Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 10, 11, 12   >   >>

[RP] Mariage Princier: Constance & Foulques

Rosalinde
- Madeleine...
- Je n'ai pas envie d'y aller.
- Habille-toi vite.
- Mais je dois réviser pour mes leçons à l'Hôtel Dieu.
- Les leçons attendront demain.
- Et puis je n'ai pas été invitée !


Soupir maternel.

- Je ne les connais même pas, les mariés. Ils sont les amis de Mélissandre, pas les miens.
- Très bien. Si tu ne veux pas venir avec moi, alors je n'irai pas non plus.
- Ce n'est pas très gentil. Ils sont venus à votre mariage, il faudrait leur rendre la politesse.
- Et se marier sans le concours de mon office, c'est poli peut-être ?
- Je suis certaine qu'ils n'ont pas voulu te vexer. Allons, petite mère, ne fais pas cette tête !


Et la princesse de se lever de sa table de travail pour aller serrer Rosalinde dans ses bras. Cette dernière se mit à rire doucement, et en profita pour glisser à l'oreille de sa fille :

- Insinues-tu que cela me fera de vilaines rides ?
- Oh mais non !


La mère embrassa sa fille.

- Très bien. Je viens !

Vite, le branle-bas de combat pour habiller la jeune femme. Et finalement elles prirent la route de Notre-Dame, Rosalinde en vert et Madeleine en bordeaux.

- Promis, si je vois que tu t'ennuies trop, je simulerai un malaise !
- Maman !
- Ou peut-être que je n'aurai même pas à simuler, qui sait...


Qui sait, oui ? Mais Madeleine n'eut pas le temps d'en demander davantage. Elles avaient contourné la voiture du marié et étaient entrées par la petite porte dans la cathédrale.

- Et en plus c'est la foire aux bouffons par ici...
- Maman !

- Et cette morue de Stilton, que fait-elle avec un garçonnet à son bras ? Elle a épuisé tous les hommes murs de France et d'Empire, il faut maintenant qu'elle s'attaque aux enfants ?
- Maman ! Un mot de plus et je m'en vais !
- Bon, bon...


Et tandis que Rosalinde se disait qu'elle aurait mieux fait de venir avec June, plus conciliant avec son penchant à la langue de vipère, Madeleine elle ne put qu'observer avec un petit pincement au cœur que le charmant cavalier n'était autre que Guillaume, qu'un peu plus loin se trouvait Savian, lui aussi en compagnie d'une jolie blonde, et que sans doute Maximilien ne manquerait pas de se pointer au bras de Mélissandre. Et elle venait avec sa mère. Super.
_________________

Milite pour la pénalisation de l'emploi du mot « pantine »
Okagi


    L'invitation au mariage du cousin arriva alors qu'il avait eu vent de ce mariage. Il espérait grandement y être, et attendait avec impatience cette lettre qui tardait.. Sa surprise fut donc de taille quand ses gens lui amenèrent le pli. Même si la communication avec son cousin se faisait rare, il l'appréciait, comme tout être du côté Malemort. Les mariages du côté Armantia se faisaient extrêmement rares. Okaji avait eu moult chance de se marier, mais cela ne s'était jamais concrétisé. Il espérait que cette fois... Ce soit la bonne.

    L'arrivée à Paris se fit dans une voiture de sa cousine comme toujours! Il lui rendrait un jour, promis! Mais quand? Telle est la question. Il n'avait pas fait le trajet directement depuis chez lui. Il avait fait un détour pour venir récupérer une jeune demoiselle fort charmante qu'il avait rencontrée lors du bal royal il y a de cela quelques lunes. Une romance avait débuté, et oka commençait à ne point rester indifférent à son égard. Descendant de la voiture princière en sa compagnie, ils marchèrent main dans la main en direction de l'abord de la Cathédrale. On pouvait les voir venir se chuchoter des mots l'un à l'autre, et à en rire quelques instants après. Surement pour se divertir de la scène se jouant devant eux, les petits gens massées derrière les gardes pour espérer voir la cérémonie.
    Mais, les deux jeunes gens étaient légèrement en retard, et le cousin d'Oka était déjà entré dans la Cathédrale pour la Cérémonie. Il s'excusa auprès d'Helena Elizabeth avant de l'inviter à entrer dans la Cathédrale pour venir prendre place et suivre ce mariage tant attendu depuis plusieurs mois! Il espérait voir Mélissandre avant, mais... c'était trop tard. Il irait à sa rencontre plus tard dans la journée.

    Habillé comme à son habitude pour les cérémonies familiales, il avait troqué sa tenue de seigneur pour sa tenue aux couleurs de Châlons-en-Champagne. Fierté de son oncle, mais aussi en signe de protestation quant à cette succession qu'il avait toujours mauvaise après tant d'années. Le temps n'était plus aux discussions à présent. Passant les portes, il leva la tête, comme toujours, admirant chaque centimètre de cette merveilleuse bâtisse. Rendez-vous compte de la magnificence de ce lieu !
    L'imposant ne le dispute dit-il pas à la majesté ? Sans bruit, Ils se rendirent au banc réservé à la famille du marié. Un sourire vers le futur marié. Rendu ou non, cela était égal pour Oka, qui savait très bien que son cousin ne le verrait pas forcément de là où il était.
    Devant lui, à quelques rangées de lui se trouvait sa cousine Elisa qu'il n'avait pas vue depuis fort longtemps. Il s'approcha, toujours accompagné de la belle Apostolakis pour rejoindre sa cousine.


    - Le bon jour vostre Grasce, pouvons-nous prendre place à vos côtés pour la cérémonie?

    Posant ses émeraudes sur sa cousine, le sourire aux lèvres.


_________________

Perrinne
[Juste avant l'arrivée des époux.]

Elle avait failli oublié, oui oui.
Oh le courrier lui était bien arrivé et le contenu l'avait quelque peu surprise mais le mois de mai avait été des plus chahutés et perturbant. Il avait été le mois des décisions, des pages que l'on tournait. De très longues pages.
Le mois des désabusements aussi et du dépit mais le long chemin parcourru lui avait appris à ne plus se retourner et vivre sans regret ni remords.

Mai avait également été le mois où elle avait enfin pu passer un peu plus de temps - du moins les nuits - avec son époux. Découvrir Vincennes également. Pas que Vincennes d'ailleurs car elle comptait maintenant une connaissance des plus fines de l'Etampois. Mais Vincennes et certaines arcanes de l'office de son époux malgré tout.

De là, de nouveaux liens s'étaient tissés ou renoués. Et parmi ces derniers, celle qu'on aurait pu appeler "l'ombre" du GEF n'eut été le caractère ombrageux de l'épouse qui y aurait vu une allusion déguisée à quelque corne qui lui serait pousée incognito. L'ombre en question l'accompagnait d'ailleurs. Pas au bras mais presque.

L'ombre qui méritait lumière d'ailleurs, meme si c'était dans l'ombre des petites salles au point du jour qu'elles avaient discutés tant et plus des choix de l'une et de l'autre, des aspirations de chacune et bien sur... d'héraldique. Car c'était sur les bancs maculés d'encres et de pigments qu'elles s'étaient initialement approchées. Qui était cette ombre finalement ? Sakurahime de Valrochelles.

Quand le courrier était arrivé, en double en fait, une missive pour chacune mais rien pour l'époux, une étincelle malicieuse avait éclairé le visage de la normande.


Tu vas venir avec moi ! Julien déteste les cérémonies et avec le Grand Festival, il n'en peut plus. Je lui demanderai quand meme, mais au pire, il nous aura à chacun de ses bras ! Allez, vient avec moi !


Ainsi donc, epouse et future vassale arrivèrent à Notre Dame.
Sentiment des plus bizarres pour la blonde qui n'arborait plus aucun des insignes qu'elle avait portés très longtemps. Chevalier ? plus pour le moment meme si elle savait qu'il ne manquait plus qu'un geste du Roy pour que soit confirmée la demande faite au préalable au GEF. Elle préparait ses joues d'ailleurs. Collier ? non plus. Caducées ? meme pas armée, impossible de se lancer dans un duel fictif avec Estampes. En somme, presque nue. Presque !
Car en prévision de tels évenements, elle avait bien quelques tenues à utiliser afin de ne pas déparer et tenir le rang d'altesse qu'elle portait de par le travail acharné de son époux.
D'une tenue, elle en avait obtenu une nouvelle, de l'atelier des Doigts d'Or et monsieur Jacques Voillot en particulier et pleine d'allant, elle poussait l'Amazone à ses cotés.


Qui te tente ? la moitié des visages nous sont connus me semble t il ?

Et effectivement entre membres des OR, membres de l'hérauderie, relations établies au fil des ans, ca ne manquait pas !
_________________
Savian
    Et aux côtés de Catherine, le Colosse apprend. Cependant, l’histoire semble assez alambiquée et perd un peu l’alençonnais. Le mariage de la cousine qui est l’ancienne épouse de son cousin Louveterie. Hum. Soit, il passe sa grande main dans sa barbe, se disant alors, en résumé, qu’il s’agissait de quelqu’un d’important pour la jolie blonde. Après tout, c’était tout ce qu’il devait savoir. Concernant les liens de parenté royaux, la réaction du Colosse fut brève, un simple levé de sourcils. Il y aurait certainement du monde à ce mariage-ci et espérait qu’il ne s’y étoufferait pas. Les lieux mondains grouillant de monde n’étaient guère ce qui lui allait le mieux. Il resta plutôt silencieux, ne souhaitant aucunement couper la parole à la Louveterie puis lorsqu’elle le questionne, il repousse en arrière quelques mèches de sa chevelure brune dans geste unique et simple de sa paluche dextre.

    « Je n’ai assisté qu’à très peu de mariage, je pense même pouvoir les compter sur les doigts d’une main. Mais je fus marié autrefois. J’ai d’ailleurs une fille issue de ce mariage, Eliothine. Une charmante demoiselle. »

    C’était assez risqué de se laisser aller dans ce genre de détails lorsqu’on est en présence d’une demoiselle. Il n’avait guère comme ambition de la faire fuir mais le Colosse était de nature franc et direct. Il préférait établir les bases dès à présent plutôt que de voir certaines choses ressurgirent plus tard. L’honnêteté, c’est bien, huhu.

    « Et vous, avez-vous déjà été mariée ? »

    Pour la subtilité, on reviendra.
    Ils arrivèrent enfin sur les lieux et Savian prit les devants, il descendit et tendit son bras à la charmante blonde pour l’aider à descendre. Il put d’ailleurs apercevoir quelques visages connus, son Héraut au bras d’un jeune homme qu’il ne connaissait guère… Son Maréchal, il prendra peut-être le risque plus tard d’aller le saluer, mais aussi la Fleurie et sa charmante Première Cliente. Ça vous marque ces choses-là.


    « M’accompagnerez-vous saluer une amie ? »

    Amie était peut être un bien grand mot, mais la demoiselle avait su, allez savoir comment, toucher le Colosse.

_________________
Melissandre_malemort
La mémoire des enfants était olfactive. Alors que Foulques l'avait attrapé par le bras pour qu'elle l'accompagne jusqu'à l'Autel, Mélissandre avait reconnu le parfum d'Elisa avec autant de certitude qu'on pouvait distinguer l'odeur de la fraise de celui d'une poire. Immédiatement, elle s'était décallé sur le coté et avait pudiquement détourné le visage, laissant à son frère le soin de savourer cette présence qui lui réchauffait sans nul doute le coeur.

En dehors d'un regard à la dérobé, elle même ne s'autorisa pas un geste. Depuis plus d'un an, elle évitait de faire face aux membres de sa famille, quelque part entre la colère et la honte. Elisa avait été pour sa fratrie une véritable mère, surtout pour Foulques et Blanche, car Cerberos avait éloigné ses cadets des leurs. Même si elle n'osa guère parler, la présence de sa soeur fut un baume sur son coeur, et tout en s'éloignant vers l'Autel afin de se placer près de Lilly, elle se sentait un peu plus légère et accablée tout à la fois.

Manifestement, Maximilien n'avait pas pu se déplacer, ou ne l'avait pas trouvé, mais ce n'était pas vraiment grave. Nouant ses petites mains blanches sur son giron, elle embrassa du regard les bancs qui se remplissaient petit à petit, surprise par certaines personnes qu'elle n'avait pas vu sur la liste, mais qui avait du se déplacer par amitié pour la mariée, très appréciée. Depuis son emplacement, légèrement en retrait mais face à toute la nef, elle vit à nouveau Arnarion, reconnaissable entre tous sous ses mèches neigeuses et s'autorisa là aussi à s'attarder sur lui, tout en sachant qu'elle n'irait lui parler pour rien au monde.


- Pas trop nerveux?

La question s'adressait à Foulques qui passait d'un pied à l'autre. Son frère paraissait perdu, et elle ne pu s'empécher de glisser sa petite menotte dans la large paluche pour lui offrir un peu de réconfort.

- Si vous êtes inquiet, rappelez vous que moi, j'ai planté le fils de l'Empereur devant à peu près tous les cardinaux du monde...

Un sourire mutin tordi ses lèvres, puis elle redressa ses frèles épaules et sourit à l'assemblée.
Katherine.pierce
Katherine a un mariage princier qui l'aurait crû, surtout pas la brune mais étant au service de son Altesse Melissandre, elle se devait d'être présente.
c'est donc avec le sourire qu'elle s'y rendit dans sa robe, certes des plus simple mais elle adorait la porter. une fois sur place elle regarda les personnes déjà là, elle en connaissait un peu, elle se plaça près de la porte.
Heureusement elle était arrivait a temps, rien n'était commencée , elle poussa un soupire de soulagement, les mariées allait bientôt arriver , elle avait hâte de les savoir enfin unis.
_________________
Arnarion
Son canard enfin retrouvé après quelques courses-poursuites, l'ensoutané, gagna les abords de sa cousine. Il brandit la fautive devant ses yeux comme pour se décharger de toute cette activité inattendue.

La voilà, la brave bête. Aussi têtue que la Rectrice lescurienne éponyme. Elle ne se laisse pas faire, me donne du fil à retrordre, mais je l'ai matée et maintenant elle est sous mon bras... Le canard, pas la Rectrice lescurienne.

Il confia son précieux à la dame de compagnie de sa cousine non sans lâcher un Vous y ferez attention, elle pince.

Puis, voyant que tous rentraient dans la cathédrale, il tendit le bras à Prim puis s'avança par la travée est. Entre-temps, il eu l'heure de connaître les mille et un vitraux qui faisaient, plus que la bâtisse elle-même, la splendeur de la cathédrale royale de France.
Étant ici, sinon incognito, spectateur ordinaire, l'Archevêque franc-comtois s'assit plutôt à mi-chemin du choeur et du transept, préférant laisser les places de devant aux hauts seigneurs et invités de ce mariage.

Prenant tout son sérieux désormais qu'il était dans la Maison de Dieu, il embrassa du regard les personnes qui s'asseyaient ça et là, et qui prenaient place pour la cérémonie. Il se prit à penser au nombre de mariages qu'il avait pu célébrer, des gueux aux barons, des barons aux rois. Un seul avait mal tourné et il s'efforçait de l'oublier, refusant de prendre en apparence partie dans l'affaire et le scandale que cela avait occasionné à l'époque.

Il aperçu Mélissandre quelques rangées plus haut, en compagnie de Lilly. Cette dernière au moins lui accordait encore un peu de crédit et d'amour, et elle se plaignait toujours de ne plus le voir aussi souvent qu'avant. Il se prit à songer à sa pastorale au sein de l'abbaye thomiste. Il sourit tendrement au souvenir de son insolence espiègle.
D'une pierre, feu, coups, il se décida à aller les voir pour les saluer avant la Messe. Il s'attendait déjà à un panel de réactions, surtout venant de l'une d'entre elle, mais le prélat n'en avait cure. Il était d'ailleurs bien connu pour faire ce qu' il desirait, têtu comme un Valyria.

Il traversa donc les quelques rangées qui les séparaient et arriva derrière elles. Se remémorant un certain bal à une certaine époque, dans d'autres lieux, le Prince-archevêque se pencha à l'ecoute de la Princesse de France et, sur une intonation déjà connue, la salua.
Bonjour, princesssse.
Il se tourna vers Lilly et d'un ton beaucoup plus jovial, la saluant elle aussi. Ah, ma fille ! Vous ici dans une église ? Plaît à Dieu ! Comment allez-vous ?
_________________
Heloise
La jeune femme s'était levée tôt ce matin là. Il faut dire que niveau quantité de personne a habillé ou veiller à l'habillage elle avait sa dose!

Elle devait par veiller à son propre habillage non parce qu'elle ne pouvait décemment pas se présenter au mariage de son parrain français et de l'une de ses amies d'enfance en chemise de nuit. Que dirait-on ? Pauvre fille, elle a pas perdu que sa voix a priori. Cela ferait bien tient ! Et en tant que vassale d'une Duchesse digne de ce nom elle ne pouvait de surplus pas lui faire honte. Sans parler de Mélissandre... Bref non elle devait se vêtir!

Mais la brune n'en avait plus haut le coeur qu'avant. C'était limite devenu une corvée pour elle. S'habiller pourquoi faire ? Finalement elle ne représentait plus qu'elle alors se vêtir pour enfiler un masque, quel masque ? Mais la brune avait fait un effort pour ce jour faste.

Elle alla ensuite veiller à l'habillage de Son Altesse Royale Mélissandre de Malemort. Il n'y avait pas le choix, n'est elle pas son intendante ? Bientôt un an qu'elle travaille pour elle ! Que le temps passe vite, que de changement dans sa vie depuis. Un mariage... Ce n'était pas ce qui l'emballait. Elle finirait sans doute vieille fille entre les fiancés qu'elle rejette car absent, le seul qu'il l'eut épousé qui l'a répudié, les potentiels fiancés qui l'ont rejeté, l'amour de sa vie qui s'est détourné d'elle et le seul qui semblait prêt à tout affronter qui est mort. Décidément le résumé de ses émois de fiancailles, rencontre et potentiel mariage sans parler de ses deux histoires de coeurs étaient un vrai film à l'eau de rose. Quoique cela n'existait point encore.

La Princesse de France vêtue, il fallut aller vêtir la future mariée. La jeune femme suivait comme un robot, cela lui faisait remonter tellement de chose, de sensations, de déceptions. Non décidément elle allait finir vieille fille et aigrie par dessus le marché !

C'est donc toujours comme un automate que la brune suivit Mélissandre et entra dans la Maison de Dieu afin de l'attendre sur les bancs près de l'autel côté famille Malemort à quelques millimètres de la Seconde Princesse de France. Espérons que personne lui fasse remontrance, elle savait pas si elle réussirait à écrire quoique ce soit dans cette foule et sans appuie pour le vélin.

Elle observait les invités tranquillement dans le silence qu'elle se retrouvait imposé par la volonté du divin.
Elisabeth_stilton
Parfaitement bien aussi surtout que je suis très bien accompagnée.

Petit sourire à Guillaume puis elle eu l'explication pour Arnarion, même pas le temps de réagir qu'il hurla son nom. Si des gens ignoraient qui elle pouvait être là c'était impossible, bon c'était déjà impossible à la base de ne pas savoir qui elle était. Elle fait la moue.

Toujours dans la modération à ce que je vois. Quand à votre présence question de point de vue, personnellement je vois plutôt une épreuve de Déos qui essaye de vous remettre sur le droit chemin. Vous devriez le prendre comme un signe. Mais je vous rejoins sur un point Déos nous aime tous.

Elle tapota le bras du vieillard malade.


J'en doute.

Arriva alors sa suzeraine et collègue qu'elle salua avec un sourire avant de rassurer la jeune cousine d'Arnarion.


Ne vous inquiétez pas, ce n'est pas comme si je n'avais pas l'habitude de son comportement.

Elisabeth allait engager la conversation avec Linoa quand elle vit Rosalinde accompagnée de Madeleine. Elisabeth elle n'était pas langue de vipère mais n'en pensait pas moins. Son mari en avait tellement marre d'elle que la rousse était obligé de venir accompagnée de sa fille. La blonde eu un sourire mauvais puis se tourna vers son cavalier et son amie.

Si on allait s'installer ?

_________________
Guy_de_la_mirandole
Que de monde ! C'est que son astre attirait tout le monde en plus ! Mais c'est vrai qu'il fut surpris de voir qu'un mec osait hurler son prénom ! Diantre, on était dans un lieu sacré ! Même Guy ne l'aurait pas fait ... Oui bon, c'est beau de rêver. Il salua les personnes qui se présentaient à Eli en souriant ... Il allait jouer le rôle de la potiche ! C'était presque insupportable ... En même temps, il ne connaissait personne, ou presque. Il vit arriver Phylogène ! Ah ! Il la connaissait lui, un peu ! Elle l'avait aidé dans ses papiers ... D'ailleurs il devait lui offrir son cadeau ... Mais pas pour aujourd'hui, il ne l'a pas sur lui. Son regard dévisageait tout le monde, et voilà qu'il vit une amie ! Son ami la roturière ! Ben quoi, il ne savait pas que c'était une princesse. Ou si. Fin il avait peut-être oublié avec le temps ! Mais en tout cas, il l'aimait bien. Ils avaient passé un agréable moment. C'est alors qu'il décida d'aller la saluer ! Il balança à Eli un simple :

Venez ! Je vois une amie là-bas ! Je veux aller la saluer !

Pompom. Il traina la femme qui l'avait invité jusqu'au deux femmes. Il ne savait pas que Rosalinde était la mère de Madeleine. Il savait juste qu'elle travaillait à la hérauderie. Ils s'approchèrent alors. Il salua d'abord la collègue.

Bonjour, vicomtesse.

Puis, ses yeux se posèrent directement sur l'autre femme. Il eut un petit sourire.

Madeleine ! Que de plaisir de vous retrouver ici ! Comment allez-vous depuis ?

Oups, il lâcha aussi un...

Vous êtes ravissante !
_________________
Paul
Le d'Acoma ne connaissait pas bien Paris et s'était un peu perdu dans les rues animées et étroites de la capitale. Certes, il connaissait le Louvre mais c'était tout. Il voyait le temps s'écoulait et craignait d'arriver avec du retard à la cathédrale de Paris. Jouant des épaules au milieu de la foule, il arriva enfin devant l'édifice religieux ou allait se dérouler le mariage princier.
Le premier réflexe fut de tirer sur sa tenue afin la défroisser. Pour l’événement il avait décidé de porter la tenue que le lui avait offert Constance pour son anniversaire. N'était ce pas une façon de rendre hommage à son amie ?




Puis il regarda sur le perron et lâcha un soupire. L'endroit était noir de monde. Têtes couronnées, belles noblesses, gentes dames et bonnes noblesses, tout ce monde était réuni pour l'événement. Vue la simplicité des futurs époux, il en avait oubliés leurs titres. Il inspira et s'avança parmi la foule. Il salua vaguement d'un signe de tête les personnes présentes et chercha en vain du regard un visage familier. Il décida donc de se mettre un peu à l'écart en attendant d'entrer dans la maison de Dieu.

_________________
Lilly_de_troy
    Melissandre venait de se placer a ces côtés. Elle lui sourit sentant comme un malaise. Comme si quelque chose venait de se produire mais pas forcement dans le bon sens. Un regard vers elle. Un sourire. Un encouragement silencieux. Oui, Mélissandre était une amie proche, voir plus depuis quelques temps.

    Elle guettait toujours les arrivées depuis un moment mais rien... toujours rien. Arf.... au final tous les mêmes. Puis, un mouvement, une approche. Elle déporta son regard et le vit. Son cureton favori était donc la!!!! Au joie. Au bonheur. Elle sourit heureuse de le voir. Dire qu'elle ne le voyait plus... elle fit une moue triste et dit.


    Aaah Arnarion mon cureton favori. Vous n'êtes pas mort ?? Cela me ravi de vous voir debout.

    Elle espiègle. Oui toujours.

_________________
En deuil (armoiries à venir)
Melissandre_malemort
Mélissandre pinça les lèvres. Puis les détendit. Une foultitude de sentiments se succédait à une vitesse folle, faisant passer son visage d'une pâleur mortel à un rose vif qui, généralement, trahissait les colères rares mais légendaires d'une Princesse qui s'était estimée trahie. La présence parfumée et bienveillante de Lilly lui donna le courage de se tenir.

Mais parce-que c'était Arnarion. Parce-que c'était Foulques et Constance. Et parce-que elle voyait, non loin, des femmes à qui elle ne voulait plus donner l'impression de "faire son intéressante", elle se contenta de ployer légèrement le dos pour lâcher une bise toute sèche sur l'anneau pastorale, comme se devait de le faire une princesse de sang prétendument pieuse, elle que la foi avait deserté dans une volute de fumée, quelque part sur un toit parisien.


- Mon père.

Sur ces mots, elle toisa Arnarion avec insolence, trahissant par là même qu'il n'était pas qu'un vague fantôme dans la foule mais un homme qu'elle avait assez aimé pour croire qu'elle le detestait maintenant. Et l'ancien abbé Orléanais la connaissait assez bien sans nul doute pour sentir cette faiblesse là et s'en réconforter, peutêtre, car sitot ce salut courtois articulé, elle plongea dans le mutisme et concentra son regard sur la Reyne qui telle une revenante, venait de se matérialiser aux portes.
Arthur_pendragon
En début d’après midi, le carrosse aux couleurs de Brugny passait enfin les portes de la capitale. Le jeune Pendragon n'était pas assez accoutumé à ce moyen de transport pour en apprécier le confort. Petit Seigneur qu'il était, ses voyages se faisaient bien souvent sur une selle et rarement sur une banquette.
Le cocher donnait de la voix à tout va, tentant de mener son véhicule au travers des rues encombrées de la capitale. Paris. Il ne pouvait espérer que de voir éclore de meilleurs souvenir de cette ville si animée. Perdant son regard au travers de la fenêtre du carrosse, il voyait défiler les bâtiments qui lui racontaient une histoire. Leur beauté et leur clarté croissaient tandis qu’il s’approchait de Nostre Dame et quittait les bas quartiers.
Le cocher arrêta sa voiture devant le parvis de la majestueuse cathédrale et descendit afin d'ouvrir la porte.
Quelques personnes étaient présentes, il en appréciait certaines et d'autres beaucoup moins ... Il cherchait du regard, la jeune demoiselle qui l'avait invité personnellement en qualité de cavalier. Elle n'était pas a l'extérieur, mais ce n'est sans nul doute qu'elle serait probablement déjà rentré à l'intérieur de l'édifice. Il pressa le pas, pour voir si cela allait se confirmer.
Il reconnaissait bien la l'architecture de nostre dame aussi majestueuse que le mariage qui allait s'y dérouler.
Léger regard panoramique sur les invités dans la cathédrale, et oui elle était la. Il cherchait son regard, tout en jetant un léger sourire
.
_________________
Foulques_de_malemort
Au pied de l’autel, se laissant gagner par une impatience grandissante, par la folie d’un désir d’union se consumant depuis des mois, en réalité depuis leurs premières rencontres, le regard se perd dans les méandres de l’inconscience. Comment ne pas se souvenir de chaque détail, de chaque instant, de chaque baisé échangé. Une chaleur gagne l’être, une chaleur physique de ce manteau d’hermine recouvrant les derniers apparats du Prince, autant que la chaleur d’un corps dévoilant à ses joues les pensées impures d’une nuit qui s’annonçait royale. Pourtant les pensées fugaces furent chassé par une présence provocant au fond de son cœur un battement assourdissant et un fin murmure à peine audible, un souffle dans lequel le nom de sa sœur s’enfuit d’entre ses lèvres « Elisa ».

Cette impression d’aspiration dans le passé, ramenant le jeune homme à son enfance loin d’être triste ou malheureuse mais dans lesquelles les souvenirs d’une famille s’étiolent pourtant avec le temps et les chemins que chacun d’eux amène dans leurs propres vies. Comment ne pas se souvenir de tout cela quand la main de son aînée qui fut aussi une véritable mère pour lui et pour Blanche. D’ailleurs, lui avait-il un jour remercié de tout cela ? Les souvenirs sont flous et lointain pourtant, si ce jour il était cet homme qui se tenait devant l’autel c’est en partie grâce à elle. Les émeraudes observent la Malemort avec cette chaleur d’un plaisir de retrouvaille dissimulant la moindre émotion d’un sentiment lorsque la main vient glisser sur la joue du Prince.

Ma sœur …

A son tour la main vient se poser sur la joue d’Elisa, tendresse d’un instant oubliant en ce jour faste toutes les différences, toutes les pensées pour ne faire que savourer l’instant et uniquement l’instant présent.

Votre présence m’honore, autant qu’elle réchauffe mon cœur. Je suis tellement heureux de pouvoir vous comptez parmi nous en cette journée. Et merci … merci pour tout ce que vous avez fait pour moi depuis notre enfance. Je ne pense pas vous avoir jamais remercié d’avoir porté au décès de mère le fardeau de notre éducation.

Le prince ferma les yeux une seconde, alors que l’odeur d’amande cerise embaume le prince, à l’instant ou les lèvres de sa sœur se pose sur sa joue. Un dernier sourire de plaisir, un dernier souffle de contentement, avant de la laisser rejoindre sa place sur le banc de la famille du marié. Un dernier regard dans cette direction affirmant la non-présence de ses deux autres sœurs puis s’installa dans l’impatience de l’évènement. Impatience entre l’arrivée de sa future au bras du Roy, impatience de se dire mari et femme avant que ne lui prenne l’envie de s’enfuir en courant, en somme un nouvel ensemble de pensée qui le submerge jusqu’à ce que la main de sa jeune sœur ne vienne chercher la sienne. Puis un léger sourire qui s’étire sur le visage profitant pour saluer Héloïse sa filleule, intendante de son altesse royale Mélissandre, d’un petit signe de la tête.

Nerveux, non pas trop, mais plutôt dans l’expectative de savoir si la sortie par devant ou par derrière est la meilleur solution ? Après tout, j’aimais bien quand même ma liberté même si j’aurais pu tomber sur bien pire qu’une blonde.

Puis regardant autour de lui, avant de se pencher pour lui murmurer quelque mot.

Certes mais cette fuite fait partie maintenant de ta renommée. Adulée des uns, hais des autres. J’ai beau faire tous les efforts du monde, je n’arrive vraiment pas à ta cheville de ce côté-là.

Et bien sur un petit clin d’œil lorsqu’il termine sa tirade. Avant de porter son attention à la cathédrale qui se remplissait de plus en plus, de têtes qu’il connaissait peu ou pas, de tête croisé mais sans jamais d’échange entre eux. Mais à cet instant, c’était un visage en particulier que le prince cherchait de ses émeraudes, celui de sa marraine Perrinne qu’il voulait remercier – Quelques heures plus tôt un valet était venu se présenter à lui, tenant entre ses mains un billet et un paquet très simple. La lettre provoqua un petit sourire de la part de Foulques, d’avantage encore lorsqu’il découvrit ce que cachait le présent – après tout même si les deux êtres n’avaient pu se connaître d’avantage par les besoins et les habitudes de chacun, Foulques fut ravis de voir un présent qui correspondait au mieux aux deux âmes qui allait se lier à ce jour, un plan de pommier. Simple et délicat. La remercier et la revoir, lui tenait à cœur.
Alors le regard se porte une fois encore sur l’horizon, observant les têtes se mouvoir peu à peu à l’intérieur, se joignant ou se rejoignant dans un brouhaha, le tout dans l’attente de l’arrivée de celle qui illuminera sa vie à jamais.

_________________
[En réfection]
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 10, 11, 12   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)