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[RP] Joutes Juin 1464 - La Lice

Ursus


Citation:
Davy de la Roche Tourbière dict Le Dévoué, Duc de Beaumont le Roger, Vicomte du Mont Saint Michel, Baron de Le Neubourg, Seigneur de Jugy
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée.



L'un des plus anciens jouteurs, et qui dit ancien dit expérience en la personne du Duc de Chateaurenard face à un habitué des lices le Duc de Beaumont le Roger.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place, puis donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux sont lancés à vive allure et les deux lances touchent leur cible, mais seul Ursus brise le bois.
Toutefois sous le choc, les deux cavaliers tombent de selle.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par un bris de lance contre aucun, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !


Après le Mont Saint Michel, le Duc de Chateaurenard devait redescendre plein Sud vers le Béarn. En compagnie de son écuyère, le voyage fut agrémenté de paysages magnifiques sous le soleil de juin.

On s'installa ensuite sur le campement du Vicomté de Barbazan-Debat avant de se préparer pour les éliminatoires. Le Duc de Beaumont le Roger commençait à s'affirmer sur les lices et on pouvait s'attendre à une lutte difficile.

Le choc de ducs fut en effet terrible, mais par chance, seul Ursus brisa sa lance. Après avoir félicité Davy de la Roche Tourbière, le baron d'Illiers mit pied à terre et redonna le morceau de lance à son écuyère.


Je crois que celle ci ne pourra plus jamais servir Rose.
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Nadjka
Citation:
Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Nadjka de Castel-franco, dame de Morthemer



Les éliminatoires commençaient bien pour les Millelieues, les deux avaient été tirés au sort.
Et c'était son épouse qui ouvrait le bal face à une jeune Dame. Le jeune brun les salua d'un sourire, et les regarda sa mettre en place, son regard s'attardant sur la jeune Duchesse.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucune lance ne touche.

Deuxième lance.
Les chevaux sont lancés à vive allure, les lances s'abaissent et touchent chacune leur cible. Mais seule Aliénor brise sa lance.
Le choc a été rude, et sous l'impact, les deux cavalières quittent les étriers et tombent de cheval.
Fort heureusement, aucune blessure n'est à déplorer.


Par un bris de lance contre aucun, Aliénor de Millelieues di Favara est déclarée vainqueur !



Première fois que la Castelfranco est éliminée dès la première phase des joutes... Elle l'a mauvaise l'italienne! mais il semblait bien que le diseur connaissait la duchesse contre qui elle joutait... hum, on fragilise la lance avant le combat pour qu'elle se brise et hop! Ni vu ni connu! La castelfranco salua quand même l'Aliénor:


Bonne chance pour la suite, vous en avez eu jusqu'ici, il n'y a pas de raisons que cela ne continue pas.


Puis, une fois déséquipée, elle alla assister à la joute d'Hoel... Mince éliminé lui aussi! C'est pas cette fois qu'ils s'affronteraient...

Hoel! Alors on mord la poussière? Je vous espère sur une autre lice, faites-moi signe!
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Melian
[Ouverture du tournoi]

Melian, accompagnée de Bellina, Louison et Selene, vêtue d'une belle robe, élégante et légère mais pas trop pour la saison, s'en était venue écouter le discours d'ouverture.

Elle n'eut aucun mal à reconnaître Aimelin, et sourit doucement. Un sourire bienveillant, qui ne la quittait plus depuis de longues années maintenant. Puis, le discours d'introduction de leur hôtesse, et finalement les éliminatoires commencèrent.

La jeune femme et ses suivantes s'installèrent dans les gradins pour les suivre. Melian souhaitait apprendre et comprendre, ayant constaté que parmi les jouteurs, nombreux étaient celles et ceux qui étaient fort expérimentés, tandis qu'elle venait seulement de s'y mettre.

Lors de la première joute, les deux dames tombèrent, ce fut donc le bris de lance qui détermina le vainqueur. Pas de blessure heureusement.

Lors de la seconde, elle reconnut la Dame contre qui elle avait jouté en Bretagne, et fut heureuse de voir qu'elle allait bien. Si bien qu'elle gagna son duel, et là encore personne ne semblait touché.

Les troisième et quatrième se déroulent sans encombre également.

Melian attendit donc les affichages suivant, qui lui apprirent que sa prochaine adversaire ne serait autre que le médecin de la ligue de joute ! Autant dire que la Ventoux, médecin-chef de l'hospital Comtal, ne pouvait que trouver la chose amusante, mais plus encore rassurante : en effet, qui mieux que des professionnelles de la médecine pour savoir comment ne pas faire de mal à leur adversaire ?

Elle alla donc se préparer, avec une légère appréhension néanmoins : son adversaire était a priori bien plus expérimentée qu'elle. Au moins apprendrait-elle certainement beaucoup ainsi, quoi qu'il arrive.




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[Seizièmes de Finale - Melian de Ventoux vs Leanore Giboint de Dampyerre]

Alors qu'on la prépare et qu'on lui passe son armure, confiant l'épée à son aide de camp pour un éventuel duel à pied, Melian tâcha de se concentrer avant sa joute, tandis que se déroulaient les autres sur la lice.

Finalement, ce fut son tour. Elle sortit de sa tente, monta sur sa jument arabe blanche Amaïa. Bellina lui donna sa lance et son bouclier, et l'on prit la direction de la lice.


Citation:
Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost,
affronte
Leanore Giboint de Dampyerre, Comtesse de Rodelle, Baronne de Bréthencourt, Dame de Sennely et de Douzon




Les deux jouteurs entrent en lice. A nouveau le jeune Duc en connait une, Melian, rencontrée lors de ces années passées en Béarn. Elle affronte le Médecin de la Ligue, la Comtesse de Rodelle. Il les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
C'est Leanore qui touche et brise sa lance alors que Melian rate sa cible mais reste en selle.

Deuxième lance.
Cette fois ci c'est Melian qui touche et brise sa lance, alors que Leanore rate et ne parvient pas à rester en selle sous l'impact.
Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Melian de Ventoux est déclarée vainqueur !



Visière relevée, elle rendit son salut au Duc. Elle salua également le public, puis rabattit la visière de son heaume tandis qu'elle prenait place.

Au signal, elle talonna la jument et partit droit. Elle manqua sa cible, qui elle ne la loupa pas, mais la Ventoux encaissa le choc alors que la lance de son adversaire se brisait.

Elle reprit position, tâchant de rester concentrée et Bellina lui donna une autre lance pour remplacer celle qu'elle avait brisé. Cette fois, alors qu'elle s'élançait au signal, ce fut la Comtesse qui la manqua tandis que Melian la touchait et que le choc faisait tomber son adversaire de sa monture.

La Baronne descendit une fois le verdict du juge diseur rendu. Elle avait donc gagné. Elle en était surprise, il faut bien le dire. Elle s'approcha de la Comtesse.


Merci beaucoup pour cette joute, j'espère que vous n'estes pas blessée.
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Cette signature est HRP.
Merveylle_mirandole
Lancement des Joutes par Lucie fleurie


Citation:
Millie d'Hauterroche, Baronne de Nogent le Roi
affronte
Merveylle Catherine Elisabeth de la Mirandole, Princesse de France, Dame de Saint Agil



Une jeune Baronne que le Juge suit du regard. Ce sont ses premières joutes et elle affronte une jeune Princesse qui joute depuis quelques temps.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux sont élancés, les lances s'abaissent mais seule Merveylle touche et brise sa lance.
Sous le choc, Milli est désarçonnée. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Merveylle Catherine Elisabeth de la Mirandole est déclarée vainqueur !


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Alienor_vastel
    Eliminatoires
    Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
    affronte
    Nadjka de Castelfranco, dame de Morthemer

Dans la famille Milellieues pour les éliminatoires, je demande les deux époux ! Le bon côté de la chose, car il en fallait bien un, c'est qu'au moins ils sauraient rapidement ce qu'il en serait de la suite dans ce tournoi, puisqu'ils passaient dans les premiers.
Et c'était même Aliénor qui ouvrait les festivités. Contre une adversaire qu'elle ne connaissait pas, il fallait aussi reconnaître que la petite Duchesse était moins présente sur les lices qu'elle ne l'avait été autrefois.
Ce qui ne signifiait pas pour autant que toute l'expérience acquise à force de fréquentation des champs clos avait disparu aux oubliettes, et comme souvent alors qu'elle prenait place en bout de lice, elle décida de faire confiance à ses réflexes. Un choix qui lui fut utile lors du second passage, lorsque sa lance vint se briser sur l'écu adverse et que sous le choc, elle fut déséquilibrée et chuta sans toutefois se faire de mal.
Et un léger haussement des sourcils aux félicitations de sa malheureuse adversaire, accompagné d'un sourire en coin et d'un remerciement.
Avant de quitter la lice, au bord de laquelle elle restera néanmoins pour assister à la victoire lui aussi, de son époux.



    Seizièmes de finale
    Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
    affronte
    Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles

Le tournoi était maintenant lancé et tous les membres de la tribu infernale allaient maintenant pouvoir participer, les Millelieues ayant -enfin !- réussi l'épreuve des éliminatoires.
En commençant par Aliénor -et il en serait d'ailleurs de même tant quelle serait encore en course, elle allait bien devoir s'y résoudre.
Et donc de prendre sa place en bout de lice, un salut à son adversaire, un autre, souriant -même si, sous le heaume c'était difficile à deviner !- à l'arbitre. Avant d'éperonner sa frisone et ajuster sa lance à l'horizontale. Un geste maintes fois pratiqué, et avec succès une fois encore. Et de serrer les dents sous le choc, resserrer les genoux pour se maintenir en selle.
Un demi tour en bout de lice pour s'apercevoir que son adversaire, quant à elle, est tombée, puis de se rapprocher et se laisser glisser au sol pour parcourir les derniers pas les séparant pour saluer son adversaire.


Ma Dame, je vous remercie pour ce duel. J'espère que votre chute a été sans conséquences...

Puis de laisser la place aux suivants. Réalisant à cet instant qu'en cas de victoire de son époux... ils s'affronteront au tour suivant !
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[présence fortement réduite les we]
Azorak
Citation:
Arnaud Giboint de la Maurinière, Comte de Rodelle, Baron de Brethencourt, Seigneur de Sennely et de Douzon
affronte
Azorak Ducastel, Seigneur de Vaulx



Un abitué des lices, face à un débutant. Le juge les salue et les laisse se mettre en place avant de donner le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
C'est le Comte qui touche et brise le bois, alors que le Seigneur rate sa cible et tombe de cheval sous le choc.
Aucune blessure à déplorer.


Par chute de son adversaire, Arnaud Giboint de la Maurinière est déclaré vainqueur !


Voilà qu'il débute ces joutes en seizième. Il connaissait de nom son adversaire mais n'avait pas eu l'occasion de le voir jouter. Le public qui scandé le nom de son adversaire laissait entendre qu'il s'agissait d'un habitué. Il faudra donc la jouer finement...

A son habitude il mit en place son petit rituel de la bannière avant de chuchoter quelques paroles. Il ferma alors son heaume pour se mettre en position. C'est parti!!!

Et c'est fini... La lance vint s'éclater sur son plastron, et le Seigneur de Vaulx finit au sol comme à son habitude... Mais il s'améliorait, il toucha le bois de sa lance car il ne s'était pas fait mal depuis quelques temps...


Félicitation à vous cher Comte, bon courage pour la suite.

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Primha
Dans les gradins


Attentive aux joutes, l'océan rosé n'en perdit pas une miette. Doucement, dextre et senestre applaudirent à de nombreuses reprises, tant les vainqueurs que les perdants. Puis quand vint le tour de Merveylle, Argentée ne pu se retenir. Le séant quitta le siège, pour venir agripper le fin bois qui séparait les spectateurs des jouteurs. Boisée était sans nul doute une Princesse guerrière, toute fois, l'inquiétude de voir son amie lance en main lui piqua le buste. Nerveusement, le pouce tapota la rembarre, suivant la rapide avancée de Byzantine et sa cavalière. La lance se brisa, mais Ô joie, Boisée resta en selle. Sans retenue, Valyria applaudit, les carmines étirée dans un sourire rassuré, avant de ne venir se reposer près de Lucie.
Arnaud_giboint






Citation:
Aimbaud de Josselinière, Marquis de Nemours, Duc de Corbigny, Seigneur de Decize et Saint-Robert
affronte
Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles



Deuxième duel de ces éliminatoires. Le juge salue les deux cavaliers et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucune lance ne touche.

Deuxième lance.
La même que la précédente, les jouteurs ne parviennent pas à toucher leur cible.

Troisième lance.
La jeune Dame ne compte pas se laisser faire et s'arrêter là. Elle porte son coup avec habileté et touche l'écu adverse alors que le Marquis rate sa cible.
La lace de Margot se brise et sous l'impact, envoie son adversaire rejoindre le sable de la lice.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Margot Giboint de la Maurinière est déclarée vainqueur !


C'etait parti pour les Eliminatoire et Margot était en piste
une lance tendue par son père et rapidement saisie et Margo penétre sur la lice. après deux passes sans succés Mrgot parvint à toucher et à envoyer son adversaire sur le sable ce qui réjouit
son père qui ne manque pas de la féliciter dès sa sortie de lice.


Bravo Margot tu t'en ais remarquablement sortie, mais il faudrait qu'à l'avenir tu te mettre plus rapidemennt en situation de gagner, vas falloir faire un peu d'entrainement au mannequin


 




Citation:
Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles




Et c'était sa blonde qui ouvrait le bal, face à une jeune Dame ayant bien du talent en joute et qui semblait prendre plaisir à participer régulièrement, ce qui rassurait l'ébouriffé sur la relève, bien que du haut de ses vingt six printemps, il ne se trouvait pas encore ni vieux, ni prêt à rester dans un fauteuil près de l'âtre.

Un sourire pour saluer les deux jeunes femmes et le signal est donné une fois qu'elles sont en place.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les montures sont lancées à vive allure et les deux lances s'abaissent rapidement. Le choc est rude et les     lances volent en éclats, mais la jeune Duchesse a mis plus de force et désarçonne la Dame de Millac les Rodelles.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Aliénor de Millelieues di Favara est déclarée vainqueur !



Seizième de final et c'est de nouveau Margot qui ouvre le bal avec moins de succés qu'aux éliminatoires même si elle et son adversaire parvienne à toucher et à briser leur lance au premier assaut Margot ne peut se maintenir en selle et chuteheureusement sans dommage. ce qui n'empèche pas Arnaud de sourire à sa fille et de la réconforeter quand elle le rejoint hors de la lice.

Tu n'as pas le moins du monde déméritée Margot, Alienor à beaucoup plus d'expérience que toi, aussi il est normal que tu puisses être battue, tu fara mieux la prochaine fois que tu la rencontrras j'en suis certain.


Citation:
Arnaud Giboint de la Maurinière, Comte de Rodelle, Baron de Brethencourt, Seigneur de Sennely et de Douzon
affronte
Azorak Ducastel, Seigneur de Vaulx

Un abitué des lices, face à un débutant. Le juge les salue et les laisse se mettre en place avant de donner le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
C'est le Comte qui touche et brise le bois, alors que le Seigneur rate sa cible et tombe de cheval sous le choc.
Aucune blessure à déplorer.


Par chute de son adversaire, Arnaud Giboint de la Maurinière est déclaré vainqueur !


Bon au tour d'Arnaud d'entreren piste face à un Mainois, tiens donc amusant pour lui ex mainois. Qui plus est un débutant alors méfiance et de redoubler de vigilance quand viendra le moment de l'impact . Un sourirre à sa fille il se saisit de la lance qu'elle lui tend et pénètre sur la lice, saluant juge et adversaisre il regagne son emplacement et au son du Buccin lance Furio au galop.
L'écu adverse se rapproche arnaud ajuste la prise en main de sa lance en dirige la pointe vers le centre de l'écu adverse touche et brise le bois.
le bout de la lice est rapidement atteint, faisant demi tour constatation s'impose l'adversaire est au sol, ZArnaud se débarrasse donc de son Heaume e de sa lance brisé et revient vers son malheureux adversaire pour le saluer. et rendre la politesse aux paroles que ce dernier lui adresse


Félicitation à vous cher Comte, bon courage pour la suite.

Soyez rémercié pour l'échange Messir, je gage que vous puissiez avoir un jour votre revanche, en tout les ca si je me réjouis de cette victoire et bien plus encore du fait que vous n'ayez pas à souffrir de votre chute.


Citation:
Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost,
affronte
Leanore Giboint de Dampyerre, Comtesse de Rodelle, Baronne de Bréthencourt, Dame de Sennely et de Douzon




Les deux jouteurs entrent en lice. A nouveau le jeune Duc en connait une, Melian, rencontrée lors de ces années passées en Béarn. Elle affronte le Médecin de la Ligue, la Comtesse de Rodelle. Il les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
C'est Leanore qui touche et brise sa lance alors que Melian rate sa cible mais reste en selle.

Deuxième lance.
Cette fois ci c'est Melian qui touche et brise sa lance, alors que Leanore rate et ne parvient pas à rester en selle sous l'impact.
Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Melian de Ventoux est déclarée vainqueur !


La fin de de la journée approche et c'est au tour de Léanore de jouter, aussi Arnaud accompagne til son amiour jusqu(à l'netrèe de la lice afin de suivre le duel qui commence plutôt bien puisque d"è la première passe Léanore parvient à toucher son adversaire et à biser sa lance, malheureusement il manque un peu de force dans le coup porté pour que l'adversaire puisse choire de sa montutre.

Hélas la seconde passe est moins réjouissante Léanore rate la cible tandis que la lance adverse percute son écu l'envoyant du même coup au sol faisant se serrer le coeur d'Arnaud heureusement Léanore se rélève aussitot sans mal,ce qui fait pousser à Arnaud un soupir de soulagement. en attendant que la daame de son coeur ne vienne le rejoindre.

Bon c'est une journnée en demi teinte pour la famille une de plus cette saison arnaud restant seul en piste pour les huitième de final.

cela ne l'empèche pas d'embrasser sa fauvette dès qu'elle se retrouve à ses côtés.


Pas de chance mon pauvre amour, qu'el dommage que tu n'ais pas pu appuyer un peu plus ton coup à la première passe, mais ce n'est pas grave nous avons quand même une victoire à fêtrerr ce soir.
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Klementein

 



Citation:
Do..... de Goëllor, Baronne de Sombernon, Dame de Savigny en Terre Plaine et de Changy
affronte
Klementein d'Andecy, Comtesse d'Antin



Une Baronne habituée des joutes, face à une Comtesse que le jeune Juge reconnait, pour l'avoir connue et cotoyée en Béarn, une ancienne champenoise.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place. Le signal est donné sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible et se brisent sous l'impact, mais le choc est rude, et Klementein ne parvient pas à rester en selle. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Do..... de Goëllor est déclarée vainqueur !



Première ! Premières joutes, en Béarn, et premières joutes tout court pour la Comtesse.
Et dernière pour cette fois...
Malgré qu'elle ait pu fracasser sa lance et que son adversaire eu fait de même, Klem ne fut pas assez souple pour rester en place et patatras ! Le fessier sur la lice !

Et rire de la Mauléonnaise, car la voir ainsi sur ses fesses, de mémoire de Béarnais, ça n'était jamais arrivé, déjà pas avant d'être Comtesse, mais encore moins depuis !
Et même pas de bonne laine de mouton pour amoindrir son atterrissage, heureusement que ce ne fut pas douloureux, pour ça aussi qu'elle peut se permettre d'en rire !

Klemy salua alors la gagnante du combat, et lui souhaita bonne chance pour la suite.

_________________
Erwany



Citation:
Erwany Lemonier , Dame de Ribemont
affronte
Albin d'Ar Sparfel, Vicomte de Mondoubleau, Baron Douaire d'Entrammes


Prochain duel, le juge salue les deux jouteurs et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances s'abaissent mais seul le Vicomte touche et brise le bois, entrainant la chute de son adversaire.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Albin d'Ar Sparfel est déclaré vainqueur !



Une nouvelle fois , elle allait jouter contre Albin.

La brune se présenta en lice , un regard à Ouss

Arf , Albin a une revanche a prendre , il va pas être tendre un clin d oeil à Ouss afin que cette dernière ne s'inquiète pas de trop puis Rwany prit sa lance.
Elle s'avance , salue le public , le juge puis son adversaire à qui elle adresse un sourire avant de baisser son heaume.

Le départ est donné! Enfonçant ses pieds dans les étriers , serrant les cuisses contre les flans de son cheval , la poitevine s'élance.

La lance s'abaisse .... A peine le temps de visé que le choc la propulse les fesses dans la poussière....

Relavant son heaume

Par Aristot Vicomte , vous ne m avez laisser aucune chance !!! et la jeune femme de rire en se relevant , elle n'est pas blessé s'est le principal

Bonne chance pour la suite Albin

Un sourire à sa rousse

Allez retour à la tente, on va pouvoir fêter ma défaite
_________________
Felip.
Citation:
Felip Arthur Von Wittelsbach de la Duranxie, Seigneur d'Arrouède
affronte
Chadada de Mathevet, Seigneur de Méréglise



Le juge salue les cavaliers et les laisse se mettre en place, puis le signal est donné.
Sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe aucune lance ne touche

Deuxième lance.
Les deux lances touchent mais aucune ne se brise. Félip tombe de selle et se relève sans blessure.



Par chute de son adversaire, Chadada de Mathevet est déclaré vainqueur !



Felip est toujours assis dans les Tribunes aux côtés de Lucie, alors qu'Il assiste aux duels saisissants qui se déroulent sous ses yeux, un Page se glisse derrière son dos pour l'informer discrètement à son oreille que le tour de jouter de sa "Blancheur" ne saurait tarder. Il est temps de quitter les tribunes pour aller se préparer donc.
Mais avant cela, Felip porte la main de Lucie à ses lèvres et y dépose un long baiser tout en accrochant son regard océan à celui menthe à l'eau de la Vicomtesse.


Le moment est venu pour moi, ma Fleuriancée. Avant que je ne vous quitte temporairement, faites-moi l'honneur de porter vos faveurs ?

Joignant le geste à ses paroles, Felip prend soin d'attacher les faveurs à son poignet droit. Main qui tiendra la lance. Puis approche son visage de celui de sa mie et ose lui voler un baiser amoureux et appuyé.

Priez pour que le Très Haut m'accorde la victoire ou plutôt la santé intacte.

Le Von Wittelsbach se lève puis quitte les tribunes pour rejoindre la tente aux abords de la Lice afin de revêtir son armure avec l'aide de ses Pages :




Pendant que les précédents jouteurs quittent la Lice et que les cerfs se dépêchent de ratisser le sable pour l'égaliser le terrain, Felip monte à cheval, se coiffe de son heaume en gardant la visière encore ouverte, troque son épée contre sa lance et s'avance pour entrer sur le terrain devant les spectateurs une fois que son adversaire, inconnu jusque là, et lui-même furent appeler à Jouter.

Le Comte immaculé qui joute sous ses couleurs seigneuriales pour cette fois, salue respectueusement son adversaire, l'arbitre puis porte une dernière fois son regard vers les Tribunes et sa Fleurie.

Il est temps de se concentrer sur l'affrontement à venir. De sa main libre, Felip rabaisse la visière, puis attrape le bouclier tendu par son Page qui quitte le terrain en courant ensuite.
La monture piaffe et semble impatiente de s'élancer. Elle n'aura guère à attendre puisque le départ est donné et les deux jouteurs qui s'élancent rapidement.
La première passe est infructueuse. La pression monte d'un cran.
La seconde passe ne se passe pas vraiment comme prévu et tourne au désavantage de Felip qui n'arrive pas à se redresser suffisamment tôt et finit par céder sous le poids de son armure et l'allure de sa monture qui continue de galoper provoquant indéniablement sa chute lourde mais sans gravité sur le sol.
Un rideau de sable se lève et le Vaincu reste immobile à terre, tout de même sonné, quelques minutes.
Les serviteurs rappliquent illico pour s'enquérir de la santé de leur jeune maître qui peste sous son heaume et relève la visière pour reprendre son souffle sous cette chaleur étouffante de la Saint Jean d’Été.
Finalement, sa "Blancheur" se relève avec de l'aide et se tapote l'armure pour retirer une première fois le sable. Abandonnant ses armes et son heaume aux valets, le vaincu va remercier et féliciter son adversaire vainqueur :


Félicitations Monsieur. Je vous souhaite de continuer loin dans ce tournoi. Bonne chance.

Inutile de s'attarder, car les prochains jouteurs vont devoir assurer la continuité du spectacle.

L'armure retirée et un brin de toilette plus tard, Felip s'en revient prendre place dans les tribunes aux côtés de sa Fleurie. Les faveurs n'ont pas bougé de son poignet.


J'ai failli. Se confit-il d'un ton légèrement déçu d'être sorti si tôt.
Néanmoins, j'ai tenu ma parole. Je reste près de Vous.
_________________
Savian
    Premier jour de joutes au sein des terres de Barbazan. Le Colosse avait bien évidemment accompagné la charmante et douce Vicomtesse de Chancelley. Pour le coup, il semblerait d’ailleurs que pour ce premier jour, cette dernière lui ai fait faux bond. En effet, très tôt, cette dernière avait quitté le campement afin de participer au lancement des joutes. Si l’Alençonnais allait lui en tenir rigueur ? Oh, si vous saviez… !

    Enfin, cela étant, il arrive à temps pour voir la Fleurie discourir. Il accueille d’ailleurs sa venue d’un large sourire franc. Elle était tout à fait rayonnante. Le Colosse avait d’ailleurs pris place assez en retrait par rapport aux autres personnes. En effet, les lieux grouillaient de noble et la Bête étant un peu trop bagarreuse et connaissant bien ses chartes de justice préféra s’éloigner de tout manquement de respect et resta là, tout à fait attentif cherchant alors des yeux l’Unique.

    Alors les joutes commencent, durant les éliminatoires, il ne reconnut les armes que du Duc de Beaumont le Roger qu’il avait pu côtoyer au sein du Tribunal du Palais. Et c’était tout. Puis son regard se posa sur l’arbitre blonde. La première journée de joutes venait de se clore, alors le Colosse s’approche donc de Chancelley, bien décidé à lui reprocher son départ hâtif.


    « Avez-vous tenté de m’éviter ce matin ? Car durant cette première journée, j’ai songé à me venger… »

    Le sourire est taquin, presque narquois et voilà qu’ils se dirigent vers le campement.


Seizièmes de Finale


    Avant tout il put voir la performance de Do qui avait eu une victoire prompte. En effet, dès la première lance elle venait de mettre à terre son adversaire. Assurément que la baronne est redoutable ! Les jouteurs défilèrent puis ce fut le tour de sa Vicomtesse. Bien évidemment, il l’accompagna sur la lice en portant bouclier et lance tandis qu’un serviteur les suivait, heaume en main. Là, il aida la cavalière à monter puis lui tandis le heaume, son bouclier et sa lance. Une fois la chose faite, il lui souhaita bon courage puis lui glissa.

    « Vous rencontrez déjà ma famille dites-moi. En face de vous, mon cousin, Hoel de Trajan Lablanche d’Abancourt. Mais ne vous retenez pas. »

    Il avait ajouté ces derniers mots comme ça, sachant pertinemment qu’il n’était pas dans le tempérament de la divine blonde de se laisser marcher sur les pieds.

_________________
Keltica
Premier jour :

Les éliminatoires se déroulaient sans accroc ; après avoir arbitré, la jolie blonde était restée à la tribune, pour ne pas être impolie vis-à-vis de son collègue et de leur hôtesse, mais son regard était bien souvent attiré vers les tribunes des spectateurs. Qui cherchait-elle ? Un Colosse, une Bête parmi les hommes, mais ne parvenait guère à le trouver, malgré ses efforts. Boudait-il parce qu'elle ne l'avait pas attendu le matin-même ? Elle espérait bien que non ! Pourtant, à maintes reprises, elle sentit durant les éliminatoires qu'on l'observait avec intensité, il ne devait pas être loin, car elle devinait que Lui seul pouvait la fixer ainsi...

Les duels finirent et alors que la jolie blonde quittait la tribune, la haute silhouette de son Colosse s'érigea devant elle.


Oh Savian, vous voilà ! Je suis heureuse de vous voir ! Pensez-vous vraiment que je vous évite, mon doux ami ? Voyez-vous, je suis venue très tôt ce matin, pour aider aux finitions, et je n'ai pas osé vous réveiller... Je pense à votre sommeil, mon cher ami, vous pourriez m'en remercier au lieu de songer à la vengeance ! D'ailleurs... à quelle vengeance pensiez-vous ?

Le sourire qu'elle lui rendit était du même acabit, malicieux et taquin, alors qu'elle prenait son bras pour regagner leurs tentes mitoyennes.




Seizièmes de finale :

Citation:
Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives
affronte
Hoel de trajan, Lablanche d'Abancourt, Seigneur de Chanlançois,



Et le dernier duel voyait entrer en lice sa complice distributeur de bons points. Elle affrontait un habitué des lices.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place, puis le signal est donné.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les deux jouteurs touchent leur cible mais seule Keltica brise le bois. Son adversaire ne parvient pas à garder son équilibre et tombe de cheval. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Keltica de Chancelley est déclarée vainqueur !




La blonde était la dernière à passer de la journée, aussi avait-elle profité du spectacle auprès de son doux ami, depuis les tribunes ; mais il fallut également aller se préparer, un peu avant son passage. Savian l'aida à se préparer, puis, lorsqu'elle fut bien harnachée, la jolie blonde parut en lice, son Colosse à son côté avec son matériel. Une fois en selle, comme une partition bien réglée, Keltica récupéra ses affaires une par une, puis plongea ses yeux dans ceux de Savian.

Je... j'ignorai que c'était votre cousin ! Le nom aurait dû me parler, suis-je bête ! Je tâcherai de ne pas trop l'abîmer quand même, je ne voudrais pas être détestée de votre famille avant même de les connaître !

Elle lui sourit, les yeux pétillants de malice, puis se mit en place ; un salut à son collègue arbitre, puis à son adversaire, et elle attendit le signal, qui ne tarda pas.

Un coup de talons à son cheval le fit s'élancer au galop ; la Vicomtesse abaissa sa lance, et visa avec soin, atteignant du premier coup l'écu du Seigneur. Un craquement se fit entendre, et elle appuya encore davantage son coup, pour être sûre de bien briser sa lance et pour essayer de repousser le cousin de Son Colosse, tant pis pour la famille ! Son destrier l'entraîna jusqu'au bout de la lice, et quand elle se retourna, le Seigneur était au sol.

Sautant au sol, la jeune femme rejoignit Savian avec un sourire.

Et vous qui pensiez me porter malheur... Venez donc avec moi saluer votre cousin, si vous le voulez bien !

Près de Hoel, elle s'inclina.

Messire... J'espère ne pas vous avoir blessé, j'en serai vraiment navrée !
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Madeleine_df
[Les gradins]



Elle n'avait toujours pas pu voir Lucie. En même temps, c'était surtout qu'elle n'osait pas aller la déranger, ni elle, ni le blond qui avait pris place à ses côtés, et qu'elle reconnaissait comme étant son grand accidenté de la route. Le cadeau attendrait, elle attendrait, et regretterait ensuite de ne pas être allée à la montagne, puisque la montagne refusait de venir à elle. Sauvageonne peut-être, elle resta donc bien sagement sur son banc, observant à la dérobée les autres solitudes qui se trouvaient non loin.

Et continuant ses petits paris avec le destin. Pronostics cette fois :
Aliénor (secrétariat d'état un jour...), Aimelin, parce qu'elle venait de comprendre qu'il était l'époux de la première, et que l'esprit de corporation ça marche aussi avec le mari de, Erwanny, parce que cette fois elle voulait tenir avec la dame, Neyco, bien sûr, toujours tenir avec le chef, Petitrusse ensuite, parce que son nom était amusant, Octave, parce qu'elle appréciait l'histoire antique, et puis...

Le drame.

Le duel Parrain vs. Beau-Papa.

Elle devait être maudite. Oh, si Parrain perdait jamais il ne lui pardonnerait de l'avoir forcé à s'inscrire pour la représenter, et si c'était June qui perdait, cette fois ce serait sa mère qui la bouderait jusqu'au fin fond de l'éternité ! Prise d'angoisse, elle se mit à triturer son mouchoir entre ses mains, tout en observant le match, sens en alerte, comme si sa vie se jouait devant ses yeux.

C'était comme si la scène se déroulait au ralenti. Et puis sans réfléchir, au moment de l'impact, elle s'était levée, tenue par le suspense de l'instant.


- Parrain !

Au moins, ce n'était pas compliqué. Son corps avait choisi son camp. Et lorsqu'elle constata que June avait chu, elle ne put s'empêcher d'applaudir à tout rompre. Première lance, BIM. Elle était dans la course, ça, c'était clair. Enfin. Son champion l'était. Mais c'était pareil, non ?
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Aeglos.

 


Citation:
Octave Saint-Ange de Bohême-Moravie, Seigneur de Saint-Martin d'Abbat
affronte
Aeglos d'Orkney-Bressey, Duc d'Aumale, seigneur de Montpeyroux



Le juge salue les deux jouteurs et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible et se brisent sous l'impact, mais le Seigneur de Sainte Martin d'Abbat ne parvient pas à garder son équilibre et tombe de cheval. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Aeglos d'Orkney-Bressey est déclaré vainqueur !



Cela faisait des années que l'Orkney n'avait plus foulé le sable des joutes et il ne savait pas ce que cela pourrait donner. A vrai dire, il ne partait pas réellement confiant, il n'avait jamais réussi à passer les seizièmes de finale, et ceux, malgré ces nombreuses tentatives. Enfin, nombreuses, il devait bien y en avoir 4 ou 5 quand même. Aussi, quand il s'était inscrit, c'était plus dans l'optique de voir du monde et de revivre l’expérience que dans l'espoir d'y montrer quelques prouesses. Au moins, en cas de chute, la déception serait assez faible et en cas de victoire, la surprise et la fierté ce mêlerait, ce qui ne pourrait qu'accentuer l'appréciation du moment.

C'est donc avec un état d'esprit plutôt décontracté qu'il enfila, aidé par son écuyère, son armure. Il faut avouer qu'il y passa un sacré moment, ayant perdu l'habitude, sans parler que l'armure de joutes n'était pas exactement la même que celle pour guerroyer, bien plus lourdes et encombrantes, plus sportives, d'une certaine manière. Mais avant cela, il fallait équiper Olga, ce qui ne fut pas de tout repos, la bête, bien que calme, ne semblait pas des plus enjoué de savoir qu'elle avait devenir une boite de conserve sur patte avec la chaleur estivale. ils finirent par être tout deux équipés, de la tête aux sabots, ou presque. Avec l'aide nécessaire, l'Orkney grimpa sur la jument, et ce dirigea à pas lent en direction de la lice attendant son tour.

Quand enfin, son tour arriva, il ferma les yeux, une petite seconde, pour gagner en concentration et ce focaliser sur l'instant présent, sur ce qu'il devait faire, la vitesse à adopter, la posture, la force qu'il devrait mettre dans son bras dextre pour frapper et briser. Un soupire, relâcher la tension de l'instant, et c'est parti. Au signal, il talonna Olga qui s'élança avec force, fonçant en direction du maréchal d'arme. L'Orkney contracta son dos, élança son bras et tandis qu'il sentait le choc de la lance adverse ce briser sur son écu, il vis et sentit la sienne ce briser également. Il tient bon, usant de ses cuisses pour rester sur sa monture, et alors qu'il pensait devoir refaire un tour, il entendit le bruit caractéristique d'un jouteur tombant de sa monture.

Et ce fut en effet autant de la surprise que de la fierté qui étreignit l'Orkney après avoir entendu les paroles du juge, scellant sa première victoire. Il sourit sous son heaume, puis l'ota et ce dirigea vers son adversaire.


Je vous remercie pour ce duel messire et j’espère que vous ne souffrez d'aucun mal.

Avant de rejoindre son campement, ôter la lourde armure et ce préparer au prochain duel.
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