[RP] Le Port de La Teste de Buch

--Sirius.black

sirius etais poster sur le pont du navire,il etais au coté de meyanne ,il n'avais pas et plus l'habitude d'etre sur le devant , et surtous pas comme cela , cela le changer du temps ou il etais connue pour ses méffait , mais tout avais changer avec la rencontre de celle qu'il aimé plus que tous.

il s'approcha de son amour et se pencha sur son oreille et lui chuchota doucement

se serais bien que tu demande a Aristophette , je la vois bien maraine du navire pour ma part

il lui souria et l'ecouta parler a tous le monde , puis d'un ton roque il ajouta.

j'ajouterais a cela que c'est aussi pour nous une satisfaction que se soit nos amis qui nous onst aidé a faire en sorte que notre rêve devienne enfin une réalitée .

il souria et invita tout les personnes présente a venir boire une chope de biere

il salua annastasia qui venais d'arrivée et chuchota a meyanne

mon coeur!!! ta future maraine viens d'arrivée

--Sirius.black

*edit sirius est sur le quai et non sur le pont du navire^^

a aller trop vite bétise assuré

--Meyanne..

Tandis que Sirius pensait s'en sortir comme ça pour filer boire des chopes avec les amis, Meyanne avait repéré l'arrivée du chef de port remplaçant suivi de près par Anasthasia.

D'un geste vif elle attrape son fiancé par le coude puis se penche vers son oreille valide pour lui murmurer.

Humm je t'aime toi Capt'aine, mais tu ne vas pas filer comme ça hein?? Tiens va donc voir Ari t'as raison je suis sûre qu'elle acceptera de monter sur le pont avec Francis le crabe! Et puis demande lui si elle sait nager on n'sait jamais ce qu'il peut s'passer!!

De son côté tout sourire, elle va saluer les nouveaux arrivants, très touchée que sa sa future marraine ait pu se libérer pour le lancement et ait amené ses enfants.

Ana, c'est vous qui donnez le top départ pour la mise à l'eau à Henris? Après tout c'est bien au Chef de port que cette tâche revient hein?

Meyanne affiche un petit sourire de connivence avec Henris en regardant les joues d'Ana.

Tu as raison Henris, elle porte bien les couleurs!!!

Cette fois elle cherche du regard Sirius espérant qu'il ne soit pas passé par la taverne avant de trouver Aristophette.

Henris

Il avait effectué l'ensemble des contrôles. Tout allait pour le mieux. Il était sur le pont du bateau vêtu uniquement de ses braies et d'un foulard, il observait la foule qui paraissait enchantée... Ils étaient venus nombreux, il les saluait de la haut. Il reconnaissait parmi eux
son ami Lonufiel qui partageait avec lui la vie du port. Il y avait également cette femme blonde accompagnée de ses enfants, la future marraine de Meyanne.

De là ou il était perché, sa voix ne portait pas mais il accompagné ses paroles par de grands signes... Il demandait à plusieurs personnes de le rejoindre à bord

La première était.... il s'égosillait

Ari Ari Aristophette elle sera la marraine du navire et sera derrière le gouvernail pour les premières manoeuvres

puis il appela la seconde, celle qui lui avait proposé de la rejoindre à l'amirauté, l'amirale de Guyenne et la future marraine de Meyanne
d'un grand signe, accompagné de son plus beau sourire... il ne la lâchait pas du regard, elle ne portait plus le noir, mais des couleurs qui se mariaient bien avec le rose de ses joues^^...

Ana tu veux bien nous rejoindre elle dévoilera, en coupant l'une des cordes qui maintient le voilage, le nom du bateau...
Aristophette s'occupant de la seconde corde

Puis vint le tour de Galla ... et oui encore une femme...

Galla venait nous rejoindre , il fallait bien quelqu'un ou quelqu'une pour surveiller le mât et qui mieux que celle qui l'avait conçu

Lui prendra place en fond de cale pour veiller aux éventuelles infiltrations

L'équipe à bord était au complet, il demandait à Lonufiel d'être prêt à envoyer un grand coup de masse sur les cales afin que la cogue coulisse lentement dans les eaux

Les gens qui étaient venus assister à la mise à l'eau n'étaient pas au bout de leur surprise... Meyanne et Sirius avaient tout prévu

Henris attendait ses dames...

Aristophette

Ari sursauta à l'appel de son nom.

-Hein, quoi? Moi? Monter à bord?

Il avait dit quoi? "Gouvernail"? "Manoeuvre"?

Le temps de réagir, messire Henris continuait son appel. Une dénommée Ana, qu'Ari ne connaissait pas, fut appelée à son tour. Ari se démantibula la tête pour voir où était la dame en question, et voir ce qu'elle allait faire. Elle se hissa sur la pointe des pieds, pour repérer Ana. Mais Henris appela en suivant Galla et l'invita aussi à monter à bord.

Ari eut un instant de panique. Elle aussi devait donc monter à bord?
Sur un bateau qu'un colosse devait lancer?
Et s'il le lançait trop loin?
Ou trop profond?
Et si les rames étaient trop courtes, pour revenir vers la terre?

Elle failli faire demi tour. Mais tout le monde regardait les trois élues, et Ari n'eut pas le courage de faire cet affront à ses nouveaux amis. Et puis le bateau était toujours à terre, le colosse n'était pas en vue, donc elle aurait le temps de descendre fissa dès qu'elle verrait arriver un géant musclé.

Alors elle se résigna,et entreprit de franchir la passerelle. Ca grimpait! Et c'était pas large! Rien à voir avec une barque, mais pour se donner du courage, Ari imagina qu'elle montait dans son solide petit esquif.

Arrivée sur le pont, l'illusion se dissipa. Impossible de confondre avec une barque, si large soit-elle. Elle se sentait réellement intimidée, pourtant il lui en fallait beaucoup! Pour se rassurer à nouveau, elle donna quelques coups de talons sur le pont. Ca semblait solidement assemblé.

En regardant la foule, en bas, elle eut même un peu le vertige, et s'éloigna du bastingage. Elle tapota la carapace de Francis, douillettement blotti dans sa poche, pour le rassurer. Lui non plus n'aurait pas aimé se voir aussi haut, plus proche du ciel que de la terre.... à quelques empans près!

Quand son dos heurta le mât, elle ne put aller plus loin sous peine de se rapprocher de l'autre bastingage.

C'est pas qu'elle avait peur, Ari, mais elle n'était pas rassurée.

Ce bateau était trop haut, trop en bois, trop destiné à flotter.

Derrière elle, le clapotis venait heurter les rivages, et au large, les vagues barraient d'une pâle trainée mousseuse l'immensité de l'océan, et ça, Ari ne voulait même pas le voir. Un lac, bien tranquille, ça faisait son bonheur. Un océan grondant la terrifiait.

Ce bateau était trop petit, trop en bois putrescible, trop destiné à couler!

C'est pas qu'elle avait peur, Ari... mais elle était foutûment inquiète!

Edité pour corriger le "monter à bord"

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--Sirius.black

sirius s'assis sur un tonneau avec une chope a la main,regarda son amour et lui dit

aller viens t'assoir avec moi et prend une chope,de toute facons il ne partira jamais sans nous la destinée

il lui tendit une chope en lui sourient et entendu ari dire

-Hein, quoi? Moi? Monter à nord?

hann ta entendu mon coeur ... se tape le front ...entre toi qui ne veux que aller vers le sud et ari le nord ,j'me demande si c'est prudent d'un coup tous ca

sourire taquin tout en regardent son amour

Belle_assez

BRAOUM!
BRAOUM !

Ceci, c'est le bruit qui explique que les quais bougent un peu et résonnent...
Comme si un bateau tapait un peu dedans ?
Mais...
Mais c'est Belle-assez qui saute, à pieds joints !
Elle fait de grands moulinets de bras, et saute à pieds joints sur le quai de bois!
Pour être remarquée !

BRAOUM !
BRAOUM !

EUH-LAAA! Moi j'veux v'nir aussi !
j'ferai tout l'ménag'et pis j'sa bien fair' eul' frichtiiiii !
J'VOULIONS V'NIRRRR !!!!

Belle-assez ne se rend aucunement compte de l'inconfort qu'elle commençait à provoquer
aux personne qui se tenaient sur les quais de bois, et qui devaient ressentir les
grandes vibrations qu'elle provoquait en sautant à pieds joints de toute sa force...
Ceci pouvait se comparer, à un petit tremblement de terre...
Les mats des bateaux commençaient lentement à osciller de droite à gauche,
au rythme des coups de boutoir... Euh au rythme des sauts.

Belle-assez voulait capter l'attention...!
Jugeant qu'on ne la voyait pas assez, elle attrapa deux gros tonneaux vides,
qu'elle repéra non loin...
Qu'elle prit chacun dans une main et qu'elle commença à faire claquer l'un contre
l'autre au-dessus de sa tête, comme des castagnettes à la mesure de la force de la nature
qu'est la jeune femme*

Ce qui donna à peu prés ceci :
1- Saut vers le haut, au cri de : J'VOULIONS V'NIRRRR !!!!
2- Au plus haut du saut, deux futs de 120 litres chacun, vides, sans couvercle, qui s'entrechoquent : KKLLLANG !!!
3- Belle-assez retombe : BRAOUM !

J'VOULIONS V'NIRRRR !!!!
KKLLLANG !!!
BRAOUM !

*Certains pourraient argument sur le fait de nommer "femme " un tel être.
Mais moi, je le fait. La charité aristotélicienne m'anime. Voilà tout.

--Meyanne..

Aller viens t'assoir avec moi et prend une chope,de toute facons il ne partira jamais sans nous la destinée

Elle aimait lorsque son homme toujours attentionné lui tendait une chope, elle ne refusait jamais de boire un petit verre, surtout aujourd'hui que c'était le grand jour!

Assise contre lui sur un tonneau elle écoutait et regardait ce qu'il se passait, un peu tendue certes mais heureuse de cette journée. Tout semblait bien se dérouler, même si Ari allait monter au Nord et qu'elle, elle était toujours au Sud de nulle part...Tout va bien se passer se répétait-elle en son fort intérieur. Tout va bien se passer, mais Ari ne semblait pas rassurée, heureusement, Ana et Galla allaient monter, il fallait attendre en buvant quelques verres

Soudain, le tonneau se mit à vibrer on entendait des craquements du vacarme et des cris. Son sang se glaçait lorsqu'elle cru reconnaître la voix de stentor de Belle-assez. La géante s'égosillait, le quai résistait sous les accoups mais le bateau oscillait, du regard elle cherchait Ari qui était déjà à bord.

Sirius??? Fais quelque chose!! c'était tout ce qu'elle avait trouvé à dire.

Galla.von.spessen

Elle se tenait tout près de son fiancé son fils tenu haut pour qu'il assiste à la mise à l'eau... L'heure était à la détente et un peu d'impatience car tous attendaient le moment de vérité celui où la bogue quitterait sa rampe de lancement pour sa première mise à l'eau !

Belle-Assez n'en pouvait plus d'attendre et elle faisait une belle démonstration de sa joyeuse impatience en se servant de tonneaux, vides quand même, pour accompagner ses sauts en les scandant de coups de tonneaux frappés l'un contre l'autre !
Elle voulait venir !!!!! Oh la la si elle monte sur le pont en sautant ainsi Galla craint pour le plancher !!!!! Quand on songe à ce qu'elle fait avec les portes !!!!!

Soudain elle sursaute ! Hein le chef de port Henris la convie à monter sur le bateau !!!!!
Elle se sent rougir d'être mise en avant comme ça mais dans le même temps elle en est fière elle se sent honorée.
Elle se tourne vers Benedikt

Benedikt voudrais-tu te charger de surveiller Eric ! Je ne peux pas le prendre avec moi en ces circonstances et je n'ose le confier à Belle-Assez de crainte qu'elle ne le prenne pour un fanion et ne l'agite au-dessus de sa tête tant son enthousiasme est débordant !

Baiser tendre à son fiancé et à son fils et la jeune charpentière s'avance vers la passerelle près de Henris.

Me voici Messire Henris ! J'ai bien supervisé les travaux sur le chantier naval et veillé à ce que chaque ouvrier travaille bien ! C'est mon premier gros chantier et je voulais que rien ne soit négligé. Et maintenant que je sais que ce navire était destiné à mes chers amis Meyanne et Sirius je vais me montrer encore plus pointilleuse !

Pointilleuse elle l'avait été tout le temps de la construction, utilisant les plus beaux bois, ne présentant pas une multitude de noeuds dans leurs planches, elle avait bien assembler solidement avec l'aide des ouvriers chaque partie de la carcasse, de la coque, enduite ensuite de résine chaude pour la rendre étanche, colmatant chaque interstice d'étoupe enrésinée, vérifié chaque mât, elle avait supervisé le tissage des voiles aussi au grand dam du tisserand ! Mais qui avait compris l'importance de la résistance des voiles aux intempéries.... Les cordes de chanvre soigneusement tressées ... Enfin tout devait être absolument solide et sûr ....
Elle se retourna pour regarder les ouvriers qui avaient travaillé avec elle et souleva sa main doigts fermés et pouce relevé en hommage à leur travail !!!
Elle sourit à Benedikt et Eric et posa le pied sur la passerelle pour monter sur le pont et attendre le lancement en compagnie de la marraine Ari et de l'Amirale Ana et de celui qui lui avait offert la charge de cette construction !!!
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Anasthasia_valkensky

On n'avait pas prévu Anasthasia de son rôle dans l'histoire : pour une fois, elle pensait venir et n'avoir pas de tâche particulière à accomplir. Que nenni ! Henris l'invita à tous les rejoindre pour faire Dieu-sait-quoi. Discrètement, avant que chacun aille se mettre à son poste, elle se pencha vers le chef de port et chuchota.

Dis-moi, que dois-je faire exactement ? Meyanne ne m'a rien dit.

Elle se demandait aussi à qui elle pourrait confier ses fils si jamais elle devait monter à bord, car elle n'était pas sûre de pouvoir à la fois mener à bien sa mission et à la fois les surveiller pour qu'ils ne tombent pas à l'eau.

Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer, glissa-t-elle également à Aristophette qu'elle ne connaissait pas, mais dont elle avait senti l'appréhension.
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Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

Lonufiel

lonufiel regardait tout cela d'un oeil émerveillé tout ce beau monde au port pour le lancement de la coque la destinée, ce n'est pas souvent que cela arrive à La Teste effectivement. Bon il n'avait pas l'habitude non plus. Que faire? il se rappelle qu' Henris le chef de port lui avait demandé quelque chose mais quoi? Ah oui donner un coup de masse sur les cales, oui d'accord mais avant fallait il pas prendre une bouteille et la brisée sur la coque ou peut-être après. Et puis la bouteille doit -être vide ou remplie. Et puis elle risque d'endommagée e le navire.

Mais non suis-je bête se dit il c'est Henris qui a supervisé tout cela donc la coque est solide, pas de soucis rien à craindre de ce côté la.

Puis il alla vers les cales avec une masse et il attendit il se dit qu'on lui dira bien ce qu'il faut faire.
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Benedikt.von.spessen

Galla a écrit:

Benedikt voudrais-tu te charger de surveiller Eric ! Je ne peux pas le prendre avec moi en ces circonstances et je n'ose le confier à Belle-Assez de crainte qu'elle ne le prenne pour un fanion et ne l'agite au-dessus de sa tête tant son enthousiasme est débordant !
Baiser tendre à son fiancé et à son fils et la jeune charpentière s'avance vers la passerelle près de Henris.

Rhooo voilà donc le p'tit Eric dans les bras de son futur papa...
Benedikt eut un pincement au cœur quand l'enfant se laissa porter...
Il le cala, assis, sur son bras gauche - il ne pèse pas plus qu'un bouclier, pensa-t-il- et lui sourit :
Petit Eric, regarde bien le grand bateau à tata Mémé et tonton sissi !
KKLLLANG !!!
BRAOUM !
Qu'il est grand ! il est fabriqué ...
KKLLLANG !!!
BRAOUM !
...dans du bois bien solide...
KKLLLANG !!!
BRAOUM !
...et ta maman a travaillé à sa fabr...
KKLLLANG !!!
BRAOUM !
...ication...
KKLLLANG !!!
BRAOUM !

Benedikt n'y tenait plus !
Il allait falloir que Belle-assez cesse ces enfantillages,
en plus il lui semblait que le ponton s'enfonçait un peu ,
ou penchait légèrement, maintenant...
Il se fâcha quelque peu, et ce fut du ton autoritaire qu'il prenait
pour donner les ordres à une troupe qu'il apostropha la cause de ce vacarme tellurique :
Belle-assez ! STOP !

Oh-ohhh... ! L'effet fut immédiat , Belle-assez cessa et fit la moue:
Pfffff... On m'remarque même pas ! Pffff...
Alors, dépitée et sous le regard désapprobateur de Benedikt,
elle tourna les talons et s'en alla,
le pas pesant de tristesse,
bras ballants,
tenant toujours ses tonneaux,
qui raclaient le sol en un triste SCROUIIIITCHHHHH....

Belle-assez ! laisse ici ces tonneaux, voyons !
Benedikt , les sourcils froncés, se disait qu'il aurait une petite discussion avec elle,
à la Maisnie, ce soir...

C'est en ponctuant son geste d'un pathétique " Moui... Maitr'Benediqueteux..."
et dans un hoquet de sanglot, Que Belle-assez, se débarrassa des deux fûts de 120 litres chacun en bon chêne...
C'est à dire, qu'elle les lança, par-dessus son épaule, pour s'en débarrasser,
comme on le ferait d'une fleur que l'on vient de cueillir et qui ne vous semble plus
répandre assez de parfum...
Sans trop penser à son geste, sans regarder...

Celui de droite, atterrit juste à côté du bateau , en une immense gerbe d'eau
SCHHHPLOUATCHHHHHHH !!!!
...Qui arrosa d'un soudain tsunami tout le pont du bateau et tous ceux qui s'y trouvaient,
en une gerbe similaire à celle qu'un obus aurait pu causer !
Le second, tourna, virevolta, en l'air, décrivant une superbe courbe ...
Et finit par "atterrir" en haut du mât de misaine,
Heureusement que le fût était vide !
Le bateau, ainsi chapeauté d'un tonneau à l'envers,
comme d'un béret mal ajusté, prenait une toute autre allure...

Le petit Eric applaudit ! Joyeux et amusé !
Benedikt regardait, effaré, le ponton recouvert d'eau, sans parler des invités
qui y étaient montés...
Son regard allait et venait entre le pont et le haut du mât où s'était emboité le tonneau...
Il en bégaya un peu :
OH !! bb ... Belle-assez !!! Regarde ce que tu as fait !!!
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Aristophette

Ari avait à peine eu le temps d'apprécier le petit mot de réconfort offert par celle que monsieur Henris avait appelée "Ana", qu'un barouf impossible se déchaina sur le quai.
Elle sursauta d'abord, puis intriguée, s'approcha du bastingage, histoire de voir ce qui se passait plus bas. Là, elle écarquilla les yeux tout rond!
Une créature plus qu'impressionnante s'agitait en contrebas, au pied du bateau.
Ari murmura:

-La colosse!

Elle agrippa des mains la rambarde à en avoir les jointures blanches. On y était, la colosse maousse était arrivée à grand bruit. Ari en oublia même sa promesse de s'enfuir du bâtiment dès que le géant approcherait. Quitter le navire comme un rat l'aurait fait tomber nez à nez avec la ... dame? Au risque de se retrouver coincée entre les deux tonneaux? Jamais de la vie!

Elle recula vite près du mât, non loin d'Ana, pour se faire oublier, tout en cherchant des yeux une issue.
Ca se résumait à ça: descendre la passerelle, et tomber sur la Bruyante, ou sauter par dessus bord, pour se briser les jambes sur le quai. N'écoutant que son courage, Ari choisit de rester à bord, en attendant mieux.

C'est alors qu'une vague incroyable submergea le bateau encalminé. Sous l'assaut liquide, les macarons d'Ari lâchèrent prise, et de très longues mèches de cheveux vinrent se coller comme des tentacules sur le tissu de la robe trempée.

-Bé? Y s'est passé quoi?
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Henris

Henris savourait le spectacle... c'était plutôt bruyant... il y avait de l'animation sur le quai et à bord...
Il était temps à chacun de passer à l'acte...

Il se repassait la suite des événements

tout d'abord Ari et Ana devaient couper les cordelettes qui maintenaient le voile qui lui cachait le nom du bateau...

dans la foulée, Meyanne et ou Sirius jetteront la fameuse bouteille de vin sur la coque du bateau... et monteront à bord en faisant un cours discours aux invités se trouvant là

puis tout de suite après Lonufiel débloquerait les cales... afin que le bateau coulisse
lentement

Galla hisserait les voiles à l'aide de quelques bras disponible pendant qu'Ari et Meyanne resteront derrière le gouvernail
Henris irait en cale seul ou accompagné d'une deuxième personne

Tout était en ordre

Il s'approchait de Ari et de Ana, le sourire en coin, il posa chacune de ses mains sur leur épaule et d'une voix rassurante leur proposa de commencer

Allons y...

Anasthasia_valkensky

On expliqua en deux mots son rôle à la Moscovite, qui se place plus près du bord en compagnie de son acolyte du moment pour la mission de dévoilage du nom du navire flambant neuf. Elle attendait le signal du départ, tout comme ses fils qui ouvraient des yeux ronds devant l'impressionnant spectacle. En effet, le bâtiment était déjà imposant pour des adultes, alors imaginez pour des bambins !

Anasthasia tourna légèrement la tête en sentant une main sur son épaule, puis sourit en voyant de qui il s'agissait. C'était l'heure : la vraie démonstration allait bientôt commencer. Elle se pencha pour chuchoter aux garçons d'être bien sages et d'écouter les consignes du monsieur ici présent en qui elle avait toute confiance ; elle regarda ensuite sa partenaire.

Prête ?
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Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

Le Port de La Teste de Buch

Beaba

Beaba se promenait sur les quais quand elle vit un curieux manège.
En un rien de temps, une petite charrette s'est transformée sous ses yeux , en un scène de Théâtre. Quelle ingéniosité!
Elle s'approcha :
Hé hé, Bonjour
Vous allez nous faire un spectacle? Vous restez quelques jours?

Guisseppe

Bon giorno, non désolé nus partons dès ce soir. Nous espérons que vous allez aimé le spectacle;

Narcysse

La Teste-de-Buch , première étape d'un voyage.

C'est la première fois que la Fleur quitte Bordeaux par envie. En fait, elle s'est toujours contentée de suivre le Colosse depuis qu'il est devenu son Père. Comme son ombre, toujours dans ses pas, partout, tout le temps.

Cette fois c'est différent. En beaucoup de points.
D'abord, elle ne suit pas le Géant. Il ne fait pas parti du voyage.
Mais elle n'est pas seule pour autant. A ses côtés, juste là, assis sur le ponton d'un des quais du grand port de cette ville qu'elle découvre pour la première fois, un Celte.
Lui qui est rentré dans sa vie sans prévenir, sans qu'ils ne s'y attendent, ni l'un ni l'autre.
Comme une bourrasque qui ferait virer de bord le plus grand des navires, il a déboulé dans son coeur et en a fait chavirer la boussole.
Elle qui pensait ne jamais quitter le cap qu'elle s'était fixé, elle découvre qu'à ses côtés il pourrait y en avoir des centaines d'autres.
L'esprit de la Fleur traverse la pire des tempête à cet instant, mais il suffit qu'elle tende la main et que ses doigts glissent et s'entrelacent entre les siens pour que l'horizon se calme, que tout redevienne paisible et clair.

Qu'en pensera leur famille? Qu'en dira son Père quand il l'apprendra? Faut-il qu'elle lui dise? Qu'elle lui dise quoi d'ailleurs? Elle ne sait même pas expliquer ce qui lui arrive ...
Autant de questions sans réponses qui tournent en boucle sans réussir, pourtant, à la freiner dans son élan.
Elle veut être avec lui. Elle veut le voir quand elle se réveille et s'endormir bercée par les battements de son coeur. Elle veut la chaleur de ses bras protecteur et la douceur émouvante de son regard.
Que ce "Nous" naissant grandisse encore et encore. Que jamais il ne disparaisse.

Assise au bout du ponton, ses pieds nus chatouillant la surface de l'eau, elle soupire de bien-être et pose sa tête sur l'épaule du brun.
Le soleil lui chauffe agréablement le visage, la fièvre est partie, il ne lui reste que ce doux vertige enivrant qu'elle apprend à dompter.

* Déclaration d'Amour - Michel Berger

Clic!

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Guisseppe

Un craquement, un couinement, un sifflement.... Soudain, une charrette à bras débarque de sous la brume matinale. Elle est poussée, tirée, déplacée tant bien que mal par un homme et un enfant. Les deux parlent fort et en italien pour couvrir le bruit que fait le véhicule. Il s'agit de Guisseppe et de son fils Luigi. Tout deux forains, ou bateleurs ou jongleurs, ou comme il vous plairait tant que vous leur donnerez quelques pièces. Guisseppe faisait la tête, ils venaient de se faire agresser. Pourtant, il n'avait pas le choix, il fallait vivre, et pour cela, il fallait travailler.

Enfin, ils arrivent vers le centre du port, la place semble vide, mais ils espèrent qu'elle se remplira. Pendant que Luigi commençait à rameuter des potentiels spectateurs, son père montait l'estrade.
Guisseppe avait bricolé une scène qui coulissait directement depuis la charrette; Elle tenait ensuite grâce à deux tréteaux et la bâche protégeant le chargement durant le trajet devenait un rideau de scène assez convaincant. Après avoir dressé la scène et s'être assurer plusieurs fois que cela tiendrait en sautant dessus, il sortit ses balles, luth et autre accessoires et les rangea à portée de mains pour être réactif pendant le spectacle. Puis, comme à son habitude, il sauta à terre et fit quelques pas en arrière.

bene , lo farà*

Il retourna ensuite se changer à l'intérieur de la charrette, abandonnant la cape en laine qui lui servait pour la route, et mettant sa tenue bariolée. Enfin, il se tourna vers son fils qui criait sur le port :

Figlio , noi siamo pronti**

* bon ça va le faire
** Fils, nous sommes prêts

Galla.von.spessen

Elle courait aussi vite que son tour de taille le lui permettait et sa fatigue qui depuis quelques jours ne la quittait pas.
Elle était allée en taverne avant hier soir et avait alors appris que l'on baptisait le bateau de Meyanne mais elle ne savait même pas que le bateau était achevé !!! Elle n'avait pas vu les offres d'emploi pour charpentier dont le chef de port l'avait informée ! Mais bon on ne peut pas être partout à la fois à n'importe quelle heure de la journée et puis.......
Ben elle est allée au lac !!!!!! Puisque l'affaire tombait au lac autant mettre ceci en profit ! Elle n'allait pas non plus s'y jeter elle-même !!!!
Pas sûr qu'elle flotte bien avec son bidou !!!!

Essoufflée elle arrive sur les quais et oufff le foncet est encore là !

Bonjour à tous ! Me voici tardivement mais j'ignorais que le bateau était prêt à être baptisé ! Tout est bien qui finit bien et me voilà !
Tenez j'ai pris avec moi un gros bouquet pour mettre à la figure de proue et un gâteau très spécial pour l'occasion !!!!!

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Meyanne.black

Elle sourit, comme souvent d'ailleurs.Les mots de Sirius avaient fait remonter en mémoire le jour de leur rencontre fortuite alors qu'elle s'était perdue..Ce jour où sans rien dire leurs regards se sont croisés comme une évidence ils allaiebt accomplir leur destinée. Ils ont pris le temps d'apprivoiser leurs coeurs blessés pour aller encore plus loin...Jusqu'au bout ensemble.

Alors trinquons mes amis!!!! A l'Evidence!!!!!!

Henris je te remercie pour ce chouette baptême, Béa pour être venue avec des chopes, Galla pour t'être déplacée sans rouler hihiii et toi Sirius pour m'avoir permis de réaliser mon rêve...

Elle prit le bouquet spécial à accrocher, monta à bord et se mit à chanter. Bizarrement c'est là que je ciel tourna à l'orage.

Il était un petit navireuuuh il était un petit navireuuuuuhhh Ohé ohéééééé......

Voilà c'était aussi rapide qu'imprévu ce baptême, des choses simples des moments simples, des amis toujours là...Ils partaient avec un pincement au coeur se promettant de ramener à chacun un présent.

Allez montez on va manger ce bouquet non?
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Beaba

Béaba arrivait en courant avec 5 chopes vides dans chaque main.

J'arrive à temps je crois ! aller, vas-y Henris remplis moi tous ces récipients.
S'il n'y en a pas assez, je cours en chercher 10 autres.
Il en faut pour tout le monde, ceux qui sont là et ceux qui vont arriver
Un bateau doit être arrosé et les gosiers désaltérés , c'est une EVIDENCE

Beaba fit la bise à tous ceux qui étaient présents

Sirius.black.

sirius arriva un peu en retard et alla embrassé sont amour....

coucou .... j'arrive juste a temps pour boire a ce que je vois ....

puis il regarda l'évidence et sourit puis regarda meyanne.

mon capitaine,mon capitaine le parrain cache des bières,il veux les boires seul pfff ...

il se demandais si tout étais réelle ,le couple vivais comme sur un nuage,tous leurs réussissais ,et repensa a comment ils trouvère le nom du navire et sourit a son amour.

tu te souviens mon coeur ,quand nous nous somme trouver,a nos yeux se fut une évidence pour nous de ne plus se quitté , nôtres destinée fut une évidence pour tous nos amis aussi .

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Henris

Il sourit aux dires de Meyanne

Citation:

Comme tu le sais j'peux pas prendre la mer si on inaugure pas l'Evidence! Tu heu tu veux bien être le parrain de mon bateau en attendant d'être celui d'Alban hihii??!!!!

puis il déposa les bouteilles au sol

Il reprit son sérieux connaissant les superstitions des navigateurs.

Mey j'accepte avec joie, et je ne vous laisserai pas partir toi Sirius et ta petite famille
sur ce bateau.
Il pensait tout bas
Tout bateau non baptisé est guidé par le sans nom sur les rochers

Il prit une première bouteille, s'approcha au plus prêt du foncet et d'un geste précis
visa la partie de la coque portant le nom du bateau

Il cita
Celui qui n'a pas goûté au vin, goûtera au sang

puis lança la bouteille qui s'éclata comme souhaité sur le nom de baptême , l'Evidence...

Il prit une seconde bouteille et fit sauter le bouchon, la proposa à Mey

En se retournant il s'aperçu que bien du monde les avait rejoint

Il restait encore quelques bouteilles ^^

Mey ce bateau fera votre bonheur et vous pourrez naviguez sans crainte

Henris

Il sortait de la capitainerie et avait lu le rapport de Lonufiel son ami avec qui il se partageait la responsabilité du port.

Le bateau de Meyanne était sorti de cale et la mise à l'eau était effectuée...

Il se souvenait de la Destinée et de son baptême. Il activait le pas pour rejoindre la taverne municipale et y récupéra une bouteille dans les réserves. Il se précipita sur les quais
et là devant lui, flambant neuf, un foncet qui n'attendait plus qu'à affronter les flots.

Un nouveau bateau attirait toujours les gens, et parmi le petit monde déjà sur place
Meyanne faisait les cent pas. Nerveuse ? Inquiète ?
Il se faufila jusqu'à la rejoindre

Que t'arrives t'il Meyanne ? tu as l'air anxieuse

Meyanne.black

Elle se dandinait, pied gauche pied droit...Hésitant guettant l'arrivée de Sirius, elle n'osait pas lui dire qu'elle avait oublié de prévoir le baptême de leur nouveau navire.

Henris arrivait les bras chargés de bouteilles...

Que t'arrives t'il Meyanne ? tu as l'air anxieuse

Son coeur fait un bond dans sa poitrine, un large sourire illumine alors son visage.

Hoooo Henris!!!!! Cher ami tu me sauves la vie encore une fois! Oui oui j'ai oublié de préparer le baptême...Trop prise par le mariage voilà!!!! Enfin ..Comme tu le sais j'peux pas prendre la mer si on inaugure pas l'Evidence! Tu heu tu veux bien être le parrain de mon bateau en attendant d'être celui d'Alban hihii??!!!!
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Meyanne.black

[Mise à l'eau de L'Evidence]

Le bateau, le petit navire de Mey était enfin terminé! Le chef de port l'avait mis à l'eau ce matin même et ce soir avec son mari ils prenaient la mer puis les fleuves destination où le vent les portera pour le voyage de noces.

Meyanne était supersticieuse, hors de question de partir sans que le foncet soit baptisé, il était tout beau tout neuf , elle allait enfin mettre à profit ses études de navigation...Impatiente..Oui impatiente elle avait grand hâte de monter à bord et de prendre la barre. Elle n'avait pas eu le temps depuis son mariage de contacter ses amis pour savoir qui voudrait bien être parrain ou marraine de L'Evidence.

Bien embêtée elle attendait au port que quelqu'un passe.
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Galla.von.spessen

Elle remonta sur le pont dans ses vêtements secs et vit que pendant qu'elle s'était changée le buffet avait été préparé et que les gens commençaient à s'approcher pour déguster toutes les bonnes choses qui était offertes à leur dégustation.
Les commentaires allaient bon train, chacun admirant et montrant à son voisin une partie du navire qu'il trouvait remarquable, certains étaient même des connaisseurs qui possédaient eux aussi un bateau et ils comparaient avec le leur. Les enfants prenaient des rondelles de saucisson et jetaient des regards prudents vers leurs parents et hop s'ils avaient l'air occupés à discuter avec leur voisin en reprenaient !!!!
La Teste était joyeusement animée par cet évènement et elle s'en réjouissait.
Elle vit Benedikt qui s'avançait avec Eric et elle se dirigea vers eux, elle les enveloppa dans le même regard heureuse de la complicité qu'ils avaient nouée, elle avait enfin ce dont elle avait toujours rêvé une vraie famille, une famille à trois, bientôt quatre !
Gugusse était là aussi et hélait Martinot qui arrivait en portant un gros panier de raisins pour le buffet ! Eric les désigna à Benedikt et leur fit des grands gestes de la main !
Elle regardait tous ceux qui avaient travaillé avec elle à la construction de La Destinée et échangeait quelques mots avec eux, elle avait aimé travailler en équipe. Elle pouvait lire dans leur regard la même fierté qu'elle ressentait.
Elle se rapprocha de Bénedikt et se haussa sur la pointe des pieds pour lui murmurer quelques mots à l'oreille qui le firent sourire, lui fit une bise sur sa joue et puis en donna deux sur les joues de son fils !
Le petit vent qui durant la mise à l'eau soufflait s'était calmé comme s'il voulait lui aussi profiter des agapes !
Elle n'avait plus froid mais par moments son nez lui picotait et un petit éternuement venait se faire entendre ! La grande vague Belle-Asséenne avait eu le don de la rafraîchir plus qu'elle n'eut voulu !
Au fait où était passée Belle-Assez !!!!
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--Meyanne..

Tout à son plaisir de voir La Destinée toucher l'eau, Meyanne n'avait pas eu le temps de saluer l'homme qui était monté pour sauver Ari. Elle avait regardé avec grand plaisir ses amis se rapprocherElle se met à rire lorsqu'il enjambe le bastingage pour grimper dans une chaloupe lorsqu'elle réalise qu'ils allaient accoster.

A son tour elle se pencher par dessus bord.

Heyy messire!!!!!Remontez!!!!! N'allez pas vous fracasser dans la chaloupe!!!!

De grands gestes en direction de Sirius et Ari qui tiennent le cap.

Parez à la manoeuvre on va accoster!!!!!!

Sur le quai Bénédickt et Eric faisaient de grands signes.

Allez les amis tout le monde sur le pont!!! Il est l'heure de fêter ça dignement autour du buffet!!!!!

Se rapprochant d'Henris pour lui donner un coup de main à la mise en place.

Heu?? On fait comment pour lancer la passerelle??

Henris

Meyanne lançait

Allez les amis tout le monde sur le pont!!! Il est l'heure de fêter ça dignement autour du buffet!!!!!

Le temps était pressé... puis une question

Heu?? On fait comment pour lancer la passerelle??

La question à peine posée, Lonufiel avait fait glissé cette dernière pendant que Henris jetait des échelles en cordage, pour les plus téméraires... le but était de s'amuser et de se mettre dans la peau d'un matelot. Les cordages étaient variés, les uns pour les plus petits et les autres pour les plus expérimentés...
Puis il se dirigeait vers la cabine pour voir si Ana ne manquait de rien...

Benedikt.von.spessen

Benedikt monta rejoindre Galla, le petit Eric dans les bras...
Oh ! regarde! les grandes voiles que maman a fait descendre tout à l'heure !
Une fois sur le pont, il souriait à tous ceux et celles qui étaient présents ...
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Benedikt.von.spessen

Benedikt avait fini de sermoner Belle-assez...

Regarde, Eric, disait-il en serrant l'enfant dans ses bras, lui montrant de la main le pont du bateau, c'est maman !
Puis ils lui firent tous deux des signes joviaux de la main :
hOUuuu-Hou !
Benedikt était heureux.
Pour peut être la première fois, sa vie lui paraissait ... simple. facile...
Tout en riant avec Eric et en faisant coucou, il se dit qu'il lui faudrait redoubler de vigilance.
Tout a un prix, et celui d'un tel bonheur serait exorbitant, à n'en pas douter.
Il éduquerait p'tit Eric, et les protègerai tous deux.
hOUuuu-Hou !
...
Dis, Eric, tu voudrais manger de bonnes choses?
Regarde, on nous propose plein de mets gourmands, et je suis certain
que tu ne les connais pas tous !
Ils s'avancèrent vers le buffet...
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Henris

Enzolt et Henris avançaient vers la proue lorsque le bateau commençait à glisser dans l'eau...
Lonufiel avait enlevé les cales et le navire coulissait lentement...
Il souleva le gamin et le serra contre lui, un coup d'oeil vers le mât ou Galla s'afférait avec deux matelots venus à son aide... Elle avait l'air frigorifié, mais malgré cela elle apparaissait fière de sa réalisation...
puis il se tourna vers le gouvernail ou.... vent de panique... un large sourire se dessinait sur son visage lorsqu'il aperçu Sieur Vincent vouloir sauter dans une chaloupe...
Ari accompagnée de Meyanne et Sirius tenait le cap...
La Destinée revenait à son ponton pour y être amarrée...
Il sentait des yeux posés sur lui, il se retournait et son regard croisait celui d'Ana. Il lui sourit et se dirigeait vers elle. Un clin d'oeil à son amirale pour lui avouer sa satisfaction,
il la prit par la taille sans aucune arrière pensée pour la guider vers l'une des cabines. Il la laissait là avec ses deux enfants afin qu'ils puissent se sécher...
Il ne lui restait plus qu'à donner un coup de main à Meyanne et Sirius pour la réception de tous ceux qui étaient venus prendre part à ce baptême ...
Vins d'honneur, saucissons, calissons et autres bonnes gourmandises venues des quatre coins du royaume...

Galla.von.spessen

La mise à l'eau avait été une réussite ! Chaque manoeuvre bien exécutée ! Aucun incident n'était intervenu ! Le bateau était solide et tous ceux qui y avaient travaillé depuis de longues journées pouvaient être rassurés et surtout fiers de leur travail.
En tous les cas elle l'était, c'était son premier grand chantier, elle avait eu quelques craintes au départ, c'était une lourde responsabilité mais elle avait pris le temps de bien relire toutes les notes que lui avait laissées Altiéros quand il lui avait remis tous ses outils et matières premières de son atelier.
Elle allait pouvoir lui écrire et lui dire que ses leçons avaient été bien retenues, quand la foule se serait éloignée un peu plus tard, elle viendrait dessiner la Destinée posée sur l'eau à son ponton.
A présent c'était le moment des réjouissances ! Une grande variété de bonnes choses venait d'être apportée pour que tous mangent et boivent !
Elle cherchait du regard Benedikt et son fils quand elle les vit monter sur la passerelle, elle les regardait venir en souriant, son coeur battait un peu plus vite en voyant les deux hommes de sa vie. Brrrrr un frisson la parcourut et elle remonta la couverture sur ses épaules. Elle vit arriver Gugusse avec un grand sac, il se faufilait entre les badauds et ceux qui commençaient à déguster les bonnes choses mises à leur disposition. Il vint tout droit sur elle et lui tendit le sac.

Tiens petite je t'ai rapporté des vêtements secs, tu devrais aller à l'intérieur pour les passer, ce n'est pas le moment que tu prennes un refroidissement et tu trouveras un pot qui contient du bouillon bien chaud au milieu de tes affaires attention de ne pas le renverser !!!! J'espère qu'il sera encore suffisamment chaud !!!

Elle le remercia chaleureusement en lui collant deux bises qui claquent sur ses joues ! A cet instant elle se dit qu'elle était la plus heureuse des femmes. Elle se saisit du sac et courut se changer à l'intérieur.
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Vincent36

Il s'étonna de la voir s'éloigner et il devança sa course du regard pour trouver sa destination. Il comprit quand ses yeux se heurtèrent à l'homme à la couverture qui n'avait pas remarqué, trop concentré à ne pas sourire de la coiffure volante de la brune, qui lui donnait l'air d'avoir une méduse accroché à sa tête. Il s'excusa à l'homme d'un signe de main et le remercia de loin d'un sourire un peu gêné accompagné d'un hochement de tête.

Msieur Vincent, j'vous réponds, promis, mais couvrez-vous d'abord!

Et il ne lui facilita pas les choses. Il resta bien droit, jouant et s'amusant de la différence de taille, l'obligeant à se hisser pour l'atteindre. Elle se rapprocha de lui, faisant son effet. Il se refusa à la garder, pour ne pas lui montrer qu'il appréciait son contact plus que la décence le voudrait, et tenta de ne rien laisser paraître. L'émotion fut tout de même trahie par un petit sourire en coin, impossible à effacer.

Quelques secondes de ce petit plaisir, et elle était déjà partie, lui laissant une couverture installée sur les épaules. Il empoigna les pans de l'ouverture d'une main et les referma de l'intérieur, au niveau de sa poitrine. Un soupire ravi s'échappa de lui en sentant le froid abandonner ses bras. Il était de nouveau au chaud. Il écouta ensuite l'histoire d'Ari sur la vague et surtout sur la géante qu'elle lui désigna. Il plissa les yeux pour s'assurer de la réalité de sa vision. Il avait déjà vu des géants, mais c'était bien sa première géante. Et elle l'impressionnait d'autant plus. Il se croyait grand mais on est

Je partage votre inquiétude. Le bateau va probablement se briser en deux !

A peine cette phrase prononcée, qu'un grand grondement sourd commença, rapidement accompagné du glissement du bateau dans l'eau. L'émotion qu'Ari témoigna par ses cris ressemblant à celle qu'il intériorisa. Ca bouge, mais oui ça bouge ! Et ce n'était pas normal du tout, étant donné qu'il était encore à l'intérieur ! Il sentit une pression sur son bras et baissa les yeux, ce qui eut pour effet de lui faire perdre sa concentration pendant deux secondes. Elle s'était accrochée à lui ? Une petite satisfaction et un morceau de joie le réchauffèrent de l'intérieur. Il voulut la regarder pour lui sourire mais la mine pleine d'inquiétude qu'il aperçut lui rappela le problème actuel : le bateau partait et eux avec.

Ne vous inquiétez pas Ari, un bateau c'est fait pour flotter. Enfin, quand il est bien fait.

Il se retourna pour jeter un coup d'oeil par-dessus son épaule. Le ponton avait déjà laissé sa place à la mer. Il avait bien fait de vérifier avant de se dépêcher de sauter du navire avant qu'il aille trop loin. C'était déjà trop loin. Le navire dans l'eau, sa voile tirée, celui-ci s'éloignait timidement du port, pas encore pressé de prendre la mer.

Venez, on va certainement trouver un matelot et une barque pour nous ramener.

Il lui indiqua les autres gens présents sur le pont d'un mouvement de la tête et s'approcha d'eux, entraînant la brune avec lui et espérant secrètement qu'elle ait encore besoin de son bras pour se rassurer. Il interpella le premier marin qui lui passa sous le nez pour lui expliquer la situation et ce dernier l'invita à se pencher par-dessus le bastingage pour admirer la chaloupe, qui attendait les passagers qui ne resteraient pas pour le voyage, en contre-bas avec son conducteur.

Vous voyez, ce n'était vraiment pas la peine de vous inquiéter. Vous allez pouvoir regagner le plancher des vaches en un rien de temps. Plus qu'une petite difficulté.

Il se tordit le cou pour pouvoir mordre dans la couverture et enjamba la barrière de bois, attrapa la corde qui était prévue pour la descente et gagna la petite embarcation. A son tour de prendre l'air inquiet, beaucoup trop près de l'eau à son goût, remuant au moindre caprice de la houle. Il resta debout, en position d'appui et se prépara à réceptionner la future arrivante quand elle se déciderait à bien vouloir descendre.

Anasthasia_valkensky

Finalement, Anasthasia échappa au fait de devoir s'habiller en homme et de paraître trop ridicule, mais pas à une moue moqueuse du chef de port. Elle aurait pu se vexer, mais venant de lui, elle ne s'en formalisa pas, surtout qu'il revint rapidement avec de quoi réchauffer tout le monde. Elle le regarda faire la distribution, puis, alors qu'elle assurait sa prise pour tenir Thomas d'une seule main pour attraper la couverture, il la déposa lui-même sur ses épaules. Elle s'apprêtait à le remercier, mais la façon dont il se colla à elle lui ôta tous ses moyens. Elle pouvait sentir ses muscles contre son corps, et elle trouvait cela assez déroutant. Même lorsqu'il la railla, elle ne trouva rien à redire ; elle rougit simplement. Ensuite, il partit en emmenant l'aîné de ses fils.

La scène s'était déroulée sans qu'elle ne puisse dire un mot. Cela devenait vraiment préoccupant et embarrassant pour elle d'être à ce point troublée par Henris. Pour se donner une contenance, si c'était encore possible, elle entreprit de montrer à son fils les voiles du navire et à lui donner leur nom. Elle se rassurait aussi en se disant que probablement personne n'avait remarqué tout ça. Rien n'était moins sûr, surtout avec Meyanne dans les parages.
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Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

Galla.von.spessen

Elle prit avec gratitude la couverture que lui tendait Henris et en claquant des dents la jeta sur ses épaules et s'y enroula et d'une main elle se frictionnait vigoureusement pour faire circuler son sang plus vite et plus fort afin de se réchauffer !

Merci messire Henris dit elle entre deux claquements de dents qu'elle ne parvenait plus à contrôler ! Elle se dit que bientôt ses dents feraient autant de bruit que les claquements des tonneaux de Belle-Assez !

Non non ! Meyyy aaanne ! Clac ! clac ! Je préfère que Béné et Eric restent en bas au cas où la "douce" Belle-assez remettrait ça ! Clac ! clac ! clac !

Et vivement elle attrape la corde enroulée près d'elle et commence à tirer dessus, outch c'est dur ! Elle sait faire des mats mais tirer une corde c'est autre chose, un des matelots qui étaient là la voyant s'escrimer vint lui prêter main forte . Ca il avait la main forte car la pauvre Galla décolla d'un bon mètre au dessus du sol, on aurait le bedaud du Père Ainarik !!!
Elle monta une main plus haut sur la cordre et tira en même temps que le matelot et enfin elle sentit que la voile descendait !
Elle leva la tête et vit que leurs efforts n'avaient pas été vains ! Dans ces mouvements elle avait perdu la couverture qui gisait à ses pieds et le petit vent qui s'était levé depuis peu faisait gonfler la voile et sa jupe autour de ses jambes !!
C'est la chevelure en bataille tout autant que sa jupe qu'elle laissa le matelot accrocher la corde pour récupérer sa couverture et s'en enveloppa rapidement. A cette heure rien ne lui était plus cher que cette couverture légèrement râpeuse qu'elle serrait de ses mains gelées et rougies par la corde. Clac ! Clac !
Elle se retourna vers Meyanne et Sirius et leur jeta crânement !

Vous avez vu la qualité de cette voile !!! Voyez comme elle prend le vent ! Mes chers amis vous allez pouvoir sillonner toutes les mers !!! Enfin non pas trop loin que l'on ne reste pas des mois sans vous voir !!!

Et elle ne put finir son discours car un éternuement vint l'interrompre brutalement AATTTCCHHOOUUUmmmmmmmmmmmmmm !!!!!!
Heureusement car qui sait combien de temps elle aurait encore parlé et bla et bla et bla !

AAAtchouuuuummmmmmmmm!!!!!!
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--Meyanne..

Décidément cette mise à l'eau réussie avait rapproché des couples ils auraient peut être dû l'appeler "le lot voeux botte" mais La Destinée finalement avait parfaitement fait son office. Appuyée contre l'épaule de Sirius, elle passe son bras autour de sa taille, lui vole un petit baiser discret et lui chuchote.

Merci pour ce rêve qui se réalise..Je t'aime toi!!

Très émue d'être elle sourit à ses amis se rendant compte que Galla est seule près du mat. Car oui, c'est à elle que revient la lourde tâche de hisser les voiles.

Galla? Ca va aller ou tu veux attendre que Béné monte avec Eric pour hisser les voiles avec toi?

Regardant sur les quais elle fait de grands signes à Bénédickt.

Aristophette

Ari avait suivi des yeux la montée à bord de Vincent. Quand il approcha d'elle, un sourire des plus radieux vainquit les tremblements de sa mâchoire. Comme d'habitude, il la contempla d'un air goguenard. Elle ne s'en formalisa pas; il donnait toujours l'impression de se moquer gentiment d'elle. Cela n'enlevait rien au plaisir d'être avec lui.
Alors qu'elle s'enlevait de la bouche une mèche brune déposée là par un souffle de bise froide, elle connut la surprise délicieuse de le voir ôter son mantel, et de l'en draper.

Les petits bonheurs sont les plus savoureux.

Outre la chaleur immédiate qui l'enveloppa, elle eut intimement conscience que c'était sa chaleur à lui, et plus grisant encore, son parfum qui l'enlaçaient. Elle oublia la mèche rebelle, qui revint se faufiler entre ses dents et ferma les yeux un instant, en se blottissant dans le manteau.
La voix de Vincent lui fit ouvrir les paupières. Assis face à elle, en simple pourpoint, il se moquait tout en s'inquiétant de sa condition, le félon! Elle crachota ses cheveux d'un pfrfrrr élégant, et s'indigna:

-Une sirène? Pff, msieur Vincent! Mais bougez pas!

Elle avait remarqué qu'Henris avait tendu à Vincent une couverture, geste que celui-ci n'avait pas remarqué. Elle fonça vers le chef de port, et lui prit la couverture des doigts.

-Merci, msieur Henris! J'crois qu'y vous a pas vu!

Elle serra d'une main les pans du mantel contre elle, trotta jusqu'à Vincent, et déplia la couverture qui claqua au vent marin.

-Msieur Vincent, j'vous réponds, promis, mais couvrez-vous d'abord! Allez pas choper la maladie, j'm'en voudrais toute ma vie, même si'j'peux vous soigner d'bouillon d'bulots!

Elle lâcha les devants du mantel, pour attraper un coin de la couverture, et emmitoufler Vincent dedans. Elle était trop petite, Ari, alors elle se hissa sur la pointe des pieds et vint se coller contre lui, pour saisir dans son cou l'autre coin. Quand elle l'eut dûment emberlificoté dans le plaid, elle recula d'un pas, satisfaite.

-Vlà, nous sommes couverts tous les deux. Alors pour vot réponse, ben c'est la géante, là, qu'a fait une vague éééénorme! FFFlllatch!!

Elle mima d'un mouvement du bras la déferlante qui avait débordé sur le pont en les arrosant tous. Puis elle se pencha et lui chuchota:

-C'est la même géante qu'va lancer l'bateau dans l'eau, j'crois! L'est sacrément forte! Y faut descendre vite! J'veux pas être à bord quand elle va faire ça! Pas question d'avoir la mer vide en d'sous!

Elle eut à peine le temps de voir Sirius arriver avec Meyanne posée comme un sac de blé sur l'épaule, qu'un grand bruit la fit sursauter, puis un autre, un autre, et un autre.... et la Destinée se mit à bouger. Ari écarquilla grand les yeux, soudain épouvantée, et s'agrippa au bras de Vincent.

-Msieur Vincent!! Ca bouge! Ca bouuge!! On tombe dans l'oceaan!!

Fatalité!
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Lonufiel

Lonufiel regarda tout cela avec un pincement au coeur et il se dit ha si Anae pouvait être la à ses côtés, mais bon c'est la vie elle a du aller malheureusement depuis le début de l'été chez les moines diront nous.
Bon ce n'est pas tout cela mais le navire est baptisé et c'est peut-être à lui maintenant avec la masse de finir le travail, mais vaut mieux attendre qu'henris lui dise il ne sait plus vraiment, pas trop l'habitude de cela.

Enfin, il regarda tout le monde, ensuite le bateau cette belle coque et maintenant c'était le moment pour lui à l'aide de la masse de retirer les cales.

Lonufiel repris son souffle marqua un instant et leva la masse au dessus de sa tête et d'un coup sec fit partir une cale puis les autres de la même manière.
Il ne lui restait plus qu'à voir le bateau descendre doucement dans l'eau.
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--Sirius.black

après avoir pris une chope avec henris , sirius descendit du navire aussi discrètement et alla rejoindre meyanne.

il sentit une pression contre lui et se retourna,c'étais Anasthasiaqui le poussé discrètement et qui lui disais quelque mot , il se mit a sourire et lui fit un oui de la tête.

meyanne lui colla une bouteille dans la main et lui dit avec un sourire a faire craqué les rides du vieux.

Allez capt'aine dépêche toi on jette ensemble? Allez UN....DEUX.....

.........TROIS......................

il lança avec mey les bouteilles qui se fracasse a l’unisson sur la coque du navire , il était heureux , il ne le montrais pas,il le le montrais presque jamais remarque ,lire en lui ou lui faire dire ses ressentit étais aussi facile que d'apprendre a faire du maniement d'épée a un manchot.

il regarda cette femme dans les yeux et lui fit un clin d’œil , il repensa a tous se qui leurs est arrivée depuis se fameux soir a rochecouard ,le torchon , la 1er balade ,eléanne ,leurs rêve de faire des choses ensemble , puis il regarda la destinée se mot qui a leurs yeux avait une signifiance bien particulière et qui pour la 1er fois leurs union avais concrétiser se rêve.

la Destinée se dressé face a eux ....il regarda meyanne et sans lui laissé le temps il l’attrapa et la pris comme un sac sur son épaule puis pris la main d'éléanne avec celle qui lui rester de libre , il comment a monter la passerelle en crient.

attention attention chargement d'exception qui arrive ...il regarda henris et se mit a rire en lui disant ...celui la va dans ma cabine , j'y tiens , c'est le trésor de ma vie

Henris

Henris avait tout prévu sauf peut être ces tonneaux volants... et surtout de voir les trois femmes qu'il avait fait monter à bord être trempées de la sorte.

Sa première réaction était d'abord un grand sourire moqueur, il s'amusait de la situation,
puis s'était approché assez prêt de son amirale pour ressentir un trouble certainement partagé à la vue des joues d'Ana.
Il entendit à peine ses quelques mots

Citation:

Je ne suis pas sûre qu'ils soient à ma taille, mais si tu as une couverture je ne suis pas contre.

Il reprenait tous ses moyens, en allant faire un aller retour rapide avec trois couvertures
La première il la donna à Galla qui était toujours devant le mât, la seconde il la tendit au messire qui avait rejoint Ari, en lui faisant un clin d'oeil ...
Puis il se rapprocha d'Ana et de ses enfants, il déplia la dernière couverture pour la poser délicatement sur ses épaules en couvrant également le petit dernier dans les bras de sa maman. Situation cocasse ou il restait au plus prêt de ''sa supérieur'' en se collant à elle et sentant son coeur battre... et de lui chuchoter avec son air moqueur

Mon amirale tu as une classe d'enfer

Il lui prit la main et posa délicatement ses lèvres sur cette dernière...
Henris s'empressait de prendre avec lui Enzolt l'ainé pour lui montrer le reste du bateau

Anasthasia

Anasthasia poussa doucement Sirius en lui disant que ce n'était pas encore l'heure de boire et que l'alcool devait servir à autre chose pour le moment. Elle était ravie de les voir si heureux, sa future filleule et lui. Leur navire était un beau morceau, reflet de leur rencontre, de leur amour et de leur futur à deux. Elle avait hâte de leur souhaiter tout le bonheur du monde lors de leur mariage, mais avant, Meyanne devait être baptisée. Enfin c'était une autre cérémonie à venir et il fallait se concentrer sur celle-ci qui n'était pas tout à fait terminée.

Pourtant, l'amiral avait hâte d'en finir d'un certain côté : elle était, elle aussi, trempée jusqu'aux os. Elle frémissait et tremblait complétement à chaque brise. Le souffle chaud du chef de port, héros de la journée, la fit frissonner aussi, mais pas pour la même raison. Elle n'osa pas se retourner franchement pour être face à lui, car ses joues avaient viré au cramoisi à l'évocation d'une telle proposition. Elle avait un peu honte, aussi, d'être si mal apprêtée et coiffée. C'était la première fois qu'il ne la voyait pas tirée à quatre épingles. Elle aimait maîtriser les choses, or ce n'était pas le cas à cet instant précis. Elle était comme un navire dont le capitaine n'a plus la boussole : perdue. Elle lui chuchota néanmoins une réponse.

Je ne suis pas sûre qu'ils soient à ma taille, mais si tu as une couverture je ne suis pas contre.

Elle regarda ensuite les enfants, en se demandant s'il était plus sage de les laisser là ou de les emmener en cabine où ils risquaient de vouloir jouer à cache-cache ou de casser les instruments de mesure. Et surtout, elle ne savait pas si c'était convenable de s'éclipser ainsi avec Henris.
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Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

--Meyanne..

Voilà Ari et Ana avaient bravé l'eau et le froid puis dévoilé le nom de leur navire. La Destinée, ce nom ils l'avaient choisi tous les deux sans trop avoir à chercher. La Destinée c'était leur rêve et puis aussi l'histoire de leur rencontre. Ce soir du mois de mai où elle s'était perdue et avait poussé la porte de la taverne, de Sirius ce soir où leur chemins se sont croisés, ce soir depuis lequel ils ne se quittent plus...Elle aime cet homme qui la fait rire tant par ses maladresses que ses taquineries, à son tour elle adore le faire enrager son vieux râleur comme elle aime à l'appeler!

Bien sûr vu qu'il ne tenait pas en place il avait trouvé l'excuse de la vague de tonneau pour monter une bière à Henris, Meyanne restée sur le quai avec ses deux bouteilles attendait son retour pour les jeter sur la coque.

Allez capt'aine dépêche toi on jette ensemble?

Ni une ni deux elle lui colle une bouteille dans le mains.

Allez UN....DEUX.....

Vincent36

La toile masquant le nom du bateau semblait vouloir d'elle même s'échapper de ses geôlières de chanvre. Elle convulsait contre le bois, secouée par le vent, tirant de toutes ses forces pour se libérer et quitter ses attaches. Mais elle dû attendre que les ciseaux salvateurs coupent enfin les cordes et l'étoffe s'envola, dansant dans l'air avec bonheur et élégance pendant les quelques secondes que dura sa chute. Elle atterrit doucement sur le sable mais Éole n'avait pas encore envie d'abandonner sa cavalière et il souffla plus fort pour la faire glisser sur les grains jaunes, se moquant bien des humains frileux.

Le Blond quitta des yeux les danseurs pour découvrir le nom du bateau : La Destinée. C'était un joli nom qui évoquait de belles choses. Les marins monteraient à bord en imaginant déjà les richesses et les aventures que leur promettait le navire. On se sentait plus léger en montant sur un bateau avec un nom si doux. Et pourtant, on pouvait tout aussi bien être destiné à couler bêtement dans une tempête ou à être éventré par une bande de pirates aux dents jaunies. Mais quand on est marin, on ne doit pas penser ce genre de choses. Sinon on arrêterait tout de suite d'être marin !

Son regard revint sur le pont et il tomba face à Ari, qui s'était accrochée aux bastingages, toute tremblante. Il était presque sûr de la voir devenir bleue ! Il comprit à son geste qu'il fallait monter à bord. Il regarda les autres personnes présentes sur les quais. Et on le laisserait vraiment grimper là haut ? La scène qui allait se produire se déroula à l'intérieur de son esprit. Il se rapprocherait de la rampe comme si de rien n'était, monterait calmement comme s'il faisait parti de l'équipage. Là, l'attendraient deux énormes marins avec un air pas commode qui s'empresseraient de lui agripper les bras avant de le jeter par-dessus bord. Comme il ne savait pas nager, il sombrerait dans l'eau après une courte lutte pour la survie en hurlant. Ari s'évanouirait probablement, créant tout un émoi sur le bateau. Des marins un peu trop rustres s'élanceront à son secours en renversant divers fûts de bières et de vins qui éclateront sur le pont. Par un quelconque mystère que Vincent ne s'expliquait pas encore, ces breuvages qui réchauffent le corps prendraient feu, transformant le navire en gigantesque torche, laissant aux pauvres malchanceux qui ne savent pas nager, le choix de mourir brûlés ou de nourrir les poissons avec le Blond précédemment jeté.

Vincent reposa son regard sur Ari avec un air plus lugubre et marmonna dans sa barbe.

Ce sera de votre faute...

Il respira un grand coup pour se donner courage et chassa la mauvaise histoire de ses pensées. Ca ne pouvait pas être ça, sa destinée. Il gagna en quelques enjambées la grande planche de bois qui permettrait son ascension sur le vaisseau. Personne ne lui hurla de s'arrêter, alors il entama la montée. Sur son court trajet il pria très fort de ne pas rencontrer les deux marins à l'arrivée. Et cela sembla fonctionner. Quand il ouvrit les yeux, il était en haut et personne ne sembla vouloir le jeter à l'eau. Il soupira longuement, les traits de son visage exprimant un très net soulagement. Il n'osa pas regarder derrière lui de peur de se retrouver face aux deux marins et fonça, sans regarder personne, qu'il ne connaissait pas de toute manière, se cacher derrière le petit bout de femme qui faisait au moins une tête de moins que lui.

Sa bouche s'étira dans un sourire mutin et il commença à défaire les attaches de son manteau pour s'en dévêtir. La voir dans cet état, toute trempée et gelée, lui faisait mal au cœur et pourtant il se détachait d'elle un côté chat mouillé qui lui donnait envie de rire. Il posa le vêtement encore chaud sur ses épaules et croisa les bras sur son grand torse en s'asseyant sur le bord. Il lui demanda avec son air toujours moqueur :

Et si vous me racontiez pourquoi vous ressemblez à une sirène à jambes tout droit sortie de l'eau ? Vous allez bien ? Vous n'avez pas trop froid ? Je peux vous frotter si vous voulez !

Il lui sourit de nouveau, plus compatissant cette fois-ci. Il était bien heureux de la retrouver. Un nouveau coup de vent s'écrasa sur son dos et sembla vouloir le pousser vers elle.

Aristophette

Voilà, c'était fait. Le bateau avait un nom.
Ari se pencha pour le lire, à l'envers, mais le vide qui s'ouvrit sous son regard la fit reculer prestement! Le bout de tissu, que le vent roulait en boule, en bas, sur le quai, semblait loin, mais loin!!
Elle recula d'un bond! Dieu qu'elle abhorrait le vide! Comme une bourrasque collait la robe à ses jambes, sa peau se piqua d'un friselis glacés. Elle resserra les bras autour de son torse, se ratatina pour faire le gros dos face au vent mordant. Elle regretta in petto que le tissu qui cachait la plaque soit tombé sur le quai, sans qu'elle ait pensé à le rattraper, pour s'en draper.

Elle regarda autour d'elle pour voir si la cérémonie suivait son cours. Elle remarqua maitre Henris qui picolait avec Sirius.

-Hey, moi aussi, j'en veux!, articula t-elle, tant bien, que mal, tellement elle claquait des dents. En boire une gorgée, peu importe ce que c'était, pourvu que ce soit alcoolisé, paraissait être le paradis. Et même, en arrosant de gnôle ce trop gros bateau, et en y boutant le feu, ça ferait une flambée formidable, qui réchaufferait tant les coeurs, que les âmes, et même les robes!

Puis, voyant Meyanne et Sirius , côte à côte, elle s'en voulut de ses pensées. Ils semblaient si fiers. Un peu comme Ari avait été faraude, à l'ouverture du Bulot Frétillant. Son coeur se serra , à l'idée de sa jolie taverne abandonnée. Elle eut une violente nostalgie des bois clairs du comptoir, du feu ronflant de la cheminée, de la vue sur la Garonne...

Elle baissait le regard, triste, quand elle remarqua un peu à part une silhouette familière. Après un pas en avant, elle fixa l'homme en plissant les yeux.
Un sourire en tranche de pastèque lui barra la figure. Msieur Vincent!

Il était venu!
Elle s'avança à nouveau, jusqu'à ce que le bastingage l'arrête. Elle y posa les mains et se pencha. Ses cheveux volaient au rythme des rafales, comme des algues au fond du lac, mais elle s'en moquait. Sa robe trempée la gelait jusqu'à la moelle, mais elle s'en moquait. Ses dents claquaient en cadence, mais elle s'en moquait et répéta doucement "mss-ii-eeu-eur-VV-in-in-cc-ent!", frigorifiée, ravie. De la main, elle lui fit signe de monter à bord, pour la rejoindre. Tout soudain, elle le voulait à ses côtés. Il fallait qu'il soit là avec elle, pour partager ce moment inhabituel avec elle.
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Henris

Il prit la bière que Sirius lui proposait et l'avala cul sec... lui qui n'avait bu jusque là que du vin de messe

Rhooo... oh quelle drôle de boisson...

Contrairement à son amirale, le matelot avait pris plus d'une vague de front, mais ce tsunami l'avait surpris par son intensité... il riait de bon coeur en voyant toutes ses femmes
trempées dans leurs habits... leurs coiffes défaites....
Lui était resté en braies et ses habits étaient bien au sec...
Enzolt, l'ainé des enfants d' Anasthasia, s'amusait lui aussi de la situation... Henris s'approcha doucement d'Ana. Elle, d'habitude stricte dans sa tenue, ne laissant apparaître que sa rigueur, lui apparaissait bien plus femme et il en était troublé. Se rapprochant encore pour être tout prêt d'elle, il lui susurrait au creux de l'oreille, profitant de l'instant pour inhaler son parfum...
J'ai des vêtements secs en cabine, si tu veux en profiter...
Puis il se retournait vers Meyanne et Sirius en leur faisant de grands signes...

Anasthasia

L'amiral n'avait pas l'habitude de se recevoir des gerbes d'eau comme cela, même lorsqu'elle partait en mer pour une mission. Elle avait eu la chance de ne pas subir de grosses tempêtes, même si elle avait déjà connu de grandes houles. C'était un comble de prendre l'eau alors qu'elle était tranquillement à terre à La Teste...

Le moment de dévoiler le nom du navire était venu : Anasthasia fit un signe de tête à Aristophette pour lui signifier qu'elles pouvaient. Elle prit les ciseaux qu'on lui avait donné et glissa les lames de part et d'autre de la ficelle dont elle avait la charge. En une fraction de seconde, les fils fut coupés et le tissu maintenant le secret tomba au sol. Chacun pouvait voir "La Destinée" peint en belles lettres sur la coque.
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Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

Vincent36

Le soleil était suffisamment haut pour apparaître par-dessus les toits des maisons, annonçant une belle journée à peine parasitée par quelques intrus laineux. Se faufilant à l'intérieur des étroites ruelles, une grande silhouette blonde gagnait le port d'un pas pressé, le dos légèrement penché en avant, les bras collés le long du corps et les mains occupaient à se frictionner l'une l'autre pour se réchauffer. Le ciel avait beau être bleu, les jours avaient commencé à devenir beaucoup plus froids. Et c'est avec cette démarche recroquevillée que Vincent s'empressa de quitter l'ombre des battisses pour rapidement gagner la chaleur des rayons du soleil.

Il était arrivé à la Teste il y a peine quelques jours et il n'avait pas encore eu le temps de rencontrer beaucoup d'habitants. Mais il avait pu retrouver la plus chouette, celle qu'il était venu voir en quittant Bordeaux. La veille, elle l'avait invité à venir voir le port et le bateau qu'on mettrait à la mer après une petite cérémonie.

« Faut qu'vous v'niez msieur Vincent. On va lancer un bateau dans l'eau ! »

Quelques minutes plus tard, le grand homme posa le pied sur les planches de bois qui composaient les quais du port. Il leva le visage vers l'astre solaire, les paupières closes, pour profiter de la nouvelle température et réchauffer le bout gelé de son nez en poussant un gémissement de soulagement. Enfin un peu de chaud !La scène aurait pu se prolonger si un vent traître et froid ne s'était pas engouffré dans son manteau tout en le poussant en avant. Le Blond reprit alors son chemin avec la très désagréable sensation d'être refroidi par derrière et réchauffé par devant.

Le port était grand mais il n'eut pas de mal à reconnaître le bout de bois échoué qui allait bientôt être promu navire. Une troupe de badauds s'était agglutiner non loin en plus de quelques personnes plus poches du vaisseau. Quelques enjambées de plus et Vincent arriva au milieu du groupe bruyant de paysans qui commençaient à s'impatienter de ne pas voir bouger ce bateau d'un pouce. Il ne reconnut personne dans les rangs et décida de s'approcher davantage. Il n'était pas connu ici et n'était sûrement pas attendu alors il se trouva une place un peu à l'écart de ceux qui attendaient, bien en vue des personnes sur le pont, et s'adossa à un piquet. Il regarda avec attention les personnes présentes et se sentit tout chagrin de ne reconnaître personne jusqu'à ce que ses yeux se posèrent sur Ari. Ses lèvres s'étirèrent alors dans un sourire et s'élargirent davantage devant son air peu rassuré et mal à l'aise. Elle avait horreur des bateaux, lui avait-elle confié à leur dernière rencontre. Et pourtant, la voilà qui était à bord. Il la félicita en silence pour son courage.

Au bout d'un moment, un détail qui lui avait échappé jusque là à cause de la distance l'interpella. Ils étaient tous trempés ? Il leva les yeux dans le ciel à la recherche de gros nuages noirs introuvables. Et comment donc alors avaient-ils pu tous se retrouver mouillés dans ce bateau ? Un nouveau coup de vent le sortit de sa réflexion en le faisant frissonner et il se frotta les avants-bras avec vigueur pour se réchauffer. Le médecin du village ne tarderait pas à recevoir tous l'équipage arrosé dans son cabinet. Ils allaient attraper mal, c'est sûr !

Quand il lui sembla qu'Ari regarda dans sa direction il agita énergiquement son bras en l'air pour attirer son attention et la saluer. Il n'osa pas lui crier bonjour, de peur d'attirer sur lui tous les regards des gens présents. Il n'y avait plus qu'à attendre que ce bateau veuille bien descendre dans l'eau et que la brune quitte le pont. Il se promit de lui offrir rapidement son manteau une fois qu'il pourrait l'atteindre avant qu'elle n'attrape un mauvais rhume.

--Sirius.black

Sirius? Il il..le navire a coulé???!!!! J'arrive trop tard???!!!

heuuu heinnnn quoi?? ta dit quoi la ???

il eu la peur de sa vie sur le coup ,regarda du coté du navire et se mit a éclaté de rire en voyant tous le beaux mondes trempé des pieds a la tête , pour la 1er fois il ne lui arriva rien.

il les regarda dans bas tout en rien et leurs dit

heyyyy c'est pas le moment de joué avec l'eau hein,c'est le navire que l'on baptise et non vous....

il regarda belle-assez

alors toi tu dépasse toutes les espérance en matière de gaffe , heureusement que se ne fut pas les bouteilles de vin dediou.

il resta au coté de son amour tout aussi morte de rire a voir la scène puis se tourna vers henris

mon pauvre amis ,vous aurais au moins le mérite de vous souvenir de votre 1er mise a l'eau ....montre ses deux doigts et rit ... a cela prêt c'étais la mise a l'eau parfaite, dommage que belle assez est mise un battons dans les rouage de la cérémonie

il tendis une bière a henris

aller buvez donc mon ami

--Meyanne..

Jusqu'ici le baptême se déroulait comme prévu. Ari qui avait peur de l'eau était montée à bord, l'amiral et ses enfants aussi et Galla avait confié le jeune Eric à son fiancé Bébénéné. Meyanne quant à elle était partie discrètement à La Teste de Bois chercher une bouteille de vin de belle robe grenat pour la briser sur la coque.

Elle avait entendu dire qu'un navire qui n'a jamais goûté au vin goûtera au sang, alors deux bouteilles c'était pas de trop à son avis et si elle avait pu elle en aurait bien ramené une caisse...Mais fallait pas gâcher hein!

De retour sur le port elle regarde bouche bée le spectacle qui s'offre à elle. Là sur le pont la jeune Ari trempée semble terrorisé, Ana tient ses enfants serrés contre elle et la belle Galla ressemble à un chien mouillé! Son coeur s'emballe, elle court vers son futur époux et sa fille.

Sirius? Il il..le navire a coulé???!!!! J'arrive trop tard???!!!

Sans attendre sa réponse elle cherche désespérément Henris du regard, il n'a pas l'air affolé contrairement à ses amies. Rassurée de voir que leur bateau est toujours sur sa cale et nerveusement elle éclate de rire.

Hahaha!!!!! J'parierai que c'est l'oeuvre de Belle-Assez non?

Aristophette

Y allez, y aller, il en avait de bonnes, monsieur Henris!

Le tonneau jeté par la géante avait arrosé le pont, et Ari était trempée et grelottante dans sa robe mouillée.
Comme Henris la poussait en avant, elle leva les yeux vers le haut du mât, et fut stupéfaite par le prodige.
Il lui fallait descendre du bateau au plus vite, avant que la géante, qu'elle n'entendait plus, ne lance le bateau au loin. Vu comment elle lanceait le tonneau, Ari avait toutes les raisons d'avoir les miquettes.

Il lui fallait faire quoi, avant? Ah, oui, couper les fils qui retenaient le panneau de tissu destiné à cacher le nom du vaisseau. Bien,elle allait faire ça, et déguerpir de la coquille de bois, pour ne pas se faire lancer avec et surtout pour aller se changer, car vraiment, elle tremblait de froid dans son vêtement mouillé!

Elle regarda Ana, pour voir quand celle ci serait prête, afin qu'elles exécutent le mouvement en même temps.
-Prête!!
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Galla.von.spessen

Galla attendait en compagnie des autres femmes et de matelots qui étaient tous alignés prêts à se mettre au travail au signal que donnerait Messire Henris !

Soudain elle fut atterrée, il se passait quelque chose sur les quais, Benedikt s'était approché de Belle-Assez qui sautait en scandant ses sauts avec les tonneaux qu'elle tenait comme s'il s'agissait de fétus de paille !!!
Que lui dit-il ?
Elle fit mine de s'en aller puis se ravisant elle balança par dessus ses épaules sans se retourner, les deux tonneaux.
Ce n'était pas des petits fûts et celui qui tomba à l'eau tout près de la rampe de lancement provoqua un mouvement dans l'eau, comparable à une vague tempétueuse , l'eau se transforma en une immense gerbe et vint arroser le plancher du bateau.
Galla sentit soudain ses vêtements se plaquer contre sa peau, une grande gerbe d'eau froide venait de la mouiller entièrement, ses cheveux relevés en un chignon savamment négligé dégoulinèrent sur ses épaules...
Elle ressemblait à un chien mouillé !!!
Elle en eut le souffle coupé, elle voulut crier mais aucun son ne sortit de sa bouche sous l'effet de la surprise. Elle eut l'impression que le temps s'était mystérieusement suspendu pendant quelques secondes... Elle demeura sidérée comme pétrifiée.
Puis elle regarda ses vêtements et du plat de la main les lissa, résultat improbable, elle tira dessus pour les décoller de son corps, du coup on se rendait compte que son ventre était légèrement plus arrondi, elle tira sur l'étoffe pour lui rendre de son tombant...

Enfin elle osa regarder les personnes autour d'elle, toutes étaient aussi mouillées qu'elle et les jolis macarons de Ari avaient subi la mini tornade et deux longues mèches encadraient son ravissant visage ! La Dame Anasthasia tenait contre elle ses enfants pour les protéger mais tous étaient trempés et stupéfaits !

Henris avait donné les consignes à chacune d'elles et là il restait bouche bée en suivant des yeux un des tonneaux qui voltigeait dans les airs pour aller finir sa course au sommet du mât !!!!!

Galla regardait tout cela et dans le même temps se disait mais comment vais-je pouvoir hisser les voiles ?

Puis elle se rapprocha du bastingage, elle chercha du regard son fils.
Soulagée elle le vit dans les bras de Benedikt ! L'enfant ne voyait pas la réalité de la situation et riait en tapant des mains ! Il devait croire que Belle-Assez avait voulu faire une farce, un spectacle comique pour la fête sur les quais !

Les personnes les plus proches du quai étaient elles aussi mouillées !
On aurait dit qu'une giboulée, concentrée en une petite circonférence venait de s'abattre sur les quais !

Elle serra ses dents qui voulaient se mettre à claquer car si le soleil était présent il n'avait plus l'intensité qui pouvait rendre l'eau agréable et bien sûr quelques mouettes curieuses voltigeaient au-dessus d'eux, elles cherchaient si cette vague avait rejeté des poissons sur le plancher ! Galla les surveillait craignant que ces oiseaux criailleurs et voraces ne se laissent aller à quelque soulagement dont elles étaient coutumières. Il ne manquerait plus que ça !

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Anasthasia_valkensky

Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

Henris

Aristophette

Lonufiel

Benedikt.von.spessen

Galla a écrit:

Anasthasia_valkensky

Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

Galla.von.spessen

--Meyanne..

--Sirius.black

Belle_assez

Aristophette

Edité pour corriger le "monter à bord"

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Henris

--Sirius.black

*edit sirius est sur le quai et non sur le pont du navire^^

a aller trop vite bétise assuré

--Meyanne..

Lonufiel

Lonufiel le chef de port remplaçant de La Teste arriva au port lui qui venait souvent pour les travaux au port, mais cette fois-ci c'est pour tout autre chose, pour la mise à l'eau d'une coque fabriqué ici en ce lieu.
Depuis qu'il a emménagé à La Teste avec sa petite famille, il n'avait pas encore eu l'occasion de voir cela, c'est bien sur un évènement pour lui qu'il aurait pour rien au monde raté, sachant que lui même avait ce projet en tête lorsqu'il a vendu sa coquille de noix, il y a de cela un an. il eu un pincement au coeur en y repensant mais bon c'est la vie. pensons maintenant à la joie de ces personnes qui ont cette chance.

Il vit que du monde venait pour voir cela et c'est des plus normal.
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Anasthasia_valkensky

L'invitation de sa future filleule à venir voir la mise à l'eau du bateau avait fait énormément plaisir à Anasthasia, et elle avait bien entendu promis qu'elle serait présente pour l'évènement. Cependant, un réveil tardif et deux bambins récalcitrants à s'habiller l'avaient mise un peu en retard.

Lorsqu'elle arriva au port, beaucoup de personnes étaient déjà sur place. C'était étonnant, mais agréable de voir la ville vivante. Elle vit d'abord Sirius de loin, qui discutait avec Meyanne, mais elle ne reconnut pas tous ceux qui les saluèrent et les félicitèrent. Voilà ce que c'était de déserter les tavernes, on ne connaissait plus grand monde. Elle remarqua aussi que le chef de port était avec eux, ce qui était tout à fait logique puisqu'il avait dirigé les travaux d'une main de maître. Elle arborait un doux sourire en pensant à leur collaboration à l'amirauté, les joues légèrement roses au souvenir de conversations qu'elle avait eu avec son amie au sujet de Henris, avant de se rendre compte que la fête allait commencer dans quelques secondes. Poussant doucement ses enfants pour qu'ils avancent, elle se rapprocha des quais et attendit la suite.
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Anasthasia Valkensky, Dame d'Istra et de la Brède - Ne cesseris iniuriae ; superes probitate

--Sirius.black

--Meyanne..

Pour l'occasion Meyanne a revêtu par dessus sa chemise, une longue robe de velours azur à large décolleté cousu de fines broderies en laine rose pâle. Sa nouvelle houppelande est très ample, ses manches serrées de l'épaule jusqu'au coude, s'élargissent jusqu'à toucher le sol. Sa taille est mise en valeur par'une très longue ceinture de cuir à la boucle et au mordant en laiton . Ses cheveux si souvent indisciplinés sont nattés en deux tresses et enveloppés dans une crépines noire ornée d'un galon assorti à la couleur de son bliaud. Elle n'était pas très à l'aise dans cette tenue, mais elle ne pouvait pas toujours se montrer à faire le pitre pour amuser les amis. Alors aujourd'hui, elle s'était promis d'être un peu sérieuse et de bien se tenir.

Eléanne aussi était très belle, elle lui tenait fermement la main et avait glissé son autre main dans celle de Sirius. Les voilà tous les trois sur le quai, entourés de leurs amis et de quelques visages moins connus. Meyanne cherchait des yeux Anasthasia, sa future marraine l' Amiral sur qui elle comptait pour ordonner le lancement de la mise à l'eau de La Destinée.

Lâchant la main de Sirius, entraînant Eléanne dans son sillage, elle s'approche d'Henris et lui chuchote discrètement.

Dites vous n'avez pas vu Ana? On l'attend encore un peu pour la mise à l'eau?

Elle s'adresse en souriant aux personnes qui sont venues pour assister au lancement de leur navire.

Mes amis, et habitants de La Teste, je vous remercie d'être venus. Je ne suis pas douée pour les longs discours mais comme vous vous doutez c'est un moment de notre vie très important et nous sommes heureux de le partager avec vous. Ca ne devrait plus être très long mais avant je voulais vous demander si l'un d'entre vous voulait être parrain ou marraine de La Destinée et monter sur le pont pour l'accompagner pendant la mise à l'eau?

.

Galla.von.spessen

Quand elle revint au port elle fut agréablement surprise de constater que la foule s'était densifiée ! Ah c'est que l'évènement était de taille ! La mise à l'eau de ce beau bateau qu'on appelle bogue et qui sera baptisée " Destinée" elle avait participé à son élaboration et quand elle voyait le travail achevé par tous les protagonistes elle sentait monter en elle une petite part de fierté !
Elle souleva Eric dans ses bras pour marcher plus vite car elle avait vu de loin la tête de Belle Assez dépasser du groupe de personnes sur sa droite !
Elle se rapprocha et comme elle s'en doutait Benedikt était là et qui patiemment expliquait à Belle Assez ce qui allait se passer !

Bonjour Belle Assez ! Vous allez bien ! Nous allons assister au lancement de cette bogue ce sera la première fois que je vais voir cela ! Je suis très impatiente !

Puis elle se tourna vers son fiancé et lui sourit tendrement, elle le regardait heureuse de sa présence.

Bonjour mon très cher Benedikt ! Je suis contente d'avoir pu te retrouver dans cette foule ! Elle se hausse sur la pointe des pieds pour déposer un léger et pudique baiser sur sa bouche, ils sont en publics pas d'effusions trop démonstratives qui pourraient paraître indécentes..... J'ai amené Eric pour qu'il voit cela lui aussi ! Eric dans les bras de sa mère s'était penché pour donner un bisou sur la joue de Benedikt en s'écriant :
Benédikkkkkk !!!!! Je suis là moi aussi pour voir le bateau ! Maman elle m'a dit de laisser mon épée à la maison !

Sois sage Eric et je vais te parler de ce beau bateau ! Maman a participé à sa construction c'est pour ça qu'elle avait passé plusieurs jours sur le port dans la partie chantier naval et que tu ne la voyais pas de la journée !

Alors ce bateau est ce que l'on appelle un Bogue c'est un navire dont les origines viennent du nord et que l'on sait construire ici sur les ports de l'atlantique notre océan !
Il est large de 3/1 ce qui veut dire qu'il a une longueur qui est trois fois sa largeur, ce qui lui donne cette allure un peu "ronde" !
Tu vois il a un grand mat et une belle grande voile ! Ces cordes que tu vois s'appellent des haubans, elle servent à enrouler et déployer la voile, à l'orienter aussi pour que le vent le fasse avancer !
Et ce joli bateau appartient à Sirius et Meyanne tu te souviens d'eux nous étions aller manger et passer un bon moment dans leur moulin ! Même que Sirius vous avez raconté une belle histoire !!!!

Elle arrêta là ses explications car elle n'en savait pas davantage n'étant pas spécialisée dans la marine et ses bateaux !
Elle embrassa la joue de son fils et puis le posa à terre sans lui lâcher la main, elle se sentait heureuse comme jamais auprès de ceux qu'elle aimait et la journée ensoleillée participait à sa joie ! Elle se rapprocha de Benedikt et prit sa main en s'appuyant légèrement contre lui pour un contact tendre mais pudique.
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Aristophette

Maintenant qu'elle était familière du moulin, Ari avait sympathisé avec ses hôtes. Cette histoire de bateau à lancer dans l'eau les tenait tous en haleine, aussi la bordelaise tenait-elle absolument à être présente le grand jour.
Comment ne pas être là pour soutenir ses nouveaux amis?
Encore que , en bonne fille de la terre, Ari ne voyait pas bien comment on pouvait lancer un bateau dans l'eau.
Tout en marchant vers le quai de lancement, elle réfléchissait à voix haute.

- Y zont dû trouver un lanceur maousse! Un maigrichon peut pas lancer un bateau. Ou avec trois ou quatre maigrichons ...Moui... ou alors c'est un tout ptit bateau! Mais alors y pourront pas naviguer. Ou alors en bordant la plage. Mais jusqu'à la Bretagne?

Ca semblait étrange...

-Bon, si y poussent l'bateau l'long d'la plage, ou si y l'portent, mais alors c'est vraiment un tout ptit bateau, y vont s'fatiguer. Y faudrait un âne pour porter l'bateau. Ou l'colosse maousse? Et si y'a des falaises? Y f'raient mieux d'aller en carriole par la route!

Déjà, lancer une barque dans l'eau semblait difficile aux yeux d'Ari. Il lui tardait d'arriver au port pour voir ce mystère trouver sa solution. Lancer un bateau...

Devant elle, un attroupement de têtes pour certaines connues l'aida à se diriger. Elle intégra le groupe, salua tout le monde, pour aller finalement se porter aux côtés de Sirius.

-Bonjorn, msieur Sirius! C'est l'grand jour?

Tout en parlant, elle chercha des yeux le colosse maousse, et ne le vit point. En revanche, elle ne put que remarquer l'admirable et énorme vaisseau que tout le monde admirait, les yeux ronds et plein d'attente. Elle se mordit la joue et marmonna:

-Ca va être plus compliqué qu'je pensais!
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Fleurian

Il était tout content d'aller sur le port pour regarder la mise à l'eau du bateau de Sirius et Meyanne des gens forts sympathiques et qui en plus offrait de la bière au plus bas prix pour fêter l'évènement ! Et oui cela s'arrose !!

Il regardait en se réjouissant que nombreuses étaient les personnes qui venaient assister à ce spectacle ! Le Chef de Port pouvait se réjouir et qui sait d'autres bateaux pourraient être construits dans leur ville !

De loin il vit que Benedikt arrivait en compagnie de son inénarrable et pourtant si gentille Belle assez, il se dissimula un peu derrière un homme à forte carrure pour éviter la poignée de main si vigoureuse de la femme de charge de Benedikt ! La dernière fois il avait eu l'impression qu'elle voulait lui broyait la main et son bras qu'elle avait secoué avec ce qu'elle croyait de la délicatesse s'en était ressenti quelques heures....

Il s'installa de façon à ne rien manqué, la journée était belle, propice à ce que beaucoup de gens viennent, il se réjouissait de cette animation tout en se disant qu'hélas le bateau allait emmener leurs propriétaires loin et il espérait quand même pas trop longtemps. Leur taverne était un point de rencontre convivial et ils allaient manquer à leur clientèle !

Fantou

C'était jour de fête au port ! Meyanne et Sirius mettaient à l'eau leur bateau ! Elle savait la grande joie que cela représentait pour eux !
Aussi se para t 'elle pour cette circonstance avec un peu plus de recherche mais sans ostentation non plus ce n'était pas elle la vedette du jour. Elle pouvait à présent marcher sans l'aide de son manche et c'était tant mieux !
Mais elle ne pouvait s'empêcher de regarder autour d'elle si elle ne voyait pas quelque méchant hanneton venir vers elle, mais la voila donc traumatisée par ces bestioles à présent !

Elle vit plein de têtes connues et d'autres moins ou pas du tout ! Mais qu'importait tous étaient là pour le spectacle ! Le soleil était de la partie et faisait miroiter sa lumière dans l'eau du port qui clapotait contre les coques des navires à l'amarrage !
Elle n'avait fait qu'un voyage sur un bateau pour venir s'installer en Guyenne à Agen il y a quelques mois avant que son désir de voyage la reprenne. Depuis elle était revenue et avait choisi La Teste sur les conseils de Jehan.von.spessen le chef de la Maisnie.
Au début elle y avait entrevu une vie qui pourrait être agréable puis pour des raisons inconnues la ville avait changé ! Redevenue calme !
Mais la Maisnie avait alors mis tous les moyens pour ranimer la ville, allant chercher des gens ailleurs, aidant les nouveaux, alimentant le marché de leur mieux. Parfois on ne les avait pas compris. Mais l'essentiel était de continuer sur leur lancée !

Elle cherchait du regard la jeune Galla qui était venue depuis peu s'installer en ville et qui avait ravi le coeur du représentant de la Maisnie en ville, ils formaient un beau couple et le petit garçon de Galla était un bien bel enfant.
Elle regarda si elle voyait Orangine sa nièce de coeur mais elle ne la vit point. Elle devait être encore sur le lac à cette heure ! Elle voulait toujours ramener le plus de poissons possible ! Elle était courageuse cette gamine !
Fantou l'aimait beaucoup elle savait se montrer une compagnie agréable dommage que son filleul ne soit pas aussi auprès d'elle ! Elle n'avait pas d'enfant, la vie ne lui avait pas accordé cette grâce mais elle avait des filleuls qui la rendaient fière et heureuse !

Elle secoua la tête pour faire partir toutes les pensées qui parfois la submergeaient et se déplaça un peu entre les personnes qui attendaient, elle allait converser avec ses amis ou faire des nouvelles connaissances ! C'était une belle journée elle voulait en profiter !

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Arthur_demias

Je m'étais arrêté chaque jour, à mes moments perdus, sur le chantier de la construction de la cogue, fasciné par le travail des ouvriers et charpentiers. J'avais même participé une journée aux travaux, encouragé par les habitués qui m'avaient remarqué, tant je traînais mes chausses aux abords de la cale sèche. Faut croire qu'un gamin aussi captivé et émerveillé devant le spectacle et qui suivait la construction avec autant d'attention, y en avait pas eu d'autre à La Teste. Alors la mise à l'eau, je n'allais pas manquer ça.

C'est excité et enthousiaste que je me rendis au port pour l'évènement. Je n'avais pas été invité n'étant pas un habitant de La Teste, ni des amis des propriétaires du navire, mais je pouvais justifier ma présence en ce lieu, puisque ma cabine sur le Blackstorm me servait d'auberge à La Teste.

Je ne connaissais personne en cette ville, mais c'était peut-être l'occasion de discuter avec les uns et les autres, convaincu qu'un intérêt commun pour les bateaux avait réuni ici les passionnés de la mer.. En me faufilant entre les badauds , je ne manquais pas de saluer les gens autour de moi en souriant :

Bonjour, il est magnifique hein ? ça c'est du spectacle , Nan ? j'adore ça !
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Seigneur de Soubran

M...

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Sirius.black.

le temps étais au plus beau,Sirius et mey étais déjà fin prêt pour leurs 1er voyage .

la marée étais a sont plus haut niveau et le couple étais très énerver par la suite,ils avaient tous simplement peur que cela ne se passe pas bien,mais le professionnalisme d'henris les rassuré au plus profond d'eux.

Mon coeur prête pour aller faire dégourdir la destinée ????

il lui sourit et lui pris la main puis se retourna

elle est ou éléanne??

il regarda ses amis et tous ce qui les avaient aidé dans leurs rêve devenue enfin réalité

Gala ,béné , fantou ,henris sans oublier anastasia ,je vous remercie pour votre soutiens et votre aide , sans vous notre rêve ne serais pas ce qu'il est aujourd’hui

il les regarda tenant la main a mey et leurs sourit
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Belle_assez

Euh- là !
Mon maîtr'Benediketeuh !
L'a un gros bateau qui va êtr' tout coulé !

Belle-assez avait fait irruption dans les bureaux de la Maisnie, toute alertée
de l'évènement! Elle avait laissé devant la porte sa charrette de linge,
ce qui occultait complètement la lumière de toute la façade de l'immeuble.

HEIN ? un bateau coulé ? et quel est son nom ?
Benedikt était effaré de la nouvelle... Une attaque du port ???
-Euhl' l'bateau, c'est le "deux-tinettes" ...
-Le ..Quoi ? deux tinettes ? tu ne veux pas dire le destiné, par exemple ?
-Si ! Ah-v'là ! le deussetinéééé ... euh'truc, là !
-Rhoooo ! on ne va pas le COULER, on va le METTRE à l'eau !
Belle-assez se gratta la tête... Scruntch scruntch... Des plaques de peau morte
tombèrent au sol, petite neige d'automne qui fit des "poc-poc-poc" sur le parquet.
La peau de Belle-assez est euh... compacte, dirons-nous.
-Ben mouais, quand j'trempe le linge dedans l'lavoir... y coule, quoi...
-Ne discute pas, Belle-assez, viens vite, laisse ton linge et suis-moi, nous allons chercher Galla !
Benedikt ne savait pas que le navire de ses amis allait être mis à l'eau aujourd'hui même,
et il était très heureux pour eux de cet évènement !
-Vot' Galla, Maitr'Benediketeuh, j'la vue qui courait vers chez elle...
-Alors, allons directement au port, elle a du aller chercher petit Eric, nous l'y retrouverons !
Ce fut ainsi que Benedikt et Belle-assez arrivèrent au port,
devant le beau navire,
attendant l'arrivée de Galla et petit Eric !

Galla.von.spessen

La jeune charpentière vient faire un tour au port, elle a entendu apporté par la rumeur de la brise matinale qu'un bateau allait être mis à l'eau !
Elle avait travaillé quelques jours à la construction d'un bateau sous la houlette du chef de port Messire Henris ! Ah comme elle avait été contente d'avoir pu décrocher ce travail !
Elle y avait pris un très grand plaisir et s'était appliquée, elle avait mis tout son savoir faire, tout son coeur pour ce premier et beau chantier !
La semaine précédente elle avait fait un mat ! Quelle chance mais quelle chance elle avait ! Le travail venait bien !
Elle portait la belle houppelande pour laquelle elle avait économisé pelotes de laines et écus , elle en avait choisi une rouge et elle s'y sentait bien car l'air commençait à fraîchir à cette période !
Le vent sur les quais faisait s'incliner les bateaux aux voiles repliées, il faisait clapoter l'eau un peu haut elle éclaboussait parfois ceux qui s'approchaient trop du bord ! Les bois craquaient un peu sous sous souffle, les amarres se tendaient... Elle avait fait plusieurs voyages en bateau mais ce n'était pas le mode de transport qu'elle préférait !
Son premier voyage n'avait pas été préparé et elle n'avait pas pris beaucoup de nourriture, le vent avait fait tourner sur place leur bateau ! Ils étaient partis de Fécamp pour aller en Hollande et s'était retrouver à frôler les côtes d'Angleterre !!!! Son ami Yan avait pris en grippe les mouettes !!! Ils avaient eu peur de mourir de faim !!! De soif aussi car leurs réserves d'écus étaient des plus basses !!! Quel souvenir !

Elle vit tout à coup un bateau dont toutes les voiles même repliées étaient d'un blanc immaculé, les cordages avaient la couleur du chanvre neuf, et le vernis du bateau n'était pas écaillé sûr que c'était le bateau sur lequel elle avait travaillé !!!!!
Elle ne vit pas le nom sur son flanc donc il n'était pas encore baptisé !!!! Oh ce bâteau serait donc destiné à Sirius et Meyanne !!!! Il lui semblait avoir vu sur le pont la silhouette de Meyanne !!! Elle n'était pas très près mais elle était sûre que c'était Meyanne !!!!!
Elle courut vers sa maison pour aller chercher Eric elle voulait qu'il assiste au baptême et à la première mise à l'eau du bateau !!!! Vite !!! Vite !!!! Elle courut sans s'arrêter !
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Luan

Luan qui avait été marin dans son jeune temps, du moins il y a moins d'une année de cela, avait toujours aimer voir les navires entrer pour la première fois en mer. C'était le moment de vérité pour tous ! C'est là que le maitre d’œuvre montre sa compétence, que le commanditaire de l’œuvre voit s'il a fait le bon choix du constructeur. Surtout, si des marins allait pouvoir embarquer pour de nouvelles aventures ! Peut-être lui qui sait.

Le jeune Stermin s'était habillé de façon légèrement riche. De condition bourgeoise sans même trop l'étaler dans ses "chiffons". Puis il alla en direction du port. Les rues était encore calme à cette heure, peut-être avait-il encore filé trop tôt pour la mise à l'eau. Mais regarder les ouvriers faire les vérifications de dernière minute, était tout aussi important pour lui. Voir la coque avant qu'elle ne soit submergée.
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Henris

Une journée vraiment pas comme les autres...

D'apparence calme habituellement, Henris s'éparpillait. Il voulait que tout se passe sans accroc. Il venait d'achever le chantier qui lui tenait tant à coeur, la construction d'un bateau , son premier.

Il a su s'entourer de maîtres charpentiers pour la première phase des travaux. Dame Galla avait donné toute son énergie son enthousiasme et son savoir faire pour le seconder de mains de maître.
Pour le matage et la finition, les testevins s'étaient mobilisés en nombre pour que le chantier s'achève sans perte de matériaux. (Alandrin / Elyz / Eshu / Juanmichel/ Meli-Melo pour ne citer qu'eux).

Tout n'était pas fini, en voyant Meyanne s'affairer à préparer l'inauguration, lui devait faire quelques vérifications...

Tout d'abord le gouvernail, vérifier le pivotement et ses charnières fixées à la poupe du navire.
Ensuite le mouillage... l'ancre devait être à poste ou tout du moins prête à être mouillée rapidement.
Et encore... vérifier tous les sertissages, ferrures torons etc... procéder à l'ajustement du mât
et pour finir vérifier si le fond de cale était sec (afin de vérifier toute prise d'eau rapidement)

Le temps était doux et la mer calme, le temps idéal pour avoir un tirant d'eau faible.

Une journée idéale....

Meyanne.black

Le Lancement de La Destinée

Aujourd'hui c'était le grand jour. Cela faisait des mois qu'ils en parlaient, Sirius avait acheté le bois et les matériaux nécessaires et Meyanne avait vu avec l'Amiral Anasthasia qui avait eu la gentillesse de leur faire confiance. Aujourd'hui, elle tenait à remercier tout le monde pour la construction de leur navire, Henris, le Chef du port de La Teste devenu charpentier pour les aider, sans oublier toutes les personnes qui avaient répondu présentes pour la réalisation de leur cogue...
Voilà!!!Leur projet aboutissait enfin!! La "La Destinée" venait d'être achevée et ils allaient procéder à sa mise à l'eau.

Quelques jours auparavant elle s'était entendu avec Henris pour préparer l'inauguration sur le port. Pour l'occasion une estrade avait été installée ainsi que des bancs et une grande table ornée de bouquets sans oublier des cruches de bon vin ni les bonnes miches bien rondes pétries par Sirius ni les charcuteries et autres gourmandises. Meyanne savait que les plaisirs de la table sont particulièrement appréciés à La Teste. et se disait que ce lancement serait une raison de partager un moment de convivialité à la fin de la journée. L'occasion pour les habitants et les voyageurs de se rassembler et de faire connaissance..Avec Meyanne tout était prétexte à s'amuser et profiter des moments d'échanges.

Depuis le début de sa construction, La Destinée repose sur des empilages de bois appelés, ses flancs étant soutenus par des arcs-boutants. En vue du lancement, Henris, prévoyant a fait construire sous la coque une charpente en bois qui en épouse les formes inférieures, reposant sur plusieurs coulisses graissées celles ci constituent un chemin de glissement. Il a également calculé la pente de la cale de lancement et le coefficient de frottement des coulisses pour que le navire se mette à glisser sous l’effet de son propre poids. Enfin, il lui avait tout expliqué, mais elle espérait que tout se passerait pour le mieux pour que la Destinée ne coule pas le jour même de sa mise à l'eau.

Meyanne s'était renseignée, il fallait que leur navire ait un parrain ou une marraine, un courageux ou une courageuse qui monte à bord, le navire encore sur cale et se laisse glisser avec lui jusqu’à la mer. Elle espérait que quelqu'un se porte volontaire sinon Sirius ou elle même le feraient...

Pour l'heure il fallait attendre que la marée monte et que les gens arrivent alors elle partit chercher sa fille et enfiler une tenue plus appropriée pour l'inauguration.

*Edit pour balisage

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Hoeldetrajan

Hoel ne savait pas pleurer. Il n'avait jamais eu à le faire. Il était Denvez et il avait connut le dieu à corne, le cerf blanc de Bro-Eliande. Il ne pleura donc pas en voyant l'écume des vagues venir mourir contre la modeste digue et plus loin contre le sable. Mais un drôle de sentiment venait de monter en lui. Du fond de son ventre jusqu'à son cerveau.

Le bonheur, il connaissait. Il ne fallait pas mentir là-dessus. Sauf que des trois femmes qu'il avait eues dans sa vie, deux étaient au couvent et une autre l'avait simplement trahie, le laissant seul et comme simple cadeau, ses bottes et son cheval pour rentrer en Bretagne. Là, le bonheur lui parut si beau, si simple qu'il avait peur de le perdre, de la perdre elle.

Il ne voulait rien d'autre que d'être avec elle, ses bras le matin et le soir sans se soucier de rien d'autre. L'océan était son monde ancien, sans doute son monde une fois de plus. Deux mouettes passèrent au-dessus de leurs têtes, alors qu'ils étaient si tranquillement là a regarder le soleil. Qu'il était doux d'entendre les bruits d'eau, et d'avoir un goût de sel sur le visage.

J'avais perdu le goût des choses
Sans avoir idée de la cause
La naissance des temps nouveaux
Me surprit bientôt
La poussière au bleu du chagrin
S'élevait sur tous les chemins
Vous courez comme feu folet
Mon âme égarée

Puis il y eu ce sentiment nouveau
Ce souffle sur ma peau
Le plaisir avec toi
Puis il y eu la joie d'être éveillé
Par le premier baiser
D'une bouche adorée *

*
Sentiment Nouveau
Jean-Louis Murat
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Narcysse

Je ne sais pas où je vais ; mais je marche mieux quand ma main serre la tienne. *

Le soleil se couche sur l'Océan, dans le calme et le silence. Il n'y a pas besoin de mots, tout parle pour eux.
Les jambes repliées sur elle et retenues par ses bras qui les entourent, les épaules couvertes par le bras protecteur de son Celte, elle regarde les derniers bateaux s'amarrer pour la nuit.
Elle s'imagine à leurs place, fièrement dressée à la barre du Black Bow, de retour au pays après un long, très long, voyage. La cale chargée de mille et une merveilles venant de contrées lointaines et peut-être même encore inconnue.
Puis elle le voit, Lui, le Chevalier de son coeur. Revenant d'une mission auprès de sa Duchesse où il aurait risqué sa vie pour la protéger. Il attendrait impatiemment sur le quai qu'elle termine la manœuvre et quand la passerelle s’affaisserait enfin sur le ponton , ils abandonneraient tout pour se sauter dans les bras. Oubliant l'activité autour, les cris des gens du port et leurs propres obligations, ils savoureraient cet instant de retrouvailles qui n'appartiendrait qu'à eux et à eux seuls.

Elle le regarde et sa peau frissonne. Elle n'a pas froid, elle vibre des sentiments nouveaux qu'il éveille en elle.
Tendrement, elle pose ses lèvres sur les siennes. Par un délicat baiser, elle prend un peu de lui et lui ouvre un peu plus son coeur.

Le soleil fait danser ses derniers rayons aux reflets dorés sur l'eau, les marins ont quitté le port. Il ne reste qu'eux.
Main dans la main ils ont rejoint la ville. La Fleur à l'impression de flotter. Quand il la regarde, qu'ils soient seuls ou entouré de monde, elle nage dans ses yeux comme dans un océan de douceur. Comme ce soir. Ils ne sont pas seuls au comptoir de la taverne municipale mais il n'y a que Lui à ses yeux.

Soirée agréable passée, terminée sur une note de confidence qu'elle n'aurais jamais cru oser avouer. Pas même à elle même.

Portée dans ses bras comme on porte une princesse dans les contes de fées, ils s'echouent sur la plage qui longe le port.
Allongée face aux étoiles qu'elle contemple, la tête au creux de son épaule, sa chaleur l'enveloppe et le bruit des vague la berce.

On est bien là hein?

Oui, elle se sent bien. Et ce n'est que le début d'un voyage mille fois plus beau que ce qu'elle a pu faire en mer.

*Alfred de Musset
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[RP] Le Port de La Teste de Buch