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[RP] "Au boudoir de soi" maison close

Sorsha



Soit j'ai oublié, soit tu ne t'es pas présentée, mais dis moi jolie rousse, quel est ton prénom ?
-je m’appelle Sorsha ou crinière de feu.

Lui repondit t-elle en souriant.

J'ai passé un bon moment, vraiment. Nous verrons pour la suite ce que décide dame Ursula, avant de passer à l'étape suivante.
-ok, pas de problème, tout le plaisir fut pour moi. J'aime les femmes encore plus que les hommes et tu est vraiment ravissante.
--Dario_di_gusto
Dario devait montrer de quoi il était capable, Lucette devait recevoir du plaisir et être entièrement satisfaite. Ne rien omettre, avait-elle dit. Sourit en coin, il écarta la table légèrement et s’assit devant Lucette. Il prit son temps pour enlever chacun des boutons qui retenaient l’ouverture de sa chemise. Il est important de ne pas aller trop vite mais faire preuve également de spontanéité. L’introduction des ébats commence par les préliminaires, aussi pour que l’envie n’atteigne le paroxysme il faut commencer par des caresses, des baisers par moment des léchouilles toujours ne pas aller trop vite , la clef est la ,prendre son temps .Etre animal peut parfois également plaire mais plus quand on a faim quand cela fait un moment qu’on a pas pratiqué l’acte. Là il s’agissait d’un entretien cela ne s’y prêtait pas. Dario saisit les mains de Lucette, les posa délicatement sur son torse et les firent glisser lentement. Gardant ses braies il fallait quelque part la frustrer, la rendre impatiente.

Il se leva, tira sur la chaise de la belle brune, la dévisagea le regard pétillant, il ferait honneur à son corps pour cela il commença à l’embrasser dans le cou, en général c’est un endroit du corps plus que sensible. Il continua ses baisers, sur le front, la mâchoire, sur chacune de ses joues puis de ses deux mains fit des mouvements circulaires sur sa poitrine généreuse qu’il n’a pas encore délivrée de ces entraves vestimentaires. Il s’employa à lui ôter les vêtements toujours de façon lente, posa ses lèvres de nouveau sur son cou pour laisser glisser sa langue sur les jumeaux divins de la belle. Il s’adonne avec plaisir dans son inquisition langoureuse.

Presque nue, il fit glisser sensuellement les bas de la jeune femme, caressa ses cuisses, et de nouveau s’employa de son arme redoutable, sa langue. Son jardin secret ne fut pas épargné, et il ne lésina pas sur la quantité de léchouilles sur son bouton de rose. A genoux tandis qu’elle est assise, il s’adonne avec audace jusqu'à qu’elle veuille aller plus loin…

Après qu’il eut fini, il se dévêtit complètement et s’employa à ne faire qu’un avec Lucette, les vas et viens furent ajustés à un rythme soutenu. Il espérait donner du plaisir à la ravissante, elle était à son gout pourtant ce n’était pas elle qui devait plaire mais bien lui…
--Mere_maquerelle


A l'instant même où le bel Italien s'était activé Ursula s'était retirée discrètement, laissant les deux corps s'entremêler, Lucette savait exactement ce qu'elle avait à faire. Son oreille avertie lui fit comprendre qu'Amélie en avait fini avec l'autre candidate. Elle s'approcha de l'alcôve où se trouvaient les filles. Un coup d'oeil à la rousse et Ursula grimaça. Un peu trop vulgaire à son goût. Elle fit signe à Amélie qui vint la rejoindre. Ursula entraina sa fille un peu plus loin.

- Je t'écoute.

- Elle se débrouille bien, elle sait donner du plaisir de manière classique. Elle se nomme Sorsha.

- Je sens un "mais", dis-moi tout.

- J'ai vu votre coup d'oeil. Elle est bien, mais je pense que vous ne la trouverez pas assez raffinée pour votre établissement.

- Rien que ça tenue me fait mal aux yeux. Je vais aller lui parler. Tu peux aller te préparer pour l'arrivée des clients. Et ne zieute pas le beau Dario au passage.

Bien madame.

Ursula ne put s'empêcher de rire en voyant Amélie partir en rougissant. Elle se dirigea vers la candidate rousse et s'installa en face d'elle.

Mademoiselle, je vais être franche, je vous trouve trop vulgaire pour mon établissement. Une tenue comme la vôtre, c'est impossible. Ici, c'est un établissement de haute renommée, je n'embauche pas n'importe qui. Amélie m'a dit que vous l'avez satisfaite, mais elle ne m'a pas dit que vous avez su l'étonner. Donc du classique vulgaire, je n'en veux pas.

Ursula se leva.

Pour vous dédommager du temps perdu ici, la maison vous offre ce que vous avez consommé. Je vous souhaite la bonne journée.

Ursula se dirigea passa derrière le comptoir et se rendit à la cuisine pour voir si tout se passait bien en attendant que Lucette en termine avec Dario.
--Les_filles_du_boudoir
Entre l'extase et le bonheur, c'est là où se trouvait Lucette grâce aux bons soins prodigués par Dario. Habile des mains, de la langue ... Des préliminaires vraiment agréables. Et quand il passa à l'acte, Lucette avait sans doute atteint le septième ciel. C'est ivre de plaisir qu'elle resta dans ses bras, une fois la démonstration terminée. Le temps de reprendre son souffle et d'atterrir, Lucette ferma un moment les yeux, nichant son visage dans le cou du beau ténébreux. Elle y déposa un baiser, se détacha de lui, se redressa et se rhabilla, il était temps de le laisser avec regret Dario dans l'alcôve.

Je vais te laisser bel Italien. Ce fut un moment ... d'extase ... je vais aller voir Ursula afin de lui décrire tes prouesses ... par contre du devrais te rhabiller. Les premiers clients ne vont pas tarder et ça va faire désordre si tu restes comme ça.

Lucette quitta l'alcôve avant de se retourner.

Il va de soi que je parlerais en ta faveur.

Elle lui fit un clin d'oeil coquin et se dirigea tout sourire vers les cuisines. N'y trouvant pas Ursula, elle grimpa rapidement les escaliers pour se rendre dans le bureau de sa patronne. Elle frappa et entra.

Alors, Dario ?

Parfait. Pour les hommes je ne sais pas, mais il connait des petits trucs forts bien agréables. Si on a des femmes qui viennent il sera très bien.

Ursula hocha la tête. Les deux femmes discutèrent encore un moment avant de se séparer. Lucette rejoignit sa chambre pour se préparer pour la soirée.
--Mere_maquerelle


La journée n'était pas totalement perdue, puisqu'elle avait réussi à dégoter une nouvelle recrue de choix. Encore fallait-il annoncer la chose à l'intéressé. Quand Lucette quitta son bureau, Ursula consigna cette "nouveauté" dans son petit calepin. Celui là même où, d'un côté il y avait le nom de ses employés, et de l'autre celui de ses plus fidèles clients. Elle le rangea bien à l'abri des regards indiscrets avant de se lever pour rejoindre le bel Italien.

Descendant les escaliers avec grâce, elle jeta un regard circulaire dans la pièce principale du boudoir. Tout était prêt. Dario attendait dans son alcôve, sagement revêtu. Ursula hocha la tête, Lucette avait donné les bonnes consignes. Elle avait bien choisi son associée. Elle s'approcha donc du jeune homme et s'installa en face de lui.


Votre pratique semble satisfaire Lucette qui m'a remis un avis très positif quand à votre embauche, mais avant de introduire dans mon personnel, attention n'y voyez que le sens figuré ! Ursula lui adressa un sourire coquin avant de poursuivre. J'aurais des petites choses à vérifier avec vous. Tout d'abord, vous savez contenter une femme, c'est parfait. Mais qu'en est-il d'un homme ? Car, si je ne me trompe pas, vous n'avez pas pris Lucette par derrière. Excusez-moi d'être aussi crue. Mais il me faut savoir mon mignon. Ma clientèle est presque exclusivement masculine. D'ailleurs certains éprouvent du plaisir à prendre mes filles ainsi, par derrière. Je vous explique : parfois, ils viennent à deux pour une fille ... je ne vous fais pas de dessins mais vous imaginez bien la chose. D'autres veulent un homme et une femme juste pour les regarder faire, et il vous faudra donc obéir aux désirs des clients. S'ils vous demande de prendre la demoiselle par derrière il faudra le faire. Si ça vous dégoute de les prendre ainsi ... Enfin, une partie de ma clientèle exige exclusivement des hommes. Et là vous n'y couperez pas et sachez que ces hommes là tiennent aussi à passer à l'acte. Vous devrez prendre et serez pris. Ca c'était la première chose.

Ursula fit une pause pour laisser à l'Italien le temps d'assimiler ce qu'elle venait de dire, avant de reprendre.

La seconde chose que j'ai besoin de savoir, c'est si vous savez vous tenir derrière un comptoir et servir la clientèle sans vous enivrer. Un bel étalon comme vous mérite un poste où on le voit.

Ursula laissa son regard trainer sur le corps de Dario avant de conclure.

Je résume, si vous êtes capable de satisfaire un homme aussi bien que vous vous êtes occupé de Lucette et que vous m'assurer pouvoir tenir le comptoir sans vous enivrer, je vous embauche Dario. Et si vous acceptez, je vous expliquerai les quelques petits points de règlements de cet établissement.

Ursula allait se lever, mais s'arrêta dans son geste.

Un tout dernier point, si vous acceptez, vous commencez tout de suite. Nous signerons votre contrat demain. La signature du contrat se passe en deux temps. D'abord vous devrez vous occuper de moi, par devant et par derrière. Que je vois l'étendue de vos capacités afin de pouvoir guider mes hôtes. Vous comprenez que je ne peux vous engager sans savoir exactement ce dont vous êtes capable. Même si Lucette est satisfaite, je ne lui ai pas demandé d'entrer dans les détails. Ensuite, il y aura un parchemin à signer, où nous stipulerons les closes de votre engagement.

Ursula observa le jeune homme et lui sourit.

Si j'exige cette étape avant signature c'est parce que vous n'aurez pas à vous occuper que de beautés comme Lucette. Et il me faut voir vos réactions face à un corps comme le mien. Pour ce soir, vous resterez au comptoir, et peut-être que je vous confierais une femme si une ose franchir notre porte.
--Dario_di_gusto
Dario écouta attentivement Ursula, sa future patronne, elle avait un franc parlé qu’il le fit sourire. Certes il n’avait pas pris la jolie Lucette par les fesses, non pas qu’il n’en avait pas l’envie. Mais il ne trouva pas qu’il était utile de l’envisager cette fois-ci. Jugeant qu’elle avait était comblée, de plus elle n’en avait pas fait la demande, puis pour une première fois ce n’était pas évident.

Dario, avait eu plusieurs relations sexuées avec la gente masculine, ce n’était pas un frein pour lui. Prendre et se faire prendre ça fait parti du métier, c’est ainsi, ouvert d’esprit et pas que ! Certaines mœurs ne l’écœuraient pas bien au contraire , il aimait ça ! Quant au bar, il trouvait l’idée géniale. Avant de pouvoir répondre, la tenancière avait une dernière requête.

Elle voulait qu’il s’occupe d’elle ce qui lui valut un beau sourire. Etonnant ou non mais Ursula lui plaisait, ça l’excitait même de savoir qu’il devait la satisfaire autant qu’il avait satisfait son associée.

« J’y suis d’accord pour li hommes et li bar , vous pouvez compter sur moi bella je servirai si et ne boirais que si j’y souis autorisé dans la limité du raisonnable. Et j’y suis content j’ai hâte di vous satisfaire vos moindres désideri , parlais moi dou salaire bella»

Il en profita pour l’embrasser, marquait il des points, le bel italien ? En tout cas tout semblait bien se passer. Cet établissement méritait qu’il fonctionne, parce que tout était mis en place pour satisfaire les clients et l’endroit était chaleureux.
--Mere_maquerelle


Ursula écouta le bel Italien parler. Son accent chantant faisait plaisir à ses oreilles. Il termina son discours par un baiser. C'était original. Plus tard, la mère maquerelle avouerait sans doute qu'elle avait apprécié de baiser à sa juste valeur. Le salaire, l'homme était direct encore une fois.

Il y aura un salaire fixe d'une quinzaine d'écus par jour, puis un bonus en fonction de tes clients. Le salaire de base peut augmenter rapidement si tes prestations sont satisfaisantes. Bien sûr tu auras le gîte et le couvert, à condition de participer à l'entretien de la maison. Il arrive aussi que certains clients décident d'offrir un petit plus que ce soit en écus ou en nature et cela te reviendra de droit.

Ursula le jaugea de la tête aux pieds.

J'aime comment tu es habillé, ne change rien. Il y a une chambre de libre au premier étage, au fond du couloir à gauche, tu y trouveras de quoi te rafraichir avant de commencer à travailler. Dans une demi heure, nous ouvrons les portes, il faudra que tu soies derrière le comptoir, Lucette restera un moment avec toi pour t'expliquer ce que notre cave contient. Il est temps que j'aille aussi me préparer. Bon courage pour cette première soirée.

C'est avec le sourire aux lèvres qu'Ursula rejoignit sa chambre. Décidément, elle l'aimait bien ce bel Italien.
--L_marin
Dans le port d'Angers comme dans tous les ports , les marins pullulent , ils écument en général toutes les tavernes qui, pour oublier leur vie de chien par temps tempétueux , vont à la recherche de quoi satisfaire leurs besoins naturels: manger, boire, dormir et baiser dans tous les sens du terme .. bien sur .

La gamine était là à la porte de l'établissement à tendre la main au passant qui passaient sans la voir . Mais elle était aussi là et ailleurs en même temps quand un marin arriva aux portes du palais des délices , la faim lui tenait au corps comme un morpion sur le poil de c... dans l'obscurité environnante, elle vit un homme de belle taille qui naviguait sur des flots de rhum , d'eau de vie se carra non loin d'elle à la porte de l'établissement.
Elle n'en croyait pas ses yeux et elle l'interpela


Oh bel Adonis .. T'aurai pas un écu t'as l'air plein de tunes.

.
Stop ... Ca n'est pas le scénario .. rembobinez ...

Fillette, fillette ce que tu gourres , parce que la vérité c'est ça.



Hein ! ... qu't'as dis? aal al llez hips.... pousse-toi d'là .. hips lala mmmor hips hips pp .. pionne ! j'ai soif !

Laissant la gamine sur le trottoir il tira , poussa la porte .
Il manqua s'étaler aux pieds d'un malabar .


Hips ... J'AI SOIF ... OU C''EST-Y QU'ON BOIT ? Hips

Un tour d'horizon .. l'avait jamais vu ça .. des froufrous partout, des odeurs comme sur les îles, des donzelles de rêves.

Ven dieu hips ... où qu'c'est queque j' suis ... au pp hips yeurk ..aradis ... avec des f''melles ...

V'la t-y pas que son mât de misaine se met au garde à vous comme lors de la levée des drapeaux. Il se lèche les babines puis un grand sourire dévoile ses chicots. Il s'apprête à entrer en action ... mais le pourra-t-il ?
Annabela
Annabella venais de débarquer à Angers, la traversée depuis Barcelone lui avais semblé durer des siècles et lui avais couté presque tout son pécule qu'elle avais réussi à économisé.

Elle qui avais été courtisane à la cour du roi d'Espagne, se retrouvais seule et perdue en terres étrangères, car étrangère elle l'était oui, d'origine Hispano-Niponne, elle n'avais jamais connu son père, mais d'après sa mère, c'était un soldat, un samouraï, ou quelque chose dans le genre.

C'est grelotante quelle arriva devant "le boudoir de soi", elle vit un marin aviné qui entra à l’intérieur, elle décida de lui emboiter le pas. Elle regarda a l’intérieur de l'établissement et recvonu de suite une maison de passe plutôt luxueuse.
Elle retira son mantel de fourrure, dévoilant ainsi ses tatouages. Elle se dirigea, ensuite, vers le bar et commanda une liqueur et demanda à la serveuse si par le plus grand des hasard ils n'embaucheraient pas.

--Le_videur
Non loin de l'entrée, je veille silencieusement. En journée je m'occupe des travaux, mais le soir, je m'installe non loin de la porte pour m'assurer que tout se passe bien. Mon but, dissuader les poivrots et les emmerdeurs de troubler le calme des lieux.

Depuis l'ouverture du Boudoir à Angers, je n'ai pas eu à intervenir, mais ce soir, peut-être que ça commencerait. Un vieux marin décati vient de s'étaler à mes pieds. Vieux, décati et ... Bourré ! J'observe l'homme avant de le choper par le col pour l'aider à se relever. Un regard vers Ursula qui se tient non loin, elle acquiesce, je vais donc le laisser entrer.


Bienvenue au Boudoir de soi vieux loup de mer. Ici on se tient bien avec les demoiselles. Si tu n'en es pas capable, tu auras affaire à moi. Tu es déjà bien ivre ... si tu me promets de te tenir à carreaux, tu pourras boire un peu et peut-être t'amuser avec une donzelle, mais je veille. Au moindre geste de travers tu reçois mon coup de pied là où il faut. Pigé ?

Je fais signe à Amélie pour qu'elle emmène le marin vers une alcôve retirée afin qu'il n'embête pas les autres clients. J'en ai à peine fini avec lui que je vois une demoiselle entrer et se diriger vers le comptoir. Décidément, la clientèle se féminise ...

Tout en observant le marin du coin de l'oeil, je fais attention à ce qui se passe dans le reste de la salle, c'est mon rôle.
--Les_filles_du_boudoir
[Devant le comptoir, Amélie et Lucinda]

Amélie était assise au comptoir en train de deviser avec Lucinda en attendant les clients. Quand le bruit d'une chute se fit entendre du côté de l'entrée, elle se retourna. Un marin ivre venait de faire son entrée.

Pourvu que ça ne tombe pas sur moi ... j'aime pas ces ... oh ! Duncan ! Mais pourquoi diable je me suis retournée! Allez souris ma fille.


Amélie dessina un joli sourire un peu forcé sur son visage, s'approcha du marin remis debout par Duncan et le pris par le bras.


Venez donc vous installer, suivez moi je vais vous montrer un endroit tranquille où vous pourrez boire.


Avant d'emmener le marin ivre vers une des alcôves isolées du reste de la salle, Amélie adressa un froncement de sourcils réprobateur à Duncan, qui lui répondit par un de ses habituels sourires charmeurs. Elle leva les yeux au ciel et guida le marin.

[Derrière le comptoir, Lucette apprend les bases à Dario]

Lucette était en train d'expliquer les différents alcools présents sur les étagères quand une demoiselle s'installa devant eux et commanda une liqueur.

Bonsoir mademoiselle, je suis Lucette, et voici Dario. Nous recrutons effectivement en ce moment. Mais pour le moment notre patronne est occupée.Nous avons plusieurs liqueurs à vous proposer. De la prune, du maïs, de la poire, de la pêche qu'est ce qui vous ferait plaisir ? Dites moi, pourquoi voulez vous intégrer notre établissement ?
--L_marin
Le grand malabar pouvait bien causer autant qu'il voulait le " Vitdru" , c'est son nom, n'entendait rien , les pavillons complétement bouchées à cet appel mais toutes ouïes et toutes mirettes grandes ouvertes à l'appel des sirènes. Et l'une d'elle se présenta à sa trogne .
Il mâchonnait des paroles incompréhensibles mais rien qu'a voir ses gestes, le vent continuait de souffler dans la biroute Les yeux envieux Vitdru la bouche légèrement baveuse et les bras tendus vers l'ondoiement des hanches n'en pouvait plus
.

Où qu'c'est qu'on boit ? ... et pis qu' j'ai faim ...

A pas chancelants il entra dans l'alcôve à la suite de la damoiselle.
Allait-il honorer ce nom qui lu avait été donné alors qu'il était jeune et vif et n'avait pas son pareil auprès des filles de joie qu'il abordait et besognait dans les ports d'Amsterdam , d'Anvers et d'ailleurs.Plein comme un outre il ne se posait pas de question , il était là et bien là .


Vit est le sexe de l'homme et le con celui de la femme en usage jusqu'à la moitié du XXieme ! " le con d'Irène " Louis Aragon
--Les_filles_du_boudoir
Amélie pestait tout au fond d'elle même, il avait fallu que ce vieux débris ivre tombe sur elle! Elle l'installa dans l'alcôve et parti rapidement vers le comptoir. D'un regard inquiet, elle chercha Ursula. Cette dernière perçut son trouble et s'approcha.

Madame, on ne peut pas garder cet homme ivre, il me fait peur.

Ursula lui adressa un sourire qu'elle voulait rassurant.

Ne t'en fais pas ma petite, apporte lui une spécialité maison. Ca va l'assommer et Duncan le jettera dehors.

Ursula passa derrière le comptoir, prit une chope la remplit avec un mélange savamment dosé de différents alcools. Elle poussa la chope vers Amélie.

Sois un peu patiente, il sombrera rapidement.

Amélie hocha la tête, s'empara de la chope et rejoignit le vieux marin ivre.

Tenez, buvez, c'est la maison qui offre pour votre première visite.

Elle déposa la chope sur la table et s'assit suffisamment loin du vieux débris pour qu'il ne puisse pas la toucher, elle avait toutes les peines du monde à garder le sourire.
Annabela
Bonsoir mademoiselle, je suis Lucette, et voici Dario. Nous recrutons effectivement en ce moment. Mais pour le moment notre patronne est occupée.Nous avons plusieurs liqueurs à vous proposer. De la prune, du maïs, de la poire, de la pêche qu'est ce qui vous ferait plaisir ? Dites moi, pourquoi voulez vous intégrer notre établissement ?
- mmmm une liqueur de pêche me conviendra parfaitement.
Si je souhaite intégrer votre établissement c'est parce que j'ai besoin d'argent et que j'ai été courtisane, pendant deux ans, à la cour du roi d'Espagne, donc j'ai de l'expérience


--Les_filles_du_boudoir
Lucette sourit poliment en servant une liqueur de pêche à la demoiselle.

Voici votre liqueur, votre candidature peut nous intéresser, par contre, comme vous avez pu le constater, nous sommes ouverts à cette heure et nous ne pouvons pas vous faire passer un entretient alors que nos hôtes sont là. Je vous propose de repasser demain matin un peu avant midi.

Lucette admira les tatouages et les manières de la demoiselle, elle semblait avoir été bien éduquée et mieux correspondre aux lieux que la rousse passée dans la journée. Elle lui sourit et rajouta.

Rien ne vous empêche de passer une soirée agréable ici. Ce premier verre, je vous l'offre puisque vous semblez sans ressources, c'est avec plaisir.

Ceci dit, Lucette se tourna à nouveau vers Dario afin de voir s'il avait bien saisit la différence entre les tous les alcools présents, les plats que l'établissement proposaient ... Quand un client entrait, si elle le connaissait, elle lui expliquait ce qu'il préférait. Le mot d'ordre du Boudoir était de satisfaire les hôtes et si possible anticiper leurs envies.
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