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[RP] Mariage Princier: Constance & Foulques

Leana..
Après le temps du pardon et de la confession qui menait à la réflexion, la cérémonie se poursuivait.S'était maintenant le temps de récité le CREDO. Avec autant de solennité, toujours le regard baisser, sa main non loin de celle de Jason, en communion avec sa foi, la blondinette récita cette prière qu'elle connaissait sur le bout de la langue et qui sortait sans même qu'elle ne force de sa voix douce et discrète.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine Apostolique, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.


Son regard se releva et se posa sur le couple. Que l'amour rayonnait dans la cathédrale et cela était magnifique à voir
_________________
Jason_ludgaresvissac
Ils avaient écouté l'homélie puis L.A les invita à réciter le Credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine Apostolique, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.


Ses doigts effleurèrent ceux de sa voisine.
_________________
Imbault
Une paire de pieds froids, gris, assortie d'ongles à l'air factice, trop nets pour être ceux d'un moine errant. Une tunique lisse, taillée dans un tissu précieux, brodé de feuilles d'acanthe et rehaussé de beaux galons... Pour terminer, une mitre du plus bel effet, de la même trempe que la soi-disant bure qui l'accompagne. Puis, un beau bâton, une crosse pour être exact. Malgré la pierre qui la composait l'on devinait qu'elle avait été taillée pour figurer l'or, l'argent, l'ivoire et les pierreries. De fines couleurs égayaient le visage du saint, sa vêture et ses atours. Le regard long, morne, jugeant et déprimant, saint-Paul semblait regarder dans sa direction. Imbaut Guilhem détaillait la statue du saint, de pied en cap, lors que la cérémonie se déroulait, près de l'autel.

Au premier rang se trouvait un jeune garçon de dix ans, coincé entre deux vieux messieurs, ne disposant pas d'assez d'espace pour se mouvoir. Impressionné par le décor de Notre-Dame, et après avoir tenté une approche sans succès vers ses tantes et sa grand-mère, le jeune prince s'était perdu dans la contemplation.

La vie au Louvre était telle l'image qu'offrait saint-Paul: au départ simple et au service du peuple, les ors dans lesquels se drapaient les diverses maisons royales, offices du roy et autres charges prestigieuses distribuées au Louvre à la volée; avaient enterré l'essence de l'amour du peuple. Imbault n'y trouvait pas son compte: trop jeune pour compter, et déjà trop vieux pour vivre dans l'innocence. Ses jours s'écoulaient bien souvent dans l'ignorance, sans que quiconque ne l'aie vu esquisser un sourire. Le garçonnet était réduit à l'état d'une belle dorure, ornant un cabinet du plus bel effet. L'on s'efforçait de le ciseler, de l'orner et de le polir, sans jamais chercher à guérir son petit cœur d'orphelin.

D'un léger coup d'épaule, il se dégagea enfin de l'emprise des deux fossiles à l'odeur camphrée qui le serraient, épaule contre épaule. Déjà il pût un peu mieux respirer. La cérémonie avançait bon train, et les futurs mariés semblaient au comble du bonheur. Imbault ne pût en vouloir à sa tante Constance de ne point lui avoir sourît, elle vivait la consécration de son amour et avait d'autres choses en tête. D'ailleurs, elle monterait bientôt sa propre maison et sans doute Imbault ne ferait plus partie de son panorama quotidien. Lui ignorait quels projets son grand-père et son oncle avaient pour lui, et s'il avait du mal à cerner ses envies, il serait pourtant contraint d'obéir à ses tuteurs, ce qui ne lui plaisait guère. Mais avait-il le choix? Le lui laisserait-on seulement?

Laissant là la célébration de l'amour aristotélicien, le prince se faufila discrètement -personne ne faisait attention à lui de toute façon- jusqu'au bout du banc de bois ajouré. Là, s'appuyant contre une colonne qui n'en finissait plus de rejoindre les cieux, il lança un regard aux invités rassemblés dans l'édifice religieux. Imbault jeta sa tristesse au hasard, espérant trouver, parmi toutes ces grenouilles de bénitier, une âme aussi en peine que lui.

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Elisa.malemort
Y a-t-il réellement besoin de remercier ce que le cœur fait pour son sang ? Non, certainement pas. Si Elisa avait toujours aimé sa famille, elle l’avait toujours fais naturellement, et maladroitement. Car bien qu’il puisse en paraître, elle n’était pas parfaite, elle n’était qu’une jeune femme ayant perdue sa Reyne Mère un peu moins tôt que ses jeunes frères et sœurs. Ils n’avaient jamais été un fardeau, juste une source d’angoisse, la peur de mal faire et continuer à avoir la force de soutenir le regard et le jugement des autres.
Ses yeux regardant toujours son frère, Elisa aperçu alors Mélissandre non loin de lui. Son regard resta ainsi posé sur elle. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, elle n’avait plus de nouvelle de sa jeune sœur, du jour au lendemain, plus rien. Pourtant, la Duchesse avait été là pour elle à chaque moment difficile, faisant parfois route jusqu’à Paris lorsqu’elle allait mal. Et un jour, plus rien. Des mois maintenant qu’elle n’avait plus de nouvelles, sans raison.

Elisa fut tirée de sa rêverie quand un homme lui adressa la parole. Elle tourna la tête et laissa échapper un sourire en voyant son cousin Okagi, avec à son bras une jolie demoiselle. La Duchesse se leva pour l’accueillir.


Mon Cher Cousin, c’est un plaisir de vous revoir. Je vous en prie, venez près de moi.

Regardant alors la jeune femme à son bras.

Bonjour Demoiselle, je suis Elisa de Malemort, Veuve Baccard, la sœur aînée du futur marié.

La Duchesse s’assoit de nouveau, invita son cousin à s’asseoir près d’elle. Depuis le temps qu’elle ne l’avait pas vu, ils avaient tant de choses à se dire, même si le lieu ne s’y prêtait pas vraiment, ils ne manqueraient pas de pouvoir bavarder en attendant l’arrivée de la mariée et du couple royal.
Ce fut le tour de l’arrivée des Dehuit de Malemort. La Malemort embrassa la joue de Pattricia, elle vit alors son Ours de Père le regard vide qui ne la remarqua même pas. Un pincement au cœur, que s’était-il passé ? Elle tenta de garder bonne figure.


Fière ? Le mot est encore trop faible. C’est un sublime jour pour lui et je suis heureuse tant qu’il est heureux. Et il a l’air de l’être amplement.

Elle lui sourit, la laissant ensuite aller s’asseoir au troisième banc. Regardant une nouvelle fois Argawaen, se demandant ce qu’il avait bien pu se passer pour qu’il soit dans cet état, jusqu’à ne pas la voir. Reportant son attention sur Okagi, discussion pendant quelques instants, avant que la future mariée fasse son apparition. La Duchesse essaya d’imaginer la sensation que pouvait éprouver à cet instant Foulques, ce qui la fit sourire. La cérémonie pouvait désormais commencer.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine Apostolique, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.

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Lilly_de_troy
    Lilly était donc aux côtés de sa soeur pour le jour le plus important de sa vie. Celui qui va l'unir à celui qu'elle aime plus que tout ... même plus qu'elle? Non impossible quoi que ... Enfin bref, elle était là, le curé. Oui alors pour elle, ils sont tous curé quel que soit leur statut dans l'église. Donc, le curé, les invités à dire les prières qu'il énonçait. Son regard se détourna du devant de la "scène" pour voir ce qui pouvait se passer derrière eux. Elle remarqua une ptite tête connue. Quand était-il arrivé ? Depuis quand était-il présent ? Avait-il amenait sa soeur avec lui ? Tant de questions dans la tête de la blonde. Son neveu était là. Un sourire s'afficha, enfin un peu plus large que celui déjà présent pour marquer son plaisir de le voir avec eux.

    Il avait plus que discret depuis son baptême. Peut être avait-il eu besoin de temps pour ce faire à tout ce qui lui arrivait. Faut dire qu'il n'avait pas trop eu le choix que de se retrouver un peu précipité dans une vie qu'il n'avait pas réellement choisi, enfin pas aussi jeune. Un moment de nostalgie envahie la blonde. Elle aurait aimé partager ce jour avec eux. Mais, la vie en avait jugé autrement. Ils les observaient assurément de là où il se trouvaient.

    Elle reporta son regard émeraude sur le ptit blond, brun on savait plus trop... Sa couleur de cheveux était devenu différente. Mais le blond vénitien de ces parents était encore présent. Il avait trouvé le moyen de s'échapper de ces "gardes" mais ne semblait pas réellement ravi de se trouver seul dans son coin. Dommage, elle ne pouvait pas bouger pour lui tenir compagnie.

    Arf, une nouvelle prière à répéter.


    Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Et en Aristote, son prophète,
    le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    envoyé pour enseigner la sagesse
    et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.
    Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

    Je crois en l'Action Divine;
    En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine Apostolique, Une et Indivisible ;
    En la communion des Saints ;
    En la rémission des péchés
    En la Vie Éternelle.

    Amen.



    Une fois le second blabla expédié, la blonde se tourna vers lui et tenta de lui faire un signe du genre "Hey neveu tu n'es pas tout seul souri" et joignit le geste à sa pensée en arborant un sourire immense en montrant toutes ses dents.

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En deuil (armoiries à venir)
Constance..
La cérémonie suit son cours. L’aumônier royal lit alors le texte sur la résurrection, texte qui convient parfaitement à l'Orsenac puisque c'est pour elle une nouvelle vie qui s'annonce, laissant les malheurs derrière elle. Tout en écoutant Louis Appollon, son regard se pose un instant sur sa mère assise sur les cathèdres un peu en retrait de sa position. Déjà pour vérifier qu'elle se porte bien et aussi car elle se demande quelles paroles elle a pu souffler à Foulques l'instant précédent. Alors l'azur glisse jusqu'à ce dernier, tout en reprenant l'écoute des saintes paroles, resserrant un peu plus son emprise sur la main du Malemort... Faut bien le retenir au cas où il souhaiterait prendre la poudre d'escampette.

Louis Appollon continue son homélie, poussant chacun à la réflexion sur soi. La jeune Orsenac écoute ses paroles avec concentration. Si elle avait pu apercevoir son neveu Imbault-Guilhem de Troy elle lui aurait souri avec toute la tendresse qui la caractérise lorsqu'il s'agit de sa famille. Mais il est vrai qu'à l'instant présent Lui seul compte, mettant son cœur en émoi, et bien qu'elle écoute les saintes paroles elle n'arrive que peu à se concentrer sur la cérémonie en elle même, ses pensées volant au souvenir de chacune des rencontres et affrontements verbaux entre le Malemort et l'Orsenac, oscillant entre défis, fierté et désir.

Elle ne sait qui exactement est venu à la cérémonie, quelles sont les personnes qui ont répondu présent et se joignent aux prières au cours de la cérémonie qui les verra unis devant le Très Haut et les hommes.

A son tour, elle récite le credo, tout comme les fidèles se trouvant en la sainte cathédrale.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine Apostolique, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Alors que les témoins s'approchent après que l'aumônier royal leur ai fait signe, il s'adresse à eux pour savoir si l'un et l'autre sont présents de leur plein gré. Bien évidemment qu'ils le sont ! Le sourire de la blonde se fait taquin, l'idée de répondre autrement germe en son esprit. elle pense alors à retorquer qu'elle a été forcée, qu'on l'a trainée jusque devant les portes de la Cathédrale etc. Bien sur cela est totalement faux, mais elle imagine aisément la tête déconfite de Foulques. ON tente la taquinerie ou non. Mais alors que Foulques répond à la question, un sourire niais nait alors sur les carmines de l'Orsenac.

Je suis venue sans contrainte aucune, libre et consciente de mon souhait de prendre Foulques pour époux...

Elle aurait bien continuer, évoquant tout ce qu'il lui inspire dès qu'elle pose ses azurs sur Lui. Mais elle gardera cela pour plus tard, lorsqu'ils seront dans le secret de leur chambre .. Et hop un rougissement des joues à la pensée de la nuit à venir.
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[ - en réfection - ]
Louis_appollon
Satisfait de la réponse des deux héros du jour, Louis-Appollon leur sourit avant de poursuivre et de poser une seconde question.

Promettez-vous, en vous choisissant pour époux, de vous honorer et de vous aimer, et cela pour toute la durée de votre vie?


Et enfin:


Etes-vous prêts à accueillir avec amour les enfants que Dieu vous donnera
et de les éduquer dans la Foi du Très-Haut et de Sa Sainte Eglise?


Pour transformer l'essai (rien à dire, l'Eglise ne perdit pas le nord) et laisser entrevoir ce qui devrait suivre ce jour un rien enivrant. Viendrait ensuite l'échange des consentements/alliances, qui était accompagné de déclarations beaucoup plus personnelles de la part des mariés sur les raisons et la nature de leur relation.

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Julios
Un message ? Se demanda Julios en observant d'un air suspicieux le papier qui avait atterri dans ses mains.
Profitant d'un moment de calme, il l'ouvrit et le parcouru rapidement des yeux... avant de les écarquiller soudainement, surpris par le contenu.

Un petit moment lui fut nécessaire pour se remettre.
Puis, après un autre instant dédié à la réflexion cette fois, il se tourna vers sa comparse pour lui adresser, d'un air légèrement contrit, un petit signe de dénégation avant de reporter son attention sur la cérémonie.
Constance..
Alors que l'Aumônier Royal leur pose une question, l'azur se perd dans la contemplation de son futur époux, dans les limbes des souvenirs délicieux et Ô combien prometteurs, l'Orsenac laisse échapper un cri du coeur par sa réponse impulsive et totalement irréfléchie par rapport au lieu saint dans lequel ils se trouvent suite à la question de l'Aumônier Royal.

Promettez-vous, en vous choisissant pour époux, de vous honorer et de vous aimer, et cela pour toute la durée de votre vie?

OHWI !!!


Un sourire qui s’étire sur la commissure de ses lèvres, le regard émeraude captant la malice du regard azur, murmure devenant cri épousant parfaitement le délice de l’instant du Malemort épris de sa Constance. La main effleure la dextre prisonnière, la pulpe goutant cette peau diaphane alors que les lèvres murmurent avec cette malice Foulquienne, espérant que le son ne soit perçu à l’horizon.

Mais Constance je vous ai a peine effleuré, et nullement encore goutée …

Une chaleur douce se fait sentir sur les joues de la blonde qui se colorent d'une belle teinte rose-rouge agrémentant son teint pale d'une touche de couleur suite aux paroles Foulquiennes. Elle se rend compte alors qu'elle n'a pas seulement pensé son exclamation, mais que celle-ci s'est faite entendre certainement dans toute la Cathédrale. Et le sourire amusé de son Prince le lui confirme pendant que le palpitant s'emballe à la douce caresse sur la soie de sa dextre. Caresse à laquelle elle répond de la même façon alors que le sourire désarmant de Foulques lui fait un peu perdre le fil de la cérémonie. Un léger toussotement se fait entendre parmi les invités, et les carmines de la blonde s'articulent afin de répondre correctement cette fois à Louis Appollon, l'azur toujours pris en otage de l'émeraude.

… Je promets de l'honorer, de le respecter et de l'aimer du plus profond de mon cœur pour toute la durée de notre vie.

Comment ne pas sombrer sous le charme des perles naissantes des joues d’une rougeur délicieuse. Elle attise les souvenirs de leurs jeux, de leurs provocations fuyantes, de leur désir insatiable rompu dans un mutisme qui s’évade à ce jour dans cette église. Revenir en cette cathédrale, aux prières d’une union d’une vie. Une vie, c’est long, mais l’hésitation ne le berce à aucun moment d’une folie ardemment souhaitée. A son tour de se tourner à présent vers l’aumônier.

Je promets d’honorer, de respecter, de la chérir et de l’aimer pour toujours et à jamais, pour toute la durée de notre vie.

L'homme de foy reprend alors les question suivantes, concernant leur descendance future.

Etes-vous prêts à accueillir avec amour les enfants que Dieu vous donnera et de les éduquer dans la Foi du Très-Haut et de Sa Sainte Eglise?

Puis doucement ce sourire qui s’étire, ce regard qui déguste sans vergogne le visage de sa future accentuant le rouge des joues. Comment ne pas provoquer cette chaleur dont il aime tant la parer pour la désarmer. Le regard plongé dans le sien, oubliant un instant le lieu et l’office. Elle ? Elle ne voit que Lui, n'écoute que Lui sans même se douter du message qu'il va alors lui faire passer espérant que personne d'autre n'entende.

Et je suis prêt à accueillir dès ce soir avec amour et ferveur les enfants que Dieu nous donnera et si c’est un fils, c’est encore mieux ainsi que de les éduquer dans la Foi du très-haut Si c’est une fille, elle sera religieuse et de sa sainte église.

C'est un sourire amusé qui nait alors sur les lippes de la fiancée, amusé et prometteur, pensant déjà à la future conversation qu'ils devront avoir tous deux... Une fille... religieuse... Le soleil lui tape trop sur la tête à travers les vitraux ? Mais le regard alors échangé lui fait alors oublier la religieuse. A son tour, elle prend la parole concernant leur future famille, leurs futurs enfants... Le palpitant se gonflant de joie car il sera sien, et cette nuit sera la leur... enfin ! Les saphirs accrochés aux jades, s'y ancrent pendant que les mots sortent de ses carmines.

J'accueillerai bien évidement avec amour les enfants que le Très Haut nous donnera dès que possible. Et ils seront éduqués dans la Foi du Trés Haut et de la Sainte Eglise.... Pas de religieuse...


Les émeraudes abandonnent les saphirs pour se porter une fois encore sur l’aumonier attendant avec une certaine impatience les mots suivants après le sourire charmeur de la blonde au brun histoire de le déstabiliser légèrement en attendant la suite.

[RP écrit à 4 mains avec jdFoulques]

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[ - en réfection - ]
Louis_appollon
L'Aumônier prit acte des réponse, tout en souriant aux remarques que s'échangeaient les époux et que le reste de l'assemblée ne pouvait entendre.

C'est pas si terrible religieuse... en même temps, vous avez le temps, on n'en est pas encore là...

Leur souffla-t-il dans un murmure espiègle tout en passant à la suite.

Sur son signe, un enfant de choeur apporta les deux alliances d'or sur un coussin qu'il tendit à l'officiant qui les bénit avant de prendre le présentoir de tissu pour l'avancer à l'usage des époux.

A vous de jouer... les dames d'abord.

Indiqua-t-il.

En principe, ils savaient ce qu'ils avaient à faire avec les bagues. C'était quasiment le seul moment du mariage qui n'appartenait qu'aux époux, le prêtre se contentant de passer les plats...

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Constance..
L'Aumônier Royal, Louis Appollon de Castelviray, leur murmure alors quelques paroles faisant monter le rouge aux joues de la future épouse. Il est vrai qu'ils n'en étaient pas encore au moment d'avoir leur premier enfant, mais plutôt au moment de l'union des coeurs devant le Très Haut... Et plus tard, dans la nuit viendrait l'union des corps tant désirée depuis de nombreuses semaines. Cette pensée apporta un nouveau flot de chaleur sur les joues alors que Louis Appollon leur présente le coussin sur lequel reposent deux anneaux symbolisant l'union qu'ils célébraient ce jour d'hui. Anneaux symboles de leur Amour si inattendu après avoir tous deux tant soufferts de l'abandon d'un autre, anneaux les liant à jamais l'un à l'autre.

Constance, se tourne alors face à son futur époux, la dextre toujours prisonnière de la senestre masculine. Alors elle intervertit les rôles, tenant la main du brun dans la sienne, elle prend l'anneau destiné à Foulques de ses doigts libres pendant que l'azur s'ancre à l'émeraude. Le palpitant battant plus fort, plus vite, résonnant à ses oreilles, elle s'humecte les lippes légèrement avant de prendre la parole. Les souvenirs de leur rencontre fortuite, des suivantes, de tous leurs échanges.... de sa demande. Et tout ce qu'elle souhaite à ce moment là c'est d'unir leurs lèvres dans un baiser ardant et passionné, comme à chaque fois que les souffles se mêlent. Mais il faut de la retenue, le lieux saint, les invités, l'Aumônier royal. Alors elle l'embrasse du regard, l'azur se liquéfiant pendant que la commissure des carmines s'étirent en un sourire car Lui seul pourra alors deviner ses pensées.


Foulques... Mon Prince... En ce jour solennel, je vous prends et vous reçois pour époux unique et légitime devant cette assemblée... en attendant une nuit plus intime..., devant le Très Haut et sous son regard bienveillant. Pour toute notre vie et même dans l'au-delà je serai vôtre. Vous avez su abattre les murs que j'avais érigé afin de me protéger et de ne plus jamais sentir mon coeur battre pour quelqu'un. Chacune de vos paroles, chacun de vos gestes... de vos baisers ardents, de vos caresses... m'ont conquise et fait croire à nouveau en l'amour.

Le sourire se fait sincère alors qu'une lueur malicieuse brille dans les saphirs emplis d'amour pour son beau Prince.

Je promets de vous chérir pour toujours.... sauf les fois où vous m'exaspèrerez trop.... et à jamais d'un amour entier et dont vous serez le seul destinataire.

Puis elle glisse l'alliance à l'annulaire masculine. L'azur, plus brillant que d'habitude sous le poids de l'émotion, se noie dans l'océan couleur émeraude.


Foulques de Malemort, je vous aime... Je vous aime d'un amour intense, sans fin, incontrôlable.... Pas pour votre couronne, mais pour l'homme que vous êtes et qui se dévoile à moi lorsque nous sommes seuls. D'un amour que je ne pensais pas pouvoir ressentir un jour.
Vous seul parvenez à me faire vibrer, à me faire sentir vivante. Vous m'êtes aussi nécessaire que l'air pour respirer, que l'eau pour s'abreuver, que la nourriture pour se nourrir... Vous êtes mon Tout.. mon unique désir... Tous ces instants passés ensembles m'ont fait renaître, et m'ont permis aussi de vous découvrir, et je me souviens de tous ces moments. Vous m'avez souvent agacée, et cela le jour même de notre première rencontre, mais ce jour là vous m'avez aussi volé mon coeur sans que je m'en aperçoive.


Chacune de ses pensées sont tournées vers lui, vers leurs instants de complicité mais également de défi, vers les baisers volés, échangés et même vers ceux à venir. Ayant terminé, elle relâche la main de Foulques et pose les siennes sur les joues masculines, se rapprochant tout naturellement d'un pas pour l'embrasser oubliant totalement l'endroit, l'aumônier royal, les invités... jusqu'au moment où son royal paternel toussote achevant le baiser avant qu'il n'ait lieu, un simple frôlement des lèvres remplaçant le scellement des lippes. L'Orsenac retrouve alors ses esprits, les joues rougies de s'être laissée emportée par ses sentiments, les saphirs scrutant les jades avec émotion.
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[ - en réfection - ]
Foulques_de_malemort
Le visage devient blême, le corps de tend au murmure de l’aumônier royal, Louis Appollon de Castelviray. A aucun moment, Foulques, n’aurait pu imaginer que les mots usés loin d’être chaste et pur comme il se devait dans le temple de l’église, avait flotté jusqu’aux oreilles de celui-ci. Toussotement, main qui dégage la mèche de cheveux imaginaire devant ses yeux, tous les subterfuges furent usés pour détourner au plus vite la conversation de la nuit promise à sa future, abandonnant tous les préceptes de la bienséance pour avouer dans l’union de deux corps la passion qu’ils se promettent dans la Cathédrale de Notre-Dame. Le seul réconfort aux aveux volés, était de savoir que l’aumônier était du même avis que lui, même si ce n’était pas pour maintenant, argument de poids.

Arrive alors le coussin portant les deux anneaux de leur union éternelle. Les deux symboles de cette course effrénée entre les deux amants, de ce désir ardents obnubilant les pensées et les rêves dans chaque abandon de ce que cœur et âme criait d’envie dans un désespoir criant. Puis le regard azur qui se porte dans son regard, l’accrochant au-delà de tous, comme le nombre infini de ses nuits où ils se retrouvaient seuls, loin du monde, loin de la vie, dans un univers possédé uniquement par eux. Les lippes s’étirent, s’humecte attendant avec cette envie croissante de découvrir ce que les vœux de Constance sont alors qu’elle passe lentement l’anneau autour de son doigt.

Et c’est les mots qui s’élèvent dans un vœux mélodieux, mélopée des lèvres dans un musiques langoureuse les mots se mêlent aux passion et aux désirs, aux souvenirs et aux moment partagés, inoubliable folie, désir insatiable, plaisir éphémère, effleurement affolant, tellement de moment, d’image, de souvenirs dansants dans les pensées du Prince, alors qu’il se laisse submerger par les mots de Constance. Et doucement, la bonne tenue d’étiole, les mots s’embrasse et s’enflamme, la passion réfrène les pensées, la bienséance et la bonne conduite ne sont plus que mirage abandonnant les raisons de la déraison.

Plus rien ne vit, plus rien n’existe, si ce n’est cet azur et les lippes dansantes. Dans cette folie, dans les mots, dans la vibration, le Prince fait un pas dans la direction de Constance, pose sa main libre sur la hanche et l’attire à lui avant de se pencher pour l’embrasser dans une langueur absolue. Plus rien ne vit, plus rien ne survit.
Mais doucement, la raison, l’éducation, les colères des tuteurs reprennent souffles et vies dans son esprit. Lutte intestine entre l’envie d’un simple homme, et celui d’une altesse. Différence qu’on oublie parfois, mais qui change la vie.

Un pas en arrière, un murmure et un souffle, c’est la main du prince – faisant mine de rien, parce que bon faut pas attirer trop l’attention, même si tous les regards se porte sur les mariés. – qui prend la bague pour la glisser au doigt de sa bien-aimée.

Constance, Dame de mon cœur, en ce jour solennel, je vous prends et vous reçois pour épouses uniques et légitimes devant cette assemblée … et vous honorera dans la chambre, dans le petit salon, dans … devant le Très Haut et sous son regard bienveillant. Pour toute notre vie et même dans l’au-delà … car je serais comme Orphée devant sa Cassiopée … je serai vôtre. Vous avez gagné mon cœur et mon âme, vous avez franchis les murailles impénétrables de mes désirs pour ébréchée celui-ci et gagné mon amour dans mes jours et dans mes nuits jusqu’au tréfonds de mes rêves … votre corps m’a chamboulé … votre regard m’a fait oublier le monde réelle, pour m’emmener dans l’au-delà des raisons.


Je vous promets de vous chérir pour toujours … sauf les fois de vos folies jalouses, de vos colères Orsenaciennes, et de votre caractères de cochons … et à jamais d’un amour entier et laissant mon cœur ne battre que pour le vôtre.

Prenant une longue inspiration, les émeraudes se plonge encore et toujours dans les azurs, alors que la bagues s’enfoncent à travers le doigt pour trouver la place que plus jamais elle ne devra quitter.

Constance, vous avez su gagner le cœur d’un homme qui ne pensait plus pouvoir aimée, vous avez résister au folie d’un prince gagnant au simple murmure de ses écus les faveurs et les plaisirs *pose un regard en biais vers l’aumônier espérant qu’il ne reçoivent le sermon approprié dans la suite de la cérémonie.* Un amour que je ne pensais pas réelle, que je pensais ne jamais pouvoir en connaître les fondements et les raisons. Et pourtant en ce jour où vous m’êtes rentré dedans … et c’était de votre faute … je n’ai pu ni su vous oublier. Chaque secondes que nous avons connus sont devenus des passions éternelles, des souvenirs précieux. Et je veux que cette vie soit et reste jusqu’au jour où mes yeux se fermeront sur le monde, entendant les cris de nos enfants conçu d’un amour sain et pur.

Constance, je vous aime.


Les doigts abandonnent la bagues, le corps se tourne doucement vers l’aumônier pour suivre la suite de la cérémonie.

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[En réfection]
Louis_appollon
Les bagues échangées, Louis-Appollon prit les mains des deux époux, les lia l'une à l'autre et enveloppa cette étreinte palmaire de son étole consacrée tout en récitant une incantation.

Ô Seigneur, bénit cette union, accompagne la de Ton infinie bienveillance, puisse-t-elle perdurer jusqu'à ce que Tu décides, dans Ta gloire et Ta miséricorde, de lui donner son juste terme... Amen.


Puis, il compléta la bénédiction d'un signe de la croix aristotélicienne sur les deux mains liées. Reprenant la bande de tissu, il se recula d'un pas.

Foulques et Constance, devant Dieu et cette assemblée ici rassemblée, je vous déclare mari et femme!

Que le Très-Haut soit avec vous!


C'était le moment où les deux époux pouvaient se présenter à deux devant tous ceux qui avaient fait le déplacement pour vivre cette cérémonie avec eux.

Mais ce n'était pas non plus fini, le reste de la liturgie invitait maintenant au repas fraternel de la Communauté aristotélicienne.

En un instant, les acolytes dressèrent l'autel du pain et du vin rituels.

Mes soeurs et mes frères, le Très-Haut nous invite à partager les bienfaits dont il nous comble. Si la vigne et le blé sont de source divine, comme toute chose sur terre, le pain et le vin sont la source du Travail des Hommes. C'est ainsi que se matérialise l'Alliance éternelle entre le Créateur et la créature qu'Il a désignée pour L'aimer! Gloire soit rendue à Dieu! Hosanna, Hosanna!

L'Aumônier royal bénit les aliments de la main dans une nouvelle incantation.



Ouvrons-nous aux enseignements des prophètes, à la Vérité et au secours des Saints, par la Communion. Car Christos a dit:

" Mon corps va subir mille supplices, mais c’est pour que votre âme n’ait pas à les subir. Lorsque vous prierez le Très Haut, consacrez le pain et le vin de l'amitié, symboles de ma chair et de mon sang, afin de ne jamais oublier mon sacrifice pour vous. Rendez également hommage à ceux qui, par leur vertu, seront un exemple à vos yeux de l’amour qui est dû à Dieu. En vérité, il n’est pas de plus bel hommage à Dieu que d’aimer sans rien attendre en retour. "


L'officiant rompit ensuite un morceau de pain et le trempa dans la coupe de vin, et vint le présente aux lèvres de Constance. Ensuite, il fit de même avec Foulques, donnant le signal à tous les autres qu'ils pouvaient venir communier avec eux.

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Constance..
Le palpitant chante et se gonfle d'amour, l'âme s'envole et virevolte dans une danse féérique et romanesque baignée des lueurs colorées distillées par les vitraux. L'instant est unique, l'azur larmoyant se repaît des sentiments que laissent apercevoir l'émeraude, des paroles prononcées qui chantent une douce mélodie à son coeur, laissant une larme couler le long de la joue de nacre. L'oeil pétille aux murmures prononcés, mais nulle réponse ne sera apportée pour le moment car réplique il y aura, plus tard dans l'intimité de leur chambre... Caractère de cochon, non mais !

La future Orsenac Malemort se laisse faire par Louis Appollon lorsqu'il lie les mains Malemort et Orsenac à l'aide de son étole. Elle observe ses gestes dans un silence religieux, la tête emplie de l'instant présent. Puis les paroles les déclarant mari et femme font bondir son coeur dans sa poitrine. Les commissures des lèvres se relèvent en un beau sourire joyeux, le regard brille de mille feux alors que les saphirs caressent le visage de son désormais Epoux.

Elle suit ensuite la cérémonie qui reprend son déroulement pour l'acte final, elle reçoit en bouche le pain imbibé de vin... pas de la piquette heureusement... Puis communie avec les fidèles.

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Foulques_de_malemort
L’échange et les aveux, les murmures se mêlent et s’entremêlent dans les instants de plaisir mêlant le solennel au effluve passionnel. Les secondes semblent ralentir comme éclose dans un monde irréelle, lambeaux des lumières traversant les vitraux de la sainte église, la chaleur de leur main jointent se mêlant à l’extase des dernières paroles de Louis-Appollon. Nulle fuite, nul abandon, nul retournement de situation, les deux âmes s’unissait pour le meilleur et pour le pire, pour les moments de joie et de détresse, pour les secondes qui s’égrène jusqu’au jour de la rencontre avec la faucheuse, oui les deux étaient à jamais unis dans le monde jusqu’à trépas.

Leur main se retrouve lier par l’étole, un regard qui s’abandonne de ses mains à ce regard azur. L’impression de sentir son âme absorber par cette étendue océanique, son âme aspirée au plus profond de ce regard perdu pour toujours et à jamais. Ce sont les paroles qui ramène Foulques dans le présent de l’instant.

L’aumônier offre le pain imbibé de vin, non mais ! Espérons qu’il en garde un peu pour Foulques, l’ivrogne qui devenait sa femme risquait de vider les cuves comme elle le fait régulièrement dans les tavernes … mauvaise foi, avouons-le mais chut quand il s’agit d’alcool tous les coups sont permis. Alors que le prince s’apprêtait à faire scandale pour recevoir à son tour pitance, voilà que l’aumônier se tourne vers lui. Les émeraudes retrouve leur calme et leur sagesse pour recevoir le geste comme il se doit.

La cérémonie reprend de plus belle, offrant à présent à tous les convives le plaisir de gouter à ce pain autant qu’à ce vin.

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