Carmody
Les yeux qui arpentaient la salle, parcourant les visages. Et bien que de beaux monde en ce jour, visages connus, visages inconnu. Oh mais ceux ci... Non ce n'était pas si important, il verrais plus tard et d'autre s'en chargerait, il peut les ôter de son esprit pour le moment. UN profond soupir s'échappa de sa gorge et il laissa tomber son masque mondain une fois de plus, il était chez lui après tout ça ne servait a rien tant qu'il n"avait personne pour en profiter.
Cela faisait des jours qu'il avait des absences et il avait penser que la présence de nombres de ses amis au cours de cette réception allait les faire passer mais ce n'avait été le cas. Ses esprit lui revinrent alors qu'une traction se fit son bras l'emmenant vers une le buffet avec une renarde affamée et gourmande de découvertes. Lui même ne se sentit pas tant d'appétit, il se contenta de picorer dans les plats avant de porter les mets avec lenteur a sa bouche.
Nouveau soupir alors qu'il jeta un regard circulaires autour de lui et il lâcha une phrase qu'il regrettera surement très longtemps.
Ce n'est pas aujourd'hui qu'on va te trouver un poisson je sens. Enfin si tu vois un minois qui te plais prévient moi au moins.
Et voila déjà son humeur était retombée, il allait lui falloir prêter attention a ce qu'il a lui importait le moins des hommes. En ce encore plutôt qu'il ne l'aurait cru, voila que la salle s'étant progressivement vidée, le spectacle se met en branle. Que d'importance ce donnait le trublion libéré. Voila qui mériterait peut être qu'on écoute en mirant les gesticulation digne d'un troubadour répétant sa performance apprise pour plaire au nobliaux. Mais celle ci fleurait bon une senteur de nostalgie, celle là qu'il avait connu dans les quartiers de Paris où l'on disait qu'il n'avait sa place. Un sourire revint su son visage, il pencha la tête et ses yeux se focalisèrent sur les flammèches. les lueur dansaient dans son regard, les pupille se dilateraient a la joie de revoir un feu libre, ses doigts se remirent a jouer entre eux sous l'excitation que les feux exerçaient sur lui. Mais la naissance de la Beauté fut écrasée au pied. Nouvelle mort d'un intérêt retrouvé pour la soirée.
Nouveau envolée de voix dans l'assistance. le regard du Carmo reprit vie un instant pour regarde ceux qui s'exprimait puis encore un soupir, lui s'échappa de lui comme le signe d'un profond sentiment. Était il bien toujours dans le Limousin qu'il avait connu et qui lui avait appris a l'aimer? Qu'es ce qui qui avait bien pu se passer que qu'on en arrive a de tel choses? Une certitude touts de même, ce soir ne serait pas le sienne la lassitude de voir se réaliser ce contre quoi on l'avait prévenu et ce qu'il n'avait jamais cru pouvoir assister un jour tant il aimait le limousin et ceux qui le peuplaient le prenait comme une chape d'acier se refermant sur lui même. Oh qu'il avait avait aimer les temps anciens mais se complaire dans le passé et dans ce qu'il avait représenté avec ses grande figures en ce comté, d'ombre et de lumière tant il se plaisait ans les deux, ne servait a rien. Mieux valait laisser les ignorants, qui pensaient toujours tenir encore le destin de plus qu'eux même entre leur mains, s'agiter et discuter comme a leur habitude.
D'une voix monocorde et les yeux vides, il se détourna.
Finalement je vais prendre l'air, resta au chaud si tu le désire, Renardeau. Je ne t'avertir pas sur la honte a ton nom tu y arrive bien mieux que moi. Je suis las du spectacle offert ce soir.
Ainsi, l'Enfant terrible pris la direction des jardins , laissant derrière lui musique, animation et discours. si certain avait voulu le voir, ils sauraient le trouver, sinon ce ne devait être important. Son amusement était passé. Errant entre les arbres et parterre, il resta enfoui dans ses pensées.
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Cela faisait des jours qu'il avait des absences et il avait penser que la présence de nombres de ses amis au cours de cette réception allait les faire passer mais ce n'avait été le cas. Ses esprit lui revinrent alors qu'une traction se fit son bras l'emmenant vers une le buffet avec une renarde affamée et gourmande de découvertes. Lui même ne se sentit pas tant d'appétit, il se contenta de picorer dans les plats avant de porter les mets avec lenteur a sa bouche.
Nouveau soupir alors qu'il jeta un regard circulaires autour de lui et il lâcha une phrase qu'il regrettera surement très longtemps.
Ce n'est pas aujourd'hui qu'on va te trouver un poisson je sens. Enfin si tu vois un minois qui te plais prévient moi au moins.
Et voila déjà son humeur était retombée, il allait lui falloir prêter attention a ce qu'il a lui importait le moins des hommes. En ce encore plutôt qu'il ne l'aurait cru, voila que la salle s'étant progressivement vidée, le spectacle se met en branle. Que d'importance ce donnait le trublion libéré. Voila qui mériterait peut être qu'on écoute en mirant les gesticulation digne d'un troubadour répétant sa performance apprise pour plaire au nobliaux. Mais celle ci fleurait bon une senteur de nostalgie, celle là qu'il avait connu dans les quartiers de Paris où l'on disait qu'il n'avait sa place. Un sourire revint su son visage, il pencha la tête et ses yeux se focalisèrent sur les flammèches. les lueur dansaient dans son regard, les pupille se dilateraient a la joie de revoir un feu libre, ses doigts se remirent a jouer entre eux sous l'excitation que les feux exerçaient sur lui. Mais la naissance de la Beauté fut écrasée au pied. Nouvelle mort d'un intérêt retrouvé pour la soirée.
Nouveau envolée de voix dans l'assistance. le regard du Carmo reprit vie un instant pour regarde ceux qui s'exprimait puis encore un soupir, lui s'échappa de lui comme le signe d'un profond sentiment. Était il bien toujours dans le Limousin qu'il avait connu et qui lui avait appris a l'aimer? Qu'es ce qui qui avait bien pu se passer que qu'on en arrive a de tel choses? Une certitude touts de même, ce soir ne serait pas le sienne la lassitude de voir se réaliser ce contre quoi on l'avait prévenu et ce qu'il n'avait jamais cru pouvoir assister un jour tant il aimait le limousin et ceux qui le peuplaient le prenait comme une chape d'acier se refermant sur lui même. Oh qu'il avait avait aimer les temps anciens mais se complaire dans le passé et dans ce qu'il avait représenté avec ses grande figures en ce comté, d'ombre et de lumière tant il se plaisait ans les deux, ne servait a rien. Mieux valait laisser les ignorants, qui pensaient toujours tenir encore le destin de plus qu'eux même entre leur mains, s'agiter et discuter comme a leur habitude.
D'une voix monocorde et les yeux vides, il se détourna.
Finalement je vais prendre l'air, resta au chaud si tu le désire, Renardeau. Je ne t'avertir pas sur la honte a ton nom tu y arrive bien mieux que moi. Je suis las du spectacle offert ce soir.
Ainsi, l'Enfant terrible pris la direction des jardins , laissant derrière lui musique, animation et discours. si certain avait voulu le voir, ils sauraient le trouver, sinon ce ne devait être important. Son amusement était passé. Errant entre les arbres et parterre, il resta enfoui dans ses pensées.
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