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[DUCHE] Salle des Doléances

Coppensbe
Nul besoin de savoir lire les pensée des gens madame le capitaine, il suffit de savoir décrypter les expressions faciale.
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Walan
Le texte cité était en italique, me semble-t-il, et n'a surtout absolument aucun rapport avec le problème de Lyon puisqu'il répondait juste au paragraphe en italique du message de Phelim précédent l'exposition du problème.
Et comme les personnages ne sont, me semble-t-il, pas sensé lire les pensées et encore moins les descriptions, il n'y aura pas de réponse de ma part.
Voir MP sinon.
Anne_blanche
La salle des doléances semblait vide. Anne y entra lentement, un peu impressionnée d'entendre l'écho de ses pas, malgré la poussière qui feutrait le sol. Supposant que l'huissier endormi dans un recoin sombre n'apprécierait pas trop d'être réveillé, elle s'approcha sans bruit d'une table, où elle déposa son message au Gouverneur, se promettant de revenir plus tard chercher la réponse.

Citation:
Messire Gouverneur,

J'ai eu l'honneur de proposer à Votre Grasce et Son Conseil, en début de mandat, un projet de loterie des mineurs, dont je rappelle ci-dessous la teneur.
En l'absence de réponse, je me permets de le proposer de nouveau icelieu, dans l'espoir qu'il sera étudié rapidement, et que la Mairie de Vienne saura si elle doit ou non tenter l'expérience sur les deux mines auxquelles les Viennois ont accès.

Daigne Messire Gouverneur considérer que je suis de Sa Grasce la dévouée servante,

Anne de Culan, échevin de Vienne


Citation:
Projet :

1. Communication en halle et gargote, doublée par la lettre du tribun aux nouveaux, ou par un courrier envoyé par moi à chaque nouveau à J2.
2. Tout mineur qui désire participer à la loterie envoie à la personne en charge du projet, chaque dimanche, un screen de ses événements, montrant les arriérés reversés.
3. Par le même courrier, il envoie 3 chiffres de son choix, compris entre 1 et 20.
4. Pour l'attribution du lot, on prend en compte le mineur ou le groupe de mineurs qui a passé le plus de jours à la mine.
5. En cas d'ex-aequo, on départage en comparant le tirage du D20 avec le premier chiffre choisi par les mineurs, puis si besoin le deuxième et le troisième. Exemple : Machin (3-18-1) , Bidule (4-20-2) et Chose (3-12-6) ont travaillé tous les jours à la mine. Le D20 donne 3 au premier tirage. On relance jusqu'à ce qu'on tombe sur 18 ou 12 pour attribuer le lot à Machin ou Chose.
6. Le lot consiste en un panier garni, qui peut être modifié chaque semaine, en fonction des disponibilités du Duché ou de la Mairie. Le but étant de montrer que travailler à la mine peut aider à augmenter les caracs, il faudrait y mettre, par exemple, un légume et un jambon. Si le projet fonctionne, on peut augmenter le contenu du panier, lequel contenu est affiché chaque dimanche soir pour la semaine à venir, et rappelé dans la lettre aux nouveaux.
7. Un lot est attribué par ville, plutôt que par mine, afin de ne pas pénaliser les gens qui ne peuvent se présenter que tard, quand il n'y a plus le choix entre fer et or.
8. On profite de la lettre aux nouveaux pour rappeler qu'il vaut mieux choisir tel ou tel type de mine cette semaine.
--Flora
Dans la grande salle tout était calme... et tout était grand. Et les colonnes... Elles étaient hautes! Et le plafond... Il faisait sombre. Flora se serait presque crue à Briançon, dans la forêt sous les grands chênes dont les ramures et leurs feuillages touffus formaient une voûte qui empêchait le soleil de percer. Là-bas, la grande table ressemblait à ces pierres que l'on trouvait non loin du drôle de dolmen où son père se plaisait à l'emmener pour cueillir des fruits et les rapporter à sa mère. Aujourd'hui cependant il n'y avait pas de baie à cueillir, mais il y avait bien autre chose! Sautant de part et d'autre du tapis qui se trouvait au centre de la grande salle, la petite fit son chemin jusqu'au dolmen, ne se mouillant même pas les pieds dans ce ruisseau imaginaire. De toute façon, c'était l'hiver mieux valait ne pas y mettre l'orteil! Une! *hop!* Deux! *hop!* Trois! *hop!* Trois sauts plus loin, en haut des marches, les vieux chênes avaient déposé une offrande sur la grande table: les dernières feuilles de l'automne, laissant à l'hiver son droit de gouverner pendant ces quelques mois de l'année qui paressent parfois plus longs que ce qu'ils ne sont en réalité. Avec toute la précaution que pouvait prendre une petite brunette de six ans consciente de l'importance d'un tel présent, Flora prit les parchemins et, longeant le ruisseau qu'elle avait suivi quelques instants auparavant, revint, le menton bien haut, fière d'avoir mené sa mission à bien, vers son père, le Gouverneur, qui ne manqua pas de la remercier de l'un de ses sourires qu'il ne réservait qu'à elle.
Lion20031110
bonjour ,
je suis lieutenant Lion20031110 de Montélimar, je voulais savoir si un jour le pain ainsi que la farine redeviennent des prix fixes et non conseillez .Car beaucoup de gens profite de cela.
qu'en pense vous ?

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Plumedange
Si on redonne au pain et à la farine un prix fixe, il faudra en redonner un à tout les autres produits, pour pas que certaines filières soient avantagées par rapport à d'autres.
Mais, il est vrai que les artisans quels qu'ils soient profitent bien du fait que les prix ne sont plus qu'indicatifs. Par contre, il aurait fallu ne jamais l'enlever, je suis pas persuadée que sa passe de remettre la grille des produits finis en place...

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Lapetitenadia
Nad' arriva en cette fin de matinée en salle de doléances.
Elle n'avait que trop tardé à y venir suite à son dernier voyage en tant que marchande ambulante.

Voyant que des débats étaient déjà ouverts, elle salua Plume et Lion rapidement et s'installa dans un coin afin de laisser finir, d'autant qu'elle avait pas mal de choses à dire.

Un homme s'approcha lui demandant ce qu'elle désirait.


Bonjour, je souhaiterai m'exprimer face au conseil concernant le mandat ducal qui m'avait été attribué.
Si les membres du conseil avaient quelques minutes pour m'écouter j'en serai ravie.

Elle sourit à l'homme qui repartait déjà vers les membres du conseil présents.
Lion20031110
je suis d accord plume , mais tu dois savoir ques seul le pain et la farine ne sont pas des produits fini.avant il l etais donc c est pour cela que je demande qu il sois des produits fini comme il etais avant
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Hardryan
Hard allait sortir en compagnie de sa fillette quand le lieutenant Lion pointa le bout de la crinière en salle de doléances. Repliant le parchemin qu'il venait de parcourir rapidement, il le salua, de même que le sergent Plume qui venait d'arriver à son tour:

Bonjour à vous deux. Ça fait... changement de vous voir ici! ... Ça fait plaisir tout de même. reprit-il avec un sourire. Plume tu as raison, certains profiterons toujours du fait que les prix ne sont qu'indicatifs, quoiqu'il en soit il est du devoir des maires de faire tout ce qu'ils peuvent pour réguler leurs marchés au mieux tout en tenant compte du fait que certaines de leurs filières peuvent être en pénurie ou en surproduction. Ils ont plusieurs moyens d'arriver à leurs fins pour cela. D'ailleurs Lion, votre chère bourgmestre ne s'est pas plainte de l'état de votre marché et j'ai moi-même jeté un oeil aux rapports sur celui-ci n'y trouvant rien d'alarmant...

Pour ce qui est d'une grille des prix fixe, celle qui avait été instaurée l'été dernier n'a toujours été que temporaire pour permettre une plus rapide diminution des prix vers ceux souhaités à l'époque et qui étaient ajustés à la nouvelle grille des salaires instaurée en même temps pour pallier aux difficultés émanant des nouveaux frais que devait assurer le duché en lien avec le prestige.
Hard prit une inspiration, se disant qu'il avait déjà été plus bref, et après avoir défroncé les sourcils il reprit:

Pour le moment il n'est pas question au duché de revenir à une grille de prix maximaux imposés pour tous les produits. Mais je ne suis pas devin, peut-être qu'un jour cela arrivera-t-il. Quoiqu'il en soit, je me souviens que cela avait été fort critiqué l'été dernier, et ce, même si c'était une mesure temporaire. Il y aura toujours des mécontents, des gens qui voudront d'une grille de prix fixes et d'autres non, et l'inverse est vrai aussi!

Attendant que Lion ou Plume ait quelque chose à rajouter, Hard joua machinalement avec le parchemin qu'il tenait. Plus tard, il y répondrait en ces mots:

Citation:
Madame,

Je me souviens en tout début de mandat de cette loterie que vous aviez eu l'obligeance de nous proposer. Je me souviens également vous avoir répondu à l'époque que nous envisagieons toutes les possibilités qui s'offraient à nous ainsi que ce qu'elles impliquaient. Aujourd'hui la situation n'est plus la même et ce rappel concernant cette idée de concours est plus que bienvenu. Je vous remercie au nom du conseil de nous l'avoir rappelée. Nous vous tiendrons au courant dans les prochains jours de ce que nous envisageons faire.

Encore une fois merci.

Hardryan
Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné



Nadia arriva alors et le Gouverneur, glissant quelques mots à l'oreille de son enfant, renvoya la petite alors que des conseillers s'étaient immiscés pendant la précédente discussion.

Bonjour Nadia
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Lapetitenadia
Nad' fut surprise de voir le gouverneur venir vers elle mais apprécia ce fait.
Elle le salua d'un sourire et d'une petite révérence.


Bonjour Hardr, ou devrais je dire bonjour gouverneur.
Je vous remercie de m'accorder du temps, j'imagine que vous en avez peu.

Elle esquissa un nouveau sourire.
Certes elle était ici pour râler mais voulait bien signifier à Hardr qu'aucune critique de sa manière de faire ne serait faite, elle se contenterait de lui raconter son mandat en tant que marchande ambulante, lui donnant peut être certains détails qui jusqu'ici ne furent pas portés à sa connaissance.


Je suis ici suite au mandat pour l'Orléanais, comme vous devez vous en douter suite à la missive que je vous ai faite de là bas.
Je vais essayer d'être aussi brève que possible, même si ce sera dur vu ce qu'il s'est passé.

J'ai donc pris en charge un mandat à Lyon, à destination de l'Orléanais. Ce mandat semblait urgent, il ne me fallait faire de halte qu'en cas de réels besoins.
Ainsi donc je me suis retrouvée aux portes de la Champagne, le nez sur la frontière, n'ayant aucune certitude que l'autorisation de traverser m'était attribuée.
Finalement après une journée perdue le voyage a continué bien que commençant mal.
Je suis donc arrivée en Orléans et ai signalé ma présence au maire ainsi qu'au porte parole, le CAC chez eux étant introuvable.
La surprise fut grande lorsque j'appris que je n'étais pas attendue et que j'arrivais au moment d'élections ducales.
Sous conseil du Cac de ce duché, le sieur Sagaben, je suis retournée à Montargis le temps que le Cac réapparaisse.
Ainsi donc à Montargis je suis restée six jours et ce sans inquiéter personne.

J'ai dû me mettre en relation avec le conseil et finalement ai dû menacer de rentrer et de ramener le mandat pour que les choses avancent.
A mon retour enfin! Je me dirige vers la Bourgogne et là surprise l'autorisation n'a pas été prolongée, le duché est en loi martiale.

Il me faut moi signaler au Cac ce "détail". Je ne puis que remercier la Bourgogne de ne pas avoir d'armées sanguinaires sur ses routes sans quoi ma jolie crinière blonde aurait viré au rouge sang....
Tenez pour preuve la lettre que le douanier m'a fait parvenir en Bourgogne après ma missive.


Elle lui tendit la lettre signé du douanier.



Ce mandat a duré dix huit jours au lieu de douze, on peut dire que l'organisation a été oubliée je dirais...
Pour ma part je ne suis pas payée comme un Ma, mais si il avait été question de salaire, combien auriez vous perdu avec cette histoire?

Ce mandat je ne l'oublierai jamais, il n'était pas le premier loin de là, mais sera surement le dernier, tout au moins tant que les CAC se borneront à en faire le moins possible, comme de ne pas s'assurer de la sécurité du Ma qui porte avec lui une partie des richesses du duché.
Vous voyez je ne suis pas vraiment énervée, plus maintenant, mais je suis d'abord déçue et j'ai peur car je me dis que j'aurais pu partir avec ce mandat, le temps de réaction aurait été si long que j'aurais pu m'assurer des jours heureux pour le reste de ma vie.

Elle regarda Hardr droit dans les yeux.
Gouverneur j'espère que vous comprenez mon désarroi....
Hardryan
Jetant un coup d'œil derrière lui, le Gouverneur prit un instant avant de se remémorer l'ensemble des événements entourant le mandat de Nadia:

Bien sûr que je comprends votre désarroi. Avoir l'impression d'avoir été oublié pendant 6 jours, celle que tous les efforts n'ont pas été mis à contribution pour assurer sa sécurité, devoir faire les propres démarches pour s'en assurer... Bien sûr que j'aurais été pris de désarroi, sur le coup. Mais d'après les explications que j'ai eues, les droits de passage avaient été obtenus pour les périodes désirées, les autorités comtales de l'Orléanais avaient été informées de l'arrivée de notre marchand. Tout avait été fait pour vous assurer un voyage sans encombre... Et dès lors que notre CaC a appris, même pas par vous, qu'à des lieues d'ici la transition de conseil en Orléanais ainsi que le fait que le CaC et le maire de Montargis étaient introuvables retardaient la réalisation de l'échange, il m'assure avoir envoyé une légion de mésanges à l'intention de la Duchesse. Qu'aurait-il pu faire de plus? Vous là-bas, lui ici, guère plus je crois. Nous aurions envoyé un marchand expérimenté en votre compagnie peut-être votre désarroi aurait été moins grand, mais cela n'aurait rien changé dans les faits. Comprenez qu'il n'était de l'intérêt de personne que toute la procédure soit retardée et que vous soyez « menacée » par un maréchal qui faisait bien son travail... Je ne crois pas que nos voisins bourguignons soient des bouchers et la cordialité de ce sergent le prouve, mais sans doute qu'à la suite des émotions que vous avez vécues en Orléanais cette idée vous a traversé l'esprit... Seulement cela m'étonne que 3 semaines plus tard vous soyez toujours fixée sur celle-ci. Le seul tort de notre CaC ici aura été de ne pas avoir pensé à obtenir une autorisation prolongée pour la Bourgogne.

Votre déception comme votre désarroi je peux les comprendre, votre peur par contre me laisse un peu perplexe, car voyez-vous le duché n'accorde des mandats d'une telle importance qu'à des gens de confiance et l'idée qui vient de vous effleurer l'esprit écorche carrément le mien... Fort heureusement, votre retour saine et sauve parmi nous montre que nous ne nous sommes pas trompés en vous confiant pareille mission. Pour ce qui est de notre temps de réaction, je vous assure que même si de là-bas vous n'aviez pas l'impression que nous gardions un oeil sur vous, nous restions sur le qui-vive par rapport à toute information à votre sujet. Je peux vous assurer également que si une personne mal intentionnée avait, comme vous le supposez, voulu profiter de la confiance que nous lui avions accordée, nous aurions eu tôt fait de le remarquer et la justice se serait chargée de la faire payer.

Rassurez-vous donc, car notre CaC, en plus de tirer des leçons de cette malheureuse aventure qui vous est arrivée, comme nous tous d'ailleurs, a pris les choses en main et l'Orléans a reconnu ses torts dans cette affaire. Pour ce qui est du laissez-passer bourguignon, je crois savoir qu'il s'est déjà excusé auprès de vous. Maintenant, je crois qu'il n'y a rien de plus que nous puissions faire pour le moment si ce n'est vous offrir le soutien moral dont vous semblez avoir besoin. Mais encore une fois je vous le dis, rassurez-vous, cette malheureuse histoire n'est pas du fait d'une incompétence du CaC ou de quelque personne que ce soit au conseil ducal...


Réfléchissant l'espace d'un instant...

... Par contre, votre venue aujourd'hui n'aura pas été veine, et afin qu'une situation similaire à celle que vous avez vécue lors de votre passage à la frontière bourguignonne ne se reproduise pas, nous allons réfléchir à ce qu'il est possible de faire pour assurer un meilleur suivi des laissez-passer au sein de l'office diplomatique pour ainsi réagir au plus vite quand des situations imprévues telles que la fermeture de frontières soient gérées le plus rapidement possible. termina-t-il, regardant Nadia, lui laissant la chance de répondre si elle avait quelque chose à ajouter.
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Lion20031110
[i]dans ce cas y a t il un moyen de gérer cela pour pas que les gens profite des prix indicatif sur le pain et la farine[/i]
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Lapetitenadia
Nad' regarda Hardr et esquissa un bref sourire.
Décidément les gouverneurs du moment n'aimaient point avouer des lacunes à leurs conseillers.


Bah moi je venais juste vous raconter un peu, après tout c'est vous le gouverneur, vous qui dirigez notre duché...

Cette fois ci elle sourit largement.
Bon je ne vais point utiliser votre temps plus longtemps, merci d'avoir au moins écouté.

Elle le salua et prit congé.
Lion20031110
merci hard de toute ces infos .
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Salah_ad_din
Le Maréchal de France, qui ne cessait d'aller et venir entre différents duchés profitant de couverture commerciale pour visiter les États Majors... Profita de son passage à Lyon pour aller remettre un courrier au Gouverneur.
Il vit défiler quelques personnes et attendit alors son tour et se présentant devant Hardryan.

Bien à vous Gouverneur du Lyonnais et du Dauphiné!

Il esquissa un sourire pensant à la bêtise qu'il allait dire à un homme qu'il connaissait bien.

Je viens vous informez que l'hériter de la couronne arrive dans moins d'une quinzaine....

Il s'arrêta là voyant les têtes ébahirent et sourit de plus belle.

Non ceci est une mauvaise plaisanterie!


Il s'approcha et tendis un enveloppe cacheter à Hardryan.

Je voulais seulement vous remettre ceci.


Citation:
Nous, Salah ad'Din de Nasiria, Vicomte de Crest, Baron du Poyet, Maréchal de France,
Félicite le Lyonnais et le Dauphiné dans sa mobilisation et la mise en place de la défense de Lyon. Ce qui a sans aucun doute déjouer les plans machiavéliques de certains malfaisants.
Il était dur pour le Lyonnais et le Dauphiné de comprendre cette alerte, n'ayant que peu de brigands sur ces terres. Mais tout portait à croire à un rassemblement autour de Lyon. Par chance les forces combinés de trois duchés voisins et amis, ont mis à mal les plans.
En tout cas j'ai une nouvelle fois vu la valeur Dauphinoise à l'œuvre, même si elle n'a pas été mise à l'épreuve, sa simple présence fait effet sur le foie de ses ennemis.

En vous félicitant encore une fois et espérant de nouvelle coopération fructueuse.

Faict à Lyon le 16 décembre de l'an de Grasce 1456,

Salah ad'Din de Nasiria
Maréchal de France

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