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[RP] Joutes Juin 1464 - La Lice

Primha
    En aval des murs courtois de Barbazan, là où la flore Bérnaise prend ses droits, la lice se dresse ; fière et sage. Pour la première fois, l'inébranlable silence sera troublé par l’écho des vaillantes montures, des applaudissements ou peut-être même des cris de saisissement des spectateurs. Mais pour l'heure, au milieu de l'accalmie, le bois est monté ; séparant terrain de joutes et gradins. La touche Lucie n'est en rien oubliée, le bien-être des uns et des autres non plus. Surplombant la lice sous une fine toile blanche, les gradins naissent, abritant les bancs attendant sobrement la venue des invités et jouteurs tombés trop tôt. Au devant, un siège dépasse les autres ; plus grand que ceux trônant à son côté, respectivement destinés à la Fleurie jolie et ses proches. Dispatchées d'un coin à l'autre, et même au milieu de la lice, des fleurs ornent le lieux : mélisse, jasmin, et autres parfumées colorées au goût de la maîtresse des lieux. Nul doute sur les lieux : plongés à Barbazan qui se rappelle à eux par les fanions aux couleurs et armoiries somptueuses, les invités sauront s’amuser de ces festivités, mais surtout s’émerveiller de ce cadre.

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Aimelin
[Ouverture du tournoi]


Après son petit détour par Pau, il avait rejoint sa tribu aux campements et s'était attelé aux dernières touches avant de lancer le tournoi. Le dernier jouteur inscrit lui avait fait parvenir la veille dans la soirée un nouveau blason, et donc le jeune Juge Diseur, non sans râler de ce retard, avait apporté quelques modifications à ses dossiers. Cette fois-ci c'était la bonne, et plus aucune information ne serait acceptée.

Il avait donc pris le chemin de la lice avec entrain et bonheur, équipé de sa brigandine, laissant Altaïr aux bons soins du flottant, car il faisait parti avec son épouse, de ceux qui comme toujours, n'échappaient pas aux éliminatoires. C'était pas dieu possible d'avoir autant de chance cette année, et de ne pas arriver à aligner des points.
Trente six jouteurs seraient présents pour ces premières joutes béarnaises, et le jeune Millelieues était heureux de voir que bonne partie des habitués des lices avaient eu le geste de s'inscrire chez la Vicomtesse.
Hélas, il faudrait en passer par les éliminatoires qui verraient quatre duels, afin de ramener le nombre de jouteurs à trente deux, et d’enchaîner ensuite par les Seizièmes.

Muni de son porte voix et de sa pile de parchemins il prit donc la direction de la petite estrade posée, jeta un regard noir aux sonneurs de trompette qui attendaient le signal, et salua la jeune Vicomtesse avant de prendre la parole.


Vicomtesse si vous voulez prendre la parole, ensuite j'appellerai les premiers jouteurs devant passer par les éliminatoires.

Un sourire éclaira le visage du brun, tandis qu'il restait un peu en retrait.
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~ activité fortement réduite les week end - ~Archiviste judiciaire de Champagne ~
Lucie
Aujourd’hui fille de la Saint-Jean sera Joie, elle sera Amour. Sous le soleil radieux du sud, dans la pure transparence de l’air, elle va enfermer toute l’angoisse des derniers préparatifs, toute la douleur causée par son statut d’ange déchu dans une boite de Pandore dont elle jettera la clé afin de pouvoir, en toute sérénité, profiter des amis dorés et invités chéris qui se sont présentés à Barbazan. Oui, en ce jour délicat petit Crocus se fera Tournesol éclatant.

Mais avant cela, il est une tradition qu’elle se doit de respecter. Adoncques, quittant le château alors que la rosée fini de sécher sur l’herbe verte, la Fleurie s’enfonce dans le jardin, petite dextre curieuse effleurant feuilles et fleurs en douceur. Caché au sommet d’un bouleau, un bouvreuil égrène quelques jolies notes comme pour affirmer qu’il faut avoir le cœur en fête. Aussi calme qu'il est possible de l'être, la belle s’arrête face à une statue placée un peu en retrait du chemin, entre les buissons de millepertuis. De marbre à la blancheur parfaite, elle ne représente ni allégorie, ni dieu des temps anciens, mais un simple garçon aux cheveux de pierre légèrement ébouriffés et au sourire malin pour toujours figé. Simon tel qu’elle s’en souvient. Simon encore rayonnant de vie et de joie, juste avant que la fièvre ne l’emporte. Simon incroyablement Lui. Retenant l’infinie vague de mélancolie qui menace de la submerger, Lucie s’incline doucement et pose, comme une offrande, une nonnette au pied de la statue avant de relever le visage pour admirer celui de pierre de son jumeau.


    - Tu me manques encore. Tu me manques toujours… Et je voudrais tellement que tu sois là mon Adoré, murmure-t-elle tout doucement, mirettes mentholées rivées à son frère statufié. Mais tu vois, je fais ce que tu m’as commandé de faire. Je vis. J’avance... Alors voilà ; bon anniversaire mon Simon.

Pour toute réponse, un pinson joint sa voix à la mélopée du bouvreuil et, prête à sereinement entamer sa journée, Lucie s’éloigne à pied du château pour s’en aller vers la lice. L’heure est venue d’ouvrir ces joutes.

Rejoignant les gradins après quelques minutes de marche, la Fleurie lisse précautionneusement la soie d’ivoire et d’or de sa robe, s’inclinant sagement face au juge diseur lorsqu’il arrive.


    - Le bonjour Votre Grâce, fait-elle, avant de hocher la tête et de s’approcher du bord des gradins pour prendre la parole. La chose promet de ne pas être aisée. Saint-Jean n’est pas de celles qui hurlent mais qui chuchotent et sa voix légère, comme perpétuellement brisée, ne porte guère. Toutefois elle s’emploiera à se faire entendre cette fois. Adoncques, balayant la lice encore calme du regard, la vicomtesse se fend d’un sourire lumineux. Le bonjour et bienvenue à tous. Avant que les joutes ne commencent je tiens à vous remercier d’être venus pour célébrer avec moi la Saint-Jean d’été et à applaudir avec une infinie chaleur ceux qui ont rendu la tenue de cet évènement possible. Légèrement la Fleur se tourne vers Aimelin. Merci à la hérauderie de France toute entière et plus particulièrement à Monseigneur Keltica de Chancelley qui a subi toutes mes questions et à Sa Grâce Aimelin de Millelieues qui sera notre arbitre, fait-elle avec toute la sincérité possible, appréciant très largement le travail fait par les représentants de cet office pour faciliter la vie de la noblesse. Puis, doucement, elle se tourne vers Prim pour lui offrir un sourire coloré par une amitié d’ores et déjà profonde. Remercions aussi Mademoiselle Prim Adelys de Valyria, perle d’argent qui m’a épaulée avec un talent rare ces dernières semaines. Prim, très chère, ce jour est aussi le votre. Une main est tendue vers la jeune femme dont elle presse doucement l’épaule avant d’à nouveau parcourir l’assemblée du regard. Ceci dit, que les joutes commencent !

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Aimelin
Un sourire pour remercier les quelques paroles à l'encontre de la Ligue. Il était vrai que chaque tournoi demandait un gros investissement côté temps et travail au Juge diseur qui en avait la charge, mais la passion l'emportait bien souvent sur le travail, et depuis plus de trois ans qu'il officiait dans ces lieux, le jeune brun avait toujours quelques satisfactions qui venaient conforter ce choix. Aujourd'hui sa tâche de procureur qu'il affectionnait aussi, ne lui laissait plus guère de temps, mais il s'emploirait pendant ces quelques mois à faire au mieux tout en profitant des siens.

Merci à vous Vicomtesse et à Mademoiselle Prim Adelys de Valyria.

Et il abandonna la jeune femme pour se concentrer sur les cavaliers qui allaient entrer en lice. Son amie et collègue Juge diseur assurerait son passage.

Que les jouteurs entrent en lice à l'appel de leur nom !

C'était parti.













Citation:
Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Nadjka de Castelfranco, dame de Morthemer



Les éliminatoires commençaient bien pour les Millelieues, les deux avaient été tirés au sort.
Et c'était son épouse qui ouvrait le bal face à une jeune Dame. Le jeune brun les salua d'un sourire, et les regarda sa mettre en place, son regard s'attardant sur la jeune Duchesse.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucune lance ne touche.

Deuxième lance.
Les chevaux sont lancés à vive allure, les lances s'abaissent et touchent chacune leur cible. Mais seule Aliénor brise sa lance.
Le choc a été rude, et sous l'impact, les deux cavalières quittent les étriers et tombent de cheval.
Fort heureusement, aucune blessure n'est à déplorer.


Par un bris de lance contre aucun, Aliénor de Millelieues di Favara est déclarée vainqueur !




Citation:
Aimbaud de Josselinière, Marquis de Nemours, Duc de Corbigny, Seigneur de Decize et Saint-Robert
affronte
Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles



Deuxième duel de ces éliminatoires. Le juge salue les deux cavaliers et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucune lance ne touche.

Deuxième lance.
La même que la précédente, les jouteurs ne parviennent pas à toucher leur cible.

Troisième lance.
La jeune Dame ne compte pas se laisser faire et s'arrêter là. Elle porte son coup avec habileté et touche l'écu adverse alors que le Marquis rate sa cible.
La lace de Margot se brise et sous l'impact, envoie son adversaire rejoindre le sable de la lice.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Margot Giboint de la Maurinière est déclarée vainqueur !




Citation:
Aimelin de Millelieues, Duc de Sézanne, Seigneur d'Etampes-sur-Marne, Précy-St-Martin, Lesmont et Marigny
affronte
Kantin Aymeric de Mialans, Seigneur de Banson et Clavières-sur-Alagnon



A venir




Citation:
Davy de la Roche Tourbière dict Le Dévoué, Duc de Beaumont le Roger, Vicomte du Mont Saint Michel, Baron de Le Neubourg, Seigneur de Jugy
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée.



L'un des plus anciens jouteurs, et qui dit ancien dit expérience en la personne du Duc de Chateaurenard face à un habitué des lices le Duc de Beaumont le Roger.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place, puis donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux sont lancés à vive allure et les deux lances touchent leur cible, mais seul Ursus brise le bois.
Toutefois sous le choc, les deux cavaliers tombent de selle.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par un bris de lance contre aucun, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !


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~ activité fortement réduite les week end - ~Archiviste judiciaire de Champagne ~
Madeleine_df
[Dans les gradins]

Chose promise...

La Firenze avait donc traversé la France d'Est en Ouest pour être présente lors de ces joutes. Et était arrivée en temps et en heure, ce qui n'était généralement pas peu dire, la princesse n'étant pas foncièrement connue pour sa ponctualité. Par chance, l'auberge dans laquelle elle et ses gens étaient arrêtés était tout à fait commode, et après une bonne nuit de sommeil elle était d'attaque pour assister aux joutes et autres festivités d'anniversaire de la Fleurie.

Direction, donc, les tribunes, le tout dans un froufroutement de tissu et un fond d'amertume : Que n'aurait-elle pas donné pour qu'il soit convenable de se promener les bras ou les jambes nues ! Toutes les origines italiennes du monde n'auraient pas préparé notre Madeleine à devoir supporter cette robe épaisse, mais de rigueur pour un tel événement mondain, quand tout son corps appelait de ses vœux la légèreté et la simplicité d'une robe de lin blanc. Et Dieu qu'elle plaignait les jouteurs engoncés dans leurs boîtes de conserve !

Les fesses posées sur un banc de bois, elle observa attentivement le discours de Lucie, et l'entrée des premiers jouteurs, qu'elle applaudit avec un enthousiasme non-feint. Nul doute que son champion allait gagner, bien sûr, mais elle se laissait à choisir un favori au cours de chaque duel, soit celui qu'elle connaissait, de près comme de très loin, soit celui qui avait la plus fière allure, tout subjectivement bien sûr.

Elle partit donc sur les pronostics de victoire suivants : Aliénor, car elle était de son office royal, Aimbaud, parrain de sa petite sœur Jeanne, Aimelin, parce qu'il était l'arbitre et que c'est toujours mieux de tenir avec l'arbitre, et Ursus, Orléanais comme Parrain. Résultat : Pas trop mal. Ne restait plus qu'à attendre que débute vraiment le tournoi, et entre temps peut-être réussir à alpaguer la maîtresse de maison, c'est qu'en bonne wannabe-friend elle n'avait pas manqué d'apporter un petit présent pour son anniversaire.

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Keltica
Montée à la tribune avec Aimelin, puisqu'elle prendrait en charge son passage, Keltica avait salué aimablement son ami et l'hôtesse de ce tournoi. Comme le Duc était le principal arbitre, Keltica le laissa gérer, gardant son rôle de suppléante sans empiéter sur son travail ; lorsque Lucie prit la parole, la Poursuivante de Minerve eut un sourire, lorsque lui furent adressés des remerciements ; elle ne faisait que son travail, mais il aurait fallu être de marbre pour ne pas avouer que ces quelques mots chaleureux lui faisaient toujours chaud au coeur. A la suite d'Aimelin, qui ressentait sans doute la même chose, Keltica remercia la Vicomtesse.

Merci de vos gentils mots, Monseigneur, cela est toujours très agréable à entendre, sincèrement.

Elle lui sourit, puis prit place discrètement, jusqu'au moment où son ami et collègue quitta la place pour son duel.



Citation:
Aimelin de Millelieues, Duc de Sézanne, Seigneur d'Etampes-sur-Marne, Précy-St-Martin, Lesmont et Marigny
affronte
Kantin Aymeric de Mialans, Seigneur de Banson et Clavières-sur-Alagnon




La voix de Keltica appelle les deux concurrents, en les personnes du Duc de Sézanne, donc, et du Seigneur de Banson. La jeune femme les salue, leur laisse quelques minutes pour finir leurs préparatifs, puis donne le départ.

Les chevaux s'élancent, les lances s'abaissent... et seul le Duc touche ! Pourtant, la force appliquée n'est pas assez marquée pour briser la lance, ni pour faire chavirer le Seigneur, qui reste bien assis en selle.

Le second passage est lancé, et à nouveau, seul le Duc touche. Cette fois, il veille à bien impacter l'écu de son adverse, et le résultat ne se fait pas attendre ; sa lance se brise et le Seigneur est déséquilibré. Malgré ses efforts, il finit dans le sable, sans se blesser heureusement !


Par chute de son adversaire, Aimelin de Millelieues est déclaré vainqueur !

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Primha
      Marie-Anna ! Je compte sur vous pour que personne ne rentre dans mon bureau aujourd'hui. J'ai encore tant à faire pour la Compagnie, mais je ne peux ce jour. Si votre état le permettrait, je vous aurais bien fait m'accompagner. Mais j'ai peur que cela ne soit éprouvant pour vous, et le bébé.


    Tout en se disant, la jeune Argentée se battait avec la cape de sa toilette, choisit pour l'occasion. Si au temps de sa rencontre avec Merveylle la jeune femme n'avait aucun goût pour paraître en publique, il en était autrement aujourd'hui. Quoi que jamais certaine de ses choix, jamais ravie de sa prestance qui n'était pourtant pas des plus sombres, il lui fallait encore apprendre, au jour le jour. Alors, pour cette journée toute particulière, pour la Saint-Jean et l'anniversaire de Fleurie jolie, Prim en était venue à sortir couleurs et raffinement pour ne pas faire l'erreur aux côtés de la sublime.

      Pouvez-vous.. m'aidez à mettre.. AH. Voilà.


    Si l'habillement était une partie de contorsion, la coiffure en était une autre. Les fins cheveux argenté étaient enroulé sur eux même, remonté sur le côté, moitié libres, moitié contraint à l'emprisonnement. Enfin, la dragonne cesse de bouger, prenant le temps de s'observer dans le petit miroir quelque peu déformant. Mery serait ravie de constaté les efforts, et Lucie n'aurait pas honte ; car quelques mois avant ceci, elle aurait pu sans crainte, venir en chemise de soie rouge, les cheveux tombant dans une simple nattes.




    A Barbazan, l'Argentée savoura la vue et l'ambiance qui naissait. Le petit pied quitta la voiture, laissant tomber dans un bruit de cape, le tissu sur l'herbe verdâtre. Il était temps. Le grand jour était là. Comme un flottement, les pas de la Valyria la menèrent aux estrades, là où son siège l'attendait aux côtés de jolie Lucie. Qu'elle était encore rayonnante, en toute simplicité ; chose qui tira un sourire aux lippes carmines. Sagement, elle écoutait les mots d'ouvertures, jusqu’à ce que son nom ne soit cité. Étonnée, mais toucheé, la pieuse se tourna doucement vers la jolie, lui glissant un regard amicale et délicat, la remerciant silencieusement elle, d'être qui elle était. Les mots d'ouvertures claquèrent, puis de nouveau des remerciement à son égard, qu'elle salua d'une inclinaison du minois de porcelaine.

    Doucement, le séant Valyrien prit place sur le siège, alors que le regard pruné vint se posé avec attention sur la lice.

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Margot_giboint






Citation:
Aimbaud de Josselinière, Marquis de Nemours, Duc de Corbigny, Seigneur de Decize et Saint-Robert
affronte
Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles



Deuxième duel de ces éliminatoires. Le juge salue les deux cavaliers et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucune lance ne touche.

Deuxième lance.
La même que la précédente, les jouteurs ne parviennent pas à toucher leur cible.

Troisième lance.
La jeune Dame ne compte pas se laisser faire et s'arrêter là. Elle porte son coup avec habileté et touche l'écu adverse alors que le Marquis rate sa cible.
La lace de Margot se brise et sous l'impact, envoie son adversaire rejoindre le sable de la lice.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Margot Giboint de la Maurinière est déclarée vainqueur !


Le Bearn... Et pour changer un peu... ou pas, la blondinette devait en passer par les éliminatoires. C'était la deuxième rencontre de la journée et ce n'était pas pour déplaire à Margot, car la température n'était pas encore à son maximum et plus vite elle en aurait fini, plus vite elle se débarrasserai de cette armure pesante dans laquelle la chaleur était à peine supportable.

A l'appel de son nom elle sourit à son père, lui envoya un bisou du bout des doigts et prit la lance qu'il lui tendait. Elle entra en lice, salua son adversaire et le juge diseur avant de lever sa lance vers les tribunes.

Le signal est donné et c'est parti pour... un tour pour rien... deux tours pour rien ... ce n'est qu'au troisième que Margot réussit enfin à toucher son adversaire, à briser sa lance et à envoyer le Duc sur le sable.

Demi tour en bout de lice elle voit son adversaire se relever sans peine et se porte à sa hauteur pour le saluer, elle retira son heaume.

Votre Grâce merci pour cette rencontre à une autre fois peut être.

Puis elle retrouva son père au bord de la lice.

Pfff quelle chaleur ! Je suis contente d'aller retirer cette armure et de boire une bonne citronnade bien fraîche.

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Dedain
    Court est le temps qui s’étire si lentement, alors que la rage de la fête enflammée marque de sa superbe de plomb figé de glace une journée laborieuse pour les uns et heureuses pour les autres.

    Il était invité, l’ami maudit, celui qui, mortellement usé par le traître abandon, punissait dès lors sans complaisance en décuplant sa propension à l’indifférence. Ainsi donc, le Suzerain de la Fleur renaissante s’évertuait encore à étendre son ombre sur cet événement déjà si triste en un cœur fatigué par des réminiscences fraternelles, et ce, sans renâcler, car il crevait de toute façon lui-même doucement d’aigreur et d’aversion.
    Adoncques, c’est un lourd carrosse aux armoiries frappées de bovins sanglants, précédé de cavaliers battant pavillon chatoyant, qui fit bientôt sa prime entrée en les terres vassales, venu tout droit de la capitale régionale.

    Sous le soleil vivifiant du Béarn, sorti de son réceptacle amer et fade, frappant de ses bottes agiles la poussière de Barbazan bordant la lice qui se fera attraction du moment, c’est une créature au minois marmoréen, ciselé par l’ouvrage des vents septentrionaux, qui se présente, toute cerclée d’une lourde livrée de nuit rehaussée d’un pourpoint chamarré d'enluminures de gueule obscure. Au chef, un chapeau vient figer la longue chevelure mordorée du Noldor qu’il s’évertue toujours à discipliner d’un ruban. Et, si d’aucuns se mettent déjà à souffrir des embruns animés et virulent de l’astre, l’Hivernal maudit quant à lui déjà la bise imaginaire qu’il ressent occupée à dévorer sa nuque si docile, ce qui l’amènera à relever bien haut son collet.

    Le Comte du Béarn ne joutera pas. Il se trouve être meilleur érudit que brave guerrier. Or donc, le voila qui gravit les quelques marches de l’estrade, mains gantées jointes en le giron de son dos, pour venir poser son séant d’autorité à la droite de Saint-Jean, sans lui adresser plus d’attention que nécessaire.
    Elle l’aura bien cherché.

    Puis finalement, place aux guerriers.

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Felip.
[Château de Barbazan, au petit matin avant le début des festivités et l'arrivée des Jouteurs..]


C'était le moment tant attendu par Felip, l'occasion d'agir en toute tranquillité puisque la maîtresse des lieux se voit largement occupée à se faire choyer et pouponner par ses suivantes.
Aux yeux du Comte Immaculé, Lucie est la plus Lumineuse et Flamboyante des femmes bien évidemment, mais ce jourd'hui qui fête le jour de sa venue au monde, ce sera aux yeux de tous qu'elle le paraîtra dans ses plus beaux atours.
Profitant que le champs soit libre donc, sa Blancheur réquisitionne quatre hommes au service de la Vicomtesse (après-tout L. & F. partage quasiment tout maintenant !) afin que ceux-ci déplacent avec le plus grand soin le cadeau volumineux et délicat jusque dans les appartements de Lucie sous le regard bien veillant de Felip qui ne tolérera aucun faux pas.
Heureusement pour les serviteurs, ceux-ci ont rempli leur tâche avec brio. La Vicomtesse peut se féliciter de posséder des gens à la fois loyaux et consciencieux.
La cadeau volumineux qui se trouve être une magnifique tapisserie fleurie baptisée "Sława i Chwała Republice!" par un artiste dénommé Kantonka, est déposé dans la chambre de Lucie bien à la vue afin que cette dernière y tombe aisément dessus (au sens figuré évidemment !) lorsqu'elle sera de retour après son instant "détente et préparations".

Un second présent se trouve secrètement dans le fond de la veste portée par Felip, qu'il prendra soin d'offrir à son Crocus dans la soirée après le Bal de la Saint Jean.

...


[Actuellement, Cérémonie d'ouverture et premier jour à la Lice !]

Même s'il se fait discret, Felip n'est jamais bien loin de sa Vicomtesse de Barbazan-Debat qui, celle-ci, accueille ses hôtes et remercie une partie des organisateurs par un discours à la fois bref mais sincère et agréable.
A quelques mètres en retrait, le Von Wittelsbach garde son regard protecteur et aimant rivé sur elle et esquisse un sourire en l'observant faire.
Petite "chose" fragile qui laisse paraître alors qu'en réalité, Saint Jean est une femme forte, de poigne et surtout est un aussi bon vassal que suzerain. Bourrée de qualité. Mais cela hors de question pour Felip de le lui faire savoir !

Lorsque le moment vient pour les premiers jouteurs de faire leur entrée en Lice, le Comte Immaculé est rejoint par sa Fleurie puis ensemble vont prendre place dans les tribunes pour assister aux premiers duels. Bientôt le jeune couple sera rejoint par l'Hivernal. Fort bien mis sur lui il faut avouer !
Quand à Felip, il fait parti des compétiteurs-jouteurs. Son armure et ses armes sont actuellement en préparation dans une tente aux abords de la Lice un peu plus loin.
Le Noble Armagnacais garde les yeux rivés sur la Lice, jugeant les potentiels adversaires qui défileront et préférant ne pas penser au "pire", puisque souvent les Joutes promettent spectacle, adrénaline, sang et poussière mais aussi parfois une mort brutale ou agonisante. C'est le jeu ma pauvre Lucette ! Il en est bien conscient.
La main de sa Blancheur vient se faufiler dans celle de la Fleurie, leurs doigts se mêlent.
Inutile de chercher à prononcer des mots qui se veulent réconfortant pour sa bien-aimée. Être présent à ses côtés et tout faire pour le rester une fois que son tour à jouter sera passé. Cela suffit.

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Aimelin
Citation:
Aimelin de Millelieues, Duc de Sézanne, Seigneur d'Etampes-sur-Marne, Précy-St-Martin, Lesmont et Marigny
affronte
Kantin Aymeric de Mialans, Seigneur de Banson et Clavières-sur-Alagnon




La voix de Keltica appelle les deux concurrents, en les personnes du Duc de Sézanne, donc, et du Seigneur de Banson. La jeune femme les salue, leur laisse quelques minutes pour finir leurs préparatifs, puis donne le départ.

Les chevaux s'élancent, les lances s'abaissent... et seul le Duc touche ! Pourtant, la force appliquée n'est pas assez marquée pour briser la lance, ni pour faire chavirer le Seigneur, qui reste bien assis en selle.

Le second passage est lancé, et à nouveau, seul le Duc touche. Cette fois, il veille à bien impacter l'écu de son adverse, et le résultat ne se fait pas attendre ; sa lance se brise et le Seigneur est déséquilibré. Malgré ses efforts, il finit dans le sable, sans se blesser heureusement !


Par chute de son adversaire, Aimelin de Millelieues est déclaré vainqueur !



(Eliminatoires - Aimelin VS Kantin)

Ces joutes seraient agréables, qu'il les gagne ou joue les fruits trop mûrs en cours de tournoi, si possible bien avancé. Le Millelieues se consolait de ses piètres résultats par moment, en se disant qu'il avait de la chance dans le privé et c'était pour lui l'essentiel.
La Vicomtesse était une personne agréable et elle avait fait l'unanimité parmi les arbitres, du moins les deux qui officiaient et ça n'était pas toujours que les organisateurs étaient aimables, accueillants... et présents.


sacrebleu mon Altaïr je te rendrai responsable de ma chute fais attention !

Rien de tel que d'énerver son étalon pour qu'il mette un maximum de fougue dans ses galops.
Un regard de connivence au Flottant avant d'entrer en lice en espérant en sortir sans trop de mal afin de continuer à arbitrer ce tounoi.

Et le Merens n'avait pas ménagé son galop, tandis que son cavalier faisait mouche, mais pas suffisamment avec rudesse pour désarçonner son adversaire, ou briser le bois. Une grimace sous le bacinet et le jeune brun relançait sa monture, abaissait sa lance et donnait l'impulsion qui il l'espérait ferait la différence.
Le choc et le bois brisé le firent se retourner alors qu'il contournait la lice et un sourire étira ses lèvres, tandis qu'il venait à la hauteur du Seigneur s'assurer que tout allait bien.


j'espère ne pas vous avoir blessé. Merci pour cette joute Seigneur

Et de l'accompagner pour sortir de Lice.
_________________

~ activité fortement réduite les week end - ~Archiviste judiciaire de Champagne ~
Aimelin
Et les 16èmes pointaient le bout de leur nez



 




Citation:
Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles




Et c'était sa blonde qui ouvrait le bal, face à une jeune Dame ayant bien du talent en joute et qui semblait prendre plaisir à participer régulièrement, ce qui rassurait l'ébouriffé sur la relève, bien que du haut de ses vingt six printemps, il ne se trouvait pas encore ni vieux, ni prêt à rester dans un fauteuil près de l'âtre.

Un sourire pour saluer les deux jeunes femmes et le signal est donné une fois qu'elles sont en place.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les montures sont lancées à vive allure et les deux lances s'abaissent rapidement. Le choc est rude et les     lances volent en éclats, mais la jeune Duchesse a mis plus de force et désarçonne la Dame de Millac les Rodelles.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Aliénor de Millelieues di Favara est déclarée vainqueur !



Citation:
Aimelin de Millelieues, Duc de Sézanne, Seigneur d'Etampes-sur-Marne, Précy-St-Martin, Lesmont et Marigny
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée.




( à venir)



Citation:
Erwany Lemonier , Dame de Ribemont
affronte
Albin d'Ar Sparfel, Vicomte de Mondoubleau, Baron Douaire d'Entrammes


Prochain duel, le juge salue les deux jouteurs et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances s'abaissent mais seul le Vicomte touche et brise le bois, entrainant la chute de son adversaire.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Albin d'Ar Sparfel est déclaré vainqueur !



Citation:
Neyco de Fronsac, Comtesse de Bruyères le Châtel, Baronne de Hautpoul
affronte
Klouska d'Hauterroche, Dame de Champigneulles-en-Bassigny



Prochain duel et les jouteurs se présentent en lice. Le juge les salue toutes deux et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche.

Deuxième lance.
La même que la première, aucune lance ne touche sa cible.

Troisième lance.
Les lances s'abaissent mais seule Neyco touche et brise le bois.
Sous le choc, Klouska tombe de cheval, et se relève sans aucune blessure.


Par chute de son adversaire, Neyco de Fronsac est déclarée vainqueur !


_________________

~ activité fortement réduite les week end - ~Archiviste judiciaire de Champagne ~
Aimelin

 



(suite)


Citation:
Jeroen d’Arnwald, Duc de Castelnau-Montratier, et Seigneur de Carignan.
affronte
Petitrusse dict Le Conquérant, Duc de La Mothe-Bromont, Seigneur d’Albepierre, Seigneur de Thorey-en-Plaine



Prochain duel, les jouteurs se mettent en place après que le juge les ait salué.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Le duc de Castelnau-Montratier rate sa cible, mais le Duc de La Mothe-Bromont touche et brise sa lance. Sous le choc, il désarçonne son adversaire. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Petitrusse dict Le Conquérant est déclaré vainqueur !



Citation:
Octave Saint-Ange de Bohême-Moravie, Seigneur de Saint-Martin d'Abbat
affronte
Aeglos d'Orkney-Bressey, Duc d'Aumale, seigneur de Montpeyroux



Le juge salue les deux jouteurs et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible et se brisent sous l'impact, mais le Seigneur de Sainte Martin d'Abbat ne parvient pas à garder son équilibre et tombe de cheval. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Aeglos d'Orkney-Bressey est déclaré vainqueur !



Citation:
Lexhor d'Amahir, Prince de Montlhéry, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau, de Château-Landon, d'Evron, de Montereau-Fault-Yonne et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Château-Renault et de Saint-Antoine-de-Rochefort, Chevalier de France, et Pair de France
joutera en l'honneur de Madeleine de Firenze, Princesse de France.
affronte
June Sidjéno, Vicomte de Riverie, Seigneur de la Motte-Saint-Martin, de Brétigny, de Foulletorte et de Cussy-les-Forges



Les deux jouteurs entrent en lice et le juge les salue avant de les laisser se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux sont lancés à vive allure, les deux lances touchent leur cible mais seul Lexhor brise le bois.
Sous le choc June quitte les étriers. Il se relève et souffre d'une légère blessure à la nuque.



Par chute de son adversaire, Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur !




Citation:
Millie d'Hauterroche, Baronne de Nogent le Roi
affronte
Merveylle Catherine Elisabeth de la Mirandole, Princesse de France, Dame de Saint Agil



Une jeune Baronne que le Juge suit du regard. Ce sont ses premières joutes et elle affronte une jeune Princesse qui joute depuis quelques temps.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux sont élancés, les lances s'abaissent mais seule Merveylle touche et brise sa lance.
Sous le choc, Milli est désarçonnée. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Merveylle Catherine Elisabeth de la Mirandole est déclarée vainqueur !


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Aimelin

 



(suite)

Citation:
Jujoss de Kerfadec, Vicomtesse de Vadenay et Dame de Morsins
affronte
Zelenka, Dame d'Adonville



Deux habituées des joutes vont s'affronter et le juge les salue toutes les deux avant de les laisser se mettre en place.
Puis le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucune lance ne touche.

Deuxième lance.
Les deux lance touchent leur cible, mais seule Jujoss brise le boise. Toutefois, déséquilibrée par le choc, elle tombe de cheval alors que Zelenka reste en selle.
Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Zelenka est déclarée vainqueur !



Citation:
Do..... de Goëllor, Baronne de Sombernon, Dame de Savigny en Terre Plaine et de Changy
affronte
Klementein d'Andecy, Comtesse d'Antin



Une Baronne habituée des joutes, face à une Comtesse que le jeune Juge reconnait, pour l'avoir connue et cotoyée en Béarn, une ancienne champenoise.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place. Le signal est donné sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible et se brisent sous l'impact, mais le choc est rude, et Klementein ne parvient pas à rester en selle. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Do..... de Goëllor est déclarée vainqueur !



Citation:
Arnaud Giboint de la Maurinière, Comte de Rodelle, Baron de Brethencourt, Seigneur de Sennely et de Douzon
affronte
Azorak Ducastel, Seigneur de Vaulx



Un abitué des lices, face à un débutant. Le juge les salue et les laisse se mettre en place avant de donner le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
C'est le Comte qui touche et brise le bois, alors que le Seigneur rate sa cible et tombe de cheval sous le choc.
Aucune blessure à déplorer.



Par chute de son adversaire, Arnaud Giboint de la Maurinière est déclaré vainqueur !



Citation:
Jason Ludgarès de Vissac dict l'Insolent, Vicomte de Montivilliers et de Cheylanes, Baron de Vissac
affronte
Actarius Malzac d'Euphor, Prince de Dourdan, Duc d'Auxerre & de Vertus, Comte du Tournel, Vicomte de Milly-en-Gâtinais, Baron de Donzy & de Florac



Le juge salue les deux jouteurs et les laisse se mettre en place, puis donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
C'est le Vicomte qui touche sans briser le bois, alors que le Duc rate sa cible mais reste en selle.

Deuxième lance.
A nouveau, c'est le Vicomte qui touche sans briser le bois à nouveau, alors que le Prince de Dourdan rate sa cible et ne parvient pas à garder son équilibre. Il tombe de cheval mais se relève sans aucune blessure.



Par chute de son adversaire, Jason Ludgarès de Vissac dict l'Insolent est déclaré vainqueur !


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(suite et fin)



Citation:
Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn
affronte
Léana Herbst de la Rose Noire de Blauzac, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne



Les deux jouteurs entrent en lice. Le Millelieues les connait l'une du Béarn, et l'autre pour l'avoir cotoyée en Champagne, enfin il lui semble bien. Il les salue et les laisse se mettre en place et donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible, mais seule la petite galette béarnaise, oui il se souvient du surnom, se brise et sous le choc entraine la chute de son adversaire. Cette dernière se relève, et souffre d'une légère blessure à la poitrine.



Par chute de son adversaire, Calypso d'Ascoli, dicte Cooky est déclarée vainqueur !



Citation:
Felip Arthur Von Wittelsbach de la Duranxie, Seigneur d'Arrouède
affronte
Chadada de Mathevet, Seigneur de Méréglise



Le juge salue les cavaliers et les laisse se mettre en place, puis le signal est donné.
Sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe aucune lance ne touche

Deuxième lance.
Les deux lances touchent mais aucune ne se brise. Félip tombe de selle et se relève sans blessure.



Par chute de son adversaire, Chadada de Mathevet est déclaré vainqueur !



Citation:
Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost,
affronte
Leanore Giboint de Dampyerre, Comtesse de Rodelle, Baronne de Bréthencourt, Dame de Sennely et de Douzon




Les deux jouteurs entrent en lice. A nouveau le jeune Duc en connait une, Melian, rencontrée lors de ces années passées en Béarn. Elle affronte le Médecin de la Ligue, la Comtesse de Rodelle. Il les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
C'est Leanore qui touche et brise sa lance alors que Melian rate sa cible mais reste en selle.

Deuxième lance.
Cette fois ci c'est Melian qui touche et brise sa lance, alors que Leanore rate et ne parvient pas à rester en selle sous l'impact.
Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Melian de Ventoux est déclarée vainqueur !



Citation:
Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives
affronte
Hoel de trajan, Lablanche d'Abancourt, Seigneur de Chanlançois,



Et le dernier duel voyait entrer en lice sa complice distributeur de bons points. Elle affrontait un habitué des lices.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place, puis le signal est donné.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les deux jouteurs touchent leur cible mais seule Keltica brise le bois. Son adversaire ne parvient pas à garder son équilibre et tombe de cheval. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Keltica de Chancelley est déclarée vainqueur !


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