Eli_za_beth
De doux baisers se posèrent sur lépaule nue dune brune endormie. Les lèvres descendirent doucement vers le cou pour lembrasser délicatement.
Les deux femmes ne se connaissaient que depuis très peu de temps et pourtant, elles partageaient déjà leur couche. Elizabeth se montrait très tendre, très douce et très avenante. Elle avait oublié à quel point lamour au féminin pouvait être bon. Cette aventure lui faisait énormément de bien (dans les deux sens du terme, oui). Se retrouver dans les bras dAuralie après les horreurs des champs de bataille lui permettait de respirer et de ne pas devenir complètement tarée, démoralisée et traumatisée.
En vrai, Elizabeth nétait pas violente et elle supportait assez mal de voir un corps humain se faire maltraiter. Le pire étant lorsque des membres pendouillaient joyeusement ou se faisaient carrément la malle. Et puis le sang qui giclait et qui coulait partout. Quelle horreur ! La petite nonne faisait la maligne et ne montrait rien de son dégoût mais en vrai, tout cela laffligeait. Alors du coup, depuis quelle avait rencontré Auralie, elle profitait de ces quelques heures de répit avant le moment fatidique où elle devrait reprendre les armes.
Bonjour
Les lèvres continuaient leur expédition sur la peau de la brune. Elizabeth semblait hésitante parfois parce quelle avait peur de se faire rembarrer comme Svan lavait si souvent fait : « tu te prends pour ma mère pour membrasser sur le front ou quoi ? » ; « je te préviens Eli, si tu membrasses là où mon père le faisait, ça va pas le faire ! » (les tempes). Mais jusque-là, ça allait. Il ny avait pas beaucoup de résistance. Cétait tant mieux. La blonde était en manque de tendresse et de douceur. Et même si ce nétait quune aventure, même si ça nirait pas plus loin, Elizabeth profitait de ces moments privilégiés. Elle ne sengageait pas et ne promettait rien.
En vérité, elle nétait pas faite pour être en couple. A chaque fois quelle avait essayé, ça avait capoté. Elle aurait vraiment dû en rester à Carla et à leur relation amicalement très charnelle. Au moins, elle navait pas été emmerdée par une espèce de connasse misogyne qui se prenait pour un bonhomme et qui avait décidé que lui pourrir la vie et la faire renoncer à tous ses amis et à tous ses rêves, cétait vachement marrant.
Dailleurs, en parlant delle, il y avait une poupée à son effigie quelle poignardait dune aiguille dans le cur tous les soirs en espérant le lui crever en vrai pour quelle comprenne sa douleur.
Entre la grognasse qui lavait torturée physiquement et la connasse qui lavait torturée mentalement, Elizabeth avait de quoi être amoureusement traumatisée. Cest pour cela quelle se protégeait et quelle mettrait des limites si ça venait à déborder. Il ny aurait rien de plus quune profonde amitié et aucune exclusivité. Et comme ça, il ny aurait jamais infidélité. Elles seraient totalement libres de ce côté-là.
Bien dormi ?
La blonde nicha sa tête au creux de son cou et huma lodeur de sa peau. Elle ferma les yeux, essayant doublier la guerre et ses ravages. Ne penser quà la jolie brune quelle avait dans ses bras et qui partageaient sa couche depuis quelques nuits maintenant.
Laissant la jeune femme se réveiller tranquillement, Elizabeth priait pour quelle ne soit pas une tordue de plus que le Très-Haut mettait sur son chemin pour lempêcher de délaisser la vertu au profit du péché. En même temps, se faire plaisir était tellement mieux que se priver. Non et puis à deux, cétait quand même vachement mieux quen solo, non ?
Tu as encore un peu de temps à maccorder avant de partir pour tes cuisines ?
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Les deux femmes ne se connaissaient que depuis très peu de temps et pourtant, elles partageaient déjà leur couche. Elizabeth se montrait très tendre, très douce et très avenante. Elle avait oublié à quel point lamour au féminin pouvait être bon. Cette aventure lui faisait énormément de bien (dans les deux sens du terme, oui). Se retrouver dans les bras dAuralie après les horreurs des champs de bataille lui permettait de respirer et de ne pas devenir complètement tarée, démoralisée et traumatisée.
En vrai, Elizabeth nétait pas violente et elle supportait assez mal de voir un corps humain se faire maltraiter. Le pire étant lorsque des membres pendouillaient joyeusement ou se faisaient carrément la malle. Et puis le sang qui giclait et qui coulait partout. Quelle horreur ! La petite nonne faisait la maligne et ne montrait rien de son dégoût mais en vrai, tout cela laffligeait. Alors du coup, depuis quelle avait rencontré Auralie, elle profitait de ces quelques heures de répit avant le moment fatidique où elle devrait reprendre les armes.
Bonjour
Les lèvres continuaient leur expédition sur la peau de la brune. Elizabeth semblait hésitante parfois parce quelle avait peur de se faire rembarrer comme Svan lavait si souvent fait : « tu te prends pour ma mère pour membrasser sur le front ou quoi ? » ; « je te préviens Eli, si tu membrasses là où mon père le faisait, ça va pas le faire ! » (les tempes). Mais jusque-là, ça allait. Il ny avait pas beaucoup de résistance. Cétait tant mieux. La blonde était en manque de tendresse et de douceur. Et même si ce nétait quune aventure, même si ça nirait pas plus loin, Elizabeth profitait de ces moments privilégiés. Elle ne sengageait pas et ne promettait rien.
En vérité, elle nétait pas faite pour être en couple. A chaque fois quelle avait essayé, ça avait capoté. Elle aurait vraiment dû en rester à Carla et à leur relation amicalement très charnelle. Au moins, elle navait pas été emmerdée par une espèce de connasse misogyne qui se prenait pour un bonhomme et qui avait décidé que lui pourrir la vie et la faire renoncer à tous ses amis et à tous ses rêves, cétait vachement marrant.
Dailleurs, en parlant delle, il y avait une poupée à son effigie quelle poignardait dune aiguille dans le cur tous les soirs en espérant le lui crever en vrai pour quelle comprenne sa douleur.
Entre la grognasse qui lavait torturée physiquement et la connasse qui lavait torturée mentalement, Elizabeth avait de quoi être amoureusement traumatisée. Cest pour cela quelle se protégeait et quelle mettrait des limites si ça venait à déborder. Il ny aurait rien de plus quune profonde amitié et aucune exclusivité. Et comme ça, il ny aurait jamais infidélité. Elles seraient totalement libres de ce côté-là.
Bien dormi ?
La blonde nicha sa tête au creux de son cou et huma lodeur de sa peau. Elle ferma les yeux, essayant doublier la guerre et ses ravages. Ne penser quà la jolie brune quelle avait dans ses bras et qui partageaient sa couche depuis quelques nuits maintenant.
Laissant la jeune femme se réveiller tranquillement, Elizabeth priait pour quelle ne soit pas une tordue de plus que le Très-Haut mettait sur son chemin pour lempêcher de délaisser la vertu au profit du péché. En même temps, se faire plaisir était tellement mieux que se priver. Non et puis à deux, cétait quand même vachement mieux quen solo, non ?
Tu as encore un peu de temps à maccorder avant de partir pour tes cuisines ?
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