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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Selene2rr
La Comtessse rouquine ne laisse même pas le temps à la situation de se mettre en place...Pouvaient bien les railler en sous-entendant qu'ils sont des crèves faims à venir ici, eux-même ont le ventre qui gargouille à en tout précipiter..A trop vouloir la perfection on n'arrive à rien..Sélène hausse les épaules, nafoute, Nébisa a négocié et imposé ses souhaits et elle en avait fait de même..La rouquine pourra trépigner tant qu'elle veut sa trouffionne la touchera pas, si fouille ils veulent ce sera Nébisa ou nada ! C'est ainsi que Sélène enchaîne ses pas à ceux de la Comtesse de Ségur, elles se connaissent et savent ce qu'est le mot parole et confiance..

Tandis que la Comtesse du Limousin s'occupe de la fouille en personne du géniteur, ce qui n'échappe pas au regard métallique de Sélène, quand tout à coup une masse musculaire se plante devant elle..Il lui faut faire un pas en arrière afin de pouvoir lever le visage vers celui impavide de son Ange gardien qui refuse catégoriquement d'avoir d'autres mains que les siennes parcourant son corps..Elle plisse le nez, sourire en coin éclairant son visage, elle le sait imprévisible, soupe au lait et tout mais même après tout ce temps, il continue de la surprendre...

Un regard à Nébisa, l'air de dire, désolée mais euh y'a que moi qui ai des droits sur son corps apparemment..Puis les mains fines se glissent dans les plis et replis susceptibles de cacher une arme quelconque..Elle hausse un sourcil de surprise au passage de l'entrejambe, descend difficilement ses mains le long des jambes au vu de l'état de son ventre puis se redresse en soufflant sur la mèche rebelle revenue lui taquiner le nez..

Pas le temps de dire qu'aucunes armes ne fut trouvées que la trouffionne s'adresse à elle et à sa fille adoptive sur un ton qui ne lui plaît guère..Voilà...Négociations qui se terminent positivement et faut toujours qu'il y en ai un ou une qui fasse du zèle...Coup d'oeil sur les siens qui attendent que cela de se faire tripoter par de la donzelle...Haussement de sourcil et regard azur glacial posé sur la Connétable..


Va peut-être falloir apprendre ce que c'est de donner une parole sur l'honneur Connétable. Pas ma faute si vous n'arrivez pas à faire votre fouille dans un calme total, on n'est pas des brebis ni des chiens. Les négociations sont faites, les armes déposées, on accepte l'offense de la non confiance ainsi que la mise en cause de ma parole sur l'honneur mais je vous en prie , arrêter de geindre parce que quelques uns ou unes sont dissipés.

Sélène soupire exaspérée, veulent pas qu'on se mette à genoux aussi pendant qu'on y est ? un tantinet agacée, elle revient auprès de la Comtesse de Ségur, son Ange gardien tout près d'elle...
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Sindanarie
Le bras de Kashrok l'avait retenue par la taille, à raison semblait-il. Cependant, sur le coup, Sindanarie avait eu le plus grand mal à le reconnaitre et à l'admettre. Elle avait vu son amie la plus proche chanceler dans une troupe qui ne lui disait rien, mais voir le visage de celui qui l'avait bousculée la rassura. Elle l'avait croisé, et le savait respectable. Peu à peu, ses doigts, jusqu'alors crispés sur la manche du malheureux uniforme du lieutenant, se détendirent, et elle alla jusqu'à esquisser un sourire.

Vous avez sans doute raison...

Néanmoins, elle jetait de fréquents regards aux autres militaires de la salle. L'atmosphère se détendait petit à petit ; l'enfant qui était tout à l'heure aux côtés de la princesse Armoria faisait des siennes et tentait de semer celles qui devaient vouloir s'occuper de lui en attendant la résolution du problème ; les conversations reprenaient, avec entrain semblait-il, pendant que les invités surprise étaient conduits à part, pour certains, pour une fouille, et que les autres se joignaient, après avoir abandonné leurs armes, à la foule. Il lui sembla apercevoir le Vicomte Dragonet, ce qui n'était pas étonnant en soi, et son regard se fixa de nouveau sur Zakuro, qui était à présent en compagnie de Leanice. Sindanarie sentait son agitaton décroitre, et se tourna, tout en se dégageant (car Aristote seul sait ce que pensent les gens !) de la barrière de son bras, vers le lieutenant, à qui elle adressa un sourire.

Oui, décidément, vous aviez raison. Et je préfère voir la situation évoluer ainsi, fit-elle avec un sourire.

Elle baissa les yeux, et étouffa un léger éclat de rire en voyant combien elle avait froissé la pauvre manche de l'uniforme de Kashrok.


Excusez-moi, Messire, reprit-elle avec un grand sourire, je ne voulais pas la mettre dans un tel état...

A ces mots, elle se saisit d'autorité du bras du malheureux homme, et tenta de lisser l'étoffe malmenée.
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Shiska
Petit sourire en direction de la femme qui le montrait du doigt. Il avait pratiqué assez longtemps les facéties de la cours sous la cours pour avoir une vague idée du genre de troublions qui pouvaient exister dans le royaume. Apparemment les autres membres ne semblaient pas très concernés par ce pré requis qu'était la fouille au corps mais celle ci semblait même vouloir s'y atteler avec un certain plaisir au fond du regard. Il s'avança vers la jeune femme tandis que les gardes ramassaient les armes déjà disposés.

Croyez bien que si je vous fais tomber ce ne sera pas que pour les armes. Je préfère vous les subtiliser que cela reste dans le cadre de ma fonction...
Quand à ceux qui ne voudraient s'y soumettre, je ne vous raccompagne pas j'ai à faire mais je suppose que vous saurez retrouver par ou vous êtes entrés...


Le ton ironique employé de trahissait aucunement ses intentions néanmoins. Les ordres étaient aussi simples qu'anodins. On dépose les armes, on se laisse fouiller et on peut passer une bonne soirée. Il passa ses mains sur les épaules de la jeune femme, descendant le long de ses bras jusqu'à ses bottes en les tâtant pour vérifier qu'elles ne contenaient rien. Puis remonte sur l'arrière des cuisses, ses doigts de tisserand parcourant le tissu à la recherche de la moindre aspérité douteuse. Tout fut passer au peigne fin: sous la ceinture, la ceinture, le tour de ventre, le buste...ses doigts frollant les formes sans jamais les appuyer. Il haussa un sourcil en regardant la femme dans les yeux.

Hmm...il me semble que vous ayez oublié de me donner quelque chose n'est ce pas? J'ai dis toutes les armes mademoiselle...
Finitou
Corenthine regarda la "meneuse" dans les yeux. Son regard azur scruta le sien.

Va peut-être falloir apprendre ce que c'est de donner une parole sur l'honneur Connétable. Pas ma faute si vous n'arrivez pas à faire votre fouille dans un calme total, on n'est pas des brebis ni des chiens. Les négociations sont faites, les armes déposées, on accepte l'offense de la non confiance ainsi que la mise en cause de ma parole sur l'honneur mais je vous en prie , arrêter de geindre parce que quelques uns ou unes sont dissipés.


Excusez moi donc Dame mais dans un premier temps j'ignorais que la Comtesse Nebisa vous connaissez tellement bien, qu'elle gageait sur son honneur de votre parole. Maintenant je la fais mander sur le champs si vous le souhaitez et elle prendra sur sa propre responsabilités de vous faire rentrer, engageant sa parole.
Je la fait appeler?

Je ne vous ai à aucun moment manquer de respect, ce que vos "gens " au contraire ne se sont pas gênés de faire.

Puis je ne suis qu'une exécutante...Et j'ai bien peur de vous dire que je fais mon travail à merveille.
Si vous êtes exaspérée...sachez que comme je ne suis pas "hors la loi" et on remets rarement ma parole en doute et ensuite pensez bien que j'organise cet évènement depuis des semaines voir des mois, et que je ne jubile pas de joie de voir quelques soucis pointer le bout de leur nez.
Croyez moi si je vous dit que plus vite vous coopérez, plus vite nous pourrons tous en finir avec ses formalités. Si je sais qu'il n'y a point danger pour le Roy ou sa cour, je vous laisserais aller ou bon vous semblera.

Maintenant comme je vous l'ai dit, si la Comtesse Nebisa en personne me dit de vous laisser rentrer, je laisserais faire.

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Ayerin
La gamine fit tomber l'masque d'la grise mine à l'approche d'la belle galante à la bouche impolie...

Quand à vos sauts d'humeur... Je ne suis pas votre servante soit dit en passant.

Elle lui offrit même son air l'plus aimable qui soit, l'œil plus pétillant, les lèvres couleur carmin a force de se les mordre car ce que ne savait pas la donzelle la concernant, c'est qu'la gamine adorait les femmes de caractère, à la gouaille légère et ses mots qui auraient dû la blesser si elle avait été tout autre, lui offrit tonne de plaisir au point qu'son échine fut parcourue d'moults picotements électriques !

Par contre, j'ne suis que peu pudique a mes heures, donc mon anatomie n'aura point honte face à vous … par contre, belle dame, j'suis parfois fourbe donc vous devriez peut-être revoir vot'jug'ment quant à une fouille sans profondeur … mais c'est à vous d'voir hein, et d'me faire confiance et d'accepter que j'ne sois armée que de ces deux seules armes ..

Soulève cette fichue robe qui la malmène et montre ses guiboles. Jambe tendue, l'une après l'autre face à elle et pour elle, afin qu'elle ôte de ses bottes chacune de ses dagues dissimulées sur leur coté.

Si la fouille est fin terminée, dites le moi que j'aille grailler un brin, hein !
Et si b'soin d'plus, sachez que j'reste à votre entière disposition.


Reste là, stoïque, un brin amusé par cette situation, malgré la colère d'sa mom's et s'dit que si on lui avait évité d'entrer à la Rose, ce fameux jour afin d'faire causette, ben au moins cette fouille l'aura mise en joie … souhaite quand même qu'la galante doute de sa bonne foi, et que plus grande sera sa quête de recherche d'armes qui pourraient être dissimulées en terrain moins couvert !
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Catherine de la Beaume-Cornillanne dicte Ayerin
Kiyana
Kyana reste sur place ne sachant trop quoi faire, elle se redresse et regarde son père, elle lui sourit, un sourire forcé, elle regarde l'entrée des intrusions, décidément, des personnes sont prêtes à n'importe quoi pour se donner en spectacle.

Elle suit son père de prêt ne voulant pas le lâcher, et surtout ne connaissant aucune autre personne, elle en reconnaît, de part les descriptions de ses parents mais ne les connaît pas pour se présenter, cela serait d'une impolitesse que sa mère ne pourrait tolérer.

Elle regarde tout autour, un sentiment lui échappe mais elle ne sait lequel, elle reste droite et souriante, pas froide comme avant, elle suit son père....

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Armoria
Armoria sourit à la Comtesse qui venait de les rejoindre.

Nous devisions de choses et d'autres, Comtesse, heureuse chose que de vous voir vous joindre à nous, en vérité.

Elle se pencha de nouveau, prenant soin d'englober ses deux interlocuteurs dans le murmure.

Comme je le disais au Comte, je connais de nom l'une de ces personnes, et elle a été mêlée à l'attaque d'un homme d'Eglise, dans le sud, où il fut laissé pour mort. Outre que je ne saurais laisser le petit-fils du Roy dans la même pièce que ces gens, je pense devoir vous abandonner s'ils entrent icelieu : sinon, autant aller dire moi-même à l'Eglise que je fais peu de cas de cette attaque, vous l'intuitez.

Le visage était toujours souriant, mais le regard s'était fait grave.

Je ne souhaite nullement vous faire un affront, mais ma foi m'interdit de sembler cautionner ces actes par ma présence. Comprenez-vous ma position ?
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[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
Zya62
Et tout le petit groupe se mit en marche vers le lieu de destination principal, bien avant le chemin sinueux emprunté par le petit monstre pour la faire tourner bourrique. Elle n'avait pas l'habitude d'être gentille. Elle ne savait pas bien être "gentille". Elle avait essayé. Il n'avait pas voulu en profiter, tout jeune qu'il était. Il avait donc récolté quelques mots bien à elle. D'ailleurs, un petit commentaire la fit sourire.

T'es messante !

S'il savait qu'il rejoignait à l'instant ce que les apprenties de l'Ordre pouvaient penser d'elle quand elle les réprimandait vertement, il pourrait être fier de lui, le petit. L'Ange aurait-il mal choisi son surnom? Ou la couleur n'est-elle simplement pas appropriée?
Excédée, même si elle se contient, elle arrive près de sa cousine, peu connue et ramène le petit devant elle, lui lancant un regard qui signifiait bien qu'en plus du courroux maternel, il subirait celui de l'Ange s'il faisait un pas de travers. Elle fait office de garde du corps, pas de nounou.

Sourire qu'elle adresse au groupe de femmes... et d'une petite fille... Manquait plus que ça... une copine de jeu qui va l'aider à n'en faire qu'à sa tête? Pis quoi encore? Bon, on verra bien. En tout cas, elle ne court plus après. Pas envie de perdre les eaux sur les chausses d'un Roy parce que son petit fils ne sait pas se tenir.

Regard qui revient sur les Dames, alors qu'Alie la présente... Arf... pas une qu'elle ne connait... bien ce qu'elle pensait plus tôt... ne connaissait personne, la Flamande, hormis la famille et quelques absents... Très pratique lors de telles soirées. Enfin, sourire qui se maintient, même si l'enervement précédent doit encore se sentir.


Le bonsoir, Mesdames. Enchantée de faire votre connaissance. Lunedor, ravie de faire plus ample connaissance avec toi...

Et de jeter un oeil sur le bambin, histoire de voir s'il continue de faire son numéro de charme à la petite rousse, ou s'il fomente quelque idiotie pour la faire sortir définitivement de ses gonds.

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Eikorc
La comtesse avait réagit au quart de tour à l’invitation amusée qu’il avait lancé… Les armes sont récupérées, ce n’est pas la première fois pour le colosse qu’il passe par cette case… Les mains de la rouquine passent rapidement et professionnellement sur lui pour vérifier si d’autres lames ne sont pas dissimulées… Lui reste stoïque, bras tendu, un simple sourcil levé… La porte est désignée d’un coup de tête, mais il ne bougera pas sans les autres…

Le regard dévie de celui d’Ewaele qui s’enfuit pour se diriger vers Sélène qui met un temps fou à les rejoindre, comme collée à l’autre femme enceinte… Est-ce que les marmots font se rapprocher les femmes ? Tiens, question qu’il devrait poser à la Caïte un de ces jours…

Pas le temps de l’observer autant qu’il le veut, juste le temps de se dire que la robe pourpre la met encore plus en valeur que déjà l’evan’s la substitue à son regard pour lui demander une fouille… Le nez se plisse alors que le sang s’échauffe… Les souvenirs qu’il essayait d’oublier remontent à la surface et l’azur se fait plus métallique alors qu’il esquisse un sourire qu’il tente le moins crispé possible… Déjà dans son esprit il se rappelle la promesse qu’il s’était fait, et un haussement d’épaule repousse l’envie qui vient faire bouillonner ses veines… Ça sera pour plus tard…

Et v’la que les autres demandent à untel ou untel de venir les fouiller… Linon qui se rapproche de lui pour se protéger des soldats… Il connait pas son histoire, mais les mots qu’elle prononce suffisent à ce qu’il note dans son esprit de laisser personne la toucher ou l'approcher…

Les fouilles continuent avec plus ou moins d’entrain… L’œil ne peut se détourner lorsqu’il aperçoit les fines mains d’une lune sur le corps d’un Ange… Le colosse sert les mâchoires pour tenir la promesse qu’il a fait à sa sœur… Tiens sa sœur, très bon moyen de penser à autre chose… Sur le coup il aimerait bien l’avoir à ses côtés… Un jour il devrait lui proposer d’aller faire un tour chez les nobles avec lui… Pour sûr que ça serait amusant…

La montagne de muscle laisse échapper un grognement inaudible alors qu’il pose légèrement sa main dans le creux des reins de Linon pour la pousser et la faire avancer doucement avec lui en lui glissant tout bas
« T’en fais pas… Personne ne te touchera avec moi à tes côtés… Vient on bouge… »

Pas la peine de rester plus longtemps dans la pièce, Eikorc a été fouillé et celle des autres est en cours… Quelques pas lui suffisent pour se rapprocher de Sélène et Evan’s… Le regard glisse de l’un à l’autre et le nez se plisse juste au moment où il croise le regard de la Caïte… Les hormones mâles étant ce qu’elles sont, il ne peut réprimer une poussée légère de l’épaule pour heurter plus ou moins brusquement celle de l’Ange, s’faisant la place pour pouvoir sortir de la pièce, la petite brune devant lui, prenant la parole d’un ton plus bas qu’habituellement…

« Allez on s’bouge… Mal garde tes dents, tu vas en avoir besoin pour papoter… Et manger aussi, mais ça c’est sans doute pas le plus important… Donnez une image différente de votre groupe, on verra si on arrive à se fondre parmis les nobles… »

Sourire en coin envoyé à tous alors qu’il s’arrête de l’autre côté, jetant un coup d’œil à Sélène pour l’inviter à le rejoindre pour qu’ils entrent avant que les fouilles ne prennent trop de temps et dégénèrent…
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Membre du fan-club "boisé forever"
--Mara
Mouais, elle a l'air trop grande pour jouer à la poupée, la demoiselle... bon... on va quand même faire une révérence, dans le doute, comme Maman l'a appris, ca fait rire les grands, pi moi j'aime bien faire rire les grands, après ils donnent des gateaux ou ils me trouvent jolie, tout ça...

Ben loupé, ça fait rire que la copine de Maman...

La petite tire sur la robe maternelle, mais n'a pas encore les mots pour s'exprimer... alors elle se contente d'un

- Ma-maaan!

Pfff, j'm'ennuie... Pi j'ai faim... pi ...

Ha mais...

La jeune rouquine a repéré à nouveau dans la foule le potentiel camarade de jeu qu'elle avait remarqué plus tôt et qui lui adresse un sourire des plus angeôleur...

P'têt qu'il veut jouer aussi! Oula! Chouette ça! faut pas laisser passe une occasion pareille... Pi il vient par ici avec une dame!

Un regard vers sa mère... occupée à papoter... le petit ange se fait démon, elle sait qu'elle ne peut pas s'éloigner, mais tant pis, advienne que pourra, fût-ce une fessée...Et tout naturellement, l'enfant profite du fait que sa mère lui a momentanément lâché la main pour se rapprocher du jeune garçon en lui rendant son sourire... puis exécute à nouveau devant lui une révérence approximative.

Ca fait rire les grands, mais p'têt que lui aussi, il va rire...
*amalinea*
Tripotti, tripotta, v’là la souris qui s’lèche les doigts ! Une tartine de frometon pour moi, un canap’ pour le Roy ( le premier qui me soule avec le respect historicomachintruc se prend la tartine dans l’pif et va s’bouffer le maïs anachronique ! et toc !), une pintade farcie aux noix, un poulet à l’estragon, une truite en feuille de romarin, un chevreuil à la broche, pains au miel, olive et noisette, vins aux herbes, aux fruits, soupes et entremets…Depuis le matin la souris trime et se remplis l’estomac et les poches !

Rarement chef marmiton n’aura vu commis plus dociles, plus enjouées, plus motivées. Elle va, vient, court, sifflote, chantonne. Rapide, discrète, aimable, efficace. Les joues rebondies de morceaux chipé ici et là, les mains dans toutes les pates, sauces, daube et ragoût.

Personne ne sait trop d’où elle sort, mais personne ne pose de question. Trop efficace la p’tite. Quand on lui demande son nom, elle répond au hasard, Néa ou La Souris. Ca fait sourire justement ! Son p’tit nez amuse, son entrain et son plaisir évident à la cuisine charme presque autant que son tour de main.

Les poissons sont reconstitués, écailles de radis et mer de batavia, les cochonnets en gelée jettent des regards de mures et sourient de leurs dents de navet frais en imitation presque parfaite. Ca embaume et l’entrain de la souris est communicatif. Depuis le matin, les cuisines chantonnent de leurs marmites à leurs marmitons. Ce soir le Roy sera là !!!!

De plats en tables élevées, de corbeilles de fruit en brassées de feuilles automnales déposées, le soir est arrivé. Le lieu s’est empli de belles et beaux. La fête doucement, gentiment s’installe.

De marmiton, la souris est devenue serveuse. Tenue de circonstance, petit tablier passé sur robe de soubrette, cheveu sagement ramené sur la nuque, elle déambule dans la foule, plateau en main, déposant verre et amuse bouche à chaque convive. Le sourire est de plus en plus éclatant. L’honneur pour une simple femme d’être parmi les élus est palpable mais à aucun instant elle n’oublie le rang qui est le sien. Son regard, jamais ne s’attarde sur les convives, la politesse est respectée à la règle. Parfaite, La Souris est parfaite en son rôle de serveuse royale quand…

Quand un brouhaha semble parvenir d’une petite pièce sur le coté de la salle d’honneur. Le sourire déjà présent sur la trogne de La Souris s’élargit imperceptiblement. Dans sa tête les douze coups de minuit viennent de retentir. La princesse s’en va se transformer en citrouille ! L’heure c’est l’heure, il ne saurait être question d’être en retard au risque de fâcher Dame Fée. Et une Fée fâchée entraine 7 ans de pustules, c’est bien connu.

Néa se précipite vers les cuisines, emplis son plateau de victuailles, plus précisément de canapé aux fromages. Son nez choisit pour elle : Bleu de Bresse, maroilles, cancoillottes, munster. D’un pas rapide, elle rejoint la pièce ou sont retenu les « empêcheurs de banqueter en rond ». Tour d’horizon rapide, la scène se fige : Libertad en fouille en règle, connétable et gouverneur de limoges en mains exploratrices.

Dire que La Souris sent des picotements dans le creux de ses omoplates à la vision de mains qui se posent sur ses amis serait euphémisme. Oui, elle frissonne ! De plaisir, de rire ! De les voir ainsi attifé, tous plus beaux les uns que les autres ! Aussi discret qu’un cochon dans un défilé de chien de luxe ! Aussi emprunté qu’une riche héritière le soir du bal des communiantes !

Dos à elle, les représentants de l’ordre, de la loi, de la volonté royale officie ! Néa hésite quant à savoir ce qui est le plus drôle. Vois les libertadiens attifés de robes et autres tenues d’apparat ou admirer ses dignes représentant de la bien pensance à l’œuvre. C’est vrais qu’ils sont inquiétants les libertadiens, armés jusqu’aux dents de leurs atours !!! À en faire frémir une centenaire dans son fauteuil de sénile !

L’air de rien, Néa poursuit son chemin, droit vers le Gouverneur de cette bonne ville de limoges ou elle a vécut quelque temps. D’un geste délicat et timide, elle pose sa main sur l’épaule de Shiska et l’interpelle :


Messire, le Roy, m’a mandé pour porter quelque amuses bouches au plus courageux de ses représentant de l’ordre et de sa voix

sourire innocent et clin d’œil aux tripotés, Néa lève son plateau et abat doucement ses toast fromageux sur le crane du gouverneur. Oh, elle y va doucement, La Souris, pas de quoi assommer une mouche, mais elle s’étale afin de bien faire pénétrer son masque fromagesque dans les pores du crane Shiskaïen

Bon appétit Messire, avec les compliments du Roy !
Diabolikbarbiturik
Elle regarde Shiska s’approcher et soutiens son regard.

Croyez bien que si je vous fais tomber ce ne sera pas que pour les armes. . Je préfère vous les subtiliser que cela reste dans le cadre de ma fonction...

Petit sourire à cette réflexion, elle laissa l’homme parcourir son corps avec ses main, soutenant toujours son regard à la recherche de la moindre lueur de satisfaction.
Serait ce elle, qui finalement éprouverait ce sentiment ? Les mains d’un homme la parcourant, pour elle cela faisait bien longtemps. Elle se ressaisie, le moment n’était pas à la coquinerie, et même loin de là.


Soudain changement de regard de celui-ci,

Hmm...il me semble que vous ayez oublié de me donner quelque chose n'est ce pas? J'ai dis toutes les armes mademoiselle...

A cet instant, elle comprend qu’elle ne pourrait garder la dague bien dissimulée, trop près de l’entre cuisse, et là où aucun homme d’honneur n’oserait allez chercher en public. Elle se penche pour relever ses jupons lorsque soudain elle voit s’écraser a terre quelques amuse gueule. Elle relève les yeux, et écarquille de grand yeux et se retiens de rire.
N’ayant pas vu l’auteur de cet acte, elle regarde le gouverneur surprise.

Une diversion bienvenue au moment où elle allait récupérer, l’outil bien caché.

Un coup de main Monsieur le Gouverneur ?
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Valeriane
Valériane avait vu le sourire d’Alcyone.. des gens comme ça, elle en avait fréquenté.. elle regarda Mara qui commençait à trouver le temps long et aurait préféré aller jouer avec d’autres enfants.. Mara.. sa naissance.. Val se souvint de ce jour funeste , le jour de l’accouchement d’Alcyone.. elle était arrivée assez tard.. elle revoyait le visage de Nebisa disant qu’elle n’avait rien pu faire.. et puis le domaine qui prit feu.. la disparition d’Alcyone.. pendant si longtemps. Elle lui avait manqué .. et lorsqu’elle revint.. les deux femmes ne parlèrent pas trop du passé. Val ne voulait pas savoir .. elle adorait sa marraine , avait confiance en elle, et si elle avait fait des choses illégales , c’est qu’elle avait des raisons..
Alcyone lui prit le bras et l’emmena voir Lunedor
.

Bonsoir Lunedor. Enchantée !
Val sourit en s’approchant de la petite Malemort… Après Nebisa et Aliénaure.. voici Lunedor.. aura-t-elle , elle aussi un tempérament bien trempé ?
Val regarda sa marraine.. Alcy n’était pas en reste non plus.. elle avait aussi un sacré caractère ! mais Val appréciait son franc parler, comme Nebisa, elle ne pratiquait pas la langue de bois

La petite Mara fit une révérence, et cela fit rire Val.. eh bien, elle n'est pas en retard celle-là !


Puis les yeux de Val allèrent de Mara à Lunedor.. puis regarda dans la foule les femmes qui étaient accompagnées d' enfants, et les femmes enceintes .... Val se dit qu'elle ne connaitrait peut être jamais cela.
et sa gorge se noua..

Elle se perdit dans ses pensées puis dit à Alcyone qui avait lâché la main de sa fille :


N’y a-t-il pas un endroit pour que les enfants puissent jouer en toute sécurité ?
Puis une femme s'approcha.. un jeune garçon avec elle..

Sourire de politesse

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Dragonet


La fouille semblait s'achever,Il distingua Kiyana, lui fit un salut amical et accueillant, puis alla voir la prevot. Aprés tout il était sous sa surveillance. Il se demanda si elle en avais été informé.. Sans doute que non, les services royaux avaient souvent tendance à décider pour les feudataires sans se soucier de savoir si la coordination se faisait.
Il songea amusé au torchon publié par le secretariat d'etats le matin même signé de la main de la GMF. Il s'etait demandé si c'etait de la propagande où si réellement elle pensait que la champagne était sous contrôle. Plus que jamais les mouvement Anti DR voulant extraire la champagne du DR faisait rage, et des 4 membres la representant au sein du cdr, et non 3 comme elle semblait le penser, une guerre froide et souterraine regnait, trés loin de la cohésion annoncé.

Savoir si Armoria était réellement incompetante mais lucide, incomparablement gentille et naive ou totalement intrigante et manipulatrice etait une des questions qui le préoccupait. De la réponse dependrait sans doute l'avenir du Royaume.

Il ecarta les pensées politiques et alla vers Alcyone, puis bifurqua vers Mara et phillippe levan, à la derniére minute, se penchant prés d'elle


Fichtre, comme tu fais cela bien.. Tes révérance sont encore mieux que celle de maman.

Vers le fils de la princesse

Je vous présente jeune homme, la plus grande artiste du limousin, et sans doute dans le futur une des femmes les plus belle du Limousin.Comme sa maman.

C'est pas vrai ma puce?

Evanglion
Sourire conquis aux mains qui le parcours lentement, les souv'nirs remontent sur une peau qui fremit et le sourcil se soulève...aussi. La fouille est rapide, complète et finalement trop courte. Faudrait qu'il songe à jouer la protection rapprochée plus souvent qu'il s'dit en mattant Selene qui en perd pas une miette.

Ca s'échauffe lent'ment avec les gazelles, zont du caractères les belles, y a pas à dire et chacune y va pas d'son exigeance, plier mais ne pas rompre, une devise qui leur allait si bien...y s'marre alors qu'il se fait heurter par derrière...La babine se soulève, l'oeil tombe sur le fourreau garni d'un soldat affairés à matter les gazières... quelques instants suffisent à d'jà s'imaginer épée en main et tailler le malin qui veut s'la jouer...Sourcil en toit d'chaumière...L'Crock...qui avance la Linon au bras...Inspiration, capte le regard affolé d'Sel... Elle lit encore en lui et il le sait... L'est pas une femme l'Evan's, on pouvait pas s'penser fort en lui claquant l'beignet et pas en subir quelques conscequences... S'dire que l'heure viendra, et qu'il est patient l'Evan's... très patient... et il sautait pas son tour quand l'occasion s'pointait d'vant le tarrin... lui.

Hauss'ment d'épaules désabusé, faudrait qu'il s'y plie, y avait pas moyen autr'ment... Lui s'cachait pas derrière l'excuse des promesses pour avancer et commencerait pas c'soir... A part p't'etre de s'tenir à carreau mais vu l'ambiance cristaline, c'tait pas gagné...

Il remercie d'un sourire la patrone inquiète, lui pique discret'ment les miches avant d'glisser son bras autour d'ses hanches puis lui souffle...


Et maint'nant ? On fait quoi ?
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