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[RP] Sacre du Grand Duc

Don.
Alix Ann !


Amarante !


Sursaut de nouveau.
Ses amies étaient là, et Amarante semblait elle aussi vouloir prendre soin de sa personne. Mais ses esprits étaient vite repris, des fourmillements se firent sentir dans ses deux avant bras, alors qu'on tentait de transporter son petit corps, à peine remis de la scène d'horreur à laquelle elle venait d'assister.
Le front tamponné, Dôn regarde sans vraiment le vouloir les personnes lui faisant face, Alix semblait inquiète et Amarante en panique. Pourtant elle...


Je vais bien, je.. Je vais bien !

... Elle allait bien !


Se redressant et remerçiant Brélidy et Montfort elle entame un geste pour se lever.

Je.. Je devais lui donner ses sceaux, voilà je dois aller lui donner ses sceaux.
Laisser moi aller le voir.


Puis, en quelques secondes elle pu reprendre ses esprits et sa logique.

Mais mon dieu ! On l'a attaqué !

Oui, soudainement les sceaux n'avaient plus trop d'importance.

Désormais levée, elle s'élance vers l'attroupement se trouvant autour de la supposée dépouille du Salar, et s'il était vraiment mort ? Egoistement sa première pensée est pour elle même.

Que vais-je devenir bordel ? Je mérite effectivement mon nouveau surnom... Quoique, je n'en ai pas tué tant, mais là, Duchesse-veuve-noire, ça commence à faire désordre.

Puis, une nouvelle fois, l'esprit se fait charger et revient à la vie, une Dana plus bienveillante.

Et ses enfants ?? Mon dieu !

Le temps à penser lui avait permis d'avancer et d'atteindre son but sans vraiment avoir calculé ses pas, laissant derrière elle, Amarante et Alix Ann, non loin.
Viendraient elles finalement apporter leur aide elles aussi, à Equemont ? Ou allaient elles continuer à suivre notre Baronne afin de la dissuader de l'approcher ?


Arrivant à la hauteur de son frère Mael, Dôn pose une main sur l'épaule de celui-ci afin de s'y soutenir un instant et de le décaler pour avoir la chance d'enfin apercevoir Equemont.


Il est vivant...


Le constat qui devait arriver, le voici.
Veneny semblait prier de tout son coeur, Maryane ne bronchait pas et restait accrochée à la couronne qui n'avait malheureusement pas tenue longtemps sur le chef du blond et une inconnue d'une élégance rare s'affairait à soigner son homme.
Homme qui n'était pas mort ! Oui, il faut bien le répéter pour que ce soit intégré. Pas mort, et même conscient. Il n'était pas des plus pimpant, mais gardait sa prestance qu'elle aimait tant.
Soulagée, elle répète une dernière fois....


Il est vivant.

...Dans un léger sourire elle recule de quelques pas, afin de laisser les personnes compétentes s'occuper de lui.
C'est une flèche, une simple flèche, il devrait vite se remettre...
Lanceline
Et la Blonde ? Elle était là. Depuis le début. Elle tenait Ermelne de sa main gauche, et Yselda de la droite. Aloan était juste à côté, et elle s’était détachée de lui pour le laisser aux bons soins de la nourrice. Non qu’elle ne l’aimât plus, mais la Balafrée avait d’autres enfants à charge, et avait toujours eu à cœur de leur montrer qu’elle n’en préférait aucun.

Avant d’entrer, elle avait lissé sa robe, et avait machinalement posé quelques mèches de cheveux sur son épaule gauche. Sa manière de cacher ce qu’il y avait de plus laid en elle.

Elle avait bien senti, en passant les lourdes portes du lieu sacré, la main d’Ermelne se serrer dans la sienne, et si elle avait tourné le regard vers elle, la Balafrée n’avait rien dit.


    Ermelne, nous l’avons dit, sent son cœur s’accélérer lorsqu’elle s’apprête à rentrer là-dedans. Elle a toujours eu cette angoisse d’être désapprouvée par le Très-Haut, quand bien même elle aurait été la plus vertueuse de toutes. Mais si le palpitant jouait à l’instant la cavalcade, il paraît s’être arrêté lorsqu’elle pose son regard azuré sur son frère jumeau ; elle relève la tête, toujours un peu plus haut : elle imite son modèle, celle qu’elle tient dans sa main, à sa droite, la grande ‘Line.

    -« Allons-y.

    Deux mots seulement, qui témoignent de sa force tandis qu’en réalité elle s’agrippe à sa mère pour ne pas flancher ; peut-être que Lanceline en viendrait à tanguer, si seulement elle n’avait pas Yselda à son autre côté pour rééquilibrer le tout. Ce serait drôle, remarquez !


      Et des trois demoiselles, surement la moins tressée c'etait la jeune Yselda, certains parleraient de la candeur de sa jeunesse, du fait qu'elle ne se rendait pas compte encore de la portée de l'acte qui allait se dérouler devant elle . Leurs vies allaient changer du tout au tout au tout et son Père gouvernerait la Bretagne, avec tout ce que cela comportait de devoirs et d'obligations . Tenant la main de sa Mère pour se donner du courage et peut-être lui en donner aussi un peu, elle attendait que les portes s'ouvrent . Et un pas de fait lorsque cela fut fait, puis un autre, pour finir par une marche en remontant la nef . Le regard clair de la jeune fille passait de visage en visage d'une allée à l'autre, sa main resserrant l'etreinte sur celle de sa mère .

      La jeune fille se placa derrière ses parents et tenta de suivre la cerémonie. À sa droite, Aloan, à sa gauche, Ermelne.


    On se retrouve donc, cher lecteur, avec les Dalton placés comme suit : Aur – Ermelne – Yselda – Aloan. Générique. (La narratrice ne s’excusera pas ! non !) Mais restez là ! c’est pas fini ! en fait, ça vient tout juste de commencer.


Elle suivait, attentive. Et, lorsqu’il s’effondra, elle bondit. Comment savoir si elle aimait encore cet homme ? La réponse était difficile à apporter. Mais ce dont elle était certaine, c’est que quelque chose les liait encore. Sinon, lorsqu’il chut, pourquoi son âme à elle aurait suivi ?
Elle accourut auprès de lui alors qu’il se relevait, jouant des coudes pour le rejoindre, ayant hurlé son nom lorsqu’il avait atteint le sol. Il restait son mari, envers et contre tout. Et tous.


RP écrit à six mains -eh ouais maggle !- avec JD Ermelne et JD Yselda.

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Melian.de.ventoux
Nulle objection pour ce qui me concerne. répondit-elle au Messire qui indiquait un endroit où l'installer.

Restait à voir ce que Sa Majesté lui allait en penser... Et elle avait quelques doutes quant au fait qu'il souhaite plier bagages en sécurité, il lui semblait plutôt du genre à coordonner la défense et la riposte avant de se faire soigner. Ce qui n'allait pas leur faciliter le travail...

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--Dantadur
    Les venelles avaient ça de bien qu'il avait pu échapper à la première salve de garde. Pourtant, cette satanée flèche le fait saigner et il a taché le chemin. Il aura du mal à disparaitre. Il entra dans une maison dans la pièce du bas semblait vide. De douleur, il s'assit sur une chaise, espérant que la garde n'y entre pas. Voyant un pichet de vin sur la table, il ne put résister à s'en servir une rasade, avant de verser le reste sur sa blessure, il en retira d'un coup sec la flèche et s'enroula un tissu autour de la cuisse en le serrant fermement.

    Quelques instants, et il pourrait reprendre sa course. C'est à cet instant précis où l'on croyait que l'on était sauvé que le couperet tomba. La porte s'était ouverte d'un coup et un garde entra.


      - Ne bouge pas maraud. Ton compte est bon.

    Ainsi fut interpellé le criminel, ainsi que ses effets. L'enquête allait commencer.
Aur..
Un court instant avant le drame, Aur avait vivement clamé, empli de fierté et plein d'espoir pour l'avenir :

- Vive Sa Majesté Equemont, Grand Duc de Bretagne !

Mais tout avait basculé en un court instant. Il n'avait même pas eu le temps d'apercevoir l'éclat vif de la flèche avant de constater, ébahi, que le corps pourtant bien charpenté de son père penchait en arrière sous un coup qu'il mit quelques instants à identifier. L'empennage disparut quelques secondes plus tard sous la masse qui s'effondrait vers l'avant, et Aur bondit sans plus se préoccuper du reste du monde :

- Père !!

Equemont se redressait tant bien que mal. Il réclamait la couronne, l'air à la fois déterminé et hagard. Aur s'agenouilla devant son père tandis que l'agitation grandissait autour d'eux, on entendait les médecins commencer à donner leurs avis : au moins étaient-ils déjà sur place et pourraient-ils intervenir sur l'instant. Mais Equemont réclamait d'autres personnes auprès de lui...

Pour quelle raison ? Aur se sentit assez inutile, n'ayant nulle connaissance en médecine ni même en soins d'urgence, et ne comprenant pas pourquoi Equement voulait d'abord voir quelqu'un d'autre que les médecins qui pourtant s'étaient hâtés auprès de lui.



Edit pitite boulette ! J'avais pô vu que quelqu'un avait déjà ramassé la couronne. Passage supprimé, donc.

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Roxane.
Trop de courants d'air dans ces endroits et mon point sensible, parmi d'autres, est la gorge
N'ayant plus de voix je préférais ne pas forcer sur mes cordes qui pouvaient encore servir

Des "VIVE SA MAJESTE EQUEMONT GRAND DUC DE BRETAGNE " étaient exclamés autour de moi.

Mais soudain des cris, un mouvement de foule et un Grand Duc qui s'étale perdant la lourde couronne. Dans la panique je me désorientais, j'étais comme à mon arrivée à nouveau bousculée par le monde
Je voyais des visages apeurés et un attroupement se groupait autour d'Equemont. Je cherchais ma mère sans succès, je cherchais quelqu'un vers qui me protéger.
Peut-être ils étaient venus à plusieurs et ce n'était que le début d'une salve de flèches

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"Mon bras et mon âme sont à toi"
Mael.de.kerdraon
J'envoi Aby chercher tout mon matériel au cabinet médical.

Théoden, il nous faut une lame fine a mettre au feux. Le moment venu la lame devra être rougie si possible.

En attendant que Sa Majesté se décide a se faire soigner, j’essaye d'avancer avec la consœur.

Et si nous enserrions la pointe de la flèche entre deux cuillères fines glissées dans la plaie pour la retirer ?
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Theoden.
A la demande de Maël, Il demanda à ce qu'on amène un brasero pour l'occasion. Puis, il prit une dague à couillette d'un de ses gardes et la présenta au médecin.

Cela vous ira-il?
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Melian.de.ventoux
Son confrère s'occupa de mander à leur trouver de quoi chauffer la lame, avec force raison.

Je ne saurai dire sans avoir vu, tout va dépendre de combien la flèche est enfoncée et si elle s'est prise dans un os ou poinct.

Alors que le Messire s'en revenait avec la lame, elle opina positivement du chef et tourna ses prunelles noires vers son confrère pour requérir son avis.
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Annaell
La grande brune auprès de sa fille laisse s'écouler la cérémonie, curieuse de découvrir les différences entre les sacres ducaux dont elle a l'habitude, et ce sacre grand-ducal qui a singulièrement plus de gueule. Les badauds se tiennent mieux, semble-t-il ! Malgré l'intervention inopinée d'un quadrupède velu aboyant... qui fait sourire la vicomtesse. Elle profite de ce moment de distraction générale pour déporter son regard du Grand-Duc vers Roxane, et observer le visage de celle-ci au passage : oui, elle est devenue une vraie jeune fille...

Tout s'accélère lorsque, un court instant après les acclamations de rigueur auquelles Annaell participe comme il se doit, la clameur se transforme : le Grand-Duc s'effondre et l'on comprend qu'il s'est passé quelque chose d'inattendu. Bientôt les cris et les autres réactions laissent entendre qu'il s'agit d'un attentat à la vie de sa Majesté. Il ne faut pas un instant de plus pour que les réflexes de soldat de la vicomtesse reviennent, et que son coeur de mère anticipe en un instant la protection de son enfant : d'une poigne étonnement puissante, elle attrape le bras de Roxane et se place devant elle, presque contre elle, tandis que ses yeux suivent vivement le mouvement des doigts qui désignent les hauteurs d'où vient de s'échapper un assassin bien malin.


- À couvert !

Elle a repéré les autres médecins qui s'approchent déjà du Grand-Duc. Inutile d'avancer elle-même, elle ne pratique plus assez souvent pour être d'une grande utilité, et surtout personne ne la connait. Peu probable qu'on lui fasse confiance dans ce contexte. Mieux vaut protéger sa fille !

- Viens.

Et ni une ni deux, la maternelle poigne de fer entraîne la jouvencelle plus loin vers les murs de pierre, quittant les bancs pour chercher à se rapprocher des murs. Là au moins, on limite les possibilités de se faire tirer dessus par derrière. Annaell a été général d'un duché guerrier, et elle en a quelques bons restes... juste assez pour regretter de n'avoir pas un bouclier sous la main, ne serait-ce que pour le placer au-dessus de la tête de Roxane. Elle tourne d'ailleurs la regard vers elle :

- Tu n'es pas blessée ?

Roxane ressemble à Trilo autant qu'à elle... et Ann boit son visage comme elle boirait à une source de vie. Peut importe en ce moment, égoïstement, ce qui se passe devant l'autel : d'autres sont plus qualifiés qu'elle pour agir auprès du Grand-Duc. Pour une fois, elle protégera sa fille. Pour une fois qu'elle est là.
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    "Ma wrec'h ha ma ene zo evidout.... Mon bras et mon âme sont à toi."
Mael.de.kerdraon
Je jette un œil a la lame.

Ça fera parfaitement l'affaire, merci.

J'avise un page.

Toi va nous chercher autant de linge propre que tu en trouvera, et mes en la moitié a bouillir.

Voyant que le page est tétanisé.

Allez !

On dirait que tout est prêt, reste plus qu'a attendre le bon vouloir du Grand Duc. Je l'admirais de faire montre de tant de force et de détermination, alors que la panique gagnait ceux qui était venu assister a son sacre, il se relevait et devenait un roc auquel tout le monde pouvait se raccrocher.
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Zakarine
Vive sa majesté Equemont, Grand Duc de Bretagne !

Tout comme l'ensemble des personnes présentes dans la cathédrale et même celles qui étaient à l'extérieur, Zakarine se le va et se mit à crier sa loyauté à Equemont, nouveau Grand-Duc. Elle était vraiment heureuse pour lui quand un archer survint et décocha une flèche qui atteignit sa cible. Elle poussa ensuite un grand cri de stupeur. Quem était à terre, blessé! Les yeux grand ouverts, ma main sur la bouche, la Trégorroise ne bougeait plus. Il venait des mires de partout pour s'affairer autour de lui.
La liesse avait laissé place à l'inquiétude.

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Annesolenn_wolback
Anne, impuissante, mais ne se décidant pas à partir, restait auprès des médecins, ne sachant pas si elle pouvait se rendre utile.

Elle se demandait qui avait commandité l'attentat contre le Grand-Duc. Aucun pays étranger n'en voulait suffisamment à la Bretagne pour faire assassiner son nouveau Grand-Duc. Elle avait beau passer en revue dans sa tête, les différents pays avec lesquels la Bretagne avait eu maille à partir, nul ne se détachait du lot comme un coupable éventuel.

Elle secoua la tête, désespérant de trouver la réponse à sa question. Soudain une idée qui lui fit écarquiller les yeux d'horreur, traversa son esprit, le danger venait de l'intérieur. Soudain méfiante, elle lança autour d'elle un regard soupçonneux. Qui, parmi tout ces gens qui, en apparence, se désespéraient de l'état du Grand-Duc, avait pu perpétrer un tel forfait? Ou bien peut-être cet être immonde n'était il pas là, mais tapi dans l'arrière salle sombre d'une auberge nantaise, attendant le rapport de son homme de main?

Anne lança une fervente prière vers le Très Haut, pour que ce rapport ne soit pas favorable.

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Beeky
La pièce était jouée, fort bellement il est vrai, aussi était-il besoin d’y rajouter une scénette qui gâcherait la fête ? C’est en peu de mots ce qui vint à l’esprit de notre vicomtesse qui vécut comme dans un songe l’étrange événement qui se produisit. La chose était irréelle, inconcevable et dénotait tellement de tout cet apparat semblant orchestré avec une précision de métronome qu’elle ne parvenait à donner crédit à ce qu’elle voyait.

En vérité notre dame resta stoïque, comme figée, ne pouvant s’autoriser à croire que le sort de la Bretagne puisse dépendre d’un bout de bois fiché dans la chair humaine un jour de sacre, avec toutes les délégations étrangères en spectateur. L’offense était grande et l’opprobe éclaboussait tout un Grand Duché. La mort plutôt que la souillure, elle ignorait si cela avait encore du sens. Le mieux était de nier ce qui se passait autour d’elle car la maîtrise du pouvoir d’abstraction est sans doute le devoir le plus impératif de la raison humaine.

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Hersent.
Le Grand ambassadeur de France tout à l'écoute des sermons et autres rituels bretons qui la surprenaient toujours un peu, ne réagit pas tout de suite lorsque la couronne grand ducale chut sur les dalles de la cathédrale.
Il faut dire que l'évocation du Saint-Radis, reposant dans un reliquaire des plus raffinés, l'avait laissée un peu... perplexe.

Elle participait donc aux vivats en criant:

Vive Sa Majesté Equemont

Et là, coup de théâtre inimaginable: le Grand Duc s'écroula sur le sol, sa couronne dévissant bruyamment. Affolement général, elle n'eut pas le temps de proposer ses services que l'ambassadeur du Béarn était déjà aux avant-postes. Deux médecins suffisaient pour s'occuper du Grand Duc, elle n'allait pas ajouter à la confusion en rejoignant les soignants.

Elle était aux aguets, le regard balayant les hauteurs, notamment les "coursives" intérieures. Mais que faisait la Garde Grand Ducale??? Elle avait assisté à quelques sacres à Reims et jamais la sécurité avait été prise en défaut.

Hersent, jamais prise au dépourvu, sortit de sa besace de voyage de quoi écrire. Elle envoya Lubin auprès de SE Anne Solenn de Wolback, porteur du billet écrit tant bien que mal:


Citation:
Vostre Excellence,

Je suis également médecin, si je puis être d'une quelconque utilité, faites-moi signe. J'ai toujours non loin de moi ma mallette de médecin.
Que le Très Haut soit auprès de Sa Majesté Equemont.

SE Hersent d'Ar Sparfel


Lubin louvoya jusqu'à l'attroupement autour du Grand Duc et parvint à trouver SE Anne Solenn.

Votre Excellence, Son Excellence Hersent m'envoie vous remettre ce billet.

Ce faisant, il tendit ledit billet plié en deux au Chambellan breton.

Pendant ce temps, Hersent chercha du regard, la tête tournée vers le fond de la cathédrale, la Vicomtesse Beeky qu'elle avait croisée lorsqu'elle descendait la nef pour rejoindre le banc des diplomates étrangers.
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Duchesse de Montivilliers, Vicomtesse de Cheylannes et de Vignory, Baronne de Vissac et Dame de Maizières
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