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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Carmody
Les yeux qui arpentaient la salle, parcourant les visages. Et bien que de beaux monde en ce jour, visages connus, visages inconnu. Oh mais ceux ci... Non ce n'était pas si important, il verrais plus tard et d'autre s'en chargerait, il peut les ôter de son esprit pour le moment. UN profond soupir s'échappa de sa gorge et il laissa tomber son masque mondain une fois de plus, il était chez lui après tout ça ne servait a rien tant qu'il n"avait personne pour en profiter.

Cela faisait des jours qu'il avait des absences et il avait penser que la présence de nombres de ses amis au cours de cette réception allait les faire passer mais ce n'avait été le cas. Ses esprit lui revinrent alors qu'une traction se fit son bras l'emmenant vers une le buffet avec une renarde affamée et gourmande de découvertes. Lui même ne se sentit pas tant d'appétit, il se contenta de picorer dans les plats avant de porter les mets avec lenteur a sa bouche.

Nouveau soupir alors qu'il jeta un regard circulaires autour de lui et il lâcha une phrase qu'il regrettera surement très longtemps.


Ce n'est pas aujourd'hui qu'on va te trouver un poisson je sens. Enfin si tu vois un minois qui te plais prévient moi au moins.

Et voila déjà son humeur était retombée, il allait lui falloir prêter attention a ce qu'il a lui importait le moins des hommes. En ce encore plutôt qu'il ne l'aurait cru, voila que la salle s'étant progressivement vidée, le spectacle se met en branle. Que d'importance ce donnait le trublion libéré. Voila qui mériterait peut être qu'on écoute en mirant les gesticulation digne d'un troubadour répétant sa performance apprise pour plaire au nobliaux. Mais celle ci fleurait bon une senteur de nostalgie, celle là qu'il avait connu dans les quartiers de Paris où l'on disait qu'il n'avait sa place. Un sourire revint su son visage, il pencha la tête et ses yeux se focalisèrent sur les flammèches. les lueur dansaient dans son regard, les pupille se dilateraient a la joie de revoir un feu libre, ses doigts se remirent a jouer entre eux sous l'excitation que les feux exerçaient sur lui. Mais la naissance de la Beauté fut écrasée au pied. Nouvelle mort d'un intérêt retrouvé pour la soirée.

Nouveau envolée de voix dans l'assistance. le regard du Carmo reprit vie un instant pour regarde ceux qui s'exprimait puis encore un soupir, lui s'échappa de lui comme le signe d'un profond sentiment. Était il bien toujours dans le Limousin qu'il avait connu et qui lui avait appris a l'aimer? Qu'es ce qui qui avait bien pu se passer que qu'on en arrive a de tel choses? Une certitude touts de même, ce soir ne serait pas le sienne la lassitude de voir se réaliser ce contre quoi on l'avait prévenu et ce qu'il n'avait jamais cru pouvoir assister un jour tant il aimait le limousin et ceux qui le peuplaient le prenait comme une chape d'acier se refermant sur lui même. Oh qu'il avait avait aimer les temps anciens mais se complaire dans le passé et dans ce qu'il avait représenté avec ses grande figures en ce comté, d'ombre et de lumière tant il se plaisait ans les deux, ne servait a rien. Mieux valait laisser les ignorants, qui pensaient toujours tenir encore le destin de plus qu'eux même entre leur mains, s'agiter et discuter comme a leur habitude.

D'une voix monocorde et les yeux vides, il se détourna.


Finalement je vais prendre l'air, resta au chaud si tu le désire, Renardeau. Je ne t'avertir pas sur la honte a ton nom tu y arrive bien mieux que moi. Je suis las du spectacle offert ce soir.

Ainsi, l'Enfant terrible pris la direction des jardins , laissant derrière lui musique, animation et discours. si certain avait voulu le voir, ils sauraient le trouver, sinon ce ne devait être important. Son amusement était passé. Errant entre les arbres et parterre, il resta enfoui dans ses pensées.
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Arthaud


Arthaud vit avec plaisir dame Tiboulola s'approchait d'elle. A ses paroles ,elle sourit

"chère dame ,je suis ravie de vous retrouver en ces lieux; Pour répondre à votre question,il me reste encore à patienter au moins deux mois et demi ,si je ne mabuse. Mai sil est vrai que je suis énorme ; j'espère qu'il y a pas deux enfants car Plum va en faire un malaise."

Elle rit à cette idée ,heureuse de croiser un visage amicale. Elle avait vu Zakuro se dirigeait vers la sortie mais celle ci ne l'avait point vue.

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que trépasse, si je faiblis
Linon
Suçotant délicatement ses doigts un à un, la panse repue et les jambes étendues, Linon digérait confortablement adossée dans son fauteuil de luxe. Elle éclata d'un rire d'ivrogne en voyant Bireli grimper sur le trône, y laissant l'empreinte déterminée de sa botte puis foulant le délicat linge fin armorié de la table qu'il balaya avec fracas.
Enchantée du spectacle, elle se levait en chancelant un peu pour participer à la danse quand un olibrius se mit à brailler des trucs au sujet de la fierté et de la noblesse limousines...
Cela finit de la mettre en joie et sans bien comprendre à qui elle s'adressait, elle s'approcha et lui ricana au nez


M'enfin... euh... machin.. qu'est-ce qui te prend de brailler comme ça? Ils sont tous partis comme des couards ! Ne restent que ceux capables d'écarter leurs oeillères deux minutes et de penser par eux-mêmes semble-t-il.
Les autres... bah... 'savent pas gérer l'imprévu, la surprise des rencontres, le nid de poule qui fait cahoter la charrette sur le chemin tout droit... pouf ! Ils sont tombés !! Regarde...
suivant des yeux une rouquine qui lui rappelait furieusement une de ses proches amies... C'est pas la comtesse celle-ci? Ben elle se tire, pareil, et nous laisse le château ! C'est pas un signe du Très Haut, ça?
Tiens, à propos de lui, je suis sûre que tu es un bon aristotélicien tout comme moi, et voir toute cette mangeaille donnée aux chiens alors que tant crèvent de faim, ça te révolte, tout comme moi, non?
Bireli a raison, demain, distribution !! On en donnera même au roi si tu veux ! Allez, viens m'aider au lieu de brailler !


Et Linon attrapa une nappe pour emballer un pique-nique gargantuesque, tira dessus d'un geste qu'elle tenta de rendre ample et majestueux, mais qui s'avéra inefficace du fait de la carafe de vin précédemment vidée, et dut s'y reprendre à deux fois, précipitant au sol la vaisselle qui s'écrasa au sol dans un joyeux tintamarre cristallin.

Oups! Désolée...
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« Avais-je raison ? Voyez comment l'amour change en bêtes les gens d'esprit ! »
Tiboulola
D'ici deux mois et demi ...après réflexion, Lola répondit.

Je pars escorter le Roy jusqu'en Anjou mais je devrais revenir vers la mi décembre, comme ça je pourrai enfin passer la Noël avec mes enfants. Puis si vous le souhaitez toujours, je pourrais venir à Guéret vous accoucher. C'est toujours un plaisir de soutenir une mère donner la vie.

La Vicomtesse tendit la planche en bois vers la Dame.

Un petit creux ?
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Libertaa
De voiles et de taffetas, de soieries en broderies, d’étincelles en flammes, la soirée était magique pour le regard azur qui, bien qu’écoutant avec attention les dires de l’ogre sauve, observait alentours les belles dames et beaux môssieurs se regardant en chien de faïence. Que l’air était chargé de bien d’animosités ne l’effleurait même pas, pour elle, elle était au paradis, il n’y a rien de plus à dire. Son ventre gargouille, affamé alors que maintes délicieuses odeurs chatouillent ses petites narines. Le banquet non loin d’elle attire sa gourmandise mais en petite fille qui se respecte, elle attendra un peu avant d’aller piquer quelques petites choses à manger, au moins qu’Alfred le rouge finisse de lui parler. Et puis il faut dire que le libertadien, il parle bien. Il lui raconte des histoires au moins. Enfin une. Mais une c’est déjà beaucoup lorsqu’on a presque cinq ans, on passe des jours à la retourner dans tout les sens, on y ajoute d’autres héros, d’autres personnages, quelques zéléphants et des zirafes. La rivière de sang devient rivière cristalline, la forêt devient moins menaçante. Bref à cinq ans bientôt, on enjolive tout, on oublie les querelles d’hier, les cris des uns, la caze et les abandons. Pfiou en un petit battement de cil, les soucis s’enfuient jusqu’au jour ou…
Mais ça c’est une autre histoire.
Elle rit à sa menace et lui tire la langue, mettant sur ses petites hanches potelés deux poings, prend une voix grondante comme elle a déjà vu faire et lui dit, sans peur aucune :


Attention l’ogre si tu continues ze vais te manzer, tout cru !

Le rire la saisit parce que la situation est comique il faut le dire. Il lui parle de manger alors que ripailles et festin font place à leurs côtés. Comme si Li était plus appétissante qu’une belle cuisse de dinde napée de sauce odorante ! Du n’importe quoi oui !
Le regard s’ouvre à l’invitation tandis qu’elle hoche la tête, avide de voir quelle surprise il lui réserve. Puis il monte sur le trône tandis qu’elle se remet à rire ! Qu’il est drôle quand même ! Un ogre sur une table ! C’est encore plus drôle que dans les histoires qu’elle raconte seule à CriKrok ! Ce qu’il dit, elle n’y comprend pas grand-chose mais il parle à tous comme si il était le Roy lui-même. Est-ce que un Roy c’est censé monter sur les tables ? Elle fronce des sourcils, pensive. Il faudrait qu’elle demande ça à Azzera, elle saurait certainement la réponse. Puis hop. La terre tremble sous le saut de l’ogre qui va chercher la blonde libertadienne pour la faire danser sous le regard étoilé de la mioche qui repense à son amoureux qu’elle n’a pas vu depuis trop longtemps. Il faudra qu’elle prenne le temps pour demander à sa m’man d’écrire sa lettre de réponse. Son seul vrai ami lui manquait fort fort fort. Si il était là, elle aurait fait comme le sauve, elle l’aurait emmené dansé, lui prenant la main timidement, rougissante, riant à ses balbutiements qui diraient :


Mais dame Li, j’suis qu’un gueux, j’peux pas danser avec une noble, Dame Fitzz ne voudra pas… Et blablabla.

Ce à quoi elle aurait répondu :

Et ben z’fais comme z’veux, moi z’veux danser avec toi ! Et un zour, ze me marierais avec toi !

Elle en était là de ses rêveries tandis que les voix se mettent à tonner dans la salle, la faisant sursauter. Qu’elle idée de crier dans pareille endroit ! Ils vont faire peur à son rat ! Et un rat qui rampe dans un tel banquet, parmi noblesse et bourgeoisie, ça ferait tâche, encore plus si l’un deux écrasait par mégarde son animal de compagnie. Parce que là il faudra que tous se mettent à l’abri pour éviter la colère et le chagrin d’une petite fille de Libertadienne. Et pas n’importe laquelle ! Sélène la plus belle ! Pour sûr que si pareille incident arrivait, les foudres de la fillette seraient terrible. Qu’ils crient donc, elle va les laisser se calmer. On lui avait dit un jour que la meilleure des armes était l’ignorance. Un coup d’œil à l’enseignant danseur tandis qu’elle relève le menton, fière, qu’elle croise ses petits bras contre elle et qu’elle passe devant les gueulards comme si ils n’existaient pas. Tiens prends ça mosse pas beau qui pue du bec. T’es même pas drôle en plus.
L’Ayerin sorcière est aperçue, un petit sourire monte sur les lèvres de l’enfant, contente de la voir malgré le fait que ça n’est qu’une vilaine méssante. Elle lui tire la langue pour la saluer avant de s’enfuir de peur des représailles. C’est que l’Aye ni va pas de main morte lorsqu’elle envoie un claquot sur la tête de sa presque sœur. Une vraie bougresse. Mais Libertà ne la tuera pas. L’ogre lui a fait comprendre que ça n’était vraiment pas une bonne idée. Elle se contenterait juste de lui « marraver sa race » lorsqu’elle sera suffisamment grande.
Pour le moment, elle n’a que quatre ans, onze mois et deux semaines. Presque cinq ans ! Pour le moment elle est entourée de robes et de beaux pantalons comme elle n’en a jamais vu ! Elle passe près d’une table appétissante, pique une pomme et cherche d’autres personnes connues dans la foule.

Non loin de là, veillant à ce que tout se passe bien, Azzera la Dame Blanche. Trottinant jusqu’à elle, de la pomme plein la bouche, elle lui dit, sans même penser que parler la bouche pleine n’est pas très poli :


Bonzour Azzera !
Tu fais quoi ?


Un avalage en règle de fruit, un essuyage parfait de jus sucré d’un revers de manche, elle sourit et poursuit :

C’est beau ici ce soir hein ?
Ze crois que ma m’man elle est là. C’est l’ogre qui me l’a dit. Ma m’man c’est Sélène tu sais ? L’est belle ma m’man. L’est grosse mais c’est parcequ’elle va avoir un bébé ze crois. Tu t’rend compte ? Un vrai de vrai ! Z’espère que ze pourrais le porter !
Dis ta vue ma m’man ? Et le Roy tu l’as vu ? Ze voudrais bien le voir moi !


Un éclat de voix plus loin lui fait tourner la tête tandis qu’elle voit le couple rouge danser, la faisant enchaîner :

Dis les Roy, ça montent sur les tables ?



[edit pour oublie d'un mot: est. Mais vous vous en foutez hein? Mouarf... Ba z'm'en fisse d'abord, z'êtes des niouks. Mais z'êtes beaux tous. Ou presque, enfin y'a pas plus zolie qu'ma m'man. Z'm'égare moi? Ah oui en effet, je m'égare. Bon RP donc^^.]
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Nebisa
La question était simple mais la réponse... Peut-on faire confiance à Dragonet ? Thése, antithèse et synthèse... La Malemort ne peut donner réponse et secoue doucement la tête en soupirant.

Jadis on le pouvait sans doute... Aujourd'hui... cet homme est rongé de l'intérieur... Et je doute qu'il mesure la portée de ses actes et la folie qui le guette... Aimez le, respectez le ... mais gardez vous de le suivre aveuglément... Il mérite que l'on veille sur lui, mais c'est là un sacerdoce car il est incapable de raison ou de prudence et prêt à toutes les folies, toutes les calomnies pour tenter d'abattre ses ennemis ou ceux qu'ils considèrent comme tels...

Se levant alors, la Malemort fait signe à la jeune fille de la suivre tandis qu'elle regagne la salle de banquet, à temps pour ouir la diatribe de Dragonet...

Vous voyez ? Que vous disais-je ?

Et la Comtesse de s'avancer

L'opinion du Vicomte de Saint Germain sur les actions de la Curia ne représente que peu d'intérêt. Ce qui est arrivé à la Champagne est une tragédie... mais nous savons bien tous ici, nous qui avons vu une enflure nous dérober le fruit d'années de labeur, nous qui avons su faire face, nous qui voyons un Limousin, grand, fort et uni aujourd'hui, quand hier il était encore exsangue, à terre et démuni, que la Champagne pour se redresser, devra avant tout s'unir. La Bourgogne a connu pareil attaque. L'Orléanais a connu pareil attaque. Quand un conseil n'est pas capable de protéger son peuple alors... le peuple en souffre.

Le sourire aux lèvres, l'œil fiévreux, elle prend sur une table une coupe de prune, au diable la gestation, et la vide d'un trait

Si le Limousin n'a pas de raison de mettre au ban ces gens qui s'invitent ici, nous ne sommes pas dupes du comment ils sont arrivés là et félicitons le Vicomte de la réussite de son plan. Personnellement, je serais d'avis de lui faire envoyer la note du banquet mais je gage que l'on me retourne que "nous n'avons pas de preuves"... Dans tous les cas, ces gens sont là, nous n'allons pas les engeôler et leur souhaitons un bon séjour en ces terres... L'hospitalité de Tulle est sans faille.

Limousins, cette soirée ne fut pas celle que l'on attendait, que l'on espérait, mais plus que jamais, vous voir, vous côtoyer me fut une joie. Longs seront les mois avant que je ne puisse retrouver nostre Comté, nombreux seront les pas avant que je ne retrouve la terre du Limousin, nombreuses seront les heures qui s'égrèneront avant que je ne regagne l'asile cher aimé de nostre foyer... mais je pars en paix, l'esprit apaisé de savoir le Limousin, attentivement veillé, avec dévouement servi, pas vous tous...

Et, puisque la nuit nous apartient, de grasce, ripaillez, dansez, chantez même, levez, avec moi, vos coupes à la santé du Roy, et que l'on ouisse jusqu'à Paris s'il le faut, comment le Limousin honnore son Roy ! Mes amis, faites rougir les oreilles de Sainte Prune et que la Divine boulasse vous étreigne jusqu'à l'aube !

Alors qu'elle élevait la voix progressivement, les portes d'entrée de la salle s'ouvrent pour laisser le passage à une troupe de ménestrels et de troubadours vêtus de couleurs chatoyantes, deux cracheurs de feu, un montreur d'ours, un fou prénommé Pustule qui se jette aux pieds du Comte de Turenne, une dizaine de nains, un géant borgne et une bohémienne complète la troupe... Tel est le présent, la surprise offerte au Limousin par la Malemort pour clore la soirée.
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Arthaud


Arthaud sourit, prit un petit quelque chose sur le plateau et dit

"et bien AImadina s'est proposé pour me être présente ce jour mais à la rigeur si vous êtes deux je n'en serais que plus rassuré car pout tout vous dire plus le temps approche plus une sourde angoisse s'empare de moi"

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que trépasse, si je faiblis
Tiboulola
En tout cas vous savez ou me trouver, si jamais le besoin se fait ressentir, je n'hésiterais pas à grimper mon étalon et galoper comme à mes vingt ans.

Lola se mit à rire en imaginant la scène, elle serait caser si elle devait faire telle chose maintenant.

Je trouverai un autre moyen sinon ca sera moi qui aurai besoin de soin.
Et votre mari, comment se porte t'il ?

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Azzera
Ambiance chargée.
Les uns crient, les autres invitent à profiter de la soirées... comment profiter, le Roy ne viendra pas...
Au loin, un homme mène la danse.
Azz, d'un regard juge la situation non préoccupante.
Personne ne l'a encore relevée de sa garde, alors quoi qu'il lui en coute, elle reste là.

Bonzour Azzera !
Tu fais quoi ?

Lance un regard vers le bas... que fait cette petite encore ici? La dame blanche a envie de se baisser pour se mettre à niveau de l'enfant et recevoir ses baisers d'escargots.

Sans bouger, elle dit à la petite
Bonjour ma damoiselle, je travaille.
Tu vois le Roy devait venir ce soir, il n'en sera rien, et l'on ne m'a pas encore autorisé à me retirer, alors, je reste là.


Sourire à l'évocation d'un enfant à naitre. Elle n'a pas l'instinct maternel, pourtant depuis que son chemin a croisé celui de la petite fille, elle sent bien qu'elle est différente.
Maudite vie! d'un geste de la main, elle chasse l'idée qui lui traverse l'esprit.
Non, il n'est pas temps pour elle de fonder une famille, elle ne s'en sent pas capable.

Regard discret vers la petite, elle a fait un effort certain pour choisir ses vêtements ce soir.


Dis ta vue ma m’man ? Et le Roy tu l’as vu ?

Non, je n'ai pas vu ta maman, et le Roy ne viendra pas ici.
Ce sont des choses de grands.
Il vaudrait mieux aller rejoindre ta famille, ils vont s'inquiéter.

Dis les Roy, ça montent sur les tables ?

Cette petite arriverait à faire rire un mourant.
La réponse fuse, négative.
Enfin, certainement pas en publique! Quelle idée!

Puis un page vient lui remettre un pli. Un peu étonnée de se voir confié cette missive, elle l'ouvre ... la parcourt des yeux... soupire... enfin.

Elle se penche vers l'enfant, la regardant dans les yeux...


Eh bien, à croire que ma lieutenante t'a entendue, je peux me retirer.
Mais je ne reste pas...
Il me faut reprendre mes fonction demain, dès l'aube.
Allez, retourne auprès de ta maman.

Elle la regarde un instant, avec l'envie de lui caresser les cheveux. Se retient, que penserait sa mère en voyant une étrangère avec la chaire de sa chaire. Se ravise...


Au revoir petite.

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Il a su envouter ma vie!
Kazert
Kazert en s'attendait pas a ce que cela soit Dragonet qui réponde. Il écoute l'homme attentivement.
Certaines choses sont vrai, d'autre aller savoir, la politique et un militaire cela fait deux.
Kazert est surpris par ce qu'il entend, tant que le Roy n'est pas menacé.

Soudain une voix de femme ce fait entendre. Kazert écoute et ce pose la question si il est dans le lot, alors que celle ci aprés avoir lancé sa phrase prend la fuite. Trop tard pour répondre. mais il ne peut laisser échapper cette phrase


- J'imagine que cela s'adressait a moi aussi....Il est dommage que la personne qui gouverne le Limousin se sauve devant un tel spectacle.
- Le peuple jugera de son comportement........
Il est dommage qu'elle n'est pas les bourses pour demander a l'armée d'intervenir.
Désabusé il regarde Dragonet , puis porte sa main sur le pommeau de son épée et le fourreau commence a la détaché de sa ceinture et dit .


- Si il faut ce battre autant que cela soit a arme égale.

Il pose son épée, sur une table, puis l'arrivée de Nebisa vient écrouler son divertissement; même si il est content de la voir en meilleur santé.
Elle intervient comme elle sait le faire. Comme une comtesse. Sa c'est une femme qui en a ce dit Kazert. Puis regardant son ventre ce dit que en fait elle en a pas mais par contre qu'elle prestance. Il remarque sa fille auprés d'elle .
Les porte s'ouvrent laissant des fous entrer dans la piéce. a tension disparaît soudainement. Kazert replaçant son épée, tout en avançant vers vers Nebisa.


- Vous ete toujours là pour retourner une situation.....bravo. Vous seriez arrivé dix minutes plus tard je crois que vous auriez assisté a une bagarre ....petit sourire.
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Dragonet


A Nebisa

Bah, la champagne pour ne parler que de cela, fut piller par la mauvaise gestion de la paix entre l'Artois et la champagne, qui laissa nombre de mecontant et l'incapacité de la curia qui proposait son aide à l'Anjou de tenir ses promesses..

Ce ne sont pas des vilains brigands sortit de nul part pour faire "le mal", pas plus que les libertads ne surgissent de nul part et nombres de compagnie de mercenaire, tous ont une histoire.. et une légitimitée d'exister..

Chacunes sont la résultante d'un choix que l'on croyait sur l'instant le meilleur et qui s'est averé couteux, simplement parce qu'on n'a pas su ecouter et comprendre leur attente.

Tu "m'accuse" de la cause de leur venue.. pense tu vraiment que je les ai crée, que je les ai venir à tulles.. evidement que non...

Tu dois à l'heure actuel être au courant des déboires de Marie alice et enguerrand , et dans des dizaines de province des fait similaires se preparent.

Il est parfois nécessaire de croquer dans une pomme pourrit pour en extraire le ver, tout comme parfois l'amputation est nécessaire pour eviter la gangrene.. ce n'est jamais agréable à faire, mais tu sais que tout médecin doit s'y preparer un jour.

je pense que la curia à créer un désequilibre, reduisant la pairie à un rôle de vestiges, la famille royale à ne plus être qu'un trophé qu'on exhibe, les feudataires à de simples executant et le peuple juste bon a saluer Son altesse.

Mais ni la pairie, ni les feudataires, ni ne peuple l'accepterons, et même la famille royale ne l'acceptait plus.. Vous voulez trops, et vous perdrez tout.

le dire serais un acte criminel... peut être et je l'assume, mais pas plus que je n'ai orchestré la venue des libertads, je ne serais la cause de la colére qui gronde.. je ne ferais qu'en être le temoin.

Je t'en avertis car j'ai encore de l'affection pour toi... je suis un batisseur nebisa,ce n'est pas moi qui détruirait


fait un geste vers le banquet, vers les tables royales

tout cela,

mais assurement je serais encore là pour reconstruire... en attendant je ferais honneur à tes présents..


lança t'il observant la bohémienne avec intérêt.
Rosie_posie
Un peu de ci, un peu de ça et encore un peu de ci… Le buffet était vraiment bien garni. Rosie ne savait plus où donner de la tête tant les mets semblaient succulents. Elle prenait un peu de tout et beaucoup de n’importe quoi agrémenté d’un verre d’une boisson quelconque qui était sur la table du buffet et qui lui était encore inconnue. Le Renard occupée à tenir dans son bec fromage et autres plats ne s’était pas aperçu que le Loup lui ne semblait pas en appétit.

Ce n'est pas aujourd'hui qu'on va te trouver un poisson je sens. Enfin si tu vois un minois qui te plais prévient moi au moins.

Uoi ?

Et voilà le premier impair de la soirée, elle avait parlé la bouche pleine. A sa décharge, les mots de son aîné l’avaient vraiment surprise, pour ne pas dire choquée. Lui qui semblait si peu enclin à la voir s’approcher de poisson et même qui lui disait d’attendre encore qu’elle était trop jeune, lui laissait faire ce qu’elle voulait !

La pestote déglutit brillamment et afficha un large sourire.


Vraiment ? Je peux faire ce que je veux ?

Elle entreprit donc de trouver une proie et laissa son regard se promener sur la salle avant de froncer les sourcils.
Quelque chose n’allait pas ! Pourquoi son frère changeait-il d’un coup d’avis ? Ce n’était pas normal !

Le renardeau regarda le tit démon, sourcils toujours froncés :


C’est quoi le piège ?

Elle n’obtint cependant aucune réponse.
Long silence durant lequel un homme participa au spectacle pitoyable de ce banquet. Critiquant la Curia, les manières de faire du Roy…
Pendant un instant Rosie ne sut pas s’il fallait en rire ou en pleurer. Etait-ce là un divertissement ? Un quelconque bouffon faisant une farce pour amuser la noblesse limousine ?
Si la réaction des autres convives n’avaient pas été si froide, elle aurait presque applaudit l’artiste. Malheureusement tout portait à croire qu’il ne s’agissait pas là d’une farce…

Carmody était resté impassible, semblant ailleurs. Finalement il se décida à ouvrir la bouche :


Finalement je vais prendre l'air, resta au chaud si tu le désire, Renardeau. Je ne t'avertir pas sur la honte a ton nom tu y arrive bien mieux que moi. Je suis las du spectacle offert ce soir.

Rose resta hébétée quelques instants regardant sortir son frère. C’est vrai qu’il y avait de quoi être las, elle-même commençait à en avoir assez. Elle s’apprêtait à suivre son frère lorsqu’une femme qui avait visiblement mangé du poisson récemment prit la parole.
Curiosité Tartassienne oblige, elle écouta.

La femme ne mâcha pas ses mots et Rosie trouvait qu’elle avait bien raison. Ainsi donc l’homme critiquant la Curia était Vicomte… Bel exemple de noblesse. La femme qui le remettait à sa place, avec brio il fallait le dire, semblait noble également et elle redorait le blason de la noblesse dans le cœur de Rosie. Elle, au moins, faisait honneur à son comté et son pays.

A la fin de ses explications, entrèrent troubadours et autres artistes et animaux. La rouquine les regarda avec des yeux d’enfants, enfin la fête devenait… une fête.
Il fallait qu’elle en avertisse le tit démon.
Elle avait le choix, assouvir son envie de poisson ou retrouver son frère qui ne semblait pas aller très bien… Le choix ne fut pas difficile, elle tourna les talons et sortit dans les jardins à la recherche de Carmody.

Dès qu’elle fut dehors, elle l’appela tout en regardant dans tous les coins :


Carmo, Caaaaaaarrrrrmooooooo, t’es où ?
Viens, il y a de la musique et plein de trucs.
Allez montre-toi, on va enfin s’amuser.

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Nebisa
Mon cher seigneur rugissant... je ne pouvais laisser la soirée s'achever ainsi... Et pis, ces gens sont déjà payés et depuis qu'ils ont installé leur campement sur mes terres de Chabrières, ils ont déjà mis à mal la réserve à vivres pour l'hiver !

Soupir faussement affligé de la Chieuse avant que Drago n'attire son attention.


La Pairie est une institution royale, qui a un rôle et qui est composée de Grands... et de moins grands... Sa tâche est définie par le Roy, et si la Pairie agit si peu... ça la regarde.

La famille Royale n'est pas une institution politique, même si les adeptes du népotisme peuvent penser qu'il suffit e savoir complimenter pour se trouver élever à une charge aussi futile qu'illégitime... Un trophé... rires amusés autant qu'ironiques. Le Royaume de France est gouverné par le Roy, pas par sa famille sinon... encore heureux que Sa Majesté n'eusse pas trois fréres, six soeurs, quatre tantes et huit oncle...

Pour ce qui est Marie Alice et d'Enguerrant... Je suis sceptique. Ils sont en mission en Anjou, auraient-ils eut des soucis ? Je me renseignerai dés l'aube...

Tu n'es pas un bâtisseur Drago... car tu n'as aucun respect pour tout ce qui ne vient pas de toi, qui n'est pas voulu par toi, pour toi. Tu l'as assez souvent dit... "avec moi ou contre moi"... Personnellement, je n'aime pas les tyrans... Ni les choix que l'on fait pour moi.C'est aussi ça la tolérance, accepter que ceux que l'on aime, que l'on sert, puisse faire des choix qui ne sont pas les nostres et ne pas leur en tenir rigueur...

Ceux qui servent le Roy pour en obtenir des récompenses, des privilèges, ceux qui sont les premiers à lui tourner le dos dés que le Roy ne va pas dans leur sens, ne sont pas des serviteurs de la Couronne. Quant à la Curia... elle ne s'approprie pas plus de pouvoir que ses devoirs ne lui en fournissent. Certes, une Curia active, réactive, une Curia qui traite ses dossiers du début à la fin, qui tranche, qui agit... c'est quasiment du jamais vu, mais ... c'est ce que se doit d'être le Conseil de Sa Majesté... Et si l'on pouvait vraiment ôter la pourriture qui gangrène le Royaume, c'est ailleurs qu'il faudrait opérer des amputations, de sévères cautérisations même...

Hochement de tête attristé en guise de salut avant que la Malemort n'aille prendre place sur un banc pour observer les cracheurs de feu, une main posée sur son ventre douloureusement noué.
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Dragonet


Elle le salua et partie.. parti comme l'avais fait Armoria quand il l'avait interpellé.. Un conseil ractif, ou plutot sans cesse en fuite de ses erreurs passés lui donnant le sentiment d'avancer.

Il n'etait pas d'accord, mais elle était parti sans attendre qu'un autre point de vue s'exprime. Il soupira..Jusqu'a où faudra t'il crier pour être entendu..

Il sortit son sucre, la cuilére et pris la bougie.. Il avait envie de boire.
Arthaud


Ma chère dame , Plum va trés bien . je croyais le voir aussi à ce banquet ,mais il a toujours eu horreur des festivités.
Moi même ,je ne me suis déplacée ,que pour qu'il y est un représentant de la prévoté de Guéret ; On ne sait jamais ce qui peut arriver et malgré ma grossesse bien avancé ,je sais encore manier ma Fidèle. Mais bon ,il faut espérer que cela ne sera pas necessaire. Ce banquet est fait pour honorer notre roi, Non?

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que trépasse, si je faiblis
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