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[RP] Sacre du Grand Duc

Alix_ann
Et à la jeune Montfort d'arriver. Pour l'occasion elle avait ressortie une vieille robe.



Ta-dam !

N'ayant pas eut le temps récemment de s'occuper de question chiffons (quoiqu'elle était particulièrement fière de celui-ci) elle l'avait fait retoucher pour l'ajuster. Elle était contente du résultat. Il fallait au moins ça pour le sacre d'Equemont.

Elle aperçois Amarante et Dana et va à leur rencontre du petit groupe, dont Maël et Ysil, qu'elle a déjà croisé au Collège d'Armes.


Le bonjour ! Comment vous portez-vous?
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Annaell
Annaell s'était avancée à l'intérieur de l'édifice et avait glissé jupons et robe entre deux bancs, quelque part vers les rangs du milieu. Elle n'était noble que par mariage et ne savait même pas si elle s'était bien placée : n'était-ce pas trop près du devant ? N'allait-elle pas voler la préséance à d'autres qu'elle ? Elle tourna des yeux indécis vers ses voisins, mais ceux-ci ne semblaient pas prendre garde à elle : chacun papotait en petits groupes tout en prenant place. Une main nerveuse vint replacer une boucle noire derrière l'une de ses oreilles. Elle reconnut de loin son amie Dôn, bien entourée, et placée bien plus à l'avant qu'elle. Peut-être réussirait-elle à l'entrevoir un peu plus tard... Elle se tourna vers l'arrière, davantage pour se donner une contenance en faisant semblant d'attendre quelqu'un que pour réellement s'enquérir des arrivants. Un visage accrocha son regard : une jeune fille la dévisageait. Et cette jeune fille ne lui était pas inconnue... Son coeur manqua un battement et l'émotion se fit jour sur son visage. Elle murmura, ou plutôt ses lèvres formèrent en silence le nom de son enfant, qu'elle n'aurait pas pu ne pas reconnaître :

- Roxane... ?


Mûe par un soudain courage, regain de sa fierté d'antan, elle s'excusa auprès de ses voisins pour passer en tentant de n'écraser aucun peton, et c'est le coeur battant qu'elle remonta quelques travées pour rejoindre celle où se tenait la jeune Kermeur. Elle resta plantée sur le côté du banc, les yeux fixés vers sa fille, un moment indécise, puis avec un sourire hésitant, elle tendit une main vers elle pour l'inviter à s'approcher sur le côté... et peut-être, sait-on jamais, accepterait-elle de s'asseoir auprès d'elle.

Ce sacre s'annonçait décidément plein de surprises... et de nouveaux espoirs. Elle n'avait pas vu sa fille depuis son retour de Guyenne, mais elles n'avaient jamais vraiment réussi à se parler depuis.

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    "Ma wrec'h ha ma ene zo evidout.... Mon bras et mon âme sont à toi."
Veneny
Les préparatifs du Sacre avançait bien, c'était rassurant à voir. Bien qu'il n'ait point d'armures ou d'armes mais une "robe de gonzesse" ou encore qu'il ne patrouillait point mais qu'il supervisait en compagnie du Primat les rites sacré, Veneny était tendu et sur le qui-vive. Il fallait préparer l'arrivée du Saint-Radis, une relique Bretonne fort précieuse pour... ben... le peuple Breton. Et quand bien même les 3/4 des Bretons ne connaissaient pas le Saint-Radis, ils auront l'occasion de le savoir durant le Sacre. Il avait déjà raconté brièvement l'histoire de cette relique au Grand-Duc, à Theoden et à tous les habitués de Saint-Brieuc (qui se reconnaîtront d'ailleurs), il souriait pourtant en se disant qu'ils allaient devoir réécouter cette histoire une énième fois, et en version longue.

Catastrophe. Il avait perdu de vue Monseigneur Cathelineau et impossible de le retrouver. Il aperçut néanmoins certaines connaissances qu'il alla saluer. Ce bon Maël, Theoden, Amarante, Capelina, Barelius et bien d'autres... Il n'eut cependant pas le temps de rester bien longtemps puisqu'il dut s'éclipser en retrait, dans une salle minuscule et heureusement gardé, contenant le fameux reliquaire qui contenait lui-même la Sainte Relique ! Si il devait lui arriver quelque chose, ce serait une catastrophe. Peu rassuré, il tenu à la garder par lui-même et en profiter pour l'admirer.

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Roxane.
Elle s'était glissée entre deux rangées, je n'avais toujours pas bougé, je n'y arrivais pas et quand son regard vint se poser sur moi j'avais cru étouffer du manque d'oxygène.
Elle repassa devant les mêmes personnes qu'elle venait tout juste de déranger pour s'avancer vers moi.
Jour de sacre, jour du Grand Duc je ne pouvais laisser une quelconque émotion m'emparer
Je me bardais donc pour rester sereine regardant cette main qui se tendait vers moi et m'avançais posément.

Mère..

C'était dit
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"Mon bras et mon âme sont à toi"
Azkaban
Qu'est ce que je dois mettre ? Qu'est ce que je vais mettre ? C'est la question que s'étaient posées toutes les femmes présentes à la cérémonie, et lui...s'demandait s'il y aurait de quoi manger. Le blond s'était tout de même lavé, coiffé, rasé, habillé de beaux habits, n'avait pas volé de parfum à sa douce, quand même , il n'allait pas sentir la cocotte en plus !
D'ailleurs, Liz avait déjà pris la poudre d'escampette pour se rendre à la cérémonie avant lui...Pfff j'vais donc passer prendre l'frangin "faute de grive ...on mange des merles"comme dit l'expression. Azkaban avait embrassé sa tribu de souris avant de s’éclipser de Donges, mais il se demandait si la "future belle sœur" serait ravie de le voir, ces derniers temps, les relations s'étaient quelques peu distendues...Bon faute de merle, on s'casse les dents.
Le blond discrètement se faufila entre les froufrous des dames portant des robes plus gigantesques les unes que les autres, c'était un concours ? Lui se souvenait de ceux qu'il faisait avec Bahia lorsqu'ils étaient enfants...A celui qui pisse le plus loin...Un léger rire le suivi. T'es idiot parfois. C'est d'famille ou quoi ?
Ah sa blonde la bas...Ah ouais l'a pas lésiné sur la robe non plus...Pas hyper pratique dans le cadre de vouloir renouveler sa descendance tout de même...Mais ils n'étaient pas là pour ça, non non du tout...


Liz ! j'suis là...Pas trop en retard ?
--Johanna.



La Chambellan avait reçu le cartons d'invitation par leur homologue Breton. Ils c'étaient donc tous concerter, elle et ses Vice-Chambellan, prenant ainsi la décision de tous s'y rendre. C'est donc à cheval et pas en carrosse ou autre, qu'ils c'étaient tous diriger vers la Bretagne, pour assister au couronnement de leur nouveau souverain. Quand ils étaient arrivée, il y avait déjà beaucoup de monde de présent et Johanna essaya t'en bien que mal de trouver une place dans le fond de la salle avec les Vice-Chambellan. Dire qu'elle porte un robe pour l'occasion et encore, c'était parce que ses vice-Chambellan lui avait demander.
Noctis_de_melcort.
Noctis avait suivit le cortège diplomatique à cheval c'est que c'était fort long de traverser la France d'Est en ouest pour aller voir les Bretons et oui d'ou ce jour de retard mais qu'importe il était là. cela faisait longtemps qu'il n'avait pas assister à un sacrement du grand duc de Bretagne et il était fier que sa place d'ambassadeur lui ouvre les portes de ce genre d'évènement.arrivé à bon port il descend de cheval et suit Johanna vers l'endroit où ce déroulait la cérémonie.

la salle était pleine et Noctis se faufilait au fond avec Johanna, il s'installe puis il écoute le déroulement de la cérémonie, prenant discrètement la main de Johanna.
Annesolenn_wolback
Anne était enfin entrée dans la basilique et se dirigeait vers les bancs réservés aux vassaux du Grand Duc, quand elle aperçut Son Excellence Johanna et sa suite jouant des coudes dans la foule pour arriver à trouver une place. Bientôt rejointe par l'Ambassadeur Noctis de Melcort, la Chambellan paraissait fort mal à l'aise.

Surprise et un peu choquée de voir les diplomates bourguignons assis sur les derniers bancs, presque cachés par un pilier, la Chambellan de Bretagne se fit un chemin jusqu'à la délégation conduite pas son Excellence Johanna, en écrasant quelques pieds et meurtrissant quelques côte avec la pointe de ses coudes au passage. Arrivée à la hauteur de la Chambellan, elle se pencha vers elle et murmura:


Excellence, votre place n'est pas sur les derniers bancs de l'église, mais non loin de l'autel, là où sont réunis tous nos amis étrangers, venus honorer la Bretagne et son Grand Duc de leur présence. Si vous voulez bien me suivre...

Et, telle un bateau fendant les flots, la Duchesses ouvrit énergiquement la voie à travers la foule au petit groupe de diplomates, bientôt confortablement installés sur les bancs garnis de coussins, réservés aux dignitaires.
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Amarante.
Ignorant encore Maël, parce qu’elle trouvait mal venu ce genre de paroles en la circonstance … Quoi que, des circonstances atténuantes pour Maël, elle n’en trouvait guère. Elle savait bien que les hommes avaient, tous, la même maladie sans exception, mais, certains avaient assez d’éducation et surtout de respect, pour savoir se tenir devant femme et enfants … Bien que cela n’excusât absolument rien pour la brune … Elle exécrait ce genre de comportement et d’attitude … Rien que d’y penser, cela l’énerva et elle pinça ses lèvres le regard noir …

Cela ne dura pas cependant, l’arrivée d’Alix et des autres, lui fit oublier Maël et sa manie à vouloir séduire à tout prix … Elle afficha un grand sourire et tendit les bras à cette jeune femme qui avait une place toute particulière en son cœur …


Demat Alix. Je vais bien et vous ? Êtes-vous venu seule ?

Et de jeter un œil pour vérifier qu’un galant ne se cachait pas derrière elle … Mais visiblement non …

Si tel est le cas, restez donc avec nous …

Elle savait bien que chacun avait un rang différent et que, l'étiquette exigeait qu'ils furent placé, mais pour le moment rien n'avait encore commencé ... Elle sourit ensuite à Dana, Liz et Azkaban qui l’avait finalement vu.

Demat deoc’h. Vous arrivez à point nommé, je commençais à me sentir un peu seule … Dans cette foule …

Et de se tourner vers Ysil …

Vous connaissez tous, ma cousine Ysil ?
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Romain.de.castellbo
Belles robes et toilettes du meilleur goût, grands seigneurs apprêtés et grands de ce monde étaient présents pour le Sacre du Grand Duc. Tout semblait préparé au millimètre et sentait bon le parfum de cette Bretagne remplie de fierté, d'honneur et de majesté. Nul doute qu'un grand règne commençait alors et sous de bons auspices.

Le Marquis de Cadaquès en tant qu'ambassadeur et amiral représentant de la Principauté de Catalogne s'avança en habits de circonstance et avait troqué pour l'occasion son uniforme d'Amiral qui exhalait encore les embruns pour une tenue plus sobre.

Il salua quelques personnes en retirant son chapeau à plumes et en inclinant la tête. Il cherchait discrètement le visage de son souverain parmi les invités de marque mais aussi le regard de quelques amis bretons qu'il avait croisé jadis sur terre et en mer.
Tegonnec_le_page
    On m'a confié de porter la couronne sur un coussin. La classe ! Je ne dois pas rester seul. En grande livrée, inspectée par ma supérieure, je me glisse au milieu d'un peloton de piquiers. Il faut reconnaître qu'ils ne font pas les malins, ils savent que si la couronne est volée, ils seront probablement pendus. Alors ils sont presque un peu brutaux, ce qui dénote par rapport à la liesse dans la ville. Pour ma part je regarde le sol devant moi, et la couronne que je porte. On l'a nouée sur le coussin pour qu'elle ne puisse choir.

    La cathédrale n'est vraiment pas loin du château, il n'y a qu'une rue à remonter. Nous arrivons rapidement alors que la populace s'exclame en voyant passer cet objet sacré. Une fois entré dans la cathédrale, alors qu'elle commence à être emplie de toutes sortes de personnes, je remonte la nef et vais déposer l'objet sur une table ornée d'hermine, à gauche dans le chœur. Pour ma part j'ai terminé mon boulot. Alors je vais me trouver un place sympathique pour observer un peu tout ce faste, les toilettes des dames, surtout. Pour cela je monte sur la coursive, il parait que de haut, on voit plus de détails.

    Petit coquin je suis.
Equemont
Il est l'heure. L'ordre a été lancé, et répercuté par le Maréchal de Bretagne. Equemont sent son cœur se comprimer en voyant tous ces gens qui sont là pour son sacre, pour la Bretagne. Une petite angoisse peut se lire sur son visage alors qu'il essaye de sauver les apparences en gardant la tête droite sur sa monture grise d'une exceptionnelle finesse. Il entend le silence qui s'installe sur son passage.

La foule veut voir le nouveau souverain. Quelques cris le sortent de sa léthargie, il voit des enfants réjouis qui le saluent. La rue a été décorée aux couleurs de la Bretagne, avec des guirlandes et des fanions d'hermine. Les chevaliers portent leurs étendards.

Le Salar se laisse dodeliner par sa monture, de temps en temps il décroche un petit sourire lorsqu'il croise un regard. Bientôt la Cathédrale Saint-Pierre-Saint-Paul est sous leurs yeux. L'édifice est récent, et d'ailleurs, il n'est pas terminé.

Le groupe de cavalier s'écarte pour le laisser avancer jusqu'aux marches. Un nombre important met pied à terre pour entrer avant lui dans la cathédrale afin de prendre place. Un page retient la bride du cheval d'Equemont afin qu'il descende. Equemont a refusé qu'on lui mettre un escabeau. En bon cavalier, il a toujours conservé cette souplesse pour sauter.

C'est l'heure, il monte les quelques marches qui le conduisent au tympan. Il cherche du regard le clergé qui lui indiquera ce qu'il doit faire.

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Cathelineau.
La Cathédrale commence à se remplir, on règle les derniers préparatifs, lui médite sur la cérémonie qu'il va officier, c'était une première pour le Primat qu'il ne comptait pas rater. Par un simple signe du Primat, on fit sonner les cloches.

BONG ! BONG ! BONG !

La procession sort de la sacristie, on traverse la nef, saluant les gens ayant fait le déplacement à Nantes, il constate que la Bretagne est présente pour son Grand Duc. Arrivant devant l'Autel, il s'incline à son habitude puis se dirige vers le siège épiscopale.

Demat !

Nous voici réunis dans cette belle Cathédrale St-Pierre et St-Paul de Nantes, soyez tous les bienvenues, aujourd'hui nous sommes le 29 mai 1464 et Equemont va être sacré Grand Duc !

Puis fidèlement à la tradition, il débute la première Oraison.

Le Créateur, le Très Haut, Dieu tout-puissant, a voulu que nous élevions en la plus haute dignité, votre serviteur Equemont nous le prions de lui faire cette grâce, de disposer ses affaires au salut commun de tous, durant le cours de cette vie, en telle sorte qu’il ne dévie du droit sentier de vérité, par le moyen de Notre Seigneur !

Un prie-Dieu situé au centre de la Cathédrale devant le Chœur est installé pour le Grand Duc, deux clercs se tiennent à gauche et à droite, attendant l'arrivée du Grand Duc.
Le Primat s'installe alors sur le siège épiscopale, l'assemblée peut alors s’asseoir, puis il fait un petit signe à Veneny afin qu'il présente le Saint-Radis.

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Theoden.
[Peu avant l'arrivée de Sa Majesté]
Les dignitaires et autres individus arrivaient petit à petit. Chacun fut fouillé avec la plus grande rigueur. Il ne fallait pas qu'il y ait de problèmes. Les armes confisquées furent confiées à plusieurs intendants qui se chargeraient de les redonner à la fin de la cérémonie. Les épées des dignitaires et nobles ne furent pas saisies, il en devait d'une certaine forme de symbolique.

[Son arrivée et début de la cérémonie]

Pendant ce temps, Le Maréchal accompagna le futur sacré jusqu'au parvis, puis il descendit à cheval. Il laissa une partie des chevaliers assurer la sécurité de Sa Majesté. Il entra le premier avec le reste des troupes. Il les disposa tout autour de la nef et dans les bas coptes. Les travées étaient également sécurisées par des hommes d'armes, équipés d'armes d'hast et de dagues à couillettes. Ce n'était pas des plus aristotélicien comme nom, mais l'armée avait de l'idée pour nommer ses créations. Sans aucun doute, la sécurité avait été des plus renforcés. Il salua le Duc de Rhuys et fut interloqué par sa dague, plus communément appelé dague à rouelle par chez nous. Il se disait qu'il aimait bien l'équipement allemand. Selon son avis ce n'était pas du meilleur esthétique, quoique parfois... En tout cas, c'était des plus efficace. En outre, Il n'oublia pas de placer un garde à proximité du trône épiscopal. Après tout, la sécurité du Primat lui importait également. "Son garde du corps temporaire" se présentait sous la forme d'un grand gaillard, bien bâti aux épaules larges, revêtu d'une brigandine marron foncée, de jambières métallique usée par le temps et d'une barbute italienne. Il tenait à sa main droite, une large hallebarde, de sa main gauche son épée au fourreau et possédait une dague à la ceinture dite "miséricorde". Appelée ainsi, en raison qu'elle était utilisée pour achever les cavaliers à terre. En somme, le genre de gaillard et d'attirail amenant à méfiance. Une fois ce beau monde placé, le Maréchal de Bretagne se plaça dans les galeries supérieures afin d'observer les mouvements suspects. Il est clair qu'il observerait plus qu'il n'assisterait.

La cérémonie débutait...

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Taliesyn_de_montfort
“Je préfère être en retard dans ce monde qu'en avance dans l'autre.”

J'arrive, j'arrive, je ne me presse pas, le temps est déjà contre moi. Tant pis, je serai là quand même et il me sera impossible d'arriver discrètement, quel Prince peut être discret? S'il est discret c'est qu'il n'est pas fier de ce qu'il est. Et moi, je suis fier. Toute l'attention est cependant porté par celui qui est devant moi, mon vassal pour encore quelques heures. Ainsi je lui laisse la politesse. De toute manière les hommes du Grand Duc empecherait tout forme de discourtoisie.

Il avance, je succède, enfin, dans l'eglise, loin de moi l'idée d'aller chercher ce trône qui ne m'attire pas. Je ne tiens pas à finir comme mon père honnis de tous de son vivant, regretté de tous une fois trépassé. Je préfère qu'on me regrette vivant ! A cette idée, je ne peux retenir un petit rire, hinhinhin. Ca me rappelle le rire de quelqu'un tiens.

Alors j'avance les rangs, des bourgeois qui ont payé cher leur place, la petite noblesse, la moyenne, la haute puis moi. Il reste plus grand monde devant moi, quel privilège, ca l'avantage de faire un point sur la hiérarchie en ce monde. Plus près de toi Seigneur, mais pas trop, je tiens trop à la chaire plus qu'à la chair, et je préfère le vin de messe à l'ultime bière. Le protocole ca à du bon parfois.

J'observe, les lieux, des gardes grands ducaux ainsi que les hommes de mon ancien vassal, bref, les choses ne changent pas. Je me tiendrai bien de dire ce que j'en pense, le moment est mal choisi et le Salar pourrait bien être la nouvelle tête couronnée dont la Bretagne avait besoin. Je m'asseois, pour me rendre compte que mon siège craquèle un peu du fait de l'humidité, je tique, tout le long de la cérémonie on va penser que je largue des caisses. Génial.

Je me retourne et vois qu'il y'a pas beaucoup de haut noble en fait...
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Pour me suivre : http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=lv&id=3008
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