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[RP]Banquet pour la visite du Roy et de sa cour en Limousin

Linon
*Ouhlaaa, qu'est-ce qui se passe?*

A peine la petite troupe entrée, les noms et titres fièrement lancés, que déjà les portes claquent au nez de Linon fort surprise et de ses compagnons de goguette qui le semblent beaucoup moins. Des gestes plus ou moins furtifs vers les pommeaux d'épée, des mines qui se figent, les dicussions qui s'interrompent, même le brouhaha derrière les portes closes change de tonalité.

Seul un homme s'approche d'eux sans se montrer menaçant et s'adresse à Baile... Sélène commence à parlementer avec celle qui a fermé les portes, la confrontation des deux ventres interpelle Linon. Ventres ronds d'avenir, de promesses de changement ou de pérennisation des conflits, les deux femmes se font face courtoisement mais fermement. Sélène fait un geste de la main, invitant ses compagnons au calme, qui selon Linon menace plus d'être brisé par l'attitude vindicative des ... accueillants, que par leur petit groupe désarmé et pomponné.

Bireli l'avait prévenue, et même mise en garde quant à l'affichage de ses amitiés et ses conséquences. Baile, Diab' en ont fait autant... ben tant pis! Linon y est, elle les a accompagnés, les dés sont jetés... elle reconnaît l'autorité de Sélène et se rapproche de ses compagnons de virée en souriant, sourire qui se transforme en grimace de gêne en entendant son ventre gronder de faim. C'est qu'ils ont beaucoup bu, mais rien mangé...


Et le Roy? j'veux voir le Roy, moi... j'en ai jamais vu !


Une fouille au corps est évoquée... la jeune femme en pâlit d'avance. Jamais ! Sa parole devra suffire...
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« Avais-je raison ? Voyez comment l'amour change en bêtes les gens d'esprit ! »
Tiboulola
[Domaine de Bellegarde en Marche]

Depuis plus d'une semaine, depuis son retour en Limousin, la Vicomtesse donnait des autres à ses domestiques. Certains avaient en charge l'organisation de son voyage pour l'escorte du Roy. Il ne fallait qu'elle ne manque de rien pour ce long mois. Puis ses chambrières devaient trouver robes, bijoux... pour le banquet donner à l'honneur de sa majesté. Elle avait également demander que cela soit fait à son encontre mais également pour sa fille, surprise que sa mère voulu lui faire. En aucun cas elle ne comptait se rendre au banquet sans sa fille ainée, Sofja.
La veille, elle c'était rendue dans la maisonnette qu'occupait Sofja pendant ses mandats de mairesse de Bourganeuf. Après moults supplications, des yeux de biche employés, cette dernière c'était résolue à l'accompagner. Lola empoigna le bras de sa fille et l'emmena au domaine familiale. Une journée de folie les attendait...


[Au banquet]

Les deux Dames étaient vêtues de leurs plus belles robes, invitations en main. La voiture frappée des armes familiales s'arrêta devant le grand escalier qui menait vers le banquet. La Vicomtesse de Bellegarde et la Dame de Vicq sur Breuilh s'avancèrent vers le Sieur Shiska qui vérifiait les invitations...

Bonjour Shiska, voici nos invitations.
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Diabolikbarbiturik
Elle était revenu tard à la taverne des Libermuches, mais personne.
Sur la table, était posée une missive qui lui était adressée.


Citation:
Rejoins nous au Château, on s'invite au banquet du Roy
Linon


Elle fila vers son cheval, lors que soudain elle pensât
je ne peux m'y rendre dans cette tenue, elle fila jusqu'à chez Linon, espérant que celle ci ne lui en voudrait pas de lui emprunter quelques apparats.

Elle entrât, doucement, sachant qu'ici un homme était mourant, discrètement elle fila jusqu'a la chambre de Linon, attrapa une robe au hasard,
se changea rapidement , et sorti comme elle était entrée.


Elle essaya plusieurs techniques avant de réussir enfin à monter sur son étalon, elle n'avait jamais monté la bête affublée d'une tel tenue.
Une fois la posture métrisée, même si pas très à l'aise, c'est pas tous les jours qu'elle aurait l'occasion de se rendre à un banquet donné en l'honneur du Roy .
Elle partie en direction du château au galop.

Elle arrive enfin, aperçoit les chevaux des rouges mais eux ne sont plus là, ils sont déjà entré.

Elle descend de sa monture à la hâte, l'attache prêt des autres, et pase les porte en courant. Reprends son souffle

Ha ! ben vous voilà !

Elle les regarde tous un à un, bloqués dans l’entrée, elle se penche vers Linon postée là et lui dit sur un ton ironique

Ils nous veulent quoi ? Pourquoi on peu pas entrer ?
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Valeriane
Valériane embrassa sa marraine , puis regarda la petite Mara

Bonsoir Alcy, ça me fait plaisir de te voir.. la timide ? humm, tu sais comme j’adore les ronds de jambes !!
Dis donc, qu’elle est mignonne ta fille…


Val se pencha pour lui faire une bise

Bonjour Mara , il y a du monde ici n’est ce pas.. ! Mais parait qu'il ne faut pas faire sa timide !!
Val lui sourit ..
Tu as les mêmes yeux que ta maman..
dit elle en regardant Alcy, qui elle avait repéré quelque chose de pas normal..

Un attroupement s’était fait à l’entrée de la salle.. Val dévisagea les personnes .. un regard d’Alcyone.. pour ça, elles avaient le même instinct.. depuis des années plongées dans les histoires de brigands et autres pilleurs de mairie.. parfois à la Prévôté, parfois à la douane.. Elles en avaient vu passer des malandrins…

Pas besoin de se parler, Val acquiesça de la tête en voyant l’interrogation sur le visage d’Alcyone..


Oui, Alcy, je les ai déjà vu passer les frontières plusieurs fois.. je ne sais pas ce qu’ils recherchent mais ça ne me dit rien de bon..


Puis , en voyant la Comtesse Nebisa qui avait pris les choses en main.. et pas seulement son ventre… Alcy et Val étaient restés sur place puisque aussitôt, quelques gardes étaient apparus, le baron Trokinas, la Comtesse Ewaele et le Gouverneur Shiska..
Les choses semblaient s’arranger.. il fallait surement préserver le calme dans cette réception exceptionnelle…

Valériane , qui pour l’occasion avait revêtue une robe bleu clair en velours, se trouvait un peu limitée sans ses déplacements.. un rien de féminité ne pouvait pas faire de mal, mais peu habituée, Val se trouvait un peu gauche.
Elle regarda un peu mieux dans la salle, aperçut quelques amis, ses anciens colistiers du précédent Conseil. Plusieurs discussions avaient lieu un peu partout.. l’entrée du Grand Maistre de France avait fait sensation.. mais les invités attendaient une autre entrée..


Ta as vu Alcy, on dirait que ça s’arrange avec les intrus.. mais à mon avis, il faut garder un œil sur eux..

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Linon
Te voilà !!

Linon sourit à Diab' qui les rejoignait, retint même un rire en la détaillant. La diablesse avait pensé elle aussi à se vêtir pour l'occasion, et la jeune femme reconnut avec surprise une de ses robes.


Tu es passée chez moi? tu as bien fait... hum... tu sais que ça va te très bien ? Comme à Aye d'ailleurs, qui a poussé la coquetterie jusqu'à porter un corset !


Linon jeta un regard malicieux à Ayerin qui bougonnait de faim et d'impatience.


C'est vrai que ça commence à être longuet cette attente... Il semble qu'il y ait une erreur sur la liste des invités, et que nos noms n'y figurent pas. Un oubli certainement... Alors en attendant et pour s'occuper, toutes ces aimables personnes se regroupent ici pour jouer à qui a la plus longue ... épée. En fait, cette petite fête doit être d'un ennui mortel pour que tout le monde s'intéresse autant à nous.

Deux dames fichtrement bien habillées fendaient le groupe à l'entrée sans les voir et tendaient leurs invitations. Linon leur sourit aimablement, curieuse de voir l'intérieur de la salle si jamais on leur ouvrait les portes, se demandant si ils pourraient se glisser à leur suite, l'air de rien...

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« Avais-je raison ? Voyez comment l'amour change en bêtes les gens d'esprit ! »
Finitou
Corenthine ne connaissait toutes les personnes invitées.
Entre le cortège royale et la garde du Roy, elle ne vu de suite un groupe des Libertad entrer au banquet.

Le gouverneur Shiska était déjà intervenu, le temps que Corenthine passe discrètement parmi les officiers de l'armée.

Soudain une vague parcourut la foule et Corenthine fit vite le tour des soldats présents aussi bien dans les Gouverneurs et sergents présents que parmi le Conseil Comtal. Kremoseu était aussi soldat et malheureusement son époux, le lieutenant Breccan n'était pas encore arrivé.

L'ordre avait été donné d'éviter toute esclandre au banquet.
Le groupe n'était apparemment pas armé.

Corenthine alla près de la Comtesse Nebisa qui semblait les connaitre quelque peu ainsi que d'autres mais La connétable ne les avait croisé mais avait beaucoup entendu parler d'eux.


Comtesse - Petite courbette rapide - soyez assurée que les ordres ont été donné pour gérer la situation au mieux compte tenu des circonstances.

Tout s'annonçait pourtant sous les meilleures auspices mais à croire que les Libertad en avaient décidé autrement. La connétable croisait les doigts pour qu'il n'y ai aucun incident diplomatique durant cette soirée en sol Limousin.

Tous les soldats présents étaient en alerte pour agir au moindre soucis. La connétable avait annuler la jolie haie d'honneur...le folklore passait après la sécurité.

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Lunedor
Elle écouta attentivement l'explication un rien confuse de son aînée. Quelque chose n'allait pas.

Dans ce cas, pourquoi maman pensait t'avoir perdue?

Un fait important qu'elle n'avait pas noté sur le moment vint la frapper en cet instant.

Et d'où tu la vouvoies maintenant? Vous vous êtes disputées? A quel sujet? A propos de Figeac?
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Zya62
Ah! La soldatesque... Pas foutue de répondre. Et l'Ange s'agite et s'enerve. Elle n'aime pas passer son temps à attendre. Jeu des doigts avec un souvenir Ylfan. Bracelet qui tourne et retourne autour du poignet. Des soupirs, des trépignements et enfin... Demi-tour sur pattes pour aller voir ailleurs. Les émeraudes chassent et repèrent quelques groupes intéressants. Aliénaure et Lunedor dans le fond. Princesse et bout d'homme plus près. Le trajet se fait, une demande s'imprime. Ne reste plus qu'à accomplir ce choix. Et Zya s'avance vers la Princesse de France.
Quelques pas et interrogations plus tard, la voici se tenant devant la Grande Dame. Une courbette s'ébauche et s'esquisse, plus ou moins appuyée vu l'état avancé du fruit qu'elle porte. Un regard au petit prince qui se cache derrière, un sourire envers lui. Et les mots franchissent les lèvres, alors que le regard vient croiser celui de la Dame de Fer.


Votre Altesse, puis-je oser vous demander si je puis emmener votre fils voir mienne belle-famille? Il connait certainement déjà votre Demoiselle de Compagnie mais non pas sa soeur. Et puis, le fond de la salle est si différent du devant de la scène...

Devant bien trop dangereux pour le petit-fils du Roy. Et d'ailleurs, ne devrait-il avoir garde rapprochée et nurses en pagaille pour s'en occuper et le protéger?
Toujours est-il qu'elle ne sait si la GMF accèdera à sa demande et laissera son fils s'éloigner d'elle. Faire comme si son fils n'était pas là, le temps que cela se calme.
Lieutenante Blanche en attente d'une réponse et déjà, du regard, chercher les autres membres de l'Ordre...

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Eikorc
Les réactions sont rapides… L’azur a à peine le temps de capter la décoration de la pièce où se déroule le banquet que la porte claque en le faisant hausser un sourcil… Une femme enceinte jusqu’aux yeux semblent ne pas vouloir qu’ils entrent… Mince sourire qui étire à nouveau ses lèvres alors que Sélène s’avance pour régler ce qui semble être un problème… Tout le monde se met en branle, Evan’s se glisse au côté de la lune, lui s’avance d’un pas, dissimulant le dos de la Caïte à une quelconque attaque. Elle au moins elle ne risquera rien…
Les soldats se déplacent, se mettent en place… L’œil habitué à ce genre de situation n’en perd pas une miette, rapidement l’esprit se met en marche pour compter le plus d’hommes possibles, même si le colosse sait pertinemment que les forces sont disproportionnées… S’il devait y avoir affrontement, nul doute n’était possible…

Puis un homme s’approche, distribuant les coups d’épaules pour se mettre face à eux, la main sur la garde de son épée… Le regard parcourt les traits et le sourire s’élargit… Ils se sont rencontrés en Gascogne, se rappelle-t-il lui aussi de son visage ? Des verres échangés dans des tavernes avec d’autres compagnons ? Comment c’était déjà son nom à lui ? Ah oui… Dide… Un rire est réprimé de justesse, le nom est revenu en mémoire juste au moment où la Caïte aborde les butins de la Gascogne…

L’azur cherche le regard du chevalier quelques secondes avant de retourner à ses observations… Les bottes raclent dans les différents couloirs alors qu’il capte plusieurs regards dans leur direction… Il en faut peu pour les affoler quand même… La porte grince alors qu’une nouvelle personne entre en scène… La comtesse du Limousin en personne… Le colosse est muet depuis qu’il s’est annoncé, seule Sélène s’occupe de les faire entrer, l’œil glisse sur les autres libertadiens avant de rejoindre le regard d’Ewaele… Adresser un discret sourire avant de se replonger dans la discussion…


Comme je l'ai dit, vous n'estes point sur la liste des invités ce soir. Cependant, si vous acceptez que la garde vous fouille et que vous abandonnez toutes les armes que vous possédez, et cela inclus les cures dents, alors je vous permettrez de rejoindre le banquet...
Et bien sur, je veux vostre parole que vos intentions sont sincères et dénuées de tout vice, sans rapports avec les velléités de vengeance d'éventuels esprits retors. Les rumeurs ont couru sur la détermination de certains à gâcher le banquet et la pérennité du Roy et du Grand Maistre de France passe avant toute autre considération.

Haussement de sourcil à ses mots… Retenir un rire à nouveau… La montagne de muscle qu’il est n’aura jamais besoin d’arme s’il a vraiment envie de tuer quelqu’un… Mais ça, elles ne sont pas obligées de le savoir… Des chuchotements balancés par la Comtesse qui doit sans doute renforcer les défenses… Ils demandent une parole, lui ne peut donner que la sienne, pas parler pour Libertad…

« Mesdames, tout d’abord, bonsoir… Nous ne sommes pas là pour faire du grabuge… Si c’était le cas, vous devez vous doutez que nous ne serions pas montré dans ces tenues et présenté aussi simplement à l’entrée… », ça coule de source et un sourire amusé étire le coin de ses lèvres, «Mais si l’on doit passer par la fouille pour vous prouvez notre bonne foi… Je vous serais gré d’envoyer une femme pour la mienne, si vous ne voulez pas retrouver votre soldat au dispensaire…»

Les derniers mots sont peut-être de trop, mais le colosse ne laissera jamais les mains d’un homme chercher ses armes…
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Membre du fan-club "boisé forever"
Armoria
Le regard était aux aguets, l'air de rien, sous la souriante façade destinée aux réunions "mondaines". Elle vit approcher Zya et le sourire se fit plus sincère. La fille de sa fille de coeur. Cette grandette fille de coeur qui avait presque le même âge qu'elle, et en passe d'être grand-mère, à en croire le bel arrondi du ventre que Zya poussait devant elle.

Bonjour, Zya.

Nouveau regard vers les portes, dont elles étaient somme toute assez proches.

C'est une bonne idée, en effet...

Elle se décala pour laisser voir la jeune femme à son fils.

Philippe, je t'avais parlé de Mormynette, tu te souviens ? Voici sa fille, Zya : elle va s'occuper de toi un moment. Quant à moi, je m'en vais gagner la place qui m'a été désignée par les organisateurs.

Un regard de remerciement pour Zya - elle n'était pas dupe de ses intentions de protéger l'enfançon, et si elle était visée lors de le moindre tentative, au mois sera-t-il hors de portée. Un autre regard vers le laquais la plus proche, afin de savoir quelle était sa place, et elle s'y rendit posément, saluant de ci de là.

Le spectacle devait continuer.

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[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
Dragonet


Dragonet s'amusa de la présentation de la jeune Rebaille, et de son insouciance, de sa liberté de ton. Alors qu'autour d'eux, de part en part on voyait des hommes prêts à prendre l'épée, il soupira. Ses hommes étaient assurément fort brave d'être prêt à tuer une jeune femme désarmé et enceinte jusqu'au cou.

Nebisa s'en mêla, se substituant au prévôt, connétable ou capitaine du limousin, tout autant que de la prévôté ou de la connétablie de France. Elle entendait comme toujours à elle seule incarner le Royaume de France tout autant que le Limousin.

Néanmoins, elle ne semblait pas disposé à chasser les libertadiens, ce qui en soi était une bonne chose. Peut être restait il encore sous des tonnes de parures nobiliaires, de titres et de faux semblant une once de cette rodeuse insoumise, de cette rebelle de la cour des miracles, de cette prêtresse à l'esprit ouvert. Cette femme là était son amie et celle qu'il avait aimé, mais celle qu'elle était devenu l'insupportait.

Il eu un sourire amusé lorsqu'elle parla d'esprit retors désireux de vengeance en voulant à Armoria, elle devait regretter que ceux là soit sur la liste des invitées.

Il se tourna vers Sélène qui s'apprêtait à lui parler avant l'arrivée impromptue mais prévisible de Nebisa.


Je vois chère Dame d'Amber que tout semble s'arranger au mieux. Des que les formalités seront réglée pour respecter les lois de l'hospitalité limousine, je me ferais un plaisir d'être votre chevalier servant.

Il ne serait guère séant que vous logiez à l'auberge, il va donc de soi que mon château et domaines attenant vous sont ouvert, ainsi qu'a vos amis, aussi longtemps que vous le souhaiterez. Ma vassale s'occupera des détails.

J'ai connu les libertadiens à l'époque où je partageais une maitresse commune avec le cardinal Vilca, Ilmarin ou boucles d'or, que vous avez du connaitre. Mais nous en rediscuterons, je vous laisse régler les formalités et nous nous retrouverons je l'espère ensuite. Je vais pour ma part saluer quelques amis mais rejoignez moi des que vous le souhaiterez, mon bras est votre.


Il la salua, laissant les libertadiens prouver leur bonne foi, et se plongea dans la foule, se laissant guider dans les salutations par le Hasard des rencontres.
Finitou
Un colosse des Libertad annonça qu'ils n'étaient pas venu pour un affrontement.
De toute façon entre la garde royale, l'escorte et les soldats présents cela leur faisaient beaucoup de monde à combattre.

« Mesdames, tout d’abord, bonsoir… Nous ne sommes pas là pour faire du grabuge… Si c’était le cas, vous devez vous doutez que nous ne serions pas montré dans ces tenues et présenté aussi simplement à l’entrée… »
«Mais si l’on doit passer par la fouille pour vous prouvez notre bonne foi… Je vous serais gré d’envoyer une femme pour la mienne, si vous ne voulez pas retrouver votre soldat au dispensaire…»


Corenthine se mit devant l'homme en question. Malgré la taille imposante de la Connétable, l'homme lui prit quelques pieds.

Je serais ravie de fouiller...homme ou femme peu m'importe.
Une fois cette formalité passée, disons que tous seront un peu plus...serein et moins nerveux. Un accident est si vite arrivé!
Je suis Corenthine, Dame de Sarran et Connétable.


En tant que chef barbière, de surcroit, passer ses mains dans les braies des hommes ne la dérangeait pas le moins du monde. L'anatomie masculine n'avait plus de secret pour elle.

Elle sourit à l'homme, d'un sourire un tantinet crispé.

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Zya62
Regard échangé avec la Princesse. Connivence et compréhension. Sourire de remerciement, aussi. Ne pas le laisser près d'elle. Et déjà le regard se porte sur le petit. Une main se tend pour prendre la petite menotte et le mener avec elle jusqu'au regroupement familial quand le regard se pose sur un sieur qu'elle n'avait vu.

Messire Shiska? * sourire * Comment allez-vous?

Sourire et inclinaison du buste vers le petit cousin (?) de coeur prénommé Philippe.

Messire Rouben est gouverneur de la cité de Limoges. Je suis sûre que tu aimerais savoir à quoi sert un gouverneur, qui ne gouverne pas soit dit en passant. *Puis, à Shiska.*Vous nous accompagnez? J'amenais ce petit messire auprès de mes cousines... S'il s'ennuie auprès de nous, vous pourrez toujours l'instruire sur votre charge...

Passer sur le fait que pour un si jeune enfant, ce peut être rebarbatif... tant que c'est occupationnel.
Acquiessements accordées, et voilà la petite troupe en route vers les Malemort. Faire du bruit en approchant, pour ne pas surprendre Lune'. Et toujours chercher les Dames Blanches et leur faire signe de se rapprocher de leur petit groupe, discrètement.


Lunedor? Aliénaure? Je vous présente Philippe.
Philippe? Voici mes cousines... et un peu les tiennes, du coup. Mais tu connais déjà Lune, je pense.
*Et aux deux jeunes filles.*Comment allez-vous, mesdemoiselles?

Et insister sur le comment. N'oublions pas que la dernière fois qu'elle avait vu Alié, elle s'était précipité dans une carrière de pierre...

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--Philippelevan
Le tissu de la robe était joli. Et doux, aussi. Il le chiffonnait entre ses mains depuis tout à l'heure, faute de mieux. Sa mère voulait jouer à cache-cache, mais il était très mal caché : on allait le trouver très vite. Et s'il se cachait sous la robe ? Ah, ça, c'était une bonne cachette ! Il était sur le point de se baisser, prêt à mettre son plan à exécution, quand son horizon s'élargit - éloignant sa nouvelle cachette.

Zut.

Contrarié, il ne comprit pas tout ce que sa mère venait de dire. Ah, une dame ! Hop, le petit salut. Et un beau sourire, parce qu'elle était jolie. Un regard étonné, parce qu'elle avait un gros ventre. Il se souvint d'une histoire lue par sa mère, récemment, avec un ogre qui mangeait les enfants pas sages. Elle avait un enfant dans le ventre, la dame : il le savait, Forrest lui avait dit que c'était pour ça que certaines dames avaient un gros ventre, comme la brune qui se trompait toujours de nom en parlant au valet. Si elles avaient des enfants dans le ventre, c'était parce qu'elles les avaient mangés. Forcément. Ce qu'on mangeait allait toujours dans le ventre.

Il regarda la dame. Le ventre. Sa mère... Sa mère qui s'éloignait ? Ah mais non, hein ! Courageusement, il regarda de nouveau Zya, et donna son avis de façon péremptoire :


Nan.

De ses petites jambes potelées, il se mit à courir pour rattraper sa maman. Moins courageusement que sa réponse audacieuse, où il n'avait pas hésité à dire non à une ogresse.
Zya62
Il fallait bien s'en douter, que ca n'allait pas être si simple... Soupirs. Il avait de qui tenir, après tout. Il mériterait bien une fessée armoriesque, pour la peine, mais bon, comme toute spécialité, elle n'a qu'un spécialiste. Et pour les avoir testées, elle ne les souhaitait à personne.
Alors, voilà une petite Comtesse toute jeunette, embarrassée par sa proéminence naissante, qui se met à courir derrière un petit Prince qui ne mâchait apparemment pas ses mots.
Et la patience n'étant pas l'affaire de la jeune fille, il valait mieux pour lui qu'il ne lui en fasse pas trop voir...

Jambes potelées face à jambes lourdes... Tirage de dés. Jambes lourdes gagnent par 6 contre 3. Et le petit est vite rattrapé.
La Zya s'accroupit comme elle peut... dur exercice en définitive. Et entoure doucement d'un de ses bras le petit fuyard.


Ecoute moi, Philippe. Je sais, tu voudrais rejoindre ta mère. Mais vois-tu, elle est ... occupée. Elle reçoit des gens importants. Tu sais, tous les beaux drapeaux que tu as du voir de la voiture en arrivant ici? Et ces gens ne font pas toujours attention aux petits enfants et pourraient t'oublier. Alors, plutôt que de t'ennuyer avec eux, pourquoi ne viendrais-tu pas avec nous? Regarde, là bas... Il y a deux jeunes filles qui n'attendent que toi.

Elle se relève, lui tend la main et attend, réprimant au passage une grimace face au coup de protestation que le diablotin qu'elle portait lui prodigua, tel un enfant jaloux de l'attention qu'on porte à un autre.

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