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[RP] Joutes Juin 1464 - La Lice

Aimelin




(suite et fin)



Citation:

Zelenka, Dame d'Adonville
affronte
Do..... de Goëllor , Baronne de Sombernon, Dame de Savigny en Terre Plaine et de Changy



Et ce sont deux habituées des lices qui se présentent, deux jouteurs de talent. Le juge les salue et les laisse se mettre en place, puis donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux sont lancés au galop, et c'est la Baronne qui touche et brise sa lance, alors que la Dame rate sa cible, mais parvient à rester en selle.

Deuxième lance.
Et à nouveau, sans fausse note, Do touche et brise sa lance alors que Zelenka rate sa cible mais reste en selle pour la seconde fois.

Troisième lance.
C'est un passage à vide, aucune lance ne touche.
Le juge diseur fait arrêter le duel, les bris de lance donnent la victoire à la Baronne.


Par deux bris de lance, contre aucun, Do de Goëllor est déclarée vainqueur !




Citation:

Arnaud Giboint de la Maurinière, Comte de Rodelle, Baron de Brethencourt, Seigneur de Sennely et de Douzon
affronte
Jason Ludgarès de Vissac dict l'Insolent, Vicomte de Montivilliers et de Cheylanes, Baron de Vissac



Deux habitués des lices se présentent et le juge diseur les salue et les regarde se mettre en place.
Puis le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche.

Deuxième lance.
La même que la précédente, aucun jouteur ne touche sa cible.

Troisième lance.
C'est jason qui touche et brise sa lance, entrainant la chute de son adversaire, alors qu'Arnaud rate sa cible.
Il se relève, et souffre d'une blessure moyenne à la cuisse.


Par chute de son adversaire, Jason Ludgarès de Vissac dict l'Insolent est déclaré vainqueur.




Citation:

Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn
affronte
Chadada de Mathevet, Seigneur de Méréglise



Le retour de la petite galette, face à un juge de la Ligue, habitué des lices maintenant. Promis, le juge n'a pas fait remettre une lance plus courte à la Dame. Le juge salue les deux cavaliers et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche

Deuxième lance.
Nous sommes en Béarn, et la jeune béarnaise le montre. Elle touche et brise sa lance avec force, entrainant la chute de son adversaire qui rate sa cible.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Calypso d'Ascoli est déclarée vainqueur.




Citation:

Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost
affronte
Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives



Et dernier duel pour ces huitièmes où le jeune brun voit s'affronter deux connaissances, car s'il n'est pas homme à oublier ses ennemis, il n'en oublie pas pour autant les personnes cotoyés et appréciées, et Melian fait parti de ces dernières.
Quant à la poursuivante de Minerve, elle était sa distributrice personnelle de bons points à la Ligue. Certains recevaient des colliers, lui il recevait des bons points, mais il pouvait choisir la couleur ce qui le ravissait.
Le juge salue les deux cavalières et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe malgré de bons galops, et personne ne touche.

Deuxième lance.
Ici, ici c'est le Béarn ! pourrait on presque entendre dans les tribunes.
Les deux lances touchent leur cible, mais seule Keltica brise le bois. Sans doute y a t'elle mis du coeur, car emportée dans son élan, elle perd l'équilibre et tombe de cheval offrant la victoire à Melian.
Elle se relève, souffrant d'une blessure légère à l'avant bras.


Par chute de son adversaire, Melian de Ventoux est déclarée vainqueur.


_________________

~ activité fortement réduite les week end - ~Archiviste judiciaire de Champagne ~
Melian
[Seizièmes de Finale - Melian de Ventoux vs Leanore Giboint de Dampyerre]

Vous m'en voyez soulagée. Merci beaucoup. lui répondit-elle, avant de la saluer à nouveau pour s'en retourner à sa tente.


**************************************************************

[Huitièmes de Finale - Melian de Ventoux vs Keltica de Chancelley]

Après la première joute, Melian encore toute surprise d'avoir passé les seizièmes s'en retourna se reconcentrer. Bellina alla voir les affichages et lui annonça que son prochain adversaire serait la Vicomtesse de Chancelley, qui avait fort bien jouté au tour précédent.

C'est donc peu rassurée mais très concentrée sur l'objectif que Melian s'en fut l'affronter.


Citation:

Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost
affronte
Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives



Et dernier duel pour ces huitièmes où le jeune brun voit s'affronter deux connaissances, car s'il n'est pas homme à oublier ses ennemis, il n'en oublie pas pour autant les personnes cotoyés et appréciées, et Melian fait parti de ces dernières.
Quant à la poursuivante de Minerve, elle était sa distributrice personnelle de bons points à la Ligue. Certains recevaient des colliers, lui il recevait des bons points, mais il pouvait choisir la couleur ce qui le ravissait.
Le juge salue les deux cavalières et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe malgré de bons galops, et personne ne touche.

Deuxième lance.
Ici, ici c'est le Béarn ! pourrait on presque entendre dans les tribunes.
Les deux lances touchent leur cible, mais seule Keltica brise le bois. Sans doute y a t'elle mis du coeur, car emportée dans son élan, elle perd l'équilibre et tombe de cheval offrant la victoire à Melian.
Elle se relève, souffrant d'une blessure légère à l'avant bras.


Par chute de son adversaire, Melian de Ventoux est déclarée vainqueur.



Visière relevée, elle salua à nouveau le juge diseur, dont elle se dit qu'il faudrait quand même qu'elle aille lui dire bonjour à sa tente, son adversaire et la foule. Puis elle alla se placer.

Au signal, sa jument s'élança et Melian ne toucha pas, non plus que la Vicomtesse.

A la seconde lance par contre, tout alla très vite. Melian ajusta et toucha son adversaire, quoique sa lance restât intacte. Elle encaissa le choc considérable de la lance de la Vicomtesse qui se brisa sur son bouclier, mais resta en selle tandis que c'était son adversaire qui tombait de sa monture.

Elle n'eut pas le temps de s'en époustoufler que son instinct lui hurla *Son bras !*. Melian descendit donc de sa monture et s'approcha.


Est-ce que ça va ? lui demanda-t-elle, inquiète.
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Cette signature est HRP.
Ursus


Citation:
Aimelin de Millelieues, Duc de Sézanne, Seigneur d'Etampes-sur-Marne, Précy-St-Martin, Lesmont et Marigny
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée.




La jolie blonde arrive à la tribune pour remplacer son collègue, le temps de son passage sur le sable de la lice. Elle appelle les deux jouteurs, à savoir le Duc de Sézanne et le Duc de Châteayrenard ; deux jouteurs de grande qualité, ce qui promet un beau duel ! Keltica les salue l'un après l'autre, patiente le temps qu'ils terminent leurs préparatifs, puis le départ est donné.

Le premier à toucher l'autre est le Duc de Sézanne ; sa lance atteint l'écu du Duc de Châteaurenard, sans que ce dernier ne parvienne à répliquer. Par contre, le coup n'est pas assez appuyé pour l'envoyer au sol, et il arrive à se maintenir. Les deux jouteurs, parvenus en bout de lice, font demi-tour et attendent le nouveau signal.

Nouveau départ donc, et on devine une tension plus forte ; les lances sont à l'horizontale, et lorsqu'ils sont à portée l'un de l'autre, les jouteurs s'appliquent à asséner leur coup. Le double contact retentit sourdement dans la lice, suivis de deux craquements tandis que les lances se brisent soudain. Malgré la violence des impacts, les deux ducs parviennent, après de gros efforts à rester en selle et à gagner leur coin de lice.

Troisième passage, peut-être sera-t-il décisif ? En tout cas, la tension et encore davantage palpable, alors que les chevaux s'élancent au galop ; les lances sont abaissées... et une nouvelle fois, les deux touchent ! Les bois éclatent une fois de plus, mais le coup porté par le Duc de Châteaurenard est plus violent, car il éjecte littéralement le Duc de Sézanne de sa selle. Heureusement, malgré la soudaineté de sa cascade impressionnante, son collègue n'est pas blessé.


Par chute de son adversaire, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !


Ce n'était pas facile contre le Duc de Beaumont le Roger. Ce le serait encore moins contre le très expérimenté Duc de Sézanne. Ursus appréciait la rigueur d'arbitrage d'Aimelin de Millelieues. Il devrait en ce jour apprécier ses talents de jouteur.

Après l'avoir salué, ainsi que le juge arbitre Keltica, le Duc de Chateaurenard saisit la lance que lui tendait son Rose, son écuyère. Il abaissa ensuite sa visière et attendit le signal.

Un léger vent soufflait sur la lice emportant les murmures de la foule et une fine poussière. C'est probablement l'une d'elle qui se ficha dans son œil et lui troubla la vue un instant. Au mauvais moment, car cela l’empêcha de viser correctement l'écu adverse. Le choc fut violent mais pas suffisant pour le faire tomber.

A la deuxième passe, il pointa avec précision Aimelin, mais ne put éviter sa lance. Des bris volèrent en tous sens, et il fallut de nouveau encaisser le choc violent.

Mais quitte à casser du bois, on en cassa encore lors de la troisième lance. De quoi faire un bon feu pour l'hiver prochain ! Le Duc de Sézanne céda enfin. Ursus fut soulagé d'apprendre qu'il ne souffrait d'aucune blessure.


Merci pour cette joute, votre Grasce. Je crois que le public a apprécié notre combat.







Citation:
Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée



Le juge salue les deux jouteurs et les regarde se mettre en place, suivant bien entendu du regard sa blonde et belle épouse, et se demandant si elle va le venger, ou si le Duc allait mettre les deux Millelieues sur son tableau de chasse pour ces joutes là.
Une grimace et un signe aux buccines. Le départ est donné !

Première lance.
Et c'est le Duc qui touche sa cible et brise sa lance alors que la Duchesse rate mais reste en selle.

Deuxième lance.
A nouveau Aliénor rate sa cible alors que Ursus touche et brise sa lance. A coup sûr l'arbitre lui a fait passer une lance moins solide ! va falloir que le brun aille se plaindre.
Le Duc n'y est pas allé de main morte et la jeune femme est déséquilibrée et tombe de cheval. Fort heureusement aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !


Après sa joute contre Aimelin, ce serait donc au tour de son épouse. Le hasard est parfois bien étrange. Ursus avait à peine terminé le tour précédent qu'il devait remonter en selle.

Le Duc de Chateaurenard salua le Duc et la Duchesse de Sézanne se demandant quel sort on allait lui réserver. Il prit ensuite la lance que lui tendait son écuyère.


Elle est un peu tordue celle ci Rose ! Mais ne t'inquiète pas. Ce sera mieux pour viser dans les coins.

De fait, la lance finit en morceau en n’explosant contre le plastron de la Duchesse.


Une autre s'il te plaît, Rose !

A la deuxième passe, Ursus brisa encore mais cette fois ci la vitesse de Pégase apporta plus d'énergie et le choc violent permit de déstabiliser Aliénor. Une chute sans blessures heureusement

Merci pour cette joute votre Grasce. J'espère que nous aurons le plaisir de croiser la lance une autre fois
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Rosemay


[ Sur le bord de la lice ]
Citation:

Aliénor de Millelieues di Favara, Duchesse de Sézanne, Dame de Lesmont, Marigny, Etampes-sur-Marne et Précy-St-Martin
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée



Le juge salue les deux jouteurs et les regarde se mettre en place, suivant bien entendu du regard sa blonde et belle épouse, et se demandant si elle va le venger, ou si le Duc allait mettre les deux Millelieues sur son tableau de chasse pour ces joutes là.
Une grimace et un signe aux buccines. Le départ est donné !

Première lance.
Et c'est le Duc qui touche sa cible et brise sa lance alors que la Duchesse rate mais reste en selle.

Deuxième lance.
A nouveau Aliénor rate sa cible alors que Ursus touche et brise sa lance. A coup sûr l'arbitre lui a fait passer une lance moins solide ! va falloir que le brun aille se plaindre.
Le Duc n'y est pas allé de main morte et la jeune femme est déséquilibrée et tombe de cheval. Fort heureusement aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Ursus de Valbois est déclaré vainqueur !


Les éliminatoires puis les seizièmes, Ursus avait passé brillamment les épreuves et avait atteint avec succès les huitièmes.

Rose sur le bord de la lice devint écarlate quand en lui tendant la lance, son suzerain lui annonça qu'elle était tordue. Il avait eu beau plaisanté pour la rassurer en lui disant que ça serait mieux pour les coins, Rose aurait voulu disparaître dans un trou de souris.

Heureusement le premier tour vit exploser la fameuse lance mais sans pour autant qu'il y est un vainqueur et pour le deuxième tour l'écuyère fit bien attention qu'elle soit parfaite.

Rouge et confuse elle lui tendit la lance.

Je suis navrée Votre Grâce ... celle ci est parfaite.

Ursus sortit vainqueur et Rose leva les pouces en l'air avec un petit sourire, trop honteuse d'avoir failli à son devoir.

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Aimelin
( Seizième - Ursus VS Aimelin )


Il avait passé les éliminatoires !

Il aurait presque dansé la gigue entrainant sa fille âgée d’une trentaine de mois avec lui, s’il n’avait pas été dans un campement de joutes, et avec une certaine tenue à avoir, bien que ce second point ne lui causait guère de soucis, le jeune Duc était simple et nature. Mais lorsqu’il avait réalisé contre qui il tombait pour le tour suivant, sa bonne humeur s’en était allée aussi vite que tombaient les glands sous le chêne ducal champenois, et ça n’était pas peu dire vu la quantité d’ombres sans cervelle ni honneur qui s’écrasaient à ses pieds régulièrement, surtout quand le jeune brun était dans les parages, enfin rectification, même lorsqu’il n’y était pas. C’était ainsi, le brun était bel homme, et certains ne pouvaient s’empêcher d’espionner sa vie, même dans les endroits les plus incongrus et surtout là où ils n’étaient pas. Un regard suspicieux autour de lui.

Il tombait fréquemment contre le Duc de Châteaurenard, l’un des plus anciens et redoutables jouteurs, et rares étaient les fois où il parvenait à le vaincre, à croire que la Ligue le faisait exprès. Ah ben non ! il était à la Ligue et il savait que tout était fait avec respect et honneur sans aucune tricherie, et le hasard se chargeait du reste.

Une moue décidée en prenant la lance que lui tendait le jeune capitaine de leurs amis, dict le Flottant.


Elle est plus costaud et plus longue comme je te l’ai demandé ? Et de rire en voyant l’étonnement se lire sur le visage du jeune gars. Quel farceur ce Millelieues ! Et de lui faire un petit clin d’œil avant de mettre son étalon en marche et d’aller saluer son amie et distributrice de bons points, et son adversaire.

Dernier murmure à son Mérens pour l'encourager alors qu'il le lance au galop, un galop puissant, assurant la prise de sa lance en main, assurant son assise et préparant son écu au choc qu’il s’attendait à recevoir. Une grimace en voyant Ursus rester en selle, une chance de vaincre venait de passer et il secoua la tête, désappointé de n’avoir pas frappé assez fort.

Le passage suivant fût bien rude, et fit voler les lances en éclats, mais il parvint à contrer la frappe qui tentait de l’envoyer au sol et resta en selle.

Le duel était costaud et il ne fallait pas faiblir. Il marqua quelques secondes d’arrêt après avoir changé de lance et talonna sa monture avec force pour la lancer dans un galop plus rapide à nouveau, arriverait ce qui arriverait, il devait passer ce tour. Sa lance abaissée il donna l’impact qui la fit se briser contre l’écu ducal, mais surpris par la violence du choc il vida les étriers et se retrouva au sol dans la poussière. Quelques secondes pour reprendre ses esprits et se relever en cherchant du regard son adversaire resté en selle. Misère c’en était fini de ce tournoi. Le temps d’enlever son bassinet, le Duc était à sa hauteur et il esquissa un sourire en regardant les tribunes.


Félicitations votre Grasce et merci également pour cette joute.
Je m’améliore dans mes chutes j’espère que ça se remarque.


Petit trait d'humour, car c'était quand même la marque de fabrique de l'ébouriffé, et de sortir de lice, suivi par sa monture qu’il confia au flottant avant de retourner à son arbitrage et de remercier Kelti d’un sourire, chassant la poussière de son visage.
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~ activité fortement réduite les week end - ~Archiviste judiciaire de Champagne ~
Lexhor
Citation:
Lexhor d'Amahir, Prince de Montlhéry, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau, de Château-Landon, d'Evron, de Montereau-Fault-Yonne et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Château-Renault et de Saint-Antoine-de-Rochefort, Chevalier de France, et Pair de France
joutera en l'honneur de Madeleine de Firenze, Princesse de France.
affronte
June Sidjéno, Vicomte de Riverie, Seigneur de la Motte-Saint-Martin, de Brétigny, de Foulletorte et de Cussy-les-Forges



Les deux jouteurs entrent en lice et le juge les salue avant de les laisser se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les chevaux sont lancés à vive allure, les deux lances touchent leur cible mais seul Lexhor brise le bois.
Sous le choc June quitte les étriers. Il se relève et souffre d'une légère blessure à la nuque.



Par chute de son adversaire, Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur !




Les yeux rivés sur la lice dressée pour l'occasion, le Prince de Montlhéry rêvassait, se remémorant quelques-unes de ses meilleures performances tout en se demandant s'il était encore à la hauteur, après tant d'inactivité. Ce qu'il faisait là ? Il honorait tout simplement la promesse faite à sa filleule à qui il ne pouvait rien refuser. C'est qu'elle était si mignonne, contrairement à sa dragonne de mère. Madeleine était douce, respectueuse et pieuse, portant merveilleusement bien son prénom. Elle lui avait demandé de porter ses couleurs lors de ces joutes en Béarn qui semblaient lui tenir à cœur. Alors il avait accepté, bien que craignant de ne faire que de la figuration, depuis le temps qu'il ne s'était pas montré en lice. Sans cette demande il n'aurait pas participé aux festivités, mais il n'était finalement pas mécontent d'être là. Certes, il s'était quelque peu lassé de l'exercice, mais les joutes restaient tout de même un art qu'il affectionnait. Les habitudes furent vite reprises et le campement fut opérationnel rapidement. L'annonce des éliminatoires auxquels il échappait le réjouit car il pouvait ainsi prendre de le temps de passer un moment avec sa filleule, l'occasion d'en apprendre plus sur sa vie et ses occupations et sur quelques ragots parisiens qu'elle devait bien avoir captés, en digne fille de sa mère.

Mais bien vite, son devoir lui fut rappelé au son de l'olifant : les seizièmes de finale étaient annoncés prochainement et il lui fallait s'y préparer. Il prit donc congé de Madeleine afin de s'en retourner en son antre. Ce n'est que là-bas qu'il fut informé de l'identité de son adversaire. Son vassal préféré. Ni plus ni moins. June, LE June. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres et son regard s'emplit de malice. Ce duel aurait sans nul doute des airs de finale. S'il y avait bien une victoire à remporter, c'était celle-là. Le perdant en entendrait parler durant de longs mois, si ce n'était des années. Plus que le berrichon lui-même, il entendait déjà la roussière épouse de ce dernier le railler jusqu'à s'en faire saigner les cordes vocales. NO WAY. C'est donc un Lexhor version Top Chef, en mode "machine de guerre" qui fit son entrée sur la lice et se mit en place.

Le Prince enfila alors on heaume, saisit la lace qui lui était tendue et se redressa. Il s'inclina en direction du juge diseur puis adressa un signe de la main à son opposant. Les joutes équestres étaient un art pratiqué par les plus grands seigneurs et la courtoisie y était de mise, quelque soit l'identité de celui que l'on affrontait. Lexhor tendit enfin sa lance, sur laquelle étaient épinglées les couleurs de la Princesse de France, en direction de Madeleine, avant de se concentrer sur le signal à venir.

Lorsque celui-ci se fit entendre, le Chevalier éperonna son frison qui s'élança vivement, bondissant vers l'avant, impatient de revivre à nouveau, lui aussi, ces exaltantes sensations. Les sabots du destrier martelaient le sable de la lice, battant crescendo la mesure d'une course effrénée vers un choc magistral. A la croisée, les deux lances explosent sous l'impact et l'orléanais se penche vers l'avant, ancré dans ses étriers et serre les dents sous son heaume, avant de s'extirper du nuage de poussière soulevé. Un rictus de satisfaction s'inscrit sur ses lèvres lorsqu'il comprit, grâce au fracas, qu'il avait vaincu. Il tira sur les brides pour faire ralentir sa monture et lui fit faire demi-tour et jura machinalement lorsqu'il vit le Vicomte se relever, sans grave blessure.


Bordel ! Marmonna t-il sous son heaume. Je l'ai manqué ! *mot de Cambronne*

Il se défit finalement de son casque, qui devenait étouffant, semblant chercher aux alentours de la lice les membres du corps médical et écuyers chargés de l'assistance aux jouteurs.

Mon bon vassal est blessé ! Que l'on s'occupe prestement de lui ! Hardi ! Et bien ! Sous peine de se voir estourbir, foi d'Amahir !

Non, il n'en faisait jamais trop. Ou si peu. Il s'étonna lui-même de sa sobriété. Il aurait pu éructer, brailler, chambrer, moquer, parader, comme il aimait le faire. Mais il se contenta d'une boutade, d'une moquerie presque amicale. Manquerait-il d'inspiration ? Vieillirait-il ? Ou pire, aurait-il un soupçon d'affection pour cet énergumène ? Il chassa ces idées folles de son esprit en secouant légèrement la tête, se rassurant en se disant qu'il n'avait pas voulu se faire trop remarquer, par égard pour sa filleule. Ceci étant bien plus acceptable, il salua Aimelin, leva de nouveau sa lance, brisée cette fois, en direction de Madeleine, puis se tourna vers son adversaires et s'inclina.

Le choc fut rude mais vous êtes aussi solide qu'un chêne du Berry. Que Dieu vous garde mon ami et si vous souhaitez que je vous apprenne à jouter en échange de quelques leçons de ramponneau, vous savez où me trouver.

Et magnanime qui plus est. Il était malade, à n'en point douter. A moins qu'il ne soit plus jouissif de jouer les grands seigneurs. Il quitta, sur ces belles paroles la lice, fredonnant doucement un air anglois qu'il avait apprit sous le règne de sa feue Majesté Jean, lors d'un voyage diplomatique outre-manche.

Hey, June, don't make it bad, take a sad song, and make it better...
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Floriantis
- les Seizièmes, du côté d'Aimelin et des tribunes -


Lorsqu’il est là, il aime bien filer un coup de main et il laisse son regard bleuté se poser sur sa Grasce alors qu’il tapote d'un geste machinal, l’encolure de son cheval dont il tient les rênes, patientant à l’entrée de la Lice et qu’il lui répond prenant un air faussement soucieux.

si tu ne reviens pas, je prendrai soin de ta petite famille, c’est promis.

Il donne une petite tape sur la croupe de l’animal, pas le Duc mais sa monture, avant de le suivre des yeux et d’observer le duel avec intérêt. Le Millelieues se défend bien et résiste aux chocs, mais ses coups ne sont pas assez portés pour qu’il désarçonne son adversaire ce qui est bien dommage. C’est qu’il le soutient son jouteur, et il y croit le jeune capitaine lorsque le troisième face à face se fait de façon plus brutale et qu’il voit le jeune noble perdre l’équilibre. Il ferme un instant les yeux pour les rouvrir en le voyant se relever apparemment indemne et accueille les rênes qu’il lui confie avant d’aller reprendre son arbitrage.

Le blond tient à regarder quelques duels dont celui du fils d’Harpège face à cet homme croisé dans une taverne du Mans, obsédé par l’âge des dames, enfin surtout d’une certaine belle brune si chère au cœur de l’Alcapari. Et il laisse un sourire étirer finement ses lèvres, lorsque la chute arrive. Et puis il regarde celui de la fille d’Ange qu’il a aperçu lors de l’ouverture du testament et regrette que la seule qui soit venue lui adresser la parole ne soit point là et enfin celui de Jujoss qui mord la poussière, avant de se tourner vers l’étalon qu’il entraine vers les campements.


allez hop je vais m’occuper de toi tu l’as bien mérité.
Que dirais tu d'un petit seau d'eau ?

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Aimelin
Et c'était le moment de lancer les quarts de finale. Le brun rejoignit sa petite estrade et ses sonneurs de trompette à qui il fit un petit signe de la min pour les garder à distance, et annonça les premiers jouteurs.







Citation:
Albin d'Ar Sparfel, Vicomte de Mondoubleau, Baron Douaire d'Entrammes
affronte
Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard et de Mellay, Baron d'Illiers, Seigneur de Quiers sur Bezonde, de Chevilly et du Mée



Les jouteurs entrent en lice et le juge les salue, et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche sa cible.

Deuxième lance.
Cette fois-ci les deux lances touchent leur cible mais seul Albin brise le bois.
Sous le choc les deux cavaliers sont désarçonnés, mais se relèvent sans aucune blessure.

Le bris de lance d'Albin départage les jouteurs.


Par un bris de lance contre aucun, Albin d'Ar Sparfel est déclaré vainqueur !





Citation:
Lexhor d'Amahir, Prince de Montlhéry, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau, de Château-Landon, d'Evron, de Montereau-Fault-Yonne et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Château-Renault et de Saint-Antoine-de-Rochefort, Chevalier de France, et Pair de France
joutera en l'honneur de Madeleine de Firenze, Princesse de France.
affronte
Aeglos d'Orkney-Bressey, Duc d'Aumale, seigneur de Montpeyroux



Les deux cavaliers entrent en lice et le juge les salue, puis les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche.

Deuxième lance.
C'est le Prince de Montlhéry qui touche et brise sa lance alors que le Duc rate sa cible. Sous le choc il est projeté à bas de sa monture.
Il se relève et souffre d'une légère blessure à la cuisse.


Par chute de son adversaire, Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur !




Citation:
Jason Ludgarès de Vissac dict l'Insolent, Vicomte de Montivilliers et de Cheylanes, Baron de Vissac
affronte
Do..... de Goëllor, Baronne de Sombernon, Dame de Savigny en Terre Plaine et de Changy



Et un autre duel pour ces quarts. Le juge diseur salue les deux jouteurs et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche sa cible.

Deuxième lance.
Les deux lances touchent leur cible et se brisent toutes les deux. Les deux cavaliers restent en selle.

Troisième lance.
A nouveau les chevaux sont lancés à vive allure et les deux lances touchent l'écu adversaire, mais seule Do brise le bois.
Les deux cavaliers restent en selle.

Trois passages ont eu lieu, et les bris de lance départagent les jouteurs. Le juge arrête la joute et annonce le vainqueur.


Par deux bris de lance, contre un seul, Do..... de Goëllor est déclarée vainqueur !




Citation:
Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost,
affronte
Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn



Deux béarnaises qui s'affrontent pour ce dernier duel des quarts de finale. Le juge les salue toutes les deux d'un sourire et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les galops sont puissants et les deux lances s'abaissent mais seule Calypso touche et brise sa lance, alors que Melian rate sa cible.
Le choc est assez rude, et la Baronne vide les étriers pour rejoindre le sable de la lice.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Calypso d'Ascoli, dicte Cooky est déclarée vainqueur !



Les demi finales verraient s'affronter deux hommes et puis deux femmes, dont une béarnaise, ce qui donnerait donc en finale un homme face à une femme, ces joutes béarnaises étaient équilibrées.
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~ activité fortement réduite les week end - ~Archiviste judiciaire de Champagne ~
Keltica
Citation:

Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost
affronte
Keltica de Chancelley, Vicomtesse de Lugny en Arconce, Dame de Salives



Et dernier duel pour ces huitièmes où le jeune brun voit s'affronter deux connaissances, car s'il n'est pas homme à oublier ses ennemis, il n'en oublie pas pour autant les personnes cotoyés et appréciées, et Melian fait parti de ces dernières.
Quant à la poursuivante de Minerve, elle était sa distributrice personnelle de bons points à la Ligue. Certains recevaient des colliers, lui il recevait des bons points, mais il pouvait choisir la couleur ce qui le ravissait.
Le juge salue les deux cavalières et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe malgré de bons galops, et personne ne touche.

Deuxième lance.
Ici, ici c'est le Béarn ! pourrait on presque entendre dans les tribunes.
Les deux lances touchent leur cible, mais seule Keltica brise le bois. Sans doute y a t'elle mis du coeur, car emportée dans son élan, elle perd l'équilibre et tombe de cheval offrant la victoire à Melian.
Elle se relève, souffrant d'une blessure légère à l'avant bras.


Par chute de son adversaire, Melian de Ventoux est déclarée vainqueur.



C'était son tour ; la jolie blonde, partie se préparer avec son Colosse-pom-pom-boy-à-elle-toute-seule, revenait sur la lice, son doux ami à son côté avec son matériel. Dorénavant bien rodé à l'exercice, il lui transmit son bouclier, sa lance et son heaume, et elle lui offrit un charmant sourire.

A tout à l'heure mon ami, j'espère que la victoire me sourira !

Après un dernier clin d'oeil, la Vicomtesse se redressa, salua son ami et collègue friand de bons points -si elle gagne, il en aura un nouveau tout neuf, tiens !, puis elle salua son adversaire, avant de rabattre la visière de son heaume. Prête, elle attendit le signal qui ne tarda pas.

Talonnant son cheval, la jeune femme le fit prendre son départ avec ardeur ; l'étalon fringuant était un peu trop enthousiaste, et son galop un peu désordonné perturba sa cavalière, qui ne sut pas ajuster convenablement sa visée. Ni touchant, ni touchée, le score resta vierge, et elle fit faire demi-tour à son destrier en bout de lice, prête à repartir. Nouveau galop puissant, et cette fois, Keltica sentit sans y laisser aucun doute qu'elle avait touché son adversaire, mais en avait également été touchée. Se penchant soudain en avant, se servant de son expérience, la jeune femme appliqua une force suffisante, ce qui eut pour effet de briser sa lance contre l'écu de la Baronne. Malheureusement, elle se pencha un peu trop brusquement, et son destrier, surpris, fit un léger écart ; ajoutant à cela le choc reçu, déséquilibrée, la jolie blonde sut que son duel se finirait dans le sable. Dans un geste instinctif, étant donné qu'elle allait choir face contre terre, elle lâcha le moignon de sa lance et remonta son bras portant le bouclier devant elle, pour se protéger au moins un minimum. Le choc fut assez brutal, dans un fracas métallique, et on n'entendit presque pas le cri que la jeune femme poussa. Son avant-bras, coincé entre son corps et le bouclier, avait subi le plus lourd du choc et la jeune femme grimaça en roulant lentement sur le dos pour le décoincer, puis elle se redressa pour s'asseoir à même le sol. Dans un réflexe rapide, elle détacha son bouclier et la pièce métallique qui protégeait l'avant-bras, au cas où le choc ne fasse gonfler ses chairs et qu'elles ne soient ensuite compressées dans leur carcan.

La Baronne s'approchait alors, semblant inquiète, et Keltica, encore assise par terre, releva les yeux vers elle, se voulant rassurante. Du coin de l'oeil, elle vit Savian accourir de même.


Oui... ça devrait aller, j'espère que ce n'est qu'un gros choc, mais on n'est jamais trop prudente. Regardez, il n'y a pas la moindre goutte de sang. Je vous félicite pour votre victoire, et j'espère que vous ferez un beau parcours dans ce tournoi, Baronne.

Elle lui sourit aimablement, se releva doucement, puis ramassa de son bras intact ses pièces détachées, avec l'aide de son Colosse.


Ce n'est pas encore pour cette fois mon ami.... J'ai été imprudente, il faut que je continue à travailler ce mouvement, mais en attendant, nous irons une fois de plus rendre visite à mon médecin préféré !

_________________
Chadada


Citation:

Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn
affronte
Chadada de Mathevet, Seigneur de Méréglise



Le retour de la petite galette, face à un juge de la Ligue, habitué des lices maintenant. Promis, le juge n'a pas fait remettre une lance plus courte à la Dame. Le juge salue les deux cavaliers et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche

Deuxième lance.
Nous sommes en Béarn, et la jeune béarnaise le montre. Elle touche et brise sa lance avec force, entrainant la chute de son adversaire qui rate sa cible.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Calypso d'Ascoli est déclarée vainqueur.

Après avoir passé un premier tour sans encombre, le jeune Mathevet se trouvait face à Calypso d'Ascoli en huitième de finale. Il doit donc faire face à une régionale de l'étape soutenue vivement par la foule.
Première lance, le jeune Mathevet reste sur ses gardes en tentant de profiter d'un surcroit d'adrénaline chez la béarnaise. Mais en vain, celle-ci semble concentrée sur son but. La seconde lance ne laisse aucune chance à Chadada qui est rapidement mis au tapis.
Sortie sans gloire, un tournoi à oublier pour lui. Il s'en va sportivement féliciter la gagnante.

Félicitations Dame, je vous souhaite d'aller loin dans ce tournoi, chez vous en Béarn.
_________________
Cooky


Citation:

Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn
affronte
Chadada de Mathevet, Seigneur de Méréglise



Le retour de la petite galette, face à un juge de la Ligue, habitué des lices maintenant. Promis, le juge n'a pas fait remettre une lance plus courte à la Dame. Le juge salue les deux cavaliers et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche

Deuxième lance.
Nous sommes en Béarn, et la jeune béarnaise le montre. Elle touche et brise sa lance avec force, entrainant la chute de son adversaire qui rate sa cible.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Calypso d'Ascoli est déclarée vainqueur.


Bon, les huitièmes, c'était facile d'y arriver quand on évitait dès le début les éliminatoires. Elle y était parvenue plusieurs fois dans la saison depuis qu'elle avait enfin réussi à gagner une joute. Comme si cette première victoire avait débloqué un compteur qui s'amusait à jouer avec ses nerfs à chaque nouveau tournoi. Mais c'était là que ça se corsait, il lui fallait gagner cette fois pour pouvoir prétendre améliorer son palmarès. D'autant que pour cette fois, elle affrontait rien de moins qu'un arbitre de la ligue. Le Seigneur était jeune et habile, il lui faudrait faire appel à toute sa technique pour pouvoir le dominer sur le sable.

Confiante malgré tout en l'entrainement intensif auquel elle s'astreignait et soucieuse de représenter fièrement le Béarn dans ces joutes organisées en local, les premières à sa connaissances depuis celles qu'elle avait elle-même organisées à Vielleségure plusieurs années auparavant, elle s'avançait sur le dos de sa Pottok. Visière en place, lance bien en main, elle était prête et le fit savoir à Aimelin.

C'était amusant de le voir là, réconfortant en un sens de trouver un visage connu parmi la foule colorée qui habitait temporairement les étendues de Barbazan. Sitôt qu'il leur fit signe, elle talonna Sobirana, l'encourageant à s'élancer avec sa fougue habituelle vers l'autre côté de la lice. Mais pour cette fois, il y eut un peu trop de fougue et trop peu de précision, si bien qu'elle parvinrent indemnes à leur point d'arrivée, de même que leur adversaire temporaire. Tout était à refaire.

Replaçant sa jument, elle se concentra à nouveau, mirettes fixées sur l'écu doré et brillant du Mathevet.


Allez... juste le toucher et briser la lance... c'pas si dur...

Nouveau signe de l'arbitre et Sobirana fit de nouveau voler le sable. Elle sentait Chadada légèrement fébrile, peut être trop en arrière sur sa monture, toujours est-il qu'elle visa... et toucha pour sa plus grande fierté.

Un large sourire éclaira aussitôt son visage. Elle était en quart de finale ! La joie néanmoins, ne lui fit pas oublier le seigneur qu'elle avait vu tomber de sa monture au moment de l'impact. Mettant pied à terre, elle le rejoignit en milieu de lice et s'assura qu'il n'avait aucune blessure à déplorer.


Merci Messer, je ferai de mon mieux pour que votre bon souhait se réalise, croyez moi.
Ce sera un plaisir de vous offrir votre revanche dans un prochain tournoi, je ne doute pas que nous en aurons bientôt l'occasion.


Malheureusement, la lecture du panneau d'affichage lui ôta quelque peu son sourire dès sa sortie de la lice. Elle allait affronter Mélian au prochain tour, une amie de longue date et l'une des rares jouteuses qu'elle connaissait un temps soit peu, à son grand désarroi.
_________________
Lexhor
Citation:

Lexhor d'Amahir, Prince de Montlhéry, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau, de Château-Landon, d'Evron, de Montereau-Fault-Yonne et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Château-Renault et de Saint-Antoine-de-Rochefort, Chevalier de France, et Pair de France
joutera en l'honneur de Madeleine de Firenze, Princesse de France.
affronte
Merveylle Catherine Elisabeth de la Mirandole, Princesse de France, Dame de Saint Agil



Un habitué des joutes, sans doute l'un des plus anciens jouteurs et donc expérimenté, face à une jeune Princesse qui prend régulièrement le chemin des lices. Le juge les salue et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche.

Deuxième lance.
La même, aucune lance ne touche sa cible.

Troisième lance.
Lexhor semble décider à interrompre les passages à vide et touche sa cible en brisant, alors que Merveylle rate sa cible. Sous le choc, la jeune femme tombe de cheval, mais se relève sans aucune blessure.


Par chute de son adversaire, Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur !




Après les réjouissants seizièmes de finale qui lui permettraient de parader un bon moment et de faire enrager l'une de ses vassales, les tours suivants qu'il franchirait, quelque soit leur nombre, ne seraient que du bonus. Plus il allait loin, plus il ferait honneur à sa petite filleule, mais l'essentiel était de toute façon accompli bien que ce ne fut pas un objectif avant que le destin ne s'en mêle.
Les huitièmes de finale étaient annoncés et il fallait de nouveau se préparer sans tarder à jouter. Cette fois, l'adversaire lui était parfaitement inconnu et il s'agissait d'une jouvencelle, ce qui ne plaisait pas particulièrement au Prince. Certes, tous les jouteurs connaissaient les risques encourus lorsqu'ils s'adonnaient à cet art, mais il conserverait toujours une certaine culpabilité s'il venait à estropier une jeune âme. L'appréhension était donc importante au moment de pénétrer en lice et de se mettre en place.
Un signe au juge diseur, un autre en direction de son adversaire et il prend position, attendant le signal d'Aimelin. Lorsque celui-ci le donna, le chevalier lança sa monture et avisa son opposante. Ne sachant comment l'aborder, craignant de l'esquinter; il tergiversa trop longtemps et abaissa sa lance bien trop tardivement. Demi-tour en bout de lice, et nouvelle course, identique à la première. Retour à la case départ? Lexhor dodelina de la tête, mécontent, puis posa les yeux en direction des tribunes avant de lever sa lance à l'attention de Madeleine qui devait se demander ce que fichait son parrain qui allait finir par lui faire honte. Au nouveau signal, le Prince s'élança avec plus de détermination et abaissa sa lance plus rapidement, ajustant son adversaire avec précision et force. Cette fois fut la bonne et la victoire acquise pour la seconde fois. Lorsque son frison s'arrêter il constata avec soulagement que la jeune femme se relevait sans peine. Il s'inclina alors en sa direction.


Dieu vous garde damoiselle. Et à bientôt, peut-être.

Il quitta la lice après avoir saluer le juge et adresser un signe victorieux à sa petite protégée.
_________________
Cooky



Citation:
Melian de Ventoux, Baronne de Bénac, Esparros & Mun, Dame de Beost,
affronte
Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn



Deux béarnaises qui s'affrontent pour ce dernier duel des quarts de finale. Le juge les salue toutes les deux d'un sourire et les laisse se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Les galops sont puissants et les deux lances s'abaissent mais seule Calypso touche et brise sa lance, alors que Melian rate sa cible.
Le choc est assez rude, et la Baronne vide les étriers pour rejoindre le sable de la lice.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Calypso d'Ascoli, dicte Cooky est déclarée vainqueur !


Duel des quarts de finale... il allait falloir qu'elle s'applique pour réussir à gagner là où elle échouait toujours jusqu'à présent. Le hic dans cette belle décision, c'était Mélian. Affronter Son Excellence dans ces circonstances ne lui plaisait pas vraiment et elle se félicitait à présent d'être habituellement seule représentante béarnaise en lice. Au moins, ces situations embarrassantes n'étaient point trop courantes. Elle plaignait finalement de tout son cœur ceux qui s'affrontaient en famille à chaque tournoi.

Juchée sur sa jument, les yeux rivés sur l'écu à briser, elle prit une longue goulée d'air frais. Ce serait l'affaire de quelques minutes à peine... il lui fallait juste oublier à qui elle faisait face et imaginer qu'il s'agissait d'un inconnu. Aucun enjeu, pas de pression. Tout irait bien ainsi.

L
e sourire bienveillant d'Aimelin l'aida à calmer ses craintes et elle se prépara à entrer en lice. Au signal, la Pottok s'élança vivement, faisant jaillir un nuage de sable autour d'elles. Concentrée sur son but, elle n'y prêta pas attention, occupée à accrocher des yeux l'écu sur lequel elle devait briser sa lance. Elle le vit approcher à toute allure au rythme du pas enlevé de sa monture.

Main ferme, poignet souple, elle connaissait la technique par coeur à présent. Ajustant la hauteur de son bras, elle se prépara au choc qui approchait. L'impact fut rude et la secoua franchement, pas assez néanmoins pour la désarçonner. Bien accrochée à sa selle, un morceau de sa lance brisée encore en main, elle calma Sobirana pour la mener plus doucement à l'extrémité de la piste.


Bravo ma belle, tu as été parfaite.

Se retournant, elle revint ensuite jusqu'à Mélian, lui tendant une main amicale pour l'aider à se redresser.

Bravo Mélian, vous avez fait un superbe tournoi !
Vous avez de vrais talents de jouteuses.
Si la diplomatie venait à vous ennuyer, vous avez là un avenir de championne tout tracé !

Elle lui sourit avec douceur, regrettant une fois de plus de n'avoir pu éviter ce face à face qui ne pouvait pas se terminer équitablement.

J'espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de vous avoir mise à terre et surtout que vous n'en garderez ni séquelle ni mauvais souvenir !
_________________
Arnaud_giboint


Citation:

Arnaud Giboint de la Maurinière, Comte de Rodelle, Baron de Brethencourt, Seigneur de Sennely et de Douzon
affronte
Jason Ludgarès de Vissac dict l'Insolent, Vicomte de Montivilliers et de Cheylanes, Baron de Vissac



Deux habitués des lices se présentent et le juge diseur les salue et les regarde se mettre en place.
Puis le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Rien ne se passe, aucun jouteur ne touche.

Deuxième lance.
La même que la précédente, aucun jouteur ne touche sa cible.

Troisième lance.
C'est jason qui touche et brise sa lance, entrainant la chute de son adversaire, alors qu'Arnaud rate sa cible.
Il se relève, et souffre d'une blessure moyenne à la cuisse.


Par chute de son adversaire, Jason Ludgarès de Vissac dict l'Insolent est déclaré vainqueur.



Mauvaise journée, jouter contre un amin'a rien de plaisant même si l'on se dit que cela peut arriver quand le fait est là on à pas envie , et quand on n'a pas envie on peut s'attendre au pire. Breef c'est pas dans le meilleur état d'esprit qu'Arnaud entre sur la lice après avoir pris possession de lance tendue par Margot.

Salut en direction de la foule, du juge et de l'adversaire et en route pour la confrontation.

Un petit tour pour rien le coeur n'y est visiblement pas, un second tour qui ressemble au premier et on y va pour une troisième passe.

Arnaud voit l'ecu adverse se rapprocher mais le rate une fois de plus ce qui n'est pas le cas de Jason qui l'envoie au sol.
Mauvaise journée, mauvaise réception bref une douleur assez violente s'invite chez Arnaud au niveau de la cuisse, ce qui ne l'empèche pas de se relever tant bien que mal en s'ppuyant sur Marius venu à son secours

Bon un petit mot acciompagné d'un sourire pour le moins grimaçant à Jason venu à sa rencontre

Sale Brute je suis bon pour aller me faire dorloter par Léanore, j'epère que tu va me faire l'honneur d'aller jusqu'au bout pour te faire pardonner et à charge de revanche bien entendu

SAns plus attendre il apparait vomme necessaire de se rendre à la tente médicale mais avant cela se débarrsser de l'armure, donc passage oblige par le campement et enroute vers le domaine de prédilection de Leéanore
_________________
Aimelin
Et le tournoi continuait son avancée, se rapprochant inéluctablement de la fin.









Citation:
Albin d'Ar Sparfel, Vicomte de Mondoubleau, Baron Douaire d'Entrammes
affronte
Lexhor d'Amahir, Prince de Montlhéry, Duc d'Alluyes, Baron d'Auneau, de Château-Landon, d'Evron, de Montereau-Fault-Yonne et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Château-Renault et de Saint-Antoine-de-Rochefort, Chevalier de France, et Pair de France
joutera en l'honneur de Madeleine de Firenze, Princesse de France.



Premier duel masculin de cette demi finale. Deux jouteurs habitués des lices que le juge diseur salue, avant de les laisser se mettre en place.
Le signal est donné, sonnez buccines !

Première lance.
Le duel est rapide, les deux lances s'abaissent, mais seul Lexhor touche et brise sa lance.
Sous le choc, Albin tombe de cheval, et se relève sans aucune blessure.


Par chute de son adversaire, Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur !




Citation:
Do..... de Goëllor, Baronne de Sombernon, Dame de Savigny en Terre Plaine et de Changy
affronte
Calypso d'Ascoli, dicte Cooky, Dame de Vielleségure en Béarn



Deuxième duel, féminin cette fois-ci pour cette demi finale.
Le juge salue les deux cavalières et les laisse se mettre en place, puis donne le signal.
Sonnez buccines !

Première lance.
Les deux lances s'abaissent et touchent chacune leur cible, et se brisent sous l'impact, mais la Dame béarnaise est déséquilibrée sous le choc, et tombe de selle.
Aucune blessure n'est à déplorer.


Par chute de son adversaire, Do..... de Goëllor est déclarée vainqueur !



La finale verra donc s'affronter la Baronne de Sombernon et le Prince de Montlhéry. Rendez vous est donné pour dans l'après midi aux jouteurs et spectateurs.
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