Coleen_de_colmarker
Sur la route
[Parce qu'il faut avancer...]
Installé confortablement dans le coche avec Saku et le fils de Julien, nous nous éloignons de Vincennes.
Le GEF, avait osé nous confier son chiard. Si si il l'avait fait. Je commençais à en avoir l'habitude, chaque fois qui y avait des gosses c'était pour ma trogne. Ca me servait à quoi d'être géant vu que je faisais même pas peur aux gamins?
Bref on était donc coincé qui plus est dans un carrosse alors qu'on aurait préféré galopé. Mais bon il fallait bien rendre service aux amis quand c'était nécessaire.
Donc on emprunta une chaussée bien droite ce qui évitait de nous faire secouer dans tous les sens, en direction de Chambéry où devait avoir lieu les noces de Victoire Giffard et Nerval de vandimion.
Je n'avais pas la chance de connaître grand monde, ce n'était pas vraiment mon milieu, mais ces derniers mois j'avais appris à découvrir Julien et j'appréciais l'homme. Comme quoi il fallait toujours se faire sa propre opinion et pas écouter les on dit à la con. Ca évitait bien des désillusions. Et elles n'avaient pas manqué dans ma vie ces dernières durant l'année écoulé. Un bien pour un mal d'ouvrir les yeux sur les gens à qui j'avais voulu faire confiance. Une leçon de vie. Vous avez des gens qui rentrent dans votre vie en tant que bénédiction d'autre en sorte en tant que leçon.
Bref, cette route était en bien meilleur état que beaucoup d'autres, inondées ou boueuses. Sous nos yeux s'étalait un paysage de verdure et de début d'automne ou ça et là quelques touches rouilles commençaient à pointer leurs nez.
On pu apercevoir les silhouettes rassurantes de moulins à vent ce qui nous donnèrent matière a expliquer au gamin comment cela fonctionnait.
On longea des bois denses et on prit bien garde de ne pas s'y aventurer, les coquins et autres cafards y proliférant comme la mauvaise herbe.
On ne fit aucune mauvaise rencontre, mais le temps s'était singulièrement rafraîchi en approchant de notre destination. Plus nous approchions et plus des éclats de voix et mille autres petits échos d'une grande animation nous parvenait.
Le castel de leur ami était en vue et nous avons pu enfin rendre cette enfant à sa famille. le pauvre avait du se demander qui étaient ses deux vieux à qui on l'avait confié.
[Le grand jour....]
Mariageeeeeeee
Et une nuit de repos plus tard, dans la chambre qu'on a gentillement mit à notre disposition nous en sommes à nous préparer.
Les femmes et leur toilette ce n'était pas une sinécure pour nous pauvres hommes.
Alors que j'étais déjà prêt depuis des heures, attendant, un verre à la main, que Saku daigne se magner le popotin, elle finit enfin par apparaître.
Hum... Tu es enfin prête?
Et là là horreur, malheur je vis rapidement qu'elle avait la coiffure de la fille à Hagrid, donc qu'il y en avait encore pour un petit moment pour que ça ressemble à quelque chose.
Prenant une longue inspiration et le plus calmement du monde je lui dis :
Prend tout ton temps, autant que tu désires, mais fais vite quand même. Ta coiffure te vas à ravire tu ne devrais rien changer.
Et la je partis dans un fou rire alors qu'elle claquait la porte pour aller se faire coiffer, faute de pouvoir me claquer le groin comme elle aurait tant aimer le faire...
Ben oui avec les femmes il fallait un certain doigté, tout un art que je maitrisais pas trop mal. J'étais doué pour leur parler. Enfin comme tout homme c'est ce que j'imaginais.
Et enfin elle apparut. Coiffé, paré, et en beauté. Je lui souris et lui tendis mon bras.
C'est ainsi qu'on fit notre entrée dans la cathédrale et que nous allions nous poser discrètement dans un coin de banc.
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[Parce qu'il faut avancer...]
Installé confortablement dans le coche avec Saku et le fils de Julien, nous nous éloignons de Vincennes.
Le GEF, avait osé nous confier son chiard. Si si il l'avait fait. Je commençais à en avoir l'habitude, chaque fois qui y avait des gosses c'était pour ma trogne. Ca me servait à quoi d'être géant vu que je faisais même pas peur aux gamins?
Bref on était donc coincé qui plus est dans un carrosse alors qu'on aurait préféré galopé. Mais bon il fallait bien rendre service aux amis quand c'était nécessaire.
Donc on emprunta une chaussée bien droite ce qui évitait de nous faire secouer dans tous les sens, en direction de Chambéry où devait avoir lieu les noces de Victoire Giffard et Nerval de vandimion.
Je n'avais pas la chance de connaître grand monde, ce n'était pas vraiment mon milieu, mais ces derniers mois j'avais appris à découvrir Julien et j'appréciais l'homme. Comme quoi il fallait toujours se faire sa propre opinion et pas écouter les on dit à la con. Ca évitait bien des désillusions. Et elles n'avaient pas manqué dans ma vie ces dernières durant l'année écoulé. Un bien pour un mal d'ouvrir les yeux sur les gens à qui j'avais voulu faire confiance. Une leçon de vie. Vous avez des gens qui rentrent dans votre vie en tant que bénédiction d'autre en sorte en tant que leçon.
Bref, cette route était en bien meilleur état que beaucoup d'autres, inondées ou boueuses. Sous nos yeux s'étalait un paysage de verdure et de début d'automne ou ça et là quelques touches rouilles commençaient à pointer leurs nez.
On pu apercevoir les silhouettes rassurantes de moulins à vent ce qui nous donnèrent matière a expliquer au gamin comment cela fonctionnait.
On longea des bois denses et on prit bien garde de ne pas s'y aventurer, les coquins et autres cafards y proliférant comme la mauvaise herbe.
On ne fit aucune mauvaise rencontre, mais le temps s'était singulièrement rafraîchi en approchant de notre destination. Plus nous approchions et plus des éclats de voix et mille autres petits échos d'une grande animation nous parvenait.
Le castel de leur ami était en vue et nous avons pu enfin rendre cette enfant à sa famille. le pauvre avait du se demander qui étaient ses deux vieux à qui on l'avait confié.
[Le grand jour....]
Mariageeeeeeee
Et une nuit de repos plus tard, dans la chambre qu'on a gentillement mit à notre disposition nous en sommes à nous préparer.
Les femmes et leur toilette ce n'était pas une sinécure pour nous pauvres hommes.
Alors que j'étais déjà prêt depuis des heures, attendant, un verre à la main, que Saku daigne se magner le popotin, elle finit enfin par apparaître.
Hum... Tu es enfin prête?
Et là là horreur, malheur je vis rapidement qu'elle avait la coiffure de la fille à Hagrid, donc qu'il y en avait encore pour un petit moment pour que ça ressemble à quelque chose.
Prenant une longue inspiration et le plus calmement du monde je lui dis :
Prend tout ton temps, autant que tu désires, mais fais vite quand même. Ta coiffure te vas à ravire tu ne devrais rien changer.
Et la je partis dans un fou rire alors qu'elle claquait la porte pour aller se faire coiffer, faute de pouvoir me claquer le groin comme elle aurait tant aimer le faire...
Ben oui avec les femmes il fallait un certain doigté, tout un art que je maitrisais pas trop mal. J'étais doué pour leur parler. Enfin comme tout homme c'est ce que j'imaginais.
Et enfin elle apparut. Coiffé, paré, et en beauté. Je lui souris et lui tendis mon bras.
C'est ainsi qu'on fit notre entrée dans la cathédrale et que nous allions nous poser discrètement dans un coin de banc.
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