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[RP] Mariage Princier: Constance & Foulques

Foulques_de_malemort
Les doigts se tortillent dans le dos du Prince, droit comme un « i » alors que le regard se laisse aspirer par cette voûte majestueuse, par cette embrassure de laquelle Constance devrait apparaître. Les cloches sonnent et retentissent dans ce tumulte assourdissant du palpitant battant à la déraison du murmure d’ombre et de doute, de peur de l’instant. Et si … tellement de possibilité, de choix ou de direction opposée, de chemins et de routes se croisant et se décroisant dans un souffle de vie d’incrédule mené par le plus puissant de tous, le destin. Les émeraudes brûlent de cette attente.
Soudain le brouhaha du parvis s’élève telle une hymne, les gens au plus proche de la porte tendent déjà leurs coups tels des animaux exotiques pour observer la venue de celle qu’il attend avec ardeur. C’est le signal, plus de toute l’Orsenac et son père arrivent, il ne reste plus qu’à les attendre au pied de l’autel.

La foule s’incline, les têtes s’écartent pour laisser paraître sa Constance. Les lippes s’étirent dans un sourire de plaisir, de liesse, et … de surprise. La Reyne, et mère de Constance se tient à cotée d’elle. Comment ne pas sentir la chaleur d’une telle vue, de cette scène magistrale, les jades se teintent de cette douceur tendre à la vue du cortège familiale. Ce n’était pas la présence de la dite Reyne qui rendait la chaleur aux iris de Foulques, mais bien la présence de la mère de sa belle-aimée.
Comment ne pas savourer quand on sait à quel point la fille espérait la présence de ses deux parents pour la conduire à l’hostel… la douleur, la peur et la tristesse de l’alitement ayant bien souvent empoigné le cœur son aimée. Les augures sont bons en cette faste journée, apportant les délices des retrouvailles de sa propre sœur, mais aussi le délice de courage dans la présence de cette mère, Reyne de France pour amener sa fille à la main de Foulques.
Les jades accrochent les saphirs, les deux corps recouverts de leurs manteaux d’Hermine. Une volonté propre dans le désir de ne dévoiler leur tenue à l’un et à l’autre à l’ultime seconde des retrouvailles. Gardé le plaisir et le secret jusqu’à l’instant ultime. Un jeu entre eux.

Mais l’émotion étouffe les sens, comment décrire une à une les tensions, les délices, les sens qui se bousculent en un maelström de murmure indéchiffrable. Le palpitant s’engage dans une course effrénée amenant presque une surdose d’oxygène, une rougeur sur les joues teintant le visage du Prince – Bien sût mis sur le compte de la chaleur produite par la cape d’Hermine, et rien d’autre voyant ! – Elle se tient devant lui, leurs mains sont jointes sous les regards bienveillants de ses futurs beaux-parents (aie !). Le contact se mue en une vague de chaleur, une émotion électrisante, un soupire de plénitude gagnant l’âme des deux êtres passionnés. Puis ce murmure, qui amène les deux âmes à revivre leurs jeux, leurs provocations volontaires autant qu’involontaires, les effleurements, les désirs nocturnes, les plénitudes à chaque instant partagés et à Foulques se murmuré quelque mots alors que ses mains glissent sur la cape pour la lui ôter.

Pour l’heure ce n’est que votre cape, mais ce soir vous serez mienne …
Et nous verrons qui croquera l’autre …


Murmure provocant, murmure complice alors que les mains tremblantes sous la chaleur qui inonde sa Constance ôtent à son tour la cape du Malemort, se dévoilant l’un à l’autre leurs tenues de mariages pour amener au plus loin chance et bonheur sur leur mariage.



Mais à peine le temps de savourer l’instant, à peine le temps de s’être retrouvé, et devoir éteindre les brûlures de la passion des lèvres, des lippes qui attisent la flamme des passions que l’instant solennel reprend immédiatement ses droits. L’aumônier Royale débuta la cérémonie, dans peu de temps les deux âmes mortelles se tenant devant lui serait unis à la mort. Les pensées brument et s’embrument une fois encore dans une myriade d’émotions et de sentiments, inondé par la vague intenses et émotionnelles d’une telle scène. Marié …
Foulques s’inclina, avant de poser un genou à terre reprenant les paroles de Luis-Apollon dans un fin murmure fermant les yeux alors que sa main ne désire rendre liberté à sa jumelle, la main de Constance. Un lien unit à jamais.

Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.


C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.


Puis, quittant la position de contrition, Foulques se releva, le visage retrouvant cette platitude qu’il aime tant. L’instant était solennel, les dernières rayons de la libertés s’éteignant dans les brulures de la passions voulues amenant la vie du prince à un changement de vie absolue …

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[En réfection]
Constance..
Sensations Ô combien enivrantes du contact et des paroles Princières, le palpitant engagé dans la course effrénée des émotions se mélangeant dans un maelström étourdissant des sens en éveil. Les joues rougissent sous les paroles de son aimé toujours dans ce jeu de provocations volontaires ou non, alors qu'elle le découvre dans sa tenue qui lui sied à ravir, car même si elle connaissait celle-ci, elle ne l'avait jamais vu sur lui, il avait fallu prendre les mesures exactes ce qui avait été des plus... délicats. Mais c'est une autre histoire.

L'azur pétillant accroché à l'émeraude ne peut se résoudre à le quitter, pourtant avant que Louis Appollon ne prenne la parole, elle se retourne légèrement. Elle remarque les familles de chacun sur les premiers rangs, puis le monde présent dans la cathédrale, elle ne s'était pas réellement rendue compte du nombre impressionnant de personnes présentes lors de son entrée, sa vue se brouille légèrement par l'émotion, alors elle pose de nouveau son regard sur l'Aumônier Royal qui prend la parole.

Les deux futurs époux ne se voilent plus les sentiments qu'ils éprouvent l'un pour l'autre, le plus beau de tous l'Amour véritable et unique. S'agenouillant également aux paroles de l'officiant, la lueur des vitraux diffusant un halo de lumière coloré et chatoyant rend cette journée particulière. De même que les gemmes et pierres précieuses de la cape du Malemort scintillent sous cette luminosité, de même que les broderies de fil d'or de la tenue de l'Orsenac ressortent plus encore. Les mains toujours unies l'une à l'autre, Constance récite alors les prières d'une voix solennelle.


Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.

C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.


Elle se redresse ensuite doucement dans un léger bruissement des tissus soyeux de ses jupons, main toujours unie à celle de son Aimé, la pulpe des doigts caressant doucement l'épiderme de la senestre de Foulques. L'azur chavire alors et glisse sur le visage du brun Malemort dans un ravissement pour le palpitant de la blonde, coeur qui ne lui appartient plus depuis plusieurs mois.
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[ - en réfection - ]
Catherine.louveterie
[Sur le parvis.]


Cela devait être une manie chez lui de faire cela. A plusieurs reprises lors des quelques brèves rencontres avec la Louveterie, le Colosse avait passé sa main dans sa barbe. La jeune femme se demanda si c'était à ce point doux pour qu'il en aime le contact avec sa peau. Sûr que pour elle, c'était des poils piquants. A l'évocation du mariage de Savian, Catherine tendit un peu plus l'oreille. Une fois encore, même sans être prête à se passer la corde au cou, il n'en demeurait pas moins que la curiosité de la baronne de Coussey restait éveillée pour l'homme. Il lui rendit sa question. On pouvait voir si on faisait attention, que la jeune femme hésita brièvement avant de répondre. Il était vrai que c'était assez délicat dans sa situation. Il fallait choisir quoi dire, quoi dévoiler. Elle ne pouvait pas tout avouer.

Je n'ai jamais eu d'époux non. Bien qu'un jour, j'ai reçu une demande.

Parce que sa conscience ne lui permettrait pas de tout garder pour elle. Et puis, la jeune Louveterie se disait qu'il valait mieux faire preuve d'un minimum d'honnêteté. Certaines choses devaient être protégées. D'autres, pouvaient être révélées.

Même si cela n'a pas abouti. Bien que je sois en âge et qu'il me faut penser à mon avenir.

En effet, héritière de Coussey et d'Etalle. Etalle fief auquel elle avait renoncée d'elle-même pour prendre entièrement le parti de la Lorraine où son fief de Coussey se situait. Berceau de sa lignée, qui remontait à sa grand-mère maternelle. Il lui fallait au moins un fils. Sa fille en plus d'être une fille était une bâtarde. Son amour pour cette dernière serait toujours aussi profonde et sincère. Catherine donnerait sa vie pour elle. Seulement, il fallait avoir conscience du fait qu'un fils légitime serait le mieux. Sans doute un second pour assurer la succession. C'était assez horrible d'avoir ce genre de pensées. Qu'une femme puisse croire ça, où allait le monde.
Savian quitta la voiture en premier. Le visage de Catherine affichait un sourire sincère. Contente d'être ici. Et en bonne compagnie. Les nuages de sa vie paraissaient tellement loin. Elle posa sa main sur son avant bras et prit appuie afin de descendre à son tour. Gardant le contact en laissant sa main sur le Colosse.


Menez-moi et présentez-moi.

C'était assez directe. Sans doute ne valait-il pas emprunter sans cesse des détours pour dire les choses. Qu'il lui propose de saluer une amie en sa compagnie cela devait être bon signe. Toujours sa main sur son avant bras. Le sourire à ses lèvres et ses yeux affichant sa joie d'être ici.

[Hrp : mea culpa, j'suis en décalage j'avais les pieds dans l'eau ^^]
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Princesselaure
Assis dans le Coche Fleurdelisé, le trio partage, se rappelle souvenirs et joies... Les mains de la Reyne encerclant celles de sa fille aînée... Quelques caresses plus tard, le carrosse s'arrêta devant le parvis de la Cathédrale... Lieu qui avait aussi entendu des années auparavant les échanges de vœux des monarques !

Enfin les marches gravies, la Reyne adressa un signe de tête courtois à Louis-Appollon, officiant de la journée ! Un sourire plus tard, les monarques entrèrent dans le saint lieu avec l'un des joyaux les plus précieux !


Remontant doucement la nef, L'azur qui virevolte dans l'édifice....Sautant de vitrail en drapeau, de colonnes en balustres... Pour enfin se poser sur le futur gendre... Bientôt elle lâcha la main de sa protégée pour la confier à Foulques... Bientôt elle leur fit un dernier sourire avant d'aller prendre place sur le siège destiné à leur séant... Bientôt elle murmurera à Foulques une phrase inaudible du reste du monde !

Prenez soin d'elle Altesse je vous en prie ! Elle est ma force et ma joie ! Elle est ma fierté et mon orgueil ! Et Parce qu'elle est ma fille, elle fait partie de moi ! Soyez heureux voici mon seul ordre !

Elle pivota dans un large sourire, faisant vriller l'hermine de son large mantel...Posant une main sur son énorme abdomen... Dernière bise sur la joue de sa fille et de se diriger vers Lanf qui avait déjà trouvé leurs places !

Te souviens tu le jour ou l'on nous nous sommes dit oui ici même ?!

L'azur qui repart en chasse... Histoire de ne pas pleurer et de stocker elle aussi les larmes dans un petit bocal... Est ce un don des femmes Orsenac ?! Possible ! Mais chut !

Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.

C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

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Jason_ludgaresvissac
Elle finit par arriver et il la trouva resplendissante dans sa robe. Elle était radieuse. Sur un signe de L.A il posa aussi un genou à terre et récita le Confiteor sans lâcher la main de Rose

Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.

C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.



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Amarante.
    [ Avec Patt rangée de banc Malemort ]



Un alpagage digne de ce nom, version Pattricia … La brune ne l’avait même pas vu venir qu’elle se trouva embrochée par le bras et entrainé hors de la porte vers les bancs des Malemort …

Hummf … Patt m’enfin …

La brune lui sourit, elle ne la referait pas, c’était un fait et elle eut juste le temps de faire un signe à Valeryane, qu’elle n’avait pas vu depuis très longtemps, que déjà, elle était assise, coincé par sa belle-sœur …

Je suis si heureuse de te voir, après la cérémonie il faut que je te parle de ton frère, je ne sais plus quoi faire.

La brune fronça les sourcils, elle voulut lui répondre, mais pas le temps. Le couple royal qu’elle ne connaissait pas, faisait son entrée. Machinalement, elle s’inclina devant eux, à leur passage et quand ils furent assez loin, elle murmura à la rouquine …

Qu’est-ce qui se passe avec Arga ? Je lui ai écrit il y a peu pour savoir s’il venait aux joutes en l’honneur de notre nouveau Grand-Duc, mais je crois qu’il ne viendra pas … Il ne m’a pas donné de oui catégorique …

Puis se redressant après le passage Royale, elle la regarda …

Vous vous êtes disputé ? Il est malade ?

L’inquiétude commençait à étreindre le cœur la brunette … Elle allait devoir prendre son mal en patience ... La cérémonie commençait et elle récita le pardon, agenouillée ...

Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.


C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.


Elle se releva comme tous les convives.

Que le Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés,
et nous conduise à la vie éternelle.
Puisse le Dieu Omnipotent et Tout-Puissant nous accorder le pardon, l'absolution et la rémission de nos péchés.

Amen !

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Plume.
En temps que membre de la suite Mélissandrienne, la jeune Bazaumont s'était elle aussi levée très tôt et avait participée comme toutes les autres suivantes à la mise en beauté de Son Altesse pour cet évènement si important que pouvait être le mariage de son frère et de sa meilleure amie.
A la descente du coche, elle avait donc tout naturellement suivi la Princesse dans sa traversée silencieuse et sobre du parvis, non sans jeter quelques invisibles regards tout autour d'elle afin d'espérer croiser ceux de quelques personnes connues. Bien qu'ils n'aient jamais vraiment pris le temps de faire connaissance, elle reconnu parmi la foule la silhouette de son co-vassal ainsi que du filleul de sa meilleure amie, mais sans arriver à discerner les traits d'icelle, ce qui généra sur les lippes de la châtaigne une légère petite moue.
Discrète, elle s'était ensuite glissée à l'intérieur de l'imposante et magnifique Cathédrale à la suite d'une intendante muette et automatisée et d'une Altesse inhabituellement timide.
Calée dans l'ombre d'une colonne, derrière le rang destinée à la famille et aux proches, ni trop proche des futurs épousés, ni trop loin de Celle qu'elle servait , elle projeta ses azurs sur l'assemblée.
Le fiancé était déjà en place.
La future épousée faisait son entrée aux bras du Couple Royale.
Révérence appliquée à leur passage .
Chut ! Plus un bruit ... la cérémonie commençait


Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.

C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

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Lilly_de_troy
    La blonde rit de bon cœur en entendant les paroles de son cureton favori. Lui mort il en était impensable. Le temps passe mais sa santé était fragile, elle le trouvait plus blanc qu'avant ou l'air impérial qui ne lui allait pas au teint. Allez savoir. Elle sourit et ne put répondre qu'il partait déjà se placer sur un banc avec une jeune femme qui l'accompagnait.

    Son regard se porta sur la porte. Toujours dans l'attente de sa sœur. Mais a croire qu'elle voulait vraiment se faire plus que désirer. Impressionnant comme elle aimait la mise en scène. Ce qui lui fit échapper un ptit rire. Non mais je vous jure. Puis, ses émeraudes se posèrent sur une arrivée. Pas qu'elle attendait plus mais elle fut ravie de constater qu'il avait eu le temps de venir. Son sourire s'élargit et un hochement de tête pour le saluer. Puis... puis... leur arrivée. La blonde faillit tomber au sol. Ah non pas deux fois. Mais la vision du trio fut une surprise de taille.

    Constance entourée de Père et Mère. Une larme au coin de son œil. Un frisson l'a parcouru. Quel plus beau jour. Quelle belle journée. Vraiment que demander de plus. Elle posa sa main sur sa bouche pour ne pas gâcher ce moment plus que solennelle que peut être la remontée vers l'autel avec un cri de joie qui ne demandait qu'a sortir. Un mariage plus idylle c'est possible ? Non, elle pense pas.

    Une mère laissant sa fille au futur époux et les deux êtres prêt a s'unir devant le Très Haut rayonnent de bonheur. Lilly est sur un nuage... un conte de fée.

    Un retour a la réalité rapide car il fallait de suite prier.



    Je confesse à Dieu tout puissant
    au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
    au Bienheureux Jeshua Christos,
    A Notre Dame qui veille sur cette église,
    au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
    aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
    à tous les Saints,
    et à toi, Père,
    Que j'ai beaucoup péché par pensées,
    par paroles et par actions.

    C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
    C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
    Bienheureux Jeshua Christos,
    Notre Dame qui veille sur cette église,
    Bienheureux Saint Pape Nicolas,
    les Saints Apôtres Titus et Paulo,
    Tous les Saints, et Toi, Père,
    de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

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En deuil (armoiries à venir)
Pattricia
Une révérence pour le couple royal, la reine consort semblait mal en point. les jades, habitués à repérer blessures et maladies, avait tout de suite remarqué que la mère de la fiancée n'allait pas bien du tout. Puis ils se posèrent sur la "star" du jour et la rousse sourit, Constance était sublime dans sa tenue.

Les deux promis furent enfin l'un près de l'autre et c'est l'officiant du jour qui prend les choses en main. Patt n'a pas le temps de répondre à sa bretonne préférée, s'agenouille et baisse la tête, sa prière n'est pas tout à fait identique à ce qui se clame ou se murmure de part et d'autre.


Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que je t'ai beaucoup engueulé par pensées,
par paroles et par actions.

C'est ta faute, c'est ta faute, c'est ta très grande faute,
C'est pourquoi je t'en veux bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour Plume le Seigneur notre Dieu.


Personne n'avait pu entendre, même pas Amy. Ari par contre s'en était pris plein la tronche depuis 2 mois et la vindicative n'était toujours pas calmée. Il faudrait du temps avant qu'elle pardonne à celui à qui elle avait déjà tant sacrifié la perte de sa fille ainée. Mais déjà ils pouvaient prendre à nouveau place et elle ne se fit pas prier. Juste le temps que l'assemblée redevienne silencieuse et que l'officiant bah... officie, la rousse approche son visage de celui d'Amy et lui murmure.

Depuis la mort de Plume il boit, mange à peine, se lave une fois tous les 36 du mois et reste enfermé dans la chambre de notre fille. La petite Jade ne voit plus son père, c'est pour cela que je l'ai prise avec moi à Paris et que je l'ai amenée ici. Elle a perdu la seule sœur qu'elle connaissait vraiment et voilà que maintenant c'est comme si elle n'avait plus de père.
J'ai perdu ma fille moi aussi, je connaissais Plume bien avant qu'il ne la croise et ne l'adopte, j'ai déjà perdu la chair de ma chair et j'ai failli en mourir mais j'étais jeune et surtout, j'ai fini par réaliser que mes autres enfants devaient désormais être ma priorité. Lui, alors qu'il est entouré de son autre fille déjà adulte et de sa petite dernière, il continue de geindre et de rester enfermé.


Elle savait qu'Amy la trouverait dure, peut-être même sans cœur, mais quand on est une survivante, on fait passer sa douleur après ses obligations. Elle était de cette trempe là et elle ne comprenait pas que ce ne soit pas le cas pour tout le monde, surtout pour son roc qu'elle voyait se fissurer jour après jour, enfin... c'est une image, car en fait ils ne se voyaient plus depuis des semaines. Quand son jeune frère Mycha avait été assassiné, il avait été là pour elle pendant qu'elle glissait dans la folie, mais là il refusait son aide, elle n'existait plus, comment faire pour l'aider ?
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Égérie de la Boutique du Lys
Primha
    La troupe était entrée dans Nostre-Dame dans un silence - en tout cas pour Prim. Dans un mouvement de tissu délicat, elle vint se poser sur un des bancs, suffisamment bien placé pour pour observer le délicieux couple princier, tout en restant proche d'Arnarion. Il était hors de question qu'il ne fasse des siennes durant cette cérémonie. Sagement, elle vint prendre la main du Valyria, dans un soucis de bonne santé. Il était son cousin, son chaperon, son frère s'ils avaient pu. Il était avec Alboin, l'homme auquel elle se fiait en cas de pépin - quoi qu'elle était assez sage pour prendre son envole d'elle même. Le regard d'Améthyste détailla les toilettes des mariés, reconnaissant malgré son goût encore bien maigre, qu'elles étaient magnifiques.

      Je confesse à Dieu tout puissant
      au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
      au Bienheureux Jeshua Christos,
      A Notre Dame qui veille sur cette église,
      au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
      aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
      à tous les Saints,
      et à toi, Père,
      Que j'ai beaucoup péché par pensées,
      par paroles et par actions.

      C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
      C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
      Bienheureux Jeshua Christos,
      Notre Dame qui veille sur cette église,
      Bienheureux Saint Pape Nicolas,
      les Saints Apôtres Titus et Paulo,
      Tous les Saints, et Toi, Père,
      de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

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Belisaire
[Non loin de Notre Dame, le matin du mariage.]

Tout en s'approchant d'Aemilia, son regard centré sur un sourire des plus malicieux, il se doutait qu'il serait livré à son désir mais en son for intérieur pestait de s'être fait amadoué de la sorte.

Un mariage Princier ?
Qu'irais-je faire dans un mariage princier moi ?
Invité ? Et bien non !
Ah toi si ? Et bien bonne journée alors !
Comment ça je viens ? Je t'accompagne ?
Et si je veux pas ? Ah j'ai pas le choix !


[i]C'est à ce moment là qu'il prit un temps pour évaluer la situation. Il la regarde, la scrute, évalue le pour du contre et grommelle finalement.


De toute manière j'ai rien à me mettre, j'ai pas prévu.
Toi si ? Ah !
Une surprise m'attend ? Et bien, je te remercie du cadeau.
Et où ... ? Dans ma chambre, le femme de l'aubergiste ... installée ... et bien je monte alors !!


On ignore combien de temps il lui fallut pour s’apprêter mais selon la petite histoire il sera dit qu'il attendit longtemps, très longtemps avant de la voir descendre et rayonner de toute sa splendeur.

[Sur le parvis de la Cathédrale, en retard bien évidemment.]

Et au fait c'est le mariage de qui ?
Ah oui quand même !


Il offrit sa main pour aider Aemilia a descendre du carrosse et attrapèrent les retardataires pour se glisser dans l'édifice religieux.

Et une fois installé, ils répétèrent à l'unisson ...



Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Que le Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés,
et nous conduise à la vie éternelle.
Puisse le Dieu Omnipotent et Tout-Puissant nous accorder le pardon, l'absolution et la rémission de nos péchés.

Amen !

_________________
Louis_appollon
Alors que chacun avait pu demander pardon à Dieu pour ses pêché, les choeurs firent s'envoler vers les ciel leurs voix chantante afin d'appuyer la prière des croyants.

Kyrie Eleison... Kyrie Eleison... Christos Eleison... Kyrie Eleison...


Ô Dieu, prends pitié! Ô Christos, prends pitié!


Traduisit le prêtre lorsque les voix se furent tues.

Nous sommes réunis ici, mes bien chers frères, et mes biens chères soeurs, pour célébrer le mariage de Constance et de Foulques...


L'usage de leurs seuls prénoms, sans autre forme, était un symbole volontaire de l'égalité de tous devant Dieu. Devant Lui, nul homme ou femme ne valait plus qu'un autre. Tous sont Ses humbles serviteurs.

C'est un jour de joie et d'allégresse, bien sûr. Mais c'est aussi un jour d'engagement, un moment clé de la vie de cet homme et de cette femme! A ce titre, il est aussi placé sous le signe de la spiritualité et de la méditation. Dieu vous regarde et vous a dans Son coeur...

Termina-t-il en s'adressant aux époux en devenir.

Imprégnons-nous donc du Message du Très-Haut!


Proclama Louis-Appollon avant de se placer derrière l'autel, d'où il souleva au-dessus de sa tête le Livre des Vertus dont le couverture était richement ornée d'or et de pierres précieuses pour que tout le monde puisse le voir et lui témoigner le respect dû.

Que le Très-Haut soit avec vous! Gloire à Sa Sainte Parole!

Ensuite, il alla vers le pupitre sur lequel il ouvrit l'ouvrage à la page qu'il avait préalablement marquée.

Livre de l'Eclipse, Chapitre VIII; La résurrection!


Annonça-t-il, en préambule du texte que les mariés avaient eux-mêmes approuvés.



“Toi, l’humain que les tiens nomment Sypous, tu es venu à Moi, découvrant tout ce qu’un humain pourra connaître après sa mort. Tu as visité chacun des sept Enfers, où tu as rencontré chacun des Princes-démons, qui se sont présentés à toi, conformément à Ma volonté.
Qu’as-tu retenu de tes périples ?”


Lut-il de sa voix pleine d'emphase, comme s'il jouait le narrateur et chaque rôle de l'histoire.

Je répondis:
“J’ai compris le sens du Salut. Lorsqu’un humain a vécu dans la vertu, s’étant ainsi conformé à Ta divine parole, transmise par le prophète Aristote et par Christos, le messie, Tu lui accordes le droit d’accéder en ces lieux, au Paradis, au sein du soleil. S'il se détourne de la vertu, refusant d’écouter Ta divine parole, qu’il s’abandonne aux plaisirs terrestres, à l’égoïsme, à la tentation, à de fausses divinités, Ton infinie sagesse t’amène à l’envoyer en Enfer, dans la lune, pour y être puni pour l’éternité. Tu nous aimes, mais c’est également à nous de T’aimer.”


Et il insista sur la dernière phrase, gardant un court silence avant de poursuivre.

Dieu me dit:
“Maintenant, le temps est venu pour toi de faire ton choix. Tu peux décider d’accepter la mort. Dans ce cas, je jugerai toute ta vie, les moments où tu as su oeuvrer pour la vertu et ceux où tu t’es détourné d’elle. Si, alors, Je juge que tu le mérites, tu rejoindras les élus pour une éternité de joie et de bonheur. Mais si Je juge alors que ta vie n’a pas été assez vertueuse, tu connaîtras une éternité de tourments en Enfer. Mais, si tu penses que ton temps n’a pas encore été accompli, que tu n’as pas encore fait tes preuves devant Moi, tu peux décider de revenir à la vie.”


Silence, regard à l'assistance, puis reprise.

Je ne savais que répondre. Avais-je mérité de rejoindre le Paradis ou finirais-je en Enfer? Alors, j’entendis des voix. C’était celles de mes amis, qui priaient pour le Salut de mon âme. Bien qu’ils se trouvassent sur terre, je les entendais distinctement. Cela me faisait chaud au cœur de voir qu’ils se souciaient tant de ce qui allait m’arriver. Il me fallait leur montrer que leurs prières n’étaient pas vaines. Je décidai d’accepter la résurrection, afin de pouvoir vivre dans la vertu et de mériter le Paradis. Je leur devais bien ça, au moins autant que je me le devais à moi-même.

Dieu me dit alors: “Depuis que J’ai décidé de changer l’esprit des humains en âme, afin qu’elle soit jugée à leur mort, chacun d’eux parcourt le chemin qui t’a conduit à Moi, et Je pose la même question à chacun d’eux. Certains ont la même prudence que toi, d’autres accèdent au Paradis, et d’autres surestiment la qualité de leur vécu et sont envoyés en Enfer.”

“Ceux qui ont opté, comme toi, pour la résurrection ne gardent pas traces de leur périple céleste dans leur mémoire. Ainsi, leur comportement ne change que si la leçon s’est gravée au fond de leur cœur. Mais, afin que tous sachent quel sort terrible les attend s'ils se détournent de mon amour, je te laisse exceptionnellement la mémoire. Tu pourras ainsi témoigner de ton périple. Et ton témoignage restera pour les siècles des siècles. Maintenant que tu sais quelle tâche Je t’ai confiée, retourne à la vie, jusqu’à ce que Je te rappelle pour que tu fasses un nouveau CHOIX.”


L'Aumônier imprima ce dernier mot avec force, frappant presque le pupitre de ses poings, avant de reprendre sur un ton plus mesuré.

Alors, ma vue se brouilla. J’eus tout juste le temps de voir Aristote et Christos me dire à bientôt avant de perdre connaissance. Lorsque je me réveillai, je me trouvais dans mon lit, les bras en croix. Autour de moi des cierges étaient allumés et mes amis étaient en train de prier. En larmes, mais visiblement soulagés, ils m’expliquèrent que cela faisait neuf jours que j’étais mort. Je me levai, alla à la fenêtre, et vis que le soleil diffusait à nouveau sa chaleureuse lumière sur le monde. Je racontai à mes amis mon incroyable périple et décidai de coucher sur le papier tout ce que je venais de connaître pendant ma mort. >>


Termina-t-il en laissant sa voix s'éteindre progressivement. Il laissa le silence plâner avant de poursuivre.

Certes, ce texte peut apparaître effrayant mais il envoie aussi un formidable message d'espoir: OUI, Dieu nous aime!

Ca, c'était de l'entrée en matière!

Encore une fois... car Il n'a de cesse de le proclamer et de l'asséner comme un vérité intangible depuis Oane.

MAIS...


Il y en a toujours un.

... Il veut que nous l'aimions en retour. Cependant, ce n'est pas une demande intéressée... Dieu cessera-t-il de nous aimer si nous cessons de l'aimer?


Oui, cela mérite une explication.

La divine supplique répétée encore et encore par l'Etre suprême ne vise en fait que notre bien. Parce que nous L'aimons, nous voulons Lui plaire, être aimés de Lui... et ce faisant, nous désirons suivre les Vertus qu'Il nous a transmises par l’intermédiaire d' Aristote et de Christos.

La Vertu n'est pas un message vain, ce n'est pas une exigence creuse, des commandements gratuits sans autre fin que le plaisir de voir l'Homme s'y plier. Le Très-Haut, Etre parfait par excellence, ne saurait être la proie de cet orgueil!

La Vertu n'est rien d'autre qu'un guide... un guide vers le bonheur! L'homme ou la femme vertueux est un militant du bonheur pour le plus grand nombre. La Vertu est également contagieuse... elle invite celui qui la constate chez son voisin à agir de même à son égard. "Ne fais pas ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse, et traite les autres comme tu voudrais que l'on te traite!"

Cependant, nous le constatons, le monde n'est guère aussi parfait... car, en êtres passionnés que nous sommes, la voie exigeante de la Vertu ne nous apparaît pas toujours être la plus simple, ou la plus directe. La Bête Sans Nom instille alors son venin en nous, nous invite à l'excès et aux plaisirs éphémères, au détriment du bonheur à long terme prôné par la sagesse du Très-Haut! Certains s'y abandonnent totalement... et se privent définitivement du bonheur terrestre comme céleste... car ne vous y trompez pas: les méchants ne sont et ne seront jamais heureux! Ils poursuivront sur la voie tracée par le Vice, tentant de rattraper le bonheur par cette voie qui n'y mène pas.


Tiens pour le karma!

Heureusement, ce n'est pas le lot de la plupart d'entre nous. Parfois, nous cédons, et nous nous laissons aller à d'inavouables fautes que nous drapons sous le couvert de la nécessité. Parfois, ce prétexte est vrai... parfois, il n'est justement qu'un prétexte. Chacun de nous est susceptible de choir... l'important est de pouvoir se relever. Il faut comprendre nos pêchés et nous les faire pardonner, tant auprès de Dieu que de tout autre que nous aurions plus léser.

Ces principes, il convient de les appliquer partout, notamment au sein du couple.


Ah, voilà, on y venait.

Constance, Foulques... vous allez former une famille. Comme dans l'Alliance entre Dieu et l'Homme, l'amour en sera la structure. Tous comme dans l'Alliance entre Dieu et l'Homme, la réciprocité de l'Amour sera nécessaire pour que ce ciment prenne.

Il ne peut exister d'Amour durable sans compréhension mutuelle et sans partage des sentiments. Ne laissez guère les fâcheries vous séparer trop longtemps. N'ayez guère peur de la franchise... l'Amour s'entretient. Et pour l'entretenir, Dieu nous donne un matériel inestimable: la Vertu!

Utilisez-là, utilisez-en chaque recommandation pour faire perdurer le lien qui vous lie.
Utilisez-là pour élever vos enfants et faire régner l'harmonie et l'ordre dans votre maison.
Utilisez-là pour garder vos amis et leurs conseils avisés auprès de vous.
Utilisez-là pour vous garder mutuellement des assauts de la Tentation et de la Bête Sans Nom.

Aimez Dieu par la Vertu pour votre propre Bonheur ainsi que pour votre Salut. Pour cette même raison, faites de la Vertu le ciment de votre Amour, pour que la structure de votre maison soit solide comme le roc!

Que le Très-Haut et la Vertu qu'il nous a enseignée guident vos pas!

AMEN!


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Sofja
    Le Marié fit on entrée, prenant place devant l'autel. Puis se fut à la mariée d'arriver aux bras de ses parents. L'image était extrêmement touchante. La Jagellon se força de ne pas laisser quelques larmes glisser sur ses joues. Faut dire qu'en ce moment, elle était très émotive. L'homme d'église commença le serment.

      Je confesse à Dieu tout puissant
      au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
      au Bienheureux Jeshua Christos,
      A Notre Dame qui veille sur cette église,
      au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
      aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
      à tous les Saints,
      et à toi, Père,
      Que j'ai beaucoup péché par pensées,
      par paroles et par actions.

      C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
      C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
      Bienheureux Jeshua Christos,
      Notre Dame qui veille sur cette église,
      Bienheureux Saint Pape Nicolas,
      les Saints Apôtres Titus et Paulo,
      Tous les Saints, et Toi, Père,
      de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

      Que le Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés,
      et nous conduise à la vie éternelle.
      Puisse le Dieu Omnipotent et Tout-Puissant nous accorder le pardon, l'absolution et la rémission de nos péchés.

      Amen !

_________________
Leana..
Les visages se tournèrent vers l'entrée, en faisant de même, elle vit le marié qui s'avançait vers l'autel, très élégant. Puis se fut l'arrivée aux bras de ses parents de la mariée, qui était resplendissante dans sa robe. En femme d'église, l'archidiacre qu'elle était, s'agenouilla aux côtés de son infini et en ajustant sa robe puis récite avec toutes les personnes présente le Confiteor...


Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.

C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

Que le Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés,
et nous conduise à la vie éternelle.
Puisse le Dieu Omnipotent et Tout-Puissant nous accorder le pardon, l'absolution et la rémission de nos péchés.

Amen !

_________________
Wendoline
L'arrivée du futur époux puis de la jeune mariée au bras de ses royaux parents amènent un sourire.
Enfin ils découvrent "la robe" ; magnifique !


Un léger regard à son cavalier qui semble aussi subjugué qu'elle-même avant de se concentrer sur la prière du pardon qu'elle reprend de concert avec tous.

Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.

C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

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