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[RP] Joutes de Juin - Bal de la Saint-Jean

Eliothine
    Et bien on peut dire qu'elle a la tête qui tourne dure.
    Tout s'enchaîne à vitesse grand V, elle danse, a un verre en main, Hoel parle, rit, embrasse -sur la joue- une femme, sourit, il est jovial quoi, et transmet la bonne humeur à travers son comportement.
    En enfant bien élevée, elle doit prendre part à la conversation, auquel cas elle passerait vite pour une oursonne mal léchée.


    - Je.. euh... oui... bonjour, Elie, c'est moi.

    Elle ne sait même plus où donner de la tête, mais au moins, elle peut arrêter de se dandiner comme une folle et ça, ça n'a pas de prix..

    - Ravie de vous rencontrer voisine de mon cher cousin.

    Bon du coup, elle sourit, par politesse et parce qu'elle a l'impression d'être tombé dans un monde de fous finalement.
    Un éclair de lumière vint frapper sa petite tête. L'ôte de la soirée?


    - Hum, les joutes sont en l'honneur de qui au fait?

    Je crois que c'est clair, elle se tape bien l'incruste chez quelqu'un dont elle ne connait pas l'existence......

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Quand la vie ne te donne pas les bonnes cartes tu peux toujours bluffer.

Apprentie Dame Blanche.

Son vice est sa seule faiblesse. Ou pas.
Hoeldetrajan
Hoel s'arrête net là. Trois secondes au moins le temps de sourire.
Heu...Bonne question.
Un coup sur Dana du style va y aide moi là, car j'ai son nom sur la langue, enfin son prénom sur la langue, mais juuuuuuuuuuuste son prénom.

Mais ! Mais oui en voyant un blason parlant, il repense à un lupanar et là, il pense à Lucie!
Lucie ! Humm heu Lucie. Une dame qui a dû inviter des amis...Et des gens...Pour les joutes.
Comme nous...

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Don.
Si seulement Eliothine était la seule à taper l'incruste, mais non, notre bonne Dana était aussi une pique assiette. Ne connaissant la dénommée Lucie autrement que par réputation, la peau de la Kerdraon - la zone des pommettes essentiellement - se colore de rose. Un présent avait été apporté, mais l'invitation en elle même aucunement réceptionnée. Peut être Amblard avait il évoqué sa présence en ce jour, mais pour le savoir il aurait fallu échanger avec le pauvre bougre qui présentement ne semblait pas plus motivé que cela à discuter avec elle. Il faut dire que lorsque votre cavalière se permet de saluer un autre homme dans la seconde qui suit vos retrouvailles, cela vous gèle un brin.
Par politesse donc, Dana lance un sourire aimable à son compagnon béarnais avant d'hocher la tête aux paroles des deux nouveaux protagonistes de la scène.


J'espère grandement rencontrer la Vicomtesse.
On dit qu'elle est la reyne des fleurs, j'ai pensé lui apporter un présent adapté, savez vous s'il faut le poser à un endroit particulier ?


Ouais. En Bretagne on te balance ton cadeau à la trogne, ou alors au mieux, on le pose pas trop loin de tes menottes pour te permettre de le choper assez vite lorsque l'envie et la curiosité se font trop pressantes. Ici, autant ne pas faire de faux pas, déjà que se dandiner au sein de ce regroupement n'a pas eu l'air de faire l'effet escompté.
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Hoeldetrajan
Hoel écoute Dana, par politesse et puis parce que bon ça fait du bien d'entendre l'accent breton de temps en temps.
Lorsqu'elle parle de présent, Hoel plisse les yeux, car son présent à lui, il ne peut pas le mettre ni dans les mains ni dans la tronche façon "Tréguier". Simplement, car le dit présent est dans la grange. Un truc d'ouf, un truc de fou, breton à 100 % !


Le jeune Seigneur des bords de la Loire, sourit poliment, matte donc Dana et son cavalier qui n'a pas l'air causant.

Entre nous, je pense que tu peux le donner à un valet qui s'en occupera, car ma foi, je ne connais pas les coutumes du coin ! Sinon vous le trouvez comment le vin ?

Hoooooo se dit Hoel faut toujours que tu poses des questions !
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Amblard
Et Amblard d'hocher la tête.

Oui, Lucie, faut que je la croise d'ailleurs, j'ai un cadeau qu'elle m'en dira des nouvelles !


Et dans l'instant, le visage se tourne à la recherche de la tête fleurie de Lucie. Nul besoin pour le Béarnais de sauter a nouveau sur place, il passe ses yeux au dessus de la tête de la petite Bretonne jusqu’à apercevoir la cible plus loin.


Ah, elle est la bas. Excusez moi, je m'absente.
Je vais le lui donner maintenant ce sera fait.


Et surtout ça lui gênera moins que dans la poche.

Profitez du bon vin et de la bonne nourriture de chez nous les Bretons.

Et d'aller se faufiler en se faisant aussi petit qu'il le peut -Et c'est pas gagné- jusqu’à la Vicomtesse. A sa hauteur, dos droit il sourit franchement lançant un clair et vif.

Bonjour Vicomtesse !

"Très joli bal que vous nous avez organisé la Vicomtesse. Toutes les personnes présentes semblent s'amuser. Il y a d'ailleurs des gens de tout horizons ! Il n'y a pas a dire, vous savez recevoir !"
Il aurait pu, mais non.


Vous avez des plats très bon !
Ah et j'ai un cadeau pour vous Vicomtesse.


Dit il tout simplement en sortant un petit pot d'une poche.


Alors ça c'est une terrine que fait mon voisin.
Vous allez vous ré-ga-ler.

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                  Bannière hrp - Amblard porte néanmoins toujours ses armoiries.
Lucie
Tandis que Amblard à la jolie bedaine et Don aux yeux d’océan se dandinent avec la grâce d’éléphants cacochymes, tandis que cousins se retrouvent auprès des petits fours, Fleurie, elle, s’émerveille sévèrement. Savian, avec sa grosse be-bar de bûcheron canadien et les battoirs qui lui servent de main, ne semble pas délicat pour deux sous et pourtant le coupe-papier présenté est une merveille de finesse, parfaitement à l’image de celle qui, paillettes brillants dans les yeux, reçoit ce présent.

    - Oh, Savian ! Mais c’est merveilleux ! S’exclame-t-elle, se retenant fortissimo de claquer une bise à la joue de l’alençonnais, avant d’ajouter, mutine : Enfin, je ne devrais pas être surprise que vous soyez capable, de vos blanches et douces mains, de produire de si jolies choses. Un sourire est adressé à Keltica. Et je connais déjà la vicomtesse ; c’est grâce à elle que nous sommes tous ici aujourd’hui d’ailleurs.

Voyant son relais lourdais - mais pas lourdaud - s’en venir vers elle, la demoiselle aux Fleurs incline la tête pour le couple.

    - Je vous laisse. Tâchez de passer une bonne soirée, voulez-vous ?

Trois petits pas et la voilà auprès d’un autre invité.

    - Je suis contente que les mets servis vous plaisent. Et je vous réserve une surprise pour le dessert. Cela ne devrait plus tarder à arriver d’ailleurs, fait-elle avant de recevoir, dans un petit rire à peine surpris, la terrine. Je ne suis pas une grande gourmande, je dois l’admettre, mais si vous me dites que c’est un régal, j’y goûterai avec plaisir. Merci beaucoup Amblard. Et maintenant, présentez-moi à vos camarades, voulez-vous ?

Glissant son bras sous celui de son brun invité, la vicomtesse le traîne vers le coin d’où il vient, tout sourire.

    - Mesdames, Sieur, le bonsoir. Je suis Lucie de Saint-Jean, la propriétaire des lieux, se présente-t-elle, assez humble pour avoir conscience qu’elle n’est pas connue de toutes les personnes venues se distraire sous le soleil de Barbazan. Comment allez-vo… Ah ! Le dessert arrive ! S’écrit gaiement la Fleurie, voyant arriver une armada de domestiques armés de plateaux sur lesquels trônent, dans de délicates coupes, des sorbets colorés. C’est de la glace pillée que l’on fait venir des sommets pyrénéens avec des coulis de fruit, explique-t-elle, échangeant terrine contre coupe de glace à la cerise. C’est merveilleux, non ? De la glace ! En été !

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Madeleine_df
Il fallait reconnaître une chose : Le Deswaard n'était guère doué pour les conversations d'agrément. Et il l'avait séchée en évacuant d'un revers de la main tous les sujets sur lesquels elle aurait pu s'étendre pour se montrer la jeune fille polie et agréable qu'on lui avait appris à être. Et pourtant, pouvait-elle lui en vouloir ? En trois mots, il venait de lui rappeler son goût si peu assumé pour les futilités, le clinquant, l'amusement. Ce n'était donc pas un compagnon de bal dont elle s'était dotée, mais bien d'un directeur de conscience. De nature à prendre ce qu'on lui offrait, Madeleine, peu douée d'ironie, préféra plutôt que de se vexer accepter la chose dans un sourire un peu gêné. Dédain travaillait à lui éviter les Enfers. Mais histoire de le piquer un peu, elle glissa :

- Voilà un discours qui sent fort l'amertume...

Elle s'enhardit à esquisser un petit sourire taquin, et opina simplement du chef quand il lui déclara s'être remis de sa blessure. Bons soins ou pas, elle savait assez bien que le crâne, à cause de l'intense réseau sanguin qui l'irriguait, avait tendance à beaucoup saigner lorsqu'il était malmené, quand bien même la chose était sans grande gravité. Bien sûr, la perte de connaissance était sans doute un peu plus préoccupante, mais enfin à cela elle n'avait rien pu faire, sinon attendre, et prier pour que son patient recouvre toutes ses facultés mentales au réveil, ce qui fut par bonheur le cas. Aussi, peut-être, plutôt que ses qualités d'apprentie-médecin, aurait-il mieux valu louer le fait que le Tout-Puissant lui prête parfois oreille, mais elle se retint bien de le dire, ne sachant vraiment si cela passerait pour de la fausse modestie ou un fol orgueil.

Peut-être aurait-elle dû. Cela lui aurait évité la remarque suivante. Moins baisser le menton, et pour quoi faire ?


- L'on m'a appris que l'humilité devait être inhérente à ma condition de femme.

Sois belle, prie Dieu, et tais-toi. Peut-être aurait-ce été un moment où Rosalinde aurait regretté d'avoir confié à d'autres le soin d'éduquer sa fille, elle qui était aux antipodes de tout cela. Et néanmoins, peut-être inconsciemment, mais très certainement dans le souci de mieux lui plaire, elle redressa son menton d'un centimètre, pas plus. Ce qui ne l'empêcha pas de continuer sur ce sujet qu'il lui offrait en pâture.

- Et je tiens personnellement la modestie pour l'une des vertus reines... Tout comme peut l'être le plaisir, auquel pourtant vous semblez si hermétique.

Elle fit tourner un peu le vin dans sa coupe, avant de reprendre, simplement, et très intrusivement :

- Qu'est-ce qui vous rend heureux ?
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