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[RP] Joutes Juin 1464 - La Lice

Petitrusse

 



Citation:
Jeroen d’Arnwald, Duc de Castelnau-Montratier, et Seigneur de Carignan.
affronte
Petitrusse dict Le Conquérant, Duc de La Mothe-Bromont, Seigneur d’Albepierre, Seigneur de Thorey-en-Plaine



Prochain duel, les jouteurs se mettent en place après que le juge les ait salué.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Le duc de Castelnau-Montratier rate sa cible, mais le Duc de La Mothe-Bromont touche et brise sa lance. Sous le choc, il désarçonne son adversaire. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Petitrusse dict Le Conquérant est déclaré vainqueur !



Pas besoin de participation aux éliminatoires, une bonne chose pour pouvoir se préparer tranquillement et ne pas se précipiter. Petitrusse a du mal à se préparer seul, c'est là qu'on voit que l'écuyer est plus qu'utile pour mettre toutes ces protections. Enfin, au bout d'un laps de temps assez long, Petitrusse est enfin prêt. Il reste encore une épreuve, monter sur son cheval. Il quitte donc sa tente, récupère son cheval et se dirige vers la lice. Il aperçoit un homme debout de forte carrure. Il se permet de l'aborder et de lui demander de l'aide. Ce dernier accepte. En très peu de temps, Petitrusse se retrouve dans sa selle. Il remercie chaleureusement l'homme puis se dirige vers la lice.
A l'entrée, il regarde le tableau. Le nom de l'adversaire lui dit quelque chose, mais ce n'est pas suite à une rencontre de joutes. Petitrusse réfléchit quelques instants, mais il ne peut se souvenir. Il arrête là sa réflexion car il doit s'avancer, c'est à son tour.
Petitrusse entre sur la lice, salue la foule, salue l'arbitre et enfin salue son adversaire.
L'arbitre donne le signal. Petitrusse s'élance et fait le travail. Son adversaire ne le touche point mais Petitrusse, touche, brise sa lance et fait chuter son adversaire. C'est une pleine réussite. Petitrusse ne pouvait dépenser moins d'énergie lors de ce premier tour. Il salue la foule et sort de la lice pour laisser la place à la joute suivante.

_________________
Lucie
Dans les gradins

- Introduction -


Sobres phrases d’ouverture prononcées, Lucie s’en vient égratigner de son regard chlorophyllé les museaux jolis de ceux qui l’entourent. Aux membres de la ligue qui la remercient de ses mots, elle sourit avant d’effleurer belle argentée puis douceur Boisée. Oh comme ils sont doux ces baisers semés au vent que Merveylle, visiblement apaisée après trop de mois passés à guerroyer, veut bien lui envoyer ! Son âme de cristal parée de reflets iridescents tant cette tendresse vivement exprimée la touche, elle répond d’un clin d’œil puisque, c’est acté, elle ne sera que gaité en ce jour sacré.

S’installant à l’assise garnie d’un moelleux coussin qu’on lui a réservé, la soie richement brodée d’or de sa robe s’étalant pour former un halo pâle et brillant autour d’elle, la vicomtesse offre bien volontiers la fraîcheur de ses doigts à la paume chaude de Felip quand celui-ci, se tenant à sa gauche, s’empare de sa main. Le contact est léger comme brise d’été, sucré comme pomme de caramel enrobée. Et puis soudain, une vague de sentiments déferle, l’emporte, menace de la noyer avant de la laisser sur plage au sable doux. Suzerain armé d’une aura que lui-même ne soupçonne pas est là, juste à sa droite, et si ses obsidiennes refusent encore de se poser sur elle, ange déchu, qu’importe ; l’espoir provoqué par sa venue est le plus beau des présents. Alors, posément elle redresse les épaules. Le menton est haut, le regard doux. Plus que jamais elle incarne son nom. Lucie de Saint-Jean. Lumière d’Eté.



- Eliminatoires -


Sur la lice au sable encore blanc de tout sang, l’on s’agite quelque peu tandis que le juge diseur commence à appeler ceux qui, dans les minutes à venir, s’affronteront. Quelle jolie guerre que celle-là ! Quelle catharsis heureuse ! Là où les champs de bataille ne sont que gros bouillons de sales humeurs et d’os broyés, les tournois, en ce qu’ils sont nobles, sont exutoires parfaits à la violence dont sont empruntes les âmes humaines selon la Saint-Jean qui, si elle refuse de céder au Léviathan, n’est pas exempte de toute aigre ébullition. Adoncques, regard rivé à ce qui se passe juste là, sous le soleil du Béarn, elle profite de ce merveilleux antidote à la colère.

Aucun de ses proches ni des béarnais inscrit n’a été désigné pour passer par la case éliminatoire ainsi, si elle vit ces joutes avec intensité, ne se privant pas d’applaudir vivement les vainqueurs et les vaincus, frémissant lorsque lance se brise ou que silhouette bardée de fer mord la poussière, elle ne se laisse guère gagner par l’inquiétude ou la fierté.

Plus tard. Bientôt.


- Seizièmes de Finale -


    - Il faut que j’applaudisse moins fort, je crois, cela donne affreusement chaud.

La constatation, quoique teintée d’une pointe d’ironie, est sans appel. Malgré le vélum qui les protège vaillamment des rayons puissants de Phébus et le verre de citronnade qu’elle vient de vider, Lucie se donne l’impression de fondre sur son siège. Cela ne se voit toutefois pas beaucoup et lorsque Felip, se faisant chevalier servant, demande à porter ses faveurs, c’est avec un sourire qu’elle noue ruban couleur menthe à l’eau à son poignet.

    - Tâchez de ne point mourir ; je serais assez fâchée.

La bouche s’étire en un sourire alors qu’il s’en va revêtir son armure et, la menthe de ses yeux revenant à la lice, Fleurie entreprend de vibrer avec les compétiteurs. Oh, souffle-t-elle quand les époux Millelieues défont leurs opposants. Han ! S’exclame-t-elle quand le cousin de Merveylle, puis Neyco, l’emportent à leur tour, battant vivement des mains pour féliciter cette dernière, et ainsi de suite jusqu'à ce que soient annoncés le champion de Madeleine et, c’est plutôt amusant, le beau-père de cette dernière. June Sidjéno. A ce nom, Lucie sourcille. Le héraut n’est connu que de vue, en revanche il est une Louve à la rousseur splendide dont les mots offerts au cours d’une soirée étrange et merveilleuse se sont, pour toujours et à jamais, gravé en elle.
« Vous aurez votre réponse, j'en fais la promesse. » La participation de l’homme à ces joutes auxquelles elle a invité Korai est-elle la réponse attendue ? Est-il seulement possible que la belle au visage d’été lui offre ceci pour son anniversaire ? Non. Définitivement, non. Ce n’est qu’un hasard décide la vicomtesse qui, reposant les yeux sur la demoiselle à l’agneau fleur-de-lysé, décide d’inviter cette dernière à les rejoindre dans la tribune. Il n’est pas dit qu’elles n’auront pas l’occasion de se parler.


    - Siri, pouvez-vous aller voir la très jolie demoiselle rousse qui se trouve juste là et lui demander si elle veut bien se joindre à nous ? Demande-t-elle, précisant au cas où : il s’agit de Son Altesse Royale Madeleine de Firenze.
    - Tout d’suite mam’zelle Lu !

Le temps que le petit rouquin se faufile jusqu’à la princesse, s’en est une autre qui s’élance sur la lice, son cheval soulevant un léger nuage de poussière. Inconsciemment, Lucie se crispe, mains se refermant nerveusement sur les accoudoirs de son siège jusqu’à ce que, lance brisée projetant de petits éclats de bois partout autour d’elle, elle ne se lève d’un bond en applaudissant à tout va. Prim Adelys revenant vers elle, elle lui sourit. Comme elle, l’Argentée s’est inquiétée du sort de celle qui les a fait se rencontrer et, comme elle, elle ne peut qu’être fière de cette jolie guerrière qui prouve avec un talent rare que froufrous et plaques de fer peuvent élégamment se conjuguer.

    - Elle a été incroyable, sans surprise, constate la Fleurie, appréciant la saveur de cette évidence autant que celle de l’eau citronnée qu’elle se fait à nouveau servir tandis que les passes s’enchainent, voyant une béarnaise choir tandis que l’autre remporte son duel.

Enfin, vient le tour de Felip. Abandonnant sa coupe, Lucie se redresse sur son siège, se faisant roide et altière pour masquer l’inquiétude diffuse qui enserre sa poitrine. Elle sait l’Immaculé malchanceux à cet exercice, ce n’est pas pour la rassurer. Première tentative ; rien. Se forçant à l’immobilité, s’interdisant de ronger sa lippe, petit Crocus devenu statue de sel frémit quand, déstabilisé, le Von Wittelsbach tombe. Heureusement, il se relève bien vite et la fleur qui avait cessé de respirer, s’oxygène à nouveau, applaudissant poliment le vainqueur et ceux qui lui succèdent, battant des mains un peu plus fort et plus longtemps pour Melian et Keltica avant que, l’armagnacais de retour, elle ne lui offre un sourire.

    - Je suis tentée de me moquer un peu de vous, mais vous semblez bien piteux alors je me contenterai de me réjouir de ce que vous n’avez pas été blessé, fait-elle, assez douce pour que l’Immaculé ne puisse pas se vexer.

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Octavesaintange

 


Citation:
Octave Saint-Ange de Bohême-Moravie, Seigneur de Saint-Martin d'Abbat
affronte
Aeglos d'Orkney-Bressey, Duc d'Aumale, seigneur de Montpeyroux



Le juge salue les deux jouteurs et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible et se brisent sous l'impact, mais le Seigneur de Sainte Martin d'Abbat ne parvient pas à garder son équilibre et tombe de cheval. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Aeglos d'Orkney-Bressey est déclaré vainqueur !


Après l'aventure guyennoise, et sa première demie finale, c'est donc bien en jambe et tout sourire que le jeune Maréchal de France débarqua dans le Béarn. Toujours soucieux d'accrocher un autre trophée à son tableau de chasse qui se remplissait peu à peu, il jeta un regard au tableau d'affichage. Son adversaire, il ne le connaissait pas, tant pis, chaque adversaire se respectait, et Octave savait bien trop le mal qu'il avait à l'emporter contre les nobles débutants ou peu connus des championnats. Paradoxe qui se répétait... Tandis qu'il arrivait à faire choir des légendes de la lice, il butait bien trop souvent contre les jeunes pousses. Hasard de la vie et du jeu...

C'est donc après le rituel immuable qu'il se retrouva à califourchon sur sa monture, faisant face à son adversaire. Après avoir salué le Duc, l'arbitre et la foule, et signifié qu'il était prêt, les drapeaux s'abaissèrent, et les trompettes résonnèrent annonçant le début des hostilités. Au croisement, aucunes surprises, le sort et la malédiction décidément continuait à s'acharner sur Saint-Ange, qui mal grès avoir brisé sa lance, ne put garder l'équilibre et chuta dans le sable. Se relevant, sans douleurs aucunes, si ce n'est que celles habituelles à une chute de cheval, il releva sa visière et salua son adversaire qui s'approcha.

Félicitations vostre Grasce ! Je vous souhaite une bonne continuation et j'espère que vous irez loin dans ce tournoi ! Et rassurez vous, je ne souffre aucunes douleurs ! Au plaisir de vous recroiser sur le sable !

Puis il sortit du champ clos, fit plier bagage et s'en retourna vers d'autres aventures.

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Albin.
[Erwany vs Albin]

Comme le dit l'expression populaire "la vengeance est un plat qui se mange froid" sauf que cette fois c'est très froid. Plusieurs mois que l'Ar Sparfel attendait ça, de prendre sa revanche sur Erwany et voila qu'enfin ce jour arrivait.
Revanche mais revanche amicale tout de même et avec grande détermination à la prendre.

Pas de calcul, tout donner sans avoir de regrets, perdre avec les honneurs ou gagner avec panache, la suite le dira.

En tout cas, le Albin était prêt. Il était prêt à en découdre et salua son adversaire en réponse au salut reçu.

Albin s'élança au signal bien concentré et vlan une Rwany un sol mais qui se relevait en rigolant. Ouf c'était rassurant au moins sur l'état de santé et puis rare sont ceux qui rigolent d'avoir chuter de cheval, chose plaisante en soi.


Vous me deviez une revanche Erwany, c'est chose faite maintenant l'on est quitte. Merci beaucoup.


Et Albin quitta la lice pour laisser la place à....sa chérie alors bon il resta au bord tout de même afin d'admirer le spectacle et soutenir sa promise à vie.


[Neyco vs Klouska, depuis le bord de la lice]

Albin était donc resté non loin pour suivre la performance de sa chérie Mini. En face, de l'autre côté, l'Ar Sparfel aperçu Klouska. Le duel n'était pas évident mais forcément dans le coeur du Albin c'est sa chérie qui est la meilleure et qui doit gagner, après tout c'est Mini chérie !

Donnant tout ce qu'il avait encore comme énergie pour soutenir Mini dans sa boite de conserve et ouiii victoire !!!

Victoire courte durée en fait, Albin se souvenait de ce qu'il avait pu voir sur le panneau d'affichage et en recomptant les duels...la bonne nouvelle en cachait une mauvaise. Ils vont devoir s'affronter...

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Helmina
Dans les gradins


Le mire qu'elle avait consulté était formel. Après la chute de cheval qu'elle avait subie lors de la chasse royale, toute participation à une joute serait pure folie. Une simple entaille au cuir chevelu, sur le côté du crâne, mais aussi, depuis cette chute, des vertiges persistants.

Adoncques, point de cavalcade au milieu de la poussière, au milieu des bannières colorées. La Rousse assisterait à tout cela en spectatrice. Point trop de regrets. Elle était piètre cavalière, elle n'avait point de bannière à défendre et se serait sentie quelque peu mal à l'aise au milieu de tous ces nobles jouteurs.

Tranquillement assise, les yeux écarquillées, elle contemplait comme une gamine les duels qui s'enchainaient, se cachant à moitié le visage en cas de chute trop brutale, souriant quand une belle bannière remportait la victoire...totalement absorbée par le spectacle, et en oubliant le reste du monde.
Savian
    Rêvant d’un jour où lui aussi pourrait participer aux joutes, grimper sur sa monture et s’harnacher comme les cavaliers ci-présents. Mais malheureusement, ce n’est qu’un rêve pour l’Alençonnais qui regarde admiratif les différentes passes et notamment à cet instant précis, la blonde Vicomtesse qui avec grâce et hargne se lance à la rencontre de son adversaire, adversaire qu’elle terrasse dès la première passe. Il la regarde, songeur, admiratif de la force dont elle sait faire preuve, puis sans un mot, il va à sa rencontre.

    « Félicitation mon amie, ce fut un joli duel. Allons voir mon cousin, si cela vous sied. »

    Il récupère alors le morceau de lance qu’il jette à un grouillot qui en avait la charge puis récupère le bouclier, laissant le soin à la jouteuse de porter son heaume. Là, il arrive donc près d’Hoel qu’il salue respectueusement.

    « Mon Cousin Hoel, c’est un plaisir de vous voir, j’espère que vous n’avez aucun mal. Et je peux voir que vous avez pu faire la connaissance de mon amie Keltica de Chancelley… »

    Il était très heureux de voir son cousin, il espérait d’ailleurs pouvoir le voir plus tard, mais pour l’heure, il faut songer à quitter la lice pour laisser place au nettoyage.

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Celeste.bussey
La Renarde avait été conviée par Lucie pour fêter son anniversaire et qui plus est également la traditionnelle festivité de la Saint-Jean. Elle ne connaissait de cette festivité que très peu de chose, explications qu'elle avait lu autrefois dans quelques ouvrages. Evidemment, la brune n'avait pas hésité un seul instant à accepter l'invitation qui lui avait été faite. En dehors de l'Atelier, ce serait également l'occasion pour elle de faire de nouvelles connaissances mais aussi, si le temps permettait à Lucie, de pouvoir discuter plus amplement avec elle. C'est donc sous un soleil radieux que la jeune femme s'était activée à se préparer et à laisser, toujours avec ce pincement au cœur, Larry auprès de la nourrice pour qu'elle et son fiancé, Glorim, puissent pleinement profiter des festivités sans nuire aux autres convives.

Il leur fallut que quelques heures pour rejoindre le Domaine indiqué dans l'invitation. Ils avaient pris soin de rejoindre l'endroit où se déroulerait le tournoi. Souhaitant pleinement profiter du soleil et des jeux qui allaient commencer, les deux amoureux trouvèrent des places libres dans les gradins et s'y installèrent. Sa main glissée dans celle de son aimé, la brune se tourna vers lui et d'un sourire lui déclara :


Je suis heureuse de pouvoir être ici avec toi. Et j'espère que tout comme moi tu apprécieras l'endroit et les festivités.

Elle savait que contrairement à elle, il n'était pas du genre à se mêler à la foule. Sa vie accompagnée de la brune et de son fils suffisait amplement à son bonheur. La brune quant à elle, aimait faire de nouvelles connaissances bien que sa timidité, mais surtout sa méfiance, l'empêchaient parfois d'aller de l'avant. Ses yeux se posèrent alors sur leur hôte qui prenait la parole pour annoncer l'ouverture des joutes. Se penchant légèrement vers son brun, la Renarde profita de l'occasion pour lui présenter Lucie afin qu'il ne soit pas perdu.

L'annonce des candidats se faisant, la Renarde fut surprise d'entendre dès le départ un nom qu'elle connaissait bien Nadjka de Castelfranco. Un sourire s'afficha sur ses lèvres, elle savait déjà vers qui iraient ses encouragements pour les premiers jeux. D'autres noms furent énoncés, quelques uns avaient été entendus par la brune sans pour autant les connaître d'avantage. Ainsi, elle se contenterait de suivre les jeux en restant neutre cette fois.

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Do.....

 





Citation:
Do..... de Goëllor, Baronne de Sombernon, Dame de Savigny en Terre Plaine et de Changy
affronte
Klementein d'Andecy, Comtesse d'Antin



Une Baronne habituée des joutes, face à une Comtesse que le jeune Juge reconnait, pour l'avoir connue et cotoyée en Béarn, une ancienne champenoise.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place. Le signal est donné sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible et se brisent sous l'impact, mais le choc est rude, et Klementein ne parvient pas à rester en selle. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Do..... de Goëllor est déclarée vainqueur !




Encore un nouveau lieu, elle n'arrêtait plus les joutes la Baronne, accro ? Ah ça oui ! Nouveau jour, une entrée en lice tranquille et sereine. Un salut de la tête à son adversaire du jour puis à l'arbitre, après cela elle regagna sa place en bout de lice, finissant de se préparer à l'aide de son écuyer.

Les coups de talons de la Baronne furent donnés après le signal de départ de l'arbitre, l'élan donné fut assez fort pour détrôné son adversaire, elle exécuta avec brio son TCT, heureuse de continué le tournoi, elle s'avança vers son adversaire, le remerciant pour ses joutes et s'en alla avec tranquillité à son campement.

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Hoeldetrajan
Keltica a écrit:
Premier jour :

Les éliminatoires se déroulaient sans accroc ; après avoir arbitré, la jolie blonde était restée à la tribune, pour ne pas être impolie vis-à-vis de son collègue et de leur hôtesse, mais son regard était bien souvent attiré vers les tribunes des spectateurs. Qui cherchait-elle ? Un Colosse, une Bête parmi les hommes, mais ne parvenait guère à le trouver, malgré ses efforts. Boudait-il parce qu'elle ne l'avait pas attendu le matin-même ? Elle espérait bien que non ! Pourtant, à maintes reprises, elle sentit durant les éliminatoires qu'on l'observait avec intensité, il ne devait pas être loin, car elle devinait que Lui seul pouvait la fixer ainsi...

Les duels finirent et alors que la jolie blonde quittait la tribune, la haute silhouette de son Colosse s'érigea devant elle.


Oh Savian, vous voilà ! Je suis heureuse de vous voir ! Pensez-vous vraiment que je vous évite, mon doux ami ? Voyez-vous, je suis venue très tôt ce matin, pour aider aux finitions, et je n'ai pas osé vous réveiller... Je pense à votre sommeil, mon cher ami, vous pourriez m'en remercier au lieu de songer à la vengeance ! D'ailleurs... à quelle vengeance pensiez-vous ?

Le sourire qu'elle lui rendit était du même acabit, malicieux et taquin, alors qu'elle prenait son bras pour regagner leurs tentes mitoyennes.




Seizièmes de finale :

Citation:
Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives
affronte
Hoel de trajan, Lablanche d'Abancourt, Seigneur de Chanlançois,



Et le dernier duel voyait entrer en lice sa complice distributeur de bons points. Elle affrontait un habitué des lices.
Le juge les salue et les laisse se mettre en place, puis le signal est donné.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les deux jouteurs touchent leur cible mais seule Keltica brise le bois. Son adversaire ne parvient pas à garder son équilibre et tombe de cheval. Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Keltica de Chancelley est déclarée vainqueur !




La blonde était la dernière à passer de la journée, aussi avait-elle profité du spectacle auprès de son doux ami, depuis les tribunes ; mais il fallut également aller se préparer, un peu avant son passage. Savian l'aida à se préparer, puis, lorsqu'elle fut bien harnachée, la jolie blonde parut en lice, son Colosse à son côté avec son matériel. Une fois en selle, comme une partition bien réglée, Keltica récupéra ses affaires une par une, puis plongea ses yeux dans ceux de Savian.

Je... j'ignorai que c'était votre cousin ! Le nom aurait dû me parler, suis-je bête ! Je tâcherai de ne pas trop l'abîmer quand même, je ne voudrais pas être détestée de votre famille avant même de les connaître !

Elle lui sourit, les yeux pétillants de malice, puis se mit en place ; un salut à son collègue arbitre, puis à son adversaire, et elle attendit le signal, qui ne tarda pas.

Un coup de talons à son cheval le fit s'élancer au galop ; la Vicomtesse abaissa sa lance, et visa avec soin, atteignant du premier coup l'écu du Seigneur. Un craquement se fit entendre, et elle appuya encore davantage son coup, pour être sûre de bien briser sa lance et pour essayer de repousser le cousin de Son Colosse, tant pis pour la famille ! Son destrier l'entraîna jusqu'au bout de la lice, et quand elle se retourna, le Seigneur était au sol.

Sautant au sol, la jeune femme rejoignit Savian avec un sourire.

Et vous qui pensiez me porter malheur... Venez donc avec moi saluer votre cousin, si vous le voulez bien !

Près de Hoel, elle s'inclina.

Messire... J'espère ne pas vous avoir blessé, j'en serai vraiment navrée !



















Hoel souffrait et souffrait de la chaleur. Il faut dire que notre Breton n'était pas habitué à rester vêtu de son armure aussi longtemps. Il faut dire aussi... Que son écuyère s'était fait la malle et donc n'était pas présent pour l'aider.

Tant pis se dit-il. De sa jument, il aperçoit un membre de sa famille avec sa future adversaire et sourit en coin. Son illustre cousin serait-il en gage d'être marié ? Devait-il se laisser tomber par galanterie. Non-bien sûr se dit-il. Celui qui chute, perd et puis c'est tout.


La course commence et Hoel se retrouve vite la tête en l'air, le dos sur le sol. Il étouffe un juron breton et se fait aider pour se relever. L'armure étant un peu lourd. Il va saluer son cousin et la Baronne.

Félicitation Baronne, votre façon de jouter, me rendrait presque jaloux.

Puis avec un sourire un peu forcé, car franchement, une chute reste une chute.

J'accepterais avec plaisir un verre, mon cousin, en espérant que vos amies ne frappent pas du plat de leurs armes, lorsque la table est dressée !
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Valeryane
Dans les gradins la peur au ventre


C'est une mère aux mains crispées sur le bras de son époux qui regarde la scène ou son fils chéri s'élance dans la joute, le cœur s'arrête, la respiration se retient plus aucun souffle, plus aucun son ne sort, il n'y a que la prière au très haut si forte que le plus proche pouvait peut être l'entendre.

Mais pas assez forte son fils jonche le sol et met un certain temps à se relever, elle se sent défaillir un tourbillon l'entraîne dans une faiblesse comme si l'on avait aspiré son énergie. Mais là d'un coup il est de nouveau debout un peu secoué surement plus qu'elle ne l'était. Le souffle revient doucement et les couleurs ravivent les joues de volcan, la main se détend du bras meurtris d'Alcide, qui en homme habitué n'a pas montré un poil de son angoisse l'homme d'armes savait contrôler ses émotions à la différence d'elle qui n'était qu'émotions et affection presque envahissante et étouffante.

La chevelure blanche se montra dignement dans la lice aucun trait sur son visage ne montrait sa déception il restait digne et fier, l'armure retirée il s'en retourne à sa fiancé la fleurie et douce Lucie. De loin elle essaye de croiser leurs regards afin de leur faire signe.

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Leanore





Citation:
Aimbaud de Josselinière, Marquis de Nemours, Duc de Corbigny, Seigneur de Decize et Saint-Robert
affronte
Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles



Deuxième duel de ces éliminatoires. Le juge salue les deux cavaliers et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucune lance ne touche.

Deuxième lance.
La même que la précédente, les jouteurs ne parviennent pas à toucher leur cible.

Troisième lance.
La jeune Dame ne compte pas se laisser faire et s'arrêter là. Elle porte son coup avec habileté et touche l'écu adverse alors que le Marquis rate sa cible.
La lace de Margot se brise et sous l'impact, envoie son adversaire rejoindre le sable de la lice.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Margot Giboint de la Maurinière est déclarée vainqueur !



POur les éliminatoires, il y eut peu de duels mais Margot n'y échappa pas pour autant. Elle partait en favori puisqu'elle avait gagné les joutes de Guyenne. Et pour les éliminatoires, elle devait affronter un homme. Margot en avait vu d'autres bien sûr. Il lui fallut deux passes pour ajuster correctement sa lance et envoyer valser le Marquis dans le sable La première partie du contrat était remplie ; Margot accèdait aux seizièmes.



 




Citation:
Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Margot Giboint de la Maurinière, Dame de Millac les Rodelles




Et c'était sa blonde qui ouvrait le bal, face à une jeune Dame ayant bien du talent en joute et qui semblait prendre plaisir à participer régulièrement, ce qui rassurait l'ébouriffé sur la relève, bien que du haut de ses vingt six printemps, il ne se trouvait pas encore ni vieux, ni prêt à rester dans un fauteuil près de l'âtre.

Un sourire pour saluer les deux jeunes femmes et le signal est donné une fois qu'elles sont en place.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les montures sont lancées à vive allure et les deux lances s'abaissent rapidement. Le choc est rude et les     lances volent en éclats, mais la jeune Duchesse a mis plus de force et désarçonne la Dame de Millac les Rodelles.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Aliénor de Millelieues di Favara est déclarée vainqueur !



Margot ouvrait le bal pour cette phase et en ce début de matinée, Léanore vint rapidement au bord de lice pour assister à son duel. Une femme cette fois-ci.

Les chevaux partirent à toute allule. Etaient-elles donc si pressées ? Y avait-il des soldes à faire quelque part ? Toujours est-il qu'on entendit un énorme bruit de lances qui se brisent, de ferrailles, et quand le nuage de sable se dissipa, ce fut pour découvrir que Margot était à terre fort. Fort heureusement, elle se releva montrant ainsi qu'elle n'était pas blessée.
Léanore l'applaudit.


Citation:
Arnaud Giboint de la Maurinière, Comte de Rodelle, Baron de Brethencourt, Seigneur de Sennely et de Douzon
affronte
Azorak Ducastel, Seigneur de Vaulx



Un abitué des lices, face à un débutant. Le juge les salue et les laisse se mettre en place avant de donner le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
C'est le Comte qui touche et brise le bois, alors que le Seigneur rate sa cible et tombe de cheval sous le choc.
Aucune blessure à déplorer.



Par chute de son adversaire, Arnaud Giboint de la Maurinière est déclaré vainqueur !



Au début de l'après-midi, c'était le tour de son époux de s'y coller. Un nom que Léanore connaissait et un visage aussi puisqu'il était venu à plusieurs reprises à la tente.
Arnaud ne se laissa pas attendrir et l'éjecta en une passe. Ce fut très expéditif. Léanore applaudit son époux, fière de lui et rejoignit la tente pour se préparer à son duel qui
aurait lieu un peu plus tard.

Citation:
Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost,
affronte
Leanore Giboint de Dampyerre, Comtesse de Rodelle, Baronne de Bréthencourt, Dame de Sennely et de Douzon




Les deux jouteurs entrent en lice. A nouveau le jeune Duc en connait une, Melian, rencontrée lors de ces années passées en Béarn. Elle affronte le Médecin de la Ligue, la Comtesse de Rodelle. Il les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
C'est Leanore qui touche et brise sa lance alors que Melian rate sa cible mais reste en selle.

Deuxième lance.
Cette fois ci c'est Melian qui touche et brise sa lance, alors que Leanore rate et ne parvient pas à rester en selle sous l'impact.
Aucune blessure n'est à déplorer.



Par chute de son adversaire, Melian de Ventoux est déclarée vainqueur !



Une dame inconnue d'elle. Après les salutations d'usage, Léanore baissa sa visière et tenta de se concentrer sur ce qu'elle devait faire.
Elle fut surprise de toucher à la première passe et même de briser sa lance. Se retournant elle ragea un peu. Pas assez de force et la dame avait réussi à se maintenir en selle. IL fallait recommencer.
Au second passage ce fut l'inverse et Léanore, serrant fortement les jambes, ressentit une petite douleur à la cuisse. La petite cicatrice des joutes précédentes se rappelait à elle. Fleur fit un léger écart et déstabilisa complètement Léanore qui chuta. Elle s'en voulait un peu mais c'était les règles des joutes. Elle pouvait déjà être heureuse de ne point être blessée.

C'est moi qui vous remercie Baronne. Non point de blessure. Je vous souhaite bonne réussite pour la suite.

La dame rencontrerait son amie Keltica et donc ce n'était pas gagné pour elle. Mais ça elle n'allait pas lui dire et puis les joutes apportent tant de surprises parfois.
Elle sortit de la lice où l'attendait, fidèle au poste, son époux qui l'embrassa et la réconforta
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Galahad..
Je sourit et avait donc accompagné ma fiancée pour cette fête. C'était une festivité qui était souvent fête et compétition. Et j'avais jamais vu cela, surtout occuper dans le domaine familial. Leur fils avait été garder et il l’avait donc accompagner pour ces festivités hors du commun.

Après avoir suivis les routes je me retrouva donc au lieu de rendez vous, et en gardant sa main dans la sienne je m'installe et regarde alors a partir des gradins


Moi aussi ma chérie pas quelque chose qu'on fait tous les jours


Je regarda alors toute ces maisons, ces grandes familles avec attention en entendant parfois des noms que je connaissais.


C'est impressionnant hein ? quand même ?
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Keltica


Pardon à tous les joueurs jouteurs pour le retard, il a fallu débuguer le site de résolutions, mais maintenant ça devrait aller ^^ Merci de votre patience !



Citation:
Aimelin de Millelieues, Duc de Sézanne, Seigneur d'Etampes-sur-Marne, Précy-St-Martin, Lesmont et Marigny
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée.




La jolie blonde arrive à la tribune pour remplacer son collègue, le temps de son passage sur le sable de la lice. Elle appelle les deux jouteurs, à savoir le Duc de Sézanne et le Duc de Châteayrenard ; deux jouteurs de grande qualité, ce qui promet un beau duel ! Keltica les salue l'un après l'autre, patiente le temps qu'ils terminent leurs préparatifs, puis le départ est donné.

Le premier à toucher l'autre est le Duc de Sézanne ; sa lance atteint l'écu du Duc de Châteaurenard, sans que ce dernier ne parvienne à répliquer. Par contre, le coup n'est pas assez appuyé pour l'envoyer au sol, et il arrive à se maintenir. Les deux jouteurs, parvenus en bout de lice, font demi-tour et attendent le nouveau signal.

Nouveau départ donc, et on devine une tension plus forte ; les lances sont à l'horizontale, et lorsqu'ils sont à portée l'un de l'autre, les jouteurs s'appliquent à asséner leur coup. Le double contact retentit sourdement dans la lice, suivis de deux craquements tandis que les lances se brisent soudain. Malgré la violence des impacts, les deux ducs parviennent, après de gros efforts à rester en selle et à gagner leur coin de lice.

Troisième passage, peut-être sera-t-il décisif ? En tout cas, la tension et encore davantage palpable, alors que les chevaux s'élancent au galop ; les lances sont abaissées... et une nouvelle fois, les deux touchent ! Les bois éclatent une fois de plus, mais le coup porté par le Duc de Châteaurenard est plus violent, car il éjecte littéralement le Duc de Sézanne de sa selle. Heureusement, malgré la soudaineté de sa cascade impressionnante, son collègue n'est pas blessé.


Par chute de son adversaire, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !


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Cooky
Assise dans les tribunes parmi les spectateurs, elle observait comme à son habitude les passes d'armes qui s'offraient généreusement aux regards curieux. Les noms de la plupart des jouteurs lui étaient devenus familiers à force de tournoi passés à se côtoyer sur les panneaux d'affichage et pour chaque duel elle avait peu ou prou sa préférence quant au vainqueur qu'elle encourageait largement à grands renforts d'applaudissements.

Les éliminatoires se passèrent ainsi dans la détente et la bonne humeur, énergie positive encouragée par le splendide soleil qui illuminait les lieux de ses rayons vifs en ce début d'été. A son côté, Elea chantonnait de bonheur, plongeant allègrement sa petite main dans un sachet de maïs soufflé et observant chaque nouveau jouteur, posant milles questions sur tout ce qu'elle découvrait de ses jeunes yeux.




 


Citation:
Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn
affronte
Léana Herbst de la Rose Noire de Blauzac, Duchesse du Bourbonnais-Auvergne



Les deux jouteurs entrent en lice. Le Millelieues les connait l'une du Béarn, et l'autre pour l'avoir cotoyée en Champagne, enfin il lui semble bien. Il les salue et les laisse se mettre en place et donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances touchent leur cible, mais seule la petite galette béarnaise, oui il se souvient du surnom, se brise et sous le choc entraine la chute de son adversaire. Cette dernière se relève, et souffre d'une légère blessure à la poitrine.



Par chute de son adversaire, Calypso d'Ascoli, dicte Cooky est déclarée vainqueur !


Observer les duels depuis les tribunes était une chose, entrer en lice était tout autre. Après une belle journée de farniente entièrement consacrée à la découverte des lieux et à l'étude technique des autres participants, il était temps pour elle d'entrer en piste. Le nom de son adversaire fut bientôt connu et elle esquissa une petite grimace, se souvenant des bons résultats produits par la Duchesse lors des précédents tournois. Il lui faudrait se montrer vive et concentrée si elle ne voulait pas mordre la poussière une nouvelle fois dès ce tour.

Elle se trouvait aux abords de la piste, prête à pénétrer sur la lice lorsqu'elle entendit appeler le nom de Klementein. Se dressant aussitôt sur la pointe de ses petits pieds, elle passa bien vite la tête par dessus la palissade de bois pour observer la passe de la béarnaise. Elle la savait peu expérimentée mais la chance des débutants parfois faisait des miracles lors d'un premier duel. Klementein, hélas, n'eut pas cette chance et c'est dans une belle envolée de sable qu'elle la vit chuter sur le sol. Plus de peur que de mal cependant, la baronne se relevant déjà dans un éclat de rire communicatif.

Elle souriait encore de l'issue joyeuse de ce duel lorsqu'elle fut introduite à son tour dans la place. Petit salut à Aimelin qui arbitrait, juste le temps de se demander s'il avait des nouvelles de Ptit et s'il pouvait bien se souvenir de son propre nom après toutes ces années passées, puis elle regarda son adversaire du jour. Sobirana était en pleine forme, ravie de pouvoir profiter du soleil que toutes deux affectionnaient tant. Tous les voyants étaient au beau fixe, il n'y avait plus qu'à espérer un petit coup de pouce du Très Haut et peut-être que...

Lance en main, le poignet souple mais ferme comme elle s'y exerçait depuis de longues semaines maintenant, elle s'élança au signal du juge. Ses mirettes ambres se fixèrent sur l'écu auvergnat, cible du jour qui s'offrait à son regard aiguisé. Lorsque l'impact eut lieu, elle sentit la lance adverse repousser son propre écu, tandis que sa lance se brisait sous le choc d'un contact violent avec l'écu adverse. Fermement juchée sur la Pottok, elle tint bon sous l'assaut et parvint sans plus de mal à l'autre bout de la lice où elle fit demi-tour. Son adversaire se trouvait à terre. La partie était donc terminée, en sa faveur pour sa plus grande joie.

Soucieuse néanmoins de voir la Duchesse légèrement blessée, elle s'approcha d'elle, mettant pied à terre à son tour.


Votre Grandeur, permettez que je vous accompagne jusqu'à l'infirmerie ?
Je crains que notre trop grand engagement mutuel n'ait eut sur votre personne quelques dégâts fâcheux.

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Aimelin
Un petit retard dû à un problème de buccine, égarée on ne sait comment et qui avait été retrouvée par son propriétaire dans la malle posée à côté de la tente du juge diseur. Celui-ci avait bien entendu nié avoir posé cette trompette à cet endroit, enfouie négligemment, et soigneusement, sous quelques couvertures et monceaux de parchemins, et avait mis ce fait sur le dos du sonneur de buccines bien trop distrait à son goût. Diantre pourquoi aurait il fait cela...

Un petit signe de la main aux sonneurs de buccines, pour qu'ils s'éloignent encore un peu de quelques pas, et le jeune Juge diseur appela les premiers jouteurs, dont son épouse et celui qui le mettait à terre chaque fois, un débutant prénommé Ursus. Une petite moue du genre "je l'aurai un jour je l'aurai", tandis qu'il les regardait entrer en lice.










Citation:

Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée



Le juge salue les deux jouteurs et les regarde se mettre en place, suivant bien entendu du regard sa blonde et belle épouse, et se demandant si elle va le venger, ou si le Duc allait mettre les deux Millelieues sur son tableau de chasse pour ces joutes là.
Une grimace et un signe aux buccines. Le départ est donné !

Première lance.
Et c'est le Duc qui touche sa cible et brise sa lance alors que la Duchesse rate mais reste en selle.

Deuxième lance.
A nouveau Aliénor rate sa cible alors que Ursus touche et brise sa lance. A coup sûr l'arbitre lui a fait passer une lance moins solide ! va falloir que le brun aille se plaindre.
Le Duc n'y est pas allé de main morte et la jeune femme est déséquilibrée et tombe de cheval. Fort heureusement aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !



Citation:

Albin d'Ar Sparfel, Vicomte de Mondoubleau, Baron Douaire d'Entrammes
affronte
Neyco de Fronsac, Comtesse de Bruyères le Châtel, Baronne de Hautpoul



Cette joute allait être intéressante, bien que sans doute moins pour les deux participants, puisque c'était un couple qui s'affrontait. Le juge les salue tout deux et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux prennent un galop puisssant et c'est Neyco qui touche et brise sa lance alors que Albin rate sa cible mais parvient à rester en selle.

Deuxième lance.
Cette fois-ci, c'est l'inverse et c'est Albin qui touche et brise sa lance, entrainant la chute de Neyco qui rate sa cible.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Albin d'Ar Sparfel est déclaré vainqueur !



Citation:

Petitrusse dict Le Conquérant, Duc de La Mothe-Bromont, Seigneur d’Albepierre, Seigneur de Thorey-en-Plaine
affronte
Aeglos d'Orkney-Bressey, Duc d'Aumale, seigneur de Montpeyroux



Deux Ducs pour ce nouveau duel. Le juge les salue et les laisse se mettre en place, puis donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche.

Deuxième lance.
Petitrusse rate sa cible, mais Aeglos touche et brise sa lance. Toutefois son adversaire reste en selle.

Troisième lance.
A nouveau, le Duc de La Mothe-Bromont rate sa cible alors que le Duc d'Aumale touche et brise sa lance une seconde fois. Sous le choc, il désarçonne son adversaire qui se relève sans aucune blessure.


Par chute de son adversaire, Aeglos d'Orkney-Bressey est déclaré vainqueur !



Citation:

Lexhor d'Amahir, Prince de Montlhéry, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau, de Château-Landon, d'Evron, de Montereau-Fault-Yonne et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Château-Renault et de Saint-Antoine-de-Rochefort, Chevalier de France, et Pair de France
joutera en l'honneur de Madeleine de Firenze, Princesse de France.
affronte
Merveylle Catherine Elisabeth de la Mirandole, Princesse de France, Dame de Saint Agil



Un habitué des joutes, sans doute l'un des plus anciens jouteurs et donc expérimenté, face à une jeune Princesse qui prend régulièrement le chemin des lices. Le juge les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche.

Deuxième lance.
La même, aucune lance ne touche sa cible.

Troisième lance.
Lexhor semble décider à interrompre les passages à vide et touche sa cible en brisant, alors que Merveylle rate sa cible. Sous le choc, la jeune femme tombe de cheval, mais se relève sans aucune blessure.


Par chute de son adversaire, Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur !


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