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[RP] Mariage Princier: Constance & Foulques

Melissandre_malemort
[Le matin]

Reveillée par un beuglement, Mélissandre s'était hâtée de quitter sa chambre - Voisine de celles des soeurs terribles - pour s'effondrer à son tour sur le lit de Constance et la secouer comme un prunier.

- Lilly !!! COooooOooooOoooonstance ! Aujourd'hui vous vous mariez ! Pas ensemble hein. Enfin juste une de vous. Enfin je me comprend. Je voulais aller reveiller Foulques mais le connaissant il doit cuver dans la prune et paniquer, ça ne me donne pas très envie. Allez! Debout !

Après avoir échangé un regard complice avec Lilly, elle se redressa pour tirer sur la couverture. N'ayant pas pris le temps de se préparer, la princesse avait les cheveux ébouriffés et portait encore la longue chemise de nuit qui la couvrait des poignets au menton. De loin, on aurait à peine cru voir plus qu'une enfant, ce qu'elle était probablement puisque sautillant sur le matelas, elle tentait de reveiller sa future belle soeur (Ou plus probablement de la faire basculer sur le tapis, la vilaine).
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Princesse de France. Comtesse de Primil. Baronne de la Porte. Dame de la Gasnerye.
Constance..
Palais de la Cité - Le matin du mariage


La chambre baignée par la pénombre laisse quelques faisceaux d'une douce lueur émaner de derrière les tentures cachant les fenêtres. Au milieu de la pièce trône un lit des plus confortables d'où une forme semblait se distinguer.
Un pied dépasse du côté gauche, de même qu'une main du côté opposé... Une tête blonde, dont les paupières closes cachent l'azur, émerge de dessous l’édredon. Le sommeil se veut réparateur, pourtant la veille au soir après le départ de Mélissandre qui avait passé une bonne partie de la soirée à discuter avec elle cherchant à apaiser l'angoisse qui montait en puissance, la blonde s'était couchée directement, espérant s'endormir rapidement.
Ce fut peine perdue car elle ne trouva pas le repos tant espéré de suite et passa une bonne partie de la nuit restante, à se tourner et se retourner dans sa couche jusqu'à bien après les matines pour finir par se retrouver dans les bras de Morphée, alors que les laudes n'étaient pas loin..

Pendant que ses rêves la portaient vers l'aboutissement de cette union, union des cœurs et des corps désirée depuis de longues, de trèèès longues semaines, mettant son âme au supplice des jeux taquins avec Foulques, c'est une tornade blonde déboulant dans la chambre et atterrissant sur la couche qui réveille l'Orsenac. Enfin réveille... Un grognement plus tard, cette dernière se retourne de l'autre côté bien décidée à dormir encore et profiter un peu plus longtemps de ses rêves délicieux. C'est sans compter sur l'obstination de la jeune Troy qui hurle à tue-tête perchée sur son lit et l'arrosant des gouttelettes qui perlent à ses cheveux.


COOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONTANCE DEBOUT. Aujourd'hui tu te maries, il ne faut pas être en retard.

Nooon ! Lilly laisse moi dormir ! Je rêvais de Foulques... je veux y retourner...

Bourrique ! Lève toi tu vas l'épouser aujourd'hui ton Prince !


Cogite, cogite, cogite... Gné ?!... Alors, ce n'est qu'à ce moment là que le brouillard se dissipe dans l'esprit de l'Orsenac qui ouvre grand les yeux yeux, à l'instant même où Margot retire les tentures protégeant la pièce de la lumière du jour. Action réaction... Les paupières se referment aussitôt, trop de lumière tue la lumière… et les yeux au passage. Puis c'est une Princesse qui choisit ce moment là pour arriver dans sa chambre aussi bruyamment que sa sœur... Décidément, elles se sont données le mot ou quoi ?!

- Lilly !!! COooooOooooOoooonstance ! Aujourd'hui vous vous mariez ! Pas ensemble hein. Enfin juste une de vous. Enfin je me comprend. Je voulais aller reveiller Foulques mais le connaissant il doit cuver dans la prune et paniquer, ça ne me donne pas très envie. Allez! Debout !


Il faut quelques secondes à la future espouse pour rouvrir les paupières, clignant plusieurs fois celles-ci alors que son esprit s'éveille et commence à bouillir de joie... et d'inquiétude. Les pensées défilent à vive allure « Et s'il avait changé d'avis ? Et si quelqu'un s'opposait à cette union ? Et si elle ne le rendait pas heureux ? Et si... Et si... Et si... Pffff vivement ce soir ! ». Alors qu'elle se pose tout un tas de questions, l'azur se pose sur sa sœur dégoulinante d'eau et sur Mélissandre habillée d'une chainse tout ce qu'il y a de plus attirant, toutes deux aussi excitées que des puces... Et c'est un rire franc qui sort des lippes de Constance.

Assise en tailleur sur sa couche face à ses deux témoins, après bien sur que les deux chipies lui ai retiré ce qui la garder allongée et bien au chaud dans sa couche, elles assistent au défilé de femmes de chambre préparant le baquet d'eau chaude, l'Orsenac leur sourit après s'être étirée afin de délier les muscles endormis.

Vous savez, on a le temps. Ils ne peuvent pas commencer sans moi de toutes façons... Je vais prendre un bain bien chaud car j'en ai envie... et j'en ai besoin surtout. Allez vous préparer pendant que j'imite la grenouille dans sa mare. On se retrouve ici dans quelques instants ?


Une fois ses deux réveils matin parties, la jeune femme retire sa chainse de nuit laissant apparaître les courbes bien dessinées de son corps puis se glisse dans son baquet avec un soupir d'extase. Les huiles et essences dispensant leurs bienfaits autant par leur fonction que par les odeurs qu'elles diffusent, la détendent au maximum. Et c'est les yeux clos qu'elle reste ainsi quelques instants profitant aussi bien de la chaleur que du silence avant l'effervescence qui va suivre.

Les pensées défilent, les souvenirs de ces dernières semaines, de ces derniers mois depuis leur rencontre lui reviennent en mémoire. Leur rencontre, leur rapprochement petit à petit, leurs fuites, les frôlements toujours dans le jeu de la provocation des sens de l'autre sans ne jamais céder.. Le déni de leurs sentiments, alors que leur entourage avait déjà compris une évidence invisible à leurs yeux.
Puis le voyage qui avait changé quelque chose, qui avait tout changé, l'indécence d'un bain et d'une couche partagés tout en respectant une distance nécessaire afin de ne pas céder à la tentation. Voyage aboutissant à lever le voile sur le passé de l'Orsenac, où les blesures les plus profondes furent mises à jour, et suite auquel l'homme de sa vie lui a demandé sa main quelques temps plus tard. Demande des plus romantique et surprenante qui restera à jamais gravée en son cœur.

Et suite à cela, elle se retrouvait ici, en ce jour unique et particulier, à patauger dans son baquet d'eau parfumée dont les effluves de jasmin et de violette embaumées l'atmosphère. Une fois la trempette finie, le corps fut séché et de nouveau enduit d'huile parfumée alors que les saphirs se posent sur la tenue confectionnée pour ce jour unique. Les cheveux furent démêlés avant que ne commence l'enfilage des différentes couches composant sa robe. Dans le petit salon à côté, des coups retentirent à la porte. L'Orsenac en pleine séance de décontraction totale sous les mains expertes des femmes de chambre envoyant sa Margot accueillir son Père, et l'introduire dans le petit salon attenant le temps qu'elle termine de se préparer. Elle s'adressa alors à lui depuis sa chambre sur un ton plutôt enjoué et chaleureux, laissant le vouvoiement pour l'apparence public et reprenant le tutoiement dont elle usait avec lui en privé.


Bonjour Père ! Dis moi, tu es tombé de ta couche ? Tu es vraiment matinal !

Elle passa la tête par l’entrebâillement de la porte de sa chambre et lui présenta un grand sourire affectueux, cachant la tristesse de ne pas voir sa Mère auprès de lui, et à ses côtés pour ce dénouement heureux.

Margot va te servir quelques boissons si tu veux... Merci d'être là. Tu es très beau.

Elle lui sourit une dernière fois avant de retourner à son habillage, l'azur perdu dans ses songes pendant qu'elle se laissait manipuler telle une poupée de chiffon.
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[ - en réfection - ]
Galahad..
[Quelques jours plus tôt]

Après cette nouvelle, je fut ravie pour ma chérie, après notre départ, profitant du rare moment pour se poser à la capital. Après avoir choisis les plus belles créations de sa tendre et avoir essayer les préparatifs fut finis.

Oui tout est prêt mon ange, la nourrice a été prévenu?

[Le jour du mariage]

Après un doux réveil et avoir pris un moment doux ensemble, je me lève et me prépare pour cet événement, enfilant ma tenue


Tu es sure ? que ça me va ?

Je prolonge ce doux baisers et prépare notre départ en l'attendant. Je fut, une fois près du lieux, émerveillé par la splendeur de ces lieux.

Et c'est en étant fier des tenus que je me tiens avec ma chérie

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Louis_appollon
Parvis de la cathédrale Notre Dame - En l'attente du cortège nuptial.


L'Aumônier du Roy saluait courtoisement les invités qui arrivaient par la porte principale, celle-là même devant laquelle il accueillerait d'abord le marié, puis la mariée, et bien sûr leurs proches, entre les deux.

Voyant Elysandre, il ne manqua pas de faire un petit tour sur lui-même pour lui montrer que la tenue livrée par les Doigts d'Or remplissait les (impitoyables) standards de la maison.

Voyez: pas un faux pli... les Doigts d'Or méritent leur réputation.


Dit-il dans un sourire à la jeune femme, avant de saluer avec chaleur son cavalier.

Oh, tiens... voilà chaton et sa sucrerie! S'approchant de la promise de Fred, il lui prit les main et y posa délicatement les lèvres, sans quitter son regard.

Vous êtes, Madame, radieuse... cette robe reflète vos yeux à la perfection.


Se tournant ensuite vers le Duc de Chateauneuf-en-Thymérais.

Monsieur mon cousin, je vous ferais volontiers le même compliment, mais je crains qu'il soit aussi bien accueilli...

Dit-il dans un sourire espiègle.

Comment allez-vous donc?

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Wendoline
[Le matin du mariage au Louvre]

Aussi loin qu'elle puisse se souvenir, elle n'a jamais assisté à une union princière. L'effervescence qui gravite autour d'elle démontre d'ailleurs l'importance de l'événement et le rôle de chaque membre de la Cour est tenu d'être assuré avec rigueur. Elle-même Dame de la Cour du Lys doit se montrer présente tout en étant discrète. Mille questions l'assaillent mais une seule trouve grâce à ses yeux. La robe de la mariée ! Constance couturière dont le talent n'est plus à démontrer aura t'elle créé la robe dont toute mariée rêve ? Aura t'elle laissé ce soin à un autre Maître ? Quoi qu'il en soit, elle sait déjà que la future Princesse sera sublime et ne pourra que faire rêver les jeunes femmes encore célibataires dont elle-même.

D'ailleurs, à ce propos, alors qu'elle s'apprête à sonner sa femme de chambre, celle-ci se présente tenant entre ses bras sa robe qu'elle dépose avec délicatesse sur le lit et l'invite à se glisser dans le bain aux saveurs de pamplemousse et de lait d'avoine dans la pièce d'eau. Un bienfait pour la peau aux vertus adoucissantes avant d'appliquer un léger maquillage et déposer ci et là quelques notes de parfum.

Et lorsque l'étoffe de sa toilette glisse sur sa peau, épouse ses formes, l'image d'une jeune femme élégante est renvoyée par la psyché. Comment ne pas tomber sous le charme de la robe créée par Imagine. Tournant, virevoltant, elle sent le rose lui monter aux joues de plaisir. Un coup frappé à la porte annonce l'arrivée du Seigneur de Chaban et de Fayolle sur Jauldes. Saisissant le bijou contenu dans l'écrin posé sur sa table de toilette, elle s'empresse de le rejoindre et de l'accueillir avec un sourire radieux à la vue du jeune homme élégant et distingué qui se tient dans la pièce.


Tu es très élégant Vangy tandis qu'elle ouvre sa main et tend le bijou qu'il devrait reconnaitre.

Tu peux m'aider à l'accrocher ?



[Plus tard sur le parvis de Notre Dame]

Profitant de la voiture du jeune Seigneur, le couple rapidement arrive devant Notre Dame. Aidée par celui-ci, elle pose le pied sur le parvis et reste un moment en admiration devant l'architecture de l'édifice. Toujours aussi magnifique, la cérémonie allait être somptueuse.

Passant son bras sous celui de son Héraut et le gratifiant au passage d'un doux sourire, ils s'avancent vers l'entrée.




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Jason_ludgaresvissac
Pour un temps il avait décidé de laisser ses fonctions à Rouen pour se rendre au mariage de son amie et avant il avait du se faire faire une tenue. Il avait du batailler longtemps pour avoir sa tenue à temps mais il y était arrivé.
La veille ils étaient arrivés avec Rose et Léana et avaient séjourné dans un hôtel particulier prêté par un ami et ce matin c'est en carrosse qu'ils avaient rejoint la Cathédrale. Il semblait qu'il y avait beaucoup de monde d'arrivé mais pas la mariée. Il pu donc présenter son bras à la jeune femme et tenant sa fille par la main et ainsi ensemble ils pénétrèrent dans la Cathédrale et salua de la tête les personnes connues avant de prendre place.
La fillette était toute excitée de voir le Roy de si près elle n'avait pas arrêté de babiller tout le long du voyage et il avait du batailler pour qu'elle s'habille et se laisse coiffer. Mais là elle était belle comme un coeur.


Ici nous seront bien ni trop près ni trop loin, juste la bonne place mon amie, qu'en pensez vous ?
Ma Princesse tu viens sur mes genoux ainsi tu verras mieux .


Et d'installer la fillette sur ses genoux



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Hersent
[Dans son appartement du Louvre, quelques heures avant la cérémonie]

Elle essayait plusieurs tenues, ne sachant pas laquelle choisir. Elle ne manquait pas de vestures, toutes aussi agréables et d'excellente facture les unes que les autres.
Seulement, elle assisterait, dans quelques heures à un mariage princier.
Elle était bien ennuyée sans Laure Victoire à ses côtés pour la conseiller avec justesse et bon goût

Elle avait étalé sur son lit plusieurs tenues, celle digne d'un bal, sa tenue très particulière inspirée de la mode du lointain Levant, vesture qu'elle n'avait pas mis depuis bien longtemps, et la robe créée par Jenah, d'un bleu merveilleux.

Après bien des tergiversations, elle choisit la deuxième tenue. Il ne lui restait plus qu'à appeler une servante pour l'aider à l'habiller et surtout à la coiffer.



[Devant le parvis]


Il y avait quelques pâtés de maisons entre le Louvre et Nostre Dame de Paris, la grandiose cathédrale qui l'émouvait au plus haut point. Aussi, prit-elle le carrosse des Ambassades Royales, s'installant tant bien que mal en relevant les pans de sa tenue rappelant la tradition vestimentaire du pays de sa mère.
Cette tenue, rare et splendide, avait été créée par la très regrettée Maistre Morganenn des Doigts d'Or. Une merveille de fluidité et d'assemblement de tissus précieux et simples.
Elle savait qu'elle ne passerait pas inaperçue, la coiffure détonnant avec les canons européens.
Mais, elle savait que Morganenn était pleurée par l'Atelier... en s'habillant ainsi, elle honorait deux mémoires: celle de sa mère et celle de la Maistre couturière au talent indescriptible.

Le carrosse arriva à destination, malgré les rues parisiennes encombrées et criardes. Lubin sortit pour abaisser le marche-pied: Hersent, toute de rouge vêtue, soieries miroitant sous le soleil d'une fin mai radieuse, descendit de la voiture et entra dans la cathédrale où la cérémonie ne tarderait pas à commencer.

Elle aperçut une autre voiture, mais elle était trop loin pour distinguer les armes de l'équipage.



Elle franchit le seuil de l'édifice immense dédié à la gloire du Très Haut, elle salua les invités qu'elle rencontrait puis avisa une travée où un banc libre n'attendait qu'elle. Elle avait hâte de voir la mariée descendre la nef au bras de son royal père.
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Rose_de_vissac
    Encore de la route, mais cette fois c'était avec papa. En plus je pourrais voir le Roy pour la première fois de ma vie. Quand je raconterais ça à Lorilis, elle me croira pas j'en suis sûre ! j'étais tellement excitée de ce voyage, que pour une fois, on avait bataillé pour me mettre une jolie robe. Bon, pour jouer c'était pas ce qui avait de mieux, mais là c'était tout différent.

    Sur le chemin qui nous amènes de l'hôtel à l'endroit du mariage, j'essaie de me rappeler les choses que j'avais apprise à l'école sur la présentation et la révérence. En espérant que cette fois je ne tomberais pas comme dans la salle de classe.

    Voilà que le carosse s'arrête. Papa descend, puis nous à sa suite et je lui prend la main pour entrée dans la cathédrale. Il nous montre un endroit où nous installer et me propose de m'asseoir sur ses genoux. Je lui répond d'un grand sourire et me laisse porter pour pouvoir m'asseoir. Oui, j'avais la meilleure place assise sur papa, ça c'est sûr et certain !

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Leana..
Entre deux obligations ducales, Léana avait accepté avec le plus grand des honneurs d'accompagner Jason et Rose au mariage de l'une de ses amies, et l'honneur était d'autant plus grand qu'il s'agissait d'un mariage princier. Elle avait passé la semaine à réfléchir à la tenue qu'elle allait mettre pour cette occasion. Elle avait longuement hésité puis avec le conseil de sa fille et de sa mère de cœur, elle avait opté pour une robe de soie au ton de perle de rose d'une belle élégance. Elle avait fait préparer ses affaires puis avait rejoint Rose et Jason pour prendre la route.

Cela faisait quelques mois maintenant qu'elle n'avait pas voyagé la blondinette ou quitté son Duché mais ce voyage se passa fort bien et en excellente compagnie. Jason leur avait trouvé un hôtel particulier ou ils y séjournèrent la veille pour être en pleine forme pour le jour j et le matin venu, tout le monde s'était vêtu de leurs belles tenues pour faire honneur au couple qui allait se marier. Rose était toute souriante et visiblement très heureuse d'être là. Sa robe lui allait à ravir, la faisait rayonné et son sourire accentuant son enthousiasme faisait plaisir à voir. Cela rendait Léana un peu plus anxieuse car s'était pour elle la première fois aussi qu'elle allait rencontrer le Roy et ses proches en dehors des conditions de travail mais elle n'en montrait rien, en femme forte qu'elle était.

Quand ils arrivèrent en la Cathédrale Nostre-Dame, en Archidiacre qu'elle était, elle appréciait de se retrouver dans ce lieu. L'intérieur était magnifique et il y régnait une atmosphère festive et sereine en ce jour de noces. Prenant le bras que Jason lui avait présenté, elle avança avec eux deux. Elle n'avait pas la chance de connaitre encore les personnes présentes mais dans un grand respect, elle les salua d'un sourire chaleureux. Arrivant aux des places qu'il avait jugé les mieux pour eux...


Vous avez raison mon cher, ici nous seront fort bien pour suivre les noces.

Elle s'installa à sa gauche, le laissant installer à la meilleure place pour tout voir, sa belle Rose...
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Vanguhsen
Matin du mariage.

Vanguhsen se trouvait dans son logement de héraut, il s'y était éveillé après des journées de travail à la hérauderie.
Aujourd'hui, toutefois, ce n'était pas jour de travail mais jour de fête, puisque le Roy de France mariait sa fille avec un Prince de la maison des Malemort.
Le jeune héraut de la campagne du Périgord Angoumois, bien que seigneur de son état d'un magnifique petit château, n'avait guère de raison de s'y rendre, il n'était pas un proche de l'une ou l'autre famille.
Toutefois, il se trouvait être un proche de l'une des dames de la Cour, qui lui avait demandé de l'accompagner à ce mariage.
La relation entre Wendolien et Vanguhsen avait évolué lentement mais sûrement et petit à petit il éprouvait des sentiments pour elle et espérait que c'était réciproque.
Non seulement ils allaient ensemble à plusieurs événements mais en plus ils travaillaient ensemble à la Hérauderie de Bourgogne.

Après s'être apprêté, il se rendit au Louvre et demanda à être introduit dans les appartements royaux, plus précisément au sein de ceux de la Cour du Lys.
Frappant à la porte, il fut alors surpris de l'apparition, bien entendu il s'agissait de Wendy mais la robe qu'elle portait était juste somptueuse, à croire qu'elle faisait exprès pour le décontenancer le pauvre Vangy !


Je...Je te remercie Wendy, tu es...magnifique.

Elle lui tend alors sa main avec à l'intérieur la broche qu'il lui avait offerte, un sourire aux lèvres, il la prend alors délicatement mais ne manque pas au passage de s'exécuter un baise main comme à l'accoutumé.
Là par contre c'est le drame, il doit accrocher la broche sans la piquer et sans donner l'impression d'en profiter pour la toucher.
C'est pas facile mais il y arrive non sans avoir bien rougit de la situation.


Voilà c'est parfait ainsi.


Parfaite elle l'était à ses yeux à vrai dire.
Il l'emmena ensuite à sa voiture, plutôt simple mais confortable, ses armes flottaient au vent.
Le chemin fut assez rapide finalement malgré l'attroupement qui commençait à se presser pour entrer dans le majestueux édifice de Notre Dame, une cathédrale où il n'avait encore jamais mis les pieds.
Aidant Wendy à descendre, il lui tendit son bras pour la diriger à l'intérieur.
Sûrement qu'elle saurait ou prendre place de part son statut, tout le monde n'avait pas sa chance d'avoir une dame d'honneur et garde du roy à son bras.



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Pline
Journée de mariage pour le couple Farnezze de Sulignan, mais des deux Comtes c'était à Pline de partir plus tôt de l'hôstel qu'ils avaient loué et pour cause il était témoin. Après un réveil quelque peu tardif le brun aux yeux d'azur s'en alla directement se changer pour la belle occasion. Alors qu'il était en train de se vêtir plus que convenablement Pline se prit à penser au couple du jour.

Le monde était petit puisque qu'en plus d'être invité au mariage de Constance, Pline se retrouvait témoin du futur époux. Si l'homme avait pu côtoyer de nombreuses fois l'Orsenac ce n'était pas réellement le cas avec le Malemort. Pourtant l'histoire faisait qu'un beau matin le Comte avait eu une missive du Prince qui lui demandait de devenir son témoin. Impossible de refuser puisque le prince était le frère d'une princesse qui elle même était vassale d'une comtesse, cette comtesse étant sa propre femme. Bref c'était compliqué. La seule chose qui était finalement à retenir, en faisant abstraction des détails, était que Pline se trouvait être le témoin de Foulques en cette heureuse cérémonie.

Une fois bien beau pour l'occasion le brun aux yeux d'azur remonta à l'étage pour voir si son épouse et la nourrice s'en sortaient avec les deux enfants. Si Rafaele semblait plus conciliant, Luisa quant à elle semblait bien moins motivée pour enfiler sa jolie robe vénitienne.


Je file belle épouse, je te laisse t'amuser encore un peu avec les héritiers! Je dois rejoindre le futur époux, car si il est en retard ça va retomber sur les témoins.

Un baiser à la belle, un câlin au petit et une papouille esquivée par Luisa. Et une fois à l'extérieur...


Taxi! Le Palais de la cité!

Le palais de la Cité

Treize écus plus loin et une manifestation de mineurs réclamant plus de vin chaud à la pause de 10h évitée, le Comte monta quatre à quatre les marches du Palais pour rejoindre la chambre princière. Après quelques coups à la porte le Comte lança à l'intention de l'occupant.

Foulques il va falloir vous dépêcher! Sinon ça va me retomber dessus... C'est Pline, au fait.

Il était peut être avec l'autre témoin, mais dans le doute Pline préférait annoncer la couleur... aujourd'hui le futur époux ne serait pas en retard.

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Merveylle_mirandole
Le baquet d'eau chaude était prêt et n'attendait plus qu'elle. Une partie du contenu d'un flacon vint s'éparpiller telle une pluie fine dans l'eau douce. Une douce effluve de rose vint lécher les narines de l'Altesse Royale, satisfaite de son choix. La mode était, parait-il, aux parfums de violette et la Mirandole n'était pas de celles qui suivent les tendances. Non, à ses yeux il n'y avait pas plus raffiné et délicat qu'un doux parfum de rose. Ceci dit, un peu de sirop de violette mélangé à du cidre, ça faisait son petit effet !

Elle entra dans le baquet et joua avec grains de sels de bain jusqu'à ce qu'ils soient entièrement dissous. Un peu de savon à l'huile d'amande sur la peau et quelques minutes plus tard, soigneusement rincée, la Boisée délaissa son bain et se lova dans la serviette que sa dame de chambre lui tendit. Elle se frictionna avec tout en marchant vers son armoire. En regardant ses tenues elle hésita longuement avant de se décider. Devait-elle prendre une tenue qui la mettrait en valeur ? Une nouvelle tenue qu'elle n'avait encore jamais mise ? Ou la seule et unique robe cousue par Constance qu'elle possédait ? La robe était très élégante et elle était certaine de faire plaisir à la Mariée en arborant une de ses création. De plus, si elle évitait de se parer de bijoux, aucun risque qu'elle ne fasse de l'ombre à la future épouse. Après réflexion, c'était la tenue idéale. Il ne lui restait plus qu'à l'enfiler et sortir pour se rendre à la cathédrale.

Ses amies avaient accepté de venir se joindre à elle et elles seraient accompagnées de deux sieurs spécialement choisis par son frère, voir plus si Lucie décidait de venir avec ses amis. Il n'y avait rien de mieux qu'un bon groupe, pour ne pas se sentir seul face à tous les couples qui allaient débarquer et minauder. Les mariages agissaient sur les amoureux comme un aphrodisiaque, avec autant d'amour et d'émotion dans l'air, ce n'était pas étonnant.

[Sur le parvis de la cathédrale.]

Elle arriva première de son groupe. Elle leur avait donné rendez-vous sur le parvis, un peu à l'écart des grandes portes massives de l'édifice religieux. Et que les mariés se rassurent, aucun de ses invités ne ferait de scandale ou elle les mettrait à la porte elle même. On ne gâchait pas le plus beau jour de la vie d'une amie, c'était juste impensable. En attendant, elle regarda les invités arriver et entrer, en profitant pour admirer leurs jolies toilettes.



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Primha
    Au coeur de Paris, le frêle corps draconien se préparait pour l’événement mondain de l'année 1464, et surtout, pour l'apogée d'une histoire dont elle n'avait eu quelques vents. Le Créateur, du haut de son siège suprême devait se délecter de ce sentiment d'amour, essence même de vie ici bas. Car tout amour était bon à prendre ; prude, sincère, maladif.. Il berçait les coeurs. Et aujourd'hui, par cette période idylliquement printanière ; ce serait haut les coeurs ! Mais pas pour tout le monde. Car après deux décennies de vie entre les murs des Monastères de France, Prim Adelys n'avait jamais pu goûter aux délices des sentiments, aux papillons portant le coeur, et aux frissons d'un regard. Vierge de toute humanité, elle avait toute fois accepter de se joindre à son amie, Merveylle. Car à elles deux, tout semblait plus simple ! Duo qui serait rejoint pas une Vicomtesse dont l'Argentée ignorait le fond ; se rappelant toute fois de la luminosité qui émanait d'elle lors de la Fashion Week.



    Quelques gouttes d'essence de mélisse et de roses vinrent se nicher dans le cou de porcelaine, alors que la toilette créer des mains Boisées venait épouser le corps Valyrien ; robe délicate, parée de dorures simples et élégante. Prim Adelys prit soin de venir habiller sa chevelure blanchâtre de perle rappelant les broderies, laissant toute fois la pluie argentée libre au vent. Fin prête, elle quitta les lieux afin de rejoindre Merveylle sur le parvis. Et ce pour une fois, sans se soucier d'être parfaitement apprêté ; car des mains de la Boisée, elle ne pouvait que l'être. Mais avant cela, elle vint toquer à la porte de son cousin ; Arnarion qu'elle n'avait pu se résoudre à laisser derrière elle. La maladie avait beau l'avoir affaiblit, Arnarion restait Arnarion ! Rien ne pouvait le faire chuter de ce pied d'estale sur lequel il sommeillait.

      Arnarion, je m'en vais rejoindre son Altesse Merveylle. Je vous attendrais devant le parvis.


      Sur le parvis de la Cathédrale.


    Du coin de l'oeil, Primha jaugea les quelques arrivés, et invités du couple Princiers, jusqu'à trouver le minois Mirandolien. Le pas pressé et pourtant serein, elle s'approcha alors, un sourire placarder aux lippes. La Princesse était ravissante dans cette toilette bleuté, il n'y avait pas à dire ! Tout comme les autres femmes qui étaient arrivée, portant fièrement des créations plus somptueuses les unes que les autres.

      Mery. Vous êtes si.. Jeune femme ! On ne vous donnerait pas votre âge les cheveux ainsi attachés ! La robe vous va à merveille !


    Car oui, Mery et Primha avaient pour habitude d'être en présence l'une de l'autre, dans un style totalement différent ; classique et amical, à niveau égal.

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Foulques_de_malemort
Palais de la Cité - Le matin du mariage

L’effervescence ne cessait de croître dans les ruelles de Paris, dans les couloirs du palais, dans la chambre princière. Pourtant la tension, elle, ne cessait de croître au tourment du palpitant qui se déchaînait inlassablement dans la poitrine. Si Foulques n’était pas aussi cartésien, celui-ci aurait nouer les édredons de son lit les uns aux autres pour s’enfuir par l’entrebâillement de la fenêtre. Oh, je vous rassure, il n’est en rien une remise en question de son amour, de sa dévotion, de ce sentiment manifeste à l’intention de sa bien-aimée, mais au-delà de cela c’était la sensation d’un mariage luxuriant et faste, au disproportion de leur titre plus que de leur amour. Le Malemort fuirait pour kidnapper sa promise, l’emmenant dans un autre monde pour y vivre leur idylle dans la simplicité même.
Non cela est impossible, trahir son éducation, son nom autant que sa vie, il était impossible de fuir ce que son sang portait en lui. Et puis, imaginer la tête de sa sœur … étrange la tension naissante venait de se dissiper dans une crise de rire qui fit presque frémir les valets.

Les bras se tendent à l’horizon, et le regard du prince de sang observe avec attention la fourmilière s’activer dans la déraison. L’un des valets commençait à sécher le corps parfaitement dessiner du maître des lieux – le sang des siens ne saurait mentir – alors que les autres valets s’activaient à défaire les étoffes se préparant à draper le prince de cette magnifique tenue – magnifique non seulement par leur prestance même et la beauté de celle-ci mais surtout car c’était les doigts même de sa bien-aimée qui s’était œuvré à lui parfaire sa tenue. Et cela était une autre preuve de cette amour indéfectible vivant entre les deux âmes, malheur et mauvais augure ne pouvait rompre le désir d’un lien unique et céleste.

Quelques minutes, quelques instants, et voilà que les valets étirent les derniers lacets pour rendre la tenue au dessin parfait d’un sang bleu. A peine le temps d’observer le rendu et d’étirer un sourire que des coups se répercutent sur la porte de la chambre. Un regard vers celle-ci puis vers les valets. Cela ne pouvait être sa sœur qui devait déjà faire des cabrioles dans la chambre de Constance – un nouveau sourire qui s’étire – serait-ce possible qu’ils s’agissent d’un de ses témoins ? L’un devait sans doute s’occuper lui aussi de la mariée, et l’autre serait sans doute à l’église. Mais pourtant la surprise fut totale lorsque l’homme derrière la porte se présenta, c’était bien son témoin. Un mouvement rapide de la main en direction de la porte ordonnant à son page de l’ouvrir pour accueillir comme il se doit le comte. Un sourire.
Le prince s’avance vers la porte, observe quelque seconde Pline étirant un petit sourire sur la commissure de ses lèvres, avant de … le prendre dans ses bras, et de lui faire une accolade chaleureuse. Les deux hommes se connaissait assez peu, mari d’une comtesse, suzeraine d’une comtesse, comtesse de sang bleu, sang bleu qui est sa sœur, et pourtant celui-ci ne pris que peu de temps à répondre à sa demande et l’accepter, et cela non seulement pour le lien qui existait mais aussi pour renforcer les liens mêmes de cette comté chère à son cœur, le Maine.

Encore une fois, merci de me faire l’honneur d’être mon témoin, Pline.

Soudain, l’accolade chaleureuse se transforme en une interrogation plus glaciale. Qu’elle heure est-il ? Ne sont-ils pas en retard ? Est-ce pour cela que le comte était venu le chercher ? Constance l’attendait elle dans une brume d’inquiétude ? Oups …

Vous avez raison dépêchons nous, nous ne sommes pas en retard n’est-ce pas ?

A vrai dire, la question vu d’avantage théorique que pratique, car sans même attendre une réponse de son témoin, sans même observer le visage ou même la stupeur ou l’interrogation de celui-ci, le prince attrapa sa cape qu’il noua autour de sa gorge. Et le son des bottes commença déjà à résonner à travers les couloirs, se répercutant sur les pierres nues dans un écho assourdissant. Les pas sont rapides, les enjambées grandioses … et l’arrêt fut brutale.

Hum … Pline ? Vous venez ?

Les deux hommes prirent la direction du carrosse princier frappé des armes Malemort, les loups sont de sorties et prennent la direction de la cathédrale de Notre-Dame.

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[En réfection]
Evrard.al
    Invité pour accompagner l'Argentée et garder un oeil sur la Boisée, l'Ebène avait été obligé de revêtir une nouvelle tenue pour ne pas faire trop tâche à la cérémonie à laquelle il allait assister.
    De son allure tranquille et désinvolte, il marchait dans les rues pavées en direction de Nostre Dame. A l'approche de son point d'arrivée, d'un seul coup d'oeil il repéra chevelures soyeuses de celles qui devaient l'attendre. A leur hauteur, il les salua en inclinant respectueusement la tête.


    Vostre Altesse Royale, Dame, vous êtes ravissantes.

    Un sourire mutin vint se nicher sur ses lippes pâles. Il savait que la Valyria n'aimait pas trop le protocole et préférait ses moments de simplicité. Mais ce jour là était particulier et un peu de bienséance et de maintien ne faisait pas de mal. Après tout, il était bien élevé, on ne pourrait pas lui reprocher ça.
    Ses billes chocolat noir se posèrent sur la jeune Princesse. Elle portait rarement ce genre de robe épaisse, il était plutôt à la voir dans des tenues plus fluides et moins volumineuses, tignasse détachée. Elle prenait dix ans de plus avec cet façon de s'habiller. Elle faisait plus sérieuse, plus royale. Avant qu'on ne se demande à quoi il pouvait bien penser, il ajouta.


    Elle vous va bien cette tenue. Nous attendons encore du monde ?

    Prévenu un peu à la dernière minute, il ne savait pas qui la Boisée avait dépêché pour l'accompagner en plus de Prim et lui même.

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