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[RP] Joutes 1464- Campement

Jason_ludgaresvissac


Il profitait du calme et du silence du camps avant l'arrivée de ses filles. Il avait pu apercevoir Shame qui s'occupait des chevaux. Pour une fois il n'aurait pas à le faire, juste profiter des joutes. Arzhian était parti regarder les affichages et vint lui annoncer qui serait sont adversaire du jour. Il ne fit aucun commentaire, de toute façon cela ne servait à rien, d'autres s'en chargeraient. Distraitement il se servit une coupe et la porta à ses lèvres non sans quitter des yeux l’extérieur de sa tente. L'agitation avait gagné les divers campements.

On vint le prévenir qu'il était attendu à l'entrée par un certain Tutur. Un sourire se dessina sur ses lippes. Son futur beau fils venait lui rendre visite. Vidant d'une rasade son breuvage il se dirigea vers le jeune homme.


Bonjour Arthur, je suis heureux de vous revoir. Venez donc nous allons attendre vostre mère qui je pense ne devrait point trader. Mais vous connaissez les femmes, elle doit encore être à choisir ses tenues et la pauvre Laure , affairée à tout emballer.

Il accompagna le jeune homme jusqu'à sa tente puis fit apporter de quoi les désaltérer et les sustenter.

Je vous en prie installez, alors allez vous participer cette fois ?
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Jason_ludgaresvissac
double clic désolé JD Jas

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Hersent


Initialement, le campement devait être commun avec celui de son fiancé; après réflexion, elle lui avait expliqué qu'il était plus raisonnable que leurs campements soient distincts ce qui ne voulait pas dire éloignés l'un de l'autre, bien au contraire.

Elle n'avait pas donné à son fils Arthur, le presque régional de l'étape car vivant en Champagne, le moment exact, précis, de l'arrivée de son convoi. Elle espérait simplement que son Crapounet ne se soit pas cassé le nez sur une absence de campement. Elle escomptait sur son caractère arrangeant pour qu'il ne fasse pas demi-tour s'il ne voyait personne.

Un sourire éclaira son visage quand son écuyer vint lui annoncer qu'il y avait une place en face du campement de son bouillant brun. La voiture suivit son servant et c'est toute joyeuse qu'elle descendit du carrosse, vêtue de sa cotte hardie aux couleurs des Ar Sparfel.

Laure, enfin nous sommes arrivées et sans encombre. Monseigneur Jason est déjà là, il doit pester contre mon retard. Croyez-vous que si je lui dis que j'ai eu un mal fou à choisir ce que mes malles doivent contenir, il ne s'étonnera pas?

Un rire cristallin s'échappa de ses lèvres légèrement rougies d'un onguent tant de soin que de coquetterie.
Son écuyer l'avertit que le Vicomte de Laferté sur Aube était présent et avait demander asile chez les Vissac.


Arthur est arrivé, il me semble entendre sa voix dans le campement d'en face. J'espère qu'il n'est pas en train de goûter plus que de raison le calva normand. La dernière fois cela ne lui avait pas vraiment réussi.

Entre-temps Lubin, pauvre Lubin qu'elle obligeait à prendre l'air, avait été lire le panneau d'affichage. Elle rouspéta quand elle apprit que non seulement elle était encore d'éliminatoires mais qu'une partie de la famille n'y coupait point. Sarah et Arthur affrontaient des pointures tout comme son Barounet d'amour.

Et si nous allions nous annoncer en face? Lubin, pourrez-vous dire à Yvain, Sarah, Albin et Dame Lhynne que nous sommes chez Monseigneur Ludgarès de Vissac.

Relevant un pan de sa cotte, elle traversa, accompagnée de Laure Victoire, l'espace qui la séparait du campement voisin.
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Castelreng
Comme bien souvent il arriva seulement accompagné de son écuyère Lea et d'une courte escorte utile au montage de la tente ainsi que de la bonne organisation afin que tout lui soit prêt pour ces joutes.

Il était arrivé tardivement car il avait voulu faire un détour par Germiny des Près- Seigneurie du duché - dans l'espoir d'y voir son fils. La chance n'avait pas été avec lui. La demeure était fermée, les seigneurs à prier le Très Haut au monastère.




Campement des Bouillon


Alors que Lea et le chariot contenant tente et armure poursuivait leur chemin pour s'arrêter un peu à l'écart, le Cougain fit stopper sa monture devant le groupe de Bouillon. S'il fut surpris de voir la Comtesse son épouse, il n'en montra rien. Ne se demandant même pas si elle était là pour jouter ou pas. D'un signe de la tête, tout ce qu'il y a de respectueux, il salua.

Peu lui importait que cela puisse passer pour une provocation pour certains yeux. Il n'avait lui pas l'intention de passer pour un rustre, un impoli ou autre parce que sa vie privée était à changer. Bouillon il était, Bouillon il est. Sa place donc il avait là !

Ne pensant pas cependant avoir de réponse à son salut, lentement, il remit Cheval au pas pour aller rejoindre sa tente toute proche..

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en refonte
Toltchoc




Une fois n’est point coutume, l’écuyer de Petitrusse avait dut rassembler à toute hâte les affaires nécessaire pour rejoindre le Duché de Châteauneuf-sur-Loire et son tournoi de joute. Suite à un rappel de son ami, il avait fait bonne figure, faisant confiance à son sens de l’organisation, le matériel serait vite réunis. Et Le chemin plus que connu des deux hommes, leurs permirent de rejoindre les terres d’Orléans dans un délai plus que restreint.

Une fois à destination, Toltchoc prit connaissance de leur emplacement et se mit au labeur directement afin de monter leur campement, il y avait déjà foule de compétiteurs sur place et la pression commençait à monter tranquillement avec les cris de joies qui en jaillissaient de la lice qui paraissait déjà bien remplie.

Les premiers combats annoncés, Toltchoc se concentra sur la préparation de l’armement et du destrier, laissant son ami Petitrusse dans sa concentration.

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----ENIM MEMORIA DE PRIORIBUS----
Maxine..


Campement des Bouillon


Elle ne s'attendait pas à le voir arriver...d'habitude les Bouillon regroupaient leurs inscriptions, s'informaient entre eux des joutes à venir...
Elle avait eu une longue discussion avec Agnès, Leur Reyne. Elle ne demandait pas aux Bouillon de prendre parti...elle avait juste demandé à ne plus étroitement servir aux côtés de celui dont elle se voyait contrainte de divorcer. Elle n'avait rien demandé pour Cast, ne lui avait pas chargé la mule, rien...juste demandé son propre éloignement du Comte en se faisant placer sous la responsabilité du Banneret Siméon. Agnès avait accepté, comprenant la nécessité.

Quand elle vit arriver Cast...son coeur fit un bond dans sa poitrine. Entre colère et résidu de cet amour qu'elle avait ressentis pour lui pendant plus de trois ans. Lui, avait décidé qu'il ne l'aimait plus...soit!


"Bonjorn Monseuh..." Un bonjour froid...mais poli.

Le voyant dépasser la tente bouillonnante et ayant du temps avant de devoir enfiler l'armure, Siméon n'étant pas encore arrivé pour réclamer son aide non plus, elle enfile un châle sur ses épaules devenues un peu plus frêles ces dernières semaines et part seule dans la direction opposée explorer le camp, histoire de retrouver un peu de sérénité après s'être excusée auprès de ses deux comparses et amies Toulousaines.

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CAC et Cheffe de Port de Tolosa, Ecuyère de Bouillon.
Castelreng


Campement des Bouillon


Cheval n'avait pas fait deux pas qu'il eut réponse à son salut.
Il ne s'attendait certainement pas qu'il puisse venir de son épouse. Et pour cause. Il le fit s'arrêter Cheval et durant un instant la regarda.

Il ne l'avait pas revu depuis Cordes où il l'avait laissé pour se rendre à la Chapelle dont c'était la consécration alors qu'elle l'avait une fois de plus fait sortir de ses gonds et l'avait ensuite évité.
Il lui rendit son regard froid. Puis sa tête se baissa dans un salut respectueux alors que de ces lèvres sortait


Lo Bonjorn Madame


Il remit en route sa monture et dépassa la première tente

A quelques mètres de là où il se trouvait, il pouvait déjà voir ses hommes s'activer à l'élévation de sa tente sous les ordres impérieux de sa p'tite cuyère Lea.
L'emplacement pour faire le feu qui chaufferait l'eau dont il allait avoir besoin était déjà délimiter par des pierres de belles tailles. Le chaudron était lui sorti et n'attendait plus qu'à être emplit.

Quand il se serait allégé de ce poids de poussières, peut être irait-il faire un tour dans ce village de toile s'il ne restait pas simplement tranquille sous la sienne avec un livre de grec.

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en refonte
Laurevictoire


La tête dépassant l'ouverture qui leur servait de fenêtre, un sourire aux lèvres, l'émerveillement dans le regard, Laure-Victoire ne pouvait retenir sa joie d'être de nouveau sur un lieu de Joutes! C'est qu'à chaque fois, la multitude de couleurs qui virevoltaient aux vents l'impressionnait et l'émouvait! Comme si l'humain témoignait de sa prise de possession de la terre! qu'il criait à travers ses étendards! "Nous sommes ici en vainqueurs et nous y resterons!".

Autant la rouquine détestait la guerre, autant elle adorait les joutes. Ne croyez pas qu'elle ignore les risques du métier? Elle le sait pour avoir vu des hommes et des femmes tombés, gravement blessés! Mais ici, les hommes se battaient pour l'honneur et chacun n'engageait que lui-même. Rien à voir avec les guerres qu'un souverain et une poignée de hauts placés entrainaient dans la mort sa jeune noblesse et leurs paysans. Combien de femmes violées? d'enfants tués? de vieillards écorchés?

Laure-Victoire ferma les yeux et prit une grande inspiration, aujourd'hui était jour de fête et cela devait rester ainsi! Déjà que le matin même, la rouquine avait du, pour une première fois depuis qu'elle était au service de Hersent, faire preuve de patience envers cette dernière. C'était la première fois que Laure-Victoire avait du respirer. Entre l'organisation de l'imminent mariage, les préparatifs de leur déménagement rapproché et les bouleversements que la vicomtesse vivait au sein de ses fonctions, cette dernière avait les nerfs à vifs. La d'Ar Sparfel se tenait debout dans sa garde robe, à ne pas savoir laquelles elle devait emporter pour leur séjour sur les terres du Duché de Châteauneuf-sur-Loire. Laure-Victoire, découragée de déposer et enlever les robes des grands coffres de voyage, décida de s'asseoir sur un des fauteuils en attendant que sa vicomtesse ait terminé de choisir et soit sortie de la pièce. Ainsi, seule en compagnie des femmes de chambre, elle avait soigneusement mis en malle de ce qui allait vêtir la vicomtesse pendant les prochains jours.


Moi si j'étais vous, je les emporterais toutes
avait elle dit à la blague afin de détendre l'atmosphère.

Le temps passant, Hersent avait bien fini par choisir, et Corbin par poser les malles sur les carosses. Bon, ici vous me direz et vous aurez bien raison, n'y a t il pas un carosse de plus qu'à l'accoutumée? si si , mais ne vaut-il pas mieux cela que de ne pas arriver du tout que je vous répondrai! qu'en pensez vous?

Ainsi, les deux femmes avait réussi à quitter les terres de la victomtesse et maintenant qu'elles se trouvaient au lieu dit des joutes, le calme était revenu et la bonne humeur reprit sa place au point de rire de la situation. Laure aussi riait avec coeur en imagineant le vicomte Jason rouspétant contre le fait qu'elle n'arrivait pas à choisir ses robes. Quant à Laure, le choix n'avait pas été difficile, les beaux jours étaient toujours parmi eux et elle avait choisi de porter l'une de ses robes estivales préférées.




Je crois vicomtesse que monseigneur Jason ne pourra point retenir une moquerie à votre égard. Car entre nous, nous ne sommes pas un peu en retard, à ce que je comprends, les éliminatoires sont déjà commencés!
Elle termina sa phrase par un fou rire amusé et confirma l'affirmation de hersent. Vous avez raison, nous distinguons nettement la voix de votre plus jeune fils. Elle semble effectivement venir du campement de votre futur époux. Ils semblent joyeux tout deux, nous risquons de les retrouver bien heureux du breuvage normand.

Laure-Victoire avait été avisé pendant le trajet par Hersent que toute la famille avait été convié aux joutes. Ainsi outre Arthur et Yvain,Sarah et albin accompagné d'une femme devaient s'y rendre. Laure ne pouvait que se réjouir de voir ainsi la famille réunie autour de la victomtesse. Par contre, elle ne put retenir un petit questionnement. Avec timidité, la rouquine se tourna vers la vicomtesse se permettant de lui mentionnant un fait.

Vicomtesse, à mon souvenir, monseigneur Albin n'est point marié. Ne croyez vous pas que les rumeurs iront bon train si une femme qui n'est pas son épouse dort sous la même tente que votre fils? ne serait il pas plus judicieux de la faire dormir dans la tente de dame Sarah?


La rouquine savait que l'affection de ses proches serait des plus profitable pour Hersent. Et elle ne souhaitait en aucun cas que cette rencontre de famille soit bouleversée par quoi que ce soit. Surtout pas l'ainé! Elle se promit donc de surveiller le comportement de celui-ci surtout envers sa mère. La dernière fois qu'elle l'avait vu - en fait, vous me direz que Laure ne l'a rencontré qu'une seule fois donc -, la première et unique fois qu'elle l'avait vu, il avait été grossier avec Hersent et terriblement ingrat envers celle qui l'avait adopté et considérer comme son propre enfant. Elle savait sa vicomtesse fragile par les événements prochains . Qui ne le serait pas me diriez vous! Il n'était absolument pas question que ce d'Ar Sparfel en rajoute une couche.

Mais d'ici leur arrivée, Laure-Victoire avait à faire. Dès que Corbin aurait terminé de monter le campement. Elle irait défaire les malles de la vicomtesse et préparer ses tenues pour la fin de la journée et le souper. Mais cela passerait après la visite des tentes voisines. Elle posa son regard sur celle des Ludgares de Vissac et marcha vers celles ci un pas derrière la vicomtesse. C'est que même si au fil des mois, les deux femmes développaient de plus en plus un sentiment d'amitié et que la vicomtesse acceptait que Laure-Victoire puisse se comporter comme un membre à part entière lorsqu'elles étaient en famille, il restait qu'en public, Laure-Victoire se comportait comme une demoiselle de compagnie se devait de la faire. Ainsi, un pas derrière celle qu'elle servait, la rouquine traversa sur le campement d'en face. Elle s'inclina devant le vicomte Jason avant de faire de même envers le nouvellement noblié.

Monseigneur Jason, Monseigneur Arthur, je suis très heureuse de vous revoir. Comment vous portez vous? Est-ce que le sort vous a privilégié?

Elle ne put s'empêcher de regarder autour d'elle. Elle espérait y voir la jeune Scarlette, qui était devenue une amie. Mais ne la voyant pas, elle resta sagement debout attendant qu'on les invite à s'asseoir.
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Demoiselle de compagnie de la Vicomtesse Hersent D'Ar Sparfel et Hôtesse et couturière à la Boutique du Lys
Kateyll



A la bourre, non du tout, jamais, ils avaient simplement décidé d'arriver à deux, le carosse les avait abrité pendant le voyage du Rouergue jusque là. Ils avaient décider de ménager leur monture qui serait des plus sollicités.

Direction le coin Guyenne, ils leur fallait trouver son fils, et ils feraient installés leur campement. Elle espérait bien voir son ami, il suffirait surement de baguenauder un peu, çà ne devrait pas être compliqué. Et puis elle avait temps de choses à raconter que le séjour ne suffirait pas.

Un regard vers Old

Nous voilà enfin arrivé, je vais aller voir comment il s'occupe de ma jument, c'est toujours un moment privilégié, il faut qu'elle soit en confiance.

Ils étaient arriver à destination, leur gens n'avait plus qu'à aménager le tout, pas de souci ils étaient habitués et connaissaient toutes leur tâche

Tu vas profiter d'un moment avec ton fils ?

Les us et coutumes feraient qu'ils seraient un peu séparés, ou alors qu'il allait falloir jouer à cache - cache, çà ils savaient bien le faire.
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Alandrin
CAMPEMENT DE LAVERNEDE


De retour à son campement, Alandrin quitta son armure avec l'aide d'Agapito afin qu'il la lustre et en prenne soin. De son côté, il alla s'occuper de Néron. Il le brossa, le nettoya comme il faut et lui donna à manger. Les gestes appris avec Isabelle lui étaient restés. Isabelle qui avait disparu du jour au lendemain. Il avait appris à passer vite à autre chose.

Puis il se dévêtit, pas complètement non plus, et se glissa dans la rivière. Il resta allongé sur le bord, le torse dépassant de l'eau. Il avait amené une carafe de vin et un verre qu'il emplit et dégusta, tout en se délassant dans l'eau et en profitant des derniers beaux jours. Il irait aussi saluer Xalta après. Mais d'abord, juste profiter de la vie. Cela ne lui arrivait plus vraiment depuis un bon moment.

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Oldtimer
Oldtimer était venu en carrosse avec Kate, sa fiancée. Aquilon suivait derrière. Ils arrivèrent au campement où ils se dirigèrent vers le coin Guyenne.

Nous voilà enfin arrivé, je vais aller voir comment il s'occupe de ma jument, c'est toujours un moment privilégié, il faut qu'elle soit en confiance.

Oldtimer regarda Kate et lui dit :

Je vais aussi m'occuper d'Aquilon. C'est tout nouveau pour lui.

Il alla près de son cheval. La présence de tout ce monde le rendait nerveux, mais des paroles apaisantes et des caresses eurent tôt fait de le calmer. Il alla lui même l'attacher toujours en lui prodiguant des caresses.

Calmé, il pouvait aller vérifier si le campement se montait.

Tu vas profiter d'un moment avec ton fils ?

Oui, je vais voir où il s'est installé, probablement un coin au frais.

Il s'en alla et quelques mètres plus loin, il repéra son fils et alla vers lui le serrant dans ses bras.

Tu es devenu un fort gaillard, ton séjour dans le Maine t'a bonifié. Je suis heureux de te voir. Je vois que tu n'as pas oublié mes leçons.

Il regardait maintenant le campement de son fils et repéra son cheval :
Je t'en veux un peu d'avoir pris Arabesque mais c'est le meilleur choix que tu pouvais faire. Mais considère la comme ton propre cheval. Elle est à toi.
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Alandrin
CAMPEMENT DE LAVERNEDE


Il était plus que temps de se secouer. Alandrin termina son verre, et la carafe par la même occasion, et se leva. Il quitta à regret son bain naturel mais il avait des choses à faire, à commencer par saluer son amie et maîtresse des lieux.

Il retourna sous sa tente et se vêtit simplement, de noir. Il aimait bien cette couleur ces temps-ci, au delà du deuil royal. Il ceint son épée à son côté et sortit de la tente, direction... Ben direction il ne savait pas trop, vu qu'il ignorait où trouver Xalta. Il parcourut donc le campement, à sa recherche. Elle n'avait bien entendu sans doute pas de tente, mais peut-être se promenait-elle parmi ses invités. Et il préférait faire le tour avant d'aller voir directement au château. Question de politesse.

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Shame


[ Campement - Arrivée & Constat ]

Quelle joie de remarquer que l'Ecuyer n'aurait pas à sa charge de monter le campement. Il faudra qu'il en touche deux mots aux Tournois précédents à son ancienne Capitaine et ancien Comte quand il s'était tout occupé dans la foulée. Non point que cela l'avait dérangé, plutôt heureux et amusé, de faire dans la décoration en pleine nature, pour des Festivités. Mais quand même, il se souvient de la rigueur avec laquelle, le Jeune Homme avait été secoué parce qu'il avait eu le malheur soi disant de se faire surprendre à la buvette des joutes alors qu'il ne consomme que des tisanes ou du thé. Il plisse des yeux par un sourire aussi large, que....Vous laisse chercher, pour une fois, lecteurs & lectrices, faites travailler votre matière grise. Si possible, rien de ....En dessous de la ceinture. Merci de tout coeur.

Autant le personnel de service tout comme lui que Monseigneur & sa Famille sont en pleine effervescence. Tout nouveau. Tout récent au sein d'eux, Shame va et vient dans ses tâches d'un naturel comme s'il fait parti d'eux. Présent et discret. Autant juste ce qu'il faut, dans la lumière que dans l'ombre. L'emplacement des deux belles bêtes est prévu, un peu à l'écart, pour ne pas les stresser, leur offrir leur coin détente et d'exercices. Autant dire de la verdure, de l'espace et du confort pour prendre soin d'eux.

D'après Monseigneur Jason suite à une conversation en son Domaine, lors de prise de fonction et ses premières marques en tant qu'Ecuyer, il ne monte que Belphegor pour les Joutes Equestres depuis le tout début. Aucune raison d'en changer. De toute façon, Sahme n'a pas assez encore d'éléments pour lui permettre de faire d'Eclair, la seconde monture, un cheval de Joute. Et il a bien saisit aussi, que Jason, ne souhaiterait pas que cela soit le cas. Cela devine ce genre de détail et ressenti. Alors pour ne pas perturber, et laisser aussi bien le Jouteur que l'animal, ne faire qu'un, le Jeune Seigneur laissera se dérouler cette Joute Equestre comme de coutume. Après tout, Belphegor est un adepte. Et son Cavalier le connait tout autant. Il en sera ainsi.

Quand à Eclair. Il le chouchoutera autant . Peut-être même que d'être dans l'ambiance festive, cela lui fera prendre conscience d'un nouvel environnement, auquel, peut-être un jour, il sera participant à son tour. L'avenir le dira.


[ Préparation - Les Joutes débutent ]

Dans son coin, palefrenier, comme il se plaît à se nommer. Dans son esprit. Il adore ce mot. La nourriture est installée entre bac à manger et bac à eau. A leurs proximités. Il les avait laissés un peu, le temps de saluer comme il se doit, sur son passage pour se rendre aux affichages des Joutes, près de la Lice, se repérant au passage et savoir, quand tout préparer:[/i]

Bonjour.

Et de passer voir Monseigneur Jason pour l'en avertir. Au passage, il avait récupéré fanions, blasons et autres merveilles artisanales pour en décorer lances, monture. Tous les éléments de l'armure empilée dans ses bras contre son thorax, pour donner un grand coup de brillance. Une bonne heure pour astiquer, installé, en pleine nature, dans le brouhaha autour de lui du campement qui prend de l'importance autour de lui. Shame est concentré et n'y prête pas attention. Mains et bras en action sur le fer qui luit au fur et à mesure de passage incessant du chiffon sur la matière.

Ses yeux se plissent sur les deux belles bêtes. Il les observe tout en travaillant. Chacune. Voir si le contexte leur convient. Si elles y réagissent de manière semblable. Puis une fois l'armure et tous ses éléments, en état neuf, tout comme en tout cas, à première vue. Il vient s'affairer autour de Belphégor:


C'est à Toi, mon Beau. Je te prépare. Eclair, profite d'une balade, je viendrai te faire tes exercices juste après.

Caresses. Massages sur les flans. Palpage des jarrets jusqu'à la vérification de ses sabots. Rien n'est laissé au hasard. Ses mains prennent toute l'ampleur de la masse musculaire à tous les points de vue. Détendre, rassurer. D'un de sa présence nouvelle à lui à ses côtés, qu'il se sente en confiance. De deux, ne rien imposer de nouveau pour l'instant pour ne pas perturber ses sens et repères trop vite. De trois, qu'il conserve le même rapport avec son Cavalier sans ne venir tout remettre en question. Le but. Que tout reste tel que c'est.

Après tout. C'est entre Jason et Belphégor que tout se jouera en Lice.

Habillé et revêtu des couleurs du Monseigneur, la Monture se prépare. Selon la tradition familiale, le Jeune homme prend soin de bien suivre les indications et conseils offerts. Et c'est au moment venu, qu'il rejoint la Tente du Patriarche, pour devant celle-ci, l'attendre de pied ferme, si on peut dire, pour lui signaler que tout est prêt pour sa première Joute.


Monseigneur, Vous faites parti des éliminatoires. A vous de jouer. Belphegor n'attend que vous.

Non. Aucune précision sur qui, il va affronter. Il lui semble que c'est mieux. Pas d'appréhension, ni se farcir ou polluer d'informations inutiles qui pourraient le déstabiliser. Hop dans l'action directe. Plus qu'à enfiler l'Armure. Il garde sa monture, ses Lances, le temps qu'il puisse prendre place sur Belphegor, et qu'il l'accompagne en Lice, à ses côtés, jusqu'au début de celle-ci, dés le premier top départ.
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Batistine


[Campement Malzac d'Euphor]




Le teint légèrement jaune, B avait accepté d'un hochement de tête quand le Boss avait proposé de se balader. Priant juste de s'être assez vidée pour l'heure qui venait, elle lui avait emboité le pas, marchant botte à botte dans le "cité des toiles". Tant qu'il ne s'agissait pas de présence d'un tiers ou encore d'une cérémonie dont les nobles avaient le secret, la blonde se sentait à son aise en présence du Prince et avait un comportement des plus naturels -'fin sauf aujourd'hui où sa concentration est plus à serrer les fesses que zieuter un agresseur éventuel. Puisque son compagnon de marche était assez silencieux, la tâche lui était grandement facilitée mais la sonnette d'alarme se mis à hurler dans son pauvre crane quand dans leur ligne de mire se trouva une blonde qu'elle s'avait être du cercle princier.

Elles ne se connaissaient effectivement pas officiellement, l'une des blondes avait juste aperçu l'autre descendant d'un coche dans la cour de l'hôtel particulier qui leur avait été prêté lors des joutes royales de Vincennes. Une visite pour le Prince si elle se souvenait bien. Tout ce qu'elle retenait de Vincennes c'est qu'il y avait eu un mariage dans la foulée à Paris et qu'elle avait eu congé. Elle avait retrouvé son amie d'enfance, le reste elle l'avait quasi oublié.

La jeune femme s'incline, un peu gênée par sa cotte de mailles qu'elle n'a pas eu le temps d'enlever en raison de l'urgence latrines. N'ayant pas saisi la portée des titres de la jeune femme qui la salue, la gamine se contente d'un


Mes respects Dame.

C'est alors que lui vint le secret espoir que les deux nobles se mettent à papoter à bâton rompu et afin qu'elle ait là une merveilleuse occasion de s'éclipser car elle se sent de moins en moins bien. Une sorte de sueur froide coule jusqu'à son échine, ses oreilles bourdonnent et ses ambres ont bien du mal à se fixer sur une cible en particulier. "Me faut un médicastre bon sang !".
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Petitrusse




Petitrusse revenant d'une campagne de deux mois en Touraine, il était usé physiquement mais pas que physiquement. Ces joutes étaient une bonne aubaine pour se changer les idées, si et seulement si il arrivait à passer deux tours, chose qui fût rare en cette année 1464.

Une fois à destination, Petitrusse prend le maximum du temps disponible pour pouvoir se reposer mais c'est plus facile à dire qu'à faire. Bien des sujets en cours lui pourrissent la vie et tout comme les phases de sommeil, cette phase de repos n'est pas aussi réparatrice qu'elle devrait l'être.

Petitrusse décide de sortir de la tente et d'aller voir son ami Toltchoc.


Je te remercie pour avoir tout préparé.
Es ce que tu as eu le temps d'aller voir si j'étais présent sur le tableau des éliminatoires?

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