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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Linon
La course dans la froide nuit de cette fin d'automne avait glacé les mains et les larmes de la jeune femme qui accompagnait Maleus, accordant l'état de son corps à celui de son esprit. Haletante, elle inspira profondément, expira une nuée de vapeur et renifla.
Elle regarda autour d'elle, essayant toujours de maîtriser la jument grise que Jo lui avait offerte en cadeau de mariage une semaine auparavant. La chevauchée avait été rude, et Linon maudissait et la jument, et la robe qu'elle avait dû revêtir, déclarant définitivement les deux incompatibles.


La petite jument grise continuait de tourner sur elle-même, Linon finit par se laisser glisser au sol et rejoignit Mal en marchant. Elle observa la foule qui se pressait à l'entrée du château, se figea devant les dizaines d'hommes d'armes qui traînaient là, certains visiblement en service, mais pas mal d'autres en tenue d'apparât, occupés à faire des ronds de jambes et à parader devant les dames gloussant d'aise, plus clinquantes les unes que les autres.
La brunette leva ses yeux bleus et las vers Mal qui observait le spectacle d'un air narquois et époussetait les médailles qu'il avait sorties pour l'occasion... lui aussi avait été militaire... Linon renonça à lui redemander pourquoi ils étaient là.

Elle retourna un instant en pensée vers l'homme qui gisait là-bas, chez elle, se mourant des suites des blessures reçues d'une armée de furieux décervelés qui l'avaient attaqué sans sommation alors qu'il tentait de la rejoindre. Serrant les dents, la jeune femme refoula les larmes qui menaçaient encore, abaissa la capuche qui masquait sa chevelure et vérifia à tâtons sa tresse. Le reste de la troupe les avait rejoints, Mal se tournait vers elle et reprenait ses airs de petit noble berrichon pour l'envoyer l'annoncer. Linon lui répondit d'un rire de gorge


Tu veux que je t'annonce? Allons-y, mon cher ! Mais nous règlerons cette histoire de suivante plus tard n'est-ce pas?


Elle confia les rênes de la jument à un page qui trainait là en lui mumurant


20 écus pour toi si je la retrouve soignée et reposée à mon départ... C'est un cadeau, fais-y gaffe !

Puis s'approcha d'un pas résolu de l'entrée, le plus charmant des sourires éclairant son visage pâle au joues rougies par le froid.

Veuillez annoncer le Seigneur de Dampierre en Graçay, accompagné de dame Linon d'Orient.


Se penchant d'un air de connivence, elle précisa


D'Orient c'est pas une particule, hein, c'est une origine géographique... Vous savez où c'est n'est-ce pas? Et vous, vous venez d'où?

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« Avais-je raison ? Voyez comment l'amour change en bêtes les gens d'esprit ! »
Evanglion
A mille lieues d'y penser...

Soirée beuvrerie d'une équipe engourdie et les propos s'égarent, les défis s' lancent de desarroi tant l'attente et longue et douloureuse. Des r'gards complices, l'alccol aide les esprits corrompus à s'remuer et les decisions s'font pas attendre. Entre deux verres d'une piquette du coin, les rires s'élevent à l'évocation d'un festin de puristes engagés. Moqu'ries grasses sur les personnalités présentes...et les absentes aussi pour l'coup. L'Evan's aime bien l'idée d'l'incruste, l'a pas bouffé d'la bonne barbac d'puis des lustres, les temps sont dur d'puis la gascogne où l'opulence était de mise.

Bituré comme jamais, les esprits s'échauffent, les rôles se distribuent à la volée dans des grinc'ments d'dents et les tenues plus inattendues les unes que les autres sortent de males poussièreuses. Dur de trouver un rôle à lui r'filer dans ce futur défilé où il devait bien s'tenir. Pas moyen d'se projeter dans l'av'nir pour savoir c'qu'il allait s'en suivre et comment la troupe théatrale allait réagir à l'entrée sur'ment remarquée.

A deux pas... et là...

Couples reformées pour l’occasion, le convoi s’pointe sur’ment à moitié défroqué par la cavalcade enivrée. « Posez les armes » qu’ils disent à quelques mètres de l’entrée. « Sel’ a dit qu’fallait être sages »… Quelques pas d’recul sous l’choc de l’information, hésitation simultanée d’la troupe, concertation visuelle….Nan… ils pos’raient que dal, y v’naient pour bouffer t’façon, pas pour cogner du nobliau … à moins qu’on les oblige…Pour l’occas y s’tiendraient bien, ou pas trop mal. Puis il tenait absolument à voir une baronne de près l’Evan’s, l’poto lui avait vanté leur condition et leurs mérites et c’était l’genre d’truc qui s’vérifié d’visu.

Jouer les escortes d’une belle brune et d’une tripotée de libertadiennes déchainées ça valait l’coup. Le bain de sa protégée, les essayages interminables et la chevauchée grimée n’étaient pas dénués d’intérêt, mais l’arrivée flamboyante des belles demoiselles devant une porte fermée et lui en majordome amélioré, ça ça l’bottait à mort et un sourire sournois n’arrivait pas à s’effacer d’sa gueule d’ange. Faudrait-il être annoncé en grandes pompes ? Les clairons s’entendaient du dehors et c’était sur’ment pas pour leur arrivée triomphante que le boucan s’elevait…

Pour l’coup, plus moyen d’reculé, culotée à souhait les gazelles sodomites avancent les premières tandis que Sel, devenue la belle Dame D’Ambers pour l’occasion, lui chope le bras et d’un pas décidé emmène l’Evan’s sur les devants d’la scène en annonçant dignement son arrivée… Ca sentait à la fois bon et mauvais c’t’endroit, y avait pas à dire…

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Eikorc
Un banquet ? Jouer l’incruste ? C’est les premiers mots qu’on a balancé au colosse lorsqu’il est arrivé en taverne… Vêtements poussiéreux, tâchés de sang à quelques endroits… Le sourcil s’est fait interrogateur, vraiment envie d’aller jouer dans la cour des nobles ou pas ? Après tout, il l’est lui aussi… Même s’il ne se sert jamais de son titre, tout comme les autres qu’il fréquente… L’amusement grimpe et vient briller dans les pupilles alors que la troupe se décide… Branle bas de combat, tout le monde sur le pont on dégage !

Les dames s’envolent presque comme une nichée d’oiseau pour rejoindre les appartements et se pomponner… Même une mercenaire sait s’apprêter comme il faut pour un banquet où s’trouve les royalistes… La montagne de muscle sourit en coin alors qu’il s’arrache lui-même de son fauteuil et va farfouiller dans ses affaires… Les tenues défilent sous l’azur de son regard jusqu’à ce qu’il retrouve celle qu’il cherchait… Quelques allers et retour du revers de la main pour retirer les plis et enfin l’œil brille alors que les souvenirs reviennent en mémoire… L’Anjou, une estrade, une assemblée, un défilée, un titre gagné… Petit rire de gorge avant qu’il ne s’éclipse à son tour vêtements en main…

Arrivé dans la bâtisse qui lui sert de piaule, Eikorc se dévêt rapidement, le mantel plus que poussiéreux s’envole rejoindre une meule de foin, la chemise suit le même chemin alors que les bottes crottées sont balancées dans un coin de la pièce… Le ceinturon rejoint bruyamment le sol alors qu’il envoie le foulard s’écrasé sur lui… La main passe rapidement sur les joues pour en vérifier l’état… Rasé de la veille, on dira que ça passera…

Quelques minutes suffisent au colosse pour revêtir sa ‘tenue de soirée’… Les braies grises, sur mesure, sont enfilées prestement alors que la chemise noire vient se coller sur sa peau… Laisser le haut ouvert pour le moment, laissant à peine paraître les abords de la large cicatrice qui traverse son torse… Les épaules musculeuses roulent pour tester la résistance du tissu… Fin sourire qui étire les lèvres de la montagne de muscle : ça tient encore !

Les bottes noires nouvellement offertes par une lune sont glissées rapidement aux pieds alors que les dagues qui l’accompagnent toujours sont passées dans le cuir de l’une d’elles et dans celui de sa ceinture… L’immense épée est remise au côté alors que Crokie de Nerra rejoint l’étalon qu’il s’est acheté il y a de ça quelques mois maintenant… Le sourire se fait plus fier sur les lèvres du Seigneur de Vautorte qui se demande ce que dirait sa sœur de le voir ainsi habillé… Et que diront les autres Libertadiens lorsqu’il les rejoindra ? Pas souvent qu’il est là pour se mettre en valeur, mais ce soir, ils vont se faire remarquer les nobles mercenaires…

Le cheval est monté aisément et lancé au galop d’un coup de talon, la lame tape sur la cuisse alors que le vent frais gifle le visage du colosse… Les images remontent à la surface… Les nombreux bals, les soirées en compagnie de la noblesse… C’était pas si loin, quelques années tout au plus… Et on s’y amusait bien, du moins dans ses souvenirs…
Les lieues défilent et rapidement il voit le lieu du rendez-vous se dessinez devant lui… La monture a été poussée à bout, mais il doit commencer à avoir l’habitude… D’un saut il rejoint le sol, juste derrière les libertadiens… L’azur glisse sur la petite troupe qui se masse à l’entrée en balançant les noms pour avoir le droit d’entrer… L’épée est détachée et glissé dans la selle avant qu’il ne rejoigne la troupe, pas mesuré et colosse dressé de toute sa hauteur… Il parvient au même niveau que les autres, juste derrière la lune étincelante dans sa robe pourpre… Petit sourire alors que l’œil brille et qu’il s’annonce à son tour…


« Sire Eikorc de Nerra, Seigneur de Vautorte… »
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Membre du fan-club "boisé forever"
Dragonet


Dragonet arriva à la soirée.. il portait un lourd manteau le dissimulant entiérement..Il y avait des gens importants à voir ce soir..Il irait saluer des amis de longues dates plus tard, mais il y en avais de nouveau à se faire..

Il se dirigea sans hesiter vers Rebaille..Son sourcil se fronça cependant en distinguant Nebisa car tout indiquait qu'elle arrivait à terme. Il avait beau détester le personnage politique, il ne ferais jamais rien qui menace sa grossesse Elle restait sa filleule et son amie.

Il détourna son regard avant de risquer de s'attendrir, et revins vers les libertadiens.. une d'entre elle aussi etait enceinte, mais moins avancé.

Il se demanda laquelle était Seléne, qui le confondais avec un autre.


Bonjour Rebaille..Tu me présentes à tes amis?

A bien y reflechir, les libertadiens étaient des fripouilles avec un idéal, ce qui face à la curia leur laissait au moins un idéal pour les différencier
Ayerin
[Aux côtés d'la brune soubrette vers l'banquet]

Banquet ...
Vla ce qu'on lui avait annoncé avant d'prendre la route... serait même Royal ce banquet selon les dires d'la famille... Mine de rien, les tifs dans l'vent mais pleine d'entrain, les routes furent avalées aux côtés d'la Baile qui accepta bon gré, mal gré d'se vêtir d'bien belles dentelles comme elle le lui avait demandé. S'rappelle son air, rien qu'pour ca la gamine adore déjà c'début d'bousier !
Mais grise mine à dos d'Succube, son fidèle compagnon depuis sa participation à la première grande bataille en pays Breton, était l'masque collé sur la trogne d'la gamine... car si elle trouvait très amusant d'voir Baile d'la sorte habillée, il lui déplaisait d'l'être quant à elle... s'disait chemin faisant qu'un banquet ça le faisait, manger, boire étant de ses joies et passions en tout temps, mais se sentait engoncée et bardée tel un rôti, prêt a être grillé en broche...
Puis quelle idée d's'faire tanner l'arrière train sur une selle de cuir même aussi noble que la sienne, alors qu'elle aurait préféré rester sous ces bottes de paille, à s'faire masser les flancs et guiboles à l'air, bottes au combien plus grisantes, plus revigorantes et ceci malgré son rang de Dame !

Mais n'jamais contredire la famille était l'obligation d'la gamine,... alors ronchon ou pas, il lui fallait suivre la troupe Libertad, fraich'ment arrivée dans le Limousin. Terre qu'la gamine appréciait d'jour en jour tant l'accueil lui était favorable … s'voudrait même y finir sa vie autour de toutes ces belles aussi charmantes, qu'agréables pour ses mirettes gourmandes.

Plus d'temps d'penser …
Les portes d'la somptueuse demeure qui devait les accueillir s'faisaient proches... la boule dans l'bide v'nait lui grailler l'palpitant... n'aimait pas ces pompeuses cérémonies, Roy ou pas, d'toute façon elle lui préférait de loin comme de prés, sa galante qui n'était plus d'ce monde à ce qu'on lui avait dit !
Pieds à terre... pas évident avec cette robe d'pas s'vautrer... mais ça devait être un jour de chance car
elle s'retrouva sur l'plancher des vaches sans encombre !

Plus l'temps de rien, la Baile dans l'corps de soubrette engagea les hostilités... fallait qu'ca tombe sur elle... un baiser échangé en guise d'roul'ment d'tambour, elle en aurait bien demandé un s'cond, mais comme dit plus l'temps depuis l'extraction, et pas l'occasion non plus d'saluer la famille au complet, avec un énorme regret qui la pris aux tripes, d'ne pas avoir vu autour d'eux, sa frangine d'carmin, sa souricette adorée, que la voilà déjà embarquée, tirée par la main d'la baile, vers l'entrée de la salle …


Dame Catherine de la Beaume-Cornillanne, dicte Ayerin la rouge, fière vassale de son formidable suzerain, le baron de Savigny-sur-Orge!

L'aurait du l'gueuler plus fort encore s'dit la môme reluquant en biais l'exaltée !
Port altier sur pomme racée, gonfl'ment d'poitrine, enfin pour autant qu'il y en a, et si possibilité de respirer après ça et s'fichu corset !
Attente interminable suite a l'annonce faite …

Euh dis moi Baile, ça va être long … car j'ai pas envie d'rester debout durant des heures fagotée d'la sorte moi … pis t'sais quoi, j'ai la graille … c'est que ses narines alertes v'naient d'capter d'savoureuses odeurs et la gamine avait comme à son habitude, oublié d'manger avant d'prendre part à cette royale partie … et pis t'sais quoi,... n'eut pas l'temps d'finir son discours qu'un engoncé d'la fesse vint s'poster devant eux, lui coupant alors la parole ... toisa l'bonhomme d'bas en haut, mais n'mouffeta que dalle, la lune avait donné le mot d'ordre ... pacifique elle devait être !
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Catherine de la Beaume-Cornillanne dicte Ayerin
Alcyone
Ewa a à peine le temps de leur rendre leur salut que déjà, l'entrée annoncée de la Princesse la fit se retirer pour aller saluer l'invitée de marque. Et déjà, Shiska s'est baissé pour embrasser sa filleule.

Bonjour toi...tu sais que tu commence à être aussi belle que ta maman...

La petite sourit à son parrain en lui rendant un bisou, babillant ce qui devait être un bonjour... Fidèle à ses galantes manières, le Seigneur de Bellechassagne la gratifia d'un baise-main qui lui rappela des souvenirs...

- Ça fait plaisir de te voir ici avec la petite. C'est une bonne surprise...je me sentirais un peu moins seul pour le coup.

- Bonsoir Shiska... Merci, ca me fait aussi plaisir de te voir, nous n'en avons pas eu souvent l'occasion ces derniers temps...


Puis elle vit le Seigneur faire place au gouverneur qui, d'un regard aiguisé avait repéré une tête qu'il ne connaissait pas, et qui alla s'enquérir de sa présence icelieu. Sourire en coin de la rouquine. Certaines choses ne changeraient pas... Elle se rapprocha des conseillers et nobles qu'elle connaissait, il y avait là au moins Vlad et Johane qui discutaient, Johane semblait d'ailleurs avoir un soucis de chausses, peut-être...

- Bonsoir, tous les deux! Ben alors, Johane? Mauvais choix de chaussures ou mauvais cavalier?

Puis Valériane s'approcha, elle la serra chaleureusement dans ses bras, un bail qu'elle n'avait vu sa vassale autre part que pour le travail...

- Bonsoir, Valériane, je suis heureuse de te voir ici, ca nous change un peu... mais fais pas ta timide, voyons... Mara, regarde, c'est Valériane, une de mes plus proches amies... Tu dis bonsoir?

Il semblait que le petit jeu de faire des révérences amusait beaucoup la fillette qui réitéra l'exploit face à Valériane en baragouinant quelque chose qui ressemblait à "'jour". La mère reprit la main de sa fille dans la sienne en souriant, amusée. Pour une fois, elle avait réussi à se laisser aller à profiter de l'instant, de sa fille...

Mais quelque chose attira son attention... Elle releva le nez en direction de l'entrée de la salle, où s'égrenait une brochette de noms dont elle n'avait jamais entendu parler... hormis peut-être un. Ses nombreux mandats à la prévôté avaient laissé des traces, il était des noms qui éveillaient toujours un coin de sa mémoire... Elle échangea un regard avec Valériane... Ce nom-là résonnait-il pareillement dans la mémoire de sa filleule? Un autre homme attira son attention, car elle l'avait déjà vu en taverne à Limoges... Maleus... Elle l'avait trouvé sympatique... mais pas noble pour un sou, à priori... Elle chercha Shiska du regard. Est-ce que... Comment le gouverneur qui avait été si prompt à s'enquérir de la présence de l'aînée des Malemort allait-il réagir...

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Rebaile
Un par un qu'ils entrent, les fiers membres d'Libertad! En tout cas, la baile est fière d'eux, ca c'tait sûr! D'abord l'Mal, le poète mélancolique, introduit par Li, fille d'Armagnac et rencontrée à Tulle, où elle veille son mari, gravement blessé par une folle armée en mode furie... Puis la Lune, frère du Mal mais surtout caïte de Libertad, là depuis l'commencement et debout depuis l'début malgré les embûches et les coups bas. L'était flanquée d'Evan's, l'esprit libre, son garde du corps pour la soirée, et suivie de près par le colosse de Penthièvre, Crokie le laconique, l'ang'vin surveillé comme le lait sur le feu mais qui s'en balance pask'il est libre, lui aussi!
Il manque encore plein d'camarades, retenus par des tas d'raisons et qui viendront, ou pas, plus tard... la souris solitaire, l'taureau andalou, l'ange implacable, la poupée sauvage ou encore l'ermy lionne... Et puis l'bire...

Perdue dans ses pensées, elle n'a plus envie d'faire la liste de ceux qui manquaient... Elle pense au bire et à toutes ces discussions limites philosphiques qu'elle a eues avec lui à son entrée dans Libertad.. S'retourne vers Aye pour partager ces pensées avec elle, mais réalise d'un coup que quelqu'un s'est arreté près d'elle. Elle reconnait l'ancien Comte du Limousin, au CV politique à faire pâlir d'envie qui s'intéressait à la politique royale. Vi bon, pas tous...elle s'y intéressait, la baile, mais c'est vrai qu'elle ne palissait pas d'envie, elle qui n'avait été que proc dans sa courte vie d'bien-pensant.


Dragonet! Quelle mi-surprise d'te voir ici, dit-elle en éclatant de rire.

S'tourne vers Aye.


Aye, j'te présente Dragonet, ancien Comte et aujourd'hui l'trublion d'la politique limousine, qu'je connaissais d'nom par une amie commune et qu'j'ai fini par rencontrer en tav, du temps où j'squattais Limoges, avant d'm'installer à Tulle!
Drago, voici Aye, mon...hmmm... ancienne amante
~claque un baiser sur ses lèvres~ et néanmoins amie d'Libertad, fillote d'la Lune ici présente.

Lui désigne Selene d'la main puis ajoute:[/i]

Bon vous v'nez qu'on rejoigne les autres? j'commence à avoir faim moi, j'ai une de ces envies d'fromage...


S'dirige vers le groupe de Selene sans attendre ses deux compagnons, tout en r'gardant autour d'elle si elle n'voyait pas la princesse dont elle avait tellement entendue parler.. Se demande combien ca lui rapporterait, d'la kidnapper, voire d'la tuer... Sourit à cette idée, qu'elle chasse néanmoins vite, pask'elle aussi avait promis d'rester sage en Limousin, mais n'peut retenir une tite pensée vers sa captive du Palazzo... Elle irait la voir après l'banquet, mais pour le moment, elle était focalisée sur une seule chose, participer au festin du Roy...

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Plus vous saurez regarder loin le passé, plus vous verrez loin dans le futur (Winston Churchill)
Nebisa
Toujours prés de la porte, le Limousin joue les radins et laisse à la Chieuse le rôle de portier, la Malemort, hausse un sourcil en voyant arriver une mélée inconnue... Les titres sont identifiés, par chance ils viennent de provinces héraldique dont elle a la charge, mais un détail la turlupine...

Soucieuse de préservée l'arrivée du GMF, et de dégager les fauteurs de trouble avant celle du Roy, prestement, la Malemort se décale et rabat la porte pour se retrouver dans le couloir, dos à une porte close, les inconnus face à elle. A l'intérieur, Kazert aurait le temps de mobiler la garde au besoin et si tel n'était pas le cas, la salle était pleine de nobles, bref la princesse, le petit Philippe et les conseillers Royaux ne risquaient rien...


Je suis au regret de vous demander vous retirer. Vous n'êtes point nobles du Limousin, point nobles de la Marche et point encore membres de l'escorte royale. Par conséquent... vous n'avez rien à faire ici. Le Limousin ne peut, hélas, avoir vocation à nourrir toutes les bouches qui se présentent, je ne doute pas que vous l'entendrez.

Le ton est net, détaché et assuré... un ton de Malemort quoi. Bien sur, les gardes comtaux postés toutes les pieds aident à assurer la Chieuse de n'avoir pas de mal à se faire obéir...
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Kremoseu
La haie d'honneur, encore en place pour accueillir son Roy avait vu passer la Princesse Armoria et son entourage. Les conversations s'étaient éclipsées un temps et commençaient maintenant à renaitre .... Vu le nombre de pipelette qu'il y avait dans cette salle de toute façon il ne pouvait en être autrement ...

Donc le sergent de la garnison de Bouganeuf restait là, aux côté de son Gouverneur comme tous les autres binomes représentants chaque ville du Limousin.

Il remarqua comme d'autre la venue d'un nouveau groupe dans le hall d'entrée, que de têtes inconnues, mais il était loin de connaitre les grands de ce monde ...

Et tout à coup la Contesse de Segur disparue en faisant résonner dans la salle de réception le fracas de portes rapidement fermées ... qu'était ce la ? un problème ? la haie d'honneur pouvait rapidement se transformer en un mur de piques ... sans compter nombre de gardes et de gens d'épée ici rassemblés ... y aurait il des gens assez fous pour aller au devant d'une mort certaine ... peu probable, mais l'épée en main il attendi les ordres pour bouger ...
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Nulle défaite quand on se bat avec honneur - CAM du Limousin
Chevalier_dide
Dide avait pris la direction du banquet avec deux garde de l'escorte, en retard comme toujours vêtus d'une braie de Sable, d'une tunique de gueules broder de branche de laurier et couvert d'une cape de sable avec une croix d'argent broder d'hospitalier.

Il entra dans le Castel pour se rendre à l'entrée de la Salle de réception quand t'il aperçus un Groupe d'inconnu devant cette salle ce fessant refuser l'entrée pars Sa grandeur Donà Nebisa.

Il s'approcha de la porte poussant de son épaule les personnes qui lui bloquent l'entrée.
Dide s'inclina devant Nebisa en lui disant bonsoir ...


Bonsoir Vostre Grandeur Donà Nebisa, avez-vous un problème Madame avec cette mêlée ?

Il tenait le pommeau de son épée fermement ...
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Didier de Warenghien,
Seigneur de Corau,
Académicien Royale de France en chaire de l'Institut Royal d'Histoire.
Hospitalier de l'ordre Royale de Saint Jean de Jérusalem,
Lieutenant de EM Gascon
Trokinas


Trokinas laissa donc Finitou à ses devoirs, tant elle semblait occupée dans l'organisation de la soirée.

Il se tourna alors vers la salle pour se demander où se trouvait Valnor pour lui parler. Puis il vit Alienaure dans un coin, en discussion avec Shiska. Elle semblait bien perdue au milieu de tous ces Nobles. Le Baron décida alors d'aller à son secours. Il arriva derrière elle, et lui lança.

Bonsoir, voici une robe magnifique, elle vous va à ravir, et cela fait plaisir de vous voir dans ce genre de soirée, calme. M'accorderiez vous votre bras? Je vais vous présenter quelques personnes si vous voulez.

Avant qu'Alienaure puisse répondre, le Baron aperçut des personnes qu'il ne connaissait pas. Ces gens, il ne les connaissait pas. Il aurait pu venir avec l'escorte royale, mais... Un Noble n'est pas que quelqu'un qui porte de beaux habits. Quelque chose dans le regard de ces personnes ne plaisaient pas au Baron : une lueur de fauve, comme une meute. Ils semblaient échanger des regards qui en disaient long.

Le sourcil gauche du Baron se souleva, de questionnement. Il regarda vers l'armée, mais personne n'avait réagi. Seule, la Comtesse de Ségur venait de s'interposer. Or, ce n'était pas son rôle. Trokinas n'avait qu'un rôle de soldats dans l'armée, mais on ne pouvait pas laisser n'importe qui se présenter ici. Le Capitaine était absente, alors qui allait gérer l'armée? La connétable? Bien occupée également. La Comtesse? Elle semblait commencer à être submergée par les demandes. Donc, plus qu'une seule solution. Une fois que le Baron avait regardé tout à tour chaque personne susceptible de réagir, et constaté que personne ne le ferait, il décida, lui de réagir, il avait participé à l'organisation de cette soirée, et il ne voulait pa sla voir gacher par des trublions. Donc il allait enquétér, calmement, mais surement.

Trokinas partit d'un pas décidé bien que boitant en direction du groupe, puis s'arréta devant Shiska qui était membre d'Etat Major, donc il avait autorité sur les soldats.

Excusez moi, mais ces gens sont peut être des indésirables. Je pense qu'il nous faut aller nous rendre compte par nous même. Acceptez vous de m'accompagner? Je pense que votre statut militaire pourrait nous servir.

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Zakuro
Enfin elle était arrivée à Limoges... oh oui elle était en retard, comme souvent ces temps ci. Un problème de robe... ah ça oui... y'avait fallut coudre au dernier moment, juste avant de partir. Pis après, ben fallait chercher sa recrue prometteuse pour la haie d'honneur.. pas une mince affaire ça non plus, accentuant donc son retard. Pas facile de courir avec une robe, ça non.

Mais voilà.. souvent on lui disait, mieux vaux tard que jamais. C'est donc essoufflée qu'elle arriva au banquet, vêtu d'une robe au velours noir et prune, un modeste tour de cou mais qui reflétait parfaitement sa personnalité.

Elle entra enfin, au milieu d'un groupe d'individus pour le moins étrange, la Zak essaya de se faufiler entre eux comme elle le pouvait.. la robe l'empêchant de bouger normalement. Soudain, elle se fit bousculer à coup d'épaule, manquant donc de tomber....


Heyy !!!

Fronçant les sourcils, elle aimait pas être bousculer la Zak... profitant donc de l'avancée de l'homme, elle put enfin passer dans la salle.
Tapotement du doigts sur le bras de cet homme.
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Lunedor
Forrest la guida donc vers ce qu'il lui semblait être la soeur requise. Pour savoir ce qu'il en était réellement, il n'y avait qu'un seul moyen.

'liènaure ? C'est toi? Une voix connue se fit ouïr. Baron Trokinas? qu'est-ce qui se passe?

Elle espérait de tout coeur ne pas faire erreur, le tumulte des voix ayant repris.
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Sindanarie
La princesse était entrée et avait été saluée par Ewaele et le Comte de Brassac, dont la jeune sergente apprit enfin le nom. Tout semblait aller bien. Brusquement, Sindanarie avait senti la respiration lui manquer. Ces noms qui s'annonçaient les uns apès les autres, elle les connaissait. Les listes du Conseil, peut-être... Pressée par une sensation diffuse de danger, elle se sentait pâlir. Avait-elle seulement pensé à glisser, comme à son habitude, une dague dans sa botte gauche? Aussi discrètement que possible, elle fit jouer sa jambe, sans parvenir à sentir le froid de la lame contre sa peau. Point de dague. Un frisson la parcourut. Tous ces noms lui rappelaient quelque chose. Pas des nobles de ce Comté, non... Cela lui revint d'un coup. C'était pire que tout ce qu'elle avait pu croire. Aussi discrètement qu'elle le put, elle glissa à voix basse au lieutenant Kashrok, attrapant son bras :

Venez avec moi.

Elle aurait besoin d'un militaire, de préférence armé, et lui pourrait bien remplir cet office. Soudain, au milieu du groupe qui se faisait refouler par la Comtesse Nebisa, elle aperçut son amie Zakuro. Magnifique dans sa robe, elle avait néanmoins perdu l'équilibre au milieu du groupe, et tapotait imprudemment sur le bras de l'un des hommes. Ni une ni deux, lâchant le bras du lieutenant, Sindanarie força le pas, aussi vite que lui permettaient sa houppelande (comme elle regrettait, à cet instant, son simple uniforme de sergente !) et sa volonté de demeurer malgré tout naturelle, en direction de la porte. Si sa mémoire ne la trompait pas, Zakuro était peut-être dans un péril plus grand qu'elle ne l'imaginait. Quoiqu'elle eût sans doute son épée pour la haie d'honneur, elle ne connaissait pas ces noms comme elle-même.

Il lui sembla que bien des gens avaient eu des réflexes similaires au sien. Le baron Trokinas glissant quelques mots au Gouverneur de Limoges, l'Académicien royal Dide qui semblait sur la défensive aux côtés de Nebisa, Valériane et Alcyone échangeant un regard... Trop de coïncidences pour qu'elle se soit trompée.

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Alienaure
Aliénaure avait remarqué l'arrivée turbulente du coin de l'œil. Ainsi que l'empressement de sa mère à vouloir contenir le groupe. Bon sang! Même enceinte jusqu'aux yeux, La Malemort continuait à vouloir s'occuper de tout. Elle était prête à la rejoindre quand un souffle chaud lui avait balayait la nuque.
La jeune fille se retourna et lui adressa un sourire, prête à lui raconter sa mésaventure avec le Gouverneur. Mais une voix cristalline se fit entendre dans son dos. Elle se retourna et découvrit sa petite sœur, accompagnée d'un homme d'un certain âge, portant couleurs princières. Sans doute un homme du Grand Maître de France.


'Lune! Je...

Alors qu'elle se penchait pour la serrer contre elle, Aliénaure se souvint des paroles de sa cadette quelques heures plus tôt.

...Je ne suis plus petite...

Aussi, elle se redressa et se contenta de prendre ses mains dans les siennes.
Mais déjà, le Baron s'excusait et partait vers les trublions.
Une pointe d'inquiétude au creux de l'estomac, elle se hâta de répondre à sa sœur, prenant soin de ne rien laisser transparaître.


Tout va bien, 'Lune. Et si tu me présentais ton chevalier servant?

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