Alatariel
[crise d'angoisse chez la mariée.]
La rumeur était arrivée jusqu'aux oreilles de la baronne. La future comtesse consort était incapable de faire quoi que ce soit, parce qu'elle s'était mise à l'envers parce que sa robe n'était pas prête à temps.
Mais elle croyait quoi la pomponette qu'on cousait 10 toises de satin rose, plusieurs milliers de perles, une bonne cinquantaine de rubis en quelques heures ? C'était de la haute couture dont il s'agissait. Et on avait jamais vu Karle la guerre failed être prêt trois jours avant le début d'un de ses défilés. Chaque détail avait été soigneusement préparé. Car la baronne avait du trouver chez les fournisseurs habituels de la Comtesse consort de quoi agrémenter le tout. Maquillage, parure, coiffure... Tout avait été passé au crible assassin de la baronne.
Juste avant la sortie de la mariée, l'ancienne Grand Maitre de la Garde robe vint faire son office et vérifier que tout était en ordre. A l'instant où on l'introduisait, la mariée était accrochée sur un palan pour la remettre sur ses talons.
Fort heureusement pour la robe, le personnel était formé ici et à l'instant où le mot "détendre" fut prononcé, tout s'arrêta séance tenante. *Ponk* Bruit sourd de la futur Comtesse consort qui retombe comme une masse sur le sol.
Là dessus la baronne s'agenouille, attrape le tissu pour dégager les jambes et permettre à la poney rose de se relever sans mettre les pieds sur la robe.
Et tout le monde de piquer du nez. La baronne pense que c'est pas humilité, faisant abstraction du bougonnement des pauvres hères qui se farcissent depuis deux heures une future mariée passablement éméchée et frôlant l'hystérie.
La baronne remet en place les broches poneys sur les manches, la ceinture bien centrée, car la symétrie est importante. D'un geste elle lisse un pli qui ne lui semble pas aussi harmonieux que les autres.
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La rumeur était arrivée jusqu'aux oreilles de la baronne. La future comtesse consort était incapable de faire quoi que ce soit, parce qu'elle s'était mise à l'envers parce que sa robe n'était pas prête à temps.
Mais elle croyait quoi la pomponette qu'on cousait 10 toises de satin rose, plusieurs milliers de perles, une bonne cinquantaine de rubis en quelques heures ? C'était de la haute couture dont il s'agissait. Et on avait jamais vu Karle la guerre failed être prêt trois jours avant le début d'un de ses défilés. Chaque détail avait été soigneusement préparé. Car la baronne avait du trouver chez les fournisseurs habituels de la Comtesse consort de quoi agrémenter le tout. Maquillage, parure, coiffure... Tout avait été passé au crible assassin de la baronne.
- - Ma chère Coco il me faut absolument un rose framboise intense... Un Rose pâle serait too much comme dise les anglois et un rouge sombre ferait jurer le rose de la robe.
- Framboise c'est ce qu'on a fait pour la collection l'étincelle. Impossible, elle serait has been. Rouge à lèvre Rubis ou un griotte tirant vers le géranium.
- Soit partons sur un rubis
Juste avant la sortie de la mariée, l'ancienne Grand Maitre de la Garde robe vint faire son office et vérifier que tout était en ordre. A l'instant où on l'introduisait, la mariée était accrochée sur un palan pour la remettre sur ses talons.
- - Mais arrêtez tout malheureux ! Vous allez détendre le tissu.
Fort heureusement pour la robe, le personnel était formé ici et à l'instant où le mot "détendre" fut prononcé, tout s'arrêta séance tenante. *Ponk* Bruit sourd de la futur Comtesse consort qui retombe comme une masse sur le sol.
- - Aristote soit témoin, la France ne forme plus de bon personnelle pour les maisons nobles depuis mon départ de la maison du roi... Laissez moi faire...
Là dessus la baronne s'agenouille, attrape le tissu pour dégager les jambes et permettre à la poney rose de se relever sans mettre les pieds sur la robe.
- - Là, quelqu'un pour l'aider, tendez lui vos mains. Oui voilà, très bien... Je suis arrivée à temps, dites moi.
Et tout le monde de piquer du nez. La baronne pense que c'est pas humilité, faisant abstraction du bougonnement des pauvres hères qui se farcissent depuis deux heures une future mariée passablement éméchée et frôlant l'hystérie.
- - Bon regardons tout ça... et vous Elle pointe une femme de chambre Retournez chercher Jean Louis qu'il me remette en place cette mèche rebelle.
Hmmm très bien, très très bien.
La baronne remet en place les broches poneys sur les manches, la ceinture bien centrée, car la symétrie est importante. D'un geste elle lisse un pli qui ne lui semble pas aussi harmonieux que les autres.
- - Voilà c'est mieux. Le monde est prêt à découvrir ce que veut dire d'être un vrai égérie de la mode.
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