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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Rassaln
*Besoin d'un croque-mitaine? S'en souviendrait. Répond par un sourire et un signe de tête. Ne peut en faire plus, coupé dans son élan par un bruit dérangeant... toujours la même, qui ne parvenait pas à comprendre qu'elle dérangeait... Lève les yeux au ciel. Désespérant...*

Mon nom devrait vous suffire car c'est tout ce qui importe. Nul homme n'est plus grand qu'un autre, sinon par la taille peut-être... L'une des choses que vous avez encore à comprendre, visiblement. Quant à la Dame pour qui vous avez tant de respect... je crains qu'elle ne porte plus ce nom depuis bien des années à présent... depuis que mon père est mort, en fait...

Quant à votre prétendue liberté... elle commence à empiéter sur la mienne! Mais certes, vous êtes libre... libre de vous trimbalez avec une épée en main, face à une femme enceinte et une troupe désarmée il y a quelques minutes à peine. J'ai cru vous comprendre membre d'un Ordre de chevalerie. Mais vous vous rapprochez clairement plus du militarisme de campagne...


*Ecarte son mantel, laissant voir Vérité à son flanc, sagement dans son fourreau.*

La véritable Chevalerie a plus l'habitude de dégainer seulement lorsque cela est utile. Seulement face à des adversaires pouvant riposter. Et hors des sentiers de la guerre, seulement pour défendre ceux qui en ont besoin... "La protection et non l'agression". Or ici, vous vous posez clairement en agresseur... ne me forcez pas à prendre le rôle de protecteur...

*Sourire franc et sombre à la fois.*

Mais comme vous le dites, vous ne me retenez pas... fort bien!

*Lui tourne carrément le dos, alors que d'autres reprennent la discussion. Tend la main à son épouse.*

Viens, mon Ange... Allons voir si nous pouvons trouver de quoi nous rincer la gorge. Après tout, nous avons été invités à un banquet, et non à une représentation guignolesque... et ton "amie Brad" ne m'amuse plus le moins du monde... Allons, trouvons compagnie plus accueillante un peu plus loin, je te prie...
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Ayerin
Aye était toujours et encore proche des portes d'la salle du banquet .. quand ses mirettes s'posèrent sur brune et rousse donzelles aux brillants ornements plus que seyant. En d'autres lieux, autre temps, elle aurait bien aimé y plonger ses mains sur ces parures afin de se servir et d'emplir ses poches bien vides. Mais promesse de ne rien faire de répréhensible avait été donnée .. donc pas d'maraudage de prévu !

Songe que ces belles ont des mines bien sombres. S'demande ce qui peut bien rendre ces Dames si grises. Hausse les épaules. Les bonnes femmes et leurs humeurs, ça ne s'explique pas, par contre c'est d'un lourd-dingue a subir !
L'en a marre la gamine. De quoi n'en sait rien. De tout certain'ment. L'ambiance qu'on lui avait promis semblait un leurre. Les banquets d'Royalos n'étaient pas si amusants. Ou alors, elle n'y connaissait rien à l'humeur joyeuse, sans avoir un ou deux verres dans l'pif.
Fallait donc remédier a tout ça. Un pas devant l'autre, dans le sens normal de la marche, n'allait pas non plus s'mettre a avancer a reculons, même si ça pourrait l'amuser, un temps, juste une s'conde.

A hauteur des tables.
Reluque plats divers mais qui a ses yeux semblaient plus que douteux. Hauss'ment de sourcils. Lorgne ces mets qu'elle était peu habituée à voir. Hésite du coup à s'bourrer la panse. Grimace qui s'étire sur sa trogne. S'dit qu'après tout, si elle crève en cette salle pour avoir grailler de ces drôles de plat, ça mettrait la famille en rogne, et ça boufferait d'la tatane. Se voulait charitable, prête a tous les sacrifices.
S'engouffre alors une part de viande suspecte dont l'odeur et le goût paraissait si fort qu'on aurait pu la croire sortie tout droit d'une morgue. Bouchées avalées, semblait encore de ce monde la gamine alors en enfilade, ne se priva pas, ni plus et en reprit de plus belle.
Pas rassasiée pour autant, elle continua son jeu gustatif. Mais lui fallait faire passer le tout. C'est que ça coince grave dans l'gosier de s'empiffrer. Passe d'la bouffe à la boisson. Cette fois ci ne se pose aucune question et chope une bouteille s'trouvant face à elle. Evite de boire au goulot, et s'remplit un verre fort délicat.

Eclats de voix.
Une brunette semblait colère. Décidément, elles frôlent toutes la crise de nerf. Seraient-elles toutes enceintes, en proie a leurs hormones ? Reluque le bide de la brunette, pas d'rondeur en visuel, pourtant ça clame haut et fort qu'Aye serait brigande.. Sourit de plus belle la môme, et de toutes ses dents. Ça la ravit même, le mot choisi étant un brin rempli de gentillesse, presque aussi doux qu'une caresse !
Ne perd pas une miette du reste des tirades, entre un homme et la crieuse, et de celle qui semblait n'pas craindre les rouges mais elle était enceinte, han... une de plus, de trop !
Ce monde allait-il être rempli de fouine. S'avala un autre verre afin d'oublier cette pensée. Noyer cette vision horrible d'une colonie de fouine qu'elle devrait supporter sans pouvoir les mater.

Nouvelle voix. Bien connue celle-là, ronde et rauque.
Celle du rasé. S'jette autres verres dans la pomme afin d'saluer ses mots ou maux.
Ça parle de princesse, de Roy, de baston, de fauchage, ça gouaille juste et prompt … un jour elle en fera de même s'dit-elle, pis sourire en coin, s'dit que non, les mots n'ont jamais été d'son goût, ça l'ennuie la parlotte, du coup préfère laisser cela aux autres.


Salud y Libertad !

Mais pour l'instant, l'esprit se trouble, et ne comprend pas vraiment l'sens du discours, en perd même le fond, sauf celui d'son verre dont l'cul semblait plus que vide... …
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Catherine de la Beaume-Cornillanne dicte Ayerin
Zya62
Elle avait trouvé quelques instants que la situation était... amusante. Là, le côté "cour de récré" la lassait. Fixe la Dame, puis la main tendue. Et y dépose la sienne pour en serrer les doigts. Secousse de la tête.

Tu m'excuseras si je préfère la compagnie de mon époux? Le côté provoquant que tu arbores m'incite à aller ailleurs. Lassant. Je te laisse à ton... "amusement".

Allons prendre ce verre dont nous parlons depuis quelques minutes, oui...


Et de suivre son époux vers la salle de banquet. Trop d'agitation. Atmosphère qui la révulse.

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Libertaa
Elle s'observait, critique, accroupie devant une flaque d'eau, étudiant les traits fins de son nez retroussé, la courbe de ses cils, sa petite moue et ses quelques mèches brunes rebelles. Elle aurait bientôt cinq ans mais avait l'impression d'être plus grande que ça encore. Bien plus grande que 5 petits printemps et beaucoup de dents. Un rat glissa entre ses jambes pour venir agiter ses moustaches juste sous son nez. Un sourire éclaira son visage tandis qu'elle caressa du bout de l'index CriKrok son animal de compagnie. Distraitement, elle l'attrapa et le porta tandis qu'elle prit la route de la première taverne venue, cherchant sa m'man à peine retrouvée. Peut être qu'elle y croiserait à nouveau l'ogre sauve et son Oizelle. Elle les aimaient bien eux, surtout lui parce qu'il racontait bien les histoires. Il faut dire qu'elle adore ça les histoires, surtout celles qui font peur, avec des sorcières et des ogres et des monstres avec un seul oeil. Un rire glissa entre ses lèvres tandis qu'elle repensa à son tonton, puis le rire s'emballa et devient fou tandis qu'elle s'effondra par terre, toute rouge de rire à ce point. Les larmes coulent sur ses joues tandis qu'elle tente de retrouver son calme vainement, ne cessant de penser à son oncle. Il faut dire qu'avec un seul oeil, il est trop drôle! Comme les monstres de ses zistoires, mais en bien plus zentil.

Ouhhhh CriKrok, z'ai failli mourir, tu as vu?

Le souffle se reprend facilement tandis qu'elle nettoie sa robe pour être toute belle lorsqu'elle verrait sa m'man. Mais de lune aucune en taverne, ni de p'pa. La moue se fait boudeuse tandis qu'elle prend place à côté d'Azzera et d'Ermy. Les hommes entrent et sortent tandis qu'elle apprend que la Reyne est dans le Très Haut du ciel avec le Dieu. Elle réfléchit quelques minutes, mais tout ça la dépasse. Le Très Haut de quoi? Peut être tout en haut de la taverne? Sur le toit? Peut être que la Reyne regarde le soleil? C'est bizarre, elle ne se l'imaginait pas comme ça. Puis un homme entre, sort son épée et sans crier gare se jette sur Erm' et elle, qui lâche un hurlement apeuré! Les hommes sont fous, elle le savait bien! Et voilà que ça cri de partout en taverne, les uns contre les autres tandis qu'elle n'y comprend rien et pleures de peur. Il voulait peut être la mettre en caze? Encore un? Mais elle n'avait rien fait! Promis c'était pas elle qui avait volé le pain oublié dans la taverne l'autre jour, c'était son rat! Alors pour la calmer, Azzera lui propose de faire un dessin pour la princesse Armoria, qu'elle accepte avec joie, n'ayant pas l'habitude de dessiner quoi que ce soit. Les paroles de la veille remontent en sa mémoire tandis qu'elle les chasses d'un coup de plume sur la feuille. Elle ne fait rien de mal, elle dessine, et elle, elle veut voir la princesse, ses robes et ses bijoux, et puis elle voudrait bien voir le Roy ensuite. Surtout sa couronne, elle adore les couronnes, surtout depuis qu'elle a pu jouer avec celle du Duc de Poitou. La langue sortie, concentrée, elle s'applique à dessiner un zéléphant, une sorcière et la princesse, entre quatre gribouillis et cinq tâches d'encre. Un vrai chef d'œuvre juste pour l'Armoria! Digne des plus grands peintres, au moins.
Puis après avoir donné le vélin à Azzera et avoir prit la main à Erm, elle s'en alla retrouver sa mère.



Quelques rires sur la route, Libertà suit les personnes bien vêtues se rendant au bal organisé pour le Roy. Les étoiles se mettent à danser dans son regard tandis qu'elle les suit, impatiente de voir le pestacle. Ca n'est pas tout les jours qu'elle voit des princes et des princesses! Encore moins le Roy!
Se faufilant dans la foule, croisant les jambes de tous et toutes, elle cherche parmi les invités quelques visages connus. Cherchant autours d'elle une m'man au ventre bien rempli, un sourire éclaire son visage tandis qu'elle aperçoit l'ogre et ses amies parler à des inconnus. Des royalos pense-t-elle. Enfin elle croit. Il faudrait qu'elle étudie la question pour être sûre d'avoir tout comprit.
S'approchant de la petite bande, elle rangea son rat dans sa poche et dit:


Bonzour l'ogre!

Elle réfléchit à ce qu'elle pourrait lui dire d'autre, il a dans son regard une étincelle de plus qu'hier soir, une qu'elle ne connait pas et qui la met mal à l'aise. Elle se met à rougir, consciente de n'avoir pas sa place ici mais elle s'ennuie toute seule en taverne...

Z'espère que t'as pas vu de sorcières hein... Peut être qu'elles t'ont zeté un sort!

Ceci expliquerait cela.

Ze serse m'man tu l'as vu?

Puis elle attrape sa manche et le tire vers elle pour chuchoter à son oreille:

Dis c'est ça des royalos?

Le nez se plisse, l'air se fait perplexe, Libertà apprend et adore ça!
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Bradbury
[Le Banquet : la farce continue !ou comment la noblesse n’a plus rien de noble, la mienne comme la leur !]

C't’une insulte aux brigands qu’tu viens d’faire… c’pas très aimable… en général, les causes à deux balles, ils ont en rien à carrer… t’sais, on évite de parler de c’qu’on connait pas, où si mal[…]évite d’t’fier aux apparences et aux rumeurs… enfin, vu qu’vous vivez dans c’monde perpetuell’ment, j’comprends qu’ce soit difficile à saisir…

Ce qui vaut pour l’un, vaut aussi pour l’autre. Quand à l’insulte, c’est vous qui l’avez faite par votre présence ici même, dès lors ne vous étonnez pas d’en recevoir la pareille.

Si tu veux frapper, amuse toi, on attend qu’ça et p’t’etre meme qu’on attendra pas étenernell’ment qu’vous fassiez l’premier pas…

Lui glisse en murmure aussi.
Je ne vous ferai pas le plaisir du premier pas…Mais comme vous avez pu le remarquer, personne ne viendra me porter secours, et vous avez pour vous le nombre.

Puis écoute sereinement le donneur de leçons qui disserte sur la chevalerie selon himself. Trop fort, le bougre. Professer une telle culture à elle l’inculte, elle en était…coite. Puis la suprême insulte : le tourner de dos à l’insolente qu’elle était, joli !
Elle eut du mal à se retenir de rire. Puis entendant la voix de Zya.


Tu m'excuseras si je préfère la compagnie de mon époux? Le côté provoquant que tu arbores m'incite à aller ailleurs. Lassant. Je te laisse à ton... "amusement".
Allons prendre ce verre dont nous parlons depuis quelques minutes, oui...


S’inclinant légèrement devant Zya. (Seulement elle, faut pas pousser non plus, c’est un exercice qu’elle a du mal à faire.)
Je t’en prie , fais donc !

Puis se retournant vers les Libertad, encore à l’entrée, elle fait un grand geste d’invitation vers l’intérieur.
Entrez donc, vous êtes les bienvenus. Je vous souhaite la bonne soirée !


Puis ses yeux se reposent chaleureusement sur Rebaile.
La Baile, contente de t’avoir revue !

Puis remettant son épée dans son fourreau, elle quitte la scène granguignolesque de la représentation de la noblesse Limousine, la sienne y compris, en ce qui concerne l’accueil de leur Roy.
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Dragonet


Tout en sirotant son verre en compagnie de Kazert, Dragonet suivait attentivement l'evolution des choses.

A coté d'une noblesse courtisane, prompt à attirer l'attention, les honneurs et le lechage de pompe, il s'en trouvait une autre plus proche du peuple, des gens, et celle ci n'en était pas moins digne bien au contraire.

Il observa le jeune Rehael et sa tendre epouse, et songea combien Rassaln aurait pu être fier de son fils. Il se rappela de leur discussion avec Nyu tout les 3 sous un orme.

Le jeune homme était brillant sans être pedant, fier sans être arrogant, élégant sans être precieux. Et sa femme lui semblait fort bien assortit. Les libertads avait sans doute beaucoup à apprendre de cette noblesse, qui vivait d'honneur et de valeurs, et non pas de faux semblant et de prestige.

Une rumeur pretendait déja que la princesse avait décidé d'arborer sur le Roy sur une estrade pour le montrer.. au peuple.. traduire par là permettre à des Nobles arrivistes ou en déclin de se faire bien voir de la dite princesse. Il songea au voyage de la Reyne où celle ci venait en taverne et discuter avec le peuple, et pas seulement quelques suzerains.

Il se demanda si le mieux etait de s'inviter à la fête ou au contraire de ne pas en tenir compte.

Il se demanda un instant si Armoria la faible en se cachant sans cesse derriére le Roy était consciente qu'on devais du coups ternir l'image du Roy pour l'atteindre et que lui de le proteger ou de le faire aimer, en agissant ainsi, elle ne pouvait faire rejaillir son incompetance sur sa majesté, tout comme sa majesté ne pourrait faire rejaillir son désintèrêt pour le peuple sur la princesse.

Loin de se fortifier, le duo ne cessait de se fragiliser mutuellement.La qualité des membres de la curia n'y changerais rien.

Il fit un signe discret à rehael et à Zya, les invitant à sa "table".
Valnor


Citation:
Aliénaure de Malemort, votre grace. Honorée de faire votre connaissance....Et voici ma soeur, damoiselle Lunedor de Malemort, accompagnée de damoiselle Mara, fille de notre Prévôt.


Le Comte d'Aubeterre fit le baise-main à la Dame qui finissait de se présenter ainsi que les autres dames présentes.

- Aliénaure de Malemort...Lunedor de Malemort ? dit-il en relevant la tête. Aurai-je le plaisir de recontrer les filles de la Comtesse Nebisa ?

Il lança un sourire à la petite fille qui restait collée contre la robe d'une des deux jeunes femmes.
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Le Comte d'Aubeterre fit le baise-main à la Dame qui finissait de se présenter ainsi que les autres dames présentes.

- Aliénaure de Malemort...Lunedor de Malemort ? dit-il en relevant la tête. Aurai-je le plaisir de recontrer les filles de la Comtesse Nebisa ?

Il lança un sourire à la petite fille qui restait collée contre la robe d'une des deux jeunes femmes.
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Lunedor
Non, bien sûr que non voyons. Que diable pourait-il vous faire accroire cela? Nous avons le même nom de famille mais c'est là pure coïncidence vous vous en doutez bien.

Elle l'a dit d'un ton qui se veut espiègle mais où pointe un soupçon de morgue. Rencontrer sans cesse des gens nouveaux est parfaitement épuisant. Pour la plupart, ils ne se rencontreront plus jamais, ou dans longtemps sinon. Et tout sera à refaire.

Quelques mots trottent dans sa tête, prononcés légèrement mais inscrits au fer rouge dans son esprit. Un espoir tapi qui renaît mais a peur de s'envoler par crainte de s'écraser au sol.

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Aphelie

Accolade à la lune,
Et sourire qui revient quand elle demande depuis quand ils attendent sagement pour entrer.
Se pose la question une seconde...
Mais pas de réponse.
Ouai y’sont surement cogner la tête, pas possible autrement.
Elle suit le mouvement jusqu’à l’entrée.
Dépose son épée et sa dague dans les mains d’un garde résigné à plus vérifier la liste des invités ou les invitations.
C’est qu’les camarades ont pas du jouer dans la discrétion à coup sur.
Quelques pas à l’intérieur, salut aux compagnons présents.
Ils sont déjà en pleine conversation.
Après on dira qu’ils ne savent pas s’adapter au milieu environnent.
Connerie ouai !
A les regarder de l’entrée c’est p’tet même eux les plus à l’aise dans l’histoire.
Même si elle a pas l’habitude de les voir fringuer comme ça.
Comme quoi quand on n’a pas un balai dans l’cul ça passe mieux...
Sort de sa contemplation aux mots murmurés.
Baiser rendu, clin d’œil complice,
Et l’rasé prend le chemin du beau monde et elle se dirige vers la picole.
Pas question d’leur décrocher un mot avant d’avoir siffler un ou deux verres.
Bein quoi, faut bien s’mettre en condition na ?
Et ce vin...faut dire s’qu’y est vrai...il a bon gout.
Les yeux rivés vers la porte, un verre à la main,
Elle ne peut que constater qu’la salle ce vide à vu d’œil.
Regard vers la droite, sourire à la vue d’une Aye qui s’régale.
S’approche d’elle doucement et lui murmure...


Si tu choppes une saloperie avec la graille ça s’ra bien fait...j’suis sur qu’en nous voyons ils ont pissé dessus en cuisine.

Lui sourire et lui montrer la porte du menton.

Ça s’carapate vite un royolos...J’ai comme l’impression qu’le Roy va pas v’nir ici. J’crois qu’la fête s’passe ailleurs maintenant qu’on est là...

Porter le verre à ses lèvres en s’demandant si elle va pas les suivre.
Rire sadique à l’intérieur...
Même pas la peine, c’est truc la ça s’repère de loin et ça claque des sabots en arrivant.
Ils l’entendraient l’couronné...
Rassaln
*Main dans la main, alors qu'ils avancent, se penche légèrement vers elle et ajoute, sans se soucier d'être suivi ou entendu.*

J'espère, mon bel Ange, qu'il est clair entre nous que je n'ai nullement fait cela pour les Libertads, dont la présence, je dois le dire, ne me fait ni chaud ni froid. Ni même par gout ou désir de me prendre le bec avec la première venue. Il est juste qu'il m'échauffe l'esprit que l'on puisse venir s'adresser lame au poing à mon épouse sur un ton qui ne me plait pas... Ne t'en offusque pas, je connais ton répondant, et sais que tu n'avais nul besoin de moi pour t'en défendre. Mais je ne pouvais décemment pas laisser quelqu'un venir te faire ainsi la leçon sans réagir. Cela dit, chacun de mes mots était pensé, il ne me viendrait pas à l'esprit de ne pas révéler le fond de ma pensée juste par esprit de contradiction...

*Un sourire sincère à son adresse, un regard pétillant à présent. L'acier même peut être adouci et perdre sa froideur. Preuve en était ici.*
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*amalinea*
Pas moyen d'être tranquille à cette sauterie royale. A peine, La Baile tente de lui présenter un belle quoiqu'un peu blanchâtre au gout de la Souris, que se pointe le menton morveux, le verbe acide mais de piètre prestance, une représentante de l'ordre armée. Petit sourire qui se pointe en coin. Note mentale pour réflexion ultérieure : Libertad a t' il propriété de repousser royales damoiselles et attirer métal forgé. Serait ce un hasard que tout ce qui semble porter titre en bandoulière comme pour se rassurer d'avoir ainsi épaisseur, connaissance, pouvoir et honneur se carapatent à la vue de quelques malandrins en recherche de libations gratuites et pitreries sans lendemain et que le métal des forces régaliennes plus ou moins auto proclamées brillent presque autant que le sourire des donzelles libertadiennes ? Haussement d'épaule quand à l'étrange coïncidence.

Néa n'attend pas la fin des tirades entre l'armée et le couple, pourtant fort aimable, laisse en plan La Baile, la Diab et s'en va promener ses moustaches dans les coins et recoin de la salle.
On la dit indépendante, si elle l'est la Souris n'en a pas vraiment conscience ou n'en a pas cure, elle sait seulement qu'elle suit ses envies sans chercher à vérifier si on lui emboite le pas ou non.

Frôlant, Ayerin et Aphélie en débat culinaire, Néa leur glissera en passant, le ton plus offusquée que l'Armoria sur le départ, qu'elle ne leur conseillait pas de minauder sur les plats étant donné qu'elle en était la préparatrice et qu'elle ne souffrirai aucun sous entendus quand à leurs qualités.

Sans attendre la réponse, Néa s'est de nouveau perdu dans la masse des présents.
Disparue sans laisser d'adresse? Partie? Furetant ici ou là ou elle ne devrait pas être ? Oncque n'eusse put le dire.
Zhuyanzhang


Banquets aprés banquets,un tour du royaume de france , Zhu se demandait comment il allait pouvoir revenir dans le languedoc, pauvre Ong shu il lui restait encore beaucoup de kilometres a parcourir .


Regardant comme a son habitude les gens allait et venir le baron, vit Messire Dragonet, qu il avait déja rencontré jadis,mais il ne se rappelait plus ou est dans quelle conditions , bref la soirée se passait au mieux en core quelques jours dans ce duché, qui vu jadis un grand homme disparu ,Sénael!


La nostagie encore elle revenait , Zhu se souvenait du VIENS en autre ..............

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Nebisa
Le Comte Valnor s'étant retiré, la Malemort se tourna vers la jeune Kyanna.

Je vous écoute jeune fille...

La princesse avait quitté la salle ? Bigre... et bien au moins voilà qui réglait la question... bien la peine que le Limousin se donne autant de mal pour en finir comme ça... Le sourcil haussé, la Comtesse venait de prendre la décision de profiter quelques jours de plus du Limousin... le temps de procéder aux anoblissements du conseil précédent, et à l'octroi de la seigneurie de Lune', brefs ce qui était prévu pour ce soir et qui s'avérait annulé...
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Kazert
Les informations font rire Kazert et elles le surprennent. Tout en dégustant son verre de vin, il songe a l'offre que Dragonet viens de faire. Pourquoi pas, après tout il allait être son parrain......
Kazert suit le regards de Dragonet et comprend de qui il parle.


- Nous lui demanderons, ensemble.

Il écoute ensuite attentivement Dragonet et ne montre pas sa surprise lorsqu'il apprend que celui-ci n'as pas une bonne santé. Peut étre on t'il plus de points en commun.....Quoi que pour kazert, cela n'as pas l'air grave pour le moment.
L'homme vide cul sec son verre de folie et montre une insouciance a la mort qui est surprenante.
kazert ce dit de même après tout la mort n'est qu'une étape vers l'enfer, autant en profiter ici bas .


- Je suis d'accord avec vous, il faut vivre pour mourir et vivre bien , avec honneur et bravoure.

les deux hommes discutent de tout de rien, des couvents...
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Zya62
Je me doute bien que ce n'est pour eux que tu agis, mais bien pour l'attitude en général de la Dame.

Ecoute la suite, et esquisse un sourire... En effet, il l'avait ni plus ni moins muselée, coupé l'herbe sous le pied. Du coup, elle avait continué sur un ton sec à dire trois phrases qui perdaient un peu de leurs sens après son intervention. Mais ce ne la dérangeait pas plus que cela. Ils étaient souvent sur le même plan, pensant sensiblement la même chose.

Ca ne me pose aucun souci, que tu prennes ma défense. Au contraire... même si ca m'empêche d'entretenir ma réputation nouvelle chez les Dames Blanches *rit* Mais tu as raison, ce n'était pas... malin, son intervention. Comme si tu n'allais pas réagir... *main qui passe sur le ventre, motif pour elle de son action à lui, entre autre. Tête qui vient d'appuyer un instant sur l'épaule de son époux, comme elle accuse le coup de la soirée, alors qu'ils progressent dans la salle, capturant un signe qui leur est adressé* Tiens... Le Vicomte Dragonet nous fait signe...

En face, la famille, celle qu'il connaissait peu. Et elle savait qu'il ne demandait qu'à la connaître. Relève le regard pour se fondre dans les profondeurs de ses yeux et lui rend son sourire.

Tablée ou buffet?

N'attend pas la réponse.

Tu sais, la réciproque est vraie. Je n'ai pas apprécié qu'elle vienne avec son arme à la main. C'était purement chercher les ennuis. Et bon, je n'aurais pas voulu que tu... que nous y soyons mêlés. Ce n'est pas ce que je cherchais en allant parler à 'Baile. C'était juste... parce qu'ils m'interessent.

Haussement d'épaules alors qu'une fois de plus, elle ne dit clairement ce qu'elle avait craint. Et elle se redresse, alors qu'elle emprunte la même direction que lui, pour chiper deux verres au passage d'un serveur dans la salle.

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