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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Diabolikbarbiturik
Elle ne s'y retrouvait plus parmi toute cette agitation, le gouverneur d'un coté, Sélène partie, la duchesse dans les jardins et elle laissée là en plan sans avoir eu à dénicher la dague bien cachée.

C'est pas qu'elle avait l'intention de s'en servir, loin de là son idée, elle est juste venue pour participer au banquet auquel ils ont été bien involontairement invités.

Juste là devant elle, elle aperçoit la souris et Rebaile en train de discuter. Elle s’en approche et regarde la souris et lui fait un clin d œil.


C’est quand qu’on avance là ? c’est pas que la faim me tenaille mais j’ai quelqu’un a retrouver, j’ai oublié de lui donner quelque chose.
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Maleus
"Le vin est une des rares choses de bien que fait l' etre humain sur terre..je suis sûr que votre fille ne vous en voudrais pas si vous buviez un verre de vin occasionellement...il n'y a qu'ainsi qu'on apprend à aimer autrement..."

Petit soupir puis il reprit.

"Prevot ! Eh bien! Vous n'allez pas me faire arreter tout de meme?"

Le Borgne ne cache pas son amusement.
Prevot des marechaux, tache ingrate de son point de vu...
Enfin..ce n'etait pas le seul poste ennuyeux au conseil...connétable par exemple.

D'un naturel observateur Maleus regarda discretement vers l'entrée, la comtesse avait crié son mécontentement mais à vrai dire il s'en fichait "royalement"..

Il reporta son attention sur son interlocutrice.

"Eh bien voyez vous depuis notre derniere rencontre je me suis installé dans la ville de Tulle, coïncidence la majorité de mes camarades aussi...quand à imaginer les raisons qui nous amenent ici je vous le déconseille...nous avons chacuns nos objectifs, nos envies..."

Petit sourire mutin sur le visage abimé de l'ex capitaine du regiment Sancerrois.

"Quand j'ai entendu parler d'un banquet pour le roy la seule chose qui m'est venue à l'esprit c'est de gouter les mets proposés pour l'événement..eh oui ne riez pas je suis un grand gourmand..."

L'oeil se fixe sur la baronne, guetant la réaction de cette derniere.

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Maleus de Dampierre en Graçay dict le Borgne
Aphelie
Après midi solitaire dans les rues de Tulle avant de recevoir le message.
Elle sourit à demi en lisant les mots.
Un banquet, tiens donc.
Lieu de rencontre préféré des nobliaux.
D’abord, elle avait chiffonné le morceau de papier avant de le balancer.
Qu’est ce qu’elle irait foutre à ce banquet ?
Puis l’sourire revient, elle voulait quelque chose et le meilleur moyen de l’avoir c’était d’y aller.
Ouai sauf que...ils étaient déjà en route et surement entrés.
Elle n’était pas noble, pour sur qu’elle se ferait refouler.
Surtout dans cet état...
Elle baisse les yeux sur ses vêtements crasseux,
Grimace qui apparait sur le visage en le voyant dans l’abreuvoir.


Ouai y a du boulot...


Alors elle rentre à l’auberge pour se faire un ravalement de façade digne de ce nom.
Un bon bain f’ra pas de mal.
Elle prend son temps et nettoie braies et chemise.
Après tout tant qu’à être en retard, l’être pour de bon.
Pi c’est pas comme si on l’attendait non plus.
Les cheveux démêlés, la bouille nettoyée.
Le visage s’éclaircie et retrouve la pâleur de l’ange caché derrière la saleté.
Un regard vers la malle, elle hésite, l’ouvre...
Essai de se rappeler comme on enfile se machin à lacet quant une pierre tape dans la fenêtre et que son nom raisonne dans la rue.
Elle sourit.
Malle refermée et l’idée de féminité qui disparait en un clin d’œil.
Après tout pourquoi vouloir se changer en ce qu’on est pas et ne sera jamais ?
La simplicité, être soit même, jusqu’au bout.
Quitte à se faire claquer la porte au nez autant que se soit en beauté.
Escaliers descendu quatre à quatre pour se jeter dans ses bras.
Temps qui s’arrête au baiser échangé,
Avant de prendre la route pour rejoindre le banquet.
Minutes qui défilent sous les rires et les sourires.
Tant de choses à se raconter et finalement si peu de temps avant de poser pieds à terre.
Un r’gard qui se passe de commentaires à la vue des étoiles dans ceux-ci.
La blonde a retrouvé le sourire et c’est pas ce soir qu’on lui enlèverait.
Ils approchent main dans la main du château et de la foule.
Y a du monde à la porte, c’est qu’la liste des invités est longues.
Mais ça sort autant que ça rentre pour le coup.
Froncement de sourcils à la vue de la Lune.
Interpelé par Bire, on se demande si elle va s’arrêter.
Yeux qui se baissent sur le ventre encore arrondie.
L’Aphé se demande si elle a écrit au Doc.
Sourire au regard azur, essayer d’la faire rire malgré la tête des mauvais jours...


Me dit pas que c’est déjà fini sans que j’ai eu le temps d’essayer sa couronne quand même ?

Le pétillement dans les yeux s’accentue.
Elle avait pas dit qu’elle voulait quelque chose ?
Regarder vers les portes et regarder d’autres sortir.
Se demander si il ne faisait pas un peu froid pour faire la fête en plein air...
Zya62
Jeune fille en approche. Regard qui fait le tour des présents. Une Nebisa qui s'enfuit, précédée de peu de la "cheftaine" présumée du groupe. Et silhouette meymacienne qui se détache dans le fond. Aïe! Froncement du nez peu gracieux... Ca sent la réprimande à tout va... Enfin, en public, peut être pas... Mais plus tard... Toujours est-il qu'on trépigne d'impatience quand même, ravie, parce que ca faisait quelques temps qu'ils ne s'étaient vu... Tout le temps en vadrouille, les deux époux, donc forcément, ca n'arrange pas leur relation.
Second regard circulaire. Ne pense plus faire aussi "dépareillée", au final, quand elle voit qui traine là. Enfin pas trop. Et de s'approcher d'un groupe de jeunes femmes... dont une connue. Tant qu'à faire, autant aller directement vers celle que l'on connait dans le lot. Alors elle vérifie une seconde fois si elle s'est faite "captée" par l'époux... qui n'a pas l'air ravi... Nouvelle grimace. Message appuyé dans l'oeil pour lui faire comprendre qu'il est plus que le bienvenu. Vite remplacé par un sourire à la rebelle... ma foi... sincère, même si pas si grand qu'elle l'aurait espéré. C'est qu'elle l'aimait bien, la Rebaile... avant, quand elle était DB. Là, elle ne sait pas. Doit pas avoir beaucoup changée... enfin... si peu.
Et les yeux verts jouent franc jeu avec leur vis à vis.


Bonsoir... Rebaile. Et bien... *troisième regard, s'arrêtant sur les sortes de petits fours plutôt modernes qui trainent à terre* ... vous n'avez pas fait dans la dentelle pour entrer à la reception, toi et tes amis... Plutôt grand bruit pour au final, pas grand chose de gagner, hormis un droit de passage que vous auriez eu de toute façon, si j'en crois ce qui se raconte déjà en salle, à droite et à gauche... *puis, le sourire se fait un instant amusé, en même temps qu'elle prononce ce qui suit... parce que bon, c'est connu, ce genre de ballet, c'est plutôt toujours le même et pas forcément intéressant au demeurant. Sauf si quelqu'un sort du lot, cas unique pour lequel elle fait plus qu'une brève apparition. Et là, ca a eu le mérite de mettre du piquant.* Vous avez au moins réussi à faire peur à quelques Dames qui se sont empressées, affolées, de cacher leurs biens mis. Quant à ces messieurs... comme à l'ordinaire... mi-couardise, mi-courage.
Ca a mis un peu d'ambiance, de l'autre côté des portes, pendant quelques minutes. Mais je ne pense pas autant qu'ici...


Puis, zieute enfin les deux autres, inconnues au bataillon, qui étaient juste à côté d'elle. Toujours le regard bien connu de la Lieutenante qui se pose, franchise qui s'est affirmée au contact de son Maistre.

Tu me présentes?

Et voilà, se jete dans la gueule du loup... plus fort qu'elle. Vont apprécier... ou pas. Vont jouer le jeu... ou pas. Vont la prendre pour ce qu'ils veulent... et là, elle s'en fiche... royalement. Petit brin de causette de quelques minutes pour faire le pas que les autres ne feront pas forcément. Désamorcer ou non la situation... Affaire à suivre.

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Selene2rr
La mâchoire crispée, le regard durci sur la scène non loin d'elles, Sélène repose l'azur de son regard sur Bradbury suite à ses questions...Haussement de sourcil, en quoi cela peut bien la regarder,,,Puis elle hausse une épaule en marmonnant un «parler à Armoria » glacial suivi d'un « Sélène » sur le même ton puis s'avance vers le garde afin de récupérer son épée...

Alors qu'elle se dirige vers la grande porte ouverte où d'autres personnes attendaient tranquillement de pouvoir entrer à la petite sauterie royaliste, une brise fraîche d'automne cingle son visage au moment où un homme fait son entrée...Croisement de regards métalliques, Sélène se fige un instant puis se retourne sur lui, cherchant où elle avait pu le rencontrer...La mémoire tourbillonne telle une spirale pour aboutir enfin sur un moment lointain, à Valence, quand elle avait suivit le Wulfen et Numalane pour aller secourir l'ancienne maire de sa ville dont la tête avait été mise à prix...

Elle plisse le nez, se demandant ce qu'ils sont devenus ne les ayant plus revus depuis que son mentor n'est plus Roy d'Armes de France, une moue dépitée prend place sur les lèvres, se disant que la différence de chemins empruntés peut arriver à séparer des personnes qui furent liées...Elle avance à l'extérieur, ne prenant pas le soin de regarder qui que ce soit autour d'elle, un "assez" crié à l'intérieur lui fait hausser un sourcil quand elle se retrouve happée par une voix qu'elle a presque oubliée tant cela faisait longtemps....

L'azur fouille la foule et se teinte de surprise face au visage qui lui sourit...Elle vient se blottir dans les bras fraternels, le bidon repoussant légèrement le Bire, besoin de sentir qu'il est là vivant et non moitié mort en Armagnac...Aurait bien envie de le baffer pour toutes les peurs qu'il lui a flanqué puis pour sa disparition,,,Le regard se pose sur Aphélie, brillant de bonheur des retrouvailles...Le feu reprend en elle après la douche froide de l'échec d'approche d'Armoria sur un problème de fromage...Les goûts et les senteurs...

Puis elle se recule en fronçant les sourcils alors qu'elle vient de capter une chose...Bireli et Aphélie faisant tranquillement la queue pour les festivités ? Elle recule d'un pas, se détache des bras des deux Libertadiens et les regarde...


D'puis quand on attend sagement pour entrer où l'on veut ? Z'avez pris un coup sur la trogne ou quoi ? C'par là qu'ça s'passe, les autres sont en pleine dégustation de fromages humpf..

Et la voici revenir sur ses pas, entraînant le rasé et son ange blond vers les vestiges de ce qui fut une fouille...Et là, la lumière s'éclipse face à elle et son ventre rencontre sans violence un mur de muscles...Haussement de sourcil, elle lève son visage d'albâtre vers celui du Crok' qui la suivait comme son ombre...Esquisse de sourire avant de le contourner pour reprendre son chemin vers l'intérieur du chateau..Remise d'épée en soupirant, entre les mains d'un garde qui la reluque de travers et les voilà partis à la recherche des leurs...
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Papapouf
[Garnison de Ventadour..]

La peste soit !..l'heure de la journée était déjà bien avancée et c'est avec un air agacé que le Gouverneur mettait un dernier point à ses préparatifs pour s'en rejoindre le Castel Comtal..quelques affaires privées l'avaient retenues plus que de raison à ventadour..
Mais avant de s'habiller pour le départ, ce dernier descendit en la cour de la Garnison pour donner quelques ordres à deux soldats.
Tout d'abord s'adressant au premier..

Soldat..va de ce pas rappeler au Sergent Jules que nous sommes sur le départ pour Limoges..et mande lui de choisir deux soldats à emmener avec nous..je n'aime pas trop réquisitionner ceux des autres au besoin..
Puis en s'adressant au deuxième..
Quand à toi charge toi de sceller les chevaux dont nous aurons besoin..ensuite tu pourra regagner tes obligations premières..hop !
Et c'est sur ces indications que le Gouverneur regagna ses quartiers et se parra des vêtements et armes circonstanciés..sans oublier les insignes de ses charges..
La chose faite il rejoignit le Sergent et les soldats déjà sur leur montures..agripa les rennes qu'on lui tendit et pris position..direction Limoges..au galop !


[Castel Comtal..]

C'est après avoir mis pieds à terre et confié les chevaux à qui s'en occuperait..que les soldats se dépoussiérant rapidement pénétraient dans l'enceinte même du Castel...
Sergent..que les soldats restent dans la cour à veiller aux entrées..deux paires d'yeux en plus ne seront pas de trop avec toutes les allées et venues de ce soir..mais dans la discrétion !..je ne veux pas d'incidents malencontreux ou qu'ils gênent les gardes présents...
Ceci promptement exécuté..le Gouverneur pénétra dans le hall accompagné du Sergent...
Salut de circonstance aux gardes ne retenant pas les soldats à leur passage..tout en se dirigeant vers les grandes portes de la salle du banquet le Gouverneur leva un sourcil en appercevant quelques personnages empêchés d'entrer pour cause de fouille et lança au Sergent..

Hum..encore des resquilleurs qui s'invitent..tu prendra soin d'y jeter un oeil de temps en temps et me rendra compte si ça bouge..on ne sait jamais ce qui se cache derrière des habits aussi affraités qu'ils soient..
Puis les deux hommes pénétrèrent dans la salle..se faisant les plus discrets possible vu l'heure avancée à laquelle ils arrivaient. Mais apparement le Roy n'était pas encore présent..une chance qu'ils n'aient pas porté défaut à la haie d'honneur qui était prévue...
Quoi qu'il en soit le Gouverneur adressa ses dernières recommandations au Sergent..

Bon pour le moment tu peux profiter du banquet et des convives que tu pourra rencontrer..moi je vais retrouver les autres Officiers..et à l'occasion jette un oeil où tu sait...
Sur ces mots Papapouf chercha du regard les personnes qu'il connaissait..pour appercevoir ce qui semblait être de hauts dignitaires auprès de la Comtesse Ewaelle..mais son regard s'arrêta sur le Gouverneur de Limoges à la mine grave..
Il s'approcha donc de ce dernier et lui adressa son salut..

Bonsoir Shiska..dis moi tu as l'air bien soucieux..voir irrité..seraient-ce les blessures de Bess qui ne se guérissent pas comme il le faudrait ?..je n'ai malheureusement pas eu l'opportunité de passer la voir...
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Ayerin
Les esprits se sont posés... les caractères envolés des uns et des autres mis au placard, enfin pour un temps... balaye du regard la salle de fouille et s'y sent bien esseulée à force de rester bouche bée à gober d'la mouche Royale !
Robe devenue plus confortable, guiboles libérées d'l'entrave... lui restait à s'défaire de cette plaie qui l'empêchait d'respirer et qui selon les dires d'Linon devrait l'empêcher de grailler tout son soul... se découvre alors le poitrail, passe ses mains dans l'dos, et tire sur les lacets d'ce fichu corset qu'elle balance au sol,... inspire, respire enfin, ses poumons n'seront donc comprimés plus longtemps... Un bonheur en soi.
Recouvre sa poitrine offerte aux seuls murs de ce castel, puis le pas trainant s'dirige vers les portes donnant accès a cette fameuse salle du banquet !

Au delà des portes ..

Mirettes aux aguets, zieute l'assemblée d'engoncés.. il fallait toujours s'imprimer d'l'humeur. Chercher et détailler sous toutes les coutures les us et coutumes d'autrui, afin d'mieux cerner la troupiale qui lui faisait front ..ces p'tits êtres si merveilleux qui ont trop souvent pour habitude d'vivre en colonies confinées, en des palais parfois bien trop outrecuidants.

Délaisse un temps, ceux qui ne la voient que comme une indésirable .. ne la voir que brigande, maraude, l'mors aux dents, prête à tous les vices, quelle drôle d'idée, la gamine n'étant qu'amour et volupté !
Aperçoit attablé, un Mal' en pleine besogne,... "le bougre de cochon, n'manque jamais à ses devoirs celui là" ..esquisse un sourire rempli d'ironie,.. "Sa bonté le perdra un jour !"

Puis non loin d'elle, mais suffisamment pour n'pas saisir les paroles prononcées par une donzelle aux bouclettes sous coiffe brune et qui s'adressait à autre troupiale mais d'façon Libertad, les trois drôles de dames, la Poupée, la Souris et la Baile…
"En vla, une de couillue" s'dit la môme, "une qui n'avait point peur de voir son nom finir sur des listes étrang'ment constituées, en osant piailler d'la sorte avec du Rouge pour compagnie !"

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Catherine de la Beaume-Cornillanne dicte Ayerin
Rosie_posie
Attention petit renard. Le Loup-Démon t'as fait sienne. Tu pensais réussir a t'échapper surement. Mais tu as raison d'essayer, fais toujours ce que tu désires.

Voix du tit démon, mains sur sa taille, heureusement qu’elle n’avait pas mis de ruban. Rosie ouvrit des yeux tout ronds, comment avait-il fait pour la suivre ? Elle était pourtant persuadée qu’il n’y avait personne… Le Loup avait battu le Renard par chaos, elle était prise au piège.

Rosie n’en perdit pas pour autant son ton de pestote et répondit rapidement à son frère :


Ben oui. Je savais pas ce que tu voulais faire, tu ne m’avais rien dit. Fallait bien que je me débrouille. Mais maintenant que tu es là, tu vas pouvoir m’aider à pêcher !

Sourire angélique qui s’effaça rapidement au vu de ce qui se passait autour d’eux, certaines personnes semblaient poser problème.
Dans le fond, le renardeau avait de la chance d’être accompagnée par son frère. Seule elle ne serait peut-être pas entrée. Mais ça, elle ne l’avouera jamais.


Bien le bon soir a vous tous, je vois que vous êtes fort occupés ce soir. Je ne vais pas vous déranger longtemps, sauf si l'on entend de m'empêcher d'entrer. Ainsi donc tu peux annoncé le retour de l'Enfant Terrible et la venu du Renardeau, Rose Prunille de Tartasse. Que se passe t il au juste? enfin ca parait fort bien géré, je n'ai pas a m'en soucier.

Si les militaires limousins géraient bien les troubles faits, Carmo avait lui bien géré leur entrée.
Ils purent ainsi se glisser dans la salle.

Si en Bourbonnais-Auvergne, l’ambiance était à la fête et aux jeux, ici c’était bien différent, presque pesant. Les gens parlaient ça et là, ou même se prenaient le bec comme à l’entrée. Pour sûr, ce n’était pas comme ça que Rosie trouverait un poisson !

La pestote reconnut quand même quelques visages, croisés lors du voyage mais peu de monde. Face à cette peuplade d’inconnus, elle se tourna vers le seul connu, son frère :


On va manger un peu ? Je meurs de faim !

Sans attendre de réponse, elle prit son bras à la mode tartassienne et l’entraîna vers le buffet.
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Alcyone
Elle ne répondit pas à sa remarque sur le vin... Non, décidément, pas envie de déroger à sa ligne de conduite ce soir.

- Prevot ! Eh bien! Vous n'allez pas me faire arreter tout de meme?

Il avait l'air plutôt amusé d'apprendre cela. Alcyone sourit à nouveau... oui y avait de quoi sourire, pour le coup. Un sourire malicieux.

- Allons, en Limousin, nous sommes progressistes, on tâche de n'arrêter personne avant qu'il n'ait commis de méfaits. Enfin. On essaye, quoi...

Au fur et à mesure qu'il parlait, le sourire se fit plus large sur les lèvres de la Baronne. C'est qu'elle avait une imagination débordante... Quant à croire aux coïncidences... Enfin, l'heure était à la détente, la compagnie agréable et elle entendait bien profiter du moment, sans pour autant - et peut-être un peu paradoxalement- relâcher l'attention, jetant furtivement des coups d'oeil tant sur sa fille que vers l'entrée, vers Val, Shiska, Brad et autres militaires... Puis elle détaille les traits de l'ex-militaire. Visage qui semblait avoir déjà bien vécu. Quel âge pouvait-il avoir? Petit rire amusé en réponse à sa dernière réplique.

- S'il y a quelque chose que je peux comprendre, c'est bien la gourmandise... Tout dépend de ce qui aiguise votre faim, ceci dit, mais les mets servis ce soir devraient être à la hauteur de vos éspérances. Néanmoins, il paraît que la gourmandise est un vil péché, réprouvé par Aristote, prenez garde...

Alors ça... quelle mouche venait de la piquer pour se mettre à parler de religion. V'la qui lui allait bien, tiens, elle qui affichait ostensiblement son pendentif en forme de pentagramme à son décolleté...

- Mais il est vrai que c'est ça aussi la liberté, ne pas avoir à se soucier de ce qui est réprouvé, de ce qui est péché ou non...
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--Mara
Ben! Mais... que... Elle a l'air sérieux, Maman... Où qu'elle va ? Que... ?

La petite Mara se retrouva quelque peu perturbée lorsque sa mère la confia à la jeune femme qu'elle ne connaissait pas. Il est vrai que c'était loin d'être dans les habitudes de la prévote... Elle suivit néanmoins en trottinant les soeurs Malemort. Et sans rechigner, plutôt intimidée... tout ce monde qu'elle ne connaissait pas, des belles dames... Elle regardait curieusement de ses grands yeux d'un brun profond tous ces gens, sans oser trop bouger...

J'comprends rien à ce qu'ils racontent... Pi y sont tous grands, il est pu là le garçon que j'voulais jouer avec... Enfin, y a un garçon, là, mais il est trop grand... Pi il a du poil qui pique au menton, j'aime pas quand ça pique...

La demoiselle fixa un instant Trokinas, avant de chercher sa maman du regard et de la voir assise avec quelqu'un. Elle tira la main qui la retenait vers sa maman, mais la prise était ferme, et les ordres maternels étaient clairs et se résumaient à "obéir".

Pourquoi tu viens pas, Maman? Pi chuis fatiguée, pi j'm'ennuie encore, pi...

Et c'est ici que le regard de la petite rouquine se posa sur les candélabres qui jalonnaient la salle pour l'éclairer... Diablement joli et attractif, pour une fillette en âge d'explorer, de toucher, de tester, bref, de faire des bêtises... Puis sans doute se souvenait-elle du trèèèès mauvais exemple donné l'autre soir en taverne. Jouer avec le feu, c'était un bon moyen de se désennuyer. Les bougies les plus proches sont là, sur la table juste à côté de là où elle se tient. Evidemment, la table est aussi grande qu'elle, il va falloir ruser pour en attraper une. C'est joli, le feu... ca danse devant les yeux... La petite tendit sa main libre vers la nappe, et commenca à tirer doucement l'objet de sa convoitise vers elle...

Ouais, doucement, faut pas déranger les grands quand ils parlent...

Les bougies vacillent dangereusement à mesure que le candélabre progresse sur la table... l'une penche de plus en plus, répandant la cire sur le tissu immaculé de la nappe...
Diabolikbarbiturik
Elle s'était calée là, près de la souris, attendant enfin de pouvoir entrer. Une femme au vendre arrondie, encore une,
à croire qu’elles se sont données rendez vous ce soir.


Les yeux rivés sur la jeune femme, mais l’oreille dispersée, comme si elle était au aguets, prête à sauter sur sa proie, elle reconnue une voie familière.
Elle se retourne, et là, grande surprise lorsqu’elle aperçoit Aphélie et le Bire, revenant avec Selène.


Elle les regarde avancer dans l’entrer en direction d’un garde, afin de se déshabillé, enfin c’est comme ça qu’elle le ressent, sans ses armes la Diab’ à l’impression
de rien porter et enfin les voit entrer dans la grande salle du banquet.


Tu me présente ?

Elle regarde la jeune femme, surprise qu’on s’intéresse un peu à elle, mais là elle ‘avait qu’une envie, c’est d’entrer.

Moi c’est Diab’, rien a dire de plus !

Elle lui claque un clin d œil, et s’écarte du groupe prenant la direction des grandes portes qui la séparait du banquet.
Bousculant deux trois personnes , évitant d’en faire autant avec le Crok, regard au passage vers Linon.


On y va ?

Sans attendre sa réponse, elle rejoint enfin trio qui venait d’entrer dans la pièce des festivités.
Elle ouvre de grand yeux, c’étais pas tous les jours qu’elle avait l’occasion de participer à une sauterie de la haute bien organisée.
Au loin elle aperçoit Maleus, qui n’avait apparemment pas perdu de temps pour s’attabler, elle le reconnaissait bien là.
Au moment où elle saluait Aphélie et Bireli, elle aperçoit au loin le gouverneur.


Je reviens, un petit truc que je n’ai pas eu le temps de faire.

Elle s’avance d’un pas décidé vers Shiska, en pleine conversation, elle les interrompt, laissant de coté les bonnes manières,
soulève ses jupons encombrant, attrape la dague bien enfouie et la lui tend avec un large sourire moqueur.


Tenez, vous avez oubliez prendre ça !
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Azzera
Depuis combien de temps était elle là?
Elle ne pouvait le dire, mais en y songeant bien, tout ce qui ce passait ici, la confortait dans l'idée de l'utilité des escortes et garde Royaux.

Elle avait revêtu la tenue des Dames Blanche... oh pas celle d'apparat, non, elle n'était pas conviée ici pour alimenter les mondanités.
Sa lieutenante, Zya, avait ordonné à ses sœurs aspirantes de se positionner à l'entrée, afin d'éviter tout désordre.

Mhhh, de l'animation pas conventionnelle, il y en avait. Mais son regard couvrait la salle, voyant le prince quid avec Zya, ensuite avec sa princesse de mère...
Un petit groupe semblait être venu pour troubler la fête, mais... aucun ordre, si insignifiant soit-il ne lui parvint de la part de Zya...
Alors elle resta là! Sans mot dire... aux aguets...

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Il a su envouter ma vie!
Trokinas


Trokinas accepta le Cadeau de Zya avec un grand sourire de satisfaction. Et c'est donc en homme comblé, qu'il commença à s'approcher du buffet, en compagnie d'Alienaure et de Lune, Mara évoluant autour d'eux avec un brin d'espièglerie.

Le Baron arriva à amener les femmes au niveau du buffet, puis sourit vers Alienaure. Il leur demande ce qu'elles souhaitaient boire, et les servit avec toute la grace nécessaire.

Alienaure, je sais que je vous ai un peu négligée ce soir, mais là, je pense que je vais pouvoir tranquillement faire en sorte de passer du temps avec vous. Pour me racheter de mon absence, je vais vous présenter au Comte d'Aubeterre, un de mes collègue au secrétariat d'état, et un homme charmant. J'ai été récemment à....

Les yeux du Baron venaient de se poser sur un candelabre qui bougeait tout seul. Il n'avait aucune expérience des enfants, et pour cause. Il ne savait donc pas toute la malice dont une petite fille de son âge était capable, même si d'ailleurs, les bétises n'étaient pas forcément dues à de la malice. Par contre le Baron savait une chose, le feu : ca brule et les candélabres ca ne se déplacent pas tout seul. Il se pencha donc pour voir pourquoi le Candélabre bougeait tout seul, et comprit lorsque qu'il vit une petite main enfantine tirer sur une nappe. Il lacha alors précipitamment sa canne, qui tomba par terre dans un bruit retentissant, puis tendit la main vers le Candélabre avant que celui-ci ne tombe sur la chère tête blonde... enfin rousse. Il arriva à le saisir, mais la cire dégoulina sur sa main et le brula sur toute sa surface.

Le Baron pensa à hurler car on a beau dire, la cire, c'est chaud. Mais il serra les dents, se disant qu'un cri au milieu d'un Banquet Royal était mal venu. Il reposa le Candélabre sur la table, sa main éméttant une belle odeur de poil de cochons brulés, et fit un sourire forcé vers la jeune enfant. Il n'avait aucune idée de la raison qui avait bien pu pousser cette Mara à prendre cette bougie, et il n'avait pas non plus la moindre idée de ce qu'il allait pouvoir lui dire.


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Alienaure
Le première chose qui vint à l'esprit d'Aliénaure fut qu'elle avait encore une fois raison. Aucun endroit au monde ne pouvait être sécurisé pour un enfant. Même dans une cave sans rien, il trouverait le moyen de faire une bêtise.
La seconde chose qu'elle vit fut la grimace du Baron. Et là, elle dut faire un effort assez conséquent pour retire un fou rire qui l'aurait peut-être bien vexé.
En résumé, elle avait devant elle un petit diable roux qui les regardait avec l'air le plus angélique possible, un candélabre encore tanguant sur un nappe aux vagues multiples, et un baron aux dents serrées et à la main paraffinée.

La jeune fille s'accroupit devant la mini damoiselle, tout sourire.


Tire encore une fois... une seule fois, sur cette nappe, et je te garantie que je t'enferme au chenil des chiens enragés. Et ils seront très contents d'avoir une petite fille potelée comme toi car ils n'ont pas eu à manger depuis plusieurs jours.


Combien de fois avait-elle ainsi calmé frères et sœurs si impatients de faire autre bêtise? Toujours est-il qu'elle n'attendit pas de réponse de l'enfant et se redressa, ramassant au passage la canne qu'elle mit dans la main valide du Secrétaire d'État. Elle prit sa main dans la sienne et l'examina, d'un air soudain très sérieux.


Mon cher, à vouloir venir au secours de toutes les demoiselles en danger de ce Comté, vous allez finir par y perdre vie. Mais dans votre malheur, soyez béni de m'avoir à vos côtés.

Sans attendre, elle saisit un coin de cire, qui commençait à durcir, et tira dessus d'un coup sec.


Et voila!, s'exclama-telle en un sourire enjôleur. Vous allez avoir la main aussi douce qu'une femme peur avoir les jambes... Quant à rencontrer votre collègue, j'en serais fort heureuse.
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Trokinas


Trokinas se mordit la lèvre pour ne pas hurler lorsque ses atouts pileux partirent en meme temps que la cire de bougie de sa main. Heureusement cette épilation n'était faite qu'au niveau de la main. Une petite larme perla tout de même à son oeil, qu'il retint, fierté masculine oblige.

Il sourit à Aliénaure, et se frotta la main.

Merci, en effet, je ne sais pas ce que je ferai sans vous.

Nul n'aurait été capable de savoir si c'était au sens litteral ou pas.

Pourriez vous récupérer cette charmante enfant, et je vois le Comte qui rentre un peu plus loin, si vous voulez bien me suivre...

Trokinas se dirigea vers le Comte d'Aubeterre. En arrivant devant lui, le Baron fit une révérence respectueuse.

Bonjour Votre Grandeur, ravi de pouvoir vous accueillir au Limousin. La soirée se passe-t-elle bien pour vous?

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