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[RP] La cérémonie à la Basilique de Chambery

Heimdal
Après quelques jours de voyages, la famille von Strass avec leur suite se sont installés
afin de pouvoir se préparer à la cérémonie dont ils ont eu chacun leur invitation personnelle.
Bref, il fallait passé par le bain afin d'enlever la poussière accumulée durant le voyage et
ensuite se pomponner pour être présentable pour le mariage. Les deux amoureux étaient
vraiment heureux d'être présent sans la présence de leurs petits Chenapans.
Le couple ducal semblait alors être prêt.


Ma douce et chère épouse, es-tu prête ? pouvons nous prendre la route pour l'église ?
il faut lentement aller sinon on va être en retard.


Cela semblait le cas, mais il préférait s'assurer. Le duc attendait tranquillement devant la
porte où au même moment le cocher toqua à la porte de la chambre pour dire
que le carrosse était prêt.

oui, oui,.... on arrive...

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Lisa_luserna
Non d'un bouquetin j'ai rien à me mettre!

Elle avait essayé une, deux , trois.. douze robes au moins et avait fini par remettre la première .. forcément. Sa femme de chambre n'osait plus ouvrir la bouche pour émettre un son tant la jeune blonde était passé par tous les modes. Petit volcan savoyard ...

"Lisa, mon ange, êtes-vous décente? Nous allons bientôt devoir y aller si nous ne voulons pas arriver en retard mon coeur"

Instantanément calmée par la voix chaude de son barbu, la blondinette respira un grand coup pour se calmer et jeta un dernier regard à la psychée alors que la porte de sa chambre s'ouvrait.

Aprés s'être retrouvés comme deux jeunes fiancés peuvent le faire les voila partis bras dessus bras dessous pour THE mariage de l'année.
Depuis le temps que Lisa en avait entendu parlé , sa vie avait changé radicalement et elle se félicitait de cela en arrivant au bras de Pygaer, rayonnante de joie et de bonheur enfin trouvé.

Elle laissa Pyg la guider à travers la foule déjà présente, en cherchant du regard quelques visages amis.

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Melisende.


Comme par magie il y avait des volcans en éruption ce matin la en Savoie à deux endroits distincts mais pas si éloignés, mais qui faisaient trembler les montagnes. Ce jour là, à challes la princesse courait partout en chaisne. Une pièce deux, trois, une mâle, deux, dix et toujours rien, pas de robe qui allait avec son rang et l'evenement. A ton deja vu la suzeraine du marié habillée comme une vache ? Nenni ! Elle osa un hurlement de rage, puis lui vint alors une idée. Mariage de nerval, qui dit Nerval, dit Elisabelle.

Et la lumière fut. La princesse avait decouvert l'electricité. Elle ne doutait pas que la dame d'Allos aurait la solution à ses problèmes et ce fut le cas. Une conservation discrète échangée et voila la princesse fin prête à paraitre.




De bonjour en signe de tete, le stresse était redescendu. C'est quelques temps apres, que la jeune duchesse de Luserne lui présenta un cousin. Elle lui adressa un sourire et par politesse se retient de rire.

Bonjour, je suis Mélisende enchantée


Au loin elle appercu Lisa et Pygaer, La princesse se risqua un signe de main pour les faire venir à eux.

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Catonlecenseur
Et rebelote, en route pour la montagne!

Il n'avait jamais autant fait le chemin vers la Savoie qu'en ce moment. Mais cela ne le gênais pas, non, nullement. Et les quelques jours passés en amont à Beuil avait revigoré le lorrain. Lui qui se sentait las retrouvait un peu d'allant grâce aux cousins Vandimion. Se fut donc avec grand plaisir qu'il se rendrait au mariage de Nerval et Victoire. Comble de bonheur pour lui, il faisait la route depuis Epinal, ou il était remonter, avec Elenna. Ah, Elenna...
Dans le genre "je t'aime-moi non plus-enfin surtout plus toi que moi-casse toi pov' c..!", ils se posaient là. La Louve avait des envies d'ailleurs, l'Antique aussi, l'un avait le Marquis pour parrain l'autre pour cousin.
C'est donc bras dessus, bras dessous, fier comme Artaban, qu'il se présenta sur le parvis de la cathédrale. Pour l'occasion, et malgré son voeu, il avait délaissé sa robe de bure et ses caligulae. Une belle chemise en soie, un col de fourrure doublé en hermine bretonne, cadeau de son épouse dans du tissu offert par une amie, des braies mauves, et tout un bardas qu'il ne sortait que très rarement, et que pour les plus belles réceptions.

Dévissant de tout et de rien avec la blonde qui jouait les muettes - toujours aussi tetue, l'Elenna!- le brun observait la foule grossir. Cela lui rappelait son propre mariage, et il eut un gros pincement au coeur. L'une des seuls Vandimion absente...

Il chassa cependant l'image de sa tete pour offrir à Hector, dans un coin de la cathédrale, quelques caresses de bon coeur.
Arwenn1
Le monde arriva au fur et à mesure. Perdue dans ses pensées une voix la fit sursauter. Levant son regard elle reconnue sans peine Pierre Von Kolspinne. Ses paroles lui firent hocher la tête en signe d'étonnement.

Bonjour Pierre. Je me porte comme toujours ma foi. Qu'est-ce qui pourrait te faire penser que ma santé ne serait pas bonne?


se faufilant près d'eux une des filles d'arial vint la saluer accompagnée d'un jeune homme qu'elle leur présenta comme son oncle. Observant toujours Pierre du coin de l’œil pour voir s'il allait répondre à sa question la jeune femme répondit à la toute jeune fille et son oncle.


Bien le bonjour Damoiselle Floriana. Nous nous rencontrons enfin et pas uniquement par courrier.
Enchantée Messire Erdrinn. Je suis Arwenn de Bouvignes, cousine par alliance du Comte Pygaer de Bouvignes et accessoirement Vicomtesse de Faucon.
Hersent
Que dire de ce voyage de noces vers la Savoie sinon qu'il fut délicieux et plaisant. Elle avait pu emporter le nombre de malles qu'elle souhaitait, elle avait sa réserve de macarons et la compagnie de son époux qui était des plus imaginatif quand il s'agissait de ... euh... puis flûte vous ne saurez rien de plus.
Adoncques, ils avaient pour eux seuls le carrosse ducal, celui d'Arthur suivait plus loin ou était devant, elle ne savait plus trop. Son fils avait pour mission de veiller sur Laure Victoire: il avait intérêt de la mener à bien s'il voulait échapper aux remontrances maternelles. En parlant des deux jeunes gens, ils n'avaient pas fait halte avec eux la veille. Diable, où étaient-ils?

Mettant de côté son interrogation, elle suivit son époux dans le coin qui leur avait été attribué: un joli coin de paradis où les tourtereaux pouvaient roucouler à loisir. Sauf que la Duchesse était en plein atermoiement. Que mettre? D'autant qu'au départ il avait été dit qu'ils seraient en bleu tous les deux et Jason arborait une tenue mariant le marron au rouge profond. Tout en examinant ses malles elle répondit à son époux:


Mon tendre et doux ami, je doute que la tradition savoyarde soit identique à l'auvergnate. Pourtant, quelle allure majestueuse peut avoir un baudet, tant de noblesse oubliée alors que l'âne a porté la mère de Christos lors de son long périple, alors qu'il a réchauffé de son souffle, Christos dans l'étable où il fut mis au monde.
Je suis loin d'oublier mon arrivée triomphale à la Chapelle.
Même si Victoire n'arrive pas sur un âne, je suis certaine qu'elle nous étonnera au plus haut point.


Elle montra à Jason la tenue sur laquelle elle avait jeté son dévolu: une création des plus originales d'un jeune couturier prometteur.

Jason, très cher amour, que pensez-vous de cette robe? So chic n'est-ce pas?

Comme il semblait apprécier, elle s'éclipsa dans la pièce attenante où Laure Victoire put l'aider à se vêtir. Elle rejoignit son seigneur et maître et ils partirent pour la basilique.



Elle avait fait parvenir à Victoire un ruban bleu qu'elle nouerait où elle le souhaiterait.

Au bras de Jason, elle saluait des gens qu'elle ne connaissait pas, pour la plupart d'entre eux. Elle aperçut Sa Majesté Impériale Elias, entourée de sa garde impériale. Quelle prestance, elle était heureuse de le savoir à la tête de l'Empire.

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Duchesse de Montivilliers, Vicomtesse de Cheylannes et de Vignory, Baronne de Vissac et Dame de Maizières
Carmody
"Il est des appels impérieux que même le Sage ne peut ignorer."
Charles Martial de Tartasse, Réflexion sur une lettre Meringuée.


Un retour en Limousin.. Le Roux avait il vraiment penser pouvoir y resté longtemps avant que le monde se souvienne de son absence? Parfois il nourrit des espoirs de jeune premier encore... mais cette fois c'était telle une libération qu'il trouvait une raison de briser un temps sa séquestration nouvelle. Un simple semaine avait passé depuis qu'il avait retrouver les pénates de Limoges, celles là même qu'il avait chercher a oublié durant deux longues années et maintenant il reprenait la Route pour les contrée de l'est et les festivités sanctionnant son amie d'un lien réfléchi et attendu.

Le temps semble toujours passer bien trop vite quand l'on a de quoi occuper ses pensées et le voyages lui sembla bien plus court dans ce sens. Le carrosse s'arrêtait déjà sur les terres Savoyardes et lui devaient descendre pour honorer une fois de plus par sa présence les esprits de si chère amie.

Mais une fois n'est pas coutume, Charles avait décidé de faire dans l'austérité pour l'événement. Point des grande vêture, point de clinquant mantel, seul fantaisie qu'il s'était accord était son épingle d'émeraude (Manufacture de le Roche, c'est important).

Avançant vers la Basilique d'un pas décidé, le Baron jetait des regard autour de lui. Que le Sans nom le pardonne, il se rendait compte avoir vraiment perdu l'habitude de tel festivité mais il ne pouvait.. .non il ne voulait raté le Mariage de la Bien-Nommée.

La tête haute, le Buste fier et son éternel sourire d'enfant sur el visage, Charles se mêla à la foule des invité.


Que vive la Sagesse pour le plaisir de sens.
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Julien_giffard
Petit billet qui vint le trouver à Vincennes où il se préparait à accueillir le Couronnement de Sa Majesté Lafa quelques jours après le mariage de sa fille... Son épouse le prévenait qu'elle prenait au plus vite la route pour rejoindre Victoire afin d'être présente à ses côtés pour la dernière ligne droite. Et qu'elle lui laissait leur fils à sa garde.

Le Grand Ecuyer de France poussa un petit soupir en lisant ce billet de Perrinne. A tous les coups, cela voulait dire qu'elle lui avait laissé le carrosse d'apparat qui serait plus confortable pour le transport du petit Vinkolat. Sauf que cela voulait dire que le trajet serait plus long. Un oeil jeté par la fenêtre de son bureau à Vincennes lui confirma ses soupçons, un carrosse stationnant déjà dans la cour...

Julien rejoint donc l'équipage qui l'attendait et en profita pour embrasser son fils. Il leur demanda de prendre la route avec le gros de l'escorte afin d'arriver dans les temps. Il les rejoindrait à son tour à cheval durant le trajet, sa charge exigeant encore un peu sa présence à Paris. Après avoir fait promettre à Vinkolat de rester sage avec tata Saku et tonton Coleen, le chevalier regarda le cortège s'éloigner. Julien ne pu s'empêcher de croiser secrètement les doigts en espérant que tout se passe bien, sinon la Grande Amazone et le Grand Maitre des Chevaliers de l'Aube ne manqueraient pas de le lui rappeler... En même temps, il n'avait pas non plus trop insisté et la discussion, aux allures de marchandage, n'était qu'une bonne plaisanterie entre eux.

Ce n'est que le lendemain qu'il prit à son tour la route avec ses quelques gardes. Il ne rejoint le cortège que deux jours plus tard et, en fut pour ses frais. Son fils lui interdit de monter dans le carrosse tout sale de la route qu'il était. Il ne pu que remarquer les sourires goguenards de tata Saku et tonton Coleen et Julien se demanda s'ils n'avaient pas préparé cette blague tous ensemble. Suspicieux, il poursuivit donc le chemin, chevauchant à côté du carrosse.

Après une nouvelle nuit dans une auberge, Julien pu se décrotter et se vêtir convenablement pour poursuivre sa route aux côtés de ses amis et de son fils. La bonne humeur qui régnait entre eux s'assombrissait plus ils s'approchaient de zones où ils avaient combattu dans un passé récent. Chacun d'entre eux échangea des regards avec les hommes et femmes qui composaient leur escorte et tous communièrent ensemble, silencieusement, en mémoire de celles et ceux qu'ils avaient perdu. Heureusement que l'enthousiaste Vinkolat leur apportait du réconfort.

Ce n'est que la nuit tombée que leur équipage arriva au château de Beuil et qu'ils se firent annoncer par le capitaine de la garde. Chacun gagna alors les appartements qui lui avaient été réservés. Julien laissa ses amis non sans les avoir convié à faire route demain avec eux jusqu'à la basilique. Et non sans leur avoir rappelé qu'ils n'auraient pas le droit de porter d'armes durant la cérémonie... Les connaissant, Julien mit sa main à couper que les deux allaient grogner une bonne partie de la soirée.



[Jour J]

Après avoir retrouvé son épouse dans la nuit, tous deux s'étaient répartis les rôles. Perrinne s'occupait de Victoire et lui de Vinkolat. A bien y réfléchir, il n'était pas convaincu d'avoir fait une affaire dans cette répartition parce que le petit était monté sur ressorts depuis son levé. Le GEF avait hésité un instant à le lâcher dans la chambre de tata Saku pour lui faire un réveil en fanfare mais, allez savoir pourquoi, il s'imaginait déjà courir dans les couloirs pour échapper à une Grande Amazone en furie.
Après la séance d'habillage, Julien se résigna à prendre sa couronne de prince et à la porter. Aujourd'hui était jour de fête et de cérémonie officielle, il fallait bien ce qu'il fallait...

Après moult péripéties, Vinkolat et Julien retrouvèrent Perrinne et Victoire pour monter dans le carrosse aux armes de la famille Giffard. Dire qu'il était ému de voir sa fille ainsi vêtue et prête pour le grand jour, serait un euphémisme. Durant tout le trajet, il se contenta de serrer la main de sa fille et de lui sourire, peinant à trouver les mots appropriés.

Arrivés sur le parvis de la Basilique, Julien descendit puis tendit sa main pour que Victoire la prenne, l'interpellant de manière très protocolaire.


Si Sa Grasce Victoire Giffard de Gisors Breuil veut bien me faire l'honneur?

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Carensa.


Dans la chambre à Chambery

Le mariage de son frère..et de sa marraine.

Elle devait y aller, elle n'avait pas vraiment le choix. Pas que c'était une contrainte, elle était si heureuse pour tous les deux, mais il fallait le dire, les mariages c'était chiants à mourir. Entre l'attente des mariés, le blabla du cureton et le reste, ils n'allaient pas se marrer et depuis quelques semaines la rousse ne faisait que ça..rire. Ca lui faisait tellement de bien, qu'égoistement, elle ne voulait plus s'en priver.

Assise sur la chaise, pied posé sur le baquet, elle ajustait ses jarretières, pensive. Son mariage..le sien à elle, elle ne rêvait que d'être avec lui, sans chichis. Jetant un coup d'oeil au psyché, un sourire éclaira son visage, c'était décidé, son mariage à elle, ce serait témoins, parents et basta..on mangerait sur l'herbe et voilà, après tout, l'important n'était ce pas d'avoir ceux qu'elle aimait à ses cotés ? Et selon les personnes et bien oui, le cercle était réduit..très réduit..très très très réduit.

- Verra t'es prêt ?

Un coup d'oeil par la porte de la chambre pour vérifier que son compagnon, enfin fiancé..bon elle n'avait pas encore la bague et surtout l'accord de son frère mais ça ne saurait tarder, était prêt.

Elle sourit en le voyant installer dans le fauteuil, pieds sur la petite table à mater ce qu'il se passait dans la salle d'eau.

Il était beau comme un diable a qui elle avait encore envie de faire l'amour..l'Insatiable il l'avait surnommé, et on ne lui demanderait pas pourquoi. A voir les yeux pétillants de la rousse à chaque fois qu'il se trouvait dans les parages, nul doute que ces deux là partageaient bien plus que des parties de cartes les jours, les nuits.

- J'imagine qu'il va y avoir du monde, pis du beau monde en plus, ils vont tous être coincés, ça me fatigue d'avance hein. Je vais devoir faire des courbettes et des ronds de jambes piouff..je crois qu'en vrai ça me fatigue un peu tout ce manège. Tu crois que je suis obligée dis ? Après tout, personne me connait..si je me fiche dans un coin, à l'abris de tout le monde, personne me verra et j'aurais besoin de parler à personne, juste faire acte de présence pour Nerval et Victoire.

Elle se plaça devant la porte, mains occupées à parfaire le chignon que la chambrière venait de terminer et à ajuster la couronne.

- Je suis contente pour Nerval et Victoire, ils méritent tu sais, ils ont vécu tellement de trucs difficiles. Marraine doit être excitée comme une puce.

Elle sourit à son compagnon puis regarda dans le fond de la chambre.
- Je suis certaine qu'ils vont être ravis de leurs cadeaux, enfin Nerval c'est sûr !

Un rire cristallin retentit dans la chambre, elle avait hâte de voir la tête de son frère et de l'entendre bougonner.

Elle s'approcha de son brun et tourna sur elle même



- Elle est juste sublime cette robe, Gauttier est chic de me l'avoir faite !

Un sourire enfantin se dessina sur le minois avant qu'elle ne vienne se pencher sur le fauteuil pour prendre ce dont elle avait terriblement envie aux lèvres de son amant.



Sur le parvis

Verra passa devant et l'aida à descendre du carrosse apprêté par Beuil. Pas question de venir à cheval, Nerval l'aurait juste tué.. Et puis l'avantage du carrosse c'était ..on passe les détails ?

Elle lissa l'étoffe soyeuse de sa robe by « Gauttier », un cadeau de son collègue et non moins ami couturier, oui la Vicomtesse se la pète parfois, surtout en matière de vêtements. Elle réajusta discrètement le bustier, glissa les doigts nerveusement sur le médaillon de sa mère et celui des Vandimion. Il était temps d'y aller, et si Anaïs était le vilain petit canard de la famille, aujourd'hui elle n'avait pas d'autre choix que de se tenir à carreaux..
- On va saluer tes cousins peut être ? Je vois qu'ils sont là enfin je vois son Altesse Yselda, le Comte ne doit pas être loin.

Elle allait partir lorsqu'elle se retourna vers le carrosse et regarda le cocher

- Faites gaffe hein, aucune porte ne doit être ouverte, aucun courant d'air..la banquette, les tentures toussa..z'aiment pas hein

Elle adressa un vif sourire au cocher qui ne comprit rien à son charabia mais répondit poliment « tout sera fait selon le souhait de sa Grandeur ».

Elle leva les yeux au ciel..sa Grandeur, du haut de ses 1m50..oueh tu m'étonnes, si la taille se résumait à la taille des terres détenues, les chevaux sauvages seraient les Roys du monde..

Elle attrapa le bras de Verra, glissa un baiser dans le creux de son cou et ils se dirigèrent vers la basilique.
- Tu te tiens bien hein..

Pourquoi venait elle de lui poser cette question ? Elle savait que c'était peine perdue et intérieurement en riait déjà..

Son regard se déporta alors sur le coté et elle stoppa net son avancée, un carrosse venait de s'arrêter devant la basilique et les armes ne laissaient aucun doute sur qui se trouvait à l'intérieur.

Tirant doucement sur le bras de Verra elle murmura

- Dépêche toi c'est marraine !!!

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Anya_de_puycharic

    A la bourre ? Non. Jamais.
    Bon, d'accord, la dernière fois, elle l'était un peu, mais elle avait des circonstances atténuantes, c'était pour le bien de la mariée et puis... elle n'était pas seule dans la galère Giffardienne.
    Mais là, tout ne pouvait que bien se passer puisque c'était le mariage de son acolyte et que du coup, aucune crainte à devoir courir à droite, à gauche. Elle n'était ni témoin, ni demoiselle d'honneur, donc a priori bien plus de tranquillité qu'au mariage précédent.
    Quoique, une des devises familiale, autre que le "Semper paratus servio" était "on est pas sortis du sable".
    Rester sur ses gardes, donc !

    Anya arriva sur les lieux du crime où s'amassait déjà du beau monde. Quelques rares têtes connues, sans doute de la famille dans le coin puisque l'on mariait ce jour une Giffard.
    Il faudrait fêter cela au-delà de tout ce que l'on pouvait imaginer car de toutes les Giffard en âge de, Victoire serait la dernière à se marier. Anya avait abandonné cette idée depuis bien longtemps.

    La jeune femme était accompagnée de son aînée mais n'avait pu voir la future épousée avant le grand saut, toutefois elle ne pouvait qu'espérer qu'elle aurait bien sur elle le fameux bleu, le neuf... et elle aussi aurait du vieux. Eh ouais, à son bras, comme Hersent la dernière fois, sauf que Hersent, elle l'avait épousée, le vieux.
    Là, Victoire l'aurait juste à son bras pour l'amener devant l'autel et d'ailleurs Anya venait de l'entrapercevoir, son frère.
    Elle voulut aller l'embrasser, depuis le temps....mais il venait de tendre le bras à la future mariée, signe que les réjouissances allaient commencer.

    Choupinettes blondinettes iraient bisouiller tout ce beau monde une fois la cérémonie terminée. Pour l'heure...
    Rester sagement dans leur coin. Il y avait déjà à faire à "présenter" discrètement à Margot les têtes connues qu'elle avait pu apercevoir.

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Hector1er


Moi qui fièrement pensais être l'attraction du mariage avec mon collier de pierres je n'avais pas assez de mes deux yeux pour détailler chaque bijou aux mains et au cou de ces dames.
Du coup je me sens idiot de rester là, mais quand une dame m'octroie une gratouille je me sens de suite heureux alors je m'étire et tourne sur moi-même avant de reprendre ma place et dire bonjour au messire Caton que j'ai déjà vu à Beuil.
J'en suis toujours à surveiller l'arrivée de Victoire, et si Nerval rapplique je me cache derrière le pilier. Mais surtout, surtout je ne dois pas rater le Cardinal, car si j'arrive à capter son regard je lui demanderai de me laisser entrer dans la Basilique.
Il parait qu'il aime les canards, il aimera sûrement les chiens...Tiens voilà une autre Giffard, je frétille un peu pour qu'Anya me repère quand tout à coup....
Oh mon dieu !... je crois que Victoire arrive.
Perrinne
-- Dans la "cariole" la plus importante du jour : celle de la mariée --


    J'espère que Pru aura recu mon message, ainsi serons nous au complet !


    Sourire aux lèvres qu'elle avait la blonde normande de retrouver époux et gamin, fille adoptive et petits enfants du meme sang. Presque toute la troupe Giffard/Gisors. Joie et allegresse, c'etait bien trop rare.

    Vic semblait à peu près - à peu près on a dit - plus sereine. Mais entre sauterelle et coccinelle, on se comprenait. Un peu, beaucoup, à la folie et parfois pas du tout. Mais le pas du tout était au placard ce jour là.
    C'est donc une famille en pleine forme et joyeuse qui arriva au lieu de la noce.
    Laissant les honneurs à son époux et à sa fille, elle s'effaca, attrappant son ouistiti de gamin de 6 ans sous le coude et lui soufflant.


    C'est toi mon cavalier pour entrer dans l'Eglise. Ton père est pris. Alors attention, ma traine est lourde, je compte sur toi pour me guider.

    Magie du moment ? Faut pas chercher, mais le gamin se montrant fier comme d'Artaban gonfla le torse et escorta sa mère.
    "Au pire, je le refile à Saku pour qu'elle s'entraine", se dit-elle in petto.
    Et rejoignant la place qui lui avait été attribuée, en attendant que Julien vienne les y retrouver, elle salua toutes les tetes connues.


    Sur elle glissait la douceur du tissus luxueux de sa jupe, privilège de princesse. Et apparemment sa couronne n'avait pas trop subit sa derniere chute....


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Nynaeve87
Le porche franchi, la brune devint aveugle et dut cligner les yeux plusieurs fois pour s’habituer à l’éclairage peu lumineux de la basilique. C’est donc les paupières à mi-closes qu’elle embrassa l’assistance déjà présente. Diantre, où allait-elle s’asseoir ? Pas de pupitre de héraut pour se cacher…

Replaçant sa mèche rebelle d’un geste porté par l’habitude, elle inspira en faisant quelques pas de plus quand elle entendit une voix connue à ses cotés. Surprise? Pas vraiment. Victoire était sa vassale… Son regard s'agrandit pour l'observer un instant s'inquiétant de ne pas apercevoir sa garde à minima...


Oh ! Bien le bonjour Madeleine, si j’avais su nous aurions pu voyager ensemble. Vous êtes venue toute seule ?

Puis se rappelant qu'elle était pour l'occasion habillée en vicomtesse, ce qui était assez rare...

Euh… Merci… c’est vrai que j’ai remisé mon tabard aujourd’hui… vous êtes vous même très jolie, comme toujours… J’imagine que votre futur époux n’est pas loin…

Tout en discutant, Nyna regardait toujours la nef qui s’emplissait se questionnant encore plus maintenant qu’elle était au cotés de la Duchesse du Lyonnais-Dauphiné.
Où allait-elle s’asseoir…

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Elias.
L'Empereur sourit légèrement de son côté, saluant aimablement le jeune Chenot et son accompagnatrice lorsqu'ils se présentèrent à lui d'un inclinement du front, lui faisait bien saisir qu'il n'y avait point d'impair à ses yeux, huit ans avant il était à sa place, jeune homme à la blondeur et au teint pur comme un ange, cela avait laissé la place à ce qu'il était aujourd'hui.

Il salua de la même manière son ancienne sénéchal. Il semblait que des têtes bien connues de la Francophonie se soient appréciées autour de cette union qui était fort particulière, mais qui était sans nul doutes une des meilleures. Nerval, le marquis dont l'arbre était en déplacement continu s'était enfin fixé, et à moins qu'une noix ne l'assomme lors de ses lectures liturgiques il devrait bien rendre vœux aujourd'hui.

Nerval et l'amour lui semblait cette même relation qu'il entretenait avec le travail, insatiable, inarrêtable, peut-être ce mariage serait le prémisse d'une longue vie, différent de la précédente qu'il menait dans les hésitations, il l’espérait vivement pour sa conjointe, il l'appréciait, et plus encore appréciait son esprit.

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Pygaer_de_bouvignes
Tandis qu'ils traversaient la foule qui devenait de plus en plus dense chaque seconde, Pygaer réservait toute son attention à sa chère Lisa qui découvrait de plus en plus rapidement les us et les coutumes à respecter au sein de la noblesse. Elle qui était plutôt habituée au grand air et au calme de la campagne, voici qu'elle devait se mêler au gotha de la noblesse tant impériale que provinciale qui s'était déplacé en grand nombre pour célébrer le mariage de deux personnalités connues un peu partout.

De temps en temps, il jetait cependant un regard sur la foule afin de voir s'il ne reconnaissait personne

C'est à cette occasion qu'il vit Son Altesse Mélisende leur faire signe de venir près d'elle

il baissa donc la tête pour murmurer à l'oreille de Lisa


"Ma douce, Son Altesse Mélisende nous demande de la rejoindre" lui dit-il dans un souffle.

Glissant le bras de Lisa sous le sien, ils se dirigèrent donc vers Son Altesse Mélisende, non sans saluer au passage les gens qu'ils connaissaient

Apercevant au loin le nouvel empereur du SRING, Pygaer se promit d'aller le saluer dès qu'il aurait un instant de libre.

Arrivés près de Mélisende, Pygaer s'inclina devant elle


'Votre Altesse, puis-je vous être utile" demanda-t-il tout en attendant la réponse.

A son bras, il gardait son précieux trésor de peur de la perdre dans cette foule immense

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Comte Impérial de Horne, Vicomte de Roubion, Seigneur de Bouvignes
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