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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Linon
Zut, Eikorc s'éloignait vers la sortie, suivant Sélène... Les libertadiennes semblaient, elles, bien décidées à rester... Que faire? Linon décidément reine de l'indécision hésita, porta son regard d'un groupe à l'autre, s'arrêta sur l'autre... Allons bon ! Bireli et Aphélie qui débarquaient... l'avait pas prévu de le croiser ici le Bireli. Prise en flagrant délit de sympatouillage libertadien, Linon se mordilla la lèvre, croisa le regard amusé du vilain, entendait déjà l'ironie poindre... il arrive toujours des moments où il faut assumer, même ses contradictions. Un lent et fin sourire s'épanouit sur son visage tandis que Bireli partait faire des amabilités... l'avait l'air en grande forme ! Et il ramenait Sélène en plus...

La jeune femme envoya un clin d'oeil à Aphé et rejoignit Diab' qui se débrouillait pour montrer ses gambettes


Comment ça si on y va? Un peu qu'on y va ! En tout cas moi j'y vais, j'en peux plus. J'vais finir par mordre quelqu'un et...
regarde autour d'elle... j'suis pas sûre que tout soit comestible... j'voudrais pas m'empoisonner, j'ai l'estomac délicat.

Ca tombait bien, le colosse ouvrait le chemin, laissant une voie royale et libre derrière lui. Linon s'y engouffra donc royalement tout en ôtant sa cape qu'elle jeta à un laquais qui, surpris, fut bien obligé de l'attraper. Le buffet, enfin ! Un autre larbin derrière le buffet faisait semblant de ne pas la voir... la jeune femme claqua des doigts pour attirer son attention retorse


Hep ! Du buffet !! Sers-moi de ça, de ça, de ça... et aussi de ça. Et n'oublie pas la carafe de vin, là ! C'est qu'on commence à dessoûler avec toutes ces formalités.


Le serveur hésita une seconde puis se décida mollement à faire son boulot et remplit une assiette dont Linon s'empara. L'affamée y rajouta verre et couverts, attrapa la carafe et déposa le tout sur une table, s'installa avec satisfaction, puis se dit qu'elle n'était guère polie... donc se releva, s'arma de son plus charmant sourire et fit tinter son verre de la pointe du couteau


Mes bonnes dames, mes bons sires ! Vous êtes bien aimables de nous accueillir aussi chaleureusement. C'est touchant, vraiment... Et d'être au milieu de tant de gens de haute qualité m'enchante, croyez-le bien ! Aussi le moins que je puisse faire, c'est de me présenter. Je suis Linon, dans votre beau comté depuis peu et assez involontairement d'ailleurs... Et obligée d'y rester encore un peu... z'êtes veinards en plus d'être aimables ! ... Bon, si on dînait?


Linon sans plus attendre se rassit et attaqua enfin le royal festin.




Edit : ortho, grammaire, tout ça...

_________________
« Avais-je raison ? Voyez comment l'amour change en bêtes les gens d'esprit ! »
Dragonet


[Discussion entre Dragonet et Kazert]

Kazert:
Citation:
- A Kyana......il boit une gorgée puis demande.....vous connaissez un couvent ?


Dragonet partit d'un grand eclat de rire..

Mon cher je connais tout les couvent de france et de Navarre, n'oubliez pas que je suis de la maison ecclesiastique royale, j'y ai acces .. j'en ai même dirigeais un quand j'etais hospitalier, et je vais vous dire, si vous voulez proteger la vertu de votre fille... ne la mettez pas dans un couvent.

Si vous voulez la proteger, je veux bien que vous me la confiez.. Je suis son parrain, je n'y toucherais pas, et j'etriperais quiconque y touchera si nécessaire.. je suis assez protecteur avec ceux qui dépendent de moi....


Jetant un oeil vers la porte qu'a pris la princesse..

Et lorsque l'on touche à ce que j'aime, je ne connais aucune pitié.

Pour ce qui est de pas quitter le limousin..j'ai accepté la charge de conseiller et j'ai des projets pour l'eglise locale, donc dans l'immediat, je ne compte pas partir..Je n'ai de toute façon pas besoin de sortir du territoire pour agir où il me chante..Je me deplace que quand je veux jouir du spectacle.

Pour l'absynthe, vous avez raison, c'est 70% et son usage rend fou, mais c'est avec le jus d'opium les seuls choses qui calme mes douleurs.. Ma colonne est touché, je suis condamné a la paralysie puis à la mort sans doute plus tard.. Je n'ai un sursis que de quelques années et je compte bien les utiliser utilement..

le jour où plus aucun de mes muscles ne m'obeira, nul doute que je seras content d'avoir encore la folie comme compagne.Bien que mourrir en martyr m'inspirerais plus, et je suis prés à passer mes derniéres années à me preparer une jolie fin


Bois d'une traite l'absynthe..

En attendant de bien mourrir, vivons déja bien ...et je me sent d'humeur festive ce soir....


Dragonet partit d'un grand eclat de rire..

Mon cher je connais tout les couvent de france et de Navarre, n'oubliez pas que je suis de la maison ecclesiastique royale, j'y ai acces .. j'en ai même dirigeais un quand j'etais hospitalier, et je vais vous dire, si vous voulez proteger la vertu de votre fille... ne la mettez pas dans un couvent.

Si vous voulez la proteger, je veux bien que vous me la confiez.. Je suis son parrain, je n'y toucherais pas, et j'etriperais quiconque y touchera si nécessaire.. je suis assez protecteur avec ceux qui dépendent de moi....


Jetant un oeil vers la porte qu'a pris la princesse..

Et lorsque l'on touche à ce que j'aime, je ne connais aucune pitié.

Pour ce qui est de pas quitter le limousin..j'ai accepté la charge de conseiller et j'ai des projets pour l'eglise locale, donc dans l'immediat, je ne compte pas partir..Je n'ai de toute façon pas besoin de sortir du territoire pour agir où il me chante..Je me deplace que quand je veux jouir du spectacle.

Pour l'absynthe, vous avez raison, c'est 70% et son usage rend fou, mais c'est avec le jus d'opium les seuls choses qui calme mes douleurs.. Ma colonne est touché, je suis condamné a la paralysie puis à la mort sans doute plus tard.. Je n'ai un sursis que de quelques années et je compte bien les utiliser utilement..

le jour où plus aucun de mes muscles ne m'obeira, nul doute que je seras content d'avoir encore la folie comme compagne.Bien que mourrir en martyr m'inspirerais plus, et je suis prés à passer mes derniéres années à me preparer une jolie fin


Bois d'une traite l'absynthe..

En attendant de bien mourrir, vivons déja bien ...et je me sent d'humeur festive ce soir....
Rassaln
*Il prend son temps, observe, attentif aux nuances. A la suite d'entrées remarquées, sortie qui ne l'est pas moins, quoi que dans un registre totalement différent. Contraste intéressant. Un autre plus loin, Dragonet devisant avec un garde royal... La soirée lui parue avoir subitement plus d'intérêt que prévue. Pas de trace du Roy par contre. Mais bon, ça, ça le préoccupait bien moins. Pas de curiosité de voir sa trogne, "fantasme" déjà accompli, alors qu'il était encore enfant... Et pour le souvenir que ça lui en avait laissé... Verdâtre était le mot qui invariablement lui revenait à l'esprit à l'évocation du Roy... Etrange...

Non, c'étaient d'autres personnes qu'il voulait voir, lui. Son cousin, par exemple, au bras de la Comtesse. Visiblement les dernières allégeances avaient eu une suite. Ah, le baiser vassalique, ça crée de foutus liens, c'est sur! Se laissant ainsi aller à l'ironie, ses lèvres s'en trouvèrent poussées à s'entr'ouvrir dans un sourire qu'il ne s'était pas attendu à avoir, si bien qu'il s'en trouva surpris de ne plus tirer... royalement la tronche! Expression qui collait bien, adjectif particulièrement bien choisi, pensa-t-il... Et pas forcément dans les sens premiers du terme. Ah, toujours ces nuances...

Même en prenant son temps, sa marche ne s'arrêtait point. Grisaille venant trancher dans les couleurs festives entourant. Quoi que les différents va-et-vient avaient tendance à assombrir les environs. Au moins, en s'en rapprochant, départirait-il moins, ou du moins le semblerait. Le ton sur ton choque moins. Alors qu'il arriva au côté de Zya, il ne dit rien, ne prononça aucun mot. Non. Il poursuivi juste son lent "arrachage" de gant, à peine débuté par la dextre alors qu'il accomplissait les derniers pas avant l'arrêt auprès de son épouse. Coup d'oeil vers elle. Déjà un peu de luminosité dans son humeur.*

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Rebaile
Salut à toi la donzelle!

C'te voix la fait sursauter alors qu'elle est concentrée sur les lèvres d'Zya, 'fin qu'elle attend qu'elle lui parle quoi, faut pas penser qu'elle s'accroche aux lèvres de toutes les femmes, hein?.. Grogne puis s'rappelle qu'une voix l'a fait réagir et s'retourne avec quelques secondes de retard. Pas grave, l'bire est toujours là, meme dégaine, meme gouaille et dieu que ca fait du bien à l'estomac!
Estomac.. Glisse une main dans son décoll'té et en r'ssort un morceau d'fromage qu'elle mange lentement..
J't'en rapporterai des plus frais, la vagabonde, qu'elle se dit, tout en souriant à l'auto-présentation du bire.


han Fredo! Quelle bonne surprise! Faut dire que tu t'es fait attendre, hein?

S'retourne vers la Comtesse blanche et glisse un V'là donc Alfred, le plus gentil de tous les dinausores libertadiens! Entre ses mains tu ne crains rien, et d'son épée non plus, elle défend pauvres zé opprimés!
S'ravise et ajoute: Ah oui, mais t'es ni pauvre ni opprimée, ça craint!

Eclate de rire en voyant l'expression d'la jeune Comtesse.

Ca va, ca va, il te f'ra rien, il est inoffensif!

Du mouv'ment dans la salle et qui capte son regard. Voit l'Armoria qui s'dirige vers la sortie et l'grognement qui reprend dans sa tête.

Elle a peur la Princesse? Pourquoi elle part? C'pas Libertad qui lui fout la trouille, dis? J'veux la voir moi! C'pour ca que j'suis là! C'est limite de d'l'arnaque, vu l'prix qu'on a payé à l'entrée! Hmmpff.. J'veux lui serrer la main, j'veux qu'elle signe un dessin qu'je lui ai fait avec mon sang!

De frustration, elle ressort deux morceaux d'fromage et les avale coup sur coup pour faire passer la déception.

Bon, on va se le prendre, ce verre? Tu viens Nea? Tu viens l'bire? On n'va pas passer la soirée sans trinquer tout d'même...
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Plus vous saurez regarder loin le passé, plus vous verrez loin dans le futur (Winston Churchill)
Zya62
Des présentations faites, une Barbi sans "e" et une Souris sans son fromage. Clin d’œil qui amuse, rebelle qui en fait autant. Et les regrets viennent… N’avait pas prévu son départ… ne l’avait appris qu’à son retour à la commanderie, d’ailleurs… Dire qu’elle aurait pu être parmi les plus grandes. Quelqu’un que les supérieures avaient laissé s’échapper… Elle aurait pu être une des valeurs sûres… Et puis bon, faut l’avouer, la Zya, elle avait eu le « coup de cœur » pour elle, cette Baile si curieuse de tout… Mais le passé reste ce qui est.

Comtesse, comtesse ? *nez qui se fronce imperceptiblement. Quand on sait ce qu’elle pense de ses titres et de tout le guindé qu’elle s’amuse parfois à imiter… le « Comtesse », si elle ne l’avait pris sur le ton de l’humour, venant d’elle, il aurait presque pu vexer son monde* Tu m’avais habitué à des Zya… Les choses changent…

Un rouge arrive sur ses entre-faits… Un « donzelle » qui rafraichit et la fait rire quelque peu. Mieux que du « Comtesse »… Lui tendrait presque la main pour une poignée, du coup. Par contre, le tout beau, tout neuf, tout jeune, il repassera… l’y croit pas, la jeunette… même du haut de ses quelques 15 printemps… (ou plus, la narratrice ayant arrêtée de compter)

Bonsoir… Zya… Qui verse plus dans un autre genre que les gouttes de sang, ces derniers mois...

Coup d'oeil à la proéminence qui se laisse entrevoir. Et d'observer une ombre sur la droite… Il arrive enfin… le messie ? Pas pour les autres, mais bon… quand il n’y a qu’un jugement qui compte… Enfin, bref. Un sourire qui s’élargit au croisement de l’acier… Bienséance au loin. Pas de baisemain ou quoique ce soit de protocolaire. Et puis, c’est le seul moyen qui lui vient à l’esprit pour chasser l’air bougon qu’il a.

Et voilà le père de ce qui pousse là-dessous… Rehaël… Rebaile, ancienne sœur… une souris… Nea ? et… un "jeunot", Alfred de son état.

Le tout suivi d’un « bonsoir » et d’un baiser au coin des lèvres.

Rebaile venait juste de nous proposer de prendre un verre… Tu tombes bien.

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Bradbury
Brad avait vue les va et vient, l'envie d'intervenir, mais elle ne le pouvait pas. Pas encore du moins, mais le départ de la princesse lui en fournirait bien l'occasion.

Elle la suivie jusqu'à son coche puis se dirigea vers l'écurie où elle entreprit de se défaire de sa robe pour revêtir ce qu'elle avait fait apporter, braies en cuir et chemise blanche recouverte d'un pourpoint et d'une ceinture où se trouvait le fourreau de son épée, épée qu'elle garda à la main.

Retournant vers la salle du banquet et se positionna vers Zya et devant Rebaile qu'elle avait reconnue. Puis s'adressant à Zya.


C'est quoi ces présentations? les Libertad se sont des brigands comme n'importe lesquels. est-ce qu'on va encore longtemps tolérer leur présence insultante au limousin et au Roy? Tout le monde s'incline et on trouve ça normal?
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Rassaln
*Gant droit enlevé alors qu'il rend sourire, et balaye du regard les gens avec qui elle discutait. Hoche la tête en guise de salut. La causante lui vient toujours pas. Donc observe, ça il sait faire. Ecoute, aussi. Les présentations faites, alors qu'à sa sénestre cède le deuxième gant, laissant apercevoir l'espace d'un instant une main brulée avant qu'elle ne vienne se tapir sous son mantel, et que les deux pièces d'étoffe viennent se ficher dans sa ceinture.
Un baiser et la proposition d'un verre. Allait s'exprimer, pour la première fois de la soirée. Oh, surement quelque chose de banal et d'indigeste, du genre "un verre? oh, effectivement, je tombe bien". Mais heureusement, le drame fut évité, par l'intervention miraculeuse et hautement diplomatique d'une noble limousine... Son visage ne lui disait rien, mais ses armes parlaient pour elle. Peu heureux qu'on s'amuse à réprimander son épouse, ouvre enfin la bouche.*


Et de quoi j'me mêle? La Comtesse est juste là...

*L'indique d'un signe furtif de la main.*

...et il me semble qu'elle a tout pouvoir pour décider, si oui ou non, ces gens ont le droit de se trouver là! Si vous alliez plutôt remplir votre devoir de conseil en lui donnant vos recommandations, plutôt qu'à nous bouffer l'air?

*Retour à Zya*

J'suis partant pour un verre avec... tes amis... Peut-être sont-ils de plus agréable compagnie et moins bruyants que d'autres qui ne peuvent s'empêcher d'en rajouter une couche...
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Zya62
Sourire qui se fige alors que les émeraudes se tournent vers l'ecuyère qui lui fait face. Ecoute son époux qui la dévance de peu, puis enchaine.

Ces présentations? Ce ne sont que pures marques de politesse de gens qui tentent d'être un minimum civilisés, Brad. Qu'on soit brigand, prélat ou riches héritiers, la politesse n'a jamais tué personne. Si j'ai envie de parler à une ancienne soeur, grand bien ME fasse. Cela ne te regarde aucunement. Tu trouves leur présence insultante? Moi, je vois le côté osé. Je cautionne? Non. Je condamne? Non plus... Je laisse ça à Aristote et ses sbires. Je rappelle au passage que le Grand Chambellan semble leur avoir donné autorisation d'entrer. Un officier de la Couronne donne un ordre, toi, en tant que membre d'un Ordre, tu n'as pas à le remettre en question. Ou alors, tu cherches avis qui passera au dessus. La plus qualifiée dans la salle, elle se trouve avec le Comte de Turenne, si ca peut t'être utile.

Frémissement imperceptible. La lieutenante pourrait se fâcher. Se contient, colère sourde, comme à l'habitude. N'apprécie pas qu'on remette en cause ses droits ou sa façon de faire. Un jour, on connaitre certainement maximes plus que d'autres. Une, notamment "Connais ton ennemi et connais-toi toi-même"
Pas connue et pourtant déjà une adepte de celle là. Elle, se connait. Elle apprend à connaître les autres... Et trouve que Brad devrait en faire autant... Se méfier de l'eau qui dort.

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Bradbury
Après sa sortie face à Zya, voilà qu'un troublion qu'elle ne connaissait point venait lui faire la morale, la belle affaire. Tête légèrement penchée sur le côté, sourire ironique. Elle se dit qu'il ne devait avoir aucun sens de l'humour.

Et à qui ai-je le déplaisir? Si Zya a quelque chose à me dire, elle le fera bien toute seule, elle n'a besoin de personne pour ça.

Puis se tournant vers Zya en haussant les sourcils.
Dis moi Zya, tu le connais qui est-ce?
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Rassaln
*Hausse un sourcil... Rend son sourire à "Brad", du même ton.*

Sachez tout d'abord que le déplaisir est entièrement partagé. Et qu'en conséquence, les noms n'importent que peu. Que vous chaut-il en effet de me connaitre, si vous n'y prenez aucun plaisir? Sachez également que tout comme elle, je n'ai besoin de personne pour me dire si je me dois de vous faire réponse ou non. Après tout, c'est également mon air que vous gaspillez et ternissez par votre présence dotée d'un attrait si non inexistant, pour le moins minime, il me faut l'avouer.
Au moins si votre répartie avait été pour le moins originale et intéressante aurais-je pu prendre quelques plaisirs à perdre mon temps avec vous, mais ce n'est, bien tristement, pas le cas... Mais bon, ma grande amabilité me perdra, et je ne peux rien refuser à une dame... Ainsi je me présente à vous, Rehaël d'Arduilet. Ce devrait amplement vous suffire... Satisfaite ou non, je n'ai pas prévu de passer la soirée avec vous... mais, et c'est bien parce que vous me paraissez hautement antipathique, que je vais me permettre de vous donner un conseil... les personnes qui n'ont pas apprécié de passer la soirée dans la même pièce que ces gens ont trouvé une solution formidable!! Ils ont pris la porte!! Fabuleux, ainsi, hop hop, plus de problème pour eux, ils n'ont pas à rester dans la même pièce que des gens qui les dérangent. Après, vous en faites ce que vous en voulez... Moi je dis ça juste pour rendre service...


*Service, oui... si pas à elle, à lui, au moins!*
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Bradbury
Ecoute sa diatribe en souriant. Voilà que la soirée devenait tendue, ça devenait intéressant et stimulant.

Ainsi, nous avons même déplaisir, que nous voilà donc un point commun !
Réhaël d’Arduilet, dites vous ? Hum ! Pourquoi cela devrait-il me suffire ? Etes vous si grand homme que je devrai être impressionnée par votre nom ? Non, décidément ça me dit rien du tout. En l’occurrence, la seule personne que je connaisse et qui porte ce nom est Dame Morgwen, pour qui j’ai grand respect du reste.

Quand à me donner un conseil. Si j’en avais eu besoin, je l’aurai mandé, aussi vous me permettrez de ne point en tenir compte, je n’ai pour l’instant pas le désir de partir.
Sachez toutefois que je m’adresse à deux personnes que je connais, et je leur parle sur le ton qui me plait, libre je suis, libre je reste.

Maintenant si comme vous le dites, vous n’avez pas de temps à perdre avec moi et que je gaspille et ternit votre air, n’en perdez donc pas davantage, je ne vous retiens pas Messire.


Puis se tournant vers Zya.

Oh! ne t'inquiète pas pour ça, la Comtesse viendra bien me sonner les cloches à un moment donné pour rentrer dans le rang.

Regarde Rebaile, plisse les yeux.

Il parait que je ne suis pas polie, alors b'jour la baile, on est vraiment désolé, on dirait qu'on a égaré vos invitations, pas bien ça!
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Kiyana
Kyana sourit à la Comtesse ainsi qu'au sire présent, elle s'inclina même, ne l'ayant pas vu et ne voulant pas paraître impolie.

Comtesse j'insiste, vous ne voulez pas un verre d'eau ? ou de jus ? ils ont pressés des pommes toute la fin d'après midi, je vais vous en quérir un.

La jeune fille têtue se dirige aux bords de la réception et voit son père avec son parrain, regard froid, qui cherche des explications ou mieux qui aimeraient être juste à cote comme les oreilles, pour savoir de quoi il retourne... mais laissons les, son père lui racontera, enfin elle espère, la jeune écervelé se demandait encore qui elle pouvait croire, et ce qu'elle pouvait croire, elle eut une idée, certes inconsciente mais qui ne tente à rien n'a rien lui disait on souvent !
Puis la princesse se lève, Kyana restait avec les deux verres, elle devait en prévenir la Comtesse.

Elle retourna auprès de la Comtesse avec deux verres de jus de pomme et lui en donna un


Comtesse... elle resta debout, presque figé, quoi que, elle gigotait comme une enfant j'aurai aimé vous poser une question, mais ce n'est ni le lieu ni le moment, pourrions nous rencontrer un autre jour s'il vous plaît ?

La princesse !!!

Oh et, la princesse Armoria s'en est allé, je ne sais pourquoi bien sûr mais la Comtesse Ewaele devrait le savoir...

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Alienaure
Valnor a écrit:
Bien le bonsoir Gente Dame, je manque à tous mes devoirs. Messire Valnor de Lande Morte pour vous servir.


Aliénaure déposa ses doigts dans la main tendue et abaissa la tête avec déférence.
Le Comte d'Aubeterre... Autant le visage ne lui disait rien, autant le nom sonnait quelque peu familier à son oreille. Outre le fait d'en avoir entendu parler par le Baron, sans doute l'homme faisait-il partie des nombreuses relations professionnelles de sa mère.


Aliénaure de Malemort, votre grace. Honorée de faire votre connaissance.

Elle se retourna et désigna sa sœur et la mini-incendiaire en culottes courtes à ses côtés.

Et voici ma soeur, damoiselle Lunedor de Malemort, accompagnée de damoiselle Mara, fille de notre Prévôt.
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Bireli
L’ambiance le met d’bon poil… les présentations s’poursuivent, il approuve les dires de Rebaile en souriant, levant un sourcil amusé, hochant la tête comme une marionnette correctement manipulée… un saint sur patte avec une jambe de bois, des ailes cramés, et p’t’etre même balafré… le discours de Linon est chopé au vol, elle pose sa marque, fait comme chez elle… qu’elle s’en prive pas, l’honneur s’doit d’être partagé…
Il lâche un sourire à l’homme qui s’joint au groupe, passe une pogne sur son crane rasé qu’il frotte négligemment et observe d’un air amusé les alentours… en arrière plan, mépris et fuite, ça évacue les p’tits minois offusqués et froissés d’leur présence… si l’rasé avait fait gaffe et s’était rendu compte que c’était l’Armoria qui prenait ses jambes à son cou, non seul’ment il aurait trouvé la scène ridicule mais aurait fait circuler qu’sans rien faire et sans lâcher un mot, Libertad f’sait fuir les dirigeants royaux… ceux censés avoir le plus de pouvoir, le plus de prestance dans cette partie du monde s’abaissaient, et laissaient la place vide à la troupe… laissaient Libertad poser à sa guise ses pas dans la société et reportaient la faute d’un banquet gâché sur d’autres, l’excuse est bonne, elle aurait pu l’être avec un peu de patience… mais il est toujours difficile d’assumer c’qu’on est…
Son r’gard se porte à nouveau vers l’futur padre, détaille l’énergumène, dod’line d’la caboche…


Salut à toi, Rehael, le p’tit jeunot t’serrait bien la pince mais parait qu’faut pas la serrer à n’importe qui… on va p’t’etre attendre d’faire connaissance… j’te souhaite bon courage pour la marmaille, si jamais t’as b’soin d’un croquemitaine pour lui foutre les j’tons quand il fait n’imp, pense à nous…

Alors qu’l’invitation d'rinçage de gosier allait être acceptée, enfin, ça sort… une emplumée fait éclater leur vérité au grand jour… ça fait du bien par où ça passe… comme quoi, sont pas les seuls à vouloir du beau dawa... le p’tit frisson qui t’dit qu’ça approche et qu’tout est possible… une odeur qu’il connait bien, qu’il réclame… une p’tite jouissance qui commence à grimper bien avant l’début d’l’action… juste les mots, la provocation et un sommet à atteindre en prenant des détours… jusqu’à parvenir à l’extase… l’rasé s’rappelle l’histoire contée à la morveuse de Sélène sur les royalos quelques heures plus tot… ils ont toujours raison et balancent leur vérité à la face du monde dès qu’il le peuvent, tentant d’maitriser les idées, d’imprégner les cranes de leur vision du monde… alors qu’s’ils s’occupaient tranquill’ment d’leur miches et laissaient les gens vivre, les protégeaient réell’ment, on arret’rait d’compter toutes les s’maines les poutrages sur les routes, les erreurs volontaires… d’ailleurs, il parierait même que quelques armées attendront leur passage plus tard dans les parages, juste pour avoir osé v’nir saluer leur enn’mi… parc’que tailler du différent, du résistant et d’l’alternatif a toujours été leur kif le plus total… pas d’bol, ils coupent un bras, trois autres surgissent… plus l’temps passe, moins ils ont d’soutien, plus une partie d’la société sent la rage grimper dans leurs tripes…

Il écoute attentiv’ment l’échange entre les trois à ses côtés, saisit les noms et les places dans un coin d’sa cervelle… chope les tons hautains qui s’dégagent du dialogue avec un p’tit air moqueur… en circonstances identiques, il aurait pas cherché à comprendre, certains méritent qu’des bourre pifs, la discussion est inutile et stérile… mais là, ça l’fait marrer d’voir d’la nobliote monter sur ses grands ch’vaux, et les Libertadiens et associés ont pas encore vraiment profité d’la place… la donzelle marque un pas en arrière, tout semble redescendre bien vite… son ton reste peinard, comme quand il explique à un gosse les différentes possibilités d’choix d’vie qui s’offrent à lui…

C't’une insulte aux brigands qu’tu viens d’faire… c’pas très aimable… en général, les causes à deux balles, ils ont en rien à carrer… t’sais, on évite de parler de c’qu’on connait pas, où si mal…

Sois fidèle à ton roi, incline toi, baise lui les pieds s’tu veux, c’ta manière de vivre… si on veut l’regarder dans les yeux, d'homme à homme et considérer qu’on lui doit rien à part des morts sur nos routes, l’anéantiss’ment progressive et volontaire d’la diversité des modes de vie, l’alignement d’une pensée unique, on en est libre… si on considère qu’on doit dépouiller des duchés, des mairies, des nobles, des aristos, des dames blanches et des licorneux, si on considère qu’ on doit coller des branlées à certains pour qu’ils comprennent, et peut être apprennent, c’qui est rar’ment l’cas, on s’pose pas d’questions, on l’fait… sans scrupules ni r’mords pour ma part… évite d’t’fier aux apparences et aux rumeurs… enfin, vu qu’vous vivez dans c’monde perpetuell’ment, j’comprends qu’ce soit difficile à saisir…
Et si j’dois te défoncer ton p’tit crane parc’que tu veux nos têtes, ça arriv’ra p’t’etre un jour, patiente… et pur’ment pour l’plaisir et l’adrénaline c’te fois… pas d’blanc, ni d’noir… que du gris et du rouge carmin, d’votre coté comme du notre…


Le corps bascule en avant, un murmure est adressé à la piailleuse pour conclure avant d’poser un coup d’oeil autour pour laisser les salutations s’poursuivre…

Si tu veux frapper, amuse toi, on attend qu’ça et p’t’etre meme qu’on attendra pas étenernell’ment qu’vous fassiez l’premier pas…

Et là, s’il avait eu celle qui aurait du s’insurger ouvertement au lieu d’se barrer comme une voleuse, il lui aurait proposé une affaire… mais vu qu’la princesse a préféré s’casser plutôt qu’d’affronter et d’recevoir ceux contre qui ses troupes se sont battues, et qui ont fait l’effort de s’deplacer… la proposition reste en gorge et lui s’ra adressée quand il l’aura en face de lui, un jour… si bordel il doit y’avoir ce soir, bordel il y’aura et sa main gauche sait à quel point du coté Libertad tout part très vite sans compromis…
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Diabolikbarbiturik
Je vous remercie...je vous la restituerais comme promis lors de votre départ de ces lieux. En attendant étant donné que vous semblez être admis ici autant vous détendre et profiter du banquet...

Dague en main, on pourrait presque penser qu’il la caresse du bout des doigts.
Un sourire sur son visage, elle n’aurait pu s’imaginer autant, elle lui répond par un clin d’œil.
Elle lui sourit en pensant pousser son vice un peu plus loin.


Puis-je avoir l’honneur de vous inviter à notre table, désignant celle-ci de la main,
afin que nous fassions plus ample connaissance,
où serait ce trop vous demander, peut être ne voulez vous pas vous
affubler à la table de quelques voyous qu’à vos yeux nous représentons.


Dis sur un ton moqueur, elle était déjà persuadée qu’il refuserait cette surprenante invitation.
Depuis quand quelqu’un de la haute s’afficherait il à une table de brigands.
Elle lui sourit largement et s’éloigne en direction de Linon.

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