Nathan
Il était tard. La voute étoilée sétait étirée jusquà atteindre son paroxysme. Lentement, elle allait commencer à décliner. Au loin, on apercevait encore quelques parties de la pleine lune. Le moment était enclin à la quiétude.
Cependant, Nathan sétait embourbé dans un nouveau marasme. Il avait tenté de le noyer avec une kyrielle de verres de vin. Sans réussite. Il avait toujours ses problèmes. Livresse en prime. Ces derniers temps, tout volait en éclat. Un peu comme si, sa vie était au milieu dune scène de ménage. Le service en porcelaine de Limoges offert par tante Gertrude était envoyé en lair lors dune terrible dispute de couple. Et la crise durait depuis de très longues semaines.
Tout avait bien commencé pourtant. Une joyeuse troupe. Une roulotte. Une femme nue. Une passion. Passion qui devait être éphémère, mais qui passa outre cette règle et devint constante. Delà, tous les problèmes subséquents les uns aux autres arrivèrent. Cacher les parties de jambes en lair devenait un sisyphe. Les rumeurs arrivèrent. Ainsi que le temps où il fallut avouer.
Il ny avait ni honte, ni gène. Rien de tout cela, Nathan était satisfait de ce qui était arrivé. Malheureusement, il nen allait pas de même pour sa sur. Depuis, ils ne se parlaient plus. Le jeune blond avait fait une croix temporaire sur sa relation avec elle pour cette sylphide qui lui avait pris une partie de son cur. Et qui lui accordait quelques douceurs vespérales.
Tout se déclencha lorsquil apprit le retour du mari de Déa. Cet être quil trouvait flasque, livide, dénué de sens moral et tout bonnement inintéressant. Non, Nathan naimait pas spécialement Marc. Il ny avait pas de grandes raisons à cela. Certains avanceront la jalousie, dautres juste la haine ou même encore la gêne occasionnée par le cocufiage. De cette affaire, Nathan avait décidé de tout mettre à plat. Ranger, profiter de la dernière journée du printemps afin de mener un ménage de grande ampleur. Et il était temps de le faire dans sa couche. Il ny aurait plus de traversin, plus de disputes nocturnes. Rien. Nathan était décidé à virer Déa de sa chambre.
Et il ne le faisait pas par plaisir.
Il monta les marches en faisant un bruit à réveiller les morts. Tambourina à la porte et entra en se raccrochant à un fauteuil qui se trouvait là. Il haussa la tête, tenta de rester digne malgré lalcool. Il se sentait mal et pourtant il se lança.
-Déa ! Debout ! Je veux que tu te casses de ma chambre. Tout de suite.
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Cependant, Nathan sétait embourbé dans un nouveau marasme. Il avait tenté de le noyer avec une kyrielle de verres de vin. Sans réussite. Il avait toujours ses problèmes. Livresse en prime. Ces derniers temps, tout volait en éclat. Un peu comme si, sa vie était au milieu dune scène de ménage. Le service en porcelaine de Limoges offert par tante Gertrude était envoyé en lair lors dune terrible dispute de couple. Et la crise durait depuis de très longues semaines.
Tout avait bien commencé pourtant. Une joyeuse troupe. Une roulotte. Une femme nue. Une passion. Passion qui devait être éphémère, mais qui passa outre cette règle et devint constante. Delà, tous les problèmes subséquents les uns aux autres arrivèrent. Cacher les parties de jambes en lair devenait un sisyphe. Les rumeurs arrivèrent. Ainsi que le temps où il fallut avouer.
Il ny avait ni honte, ni gène. Rien de tout cela, Nathan était satisfait de ce qui était arrivé. Malheureusement, il nen allait pas de même pour sa sur. Depuis, ils ne se parlaient plus. Le jeune blond avait fait une croix temporaire sur sa relation avec elle pour cette sylphide qui lui avait pris une partie de son cur. Et qui lui accordait quelques douceurs vespérales.
Tout se déclencha lorsquil apprit le retour du mari de Déa. Cet être quil trouvait flasque, livide, dénué de sens moral et tout bonnement inintéressant. Non, Nathan naimait pas spécialement Marc. Il ny avait pas de grandes raisons à cela. Certains avanceront la jalousie, dautres juste la haine ou même encore la gêne occasionnée par le cocufiage. De cette affaire, Nathan avait décidé de tout mettre à plat. Ranger, profiter de la dernière journée du printemps afin de mener un ménage de grande ampleur. Et il était temps de le faire dans sa couche. Il ny aurait plus de traversin, plus de disputes nocturnes. Rien. Nathan était décidé à virer Déa de sa chambre.
Et il ne le faisait pas par plaisir.
Il monta les marches en faisant un bruit à réveiller les morts. Tambourina à la porte et entra en se raccrochant à un fauteuil qui se trouvait là. Il haussa la tête, tenta de rester digne malgré lalcool. Il se sentait mal et pourtant il se lança.
-Déa ! Debout ! Je veux que tu te casses de ma chambre. Tout de suite.
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