcément pas bon ... Prenons un autre exemple. Je déteste être touché. Pour autant, certains aiment. Lorsque Axel m'a expliqué comment se déroulerais les noces, elle à clairement dit que certains adorés ... "

    Elle avait même affirmée qu'elle était certaine que la minimoyse adorerait !

    "- Elle à même osé dire, je cite "Une fois que vous aurez essayé, vous adorerais" pourtant, en soit, l'action reste la même. Peut-être que les légumes de terre vous répugnent de la façon dont-ils sont cuisiné et qu'il vous faudrait trouver une autre façon de le faire, non ? "

    Puis elle continua, sur un exemple, moins gênant, après avoir laissé le temps à Asdrubal, de comprendre ses paroles. Un petit temps, pendant lequel elle mangea un peu de légumes et grignota un maigrelet morceau de viande.

    "- C'est pareil, pour le voyage. J'ai toujours été malade durant ceux-ci, pourtant ma mère nous faisaient voyager d'un bout à l'autre du royaume, lorsque j'étaie enfant ... J'ai même été une des demoiselles de compagnie de la duchesse Yolanda Isabel de Josselinière. "

    [ES]

    Atentamente escuchó, divertida, sin embargo por la última observación y se sirvió un poco de vino.


    " - el vino es hecho vides(viñas), que crecen en viñedos en tierra Asdrubal... Entonces el vino no es bueno. "

    Luego, sirviéndose algunas verduras, añadió.

    " - lo que no le gusta, no es no bueno forzosamente... Tomemos otro ejemplo. Detesto ser tocado. Por eso, les gusta a algunos. Cuando Axel se me explicó cómo le desenrollaría las bodas, ella a claramente dicho que algunos adorados... "

    ¡ Hasta había afirmado que era cierta que el minimoyse adoraría!

    " - ella a hasta atrevido a decir, yo cito " En cuanto usted habrá probado(tratado), usted adorarías " sin embargo, es decir de allí, la acción queda la misma. ¿ Posiblemente que le repugnan las verduras de tierra con modo por los que son cocinados y que usted debería encontrar otro modo de hacerlo, no? "

    Luego continuó, sobre un ejemplo, menos molesto, después de haberle dejado el tiempo a Asdrubal, de comprender sus palabras(voces). Un pequeño tiempo, durante el cual comió pocas verduras y royó delgaducho pedazo de carne.

    " - es el igual, para el viaje. Fui siempre enfermo durante éstos, sin embargo mi madre nos hacían viajar de un extremo a otro del reino, cuando apoyo a niño... Hasta fui una de las señoritas de compañía de duquesa Yolanda Isabel de Josselinière. "

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Asdrubal1
[ES]

Asdrubal miró consecutivamente a la copa de vino y a Jenifael, luego él volvió a mirar la copa, el de Olite no había esperado eso.-Bonita forma de darme la razón vos tenéis, que al mismo tiempo me la dais como la quitáis.-La inocencia de la discusión sobre el vino se perdió cuando ella comenzó a hablar de temas más espinosos, el de la Barca ya sospechaba el motivo por el que la francesa bebía vino, él ya había pensado que a ella no gustaba ser tocada.-Yo no estoy de acuerdo con vos... Algo es bueno o malo con independencia de yo gusto o no. Pero si además algo bueno gusta... Mucho mejor.

El de Olite escuchó con atención las palabras de Jenifael sobre Axel y contestó.-Vuestra tía tiene razón... A veces es la desconfianza hacia lo desconocido lo que nos hace rechazar algo, algo que puede ser bueno y además gustarnos, en cualquier caso, algo que trae nueva vida a este mundo no puede ser malo.-Aquel era un argumento totalmente forzado y Asdrubal lo sabía, más aun cuando él no le gustaba aquello por los niños precisamente.

Asdrubal comió parte de su filete y volvió a beber vino.-Puede ser que yo guste del vino porque no parece verdura... No me recuerda a la tierra, en cambio un pedazo de vegetal... No es nada atractivo en comparación con el pescado o la carne... Aunque... Vos tenéis razón, no por ello debe ser malo... Yolanda de Josselinière... Ella era la madre de Ivanne si yo no recuerdo mal. Yo no sabía que vos fuisteis una de sus damas, en lo que se refiere a viajar, no es algo que me guste, pero a veces es necesario... Por lo que es bueno, puede que lo bueno y lo malo no tenga nada que ver con lo que nos gusta o no.

[FR]

Asdrubal a consécutivement regardé au la coupe de vin et à Jenifael, donc il a regardé à nouveau la coupe, celui d'Olite n'avait pas attendu cela. - Façon jolie de me donner la raison que vous avez, qu'en même temps vous me la donnez comme vous me la retirer. -L'innocence de la discussion sur le vin a été perdue quand elle a commencé à parler de matières plus épineuses, celui de la Barca soupçonnait le motif pour lequel la française buvait du vin, il avait déjà pensé qu'elle n'aimait pas être touchée. - Je ne suis pas d'accord avec vous… Quelque chose est bon ou mauvais indépendamment de que j'aime ou non. Mais si une outre quelque chose est bon, et j'aime cela…Beaucoup mieux.

Celui d'Olite a écouté avec attention les mots de Jenifael sur Axel et l'a répondu. - Votre tante a raison… Parfois c'est la méfiance vers ce qui est inconnu ce qui nous fait rejeter quelque chose, quelque chose qui peut être bon et aimer en outre, en tout cas, quelque chose qui apporte de la nouvelle vie à ce monde ne peut pas être mauvais. - Celui-là était un argument totalement forcé et Asdrubal le savait, plus encore quand il il n'aimait pas cela par les enfants précisément.

Asdrubal a mangé une partie de son filet et a bu à nouveau du vin. - Il se peut dire que j'aime du vin parce qu'il ne paraît pas légume… Ne me rappelle pas à la terre, par contre un morceau de végétal… N'est pas du tout attrayant en comparaison avec le poisson ou la viande…Bien que… Vous avez raison, non pour cela il doit être mauvais… Yolanda de Josselinière… Elle était la mère d'Ivanne si je ne rappelle pas mauvais.Je ne savais pas que vous avez été une de leurs demouiselles, pour ce qui est de voyager, il n'est pas quelque chose qui j'aime, mais parfois il est nécessaire… Ce pourquoi il est bon, peut-être ce qui est bon et qui est mauvais n'ayez rien voir avec ce que nous aimons ou non.
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Jenifael..luna
    [FR]

    Elle prononça quelques mots, qui ne furent pas traduits et au bout d'un moment fût apporté un morceau de viande, cru. Le morceau était minuscule et trônait à côté de lui, un morceau de poisson, tout aussi cru. Elle les désigna.

    "- Vous les trouvez sincèrement appétissant ? Pour ma part, je trouve cela dégoûtant. Bien sûr, une fois cuit, ils deviennent assez bons ... Tout comme les légumes, lorsqu'ils sont correctement cuisinés. "

    Puis sa gorge se serra, il fallait parlais d'autre chose.

    "- Oui, Yolanda, était la mère d'Ivanne, voyez, comme les liens se refont avec le temps, quant au voyage, soit, voyageons, mais que pensez-vous, si le rythme était moins soutenu ? Ou qu'une partie, se faisait à cheval ? Je ne suis pas malade à cheval. "

    Et enfin, elle termina.

    "- La méfiance, permet d'éviter les dangers ... Et combien de femmes meurent en couche ! Malgré tout, j'ai accepté de me soumettre à tout cela, vous libérant, comme le libérant, du devoir de mariage. "

    Elle songea à ce qu'il avait dit, concernant la méfiante et but de nouveau un peu de vin. Le vin, la rendait moins craintive, moins méfiante, plus docile, mais surtout et avant tout, permettais d'engourdir assez son esprit, pour ne pas avoir de souvenir trop vif. Elle prit un peu de tapenade qu'elle étala sur un bout de pain, puis prit une tomate, légumes exotiques et contemporains, à laquelle, elle ajouta du fromage. Enfin, elle tendit les deux au Castillan.

    "- Si vous mangez ces deux tartines, je vous accorde deux faveurs. "

    Histoire, de lui faire changer les idées, sur les légumes ...


    [ES]

    Pronunció algunas palabras, que no fueran traducidas y al cabo de un momento sea aportado un pedazo de carne, creído. El pedazo era minúsculo y reinaba(se daba importancia) al lado de él, un pedazo de pez(pescado), también crudo. Los(las) designó.

    " - ¿ los(las) encuentra sinceramente apetitoso(apetecible)? Por mi parte, encuentro esto que da asco. Por supuesto, una vez cuece, se vuelven bastante buenos... Totalmente como las verduras, cuando son correctamente cocinados. "

    Luego su garganta(pechos) se estrechó, hacía falta hablaba de otra cosa.

    " - ¿ sí, Yolanda, era la madre de Ivanne, vea, como los lazos se rehacen con tiempo, en cuanto al viaje, o, viajemos, pero sea piensa, si el ritmo fue menos sostenido? ¿ O qué una parte(partida), se hacía a caballo? No soy enfermo a caballo. "

    Y por fin, acabó.

    " - la desconfianza, permite evitar los peligros... ¡ Y cuántas mujeres mueren en capa(pañal)! A pesar de todo, acepté someterme a todo esto, liberándole, como que lo liberaba, del deber de matrimonio. "

    Soñó con lo que había dicho, concerniendo a la desconfiada y bebió de nuevo un poco de vino. El vino, la hacía menos temerosa, desconfiada, más dócil, pero sobre todo y ante todo, permitía entumecer bastante su espíritu, para no tener memoria(recuerdo) demasiado viva. Tomó un poco de condimento a base de aceitunas que repartió en un mendrugo, luego tomó un tomate, verduras exóticas y contemporáneos, al cual, añadió queso. Por fin, tendió(alargó) los dos al Castellano.

    " - si usted come estas dos rebanadas de pan(rollos), le concedo dos favores. "

    Historia, de hacerle cambiar las ideas, sobre las verduras...

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Asdrubal1
[ES]

Asdrubal no entendía que Jenifael no gustara la carne, el pescado podía llegar a entenderlo, pero... La carne, para el de Olite era sencillamente inexplicable el gusto de su esposa.-Cualquier cosa verde tiene peor apariencia que un buen filete de cualquier tipo de animal, por el pescado no voy a romper una lanza para apoyarlo, pero frente a la carne la verdura no tiene nada que hacer. Asdrubal sonrió, era la primera vez que él discutía sobre temas tan vanos, aquello era relajante.

-La vida hace giros extraños, a veces uniendo lo separado... Otras dividiendo lo que estaba junto. En lo que se refiere a lo otro... Si son los carros los que os causan mal, se acabaron los carros, que vayan los equipajes en ellos, nosotros a caballo.-Ahora nosotros podremos decir adios a esos armatostes de madera y ruedas, se dijo triunfal el de la Barca, quien adoptó un gesto para añadir.-Yo os comprendo Jenifael y, por ello, yo os he respetado en todo lo posible.

Asdrubal miró con curiosidad lo que ella hacía, él solía ser bastante frugal en sus comidas, por lo que él no estaba acostumbrado a aquellas mezclas. Asdrubal cogió ambas con cuidado, él no quería que cayeran, por lo menos tienen queso, él se dijo mientras comía, para su sorpresa... Eso estaba bueno.-Vos me habéis sorprendido gratamente, está rico, aunque yo he de decir que el queso es una de mis debilidades, aunque si yo hubiera seguido sin probarlo... Jamás yo habría sabido que me encanta

[FR]

Asdrubal ne comprenait pas que Jenifael n'aime pas la viande, le poisson pouvait arriver à le comprendre, mais… La viande, pour celui d'Olite était simplement inexplicable le goût de son conjoint. - Toute chose verte a pire aspect qu'un bon filet de tout type d'animal, par le poisson je ne vais pas rompre une lance pour le soutenir, mais face à la viande le légume n'a rien que faire. - Asdrubal a souri, discuter sur le repas était amusant.

- La vie rend des virements étranges, parfois en unissant ce qui est séparé… D'autres en divisant ce qui était ensemble. En ce qui concerne l'autre… Si ce sont les voitures ceux qui vous causent mauvais, on a fini les voitures, qui vont les bagages en ces derniers,nous à cheval. - Maintenant nous pourrons dire "au revoir" à ces monuments de bois et roues, on a dit celui triomphal Asdrubal, celui qui a adopté un geste sériux pour ajouter. - Je vous comprends Jenifael et, pour cette raison, je vous ai respectées le plus possible.

Asdrubal a surveillé avec curiosité ce qu'elle faisait, il était généralement assez frugal dans ses repas, ce pourquoi il n'était pas habitué à ces combinaisons. Asdrubal a pris toutes les deux avec des soins, il ne voulait pas qu'ils tombent, au moins ils ont fromage, il a été dit tandis qu'il mangeait, pour sa surprise… Cela était bon. -vous m'avez agréablement surprise, C'est délicieux, bien que je doive dire que le fromage est une de mes faiblesses, bien que si j'avais suivisans le prouver… J'aurais jamais su que j'adore cela
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Jenifael..luna
    [FR]

    Elle sourit.

    "- Bien, je vous dois deux faveurs, choses promise, chose dû. J'ai goûté la tapenade en Anjou, c'est mon premier fiancé qui m'a fait goûter, nous avions douze ans, alors bons ... "

    Et ils pensaient que les bébés se faisaient à partir d'une graine de pastèque à planté fermement dans le nombril de Jenifaël. Autrement dit, des enfants, deux enfants, qui c'étaient appréciés voir aimés, deux enfants innocents qui s'étaient perdu de vue et avait laissé dans le cœur de la jeune femme un vide froid. Un froid, qui s'était agrandi, à l'âge de quatorze ans, lorsqu'elle avait eu le béguin pour un jeune homme, qui avait réussi à obtenir sa confiance, quelques gestes tendres hésitants et la première cuite de la jeune femme. Elle était resté longtemps silencieuse, dans ses pensées. Puis mangea un peu de légumes avant de poser les couverts.

    "- J'ai fini. "

    Elle récupéra sa coupe de vin pour la portée à ses lèvres et boire un peu de liquide rouge. La peur avait laissé place, petit à petit à la confiance, la jeune fille avait l'esprit qui s'engourdissait lentement. Elle bue de nouveau du vin, jusqu'à terminer la coupe.

    [ES]

    Sonríe.

    " - bien, le debo dos favores, cosas novia, cosa debido. Probé el condimento a base de aceitunas en Anjeo, es mi primer novio quien me hizo probar, teníamos doce años, entonces buenos... "

    Y pensaban que los bebés se hacían a partir de una semilla de sandía a plantado firmemente en el ombligo de Jenifaël. Es decir, niños, dos niños, que fueron apreciados ver gustados, dos niños inocentes que se habían perdido de vista y había dejado en el corazón de la joven mujer un vacío(hueco) frío. Un frío, que se había aumentado, a la edad de catorce años, cuando había estado enamoriscado de un joven hombre, que había conseguido obtener su confianza, algunos gestos tiernos vacilantes y la primera se emborracha de la joven mujer. Ella había quedado mucho tiempo silenciosa, en sus pensamientos. Luego comió pocas verduras antes de poner los cubiertos.

    " - acabé. "

    Recuperó su copa(corte) de vino para la camada(alcance) con sus labios y beber un poco de líquido rojo. El miedo había dejado sitio(plaza), poco a poco a la confianza, la joven chica tenía el espíritu que lentamente se entumecía. Ella bebida de nuevo por vino, hasta acabar la copa(corte).

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Asdrubal1
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Los amores pasados... Una rubia, Foix, una taberna, luego Burgos, Olite, una torre, un cuchillo, Asdrubal sonrió, todo aquello quedaba atrás, demonios que estaban mejor enterrados... Muertos y enterrados, así debían estar y no iba a ser Asdrubal quien los sacara a escena, el de la Barca miró la copa de vino y esbozó una sonrisa malévola que pronto desapareció de su rostro, aquellas aguas era mejor no removerlas.

-Yo no sabía que vos estuvisteis comprometida antes... Bueno, yo supongo que Dios hace las decisiones según su sabia voluntad.-Y juega con los hombres como él quiere, pero aquello él no lo dijo, aunque él era un hombre fervoroso, a veces tenía esa clase de impíos pensamientos.

Asdrubal terminó con su copa, y dijo.-Vos queréis acostaros... Es decir dormir.-Él miró a la criada de Jenifael con una media sonrisa, él esperaba que ella percibiera el matiz que había detrás de aquella pregunta. También era cierto que tal vez después de un largo viaje sería lo normal dormir, pero en aquellos momentos era lo último que Asdrubal pretendía.

[FR]

Les amours passés… Une blonde, Foix, une taverne, donc Burgos, Olite, une tour, un couteau, Asdrubal a souri, tout cela restait en arrière, des démons qui étaient mieux enterrés… Des morts et enterrés, devaient ainsi être et n'allait pas être Asdrubal celui qui les sortirait à scène, celui de la Barca a surveillé le coupe de vin et a ébauché un sourire malveillant qui a disparu tôt de sa face, ces eaux était mieux de ne pas les fuiller.

- Je ne savais pas que vous avez été avant fiancée… Bonne, je suppose que Dieu fait les décisions selon sa Sage Volonté. -Et il joue avec les hommes comme il veut, mais cela il ne l'a pas dit, bien qu'il soit un homme fervent, parfois avait cette classe de pensées impies.

Asdrubal a terminé avec son coupe, et a dit. -Vous voulez coucher… C'est-à-dire de dormir?. - Il a surveillé à la domestique de Jenifael avec un demi-sourire, il espérait qu'elle perçoive le ton qu'il y avait derrière cette question. Il était aussi certain que peut-être après un long voyage ce serait ce qui est normal dormir, mais à ces moments il était le dernier ce que Asdrubal prétendait.
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Jenifael..luna
    [FR]

    Elle resta un instant surprise, avant d'hausser les épaules, mettant sur le compte d'un défaut de traduction, le mot coucher, puisque le Castillan avait corrigé ses paroles après, elle inclina la tête.

    "- Oui, si vous voulez. "

    La jeune femme se leva, puis l'olivine, se tournant vers la domestique, elle lâcha.

    "- Vous pouvez partir, nous saurons, nous mettre au lit sans vous. "

    Et la pièce se trouva vidée de la nourriture, qui avait servit, ne laissant que du lait, du vin et les coupes qui avaient servi pour boire, les voilà seuls et Castelnau en eu un frisson tant la pièce lui semblait plus grande soudainement. La jeune française passa derrière le paravent de la chambre, pour retirer la robe qu'elle portait, entièrement noir et se retrouvant en chainse assez légère, pour la nuit, elle attira à elle la robe de chambre violette et la revêtue. Les mèches ondulées libre, elle s'approcha de la couche et à l'attention d'Asdrubal, annonça.

    "- La bonne nuit, donc. "

    Docile, presque ivre, elle retira la chemise de nuit, gardant la chainse. L’œil de l'époux avait pu deviner surement les formes arrondie sur le corps fin de la jeune femme. Il avait également la possibilité de voir son œil d'olivine, mêlant vert et noisette, légèrement engourdi grâce à l'alcool. Elle attendit que le Castillan soit dans le lit pour s'installer à son tour, vacillante. Elle s'installa, près de l'époux et demanda :

    "- Vous voulez dormir ... Ou parler ? "

    L'olivine n'était pas certaine, elle ne savait pas. Elle n'avait pas envie qu'on la touche, comme toujours, l'alcool ne changeant pas cela, la rendant simplement plus docile et libre.

    [ES]

    Quedó un instante sorpresa, antes de encogerse de hombros, poniendo a la cuenta de un defecto de traducción, la palabra acostarse, ya que el Castellano había corregido sus palabras(voces) después, inclinó la cabeza.

    " - sí, si usted quiere. "

    La joven mujer se levantó, luego el olivine, volviéndose hacia la doméstica, soltó(lanzó).

    " - usted puede irse, sabremos, ponernos en la cama sin usted. "

    Y la pieza(cuarto) se encontró vaciada del alimento, que tenía sirvió, dejando sólo leche, vino y las copas(cortes) que habían servido para beber, he aquí sólo y Castelnau en tenido un escalofrío tanto la pieza(cuarto) le parecía más grande repentinamente. La joven francesa pasó detrás del biombo del cuarto(cámara), para retirar el vestido que llevaba, totalmente negro y encontrándoselo chainse bastante ligera, para la noche, le atrajo la bata morada y la revestida. Las mechas onduladas libre, se acercó a la capa(pañal) y a la atención de Asdrubal, anunció.

    " - buenas noches, pues. "

    Dócil, casi ebria, retiró el camisón, guardando el chainse. El ojo del esposo había podido adivinar surement las formas redondeada sobre el cuerpo fin de la joven mujer. También tenía la posibilidad de ver su ojo de olivine, mezclando verde y avellana, ligeramente entumecido gracias al alcohol. Esperó para el que el Castellano sea en la cama para instalarse a su vuelta, inestable. Se instaló, cerca del esposo y pidió:

    " - usted quiere dormir... ¿ O hablar? "

    El olivine no era cierto, no sabía. No tenía ganas que se la toca, como siempre, el alcohol que no cambia esto, haciéndole simplemente más dócil y más libre.

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Asdrubal1
[ES]

Una sombra cruzó los ojos del castellano al escuchar la traducción de las palabras de su esposa, aquello le había desagradado, pero él hizo un esfuerzo para ocultarlo, él se puso de pie y se quitó el jubón, dejando a la vista un torso en el que era raro no ver una cicatriz, desde el pecho hasta la espalda su cuerpo tenía varios vestigios de antiguas heridas de guerra. Después, Asdrubal se desprendió de las calzas negras y se puso en su lugar unas calzas blancas y una larga camisa blanca que practicamente llegaba hasta las rodillas.

Tras terminar de cambiarse, Asdrubal se tumbó en la cama, mirando hacia donde Jenifael se estaba cambiando, de donde ésta salió vestida con el camisón que, sin embargo, no impidió al de la Barca observar la forma del cuerpo de su esposa, a Asdrubal no le molestaba que ella no se quitara jamás aquel camisón y nunca se había opuesto a él, pues él, sobre todo, quería que ella estuviera cómoda. El de la Barca vio como ella se echaba también a su lado.-Hablar... Tal vez.-Su francés era bruto y mal pronunciado.

Asdrubal se irguió, y permaneció mirándola un rato en silencio, después poco a poco acercó la mano hasta ella y le acarició el brazo, aunque pronto lo retiró.-Antes... Vos... dicho algo sobre la... Desconfianza que... es una... Protección, y... Tenéis razón pero... No entre nosotros que debemos ser uno.-Pese a sus balbuceos, fruto de su inseguridad al hablar francés, el de la Barca esperaba haberse hecho entender.

[FR]

Une ombre a croisé les yeux de le castillan en écoutant la traduction des mots de son conjoint, cela lui avait déplu, mais il a fait un effort pour le dissimuler, il a été mis debout et on a enlevé le pourpoint , en laissant à la vue un torse dans lequel il était rare de ne pas voir une cicatrice, depuis la poitrine jusqu'au dos son corps avait plusieurs vestiges d'anciennes blessures de guerre. Ensuite, Asdrubal s'est détaché des chausses noirs et on a mis à sa place des chausses blancs et une longue chemise blanche qui arrivait pratiquement jusqu'aux genoux.

Après avoir terminé d'être changé, Asdrubal s'allongé dans le lit, en surveillant vers où Jenifael on changeait, d' où celle-ci il est sorti habillée avec la chemise de nuit et depuis la chainse qui n'a pas empêché, toutefois, celui de la Barca d'observer la forme du corps de son conjoint, à Asdrubal ne tracassait pas qu'elle ne soit jamais enlevée cette chemise de nuit et elle ne s'était jamais opposé à lui, parce qu'il, surtout, voulait qu'elle soit confortable. Celui de la Barca a vu comme elle se jetait aussi à son côté. -Parler… Peut-être. - Son français était lourd et mal prononcé.

Asdrubal s'est dressé, et est resté ensuite en la surveillant par un instant en silence, peu à peu a approché la main jusqu'à elle et l'il a caressé le bras, bien qu'il l'ait retiré tôt. - Avant… Vos…propos quelque chose sur le… Méfiance qui…est un… Protection, et… Vous avez raison mais… Nous n'entre pas que nous devons être Un. - Pesez à ses balbutiements, fruit de son insécurité en parlant français, celui de la Barca attendait avoir fait comprendre.
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Jenifael..luna
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    Elle eut un sursaut à la caresse, ne s'y attendant pas. Elle regarda le Barca un peu et hocha la tête, peinant à comprendre les mots de celui-ci, elle en comprit l'essentiel néanmoins. Elle accepté, visiblement de faire un effort. Elle prit la main du Barca et la posa sur son épaule, lui laissant comprendre qu'il pouvait la toucher, elle inspira. Se remémorant, sa soirée, passée il y a longtemps avec un certain tombeur ... L'esprit engourdi, elle tendit le cou et sa main délaça le haut de la chainse, pour permettre au Barca de voire un peu plus de sa jeune épouse. La brunette s'approcha un peu de l'époux.

    "- Acepto, un effort. "

    Elle essayer un peu d'Espagnoles, tentant de se faire comprendre, hésitante, elle ferma les yeux et glissa la main sur le cou masculin et la main arriva au début du vêtement du Castillan. La jeune fille s'approcha de l'autre visage et déposa un baiser sur la joue.

    "- Je ... ¿Es bueno? "

    [ES]

    Tuvo un sobresalto a la caricia, no esperándolo. Miró Barca poco y meneó la cabeza, apenando comprender las palabras de éste, comprendió lo esencial sin embargo. Ella aceptado, visiblemente de hacer un esfuerzo. Tomó la mano de Barca y lo puso sobre su hombro, dejándole comprender que podía tocarla, inspiró. Rememorándose, su tarde, siendo pasado hace mucho tiempo con un cierto seductor... Entumecido el espíritu, puso el cuello y su mano desató la altura del chainse, para permitir a Barca incluso de un poco más su joven esposa. La morenita un poco de(se) acercó al esposo.

    " - Acepto, un esfuerzo. "

    Ella probar(tratar) a pocas españolas, intentando darse a entender, vacilante, cerró los ojos y resbaló(deslizó) la mano sobre el cuello masculino y la mano llegó al principio del traje(ropa) del Castellano. La joven chica se acercó a la otra cara y depositó(dejó) un beso sobre la mejilla.

    " - ¿ yo ¿Es bueno? "

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Asdrubal1
[ES]

Asdrubal sonrió abiertamente como pocas veces hacía, pues él solía ser bastante taciturno y la única sonrisa que solía mostrar era aquel gesto entre lo burlón y lo sarcástico, por una vez la máscara que él vestía cayó, seguramente el vino tenía algo que ver en aquello, la mano paseó por el hombro de su esposa con delicadeza, el de la Barca sabía ser cuidadoso cuando él quería, él no había estado seguro de que su esposa reaccionara bien ante su anterior gesto... Sin embargo, había merecido la pena el intentarlo.

-Y yo os agradezco el esfuerzo, vos no podéis imaginar cuanto.

Porque para Asdrubal, Jenifael inspiraba algo que poca gente podía afirmar tener de su parte, y no, no era amor, sino respeto, por otro él no habría dudado en doblegar su voluntad e imponer la suya propia, con ella sin embargo el castellano mostraba una de sus facetas más desconocidas, la amabilidad. A continuación, ella hizo algo que el de Olite no esperaba, acercarse a él, poniendo la mano sobre su cuello, mientras ella dejaba un beso sobre su mejilla.-Sí, c'est bon.-Contestó él en francés a su pregunta en castellano. En París había visto el fuerte carácter de la joven, ahora él había podido comprobar que eso no estaba reñido con la inocencia.

Y, ahora, si vos queréis, nosotros dormimos.-Él estaba mezclando palabras en castellano y en francés, pero él no tenía suficiente vocabulario.-Yo entiendo que el viaje os haya cansado y yo no quiero que hagáis nada para lo que no tengáis ganas.-Él dijo mientras retiraba lentamente su mano.

[FR]

Asdrubal a ouvertement souri comme peu de fois il fait, parce qu'il était généralement assez taciturne et le seul sourire qu'il montrait généralement était ce geste entre le moqueur et le sarcastique, par une fois le masque qu'il habillait avant tout
est tombé, sûrement le vin avait quelque chose voir dans cela, la main a marché par l'épaule de son conjoint avec délicatesse, celui de la Barca savait être soigneux quand il voulait, il n'avait pas été sûr que son conjoint réagisse bien devant son geste précédent… Toutefois, il avait valu la peine de l'essayer.

- Et je vous remercie pour l'effort, vous ne pouvez pas imaginer.

Parce que pour Asdrubal, Jenifael inspirait quelque chose que peu de gens pouvaient affirmer avoir de sa partie, et non, Ce n'était pas amour, mais respect, par autre il n'aurait pas douté en plier sa volonté et imposer la sienne propre, avec elle toutefois le castillan montrait une de ses facettes plus inconnues, l'amabilité. Ensuite, elle a fait quelque chose que celui d'Olite n'attendait pas, s'approcher à lui, en mettant la main sur son col, tandis qu'elle laissait un baiser sur sa joue. - Oui, c'est bon. - Il À a répondu en français à sa question dans castillan. À Paris il avait vu le fort caractère du la jeune, il avait pu maintenant vérifier que cela n'était pas querellé avec l'innocence.

Et, maintenant, si vos vous voulez, nous dormons. - Il parlait avec mots en castillan et en français, il n'avait pas vocabulaire suffisant. - Je comprends que le voyage vous ait fatiguées et je ne veux pas que vous fassiez rien ce pourquoi vous n'ayez pas de désirs. - Il a dit entretemps il retirait lentement sa main.
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Jenifael..luna
    [FR]

    Elle se trouva surprise. Surprise, elle ne savait plus quoi faire, voilà qu'après avoir essayé de la poussée à passer la nuit ensemble et plus, désormais, Asdrubal retirait sa main de son épaule. L'olivine resta silencieusement fixée sur le Castillan. L'alcool, aidant à la détermination, elle tonna.

    "- Non ! "

    Bah oui, non, la voilà presque vexée de l'action Barca. La jeune femme avait pu voir le sourire et en avait été surprise, il avait eu l'air satisfait de son action et pourtant, il avait retiré sa main. Si elle n'était pas attirante, ou satisfaisante, autant le dire ! Voilà qu'une pointe de frustration monta en elle et devint rapidement de la colère. Une colère, qu'elle colla sur les lèvres du Castillan, décidément, pas contente de la décision de celui-ci. Son caractère était-ce qu'il était, mauvais, mais elle savait prendre des décisions, quelqu'elles soit les conséquences, et toujours avec cette petite colère, elle prit la seconde main du Castillan, pour la poser sur son ventre plat, creux.

    "- Prenez votre décision ! Dormir ne m'enchante pas désormais. Je suis curieuse. "

    Dans l'olivine, était lisible, cette curiosité infinie, comment aller réagir le Castillan?

    "- Je suis laide ? C'est pour ça que vous retirez votre main ? Je veux dire ... Que voulez-vous vous ? "

    Qu'il prenne une décision, voilà ce qu'elle voulait, avec son esprit embrumé. Voulait-il d'elle et de repos plus tard, ou voulait-il le repos maintenant ?

    [ES]

    Se encontró sorprendida. Sorprendida, no sabía más que hacer, ya después de haber probado(tratado) del empuje que hay que pasar por la noche juntos y más, en lo sucesivo, Asdrubal retiraba su mano de su hombro. El olivine quedó silenciosamente fijada sobre el Castellano. El alcohol, ayudando a la determinación, tronó.

    " - ¡ no! "

    Bah sí, no, he aquí casi vexée de la acción Barca. La joven mujer había podido ver la sonrisa y había estado sorprendida, había dado el aire satisfecha de su acción y sin embargo, había retirado su mano. ¡ Si no era atractiva, o no satisfactoria, tanto decirlo! Ya una punta(aguja) de frustración subió en ella y se hizo rápidamente la cólera. Una cólera, que pegó sobre los labios del Castellano, decididamente, no contenta de la decisión de éste. Su carácter el caso era el que(que) era, mal, pero sabía tomar decisiones, un poco ellas sea las consecuencias, y siempre con esta pequeña cólera, tomó la segunda mano del Castellano, para ponerlo sobre su vientre llano y hueco.

    " - ¡ tome su decisión! Dormir no me encantes en lo sucesivo. Soy curiosa. "

    ¿ En el olivine, era legible, esta curiosidad infinita, cómo ir a reaccionar el Castellano?

    " - ¿ soy fea? ¿ Es para esto que usted retira su mano? Quiero decir... ¿ A el que le quiere? "

    Qué tome una decisión, he aquí lo que quería, con su espíritu nebuloso. ¿ Quería de ella y de descanso más tarde, o quería el descanso ahora?
Asdrubal1
[ES]

Una tormenta habría sido mejor que aquello. La pequeña figura de Jenifael parecía no tener problemas con tener una voluntad de hierro, Asdrubal casi no podía entender su voz, entre los gritos y el francés, sin embargo, él fue capaz de entender lo importante, él sólo había pretendido agradarle aunque con ello él sólo había logrado todo lo contrario, el castellano permaneció en silencio mientras ella hablaba, el de Olite dejó que ella tomara su mano y la dirigiera hacia su vientre. Al final, cuando ella paró de hablar, serio, el de la Barca dijo, escogiendo con cuidado sus palabras, intentando no utilizar demasiado el castellano;

-Vos pensáis que yo opino que sois fea, yo os demostraré que no... Vos preguntáis que yo quiero, bien... Yo os mostraré.

La mano de Asdrubal sobre el vientre de Jenifael pasó a la cintura, atrayéndola hacia él, no con fuerza, pero sí con firmeza. Paralelamente, las sábanas cayeron a un lado, expulsadas por las piernas del de la Barca como un estorbo para su avance. Y, si Asdrubal había reaccionado en un primer momento con firmeza, ahora sus manos actuaban con delicadeza, recorriendo todo el cuerpo de su esposa, con suavidad y dulzura, como si él temiera romper algo. Y, según sus manos avanzaban, más él se acercaba, hasta quedar junto a ella, entrelazando sus cuerpos, de manera que a las caricias se le unió lo que es natural en el lecho de los esposos.

Hasta que, tiempo después, Asdrubal cayó exhausto al lado de Jenifael, cansado por el esfuerzo.-Vos sois bella.-Él dijo con esfuerzo.-Y nunca vos penséis que yo os rechazo o que vos me desagradáis.

[FR]

Un orage aurait été meilleur que cela. La petite figure de Jenifael paraissait ne avoir pas de problèmes d'avoir une volonté de fer, Asdrubal ne pouvait presque pas comprendre sa voix, entre les cris et le français il a été, toutefois, capable de comprendre l'important, il avait seulement prétendu la satisfaire, bien que de cette façon il ait seulement obtenu tout le contraire, le castillan est resté en silence tandis qu'elle parlait, celui d'Olite a laissé qu'elle prenne sa main et elle la dirige vers son ventre. À la fin, quand elle a arrêté de parler, sérieus, celui de la Barca a dit, en choisissant avec des soins ses mots, en essayant de ne pas utiliser trop le castillan ;

- Vous pensez que je juge que vous êtes laide, je vous démontrerai que non… Vous demandez que je veux, bien… Je vous montrerai.

La main d'Asdrubal sur le ventre de Jenifael est passée à la taille, en l'attirant envers lui, non avec force, mais bien avec fermeté. Parallèlement, les draps sont tombées à un côté, expulsées par les jambes de celui de la Barca comme une obstacle pour son avance. Et, si Asdrubal avait réagi dans un premier temps avec fermeté, maintenant ses mains agissaient avec délicatesse, en parcourant tout le corps de leur conjoint, avec douceur, comme s'il craignait de casser quelque chose. Et, selon leurs mains avançaient, plus il s'approchait, jusqu'à rester avec elle, en entrelaçant ses corps, de sorte qu'aux caresses on ait uni ce qui est naturel dans le lit des conjoints.

Jusqu'à ce que, temps ensuite, Asdrubal soit tombé épuisé à côté de Jenifael, fatigué par l'effort
. - Vous êtes belle. - Il a dit avec effort. - Et jamais vous pensiez que je vous rejette ou que vous me déplaisez.
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Jenifael..luna
    [FR]

    Sur sa taille, la main s'accroche, pour attirer fermement le corps plus jeune. Ils se trouvent découvert et la fermeté, laisse place à la douceur, sur la fragilité corporelle de la jeune femme, qui se trouve surprise, presque ivre, à frémir, à réagir aux mouvements d'Olite, d'Olite, d'Haro, d'Avilà. Chaque mouvement du comte est suivi de réactions positives, de la double dame. Uni, l'un avec l'autre, ils se fatiguent, plus qu'ils ne le sont, se découvrant presque.

    Une fois la décision consommée, plus fatiguée, qu'elle ne l'était déjà, après ses mains, hésitantes est essayer de découvrir Haro, elle entend des paroles, en français, alors que ses yeux sont rivés quelques instants, vers le plafond. Elle est belle, elle est belle et cela lui monte aux joues, elles se teintent doucement d'une rougeur pâle, les paroles suivantes réchauffent quant à elle son cœur glacial. Non pas d'amour, mais d'assurance, de satisfaction. Ainsi, Axel avait raison, elle avait raison et encore raison, en affirmant que sa mère était une belle jeune femme, qui plairait surement et elle avait eu raison en affirmant que s'unir, pouvait s'avérer plaisant. La lèvre Castelnaudienne se trouva mordu, toujours habillée de sa chainse, elle se redressa, s'assit sur le lit, la position lui permettant de reprendre une respiration et de cesser ses rougeurs. Elle observe le corps, présent à côté d'elle, puis se tourna pour lui faire face, à genoux à ses côtés. Les boucles de la Lyonnaise étaient bien moins en ordre et lui donnaient l'air d'un lion, auréolé de noir. La chainse fine, elle était en désordre, tombante sur l'épaule d'un côté, alors que l'autre était bien mit.


    "- Axel avait raison. "

    Triomphante, elle semblait triomphante. Elle changea d'attitude pour ajouter à l'adresse d'Asdrubal.

    "- Merci ... Enfin ... "

    Elle décida, à son tour quelque chose. De prendre une décision et déposa un baiser, léger, sur les lèvres Barca, non pas pour s'imposer, mais pour lui exprimer sa gratitude et lui faire comprendre qu'il avait avancé avec son irascible épouse. Elle se rallongea, et tira le drap, ne s'en couvrit pas, ou qu'à moitié, elle avait chaud, elle été fatiguée et soudainement, son corps s'en souvient et les yeux décidèrent de se fermer un peu, alors qu'elle avait glissé une main sur Barca, une main, simplement pour conserver un peu de contact avec celui-ci.

    [ES]

    Sobre su talla, la mano se agarra, para atraer firmemente el cuerpo más joven. Se encuentran descubierto y la firmeza, deja sitio(plaza) a la dulzura, sobre la fragilidad corporal de la joven mujer, que se encuentra sorprendida, casi ebria, al estremecerse, al reaccionar a los movimientos de Olite, de Olite, de Justícia, de Avilà. Cada movimiento del conde es seguido por reacciones positivas, por la doble dama. Unido, uno con otro, se cansan, más que son él(ello), casi descubriéndose.

    Una vez la decisión consumida, más cansada, que ya era ella, después de sus manos, vacilantes es tratar de descubrir Justícia, oye(entiende) palabras(voces), en francés, mientras que sus ojos son remachados algunos instantes, hacia el techo. Es bella, es bella y esto le monta a las mejillas, se tiñen despacio de un color rojo pálido, las palabras(voces) siguientes recalientan en cuanto a ella su corazón glacial. No de amor, pero de seguridad(seguro), de satisfacción. Así, Axel tenía razón, tenía razón y todavía razón, afirmando que su madre era una bella joven mujer, le gustaría a quien surement y había tenido razón afirmando que unirse, podía revelarse agradablemente. El labio Castelnaudienne se encontró chiflado, siempre vestida de su chainse, se incorporó(se enderezó), se sentó en la cama, la posición al que permitía él repetir una respiración y acabar sus colores rojos. Observa el cuerpo, presente al lado de ella, luego se volvió para hacerle frente, de rodillas a su lado. Los rizos del Lionés les eran mucho menos ordenados y le daban el aire de un león, aureolado por negro. El chainse fino, era en desorden, caída sobre el hombro de un lado, mientras que la otra era bien puso.

    " - Axel tenía razón. "

    Triunfante, parecía triunfante. Cambió de actitud para aumentar a la dirección de Asdrubal.

    " - gracias... Por fin... "

    Decidió, a su vuelta algo. De tomar una decisión y depositó(dejó) un beso, ligero, sobre el labio Barca, no para imponerse, pero para exprimirle(expresarle) su gratitud y darle a entender que había avanzado con sonido irascible cásate. Se alargó, y tiró(sacó) la sábana, no se lo cubrió, o que a la mitad, tenía calor, ella cansada y repentinamente, su cuerpo se acuerda de eso y los ojos decidieron cerrarse un poco, mientras que había resbalado(deslizado) una mano sobre Barca, una mano, simplemente para conservar un poco de contacto con éste.
Asdrubal1
[ES]

Asdrubal escuchó las dos frases que pronunció Jenifael, al final, los dos habían entendido al otro y ello pese a las diversas barreras que les separaban, el desconocimiento que tenían el uno del otro, su manera de ser y reaccionar, sumado al idioma, obstáculos que en aquella ocasión habían sido derribados no sin dificultad.

El castellano mantenía la vista fija en la figura de su esposa, quien se volvió hacia él para depositar sobre sus labios un beso y que a continuación se echó sobre la cama en tanto ponía una de sus manos sobre el propio Asdrubal, quien, juntando una de sus manos a la de ella y con los ojos entrecerrados dijo en castellano;


-Buenas noches Jenifael.

Su voz pronto se apagó, y el cuerpo pronto recibió lo que el último esfuerzo y un día entero de viaje llevaban un buen rato exigiendo, un descanso, de manera que la habitación fue invadida por un profundo silencio, tan sólo interrumpido por el sonido de la respiración de ambos.

[FR]

Asdrubal a écouté les deux phrases qu'a prononcées Jenifael, à la fin, les deux cela avaient compris a l'autre et malgré les diverses barrières que leur séparaient, l'ignorance qui avaient l'un de l'autre, sa manière d'être et de réagir, ajouté à la langue, obstacles qui à cette occasion avaient été démoli non sans difficulté.

Le castillan maintenait la vue fixe dans la figure de son épouse, cela qui s'est retourné envers lui pour déposer sur ses lèvres un baiser et qui s'est allongé ensuite sur le lit dans tant mettait une de ses mains sur l'Asdrubal même, celui qui, en unissant une de ses mains à celle d'elle et avec les yeux presque fermés a dit en castillan;


- Bonne nuit Jenifael.

Sa voix a été éteinte tôt, et le corps rapide a reçu ce que le dernier effort et un jour complet de voyage portaient un bon instant en exigeant, un repos, de sorte que la chambre ait été envahie par un silence, seulement interrompu par le son de la profond respiration de tous les deux.
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