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[RP]Mariage de Dédain Deswaard de N. et Madeleine de Firenze

Geronimo2751
Clopin clopan sur le dos de Plume sa vieille carne qui tenait bon malgré les nombreux trajets quand il sillonnait le royaume et un peu plus mais il fallait croire que l'air des montagnes préservés les organismes. Le chemin elle le connaissait par coeur tant le vicomte avait trainé ses guêtre dans les arrières cours parisiennes, il avait d'ailleurs pris avec lui son seul souvenir de ce temps là. Un joli collier. Parenthèse fermée.
Sa femme lui donnait la solution pour aller boire des coups plutôt que de faire le nombre à une cérémonie. A la bonne heure !! Il lui suffirait de la ravir pour la soustraire à ses obligations. Même si l'idée de prendre la clé des champs était tentante il la laisserait accomplir son devoir.


Je vais devoir de protéger de près pour éviter toute tentation de te faire disparaître !!

Voilà comment d'une corvée l'on passé à un moment agréable. Ses yeux souriait car ils savaient l'un et l'autre lire entre les lignes de ce qui était exprimé et surtout ce qui ne l'était pas.
Gérault réajusta son pourpoint de gueule et épousseta ses vêtements à la livré de sa baronnie du Glaizil. Sa femme du même aux couleurs de Mornant. Un léger sourire en coin ... il lui avait préparé une surprise !! Mais ce n'était pas l'heure, il emboita le pas à sa mi qui venait de venir Dauphiné avant Dame de Gaudemar.


Allons-y !

La première personne qu'il vit en sortant à la lumière fut la Dame de Culan. Quel plaisir de voir certaines personnes de sa vie passée.
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Pour ma patate
Victoire.
Du voyage elle avait survécu, aussi nul besoin de relater chaque virage et arrêt nocturne, et encore moins ce qu'il se passa dans le carrosse ces heures durant.
Notre Dame, l'île Saint-Louis, Paris....et qui dit Paris dit les boutiques. Avant les noces de Madeleine, Victoire entraina donc son fiancé sur les quais de Seine qu'ils arpentèrent en long, large et travers, à la recherche de babioles et autres joyeusetés que l'on nommera quelques siècles plus tard souvenirs.
Puis toujours le même rituel des préparatifs dans un Hostel du coin et s'arranger pour être à l'heure, voire en avance, afin de se faire le moins remarquer possible.
Ils eurent quelques difficultés pour se frayer un chemin tant les ruelles étaient bondées de curieux, dont certains, à l'affût, n'étaient là que pour soutirer quelques piécettes aux promeneurs.
Face à la Cathédrale, les azurs de la duchesse effleurèrent les pierres de l'édifice pour aller se perdre sur une des gargouilles un long moment. La foule conséquente se montrait relativement disciplinée lorsqu'ils atteignirent le parvis. Bien accrochée au bras de Nerval, Victoire, dont les soucis de talons étaient toujours d'actualité, aperçut bon nombre de visages connus, qu'elle salua du chef et à qui elle adresserait quelques mots sans doute plus tard si l'occasion se présentait.

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Tristan.dc
Tristan faisait sa première sortie après un long recueil dans ses quartiers, cela lui était pas des plus familiers et pour reprendre goût au voyage, car un long l'attendait, son sœur préférée lui proposa qu'il se joigne à elle au mariage. Pour requinquer le rouquin, elle décida de le prendre sous son bras et lui faire rencontrer du monde. Ce n'était pas une chose inconnue pour lui étant donné son passé mais il devait reprendre les choses et sortir plus loin que de sa maisonnette. Quoi de mieux qu'un mariage pour égayer encore plus une journée en compagnie de sa sœur. C'est de rouge vêtu qu'il attendit celle ci au pallier de leur demeure avant de se rendre sur les lieux du mariage. Chez les Cassel, pas de tralalala, tout était carré et point de retard n'était présent.

C'est souriant qu'il quitta le lieu de résidence, accompagné de son ainée, cela lui faisait des plus plaisirs et le Cassel pourrait garder un œil sur tous ceux qui en voudrait à sa sœur. Le jeune roux était émerveillé de voir Paris, première fois qu'il s'y rendait. La prestance des gens n'étaient pas les mêmes qu'ailleurs, on voyait que cela faisait parti des terres du Souverain. Autant dire qu'il était des plus honoré de se rendre sur ses terres royales.


Sœur, je voudrais encore te remercier de m'avoir invité à t'accompagner à cette union. Croyez vous que je verrais d'ancienne connaissance?


Après tout, sa sœur ayant un œil partout, peut être saurait elle renseigné sur les invités. Les deux roux se trouvèrent sur le parvis de la Cathédrale, le cadet regardant l’immense bâtiment et fut assez admiratif sur les détails et sculpture qui s’y trouvait. Assez interrogatif il se demandait, s’ils devaient entrer ou non dans le bâtiment. L’automne arrivant peu à peu, le vent commençait à se faire de plus en plus froid.


On peut rentrer ou on doit attendre du coup ? Je ne voudrais pas que vous attraperiez froid, je m’en voudrais.

Regardant les invités qui arrivèrent peu à peu, certains faisant une tête d’enterrement alors que cela devait être un jour heureux, le jeune Cassel avait du mal à comprendre certain comportement. Lui en tout cas, il affichait un large sourire, il n’avait aucune raison de ne pas être heureux.
Yasaelle
OP s'as y lever de son lit et que choisir en tenue , voilas se qu'elle pensée et comment s'y rendre s'en se remettre tout le ld à dos ...................

Ba La Ya avait tout simplement fait appelle à une couturière pour lui fabriquer la plus belle robe qu'il soit hormis moins belle que celle de la mariée ien évidement .




Et op coiffer cheveux en natte double se magnifique robe elle se rendit à l'endroit indiquer et que route à faire et que voyage .

Arriver si lieux et entre une pause dans une auberge de "luxe" ^^ elle se rendit à la cathédrale .....Elle vit plein de monde présent dont certain qu'elle connaissait plus que bien mais se préféra à se fourfiler , se signer et attendit ...........................

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Sorianne
Hostel de Chaalis.



Elle a un chapeau.
Sisi, Sorianne a mis un chapeau. Sans doute va-t-il tomber des grenouilles devant cet évènement digne de ce nom. D'habitude sa longue tignasse corbeau est laissée libre ou nattée, mais ce jour elle a choisi d'être davantage sophistiquée et de laisser passer le fait qu'elle est dorénavant bourgeoise argentée. Puis elle ne doit pas se rendre devant n'importe qui alors autant bien présenter, même si la simplicité reste de mise. Elle n'aime point le clinquant ou le m'as-tu-vu. C'est donc d'une tenue de style italien, de brocart vert et de satin cuivré que la brune est parée. Les souliers cuivrés sont brodés de fleurs et d'une qualité indéniable. Puis pour trancher avec le reste, la So s'est permise un petit décalage en choisissant des plumes de geai pour agrémenter le chapeau.

Quelques pièces ont été nécessaires pour payer une paire de bras et qu'elle n'ait pas à trainer la malle contenant la robe de la mariée. Cette fameuse malle a changé de main lorsqu'elle est arrivée à l'Hôtel particulier de la famille qu'on lui a indiqué. La petite noiraude a pu constater avec une petite moue, que l'effervescence règne, pour sûr, elle ne s'est point trompée d'endroit.

Tout s'est déroulé rapidement. A peine s'est-elle présentée, annoncée, la voilà propulsée à la suite de l'un des domestiques après qui elle trotte pour ne pas le perdre de vue tant il avance vite sur ses grandes cannes.
Avec un peu d'inquiétude cela dit, So ne peut s'empêcher de se retourner de temps à autre pour voir si la malle suit bien. Cela serait tout de même ballot qu'elle arrive sans robe. "bon ben... Nue? Prête pour la nuit de noce, que demander de mieux, au moins voilà un mariage original!"... Non non, elle ne comptait pas goûter les geôles de la prison.

La rapidité de la présentation aura au moins eu cela de bien, c'est qu'elle n'aura nullement eu le temps de appesantir sur les détails, sur le fait qu'elle soit bien là, ou même sur LA question. Va-t-elle pouvoir s'en aller ou devra-t-elle rester pour s'occuper de la vesture de la mariée jusqu'au bout.

La tignasse chignonnée mais jamais domptée laisse échapper quelques mèches sous le chapeau quand la petite brune pénètre la pièce dans laquelle on s'agite déjà. Sa méconnaissance totale des manières à adopter la laisse un peu pantoise. Elle ne sait comment saluer, quoi dire. Déjà la malle est posée à ses côtés, et la petite brune a les pommettes qui rosissent avant qu'elle ne se décide à plier le genou légèrement, avant de se redresser aussi sec.

La mariée doit sans doute être la jeunette, alors la couturière lui offre un sourire rassurant. Même si elle en a bavé sur la tenue commandée, elle s'y est appliquée.


Le bonjour, je suis Sorianne.
Je viens pour la robe.


La noiraude ne sait trop quoi ajouter, ni s'il faut attendre un signe particulier, alors elle se décide à se pencher pour ouvrir la lourde malle qui contient le petit et encombrant... TRÈS encombrant.... Trésor de la journée. Pour sûr, il lui aura donné du fil à retordre. Et ce n'est pas qu'une image. Pliée comme il le faut, la lourde tenue au métrage de tissu impressionnant est saisie aux épaules, et la So se déplace jusqu'au lit imposant pour l'y déposer, avant de revenir chercher les boucles, ainsi que la ceinture, la cape, et les bas confectionnés pour, joliment brodés de fleurs rouges et d'arabesques, de même que la chainse aux fins galons pourpres aussi. Après tout!

Sorianne s'éloigne un peu finalement, de manière à laisser les intéresser juger d'eux mêmes de la qualité et de la fidélité de la tenue par rapport à ce qui était demandé. Et elle replie un peu le genou, histoire de, avant de reprendre la parole.


J'espère qu'elle vous convient. Je peux refaire deux ou trois retouches avant que vous ne partiez au besoin.

Prête à l'aider à enfiler tout cela!

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Dameisabeau

Paris ! Elle allait enfin découvrir cette ville mystérieuse et le fleuron architectural du royaume : la fameuse cathédrale de Notre Dame,
Sur la route qui l'y menait, elle repensait à ce qu'on lui en avait rapporté et elle imaginait une ville immense, quadrillée de larges routes pavées bordée entre autres d’hôtels au luxe ostentatoire qui voisinaient avec de nombreuses demeures bourgeoises,

Elle avait hâte d'y être, déjà parce que ce n'était pas tous les jours qu'on assistait à tel mariage et puis elle aimait assister aux mariages, elle avait besoin de ce genre de cérémonies joyeuses et émouvantes pour oublier la maladie, la détresse et la mort qu'elle cotoyait trop souvent et puis il y avait tellement d'endroits magiques à découvrir qu'elle avait d'ailleurs, d'emblée, décidé de prolonger quelque peu son séjour après le mariage,

Elle voulait tout voir, et commencerait par l'hotel Dieu, proche de la cathédrale, Quoi de plus normal au fond pour un médecin d'être attiré par ce genre d'endroit, et qui sait, peut être apprendrait t'elle de nouvelles pratiques ou découvrirait t'elle de nouveaux instruments chirurgicaux à la pointe du progrès,,

Pardieu ! Qu'elle était donc impatiente, Médecin passionné, oui elle l'était, mais femme avant tout et pour sur, elle ne manquerait pas de visiter aussi les galeries et ses échoppes, ses enlumineurs, ses boutiques de tailleurs maîtres du bon ton et de l'élégance parisienne, elle y trouverait aussi sans doute quelques jouets de bois qui plairaient sûrement à son fils, Pourquoi pas un pantin, un cheval de bois ou les deux,,,,
Elle tapota sa bourse bien remplie en espérant pouvoir satisfaire tous ses envies et caprices du moment, Elle allait s'amuser comme une folle,elle s'en régalait d'avance,

En revanche, même si sa curiosité était forte, elle éviterait certainement les taudis, et surtout la réputée cour des miracles, ceux ci n'ayant rien à voir avec leurs quartier miséreux provinciaux,
On racontait que ses ruelles étaient de véritables coupe gorge, pour sur, elle ne ferait pas dix métres ainsi vêtue,
Un furtif frisson la secoua à cette pensée mais bien vite, la voix grave du cocher la tira de sa réverie


Paris est en vue madame,

Se tordant le cou par la portière, elle aperçut au loin se dessiner dans un halo de lumière, les murailles de la ville,
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Anne_blanche
On a beau sentir sa province à dix lieues, on est forcément au courant des usages de Paris quand on a exercé d'aussi hautes fonctions que la duchesse de Courtenay.
L'équipage qui la mena au parvis de Notre-Dame faisait honneur à sa maîtresse. Le vieux coche aux armes de Culan, dont elle n'avait jamais pu se départir, avait été briqué à neuf sous le regard implacable du vieux Bacchus. Pages et valets portaient une livrée neuve, qui de Culan, qui de Courtenay, mais surtout de La Mure. Après tout, c'était en vertu de ce lointain fief dauphinois qu'Anne était présente.

Elle-même était en blanc, comme toujours. Son deuil éternel avait jusqu'à présent fait oublier son âge. Ses jeûnes plus ou moins volontaires lui avaient fait la peau si fine, si tendue sur la délicate architecture d'un visage mangé par les yeux immenses, qu'aucune ride ne pouvait s'y inscrire. Elle avait pourtant atteint l'âge mûr, puisqu'elle venait de fêter son trente-troisième anniversaire. "Fêter" est un bien grand mot : seule la mention, par le vieux Bacchus, qu'on était jour de Sainte Boulasse - excellent prétexte à beuverie pour le digne cocher - avait rappelé à Anne qu'elle avait une fois de plus fait le tour de l'an.

Ledit Bacchus, superbe dans sa livrée or et bleue, avec juste ce qu'il fallait de rouge pour relever le tout, chevauchait en tête. Il avait mission, avec sa haute taille et ses yeux restés perçants malgré son âge avancé, de repérer les anciens amis de la duchesse. Non qu'elle répugnât particulièrement à se présenter seule à Notre-Dame, mais puisqu'elle était à Paris, autant en profiter pour saluer quelques connaissances, et faire taire l'éventuelle rumeur de sa mort.


Et Messire Dédé ? C'est ainsi que je l'appelais, enfant. Est-il toujours de ce monde ? Et cette méchante sotte qui me fit un mauvais procès sur ordre de la maîtresse de mon parrain ? J'ai oublié son nom...


Bacchus, qui venait prendre ses derniers ordres à la portière du coche, et à qui s'adressait les questions, se garda bien d'y apporter réponse directe. Il savait Anne fort rancunière, et soupçonnait que son oubli n'était que prétexte à l'assouvissement de sa rancœur.


N'ayez crainte, Dame, je vous mènerai à vos amis.

Sa grosse voix roulait des R aussi formidables que ses gros yeux.
Anne se rencogna, les yeux fermés.
Et les ouvrit tout aussitôt, le coche s'arrêtant à destination.

Les années n'avaient pas arrangé son affreuse myopie. Aussi Bacchus se tint-il juste derrière elle, prêt à lui souffler son aide. Son haleine, pour une fois, n'empestait pas la bière : il avait sucé des clous de girofle.


Dame Anne, devant, un peu à gauche...

Et Anne de s'avancer, la main gracieusement tendue, vers ... elle-ne-sait-trop-qui.
Fort heureusement, tendre la main implique que l'on s'approche suffisamment pour discerner, sinon les traits, au moins l'agencement des couleurs. Aussi put-elle, sans crainte d'erreur trop flagrante, lancer :


Messire Gerault, le bonjour ! Voilà beau temps que nous ne nous sommes croisés, je cuide. Aurai-je le plaisir de voir Dame votre épouse ?

Ben oui, forcément. La question était idiote, puisque la dame en question était héraut, que les gens qui se rassemblaient là avaient été convoqués au nom de leur appartenance au ban, et que ledit héraut était témoin et seul garant de leur présence.
Un rapide sourire fit oublier - du moins l'espérait-elle - ce que la question avait de ridicule.

Déjà Bacchus, plié en deux pour amener sa moustache au niveau de l'oreille d'Anne, lui soufflait un autre nom.

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Guillaume_de_jeneffe
Après la reyne, les vassaux. Quel ordre logique que celui-ci. Si logique qu'il ne pouvait être dû qu'au hasard et non à un subtil agencement du grand architecte. Encore que... Celui-ci se faisait joueur, le Jeneffe le savait, pour le seul plaisir de voir douter de lui. Tiens, de cela aussi il faudrait débattre au jour où il passerait la lance à gauche. Encore que... là aussi. Il avait trop de fois damné son âme pour son royaume, son comté et son Ordre pour espérer rejoindre autre chose que l'enfer lunaire. Et il soupçonnait même que ses bonnes actions, ses contritions, ses dons et autres libéralités ne passeraient que pour les manifestations de sa crainte de l'au-delà. Alors qu'il ne craignait pas véritablement son destin ultime, ne nourrissant aucun doute à son sujet. Bref, le Flamand était plongé, vous le voyez, dans de bien sombres pensées au moment de choisir son pourpoint pour le mariage d'un de ses pairs au sein du ban flamand. Toujours logé dans une des cellules de la Tour Saint-Michel, il avait sous-pesé les deux possibilités qui s'offraient à lui, comme souvent. Les couleurs de France, ou celles de Flandres, qui reprenaient heureusement les émaux de Marchiennes. Finalement, ce furent l'or et le sable qui triomphèrent, de ses épaules au bout de ses pieds. Il irait tête nue, comme toujours ou presque. Son collier chevaleresque se joindrait à celui de Sainte-Illinda, son baudrier battrait son flanc au rythme du « galop » du pommeau en forme de Licorne de son épée et ses pas s'effaceraient sur le passage de sa cape d'azur frappée de la cabré chimère à qui il devait tout, le sucre de la vie comme son sel.

Du quartier des Licorneux à Notre-Dame, il franchit la foule, à pied cette fois. Il partit en avance, l'avantage de dormir sur place, ou presque. Ne se pressa pas et laissa traîner ses oreilles, savait-on jamais. Il salua l'un ou l'autre commerçant, alourdit la bourse d'un mendiant et empêcha d'un rouste un gamin de faire les poches d'une abbesse manifestement perdue et qu'il escorta ensuite dans un silence gênant. Pour finalement la quitter, en lui offrant son aide en cas d'un futur besoin, et gagner le parvis surpeuplé de la modeste chapelle en laquelle, mais ne le dites pas, une modeste union serait conclue entre deux modestes croyants. Guillaume souriait intérieurement aux échanges qu'il avait eu à ce sujet avec le Noldor, tout en se demandant combien de connaissances, et pas seulement dauphinoises, il rencontrerait à cette occasion. Un petit sac de cuir, d'ailleurs, pendait à sa ceinture pour l'une – aurait-il pu en être autrement, connaissant le gaillard ? – d'entre elles.

De son regard qui n'avait pas encore trop perdu de sa vivacité, il identifia les visages connus ou reconnus, classa ceux qu'il voyait pour la première fois, puis... eh bien, attendit. Il n'avait fixé rendez-vous à personne, ne courtisait guère en ce moment, et se contenta, après le formalisme du couronnement encore récent, de laisser filer le flot des événements hors de son contrôle. Ce qui n'aurait sans doute qu'un temps...

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Ellea
Sa première intention avait été d'écrire une belle missive de félicitations et de profiter de l'occasion des épousailles pour une visite à Paris. Après Rome, cela paraissait une évidence. Et elle s'était fait une joie de s'y rendre, projetant toute sortes de visites et calculant avec tout le sérieux nécessaire le nombre de jours à prévoir.

Avant de recevoir le courrier annonçant la levée de ban.

Le sourcil s'était arqué. S'il était une évidence de répondre à un ban, celui-ci en revanche lui paraissait quelque peu déplacé.
C'était donc avec le même enthousiasme de voir Paris qu'elle avait délaissé sa charge, mais avec fort peu d'entrain qu'elle se rendait à Nostre-Dame pour les noces de la Duchesse.
La missive de félicitations quant à elle avait été oubliée sous une pile de dossiers.

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Remi.de.gaudemar
hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Ze m'était imaziné au galop sur mon poney vers Paris ... Bigre ! Papa il a payé une calèche et quelqu'un pour me coiffer pfffff manquerait plus que ze prenne un bain, non mais dis donc.
Bon bref, sur zun petit mot que papa m'avait laissé il m'avait dit qu'il faudrait zêtre sage car maman travaillait. hé hé blblblblblblblblbl. Pas de grimace donc ...

Ze baillais aux corneilles quand les toits de Paris finirent par apparaître. J'allais revoir maman et papa c'était quand même bien mieux que d'étudier encore et toujours à Autun tout seul.

N'y tenant plus ze sauté du véhicule à peine arrêter et foncer tête baisser avec mes petites jambes. Ze saisi la main qui se tendait devant papa.


Bonzour moi c'est Rémi et toi ? Tu te souviens de moi ? on s'est vu avec Antoine le méchant à la zuniversité ?

oui oui la tornade qu'on m'appelle !!
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dina_
Surprise à la lecture de l'invitation... Pensive lorsqu'elle essaya d'accoler un visage au nom au bas de la missive... Le plus difficile fut finalement de se décider à aller à Paris, elle qui n'avait que rarement quitté son appartement dolois depuis de nombreux mois... Faire le deuil de Timothée avait été bien plus difficile à vivre que la dissolution de son mariage et le départ de Mélusine... L'orgueil l'avait aidée à garder la tête haute, à paraître froide à l'annonce du long voyage de sa fille. Elle savait qu'elle ne la reverrait plus avant longtemps... Les hommes se vengent comme ils peuvent... et elle refusait de supplier...

Quelles que fussent les épreuves, la vie reprenait tôt ou tard ses droits... Donc la brune décida que rien de mieux qu'un voyage pour reprendre goût à l'existence... et si elle trouvait un ami pour l'accompagner... Finalement elle choisit, non pas un ami, mais une nouvelle connaissance. Childeric avait accepté sa demande et elle en était heureuse. Ce voyage s'annonçait sous les meilleurs auspices...

Ils arrivèrent à Paris par une belle journée ensoleillée. L'auberge où elle avait déjà séjourné par le passé, était toujours aussi bien tenue. Les aubergistes avaient fait des merveilles. Après un bain chaud et parfumé, une table bien garnie les attendait. La soirée fut agréable, le Sparte ne manquant ni de répartie, ni d'insolence. La Galli ne se rappelait plus avoir passé d'aussi bons moments depuis une éternité.

Le lendemain, avec l'aide d'une servante, elle se prépara soigneusement. Cheveux nattés en une longue tresse dans laquelle se mêlaient des fils d'or, assortis à sa robe vert d'eau aux lisérés dorés.
Dina se sentait quelque peu empruntée, plus habituée aux braies et chemises qu'aux tenues féminines.

Pressée par la servante, elle descendit à la rencontre de Childéric.

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Deedlitt
Elle avait reçu une invitation du Comte du Béarn, pas de raison de refuser d'assister à un tel événement.

Pour une fois elle se rendit à cette cérémonie au bras de son jeune frère. Voilà bien longtemps qu'il s'était retiré du monde. Un grand bol d'air parisien, voilà ce qui manquait à Tristan.
Une fois sur le parvis, elle prit le bras de son frère.


Pas de quoi, il était grand temps que vous sortiez de votre grotte. Pour ce qui est des connaissances, ma foi je ne sais guère. Sans doute, beaucoup de monde sera présent, donc il y a de forte chance.

Puis prenant la direction de l'intérieur de la Cathédrale.

Allons à l'intérieur trouver nos places, j'aimerai être le mieux placée possible, c'est une cérémonie importante.
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Tamago du 5 au 14 novembre.
Eleane


[... Paris, Ville si lointaine de son Lyonnais-Dauphiné adoré ...]

La Rousse était arrivé ce matin du 28 septembre à Paris. Qu'est-ce qu'elle foutait là ? Elle n'en savait rien.
Elle avait reçu un courrier 4 jours avant l'invitant au mariage de la Duchesse actuelle, et elle était formelle, elle n'irait pas. Elle ne connaissait absolument pas la Duchesse, et ce n'était pas sa place d'y aller.
Seulement, le lendemain, elle reçut un courrier du Héraut ... Obligation de se rendre à un mariage ? Une sorte de levée de Ban ? La Duchesse avait si peu d'amis pour obliger tous les Nobles du Lyonnais-Dauphiné à se rendre à ce mariage ? Une belle connerie tiens !

La rousse se devait de faire acte de présence, sans soucis .. Elle allait le faire ! Elle se rendit donc à Nostre Dame !
Arrivée devant, elle signa le registre ... Regarda l'intérieur où le monde commençait à arriver, puis elle repartit de si tôt ! Le voilà son acte de présence ! Parce que la rousse était désolée, mais elle, elle n'achetait pas l'amitié ! Et elle espérait, que le jour où elle se marierait, du moins si ce jour arrive, les personnes qui seraient présentes seraient ses amis, et des personnes qui l'apprécient pour ce qu'elle est .. et non pas une bande d'hypocrites qui viennent seulement parce qu'ils y sont obligés.

Mais bon, quitte à être à Paris, elle allait en profiter pour visiter la ville. Elle n'aurait pas fais le voyage pour rien la Rousse !

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Geronimo2751
Un ombre sauta entre lui et Anne pour lui saisir la main et la secouer vigoureusement.
Tudieu, vla ti pas que son fils faisait des siennes. A vrai dire il l'attendait plus tard.


Rémi !! Veux tu bien laisser la dame ?!

Il saisi son fils pour le reculer légèrement et salua la dame.

Bonjour Anne, je suis heureux de vous voir, comment allez vous ?

Un peu plus bas comme pour faire une confidence mais avec un sourire en coin.

Je crois que Nyna va nous surveiller, aujourd'hui c'est elle la marâtre.

Il jeta un coup d’œil rapide à sa dame pour voir si elle l'avait entendu ou pas.
Visiblement, non, ou alors elle faisait semblant pour l'instant.

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Pour ma patate
Nynaeve87
Alors où en étions nous. Ah oui, sur le parvis et là ? Ben beaucoup de monde. La brune sourit à la cantonade, un petit signe de tête par ci, un geste de la main par là, signifiant à ses oyes, euh… ses nobles en goguettes qu’elle les avait bien vu.

Elle aperçu aussi la crinière flamboyante de sa maréchale préférée qu’elle irait saluer plus tard puisque déjà, elle s’engouffrait dans la vieille bâtisse. Euh… dans la magnifique demeure d’Aristote..

Sa « chevaucheuse », Anas aussi était là. Décidément, cette journée était pleine de surprise et Nyna aimait les surprises.

Soudain, ses yeux s’arrondirent donnant à son visage sans doute un air un peu comique, la surprise évidemment…


Rémi…

C’est dans un souffle qu’elle avait prononcé son prénom tant l’émotion était vive. Si longtemps qu’elle ne l’avait vu. Trop longtemps… Anne arriva presque au même moment. … elle lui semblait plus frêle que naguère. Ce bras tendu…

La brune s’était toujours promis de répondre à son invitation et d’aller lui rendre visite sur ses terres, mais l’occasion ne s’était jamais présentée, faute de ce temps qui joue en permanence avec les humains. Trop court, trop long, enfin… jamais confortable.

Laissant Gérault agir sur leur petit ressort plus que tendu, elle saisit à son tour avec douceur, la main de la jeune femme, enfin bien plus jeune qu’elle qui n’était pas si vieille enfin de compte...


Vous me voyez ravie de vous rencontrer. J’ai eu peur un instant que vos soucis de santé ne vous retiennent. C’est bonheur que de vous revoir.

Puis, doucement, elle se baissa pour baiser la joue de l’enfant le cœur gonflé d’amour, avant de lever son regard vers son père, brillant de reconnaissance.
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