Foulques_de_malemort


Les doigts se tortillent dans le dos du Prince, droit comme un « i » alors que le regard se laisse aspirer par cette voûte majestueuse, par cette embrassure de laquelle Constance devrait apparaître. Les cloches sonnent et retentissent dans ce tumulte assourdissant du palpitant battant à la déraison du murmure d’ombre et de doute, de peur de l’instant. Et si … tellement de possibilité, de choix ou de direction opposée, de chemins et de routes se croisant et se décroisant dans un souffle de vie d’incrédule mené par le plus puissant de tous, le destin. Les émeraudes brûlent de cette attente.
Soudain le brouhaha du parvis s’élève telle une hymne, les gens au plus proche de la porte tendent déjà leurs coups tels des animaux exotiques pour observer la venue de celle qu’il attend avec ardeur. C’est le signal, plus de toute l’Orsenac et son père arrivent, il ne reste plus qu’à les attendre au pied de l’autel.
La foule s’incline, les têtes s’écartent pour laisser paraître sa Constance. Les lippes s’étirent dans un sourire de plaisir, de liesse, et … de surprise. La Reyne, et mère de Constance se tient à cotée d’elle. Comment ne pas sentir la chaleur d’une telle vue, de cette scène magistrale, les jades se teintent de cette douceur tendre à la vue du cortège familiale. Ce n’était pas la présence de la dite Reyne qui rendait la chaleur aux iris de Foulques, mais bien la présence de la mère de sa belle-aimée.
Comment ne pas savourer quand on sait à quel point la fille espérait la présence de ses deux parents pour la conduire à l’hostel… la douleur, la peur et la tristesse de l’alitement ayant bien souvent empoigné le cœur son aimée. Les augures sont bons en cette faste journée, apportant les délices des retrouvailles de sa propre sœur, mais aussi le délice de courage dans la présence de cette mère, Reyne de France pour amener sa fille à la main de Foulques.
Les jades accrochent les saphirs, les deux corps recouverts de leurs manteaux d’Hermine. Une volonté propre dans le désir de ne dévoiler leur tenue à l’un et à l’autre à l’ultime seconde des retrouvailles. Gardé le plaisir et le secret jusqu’à l’instant ultime. Un jeu entre eux.
Mais l’émotion étouffe les sens, comment décrire une à une les tensions, les délices, les sens qui se bousculent en un maelström de murmure indéchiffrable. Le palpitant s’engage dans une course effrénée amenant presque une surdose d’oxygène, une rougeur sur les joues teintant le visage du Prince – Bien sût mis sur le compte de la chaleur produite par la cape d’Hermine, et rien d’autre voyant ! – Elle se tient devant lui, leurs mains sont jointes sous les regards bienveillants de ses futurs beaux-parents (aie !). Le contact se mue en une vague de chaleur, une émotion électrisante, un soupire de plénitude gagnant l’âme des deux êtres passionnés. Puis ce murmure, qui amène les deux âmes à revivre leurs jeux, leurs provocations volontaires autant qu’involontaires, les effleurements, les désirs nocturnes, les plénitudes à chaque instant partagés et à Foulques se murmuré quelque mots alors que ses mains glissent sur la cape pour la lui ôter.
Pour l’heure ce n’est que votre cape, mais ce soir vous serez mienne …
Et nous verrons qui croquera l’autre …
Murmure provocant, murmure complice alors que les mains tremblantes sous la chaleur qui inonde sa Constance ôtent à son tour la cape du Malemort, se dévoilant l’un à l’autre leurs tenues de mariages pour amener au plus loin chance et bonheur sur leur mariage.

Mais à peine le temps de savourer l’instant, à peine le temps de s’être retrouvé, et devoir éteindre les brûlures de la passion des lèvres, des lippes qui attisent la flamme des passions que l’instant solennel reprend immédiatement ses droits. L’aumônier Royale débuta la cérémonie, dans peu de temps les deux âmes mortelles se tenant devant lui serait unis à la mort. Les pensées brument et s’embrument une fois encore dans une myriade d’émotions et de sentiments, inondé par la vague intenses et émotionnelles d’une telle scène. Marié …
Foulques s’inclina, avant de poser un genou à terre reprenant les paroles de Luis-Apollon dans un fin murmure fermant les yeux alors que sa main ne désire rendre liberté à sa jumelle, la main de Constance. Un lien unit à jamais.
Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Puis, quittant la position de contrition, Foulques se releva, le visage retrouvant cette platitude qu’il aime tant. L’instant était solennel, les dernières rayons de la libertés s’éteignant dans les brulures de la passions voulues amenant la vie du prince à un changement de vie absolue …
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[En réfection]
Soudain le brouhaha du parvis s’élève telle une hymne, les gens au plus proche de la porte tendent déjà leurs coups tels des animaux exotiques pour observer la venue de celle qu’il attend avec ardeur. C’est le signal, plus de toute l’Orsenac et son père arrivent, il ne reste plus qu’à les attendre au pied de l’autel.
La foule s’incline, les têtes s’écartent pour laisser paraître sa Constance. Les lippes s’étirent dans un sourire de plaisir, de liesse, et … de surprise. La Reyne, et mère de Constance se tient à cotée d’elle. Comment ne pas sentir la chaleur d’une telle vue, de cette scène magistrale, les jades se teintent de cette douceur tendre à la vue du cortège familiale. Ce n’était pas la présence de la dite Reyne qui rendait la chaleur aux iris de Foulques, mais bien la présence de la mère de sa belle-aimée.
Comment ne pas savourer quand on sait à quel point la fille espérait la présence de ses deux parents pour la conduire à l’hostel… la douleur, la peur et la tristesse de l’alitement ayant bien souvent empoigné le cœur son aimée. Les augures sont bons en cette faste journée, apportant les délices des retrouvailles de sa propre sœur, mais aussi le délice de courage dans la présence de cette mère, Reyne de France pour amener sa fille à la main de Foulques.
Les jades accrochent les saphirs, les deux corps recouverts de leurs manteaux d’Hermine. Une volonté propre dans le désir de ne dévoiler leur tenue à l’un et à l’autre à l’ultime seconde des retrouvailles. Gardé le plaisir et le secret jusqu’à l’instant ultime. Un jeu entre eux.
Mais l’émotion étouffe les sens, comment décrire une à une les tensions, les délices, les sens qui se bousculent en un maelström de murmure indéchiffrable. Le palpitant s’engage dans une course effrénée amenant presque une surdose d’oxygène, une rougeur sur les joues teintant le visage du Prince – Bien sût mis sur le compte de la chaleur produite par la cape d’Hermine, et rien d’autre voyant ! – Elle se tient devant lui, leurs mains sont jointes sous les regards bienveillants de ses futurs beaux-parents (aie !). Le contact se mue en une vague de chaleur, une émotion électrisante, un soupire de plénitude gagnant l’âme des deux êtres passionnés. Puis ce murmure, qui amène les deux âmes à revivre leurs jeux, leurs provocations volontaires autant qu’involontaires, les effleurements, les désirs nocturnes, les plénitudes à chaque instant partagés et à Foulques se murmuré quelque mots alors que ses mains glissent sur la cape pour la lui ôter.
Pour l’heure ce n’est que votre cape, mais ce soir vous serez mienne …
Et nous verrons qui croquera l’autre …
Murmure provocant, murmure complice alors que les mains tremblantes sous la chaleur qui inonde sa Constance ôtent à son tour la cape du Malemort, se dévoilant l’un à l’autre leurs tenues de mariages pour amener au plus loin chance et bonheur sur leur mariage.

Mais à peine le temps de savourer l’instant, à peine le temps de s’être retrouvé, et devoir éteindre les brûlures de la passion des lèvres, des lippes qui attisent la flamme des passions que l’instant solennel reprend immédiatement ses droits. L’aumônier Royale débuta la cérémonie, dans peu de temps les deux âmes mortelles se tenant devant lui serait unis à la mort. Les pensées brument et s’embrument une fois encore dans une myriade d’émotions et de sentiments, inondé par la vague intenses et émotionnelles d’une telle scène. Marié …
Foulques s’inclina, avant de poser un genou à terre reprenant les paroles de Luis-Apollon dans un fin murmure fermant les yeux alors que sa main ne désire rendre liberté à sa jumelle, la main de Constance. Un lien unit à jamais.
Je confesse à Dieu tout puissant
au Bienheureux Aristote toujours lumineux,
au Bienheureux Jeshua Christos,
A Notre Dame qui veille sur cette église,
au Bienheureux Saint Pape Nicolas,
aux Saints Apôtres Titus et Paulo,
à tous les Saints,
et à toi, Père,
Que j'ai beaucoup péché par pensées,
par paroles et par actions.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute,
C'est pourquoi je supplie le bienheureux Aristote toujours lumineux,
Bienheureux Jeshua Christos,
Notre Dame qui veille sur cette église,
Bienheureux Saint Pape Nicolas,
les Saints Apôtres Titus et Paulo,
Tous les Saints, et Toi, Père,
de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
Puis, quittant la position de contrition, Foulques se releva, le visage retrouvant cette platitude qu’il aime tant. L’instant était solennel, les dernières rayons de la libertés s’éteignant dans les brulures de la passions voulues amenant la vie du prince à un changement de vie absolue …
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[En réfection]