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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Valnor


Aubeterre avait perçu toute la scène à distance sans trop pouvoir intervenir. Il avait à sa dispostion qu'un nombre limité de Gardes Royaux et ne pouvait dégarnir la protection de la Table Royale en intervenant directement avec ses hommes, il aurait du dégarnir son dispositif, et compromettre la sécurité du Roy. Malgré tout, lorsqu'il vit la Comtesse Nebisa s'en aller à grands pas vers les extérieurs, il fit signe à ses hommes de rester sur place et la suivit. Il la connaissait depuis fort longtemps, et l'altercation qui venait de se passer semblait l'avoir terriblement secouée.

Sorti dans les jardins, il la vit se diriger vers les bosquets et prit le parti de la rejoindre pour s'assurer que tout allait bien. arrivé à sa hauteur, il entendit sa respiration saccadée et ne put s'empêcher de lui dire doucement.


- Avez-vous besoin d'aide ?

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Zya62
Un soupir alors que le petit s'échappe de nouveau... Pourtant, il était calmé... Mais bon, il est vrai que de voir un Sieur se pencher sur soi par surprise et nous parler aussi soudainement, passant entre les femmes l'entourant sans se faire annoncer - et à qui il n'a pas présenté ses hommages, au passage, les ignorant superbement, preuve d'un savoir-vivre des plus complets - ni une ni deux, le petit Philippe a dû bien faire la différence entre la peur de l'ogresse et la peur de l'ogre... Bien plus imposant, un ogre...

Le suit du regard, petit signe discret échangé entre les deux femmes quand la mère voit son fils arriver. Geste compréhensif.
Puis, le regard capte ce qu'il se passe derrière, dans l'arrière salle dont les portes communiquantes laissent entrevoir un beau spectacle. Pression qui retombe. Elle rierait presque de la bévue subie par Shiska si la tension qui semblait s'être emparé de lui n'était aussi visible. Mais bon, une lueur amusée passe tout de même dans le regard. Et la farce rappelle sensiblement certaines tartes façon flamande lancées lors de certaines fêtes. Une autre vision de la vie, certainement.

Cependant, l'Ange n'oublie pas le pourquoi de ce "cloisonnement".
Et malheureusement, l'agitation se fait dans ladite chambre d'attente. Mauvais... Enfin... mauvais présage, surtout. Sentant que la situation risque d'être mise à mal, et alors qu'elle se fait traîner par Aliénaure vers le buffet, la Dame reprend le dessus. Coup d'oeil à ses Soeurs... Faire savoir qu'elle s'y rend, simplement. Non pas qu'elle craint une échauffourée, pensant les deux "camps" assez à même de coexister quelques temps sans heurs. Mais prudence est mère de sûreté, parait-il. Et puis bon, ils ne craignent rien, contrairement à elle. Avec son ventre et son accoutrement, ils vont la prendre pour une jeune noble comme une autre... sauf une, qui la reconnaîtra... mais bon, comme dit avant, rien à craindre de sa part, plus elle qui se méfie d'un coup mal placé.
Et du coup, sa décision arrêtée, elle stoppe la cousine au vol.
D'un sourire espiègle, elle lui défait la main l'emprisonnant et la tend au Baron.


Messire? Je vous confie mes cousines... Puissiez vous réussir à enfin leur faire atteindre le buffet. Ces Dames meurent de soif... Je vous rejoindrai plus avant dans la soirée.

Petit salut de la tête, et la Belle rassemble ses jupons de la main gauche et se rend d'un pas peu pressé vers la salle convoitée. Au loin, un "assez" nebisien résonne. Grimace. Mauvais augure pour ceux qui sucitent la colère de la Chieuse...

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Kashrok
Effectivement la tension diminua. Il était bien temps car un banquet comme celui la était fait pour être plaisant et non le contraire. Le lieutenant fut réelement surprit lorsqu'il vit la connétable sortir une dague de sous ça robe. Il est vrai que personne n'irait voir s'il y a une arme ici mais de nos jours il faut croire que toutes les femmes soient armée. Bien que militaire, en soirée elles arraivaient a mettre de petites lames où elle pouvait. A croire, que les hommes, qui ont des armes souvent voyantes, et moins magnables que les petites épées, ne savent plus défendre correctement leur femme. Voilà que c'est elles qui font front en premières, qui réagissent au quart de tour, de vraies guerrieres, de pures combattantes. Ne faisons pas une généralité non plus. Mais il fort amusant de se faire la remarque.

Le lieutenant envoya un leger sourire accompagné d'un petit rire à la jeune femme qui était à ses côtés. Sindanarie avait vite réagit comme prête a aller a l'affront de vilins, mais lorsqu'il l'arrêta elle était crispé à sa manche comme si elle avait peur.


Ne vous excusez pas! Il n'ai pas très propre et déjà un peu froissé, ça ne se verra pas.

Il dit cela comme naturel, il retira alors les mains de la sergente qui voulait défroisser son habits.
Kazert
Le capitaine regarde ses hommes, et fait signe non de la tête. Chacun reste a sa place. La garde Royale est là pour la protection de la famille royale, pas pour faire le ménage a l’entrée.
L’etat major et nombre de soldats du Limousin sont présent, a eux d’agir.
Puis avec tout ce beau monde armé dans la salle du banquet, il n’est pas impossible qu’un fou agisse.

Kazert sursaute lorsque sa comtesse s’exprime de façon brutale et énergique. Cela a toujours le même effet. Par contre un effet négatif sur la santé de Nebisa.
De suite il regarde sa fille et lui parle.


- Rejoint la comtesse pour voir comment elle va, et si c’est grave fait appeler Lilynight.

Il regarde vers les tables et aperçoit son altesse Armoria avec Dragonet, autour les gardes de Arianrod.
Il ce dirige vers eux, au moment ou son altesse tourne le dos a Dragonet. Diantre les mots ont du fuser, cela commence fort.

Il relève son regard et s’aperçoit qu’il manque Valnor. Que ce passe t’il ?
Il pose son regard sur Dragonet et sans un sourire
.

- Vicomte, je vous félécite pour votre sortie du Louvres, elle nous a ridiculisé je dois l’admettre. Les gardes ne connaissaient pas les différents passages. Lacunes comblé aujourd’hui.
- Je tiens a vous dire qu’il est facile d’interpréter et de détourner la véritée. La Prévoté de France n’est composé de aucun mouton, a commencer par le Grand Prévot.
- Je peux vous assurez qu’il a aujourd’hui plus de cheveux blanc, a cause de nos questions, et que les débats sont constructifs.
- Maintenant pour ce qui est de la manipulation si il y a …….Dieu seul sera juge
- Si a un moment donné j’avais soupçonner une manipulation quelconque a la Prévoté, je ne serais plus un garde du Roy.

Il reprend son souffle

- Je demande votre parole que vous ne tenterez rien contre la famille royale lors de ce banquet. Cela évitera pas mal de problème a tous.

Kazert attends la réponse, et songe que le moment est bien choisi vu que Kyana n’est plus dans la salle.
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Johane
Ayant entendu la comtesse Nebisa donné les ordres de rassasier les gredins qui avaient tenté de gâcher le banquet, dans ses appartements au castel, Johane, inquiète de devoir rallonger le budget déjà lourd affecté au banquet, se précipita vers les cuisines et donna consigne aux cuisiniers d'aller se servir à la foire en truites et anguilles pour les invités de la comtesse. Le bourgmestre de Guéret avait quelque peu oublié ces poissons depuis quelques jours, et il devait être farcis... Ses consignes données, elle s'en retourna vers la salle du banquet.

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le journal non officiel des RR
http://pressecitron.unblog.fr/tag/accueil/
Sofja
Sofja regardait dans tous les sens tellement que la pièce était peuplée.
De plus l'animation était au rendez vous, même si elle n'était pas prévue ni souhaité.
Des brigands peut etre ou une sorte d'organisation louche était aux portes du buffet.
Les soldats essayaient de régler cette situation le plus discrètement possible afin de ne pas nuire à cette soirée.
Puis ce fut la comtesse de Malemort qui éclata d'énervement.
C'était sa première soirée mais elle était riche en événement, elle comprenait pourquoi ca ramener autant de monde.
Au fond de la pièce, la Dame de Vicq sur Breuilh reconnu le Comte et la Comtesse de Lasteyrie.


Maman, regardes, y a ta cousine et son mari au fond.
Allons les rejoindre.


Au passage, elle aperçut une jeune fille qu'elle avait croisé à Bourganeuf, celle ci s'éclipsait.
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Bradbury
Alors que la Libertad venait de quitter les lieux sans répondre à sa question, elle entendit un tonitruant ASSEZ !, sortit tout droit du coffre Nébisien, présageant une tempête.
Il faut dire que quand la Comtesse de Ségur se mettait en colère, il valait mieux s’écarter de son chemin, voire même opérer un repli stratégique pour éviter tout dommage collatéral (c’est à la mode !).


Que tout le monde regagne la salle de Banquet. J'en ai assez de ce spectacle ridicule. Si vous croyez sortir grandi, tous autant que vous êtes de l'image déplorable que vous donner de nous, vous vous trompez et je vous suggère de descendre plus fréquemment dans certains quartiers populaire de la capitale pour en apprendre d'avantage sur l'humanité.

A ce commentaire, Brad crispa la mâchoire. Mais que croyait elle ? qu’il suffisait de descendre dans les quartiers populaires pour connaître l’humanité ? On en apprenait tout autant sur les chemins.

Acceptez mes excuses pour les offenses que vous estimez avoir reçues et faites moi savoir ou retrouver Sélène.
S’excuser des offenses ? Quelles offenses ? Etait-ce une offense que des personnes réputées être des brigands soient contrôlées et fouillées alors qu’ils s’apprêtent à entrer dans un lieu où était attendu le Roy et sa Cour ?
Ah ça non alors, pas question, aucune excuse.

Offensée ! Elle l’était par les propos de Nebisa et elle s’apprêtait à lui répondre, quand celle-ci décida de partir vers les jardins. Finalement, elle haussa les épaules, à quoi bon.
Du coup, Brad décida de quitter le Banquet, elle aussi, mais au moment de franchir la porte, elle se rappela qu’elle était présente pour une autre raison que le Banquet.

A part les Joutes qu’elle adorait pratiquer pour le plaisir du défi et autres duels, elle avait toujours réussie à éviter soigneusement bon nombre de banquets.
Le fait d’être une diplomate, lui donnait bien des occasions et excuses à brandir et qui pouvait prétendre que ce n’était pas de bonnes raisons ?!

Elle fit donc demi-tour, son collier à moitié caché par le col de sa robe, suivant le même mouvement. Il avait un médaillon de forme oblongue représentant un chiffre romain, symbole de son engagement lointain qui avait perduré à travers le temps.
Elle se dirigea vers la raison de son engagement et se mit en retrait, attentive, présence silencieuse…

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Sindanarie
Alors que le lieutenant retirait ses mains pourtant bien intentionnées de sa manche tout en lui expliquant que ce qu'elle avait fait ne se verrait pas, Sindanarie eut à son tour un petit rire.

Eh bien, soit, Messire, je me rends à vos raisons !

La situation semblait évoluer, des Libertad partaient, un autre était entré. en somme, c'était assez rassurant.Et d'un coup, un tonitruant "ASSEZ", digne des grands jours de Nebisa d'après ses souvenirs, retentit au loin, faisant à moitié sursauter Sindanarie. Des mouvements dans la salle qui avait été ouverte à l'entrée, des départs rapides qui, même à cette distance, dénotaient une certaine... mauvaise humeur. Elle laissa son regard parcourir la salle, à présent détendue. La princesse Armoria parlant sèchement à Dragonet (même si elle ne pouvait ouïr les paroles à pareille distance, l'expression de son visage était éloquente), puis emmenée par le Comte de Brassac et Ewaele. L'enfant qu'elle avait aperçu tout à l'heure l'avait retrouvée, la mine fatiguée. Les conversations reprenaient, l'attention générale se tournait désormais vers le corps du banquet.

Elle chercha du regard son amie Zakuro, mais ne l'aperçut pas. Elle réprima un soupir. Elle aurait pourtant aimé lui dire qu'elle ne savait pas quand elle rentrerait à Guéret... Au pire, un pigeon le lui apprendrait, mais elle aurait préféré le lui annoncer de vive voix. Se reprenant, cherchant le regard de Kashrok, elle prit un ton enjoué et dit, s'adressant toujours au malheureux lieutenant qui s'était exposé, en venant la saluer et la complimenter, à la subir, elle et sa manie de parler, pendant un temps encore indéterminé :


Il commence à faire assez chaud, dans cette pièce, que diriez-vous d'aller prendre un verre?

Un sourire de nouveau. Puis un doute, qui passe furtivement au fond de son regard, rapidement masqué par une teinte d'amusement légèrement timide.

Si je vous importune, Messire, je vous prie de me le dire sans embage. Je ne m'en froisserais pas, c'est tout à fait compréhensible.
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Kiyana
Kyana assiste au spectacle, et dire que la comtesse est enceinte, ils devraient tous avoir honte, tous autant qu'ils sont, mais rien, rien ne transmet sur son visage, elle ressent cette colère, cette lassitude de la comtesse, reyne des chieuses lui a t on dit, au moins, elle assume ses pensées, exemple à suivre pour beaucoup ici même.

Son père lui donne un ordre, plutôt un service, il a peur pour son amie de longue date. Elle s'exécute et suit la comtesse en direction des jardins et ne voulant l'importuner elle ose lui parler avec une voix aussi douce que possible


Veuillez m'excuser Comtesse, mon père, Kazert m'a demandé de voir si tout allait bien, avec votre état vous devriez vous passer de tout ces énervements, si je puis faire quelque chose pour vous soulager je suis à votre disposition Comtesse.
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Rassaln
*Entré sans difficulté. Aperçoit Zalina, lui rend son signe de tête. Tentera peut-être d'aller la voir plus tard. La dernière fois qu'il avait eu de ses nouvelles... elle lui en voulait, apparemment. Il ne savait ce qu'il pouvait en être actuellement. Aussi ne se risque-t-il pas de suite à aller la voir.
Un coup de voix se fait entendre. La tante était bien dans le coin aussi... Enfin, pas pour longtemps... Et c'est au tour de sa femme à présent de rentrer dans son champ de vision. Son épouse, bien arrondie, qui se dirige vers le grabuge... quelle idée, franchement?? A lui d'en faire de même, pour la rejoindre...*

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Dragonet


Armoria fit ce qu'elle adorait faire.. venir, faire mine de repondre et repartir sans laisser la moindre place au débat et a la reflexion. Elle semblait ignorer ce que toute les méres sont sencé savoir, un enfant qui pique une colére, c'est qu'on ne sait pas l'entendre. Drago était un enfant de la royauté, et il ne se mettait pas en colére pour rien, le peuple lui même etait l'enfant du royaume de France. Jusqu'a où faudrait il poussé la crise pour être entendu.

Elle etait venue lui demander qui selon lui, etait responsable de la mort des princesses...Elle évidement, qui d'autres. Quand à voir la marque du San Nom, il ne la voyait trops bien, mais pas dans les princesses, mais dans le comportements quotidiens d'Armoria.

Puis une fois de plus, elle fit reférence au Roy, rappelant sans le vouloir qu'elle ne le considérait pas plus qu'un simple pantin qu'elle utilisait pour assoir son autoritée. Bien sur qu'elle irait voir le Roy et gémir et se plaindre jusqu'a ce qu'il prenne des mesures. Il etait si facile pour une mére incompetante et sourde aux désirs de ses enfants d'aller voir le pére et d'exiger une punition, plutot que simplement d'essayer de les comprendre et de les aimer.

Il aurait été si facile à la princesse d'aller vers lui , de dialoguer, de comprendre et d'avancer. Elle préférait la suffissance et le mépris, et se réfugier derriére le Roy plutot que d'assumer sa charge.

Mais le destituer était une chose,le tuer était egalement dans l'ordre du possible, tuer des idées, elle en était incapable.

Il observa La princesse, Ewa, nebisa... l'hystérie érigé en mode de gouvernance..

Kazert vins vers lui, l'eloignant de ses pensées, il se tourna vers lui et l'ecouta attentivement. Il eteint calme et serein quand il repondit, tout comme il l'etait depuis le début d'ailleurs.


Capitaine, je n'avais nul intention de vous ridiculiser au Louvres,mais aucune de me faire arreter non plus. A cette époque, ma prioritée etait les princesses..Elle evolue..

Je suis content qu'il y ai reflexion à la prevotée, et je me ferais une joie d'apporter ma pierre à l'édifice si besoin. A certaines epoque, la police et l'armée sont toujours au premier front lorsqu'il s'agit d'imposer un pouvoir par la force..Et quand un gouvernement en est reduit a faire la Guerre à son peuple, c'est que des choses lui echappent. Nous sommes loin de l'Amour de Christos, mais bien plus dans la volonté du San Nom d'opprimer autrui et de punir.

On ne peut servir sans conscience, je n'y croit pas, même si la conscience oblige à ne plus servir.

Vous avez ma parôle, capitaine, je ne ferais rien contre la famille royale, cela n'a jamais été mon intention. Mon arme, ce sont les mots et les idées, et ça cela ne s'enleve pas lors d'une fouille, je le craind.

Accepteriez vous un verre en ma compagnie, cela ferais plaisir à votre fille de nous voir boire pacifiquement..

Vous n'êtes pas mon ennemi.... et quelques soit les ordres que vous recevrez à mon egard, je vous considérerais jamais comme tel.


Sourit

ça veut pas dire que je me laisserais faire pour tout..On va se prendre ce verre?
Alcyone
Petit sourire alors qu'il la rassure. Elle ne finira pas coiffée d'un plateau de petits fours, il ne sera pas décérébré à coups de petite cuillère. Même si cette dernière risquait d'être en argent, ça risquait de faire désordre, un peu trop, même pour lui qui appréciait pourtant de secouer l'ordre établi. Finalement, beaucoup d'agitation pour pas grand chose à ce qu'il semblait. L'équilibre entre accueil et méfiance bien naturelle en pareille circonstance était parfois difficile à trouver.

Elle reprit son verre de vin en main lorsqu'il donna son appréciation sur la boisson. Elle n'aurait jamais parié sur le fait qu'il soit fin palais. Cet homme semblait décidément receler quelques mystères. Qui n'en avait pas, ceci dit... Mais derrière l'oeil qui lui restait, elle tâchait d'en deviner certains.


- Je dois vous avouer ma relative ignorance en matière de vin... Je ne bois guère depuis... depuis la naissance de ma fille...

A nouveau, elle lance un regard vers sa progéniture lorsque son interlocuteur l'évoqua, toujours nerveuse quand elle s'en trouvait éloignée, mais accompagnée des jeunes Malemort, la petite ne risquait rien. En espérant que les deux soeurs lui pardonneraient la façon cavalière dont elle leur avait confié, mais la vue d'une arme et le grabuge à l'entrée avait mis tout le monde sur les nerfs.

- Merci, Messire Maleus... Assurément, elle a de qui tenir en matière de caractère, j'espère seulement qu'elle n'héritera pas de certains de mes travers...
Depuis la dernière fois... le principal changement vient des élections. J'occupe le poste de prévôt au sein du nouveau conseil.


Petit regard vers l'entrée... La jeune femme enceinte qui discutait avec Nebisa a tourné les talons, la Comtesse, après un éclat de voix, semble aussi vouloir quitter promptement la salle...

- Et vous? Je pensais ne plus vous revoir, et encore moins ici... Bien que je puisse imaginer ce qui vous amène, vos compagnons et vous...

Elle avait assorti sa remarque d'un sourire en coin...
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Nebisa
Arrivée aux jardins, dont elle a jadis ordonné l'agencement jusqu'au dernier rosiers planté, la dernière statue placée... Lointaine époque s'il en est, la Malemort soupire et fixe le ciel.

Les tempes battant furieusement, le souffle encore précipité par la colère et le ventre noué par les contractions, la Comtesse se laisse tomber sur un banc de pierre, égarée, perdue et haletante...

Les événements de la soirée n'ont fait qu'ajouter à son trouble et aviver les paies béantes qui la rongent et dont elle ne parvient plus à dissimuler l'ampleur.

Alors qu'elle ferme les yeux pour tacher de recouvrer son calme, une voix familière la fait sursauter, elle se retourne et sourit, tachant de se composer un visage serein.


Comte Valnor... je suis navrée si je vous ai inquiété... J'avais besoin de prendre l'air après ce tumulte...

La fille de Kazert, qu'elle n'avais pas eut le temps de saluer à l'arrivée de Sélène et des siens arrivent à son tour. Nouveau sourire.

Damoiselle... Je remercie vostre père de son attention. D'ici quelques minutes je me porterai mieux, n'en doutez pas... La fatigue du voyage, rien de plus...
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Rebaile
Explosion... Déflagration... La baile ne connait pas encore la poudre, mais l'eût-elle connue qu'elle n'aurait pas qualifié autrement l'effet produit par le cri d'la Malemort.
C'tait bien connu que les femmes avaient du caractère, doublement quand elles étaient enceintes, et visiblement triplement dans l'cas de la Nebisa...

Etonnement et limite respect, quand elle s'adresse aux Libertadiens.. Du coup, curieuse comme elle l'est, l'a super envie d'connaitre son histoire, la baile.. S'prépare alors à l'aborder, toute gueuse, sans vergogne, et fière de l'être qu'elle est, avec une phrase-sésame du genre "Savez, Comtesse, si Selene n'est plus dans cette pièce, c'est qu'elle s'en est r'tournée dans ses appartements d'lauberge libermuche, à Tulle", mais un court échange au vitriol - du moins c'tait son impression d'embryon d'politicienne - avec le gouverneur d'Limoges au crâne blanc comme du fromage, l'a fait sortir illico, pas d'ses gonds mais d'la pièce.

Bon ben tant pis, s'dit la baile. Elle n'va pas la suivre alors qu'elle est si bien ici. Ca s'ra pour une autre fois, et pour le moment, elle avait envie d'manger et d'boire avec ses camarades, et d'lever un toast - ben vi ca s'fait - à la Princesse qui d'vait encore trainer dans les parages vu qu'elle l'avait pas vue encore sortir.
Penche un peu la tête pour r'mettre à leur place dans son décolleté les bouts d'fromage récalcitrants. Pas l'idéal comme parfum, ça, fallait vraiment qu'elle trouve quelque chose où les fourrer...

Relève la tête et r'garde dans tous les sens pour vérifier qu'personne n'avait r'marqué son manège, mais c'est elle qui r'marque une femme marcher dans la direction d'leur groupe. Elle se retourne vers la Souris.


Attends, Nea. t'en va pas tout d'suite. J'crois qu'tu vas pouvoir présenter tes hommages dans pas longtemps...


Sa voix s'éteint à mesure qu'la femme s'rapproche et qu'elle la reconnait... Une pensée immédiate pour Mysouris, là où elle était... Arf... Elle n'aime pas, la baile, qu'un pan d'son passé lui r'monte à la figure alors qu'elle ne l'a pas choisi... Mais elle s'attendait à quoi, en prenant la route avec Libertad? C'tait pas en marchant qu'on enterrait les choses qu'avaient compté un jour avant qu'on change de vie. C'tait en les r'gardant en face pendant qu'elles s'approchaient, et ca commencait ce soir, dans un banquet royal...

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Plus vous saurez regarder loin le passé, plus vous verrez loin dans le futur (Winston Churchill)
Valnor


La Comtesse de Ségur sursauta à la question d'Aubeterre et lui livra un visage encore pâle qu'accentuait la blanche lumière de la Lune.

Citation:
- Comte Valnor... je suis navrée si je vous ai inquiété... J'avais besoin de prendre l'air après ce tumulte...


Quelque peu rassuré, Valnor lui sourit.

- Je ne voulais pas vous surprendre, excusez-moi. Je vous ai vu quitter promptement la salle, j'ai préféré venir m'enquerir de votre santé.
Puis il regarda alentour, la fraîcheur de la nuit était perceptible.

- Ne prenez pas froid. Votre état vous commande des précautions. Voulez-vous que je vous fasse amener une pelisse ?

Puis le Comte entendit des pas derrière lui et découvrit une jeune femme qui s'adressa à Dame Nebisa, c'était la fille du Capitaine Kazert.

Citation:
Veuillez m'excuser Comtesse, mon père, Kazert m'a demandé de voir si tout allait bien, avec votre état vous devriez vous passer de tout ces énervements, si je puis faire quelque chose pour vous soulager je suis à votre disposition Comtesse.


- Comtesse, je me dois de repartir à mon office, mais si d'aventure vous aviez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à me le faire savoir. Dame Kyana étant à vos côtés je m'en vais rassuré.
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Quelque peu rassuré, Valnor lui sourit.

- Je ne voulais pas vous surprendre, excusez-moi. Je vous ai vu quitter promptement la salle, j'ai préféré venir m'enquerir de votre santé.
Puis il regarda alentour, la fraîcheur de la nuit était perceptible.

- Ne prenez pas froid. Votre état vous commande des précautions. Voulez-vous que je vous fasse amener une pelisse ?

Puis le Comte entendit des pas derrière lui et découvrit une jeune femme qui s'adressa à Dame Nebisa, c'était la fille du Capitaine Kazert.



- Comtesse, je me dois de repartir à mon office, mais si d'aventure vous aviez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à me le faire savoir. Dame Kyana étant à vos côtés je m'en vais rassuré.
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